Catégorie : Les ariégeois ont de l’humour

  • Retrouvez le canular de l’année en vidéo ! (1er Avril 2010)

    champignon_unePour le 1er avril, Azinat.com a annoncé être  dans la capacité de proposer un véritable service fiable et quasi professionnel pour retrouver plus de 120 sites propices à la cueillette des champignons en Ariège. Le service annoncé comme  disponible en exclusivité sur azinat.com et a été réalisé en partenariat avec Google pour le géo-référencement de plus de 120 « bons coins » gardés secrets jusqu’à aujourd’hui.
    Azinat déclarait « avoir conscience que nous brisons un tabou et que dévoiler ainsi les meilleurs coins à champignons pourra provoquer quelques débats, mais nous restons dans notre logique de partage et de générosité. Nous souhaitons montrer que les ariègeois, contrairement à l’image répandue, sont généreux, accueillants et également ingénieux et modernes »

    Retrouvez, cette bonne blague, carte et vidéo de ce 1 er avril ici .

    Azinat tient à remercier Fred et son équipe qui ont su réaliser en un temps record ce reportage « bluffant » et aux médias qui ont bien voulu jouer le jeu et diffusé largement le communiqué de presse qui a donné des sueurs froides aux ariégeois amateurs de champignons (plus de 20 000 internautes en moins de 24h00, ont visités les différents sites et média partenaires)

  • Le Cheval de Merens vaillant mais pas trop ! (Blague)

    merens-neige
    Dans un petit village paumé de l’Ariège pas loin des Cabannes, en plein hiver, un gars dérape sur une plaque de verglas avec sa voiture et tombe dans le fossé. Heureusement pour lui, le père Mathieu passe par là avec son Merens Basile et la carriole. Gentiment, le père Mathieu propose à l’automobiliste de le sortir de ce traquenard. Il attache la voiture au moyen d’une corde à la carriole et commence à crier:

    – Hue Bébert, Hue !

    Mais Basile le Merens ne bouge pas. Alors le père Mathieu crie :

    – Hue Mado, Hue !

    Mais Basile ne bouge toujours pas. Le père Mathieu relance :

    – Hue Nestor, Hue!

    Aucune réaction de Basile. Enfin Mathieu dit :

    – Hue Basile, Hue !

    Et enfin, tout tranquillement, Basile le Merens tire la voiture hors du fossé.

    L’automobiliste content s’enquiert auprès du père Mathieu :

    -Dites-moi un peu, comment cela se fait-il que vous ayez appelé votre cheval trois fois de suite avec un mauvais nom ?

    – Ah, ça, c’est parce que Basile est non seulement aveugle, mais il est aussi fainéant comme pas possible : Si il se pensait être le seul à tirer, il aurait même pas essayé !

  • Un Ariégeois, ça n’a jamais froid ! (Blague)

    ourse568x300Un petit ours des Pyrénées inquiet demande à sa mère :

    – « Maman, suis-je un vrai ours des Pyrénées? »

    La maman de répondre : « Mais bien sûr petit, tu es un vrai ours des pyrénées. Je suis une vraie ourse des pyrénées et ton papa est un vrai ours des pyrénées donc, toi qui est notre petit, tu es un vrai ours des Pyrénées! »

    Le petit ours, pas satisfait, va voir son père et lui pose la même question. Son papa lui répond:

    – « Mais oui, tu es un vrai ours des Pyrénées…Je suis un vrai ours  des Pyrénées, ta maman est une vraie ourse des Pyrénées et toi qui est notre enfant, tu es donc un vrai ours des Pyrénées… »

    Le petit ours des Pyrénées, encore inquiet, va voir sa grand-mère et lui pose la même question. La grand-maman ourse des Pyrénées lui répond :

    – « Mais oui, petit nigaud, tu es un vrai ours des Pyrénées car je suis une vraie ourse des Pyrénées et ton grand-père aussi, nos enfants sont de vrais ours des Pyrénées et les enfants de nos enfants sont de vrais ours des Pyrénées aussi …mais pourquoi me poses-tu cette question? »

    Le petit ours des Pyrénées lui répond: « Parce que j’ai froid ! »

    Nota : celle-là, il n’y a que les « Vrais » Ariégeois qui vont se marrer !!

     

  • En Ariège, quand on coupe du bois, c’est que l’hiver approche (Blague)

    fete-noisette-2009Un Toulousain décide pour changer de  vie, loin des embouteillages et de la ville, d’aller se perdre au fin fond de l’Ariège. Connaissant de réputation la rigueur des hivers ariégeois, il décide de prendre ses précautions et coupe deux stères de bois. Histoire de se rassurer, il demande à un vieil autochtone si l’hiver sera rude, et s’il a coupé suffisamment de bois. L’ariégeois lui répond :

    -Ben oui macarel, l’hiver sera bien froid cette année.

