Catégorie : Saint-Girons Couserans

  • Les cavernes du Volp, un ensemble archéologique exceptionnel

    Les cavernes du Volp, un ensemble archéologique exceptionnel

    Double page de l'ouvrage La caverne des Trois-Frères
    Double page de l’ouvrage La caverne des Trois-Frères

    Ensemble archéologique exceptionnel, les trois grottes du Volp forment un des sites préhistoriques les plus importants des Pyrénées. Leur renommée est internationale car elles renferment des oeuvres d’art uniques au monde à l’image des célèbres bisons modelés dans l’argile, résumant à eux seuls la pensée symbolique des Magdaléniens d’il y a 17 000 ans. Ces grottes ne sont pas ouvertes au public.

    Situées sur la commune de Montesquieu-Avantès, les Grottes du Volp renferment de précieux témoignages de l’époque Magdalénienne et comprennent la faune classique représentée sur les parois des grottes ornées de l’aire franco-cantabrique (rennes, chevaux et bisons). C’est un petit ruisseau appelé le « Volp » qui les a creusées dans une colline calcaire, dans le prolongement l’une de l’autre.

    La découverte et l’étude de ces galeries sont liées à l’histoire de la famille Bégouën et des trois frères, Max, Jacques et Louis dont le père Henri avait acheté en 1893 les manoirs des Espas et de Pujol à Montesquieu-Avantès. En 1911, ils reconnaissent la grotte d’Enlène, en 1912 la grotte du Tuc d’Audoubert (et ses bisons d’argile), en 1914 la grotte des Trois-Frères. Les premiers relevés ont lieu en 1912 et les premières fouilles en 1914.

    La grotte d’Enlène

    Tête de cheval découpée et gravée sur os d'Enlène (cl. C. Fritz/ © Service d'Exploitation des Sites Touristiques de l'Ariège)
    Tête de cheval découpée et gravée sur os d’Enlène (cl. C. Fritz/ © Service d’Exploitation des Sites Touristiques de l’Ariège)

    Cette caverne, dont l’accès a toujours été facile, est le type même de la grotte-habitat. On y a trouvé des foyers, des restes d’animaux et un grand nombre d’objets travaillés : os et plaquettes gravés, propulseurs, etc. Durant le Bronze Moyen (1200 avant J.C.) elle a servi de nécropole, entièrement fouillée au 19ème siècle.

    la grotte du Tuc d’Audoubert

    Bisons modelés du Tuc d'Audoubert
    Bisons modelés du Tuc d’Audoubert

    Avec 640 m de longueur, le Tuc d’Audoubert est la plus profonde des trois cavernes du Volp. C’est aussi la seule à se développer sur trois niveaux géologiques.

    le Réseau Inférieur comprend le cours souterrain actif du Volp et sa résurgence permettant d’entrer dans la grotte; le Réseau Médian qui comprend lui des vestiges Magdalénien avec traces d’habitat et des gravures Pariétales; et le Réseau Supérieur que l’on atteint par un étroit corridor de 14 mètres de haut qui se développe sur un parcours difficile qu’une châtière sépare en deux parties, et qui présente outre des anthropomorphes des empreintes de passages des Magdaléniens sur son sol argileux, et c’est également dans la dernière salle de celle-ci que se trouvent les bisons d’argile.

    La Salle des Talons comporte 142 empreintes. Les Magdaléniens y ont aussi laissé des tracés digités sur le sol formant de longues lignes sinueuses et des séries de ponctuations formant une composition géométrique.

    La caverne des Trois-frères, anthologie d’un exceptionnel sanctuaire préhistorique*

    "Sorcier" - Entité anthropomorphe de la Grotte des Trois-Frères
    « Sorcier » – Entité anthropomorphe de la Grotte des Trois-Frères

    Comme les grottes de Lascaux, elle appartient à la catégorie des grottes-sanctuaires. Avec plus de 1300 gravures et peintures, elle représente à elle seule plus de la moitié du corpus pariétal des Pyrénées ariégeoises. La figure du Sorcier, peinte et gravée, est universellement connue et demeure l’une des icônes les plus populaires de l’art préhistorique.

