Catégorie : Mirepoix – Lavelanet – Pyrénées Cathares

  • Mirepoix, Éric Grandchamps « Fallait pas venir ! » – 10 décembre

    Mirepoix, Éric Grandchamps « Fallait pas venir ! » – 10 décembre

    showCe passionné de théâtre depuis l’âge de 12 ans est devenu comédien, metteur en scène, auteur et actuellement professeur de 50 élèves au théâtre des D’Rôles de Revel.

    Il nous présente aujourd’hui son « One man show », intitulé « Fallait pas venir ! ». Il y représente une dizaine de personnages caricaturés, certains identifiables.

    Le comédien change de costume à chaque fois pour mieux parfaire son personnage et présente divers rôles qui valident son talent. La parfaite synchronisation des bruitages complète agréablement la mise en scène et le public est même amené à participer à des échanges interactifs avec le comédien.

    Samedi 10 décembre – 21h00
    Salle Paul Dardier – Mirepoix
    05 61 68 83 76 / contact@tourisme-mirepoix.com

  • Cazals-des-Bayles, Dernière animation de l’année pour le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares – 10 décembre

    Cazals-des-Bayles, Dernière animation de l’année pour le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares – 10 décembre

    Le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares finit l’année en dansant ! Le samedi 10 décembre, vous avez rendez-vous sur la commune du Cazals-des-Bayles pour une journée festive.

    A partir de 9h, Alain Servant, occitaniste et maire de la commune, en partenariat avec l’association CREO 09, animera un stage de chant et bourrées du Couserans. Il évoquera la danse et son rapport à la mélodie : comment repérer les impulsions, les déséquilibres, les rééquilibrages, et apprendre à danser avec retards dus au mouvement et au déplacement.

    A partir de 17h, la parole sera donnée à Stéphane Bourdoncle. L’historien reviendra sur les liens entre langue et mémoire. Comment la transmission d’une langue fait fi des pressions, du pouvoir, des volontés d’oubli ou de l’académique imposition du français pour se perpétuer à travers les générations.

    Partons donc à la recherche des liens entre histoire, mémoire et langue ! 

    Le tarif du stage est de 20€ pour la journée (prévoir son déjeuner), il s’adresse à des danseurs confirmés. La réservation est obligatoire au 05 61 60 12 47. 

    Le tarif de la conférence est de 3€

    Bonne fin d’année en Pyrénées Cathares ! 

  • Lavelanet se dote d’une Web TV pour renforcer son image de dynamisme

    Lavelanet se dote d’une Web TV pour renforcer son image de dynamisme

    Ce jeudi 1er décembre 2016, la Ville de Lavelanet inaugure officiellement le lancement de la chaîne Lavelanet T’y Vis, une Chaîne TV 100% Lavelanétienne, sur le site de partage de vidéos YouTube…

    Le Service communication de la mairie et l’équipe Woomeet travaillent depuis quelques semaines sur différents films promotionnels pour la ville de Lavelanet en Ariège. Objectif : donner une vision « dynamique » de cette ville en plein changement. À la clé : la mise en place d’une chaîne YouTube pour la ville afin d’animer la communauté des gens de Lavelanet et renforcer image et démocratie participative. Car Lavelanet bouge, se transforme et met en place de grands chantiers au travers des dispositifs : AMI centre-bourg, TEPcv et Contrat de territoire. Un challenge pour les élus et Lavelanétiens, mettre en lumière Lavelanet 2050, une ville au carrefour de sites d’exception.

    On le sait, le concept Web-Tv répond à la formidable demande de contenus vidéo dans tous les secteurs. Une opportunité que les élus Lavelanétiens ne pouvaient ignorer, car il ne s’agit plus aujourd’hui seulement d’informer sur l’action des élus ou les projets de la collectivité, mais bien d’incarner les politiques publiques en déroulant le récit du territoire, en mettant en scène les acteurs sociaux économiques et les citoyens, « car ce sont eux qui font Lavelanet ». Lavelanet TV donne la parole à ceux que l’on n’entend pas et traite de sujets que l’on ne trouve pas ailleurs.