    -Et mon bois, demande le toulousain, il y en a assez ?

    – Peut être, dit l’ariégeois, mais peut être que non. L’hiver risque d’être vraiment froid cette année.

    Inquiet, le toulousain décide de couper 2 stères de plus. S’enquérant à nouveau auprès de notre ami ariégeois, ce dernier lui dit que l’hiver sera vraiment très froid, et que sans doute il n’aura pas assez de bois. Fatigué et courbaturé, notre toulousain ne veut néanmoins prendre aucun risque et il coupe donc encore 2 stères de bois. Il demande alors à l’ariégeois si, cette fois, il a en aura assez pour passer l’hiver. Devant l’air perplexe du vieil homme, le toulousain fini par lui demander :

    – Mais au fait, comment savez-vous si l’hiver sera très rude ?

    – C’est simple, répond l’ariégeois d’un air savant, je regarde les tas de bois que les toulousains préparent !

  • En Ariège, quand ça glisse on met les chaînes (Blague)

    raquettes-neigeUn vieux curé ariégeois craque et décide d’aller voir une prostituée.

    Celle-ci se déshabille en même temps que lui, et une fois nue, sort un tube et lui enduit le sexe de vaseline.

    – Mais pourquoi faire ?

    – C’est pour que ça glisse mieux…

    Là dessus elle s’allonge sur le lit et voit son curé se précipiter sur sa soutane, la fouiller précipitamment, en sortir un chapelet et se l’enrouler autour du sexe.

    – qu’est-ce que tu fais chéri ?

    – Ben ma fois, en Ariège, quand ça glisse, on met des chaines…

  • Les Ariégeois, l’argent et les bêtes de montagne (Blague)

    ours-azinat568x300Un ariégeois et un parisien attendent depuis quelques heures le RER A qui tarde à venir (encore en grêve..). Le parisien, pour passer le temps, propose un jeu à notre ami l’ariégeois. Celui-ci étant fatigué, répond qu’il n’est pas intéressé et se retourne pour finir sa sieste . Le parisien ne se démonte pas pour autant et lui propose comme suit :

    – « Hé l’ami, Je te pose une question et si tu ne sais pas répondre, tu me donnes 5 euros, ensuite tu me poses une question et si je ne sais pas répondre, je te donne 500 euros. »

    Finalement, l’ariégeois (toujours intéressé par un peu de fraîche) finit par céder et décide donc d’encaisser la première question.

    Le parisien : « Quelle est la distance entre la terre et la lune ? »

    L’ariégeois, sans hésiter (car en Ariège on tient parole), prend son portefeuille, en retire 5 euros, qu’il donne au parisien.

    Le parisien, ravi, empoche les 5 euros et attend sa question…

    L’ariégeois : « Qu’est ce qui a 3 pattes en montant la montagne et 4 en la descendant ? »  Sur ce il se retourne et se met à ronfler.

    Le parisien qui n’a jamais mis les pieds dans nos chères Pyrénées, se doute qu’il s’agit encore d’une bête mythique de ce « trou paumé » qu’est l’Ariège, réfléchit, consulte son encyclopédie portable (sur son Blackberry il va de soit), téléphone à un ami, demande discrètement autour de lui. Aucune réponse… rien… le néant. Après plusieurs heures d’intenses réflexions, il réveille notre ami ariégeois et lui file les 500 euros d’un air dépité. L’Ariégeois, encore à moitié endormi, empoche les 500 euros et se retourne de nouveau pour essayer de dormir.

    Le parisien, un peu frustré quand même : « Et alors, la réponse, c’est quoi ? »

    L’ariégeois sort de sa torpeur et lui tend un billet de 5 euros…

  • Randonnée en montagne (Blague)

    moutonsUn touriste en train de faire une randonnée aux alentours du Mont-Vallier croise un troupeau de moutons avec son berger. Ils discutent de tout et de rien et sur la proposition du touriste en viennent à faire un pari: Le touriste parie qu’il peux donner en moins de 10 secondes le nombres exact de moutons que contient le troupeau. Le berger ariégeois tient le pari en promettant au touriste de lui laisser un mouton s’il gagne le pari. Le touriste lance;
    – Il y en a 807 !
    – Incroyable répond le berger, c’est tout à fait ça. je m’incline, vous pouvez choisir votre mouton !

