Catégorie : Non classé

  • Laurence Cabrol, de l’histoire médiévale aux « News »

    Laurence Cabrol
    Laurence Cabrol

    Laurence Cabrol ? Tout le monde la connaît en Ariège : elle anime depuis quelques années le journal d’information d’Ariegenews mis en ligne tous les jeudi matin sur le web. Mais saviez-vous que Laurence était une ariégeoise de longue date ? Originaire de l’Aiguillon dans la vallée de l’Hers et née dans une famille installée dans le Pays d’Olmes depuis 1908. Son arrière-grand-père Aubain Cabrol apporta la technique de la laine cardée dans la vallée de l’Hers et cré une entreprise familiale qui fit vivre une bonne partie du village. Laurence fit ses études au collège Victor Hugo de Lavelanet, puis au Lycée Gabriel Fauré à Foix en filière littéraire. Dans les années 80 elle entame des études à l’Université de Toulouse ou elle empoche au bout de quelques années un Diplôme de DEA en Histoire médiévale et pour mémoire de fin d’étude sur les Mérovingiens. Véritablement « branchée » histoire de l’Art, elle travaille successivement dans un musée et aux archives municipales de Toulouse où elle touche aux métier de la communication (sans oublier entre temps d’être chargée de cours à l’Université). C’est ainsi qu’elle s’est rapprochée du monde des médias, en « montant » à la capitale,  avec le lancement de site féminin (sotrendy.com) dans les années 2000. En 2004 saturée de grandes villes, elle est revenue dans son Ariège natale pour se lancer dans l’aventure dans  les (Ariège) News.

  • Guide de survie pour les touristes en Ariège (Blague)

    1 – N’oubliez jamais que vous n’êtes pas chez vous.
    2 – Cessez de mettre des Moon Boots avec vos jeans
    3 – Laissez toujours un pourboire, quelques centimes suffisent parfois pour vous maintenir en vie.
    4 – Comparer les remontées mécaniques au métro peut vous coûter cher.
    5 – Ne dites surtout pas « A Paris, c’est moins cher ».
    6 – Ne branchez jamais en boite, contentez-vous de danser.
    7 – Même immatriculée 09, une voiture de location reste une voiture de location.
    8 – Arrêtez de dire « oh, comme c’est beau », on le sait.
    9 – Ne vous ridiculisez pas en parlant de ski.
    10- Ne roulez pas à 40 km/h sur les routes de montagne, nos routes ne sont pas dangereuses, c’est vous qui ne savez pas conduire.
    11- Ici le Klaxon n’est là que pour dire bonjour. Vous ne connaissez personne, ne klaxonnez pas.
    12 – Vous n’avez rien à faire au comptoir, il nous est réservé.
    13- Sachez qu’un Ariégeois n’est jamais seul.
    14- Ne branchez pas les habitantes des stations, même nous, nous n’y arrivons pas.
    15 – Ne nous lancez jamais de défis stupides sur notre capacité à tenir l’alcool. Vous avez perdu.
    16 – Ici, on vous appelle les Gaulois, et vous n’êtes pas nos ancêtres.
    17- Enfin, n’oubliez pas que vous n’êtes pas partout chez vous, surtout chez nous.

    A part ça, vous êtes les bienvenus !

  • Cheval de Merens « Prince Noir de l’Ariège »

    Le cheval de Mérens « Prince Noir » remonte à la nuit des temps : des grottes préhistoriques de Niaux en passant par Napoléon, où il s’est exprimé en tirant les canons pendant la campagne de Russie notamment, il a su passer à travers les âges. Ce petit cheval rustique originaire de l’Ariège a su conserver son allure et ses atouts jusqu’à nos jours. Le cheval de Mérens est un cheval rustique mais surtout polyvalent, il peut passer du trec, (Second au championnat d’Europe en 98) au bât en passant par la randonnée, l’attelage (champion de France en 93) la voltige, le travail de la ferme. Son potentiel d’utilisation est illimité avec une assurance et un calme apprécié de tous. Son pied sûr en montagne, sa patience en font un cheval qui sait conquérir tout un chacun, de l’enfant à l’adulte passionné de randonnées sauvages, au cavalier ayant eu un accident et souhaitant refaire de l’équitation.

    On retrouve les Mérens aujourd’hui aussi bien, en Angleterre dans les mains de Mr Tony BLAIR, qu’en Italie, Allemagne, Tunisie, Inde, Réunion…etc. Caractéristiques du cheval de Mérens : Taille moyenne : 1,45, Robe : noire, Les poulains naissent noirs, gris agentés ou café au lait, Crins : abondants, durs et souvent crépelés, Tête : expressive, Encolure : de longueur moyenne, bien orientée, Poitrail : bien ouvert, Epaule : moyennement longue assez inclinée, Garrot : assez sorti et prolongé vers l’arrière, Dos : large et bien soutenu, Rein : bien attaché, large et musclé, Croupe : ronde, Classé comme Cheval à part entière depuis le 1er Janvier 1998 .