    Le devenir de sa ville et du Pays d’Olmes chevillé au corps, Marc Sanchez s’est adjoint les services de l’équipe WOOMEET spécialisée dans les nouveaux Médias de l’Internet afin de changer une image trop souvent négative et ne prenant pas en compte le ressenti de ses habitants. Pour le 1er édile de Lavelanet, « Lavelanet TV vient compléter l’information diffusée sur nos autres supports de communication traditionnels et redonne ses lettres de noblesse au centre-bourg du Pays d’Olmes. »
    Le concept est simple… Parler de Lavelanet, du Pays d’Olmes, de celles et ceux qui y vivent…

    Vous y découvrirez des personnages attachants, des personnes passionnantes, des interventions insolites, mais aussi des surprises… Allez à la rencontre des résidents, découvrir les savoir-faire, la vie associative culturelle, sportive… Rencontrer les artisans, commerçants, professions libérales… Enfin tout ce qui fait notre patrimoine, la richesse de Lavelanet et du Pays d’Olmes.

    Voir la chaine : www.youtube.com

  • Le SLBB, un club historique à Lavelanet

    Le SLBB, un club historique à Lavelanet

    S’il est un club historique à Lavelanet, c’est bien le Stade Lavelanétien de Basket Ball, le SLBB. André Cassan l’actuel président nous raconte les débuts du club, et les projets. 

    Tout a commencé en 1938 : Les ouvriers, avant de rentrer à L’usine, s’amusaient à lancer des pelotes de tissus dans un cerceau accroché à des poteaux. Un cadre de l’usine qui connaissait le basket, a commencé les initier à la pratique du jeu. C’est ainsi qu’est né, en 1938, le premier terrain de basket de Lavelanet, derrière les usines Dumons ; Un terrain rudimentaire sur de la terre battue avec des poteaux de fortune. 

    C’est en 1942 que le club prend son autonomie et devient le «Stade Lavelanétien de Basket Ball» avec un fait assez insolite dans le département, c’est le seul club qui accueille, à cette époque, une équipe de séniors féminine et des jeunes.

    En 1980, les dirigeants de l’époque, créent une école de basket ouverte à tous les enfants de 5 à 18 ans. Cette école eut immédiatement un gros succès auprès de la jeunesse lavelanétienne avec un nombre important d’équipes créées.

    Il y a deux, Anthony Juan à rejoint le club comme entraîneur en contrat «Emploi Avenir». 

    Fort des 140 licenciés, l’objectif principal du club est avant tout d’accueillir tous les publics, de faire jouer tout le monde et bien sûr un objectif éducatif qui est de transmettre, à travers le sport, des valeurs de citoyenneté, de respect.

    En Juin 2017, le SLBB fêtera ses 75 ans, une grande journée festive est d’ores et déjà prévue. On en reparlera évidemment.

     

     

  • Lavelanet-Pays d’Olmes, porte d’entrée des Monts-d’Olmes

    Lavelanet-Pays d’Olmes, porte d’entrée des Monts-d’Olmes

    Monts d’Olmes : la station s’installe durablement à Lavelanet et sur le territoire 

    Comme une « équipe de rugby », SAVA SEM, mairie de Lavelanet et CCPO s’inscrivent dans un partenariat de longue durée avec pour objectif de créer une porte d’entrée en plaine pour la station des Monts d’Olmes. Ce samedi 10 décembre, place aux sensations fortes avec le tremplin des MDO installé en centre-bourg…

    Lavelanet – Pays d’Olmes : porte d’entrée de la station

    Si la station des Monts d’Olmes cherchait « un nouveau souffle », elle l’a trouvé en la personne de Jean-Claude (Joan) Montané directeur. « Surpris par le manque de connaissance sur la station des gens d’ici », le directeur veut élargir le partenariat mis en place avec la commune de Lavelanet, une ville au carrefour des 4 M. Une porte d’entrée, tout comme le Pays d’Olmes vers la station. L’idée étant de fédérer habitants, entreprises, commerçants et artisans autour de « leur station ». Le marché de Noël sera « le coup d’envoi » d’une campagne visant à réinstaller la station en plaine au travers de signalétiques, opérations en direction de la jeunesse, vente de remontées dans les commerces, installation de décorations sur les ronds-points du centre-bourg, etc…  Jean-Claude Montané et Cyril Bardin (directeur marketing communication de la SAVA SEM) l’affirment, «le collectif des élus est vraiment là, ça ressemble à un ouragan ».  

