L’histoire se situe dans un lieu-dit imaginaire de la vallée de l’Arize, vallée que l’auteur a tenu à honorer pour les satisfactions qu’elle lui procure à chacun de ses passages…
La vallée de l’Arize, en Basse-Ariège occidentale, est donc le berceau de ce roman.
« de 1776 à 1962, La Molandière fut la propriété des barons de Vaizerolle. de nos jours, négligée, quasi abandonnée, elle est vendue par les héritiers à des commerçants toulousains qui ne tarderont pas à aller de surprises en découvertes… »
Après La Triade Infernale, Vérino Piedigrossi a eu à cœur d’écrire ce cinquième ouvrage avec la musique pour fil conducteur.
« La particularité de cet ouvrage réside dans la féconde imagination de l’auteur et l’étendue de ses connaissances musicales. C’est un roman palpitant et un merveilleux remède antimorosité. »
Parti des Abruzzes, région d’Italie du sud, Verino Piedigrossi a huit ans quand, avec ses parents et ses cinq frères et sœurs, il arrive à Vicdessos, en Ariège, le 13 décembre 1947.
Bien que né à Bordeaux, Philippe Laguerre alias Philippe Ward est profondément ariégeois. Ecrivain et éditeur par passion, son crédo, « Pour que mon village ne meure pas, il faudra que sa mémoire demeure. »
Son village, depuis au moins 1650…, c’est Gourbit, mais oui Gourbit près de Tarascon, juste à coté du Parc de la Préhistoire. Il y possède d’ailleurs encore une petite maison. « Je pense que mes ancêtres ont décoré les grottes de Bédeilhac et de Niaux…» dit il avec humour mais non sans fierté, car l’Ariège il l’a dans le coeur. «J’ai l’Ariège collée à moi depuis que j’ai sept jours ».
Ecrivain et éditeur par passion, il dévore les livres, il en possède plus de 10 000 et il les a quasiment tous lu. De Oui-Oui au Clan des 7 en passant par le Club des 5, le virus l’a pris dès son plus jeune âge et ne l’a plus lâché. Mais Philippe Ward est fan d’un genre particulier qu’il appelle « les mauvais genres » et qui se situent dans le domaine de l’imaginaire (Science-fiction, fantastique, polar, fantasy ….).
Il décide d’écrire il y a une trentaine d’années, le jour où, déçu par un roman, il se dit qu’il pourrait faire mieux et se lance dans l’écriture de son premier ouvrage, « Artahe » l’histoire d’un Dieu Ours dans les Pyrénées. Cela lui prendra 10 ans, « Je me suis rendu compte que ce n’était pas si facile d’écrire, et puis l’Ours en Ariège c’est un sujet sensible ».
Avec une quinzaine de nouvelles, un recueil Noir Duo (Rivière Blanche) et un roman (le chant de Montségur) sur le trésor des cathares écrit en collaboration avec Sylvie Miller, Philippe Ward est l’un des rares écrivains de l’imaginaire français.
Philippe Ward c’est aussi l’éditeur de Rivière Blanche qu’il a créée il y a huit ans. Une maison d’édition hors normes qui publie des anthologies, des romans inédits (français, espagnols, américains, russes, basques, australiens…), des ouvrages qui se situent uniquement dans le monde de l’Imaginaire.
Mais les ouvrages dont il est sans doute le plus fière sont ceux de ses parents, Jacky et Paulette Laguerre sur le village de Gourbit et où il est question des petites histoires du village entre 1700 et 1940.
Georges Patrick Gleize, bien que né « par hasard » dans le seizième arrondissement de Paris, est profondément ariégeois.
Le temps de pousser son premier cri et le voilà chez ses grands-parents à Foix où il passera toute son enfance, avant d’entamer des études supérieures à Toulouse qui le conduiront au professorat d’Histoire.
Sa carrière de professeur l’entraînera dans toute la France, jusqu’à Dunkerque pour finalement revenir au Pays avec son épouse en 1991. Il enseigne aujourd’hui l’ Histoire au Lycée du Castella à Pamiers. Bon nombre d’entre vous ont d’ailleurs été son élève.
A l’occasion de l’interview qu’il nous avait consacré pour la sortie de son dernier roman « La Fille de la Fabrique » il a évoqué sa carrière d’écrivain ainsi que son profond attachement à sa terre « presque » natale.