    Il est souvent utilisé en thérapie avec le cheval

  • Who’s Who des personnalités ariégeoises de juin 2009

    La dernière édition du Who’s Who des personnalités ariégeoises du mois de Juin vient de sortir.La culture et le sport sont à l’honneur ce mois-ci ! Fabien Pelous revient en pôle position du classement (son départ à la retraite il y a quelques semaines a fait parlé de lui) reprend le dessus et vole la vedette à Fabien Barthez premier du classement précédent. Chloé Mortaud « Miss France » perd deux places encore ce mois-ci : le buzz sur internet depuis son élection semble s’estomper, même si elle reste toujours une excellente ambassadrice de l’Ariège sur le Web. 

    Le Top 10 n’évolue pas beaucoup en trois mois, même si les positions changent et l’on retrouve toujours Augustin Bonrepaux, Henri Nayrou, André Trigano, Jean Clottes, Jean-Pierre Bel, Frédérique Massat ; les valeurs sûres du classement depuis déjà quelques années. A noter la venue de René Massat dans ce top 10 ; il prend 27 places en trois mois.

    Dans le milieu de classement, les positions bougent considérablement pour certains. On notera la progression vertigineuse de Catherine Robin du Pays des Pyrénées Cathares qui oeuvre sur le Label « Pays d’Art et d’Histoire » qui arrive dans le top 50 en 25ème position, de Jean-Christophe Thomas de la dépêche du Midi qui progresse de 12 places et Françoise Pancaldi, conseillère municipale de Pamiers de 14 places.

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    Extraits du Who's Who Ariégeois by Azinat.com

     A noter qu’il faut aujourd’hui un score de 181 (contre 142 en Avril et 131 en Février 2009) pour intégrer le Who’s Who by Azinat.com ; les places sont chères en bas de classement et il est parfois difficile de subsister…

    Pour finir, nous félicitons encore une fois tous et toutes pour leur présence sur Internet et la promotion de l’Ariège sur le Net. 

    Découvrir l’intégrale du top 50 du Who’s Who by Azinat.com © mise à jour le 08/06/09

  • Patrick Lagarde : ariégeois jusqu’au bout des ongles

     

    Patrick Lagarde - Crédits Photos La depeche
    Patrick Lagarde – Crédits Photos La depeche

    Patrick Lagarde est natif de La Bastide de Sérou, où il a passé un grande partie de son enfance avant de quitter le nid familial pour aller faire ses études au collège à Foix, puis à l’Université sur Toulouse. Rugbyman à l’USF à Foix, il a appris la rudesse du terrain et l’amitié solide propre aux ariégeois. Patrick oeuvre au sein du CAPI pour la promotion de l’Ariège et pour que l’on ne confonde plus notre département avec l »Ardèche ». Fier d’être ariégeois, il rentre au pays 3 ou 4 fois par an et quitte ses occupations à la Brinks, où il est devenu récemment Pdg.

  • Les T-shirts Azinat les plus appréciés cet été !

    Voici les deux T-shirts les plus appréciés par nos visiteurs depuis le début de l’été (boutique) :

       

     

     

    T-shirt Sommets Ariégeois
    T-shirt Sommets Ariégeois
       

     

     

    T-shirt Montsegur
    T-shirt Montsegur
  • Azinat depuis mon iphone

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    ET oui je suis l’heureux détenteur d’un iPhone 3G depuis quelques jours, et avec la nouvelle application de wordpress pour iPhone, j’ai pu au cours d’une balade dans les Pyrénées ariégeoises vous envoyer cette photo. l’Ariège ne ‘oublions pas c’est aussi le pays des marcheurs avec de beaux sommets en prime…


  • Peigne en corne

    Crédits photos Azema Bigou

    Crédits photos Azema Bigou

    L’industrie du peigne en corne, connue en Pays d’Olmes au XVeme siècle, fut à l’origine une industrie du bois puisque la matière première était le buis. Quand le buis local s’épuisa au XVIIIeme siècle, on en importat mais on fit appel à la corne ; sous la Restauration, on fabriquait encore quatre fois plus de peigne en buis que de peignes en corne. Les centres en était le Mas d’Azil et la Bastide sur l’Hers ; le second seul survécut jusqu’à nos jours. On n’utilise plus depuis longtemps que la corne, importée d’Argentine ou d’Australie. Les cornes sont découpées et on selectionne la partie centrale, le biscage. Le biscayeur la chauffe, la découpe en spirale, l’ouvre et la passe en presse. On trace ensuite dessus la forme des peignes avec un poinçon, on les découpe à la scie circulaire puis on découpe la denture. La trace des meulages effectuées après chaque opération est effacée par leponçage : on trempe le peigne dans dans un bain de boue contenant de la pierre ponce puis on les passe sur une meule recouverte de gros drap et on les polit sur une meule recouverte de peaux. Ce fut longtemps un travail effectué à domicile pour le compte de fabricants avant que la mécanisation ne change la donne. Vers 1950 le Pays d’Olmes fournissait 80% de peigne en corne français. Il reste à ce jour un seul fabricant de peigne en corne traditionnel en Ariège : l’entreprise Azema Bigou

  • Croustade du Couserans

    La Croustade traditionnelle du Couserans vient du lointain d’une culture familiale et villageoise. Elle était le dessert attendu de la fête annuelle du village. Les femmes couseranaises connaissaient les secrets de fabrication, et aussi aujourd’hui, elles occupent une place particulière au sein des artisans producteurs de croustades.

    La croustade du Couserans a été mise à l’honneur et remis au goût du jour il y a quelques années (1983) par Martine Crespo