    Une première manifestation ce week-end durant le marché de Noël

    Le centre-bourg de Lavelanet va être le théâtre ce week-end d’une manifestation hors norme. Outre le marché de Noël, entre féeries et savoir-faire locaux, organisé par l’association Lavelanet d’Hier à Aujourd’hui de Franck Farez, la station va installer, samedi 10 décembre un tremplin (25m de long au sol, 11m de haut) et un air bag, devant le Marché couvert. Un objectif pour Jean-Claude Montané: « que les habitants de Lavelanet, du pays d’Olmes se réapproprient leur station ; qu’ils en deviennent les ambassadeurs ». Pour ce faire, SAVA SEM, mairie de Lavelanet et Communauté de communes travaillent main dans la main. « Fervent admirateur de rugby Monsieur le Maire le sait » glisse Jean-Claude Montané, « nous devons pousser dans le même sens ». Il est question ici « d’un enjeu économique important, tant pour la station que pour le pays « ; propos réitérés par Marc Sanchez convaincu : « notre station a un potentiel énorme. Aujourd’hui des professionnels la gèrent et la mettent en valeur ». Pour tous, ce partenariat doit s’inscrire dans la durée. Pour ce faire, les techniciens de la station, dont Nathalie Quérol chargée de communication, mettent en place divers projets : opération « je skie à la maison ». Une offre de forfait saison pour les enfants résidant en Pays d’Olmes et à l’école primaire ou au collège à un prix très attractif. Des rencontres sont organisées avec les établissements scolaires du territoire (Écoles primaires et collèges). Politique tarifaire en baisse pour les écoles du Pays d’Olmes. Partenariat fort avec le lycée Professionnel Jacquard qui forme ses futurs élèves aux métiers de la montagne. Autant d’opérations pour, glisse Jean-Claude Montané, « que les habitants du Pays d’Olmes prennent conscience qu’ils ont un bijou » , et, une conclusion à cette conférence de presse pour le maire de Lavelanet : « on écrit aujourd’hui une nouvelle page pour notre station ».

    Les animations de la station ce samedi 10 décembre : de 15h00 à 20h00 : animation glisse avec un tremplin et un air bag ; de 15h00 à 17h00 : les enfants pourront s’essayer à la descente du tremplin avec des luges en toute sécurité ; de 17h30 à 20h00 : démonstrations de sauts et de figures par les skieurs du Boss Club (club de ski de Perrine Laffont

    Sources : Mairie de Lavelanet

  • Fougax-et-Barrineuf, Apéro du bestiaire pyrénéen – 9 Décembre

    Fougax-et-Barrineuf, Apéro du bestiaire pyrénéen – 9 Décembre

    Une animation originale, un temps convivial et chaleureux.

    L’Ana, la Fédération de Pêche d’Ariège et le Conservatoire d’Espaces Naturels de Midi Pyrénées, en partenariat avec le réseau Education Pyrénées Vivantes, vous invitent à un apéro du Bestiaire Pyrénéen le vendredi 9 décembre à Fougax-et-Barrineuf.

    Au programme : 16h00 visite des travaux sur l’Hers et 18h00 apéro animé autour du desman.
    RDV à la mairie !

    Inscriptions/renseignements : pauline.l@ariegenature.fr ou 06 83 52 37 86

  • Lavelanet, Le Lac des cygnes – 8 décembre

    Lavelanet, Le Lac des cygnes – 8 décembre

    Le Lac des cygnes un Ballet en quatre actes en direct de l’Opéra Bastille. Livret : Vladimir Begichev, Vassili Geltser

    Dans la version « freudienne » que Rudolf Noureev imagine pour le Ballet de l’Opéra de Paris en 1984, le prince Siegfried, manipulé par le maléfique Rothbart, se dérobe à la réalité du pouvoir et du mariage pour se réfugier dans les rêves, où lui apparaît un lac magique porteur de l’amour idéalisé.

    Noureev hisse à la hauteur de l’héroïne le rôle du prince en lui donnant une nouvelle ampleur psychologique et préfère donner à ce chef-d’œuvre du ballet d’action une fin tragique plus harmonieuse avec l’écriture musicale.

    Jeudi 8 Décembre – 19h15 durée : 2h35
    Le Casino – Lavelanet 

  • Dun, « Petite histoire de la Main d’Urka » – 3 décembre

    Dun, « Petite histoire de la Main d’Urka » – 3 décembre

    L’Atelier-Théâtre de la MJC de Laroque D’Olmes présentera sa dernière création dont le sujet témoigne d’une particularité de notre histoire locale, à propos du site de Morenci, de la main sculptée qu’on y trouva et du couple qui la révéla.

    LA MAIN DE MORENCI… PAR OÙ TOUT COMMENCE

    main-urkaLe propos de la pièce trouve son origine dans un fait authentique de notre histoire locale dont elle se veut la célébration :

    Dans les années trente, Jean Tricoire, professeur au collège de Lavelanet, passionné d’archéologie, découvre avec trois de ses élèves, une main sculptée, énigmatique, sur le site de Morenci. L’endroit est bien connu en pays d’Olmes pour ses vestiges du néolithique et l’ambiance féérique qui en émane.