    Les parois des Trois-Frères ont été polies par les ours des cavernes bien avant le passage des hommes, et c’est sur ce support idéal que les Magdaléniens exécutèrent de nombreuses et fines gravures.

    Cependant, des hommes d’une culture plus ancienne ont aussi fréquenté la grotte, comme l’attestent les mains négatives rouges de la Galerie des Mains et de nombreux panneaux gravés dans la zone du Tréfonds.

     

    Grâce aux membres de la famille Bégouën, inventeurs et propriétaires de la caverne, celle-ci est demeurée quasiment intacte à ce jour.

    *La caverne des Trois-frères : anthologie d’un exceptionnel sanctuaire préhistorique
    Robert Bégouën, Jean Clottes, Valérie Feruglio, Andreas Pastoors, avec la collaboration de Sébastien Lacombe, Jörg Hansen, Hubert Berke et al.,

    publié par l’Association Louis Bégouën, préface Henry de Lumley
    Editeur : Somogy éditions d’art (14 mai 2014)

    Sources :

    cavernesduvolp.com/
    www.hominides.com
    www.volvestre-patrimoine.info
    www.creap.fr

  • « Viens couper ton sapin »  5 décembre Montjoie-en-Couserans

    « Viens couper ton sapin » 5 décembre Montjoie-en-Couserans

    A l’occasion d’une après-midi portes-ouvertes, France Sapin Bio vous invite à venir choisir et couper votre sapin de Noël. Une expérience originale à vivre en famille ou entre amis.

    Quoi de mieux que d’arpenter les allées d’une plantation de sapins de Noël en compagnie d’une équipe de joyeux lutins pour plonger dans l’ambiance des fêtes de fin d’année ? L’occasion de coupler l’utile à l’agréable : une balade nature en plein cœur des Pyrénées Ariégeoises pour repartir avec un sapin de Noël bio, local et marqué Parc !

    Nordmann ou épicéa ? Odorant ou résistant ? Grand ou petit ? Touffu ou élancé ? Vous aurez l’embarras du choix… mais la garantie d’un sapin de Noël 100% local et cultivé dans le respect de l’environnement.

    Votre sapin sera ensuite mis sous filet sur place et le pied sera taillé. Pour compléter cette journée, n’oubliez pas de faire un saut sur l’incontournable marché de Saint-Girons le matin. Retrouvez le programme de la journée sur http://www.ariegepyrenees.com/

    Pensez-y ! Une fois les fêtes terminées, ramenez votre sapin chez France Sapin Bio. L’entreprise, en partenariat avec le SICTOM du Couserans, récupère les sapins et les recycle pour alimenter des chaufferies locales !

    La production de France Sapin Bio s’est vue estampillée cette année de la Marque « produit du Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises ». En effet, la jeune entreprise a su développer un mode de culture vertueux, couplant la préservation de l’environnement et des paysages et privilégiant l’intervention de la main de l’homme. Elle est aujourd’hui la première entreprise française de sapins de Noël à bénéficier de la Marque Parc et du label AB. Plus de renseignements sur www.produits-parc-pyrenees-ariegeoises.fr

    chez France Sapin Bio : samedi 5 décembre, de 14h à 17h30 à Montjoie-en-Couserans !

    Contacts :
    France Sapin Bio
    Belloc
    09200 Montjoie en Couserans
    Tél. : 05 61 66 54 40
    francesapinbio@gmail.com
    www.francesapinbio.fr

  • Le retour de Sapou ou l’épopée d’un original ariégeois poète et humaniste

    Le retour de Sapou ou l’épopée d’un original ariégeois poète et humaniste

    sporting club Arrous

    Né à Arrous, dans le Couserans en 1871, Joseph Founau Cabillot dit Sapou voyage d’abord comme colporteur puis comme maître d’hôtel en Amérique, en Europe et en Afrique du Nord. Mais Sapou n’oublie jamais son village natal niché au cœur des Pyrénées ariégeoises où il revient de loin en loin.

    Bien que n’ayant été « à l’école que cinq hivers », il met par écrit dans ses « Cahiers d’Arrous » ses idées sur la société de son temps, et y rassemble des contes et chansons qu’il compose.