Dans cette seconde interview il nous confie : « l’Ariège c’est une terre humaine… Elle est nous même et nous sommes d’Elle même »Georges Patrick Gleize, pour Azinat.com.
Dans notre prochaine interview, Georges Gleize nous parlera de sa passion pour l’écriture.
« En ce petit matin de septembre 1964, au pied des Pyrénées, au confins du Comminges et du Volvestre, le ciel était d’un bleu transparent, presque diaphane. »
Dans ce onzième récit c’est une femme de quarante ans, sur les traces de son enfance et à la recherche de sa propre identité que l’on va découvrir et aimer au fil des pages toujours imprégnées de son amour du Sud et de ses traditions.
Une histoire en partie réelle qui rentre dans le cadre de cette thématique que l’écrivain explique comme «ce passé qui ne passe pas, ces souvenirs qui vous accrochent et vous poursuivent, et qui vous conditionnent pour faire de vous ce que vous êtes » une thématique déjà abordée dans d’autres romans « Rue des Hortensias rouges » et « Une nuit en juin .
Mais Georges-Patrick Gleize nous a habitué à un roman par an, alors qu’en est-il du prochain ? et bien il est déjà commencé et il nous en livre les prémices dans son interview.
Séances de dédicaces
15 Mars 2013: Librairie Les temps modernes Pamiers – 09
16 Mars 2013 : Médiathèque Martres – Tolosane – 31
23 Mars 2013: Espace Culturel Leclerc Pamiers – 09
29 Mars 2013: Librairie Bruel Lavelanet – 09
30 Mars 2013: Librairie la Mousson St Girons – 09
1 er Avril 2013: Librairie Les couverts Mirepoix – 09
5, 6 et 7 Avril 2013: Salon du livre de Limoges – 87
12, 13 et 14 Avril 2013: Salon du livre de Balma – 31
20 Avril 2013: Espace culturel Intermarché Foix – 09
1er Mai 2013 : Fête des Fleurs Beynat – 19
4 et 5 Mai 2013: Salon du livre de Châteauroux – 36
15 Mai 2013: Médiathèque de Saverdun – 09
18 Mai 2013: Librairie les beaux livres – Ax-les-thermes – 09
2 juin 2013: Salon du livre de Pamiers – 09
9 Juin 2013: Salon du livre de Sainte Foy Peyrolières – 31
15 Juin 2013: Librairie Hersoc Carmaux – 81
7 Juillet 2013: Salon du livre de Mirepoix – 09
20 et 21 Juillet 2013: Salon du livre de Font Romeu – 66
11 Août 2013: Salon du livre de Tarascon – 09
16 Août 2013 : Salon du livre de Felletin – 23
20 Août 2013 : Librairie de Beynat – 19
20, 21 et 22 septembre 2013: Salon du livre de Tonneins – 47
En 1960, Gaston Maréchal, patron autoritaire d’une fabrique de faïence à Martres-Tolosane non loin de Toulouse, est retrouvé noyé après une partie de pêche… Quatre ans plus tard, sa fille Monique revient au pays et s’installe dans la belle demeure familiale bâtie sur les contreforts des Pyrénées. Elle espère se consoler d’un récent veuvage en renouant avec les racines d’une enfance tourmentée. Mais le bourg bruit de rumeurs et son retour n’est pas du goût de tout le monde. Sa volonté de reprendre la petite entreprise se heurte à la méfiance des employés et à l’hostilité du contremaître qui se conduit comme s’il était maître chez lui.
Monique a-t-elle sa place dans le monde légué par son père, un homme taciturne et cassant, aux nombreuses inimitiés ? Dans quelles circonstances exactes est-il mort ? Menant l’enquête, elle prend peu à peu conscience du secret qui entoure sa propre naissance…
Au fil de pages imprégnées de son amour du Sud et de ses traditions, l’auteur de L’Auberge des Myrtilles et d’Une nuit en juinnous entraîne dans l’univers subtil des faïenciers sur les pas d’une femme blessée, à la recherche de sa véritable identité.
Sortie le 13 mars
Ne ratez pas la semaine prochaine l’interview de Georges-Patrick Gleize dans laquelle il nous parle de « La fille de la Fabrique » et en exclusivité pour Azinat les prémices de son prochain roman…
J’ai tourné la clé et j’ai ouvert la porte. Je ne le regrette pas du tout, parce que derrière cette porte, j’ai trouvé du beau monde. Comment vous faire partager cette quête si ce n’est en écrivant un livre, un bouquet de vingt contes, nouvelles, légendes, histoires et anecdotes.