    Quelque quinze années plus tard, Raymonde, son épouse, également enseignante mais aussi poétesse et écrivain, entreprend de romancer l’histoire de cette main, demeurée un mystère pour les érudits.

    … SUIT « LA MAIN D’URKA » QUI L’A RENDUE POPULAIRE

    Ainsi titré, son roman destiné à la jeunesse, sera utilisé des années durant dans nos écoles ariégeoises, gage de qualité et du talent d’écrivain de Raymonde Tricoire. Réédité dans les années soixante-dix, par l’école Elisée Maury de Laroque d’Olmes, à l’initiative d’Henri Aussaguès, il est arrivé jusqu’à nous.

    Raymonde Tricoire a donc imaginé que cette main avait pu migrer d’Afrique en des temps très anciens, acheminée par une tribu ayant du fuir un cataclysme (mythe de l’Atlantide). Urka, leur prêtresse, trop vieille pour les suivre, leur aurait confié cette main symbolisant la sienne, pour les guider dans leur exil jusqu’ici.

    LE PARTI PRIS THÉÂTRAL

    Si le point de départ était le roman et l’emblématique Main, nous voulions tout autant  honorer le rôle que Jean (le scientifique) et Raymonde (l’inventive) ont eu respectivement dans sa genèse.

    Après une rencontre avec Janine Bonnemaison, leur fille, sur la base de discrets éléments qu’elle nous a confiés, nous avons imaginé la façon dont le couple a pu interagir lors de l’élaboration du roman.

    Si nous nous sommes attachés à jalonner notre récit des témoignages recueillis et d’autres éléments tangibles, notamment obtenus auprès des Archives Départementales, c’est une pure fiction que nous offrons à nos spectateurs, avec l’espérance que les descendants n’y verront pas trop d’invraisemblance et s’attacheront à considérer la bienveillance avec laquelle nous avons traité leurs aïeuls.

    UNE PLACE EN PAYS D’ART ET D’HISTOIRE

    Une fois encore (cf. « Un déjeuner chez les Sage »), nous avons choisi de valoriser l’histoire locale au bénéfice du label de notre pays, en associant le patrimoine visible ou emblématique aux personnalités attachées à leur histoire… elles-mêmes constitutives de notre patrimoine.

    Nous y avons ajouté, avec beaucoup de plaisir, la célébration de sites géographiques de notre pays d’Olmes, à l’occasion des séquences filmées.

    L’ATELIER THEÂTRE DE LA MJC GUY MÔQUET

    Trente ans d’existence discrète, avec un sang neuf sans cesse renouvelé autour de quelques grandes fidélités. A son actif depuis 8 ans :

    • « Une décennie pleine d’avenir » (Célébration des 10 ans de la Comcom du Pays de Mirepoix)
    • « La révolution en chansons » (Théâtralisation d’une conférence, présentée en off de Jazz in Marciac)
    • « Paroles de nos poilus» (Création pour le lancement d’un livre consacré ā l’histoire locale sur 14-18)
    • « TOUIAVII, miroir de l’Occident (Adaptation de l’ouvrage « LE PAPALAGUI », avec la complicité de son éditeur)
    • « Un déjeuner chez les Sage» (Expérimentation au service du Pays d’Art et d’Histoire)
    • « Ce sue l’amour doit aux rats » (Montage théâtro-littéraire pour la médiathèque du Pays de Mirepoix)
    • « Petite histoire de…  LA MAIN D’URKA » (D’après le roman éponyme, en hommage ā Raymonde et Jean TRICOIRE)

    REMERCIEMENTS PARTICULIERS POUR CE DERNIER SPECTACLE à :

    • Janine BONNEMAISON, fille de nos « héros », pour son précieux témoignage ;
    • Tous les descendants et parents du couple célébré, pour leur tolérance à postériori ;
    • Les figurants de nos vidéos dont l’association « Larock n’roll » ;
    • Henri AUSSAGUЀS pour sa fidèle complicité dans nos enquêtes et travaux ;
    • Hugues BIGEARD pour sa compétence et son accueillant studio d’enregistrement ;
    • Sylvie et Richard DURAND pour leur généreuse assistance… multiforme ;
    • Vittoria COSIALЀS et son « plus que  nécessaire » de couture;
    • Josy RENOU et Sébastien IROLA, efficaces régisseurs en coulisse ;
    • Thérèse OTTAVIANI, notre secrétaire  assidue;
    • Pascal « MANGWA », créateur lumière assumant la régie;
    • MIKIAUCO , notre « Mick  Gyver » en montages vidéos & son + création affiche ;
    • Nos sponsors + les Opticiens Mutualistes de Lavelanet et leur coup de pouce, à l’œil !