    Son but est arrêter le dépeuplement de ses montagnes en éduquant ses concitoyens. Si les adultes prennent ce poète-musicien-philosophe-éducateur sportif-conseiller agricole pour un joyeux illuminé, les jeunes adhèrent à son enthousiasme en participant à son « Sporting Club d’Arrous » ou à sa fanfare.

    Ce regard d’un enfant du pays revenu du Nouveau Monde à la fois émerveillé et inquiet est un témoignage unique sur la vie au cœur des Pyrénées dans la première moitié du XXe siècle.

    Ce personnage original et attachant est présenté par Mary Lou Decossaux * une jeune Américaine revenu sur les pas de ses ancêtres ariégeois.

    C’est elle qui a retrouvé les manuscrits de ce fameux Sapou et nous les restitue sous la forme de ce livre publié une première fois en 1995 sous le titre de « Sapou, Colporteur de l’Ariège au temps des montreurs d’ours ». De larges extraits des « Cahiers » de Sapou sont mis en perspective par l’auteur tout en nourrissant le récit.

    La présente édition est enrichie de nouvelles découvertes de l’auteur et de l’éditeur.

    Le livre est en vente dans toutes les librairies d’Ariège et sur le site de l’éditeur

    Le retour de Sapou Ariège PyrénéesEdition Le pas d’Oiseau
    176, chemin de Lestang, appt 23
    31100 Toulouse
    Site-catalogue : lepasdoiseau.fr

    *Mary Lou Decossaux, née en 1957 en Floride aux États-Unis, est décédée, encore jeune, en 2011

  • Sur les routes de l’Ariège, Saint Girons

    Sur les routes de l’Ariège, Saint Girons

    Sur les routes de l’Ariège, Saint Girons

    Au centre du Couserans, pays gascon aux 18 vallées, Saint-Girons se situe de part et d’autre de deux torrents tumultueux venus du plus haut des montagnes, le Salat et le Lez, qui se rejoignent en son centre.

    En contrebas de la citadelle de Saint-Lizier, l’implantation de Saint-Girons demeure fortement liée à l’histoire de sa proche voisine fondée par les Romains. Elle garde l’empreinte d’un riche passé : vestiges gallo-romains, chapelles romanes, folklore

    Apparu tardivement le site de Saint-Girons ne connut, pendant longtemps, que des entrepôts, en bordure du Salat, et quelques « villae ». C’est vers 1100 que Saint-Girons apparaît en tant que ville, à la suite d’une période, l’an mil, qui voit de profondes transformations dans l’Occident.

    Au XIIIe siècle, la ville de Saint-Girons se donne, sur la rive opposée du Salat, la rive gauche, un nouveau quartier, une Villefranche. La ville se développe, lentement, à l’intérieur de ses fortifications. Le bâti est peu dense, les jardins nombreux, même si la trame des rues est serrée dans le centre de la ville.

    Avec le XIXe siècle, la ville va s’étendre au-delà de ses fortifications transformées en boulevards. De nombreuses activités vont s’installer, le long du Salat pour utiliser la force motrice des cours d’eau. Il y a, comme partout, des moulins à farine, des moulins à scier le bois, des forges. Il y a aussi des moulins à fouler qui servent pour l’industrie textile. Le Salat, les moulins, le bois et l’industrie textile vont être le point de départ de deux aspects qui vont marquer l’histoire locale.

    C’est d’une part, un enfant du pays, Aristide Bergès qui invente, loin de Saint-Girons et des Pyrénées, certes, mais dans les Alpes, l’hydro-électricité, en récupérant le principe du fonctionnement des moulins, la roue qui devient la turbine des centrales électriques.

    C’est, d’autre part, l’apparition des premières papeteries (papeteries des familles Martin, Rapeaud, etc), qui vont prospérer en profitant des eaux limpides qui descendent de la montagne, parfois aussi des bois de la montagne.