Cama Crusa E L’uèlh Dubert , Esclarmonde, La messa de las pàurs, L’ours et le laboureur … Ces contes mettent en scène, le merveilleux, le fantastique, l’extraordinaire. Le plus souvent, des personnages, des animaux, des « peurs » qui entretiennent un certain climat, un livre à mettre entre toutes les mains
« Certains personnages, je les connais depuis mon plus jeune âge. Ma grand-mère, en particulier, avait le don de mêler ces êtres peu recommandables à des moments de la vie courante, du quotidien. »
Toujours édité à compte d’auteur, ce livre est disponible au tarif de 13 euros. Pour les frais d’envoi, il faut ajouter 2 euros. Si vous êtes intéressés, merci de contacter Pierre Ricard 63 Grand-Rue 31310 Latrape. Tel : 06 48 13 37 28, 05 61 90 75 83 courriel : cric-crac@laposte.net
« Conter, ce n’est jamais que dire avec lenteur ce qui pourrait être résumé en quelques mots. » Voilà ce que se plait à répéter Olivier de Robert. En 2009, pour azinat, il avait dit cette superbe phrase : « Je porte l’Ariège au cœur et m’en inspire à chaque instant pour faire vivre mes mots. »
Aujourd’hui pour Azinat.com, il raconte avec cet humour qui le caractérise et son accent qu’on adore, comment lui est venu cette passion du conte, ce que représente pour lui l’Ariège et les ariégeois(e)s et son optimisme pour l’avenir de notre territoire.
Azinat : « Qui est vraiment Olivier de Robert ? »
Olivier de Robert : « Je viens d’exil, j’ai vécu loin de l’Ariège pendant près de 20 ans et j’ai développé une mentalité d’exilé, avec un seul but dans la vie revenir en Ariège. Quand j’y suis revenu, à 18 ans, j’ai eu un besoin d’enracinement très fort et je l’ai fait en devenant accompagnateur en montagne. Peut-être parce que c’est plus facile de réfléchir avec ses pieds qu’avec sa tête. En marchant comme ça, dans les refuges pour que les gens reprennent leur souffle, j’ai commencé à raconter des choses et peu à peu c’est devenu une partie importante de ce que je faisais… et puis est arrivé un moment où il n’était plus possible de faire autre chose que ça et je m’y suis consacré complètement… d’où triple identité. L’exil, la montagne et l’Ariège. »
Azinat : « Ces derniers temps, tu es un peu exilé à l’envers, le Lot, bientôt Metz, la vie de spectacle et de conteur te reprend et te retire de la montagne, comment fais-tu pour gérer ça ? »
Olivier de Robert : « La 1ère partie de ma vie de conteur c’est quand j’étais encore accompagnateur en montagne, là tu peux pas partir loin. Et puis comme je me suis mis à ne faire que ça j’ai commencé à partir un peu plus loin. Au début la proche région, puis dans tout le monde francophone. J’avais peur de ne pas y trouver ma juste place, parce que je racontais l’Ariège* et il me semblait que ça intéresserait au mieux les ariégeois… mais les histoires sont universelles et elles touchent, par leur essence, absolument tout le monde (…) ça touche de la même façon toutes les oreilles du monde. »
Azinat : « Pour toi aujourd’hui les ariégeois et ariégeoises, au delà des personnages que tu contes, qui sont-ils comment les perçois-tu ? »
Olivier de Robert : « Définir l’ariégeois, c’est pas que c’est difficile, c’est que c’est risqué, je suis père de famille, et mourir à mon âge me parait déraisonnable (…) on est un des départements les moins peuplé de France et probablement un des moins riche, et on est en recherche permanente de ce que nous sommes… peut être qu’on est écartelés entre l’ariégeois du XIXè siècle du temps où il y avait tant de monde dans la montagne, d’une sorte de passé et d’archaïsme rêvé, et d’un rêve d’une Ariège qui, tout d’un coup, se réveillerait moderne. on sait pat trop si on porte encore le béret ou une combinaison de cosmonaute ? »
Azinat : « Qu’est ce que tu leur souhaites pour l’année à venir en ces temps de crise ? »
Olivier de Robert : « L’Ariège n’est pas en crise, on est en crise quand on est au sommet de sa courbe et qu’on risque de perdre des choses, mais nous, nous avons pris du retard au démarrage (…) on est en train de monter, on est en progression vers quelque chose, quoi je sais pas (…) Continuons de marcher vers l’avant, c’est ce que je nous souhaite pour 2013. Et puis se dire que tout va bien… normalement l’année dernière c’était la fin du monde… ça va ! »
Ariège, 100 lieux pour les curieux le dernier ouvrage sur notre beau département par Laurence Cabrol, Catherine Jacquart-Maissant et Michel Sébastien
Et voici le «païs» où les rivières roulent de l’or et de l’argent et où la langue orale roule en occitan…
Ici, plus qu’ailleurs, des civilisations multiples et antiques ont balayé depuis la nuit des temps des espaces variés à l’infini. La nature, les hommes, l’histoire multi-millénaire ont laissé un impressionnant patrimoine, varié, curieux, insolite. Le tagueur de Niaux a dessiné, il y a 12 000 ans de magnifiques silhouettes ; le cathare a vécu ici du côté du XIIe siècle ; le grand Febus construisit l’insolite château qui servit ensuite de célèbre prison ; la modernité apporte aussi ses curiosités technologiques, artisanales ou artistiques.
