Catégorie : écrivain

  • Jean-Marc Bonnel : « Du soleil levant au rouge couchant, tissée d’or ou d’argent, tu ne brilles, ni à mon doigt ni à mon cou. Ta place est dans mon cœur, ARIEGE »

    bonnelL’important n ‘est pas la destination mais le chemin lui-même. Mon chemin démarre en 1958 à Lavelanet dans les montagnes ariégeoises.

    Je garde le souvenir des copeaux de l’atelier de mon père, des repas de fêtes, des sœurs toujours en chamaille. L’école est souvent délaissée pour surprendre la truite, cueillir les cèpes, écouter le silence et rêver en regardant le vol des oiseaux.

    En 1979, je deviens fonctionnaire de police. Puis, je suspends l’uniforme et ouvre ma première librairie à Marseille. Octobre 2008, mon roman «  la dernière nuit » édité par Elan Sud, voit le jour.

    Romans, nouvelles, contes, sketches sont en cours d’écriture… Affaire à suivre !

    Lorsque je présente mon roman : « La dernière nuit » dans les librairies de Provence, je dis toujours : l’histoire se déroule en Ariège.
    Des points d’interrogations naissent dans les yeux de mes interlocuteurs. L’Ariège ???
    Soudain, leur visage s’éclaire. Ah oui !… L’Ariège ! Les cathares, les comtes de Foix, les montagnes, les lacs, la gastronomie … Quel beau pays ! Certains relatent un souvenir ; d’autres projettent de la connaître.

    L’Ariège ne laisse pas indifférent. « La dernière nuit » en mains, le lecteur me confie : ce soir, je serai en ARIEGE.

    « Du soleil levant au rouge couchant, tissée d’or ou d’argent, tu ne brilles, ni à mon doigt ni à mon cou. Ta place est dans mon cœur, ARIEGE » Jean-Marc Bonnel août 2009 pour Azinat.com
  • Olivier de Robert : « Je porte l’Ariège au cœur et m’en inspire à chaque instant pour faire vivre mes mots »

    olivierderobertOn peut naître à Paris et sentir l’Ariège vous couler dans les veines. Olivier de Robert a connu ce déboire de départ, mais a choisi dès qu’il a pu la terre de ses ancêtres, gentilshommes verriers de Gabre, en s’installant dans les montagnes sauratoises. Accompagnateur en montagne, féru d’histoire médiévale, il s’est découvert conteur au hasard de la vie. Depuis il promène sa besace à histoires partout en France et dans le monde francophone. Contes traditionnels, créations, récits historiques : l’homme a de multiples facettes et devient un nom qui… compte sur la scène régionale !

    De l’oral à l’écrit il n’y avait qu’un pas, franchit allègrement avec les « Contes et légendes d’Ariège » aux éditions De Borée, véritable succès de librairie qui ne se dément pas depuis 2006.

    « Je porte l’Ariège au cœur et m’en inspire à chaque instant pour faire vivre mes mots. » Olivier de Robert août 2009 pour Azinat.com

  • Jean Clottes : « J’aime l’Ariège blanche, verte et noire… »

    Jean Clottes

    Conservateur Général du Patrimoine, Jean Clottes fut Conseiller scientifique pour l’art préhistorique au ministère de la Culture, après avoir été Directeur des Antiquités préhistoriques de la région Midi-Pyrénées (1971 à 1991). Ses recherches portent principalement sur l’art préhistorique, en France et dans le monde. Il a eu la charge de l’étude de la grotte Chauvet jusqu’à fin 2001. Il dirige et publie la revue INORA (International Newsletter on Rock Art). Il est directeur de la collection Arts rupestres aux éditions du Seuil. Ancien Président du Comité International d’Art Rupestre de l’ICOMOS, il est présentement Expert international auprès de l’ICOMOS et de l’UNESCO.


    “J’aime l’Ariège blanche, verte et noire. La neige de ses montagnes l’hiver et ses vertes collines l’été, et -on s’en doute…-  ses cavernes profondes fréquentées depuis plus de quinze mille ans”  Jean Clottes – Juillet 2009 pour azinat.com

    Parmi ses derniers livres :
    – Le Musée des roches : l’art rupestre dans le monde (2000) (Seuil) – La Grotte Chauvet. L’Art des Origines (dir.) (2001) (Seuil) – La Préhistoire expliquée à mes petits-enfants (2002) (Seuil) – Cosquer Redécouvert (2005), avec J. Courtin & L. Vanrell (Seuil) – Les Félins de la Grotte Chauvet (2005), avec M. Azéma (Seuil) – Les Chamanes de la préhistoire, texte intégral, polémique et réponses (2007), avec D. Lewis-Williams (Seuil) – L’Art des Cavernes préhistoriques (2008) (Phaidon).