    Insolite :
    Saint-Girons a atteint une température exceptionnelle de 31,2° le 29 février 1960 dus à un important effet de foehn ; un record absolu en France métropolitaine en hiver

    Patrimoine

    • Église Saint-Girons, construite en 1857 par M. Tisné (clocher du XIVe siècle)
    • Église Saint-Valier, portail du XIIe siècle. Derrière le maître-autel se trouve un sarcophage de la même époque
    • Palais de Justice (ancien château vicomtal), XIIIe siècle
    • Monument aux morts de la Première Guerre mondiale, 1924, construit par l’architecte Patrice Bonnet.
    • Monument en l’honneur d’Aristide Bergès, œuvre de Carlo Sarrabezolles.
    • Monument à la mémoire d’Oscar Auriac (1879-1949) et Jean Auriac (1906-1941), inauguré le 25 juin 1950 par Paul Caujolle.

     

    Blason Saint Girons AriègeBlason D’azur, à une cloche d’or. Malte-Brun

    En savoir plus : www.ville-st-girons.fr / fr.wikipedia.org

  • Transhumance en Haut-Salat : derrière le folklore, le pastoralisme s’interroge….

    Transhumance en Haut-Salat : derrière le folklore, le pastoralisme s’interroge….

    Samedi dernier, Azinat.com était de sortie dans le Haut-Salat, à Seix plus exactement, ce charmant village flanqué au pied d’un vallon à la croisée des routes vers Soueix, Oust, Salau et du col de la Core.

    Ce week-end, Jean-Claude Rieu était aux commandes pour fêter les transhumances du Haut-Salat, qu’il a remis au goût du jour en 2004.

    C’est l’occasion de donner la parole aux bergers, aux quelques bergers qui restent car il faut se l’avouer,  c’est une espèce en voie de disparition, une espèce à protéger.

    Un peu abandonnées, ces traditions festives autour de la montée aux estives étaient passées de mode avec l’arrivée du modernisme, de la mécanisation etc. Pendant un temps, les bêtes étaient montées en camion jusqu’en bas de la montagne et quelques bergers et habitués poursuivaient avec elles jusqu’aux zones d’estives qui leur étaient attribuées.

    Aujourd’hui, c’est devenu un rassemblement festif qui fait venir les nostalgiques des traditions, les quelques touristes qui restent passionnés par la montagne, les élus, les Couserannais et amis des éleveurs ; bref, les amoureux de la montagne et de ses traditions.
    Certains osent les accompagner quelques heures durant pour perpétuer cette tradition qui célèbre la montagne vivante.

    Toujours est-il que vers 9h30, ce samedi,  la place centrale de Seix et le pont qui surplombe le Salat était noir de monde ! Et les troupes folkloriques enchainaient les démonstrations de danses et d’habileté, certains venant même des Landes ou du Pays Basque !

    Une bonne ambiance animée par les bandas, les troupeaux de Mérens, de Gasconnes, de brebis et de chèvres qui avaient parcouru les kilomètres qui séparent Seix de Lacourt et autres villages : 5 heures de marche pour venir participer à ce défilé de fête qui marque le début de la saison touristique.

    Aujourd’hui, on a conscience qu’il faut conserver cette montagne vivante (Christine tequi)

    Ce grand et beau défilé ne pouvait pas occulter les interrogations des bergers, éleveurs ou élus que nous avons interrogés.
    Tous témoignent sur les difficultés du métier, du dur métier que celui de bergers en estive et de la rudesse de la montagne.
    Tous témoignent des angoisses sur « les prédations diverses et variées » comme le précise Christine Tequi, la Maire de Seix et Conseillère départementale, qui ne facilitent en rien l’exercice de cette profession qui va bientôt être certainement touchées par l’apparition du loup qui s’approche des estives du Couserans.

    Bien sûr l’ours est cité et Patrick Coumes, natif de Seix et éleveur à Ercé, n’est pas le dernier à accuser le plantigrade importé de Slovénie qui décime les troupeaux !

    Si Claude Sutra, éleveur à Lacourt, nous livre son amour des bêtes et du son des cloches qui anime ces transhumances et sa passion depuis cinquante ans, son regard interroge le futur car il n’est pas sûr de sa succession…

  • Sur les routes de l’Ariège : Caumont

    Sur les routes de l’Ariège : Caumont

    Sur les routes de l’Ariège : Caumont Ariège Pyrénées

    Commune du Couserans, elle est située dans l’aire urbaine de Saint-Girons, et fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.