Il faut donc venir en Ariège, avec un oeil ouvert et un coeur généreux, celui-là même que les trois auteurs ont mis dans cet ouvrage pour vous faire découvrir ou redécouvrir autrement notre département
Petit rappel sur les auteurs (dont deux d’entre eux font partie du who’s who ariégeois)
Michel Sébastien est géographe de formation, ancien universitaire et spécialiste des questions environnementales. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur Les Pyrénées. Laurence Cabrol est journaliste et responsable d’édition d’une chaine d’information en ligne, Ariège News. Catherine Jacquart-Maissant est archéologue, chercheur associée au laboratoire CNRS Traces de l’université Toulouse Mirail et spécialisée dans l’étude des exploitations minières anciennes
Ils ont encore remis ça !!! Philippe Cazeneuve et Jean Pierre Stahl ont le plaisir d’annoncer la naissance du tome 2 des « Aventures de Germaine Soula »
Sous les crayons de Philippe Cazeneuve et les textes de Jean Pierre Stahl, les personnages du village « fictif ? » de Vernajoul, s’animent, bien vivants, et pourtant, dans ce village, il n’arrive jamais rien, le train train quotidien d’un patelin bien de chez nous, sans histoires, une forme de sereine quiétude, sauf que…Germaine et Firmin, cette fois encore, nous invitent à partager avec eux leurs pérégrinations ( Attention!! Cette fois-ci l’honneur du Pays est en jeux!!) et là, deux mondes parallèles se côtoient, se jaugent, s’entre mêlent. Bref !! On va tout de même pas tout vous raconter !!
Venez nous rejoindre et vous saurez!! Ce n’est que de l’esprit « Truffet », que du bonheur, imprégné des vraies valeurs de notre terroir. La vraie Vie, quoi!!! Ou tout du moins celle dont nous gardons, tous, la nostalgie….! Honoré d’ une préface signée Daniel Herrero, agrémenté d’une réalisation magistrale de l’imprimerie Escourbiac de Graulhet ( plusieurs fois médailles d’or), le « Germaine nouveau » est de la très belle ouvrage. Ce n’est plus un coup d’essai!! 100% Bio et tout à la main, comme chez nous, quoi!!
Sortie et dédicaces prévues le Vendredi 4 Mai à Lavelanet Maison de la presse Bruel de 10 à 12 h. et à Foix chez Majuscule Surre, rue Delcassé, le Samedi 5 mai de 15 h à 18 h
Pierre Ricard nous annonce la naissance de RIBAMBELLE, petit livre de contes, nouvelles et autres sornettes.
Le papa se porte bien, merci, surtout qu’il pose, avec ce modeste ouvrage, un certain regard sur les femmes d’Ariège.
Des souvenirs, des contes, des nouvelles histoires et autres sornettes
Des personnages que j’ai connus, d’autres qui ont existé et dont les aventures m’ont été tellement racontées, qu’il me semble les avoir connus.
Certains sont pure « imagination », mais allez … savoir.