    Le touriste met son mouton sur les épaules et s’apprête à partir lorsque le berger le hèle:
    – Attendez! Je vous propose un « Quitte ou double » : si je devine d’où vous êtes, vous me rendez mon mouton, sinon, vous partirez avec deux moutons…

    – Hé hé pari tenu, répond le touriste
    – Vous êtes parisien ! lui sort le berger
    – Ça alors, comment avez-vous fait? Je n’ai jamais eu l’accent et ça n’est pas marqué sur ma figure… Et le berger ariégeois lui répond:
    – Exact, mais vous avez embarqué mon chien au lieu d’un mouton…

  • Bernard Lassablière : « Le bonheur de partager L’Ariège: une douce addiction ! »

    lassabliereBernard Lassablière est Cocréateur de « La maison des loups »à Orlu, Président de Radio Transparence et animateur de l’émission « Bulles à découvrir »
    Correspondant de la Dépêche pour la culture, Responsable diffusion à la Scène Nationale de l’Ariège. Il est également, Auteur de « Brèves d’Ariège » aux éditions Edicité, Auteur de « Ils sont fous ces humains  » aux éditions L’Harmattan, Auteur conférencier de « On a marché sur la gueule à Tintin » aux éditions « Vas-y étonne-moi! » Auteur scénariste de « Tout sur Sarko » aux éditions Soleil. Aujourd’hui, il prépare deux ouvrages : « Brèves de BD »et « Brèves de Proust » (Edicité) et « Les chroniques tarotiques » aux éditions « Rivière blanche »

    « Le bonheur de partager L’Ariège: une douce addiction! » Bernard Lassablière septembre 2009, pour Azinat.com

  • Guide de survie pour les touristes en Ariège (Blague)

    1 – N’oubliez jamais que vous n’êtes pas chez vous.
    2 – Cessez de mettre des Moon Boots avec vos jeans
    3 – Laissez toujours un pourboire, quelques centimes suffisent parfois pour vous maintenir en vie.
    4 – Comparer les remontées mécaniques au métro peut vous coûter cher.
    5 – Ne dites surtout pas « A Paris, c’est moins cher ».
    6 – Ne branchez jamais en boite, contentez-vous de danser.
    7 – Même immatriculée 09, une voiture de location reste une voiture de location.
    8 – Arrêtez de dire « oh, comme c’est beau », on le sait.
    9 – Ne vous ridiculisez pas en parlant de ski.
    10- Ne roulez pas à 40 km/h sur les routes de montagne, nos routes ne sont pas dangereuses, c’est vous qui ne savez pas conduire.
    11- Ici le Klaxon n’est là que pour dire bonjour. Vous ne connaissez personne, ne klaxonnez pas.
    12 – Vous n’avez rien à faire au comptoir, il nous est réservé.
    13- Sachez qu’un Ariégeois n’est jamais seul.
    14- Ne branchez pas les habitantes des stations, même nous, nous n’y arrivons pas.
    15 – Ne nous lancez jamais de défis stupides sur notre capacité à tenir l’alcool. Vous avez perdu.
    16 – Ici, on vous appelle les Gaulois, et vous n’êtes pas nos ancêtres.
    17- Enfin, n’oubliez pas que vous n’êtes pas partout chez vous, surtout chez nous.

    A part ça, vous êtes les bienvenus !

  • Chronique d’un hiver ordinaire en Ariège (Blague)

     

    Sommet vallée de Tarascon

    12 août : On a emménagé aujourd’hui dans notre nouvelle maison, dans l’Ariège ensoleillée. Cet endroit est vraiment magnifique. Les montagnes sont si majestueuses. Je suis impatient de les voir couvertes de neige. J’adore cet endroit.

    14 octobre : l’Ariège est l’endroit le plus beau de la planète. Les feuillages passent par toutes les nuances du rouge et de l’orange. Je suis allé en promenade dans ces belles montagnes et j’ai aperçu des cerfs. Ils sont tellement gracieux. Ce sont sans doute les animaux les plus merveilleux sur terre. J’ai l’impression d’être au paradis. J’adore cet endroit.

    11 novembre : Bientôt l’ouverture de la chasse aux cerfs. J’ai du mal à imaginer qu’on puisse tuer des créatures aussi adorables. J’espère qu’il va bientôt neiger. J’adore cet endroit.

    2 décembre : Il a neigé cette nuit. Au réveil, j’ai vu que tout était recouvert de blanc. On dirait une carte postale. Nous sommes sortis pour déblayer la neige sur les marches et nous avons dégagé le chemin d’accès à la pelle. Nous avons fait une bataille de boules de neige (j’ai gagné) mais quand le chasse-neige est passé, nous avons dû reprendre les pelles pour dégager la neige qui a poussé dans notre chemin. Quel endroit merveilleux ! J’adore l’Ariège.