    D’après la tradition orale, le bourg de Caumont aurait été primitivement bâti sur les pentes méridionales du monticule voisin, appelé le Plech, où se situent les ruines du château.

    Appartenant au Comminges, Caumont, ancien village fortifié autour de son château du 12éme/13éme siècles, fera partie de la châtellenie de Saliès du Salat et relevait du diocèse de Saint Lizier.

    Duclos fait remarquer que le fort d’Austrie (St Lizier) était relié à celui de Caumont.

    Un cippe romain (colonne sans base ni chapiteau mesurant 51 cm de haut sur 24 de large) y a été découvert avec des inscriptions : « Deae Andei Laetinus Laeti… »  (« A la déesse Andle, Laetinus fils de Laetus, acquitte son vœu avec empressement et reconnaissance ») ; une autre découverte : en défonçant un champ, un tombeau a été mis à jour dont l’inscription était : « Sergius Paulus uxori castissimae » ; enfin, des médailles du Haut Empire dont l’une à l’effigie d’Antonin

    A voir à Caumont

    • le Château
    • L’Église Saint Barthélémy
    • Les Vestiges de l’église Saint-Martin

    En savoir + : www.histariege.com

     

  • La Caravane du Desman, des animations gratuites pour découvrir le Desman des Pyrénées – 3 au 7 juin

    La Caravane du Desman, des animations gratuites pour découvrir le Desman des Pyrénées – 3 au 7 juin

    la caravane du desman Ariège Pyrénées

    Du mercredi 3 au dimanche 7 juin 2015, la Caravane du Desman s’installe sur la Communauté de communes du Canton d’Oust pour lever un peu le voile sur celui qu’on surnomme le Rat Trompette.

    Pour mieux connaître ce mystérieux petit mammifère emblématique des Pyrénées participez aux expositions, aux sorties terrain sur l’eau, au bord de l’eau, la nuit, et même sous terre, aux inventaires participatifs, aux soirées contes, aux projections cinématographiques, aux apéros conviviaux, à la soirée trappeur et traqueur, il y en a pour tous les goûts !

    La Caravane du Desman c’est une vraie roulotte, tirée par un cheval Castillonnais, qui vient à votre rencontre et autour de laquelle vous pourrez échanger avec un animateur : jeux, documentation, vidéos sur la nature des bords de ruisseaux.

    Cette caravane sera également le lieu de collecte de tous vos témoignages, observations et de vos créations sur le Desman des Pyrénées !

     Retrouvez la caravane du Desman sur le parcours suivant :

    – Samedi 30 mai : Marché de Saint-Girons 9h à 13h

    – Mercredi 3 juin : Seix 9h-19h (place de l’Allée)

    – Jeudi 4 juin : départ 9h de Seix (place de l’Allée) arrivée 11h à Soueix (place de la halle)

    – Vendredi 5 juin : départ 9h de Soueix (place de la halle) arrivée 15h à Ustou (Le Trein d’Ustou)

    – Samedi 6 juin : départ 9h d’Ustou arrivée 15h à Soueix  

    – Dimanche 7 juin : départ 9h de Soueix arrivée 10h au marché de Seix

    Gratuites, ces animations sont ouvertes à tous et sont organisées par le Life + Desman, le réseau Education Pyrénées Vivantes, le CEN Midi-Pyrénées, le PNR des Pyrénées Ariégeoises et l’ANA-CPIE de l’Ariège.

    Renseignements et inscription
    Office de Tourisme du Haut-Couserans
    05 61 96 00 01
    Suivez le programme LIFE+ Desman sur Facebook : www.facebook.com/desmanlife

  • Première naissance de bouquetin dans les Pyrénées Ariégeoises

    Première naissance de bouquetin dans les Pyrénées Ariégeoises

    Le tout premier cabri de bouquetin est né dans le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises. Il a été observé le 12 mai au matin par les techniciens en charge du suivi des animaux.

    Ce cabri est le premier bouquetin né dans les Pyrénées Ariégeoises depuis 100 ans au moins !