Chez nous, dans nos montagnes, dans nos vallées, plaines, vallons et rivières, dans nos terroirs, on ne sait jamais où commencent et quand s’arrêtent le rêve et la réalité.
Ces contes ne sont pas tous écrits pour endormir les enfants, mais, c’est sûr, ils réveillent les parents.
Auto-édité, ce livre est en vente chez Pierre Ricard, 63 Grand-rue 31310 Latrape au prix de 10 euros frais d’envoi compris, chèque libelle au nom de Pierre Ricard.
Georges-Patrick Gleize, présente son dixième et dernier roman paru chez Albin Michel. Cet écrivain originaire de familles ariégeoises, privilégie pour cadre les Pyrénées et aime porter le témoignage de la mémoire des hommes d’Ariège.
« Dans les Pyrénées Orientales, en octobre 1971 Pierre Barrès s’apprête à faire descendre comme chaque automne son troupeau de l’estive vers sa ferme de La Renardière. Lorsqu’il apprend que son frère Roger aurait été aperçu dans le pays, le passé resurgit. Ils s’étaient tous les deux engagés dans la Résistance pendant la guerre, au grand dam de leur père. Roger a mystérieusement disparu dans des circonstances troubles, une nuit de juin 1943, alors qu’ils faisaient passer la frontière espagnole à un groupe d’évadés et de sinistres rumeurs de trahison ont alors couru. De retour au pays à la Libération, Pierre, désormais à la tête de l’exploitation, s’est efforcé d’oublier, mais sans jamais y parvenir vraiment, marqué par le poids des souvenirs. Va-t-il enfin découvrir ce qui s’est réellement passé cette nuit-là?«
Des balcons de la Cerdagne aux vallées de l’Ariège, il revisite cette époque trouble de l’occupation où l’héroïsme des uns n’avait d’égal que l’attentisme et la noirceur des autres.
Geoges-Patrick Gleize est agrégé d’histoire, vice-président des Appaméennes du Livre, participant à de très nombreux salons littéraire en France comme véritable ambassadeur culturel d’un département dont il entend promouvoir l’image bien au-delà de la région.
« pour tous ceux qui sont fiers d’être ariégeois, ce dixième roman du grand sud, pour aller sur les traces laissées par les brûlures de l’histoire au soleil des balcons des Pyrénées » Georges-Patrick Gleize Pour Azinat.com
Josette Elayi Escaich est née à Bordes sur Lez, dans la vallée du Couserans. Après des études secondaires au Lycée de Saint-Girons, elle quitte son Ariège natale pour des périples multiples, d’extrême Occident en extrême Orient. Elle a connu la guerre du Liban et vécu dans l’Irak de Saddam Hossein.
Tour à tour professeur de lettres, chercheur au CNRS en histoire ancienne de la Phénicie, éditeur, essayiste et journaliste occasionnelle, elle a publié plus de 25 livres et de 200 articles, couronnés par deux prix à l’Académie et la légion d’honneur décernée par le Ministre de la recherche.
Enrichie d’expériences si diverses, elle n’a jamais oublié l’Ariège qui est au centre de son deuxième et nouveau roman « Secrets de granit » paru chez l’harmatan.
« Ce soir de mai 1979, dans une tranquille soirée de notables de Saint-Girons, la femme du notaire est empoisonnée sous leurs yeux. Elle porte à la nuque un étrange tatouage, qui va être le fil conducteur de l’enquête de François, professeur d’histoire, entre l’Ariège et Paris, entre le présent et le passé. Il espère ainsi retrouver le fil de sa vie et accepter le suicide de sa femme. Ce massif de granit qui constitue le socle essentiel des Pyrénées recèle en son cœur de terribles secrets qu’il a décidé d’affronter pour s’y perdre ou s’y retrouver. »
« Même au cœur immense du désert et des sortilèges de ses mirages, j’ai toujours préservé en moi les racines secrètes d’une terre rude et sauvage et l’envoûtement de ses montagnes de granit. Telle est mon Ariège avec ses paysages imbibés de pluie et de brume, ses interminables hivers ensevelis dans la neige et le gel, la tendre douceur de ses printemps fleuris, ses étés rayonnants et ses automnes flamboyant de couleurs » Josette Elayi Escaich pour Azinat.com
Secrets de granit est en vente sur le site de l’éditeur : http://www.harmattan.fr et dans les librairies ariégeoises, dont » La Mousson » et « A la lettre » Saint-Girons
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