    12 décembre : Encore de la neige cette nuit. J’adore ! Le chasse-neige nous a refait une farce en encombrant le chemin. J’adore cet endroit.

    19 décembre : Encore de la neige cette nuit. Je n’ai pas pu aller travailler. Le chemin est obstrué par la neige. Je suis exténué à force de pelleter. Enfoiré de chasse-neige.

    22 décembre : Cette merde blanche est encore tombée toute la nuit. J’ai des ampoules plein les mains à cause de la pelle. Je suis sûr que le chasse-neige est planqué dans le virage et attend que j’aie dégagé le chemin. Le connard !

    25 décembre : Joyeux Noël de merde ! Encore cette saloperie de neige. Si seulement je pouvais mettre la main sur le fils de pute qui conduit le chasse-neige. Ma parole, je lui fais la peau à ce con ! Je me demande pourquoi ils n’ont pas rajouté du sel sur la route pour faire fondre cette putain de glace !

    27 décembre : Encore cette merde blanche la nuit dernière. Je suis resté enfermé trois jours, sauf pour dégager le chemin à chaque passage du chasse-neige. Je ne peux plus aller nulle part. La voiture est enfouie sous un tas de neige. Le gars de la météo dit qu’on doit s’attendre à 25 cm de merde cette nuit. Vous avez une idée de combien de pelletées ça représente 25 cm ?

    28 décembre : Le météorologue de mes deux s’est foutu dedans. Cette fois c’est plus de 80 cm qu’il est tombé. A ce train là, ça ne fondra pas avant l’été ! Le chasse-neige est resté coincé sur la route, et l’autre burne est venu à la porte pour m’emprunter une pelle. Après lui avoir raconté que j’avais déjà bousillé six pelles en dégageant la neige qu’il balançait dans mon allée, je lui ai cassé la dernière qui me restait sur sa sale gueule !

    vignette_glace4 janvier : J’ai quand même pu sortir aujourd’hui. Je suis allé au magasin acheter à manger et sur le chemin du retour, un connard de cerf est venu emplafonner l’avant de la voiture. Il a fait 3000 balles de dégâts. On devrait massacrer ces putains de bestioles. Je croyais que les chasseurs les avaient toutes tuées en novembre.

    3 mai : J’ai conduit la voiture au contrôle en ville. Vous me croirez si vous le voulez, la caisse est complètement bouffée par cette saloperie de sel qu’ils ont répandu partout sur la route cet hiver.

    10 mai : Les déménageurs sont là. On retourne à Paris. Je n’arrive pas à imaginer que quelqu’un sain d’esprit puisse avoir envie de vivre dans ce pays paumé !!!!!

    Et cet hiver, il est encore là cette année !

  • Les ariégeois, un peuple d’arriérés ou connectés ? (Blague)

    A l’époque de la guerre froide, dans le cadre de fouilles dans le sous-sol russe jusqu’à 100m  de profondeur, les  scientifiques russes ont trouvé des vestiges de fil de cuivre qui datait d’environ 1000 ans. Par provocation, un comité scientifique en a conclu publiquement que leurs  ancêtres disposaient déjà il y a 1000 ans d’un réseau de paire de cuivre fournissant de l’internet ADSL à leur ancêtres.

    Les Américains, pour faire bonne mesure, quelques semaines après, ont également procédé à des  fouilles dans leur sous-sol jusqu’à une profondeur de 200m. Ils  y ont  trouvé des restes de fibre de verre. Il s’est avéré qu’elles avaient environ 2000 ans. Un comité scientifique composé d’experts de renommés internationale,  en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a  2000 ans d’un réseau de fibre optique à haut débit internet que devaient certainement utiliser les premiers américains. Et cela, 1000  ans avant les Russes !

    Une semaine plus tard, à Tarascon, en Ariège, on a publié  le communiqué suivant :  « Suite à des fouilles dans les différentes grottes préhistoriques du département, qui étaient, et cela a été scientifiquement prouvé,  peuplées des premiers Ariégeois , jusqu’à des profondeurs importantes et dans tous les boyaux possibles et imaginables, les différentes scientifiques et experts des plus renommés du département n’ont  rien trouvé du tout »… Ils en conclurent que les Anciens Ariègeois disposaient déjà il y a 5000 ans d’un réseau Internet Wifi et Wimax à longue portée, première pierre du réseau haut-débit du département. 🙂 Ils sont forts ces ariegeois !!

    PS : aujourd’hui, l’ariège a un réseau très haut débit internet. pour plus d’infos : http://www.ariege-telecom.fr