    C’est une femelle de 9 ans, issue des populations transplantées du centre de l’Espagne depuis l’été dernier, qui a inauguré les naissances.

    L’observation de plusieurs femelles gestantes permet d’envisager l’arrivée d‘autres cabris dans les semaines à venir. Un suivi intensif de ces femelles est mis en place afin de s’assurer du succès des mises bas.

    Depuis le premier lâcher l’été dernier, l’Ariège a accueilli 32 spécimens, dont trois sont morts depuis. D’autres ont été relâchés dans les Hautes-Pyrénées par le Parc national des Pyrénées. Tous semblent bien s’acclimater, ce qui laisse présager des reproductions à venir.

    Cette naissance augure bien des suites du programme de réintroduction du bouquetin dans les Pyrénées.

    Contacts Bouquetin ibérique :
    Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises
    Yannick Barascud & Jordi Estèbe
    05.61.02.71.69 / 07.89.29.12.59 – suivibouquetin@parc-pyrenees-ariegeoises.fr

  • Georgette à la foire de Paris

    Georgette à la foire de Paris

    Georgette à la foire de Paris Ariège PyrénéesDepuis maintenant plus de dix ans, la progression de sa notoriété se confirme d’année en année. Née en Ariège elle a aujourd’hui conquit le monde et notamment les Etats Unis et le Japon, même si L’Ariège est le département français qui compte le plus d’utilisateurs de GEORGETTE

    La signature ariégeoise de cette innovation est maintenant acquise au même titre que d’autres créations ou produits qui participent à l’identité de notre territoire et valorise le savoir-faire de ses entreprises.

    Catherine et Jean-Louis Orengo, les créateurs de GEORGETTE exposent jusqu’au 10 mai à la foire internationale de Paris dans l’espoir de conquérir une partie du marché parisien et international. La première semaine est déjà un succès : GEORGETTE trouve son public : particuliers, journalistes et professionnels de la gastronomie sont au rendez-vous.

    Rappelons qu’en ce moment à lieu le concours gastronomique de la Georgette d’or dans l’ensemble du département georgettedor.com / 

    Paris Expo
    Porte de Versailles
    Pavillon 5.2 Allée G N° 052

  • Festival d’Art Sacré du Couserans et de l’Ariège – 9 au 24 mai Saint-Lizier

    Festival d’Art Sacré du Couserans et de l’Ariège – 9 au 24 mai Saint-Lizier

    Festival d'Art Sacré du Couserans et de l'Ariège Pyrénées

    Fondé en mai 1994, le festival se déroule chaque année en Couserans, notamment dans la prestigieuse cathédrale de Saint-Lizier et dans les églises paroissiales, durant les fêtes de l’Ascension.

    Chaleureusement orchestré, il promeut le sacré sous toutes ses formes artistiques.

    Pour ce 22ème Festival d’Art Sacré nous voulons que continue ce grand moment d’amitié, d’émotion, de communion, entre les artistes et le public, le grand rêve musical dans lequel chacun est transporté grâce au talent des artistes

    Tout en pratiquant des tarifs modiques, le festival propose une programmation de qualité, qui fait appel à divers moyens d’expression : concerts, récitals, interprétations dramatiques, expositions, conférences au cours desquelles le public et les artistes partagent émotion artistique, communion spirituelle et fraternelle.

    Adresses & Contact:
    09190  ST LIZIER
    Tél: +33 (0)5 61 96 77 77
    Tél: 05 61 66 02 59
    Email: otcouserans@wanadoo.fr
    Site web: http://www.ville-st-girons.fr

  • Redécouvrons les patrimoines de nos villages – 26 avril

    Redécouvrons les patrimoines de nos villages – 26 avril

    siguer
    Dans le cadre des animations proposées par le PNR des Pyrénées Ariégeoises, venez redécouvrir le patrimoine de Siguer, en compagnie des agents de la Maison des Patrimoines d’Auzat-Vicdessos et du Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises.

    A cette occasion, vous pourrez également prendre conseil pour construire, rénover, planter.

    Rendez-vous le Dimanche 26 Avril 2015, à 14h (devant la mairie).
    Visite payante : 8.5€ plein tarif / 5€ tarif réduit / gratuit pour les moins de 12 ans.