    CE SPECTACLE EST ENTIЀREMENT DÉDIÉ Ā LA MÉMOIRE DE MICHEL BERTHET

    Samedi 3 décembre à 20h45 – Salle d’animation de DUN

  • Lavelanet – Peace and Lobe – 29 novembre

    Lavelanet – Peace and Lobe – 29 novembre

    affichepeaceandlobePeace and Lobe revient :

    Avant-Mardi, Pôle Régional Midi-Pyrénées des Musiques Actuelles, propose un programme pédagogique d’information, de sensibilisation et de prévention des  risques auditifs liés à l’écoute et à la pratique des musiques amplifiées.

    Peace and Lobe propose diverses actions et notamment une animation à destination des collégiens et des lycéens avec les « KKC orchestra ».

    Mardi 29 Novembre 2016 09h00 et  14h00

    Tarif Gratuit Le Casino – Lavelanet

  • Mirepoix, Marché « Noël d’antan du fait main » – 27 novembre

    Mirepoix, Marché « Noël d’antan du fait main » – 27 novembre

    Organisé par l’association ID PLEIN LA TETE, Créateurs amateurs et professionnels.

    Beaux-arts, poterie, cartonnage, tricot, scrapbooking, couture, bijoux, encadrement, broderie, peintures /verre, porcelaine froide, vitrail, home-deco, modelage, mosaïque etc…

    Renseignements, inscription 06 77 88 64 96 – 06 50 95 22 88

    Entrée gratuite (vente de vin chaud etc…)

    Dimanche 27 novembre de 10h à 19h à Mirepoix à la salle Paul Dardier (Ancienne Gare).

  • Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    A l’occasion de la sortie de son sixième ouvrage «Stupéfiante fenaison», le plus rital des ariégeois, l’écrivain Verino Piedigrossi, est venu nous rendre visite et nous a parlé en toute amitié, de sa vie et de ses livres.

    Originaire des Abruzzes, une région du sud de l’Italie, Verino débarque en Ariège le 13 décembre 1947 à l’âge de huit ans. Sa famille s’installe dans le petit village de Vicdessos, dans une maison  donnée par l’entreprise Péchiney où son père travaille depuis six mois. 

    Après avoir passé un C.A.P de chaudronnerie, Verino suit les traces de son père et commence sa carrière à Péchiney, alors la plus grosse industrie du département. Il y restera dix ans puis, voulant « repousser ses horizons », il s’engage dans une carrière commerciale. 

    C’est à l’âge de soixante six ans qu’il décide d’écrire : «J‘ai voulu laisser une trace à mes enfants, mes petits-enfants, mes neveux et nièces qui sont nés en France, et comme j’étais le mieux à même de la famille à pouvoir traduire notre histoire, je me suis mis à l’écrire. J’ai écris sept pages, je l’ai fait lire autour de moi, ma femme mes enfants… qui m’ont incité à aller plus loin. Alors de sept pages j’ai fini à trois cents pages». Cette histoire il l’a intitulée «L’odyssée d’un rital» dans laquelle il retrace l’exode chaotique de sa famille et la mise en place et le parcours de chacun.

    Bien qu’il en soit à son sixième livre, «L’odyssée d’un Rital» reste, nous explique t’il, sa locomotive. «Les autres sont les wagons. Même si j’y ai mis la même passion, «L’odyssée d’un Rital», étant une autobiographie, c’est plus émouvant et plus attachant, on se reconnait dans cette histoire que l’on soit français de souche, italien, espagnol, ou qui que ce soit.»

    Viendront ensuite deux romans, «Le berger du vallon rouge» et «Le violon sous le toit», un roman policier, «Le sarbacanier du clair de lune», et un essai sur l’environnement, «La triade infernale».

    Cette année c’est donc «Stupéfiante fenaison», son troisième roman et sixième ouvrage qui vient de sortir. Une troisième fiction qui débute dans une région agricole des Hautes-Pyrénées, entre Lannemezan et Auch. Un croisement, un abri-bus, une voiture qui s’arrête, un passager qui descend dépose deux mallettes et repars aussitôt, tout cela sous l’oeil curieux d’un agriculteur… Nous n’en dirons pas plus. 