  • Jean-Marc Bonnel un fonctionnaire de police devenu écrivain !

    Jean-Marc Bonnel
    Jean-Marc Bonnel

    L’important n’est pas la destination mais le chemin lui-même. Celui de Jean-Marc Bonnel démarre en 1958 dans les montagnes ariégeoises, près du château de Montségur. Il garde le souvenir des copeaux de l’atelier de son père, des repas de fêtes, des soeurs toujours en chamaille, l’école est souvent délaissée pour surprendre la truite, cueillir les cèpes, écouter le silence et rêver en regardant le vol des oiseaux. Devenu fonctionnaire de police, en 1997 il suspend l’uniforme et ouvre sa première librairie à Marseille. Des histoires lui rendent visite comme de nouvelles amies. Son premier roman voit le jour.

    Son dernier roman « La dernière nuit » Raconte un fait divers dans une campagne encore soumise aux peurs ancestrales. Un secret, la dureté des hommes, le sacrifice d’une femme, le regard des autres, un jardin fleuri d’étoiles, un brin d’amour, un destin tracé dans l’inattendu. Un garçon écrit en une nuit l’histoire de sa vie. Il s’appelait Pierre Benazet : LE MONSTRE

    Ariégeois et fier de l’être, Jean-Marc Bonnel viendra, à l’occasion de son nouveau roman, rencontrer son lectorat pour deux dates en mars : Samedi 14 mars 2009 — 14 h – Foix 09 Librairie MAJUSCULE SURRE – 40 RUE DELCASSE – 09000 FOIX

    Lundi 16 mars à partir de  9 h 30 – Mirepoix (09) Librairie des Couverts – 8 place maréchal Leclerc – 09500 Mirepoix

    Le roman est déjà disponible dans ces deux librairies — et en direct sur le site de l’éditeur  www.elansud.fr/bonnel/
    la rencontre avec un auteur est toujours plus riche lorsqu’on a déjà lu son livre.

    Il sera aussi présent au salon du livre de Tarascon – Le 9 août 2009 de 10 h à 18h30 – 09400 TARASCON SUR ARIEGE
    Salon du livre de Tarascon/Ariège, invitée : Maison d’éditions Elan Sud

  • Théophile Silvestre

    Littérateur et critique d’art français, né en Ariège en 1823, mort à Paris en 1876. Dans son Eugène Delacroix de 1864, le critique Cantaloube le qualifie d’« écrivain redouté », « plein de verve, incisif et perçant, capable de pousser jusqu’au raffinement ses cruautés ou ses injustices contre ceux qu’il n’aime pas ». Il est de ces critiques sarcastiques à qui Jenny, la servante de Delacroix, ferme la porte de l’atelier pour ne point voir troubler la tranquillité du maître. Mais ces rebuffades ne font point faiblir son intérêt pour Delacroix. Dans son Histoire des artistes vivants (1855), qui marque le début de sa carrière littéraire, il consacre déjà un chapitre au peintre. Les Artistes français, études d’après nature (1878), refonte de l’ouvrage précédent, ne démentent pas cette première passion. Delacroix devait avoir pour lui une certaine estime, puisqu’il lui confie, en 1853 ou 1854, la copie d’une partie de son journal. Silvestre mentionne sa copie dès 1855, dans l’Histoire des artistes vivants, se montrant très fier de l’honneur qui lui est fait. Dans Eugène Delacroix. Documents nouveaux, en 1864, il accorde une importance capitale à cette copie, car il croit (à tort) que les originaux ont disparu.

  • René-Victor Pilhes

    Romancier. En 1974, “ L’imprécateur ” est un énorme succès de librairie. Le film qui sera tiré de ce roman confirmera complètement le verdict des lecteurs. L’auteur, René-Victor Pilhes, est né à Paris le 1er juillet 1934 mais il a été élevé dans l’ Ariège par sa grand-mère maternelle. Il revient tous les ans très régulièrement à Seix dont il est une des figures marquantes. Son imposante chevelure blanche ne passe pas inaperçue. Ses livres non plus, d’ailleurs. “ La rhubarbe ” (prix Médicis 1965) puis “ Le Loum ”, “ La Pompéi ”, “ Les dames de la cour de Rohan ”, et, “ La faux ” font de cet auteur jovial et méridional un écrivain important de notre époque. Son dernier ouvrage “ Le Christi ”, relate des événements qui surviennent et se déroulent autour de Montségur.