    Crédit photo : Sandrine ROUSSEAU

    CONTACT :Audrey DURAUD – PNR Pyrénées Ariégeoises 05.61.02.71.69

    Nota : Pour redécouvrir le bâti traditionnel de Castillon-en-Couserans et prendre conseil pour construire, rénover, planter, en compagnie des agents du Parc. Rendez-vous se tiendra le Dimanche 19 Avril 2015, à 10h (place de la fontaine, face à la Poste). l’animation est gratuite.

  • L’équipe de cuisiniers du PNR, lauréate du concours de cuisine inter-Parcs de Montpellier

    L’équipe de cuisiniers du PNR, lauréate du concours de cuisine inter-Parcs de Montpellier

    L’équipe de cuisiniers du PNR, lauréate du concours de cuisine inter-Parcs de Montpellier

    Vendredi 27 mars, deux équipes de trois cuisiniers se sont affairées derrière les fourneaux ; l’une portant les couleurs du Parc naturel régional du Haut-Languedoc, l’autre celles du Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises. Leur mission : élaborer un menu représentatif du patrimoine culinaire de leur territoire. Les concurrents disposaient de 2h30 pour concocter une entrée, un plat et un dessert à base de produits locaux et marqués Parc.

    DSC00049Un concours haut en couleurs et en saveurs

     

    Représenté par trois cuisiniers de choix, le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises a hissé le drapeau de la gastronomie ariégeoise au plus haut. Animés par une passion commune et un vrai esprit d’équipe, Alexandrine DOUGNAC (La Gourmandine, Seix), Maryse CORMENIER (Horizon 117, Lorp Sentaraille), et Laurent BUBOLA (L’Auberge d’Antan, Saint-Girons) ont proposé un menu fin, coloré et gourmand qui a su conquérir les papilles des membres du jury :

    DSC00108Tartare de truite de Tarascon, panna cota de chèvre de Mondély et sa gelée de cidre au safran

    Côte de porc gascon des Pyrénées et ses petits légumes d’autrefois, aumônière de pieds de porc parfumée aux pommes

    Mille-feuilles ariégeois et son duo de mousses châtaignes-noisettes, sorbet mûre rafraîchi à la verveine

    Afin de permettre aux ariégeois de découvrir ce menu, le Parc travaille maintenant sur les moyens de valoriser les différentes recettes, notamment par une déclinaison de ces plats à la carte des trois restaurants participants, mais aussi, à l’occasion de manifestations événementielles à venir.

    DSC00113Un stand d’exposition pour promouvoir les multiples richesses des Pyrénées Ariégeoises

     

     

     

    Tout au long du week-end, le Parc était dûment représenté sur ce salon culinaire, à travers la présence de trois bénéficiaires de la « Marque Parc », qui ont su mettre en avant les richesses gustatives et les savoir-faire des Pyrénées Ariégeoises.

    Pendant trois jours consécutifs, les visiteurs ont ainsi pu se régaler des charcuteries de Jean et Sophie NOCQUE (Grenier à Jambon, Rimont), des sorbets, confitures, délices et coulis de fruits de Mathieu et Simona LASSERRE (Sorbets d’Ariège, Le Port), ou encore découvrir les spatules en bois de Jean-Louis et Cathy ORENGO (L’œil aux aguets, Saint-Lizier). Certains des visiteurs du festival ont également fait la connaissance du fameux couvert hybride « Georgette ».

    Ensemble, les trois producteurs ont animé un stand d’exposition par leurs dégustations alléchantes et leurs démonstrations. Des dégustations qui ont notamment séduit quelques grands chefs présents sur cet événement.

    Les visiteurs se sont également pressés pour participer au grand-jeu concours du Parc. L’heureux gagnant pourra profiter d’un séjour pour deux personnes dans un hébergement marqué Parc.

    Un grand bravo aux cuisiniers et aux producteurs du Parc qui ont fait briller les couleurs des Pyrénées Ariégeoises lors de ce festival !

    Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises
    a.monrozier@parc-pyrenees-ariegeoises.fr
    www.produits-parc-pyrenees-ariegeoises.fr
    05 61 02 71 69