    «Avec cette histoire, contrairement aux autres, je ne savais pas ou j’allais. Elle m’est venue d’une simple phrase que j’ai posé sur un papier en voyant ce paysage. J’ai créé les personnages et puis je me suis contenté de les suivre, et je les ai suivi pendant trois ans. C’est le seul que j’ai écris en trois ans mais je suis content du résultat parce que je me croyais incapable d’écrire un tel roman.»

    verino-piedigrossi.pagesperso-orange.fr

     

     

  • Lavelanet : Une réunion de travail pour partager et faire remonter

    Lavelanet : Une réunion de travail pour partager et faire remonter

    La 4ème réunion du groupe de travail « Territoires et bourgs-centres » portée par l’association « Sites et Cités remarquables de France », son président Martin Malvy et sa directrice Marylise Ortiz, a eu lieu ce mercredi 16 novembre, Salle du Casino espace culturel Mady de la Giraudière.

    « L’importance de telles journées porte sur les échanges entre élus, techniciens, État » a indiqué en préambule Bruno Marty maire de La Réole et président du groupe de travail, avant de rappeler : « l’intérêt des populations, l’attractivité, le développement de nos territoires passent par le développement des bourgs-centres. Il faut raisonner globalement sur un territoire ; pour ceci, un gros travail est à faire sur les communautés de communes, car ne l’oublions » a-t-il poursuivi : « le bourg-centre est la locomotive du territoire ». Propos réitérés par Jean-Jacques Michau pour le pays d’art et d’histoire des Pyrénées cathares glissant : « le PAH est un liant, on essaye de mettre en synergie les projets de territoire pour s’inventer un avenir ». L’avenir, le maire de Lavelanet Marc Sanchez y croit dur comme fer. « La revitalisation des centres-bourgs représente un enjeu crucial pour l’attractivité des campagnes et la structuration des territoires. Le dispositif AMI se fonde sur la réhabilitation du bâti ancien, mais concerne aussi la qualité de vie, la cohésion sociale et le développement commercial, touristique, artisanal, industriel. Nous le savons tous, la valorisation des atouts et de l’identité de chaque territoire passe par la protection et la mise en valeur de notre patrimoine naturel, culturel et architectural. Par un centre-bourg animé et vivant, par une transition écologique et énergétique. Mais tous ces projets ne peuvent être mis en œuvre sans l’implication des habitants de Lavelanet, du pays d’Olmes. Habitat, culture, emploi, circuits courts, lutte contre le mal-logement, patrimoine… sont inscrits dans le projet « Lavelanet 2050 que porte la municipalité». Du patrimoine, il en a été également question avec Marylise Ortiz rappelant : « un travail spécifique sur l’économie et territoire, culture et patrimoine est réalisé sur quatre territoires parmi les 54 villes lauréates AMI-centres bourgs. Quatre territoires pilotes ayant tous connu une déprise industrielle : Saint-Flour, Pont-Saint-Esprit, La Réole et Lavelanet ». À Lavelanet comme dans les autres territoires concernés, ces projets reposent sur une action de proximité, d’animation d’acteurs par une démarche collective de co-construction avec les porteurs de projets et les acteurs de terrain ; de concertation avec les élus et habitants. Mais l’État intervient aussi comme l’a souligné Marc de Dumast responsable stratégie et partenariat à la Caisse des Dépôts et Consignations : « la Caisse des Dépôts se mobilise pour faire face à 4 grands défis : transition territoriale,  économique, démographique, écologique ». 

    Cette réunion de travail a également été l’occasion de « faire remonter les difficultés rencontrées » : élus et techniciens souvent isolés, calendriers de financement un peu long « se faisant on fait languir nos populations » selon Bruno Marty. Mais des pistes sont à l’étude : fonds d’investissement d’avance, guichet unique et boîte à outils globale, création ou renforcement de clubs  ou comités régionaux entre lauréats, allongement de la durée du FNDAT. Pour Julia Gartner-Negrin et Vincent Lacaille Ministère de la Culture et de la Communication « l’idée étant que le dispositif AMI fasse des petits, grâce aux évaluations ». Car tous les participants en sont convaincus : « c’est une chance de bénéficier de tels dispositifs » ; d’autant plus pour Lavelanet qui peut également s’appuyer sur le dispositif TEPcv, dispositif en marche sur la Ville et porteur d’une nouvelle dynamique.  

    Source : Mairie de Lavelanet