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  • Mirepoix : Journée porte ouverte à la Cité scolaire

    Mirepoix : Journée porte ouverte à la Cité scolaire

    2018 marque les 50 ans d’enseignement technologique au lycée de Mirepoix. A cette occasion,lLa cité scolaire de Mirepoix organise samedi 10 février 2018 de 9h00 à 12h00 sa traditionnelle journée porte ouverte.

    La cité scolaire de Mirepoix c’est un collège avec une ULIS et une SEGPA ainsi qu’un lycée polyvalent, doté d’un internat.

    La singularité du lycée de Mirepoix c’est :

    • En classe de seconde, des enseignements d’exploration originaux : Patrimoine, Littérature et Société et Italien
    • En classe de 1ère et de terminale : une option Histoire des Arts
    • Un bac technologique STI2D avec ses 4 options

    Le lycée de Mirepoix propose également

    • 2 Bacs Professionnels : Microtechnique (unique implantation dans l’académie de Toulouse) et Technicien d’Usinage.
    • 3 Brevets de Technicien Supérieur : Microtechnique, Production industrielle par usinage et Electrotechnique.

    Pour découvrir les nouveaux enseignements de l’année 2018/2019 rendez-vous à la Cité Scolaire – Route de Limoux – 09500 Mirepoix

  • « Le Lac de feu » : Quand les extra-terrestres débarquent à Montaillou

    « Le Lac de feu » : Quand les extra-terrestres débarquent à Montaillou

    Depuis quelques jours, le petit village de Montaillou est au centre de l’intrigue d’une série de BD de science fiction américaine !

    «Le Lac de feu», c’est son titre, est une trilogie signée Matt Smith, illustrateur et Nathan Fairbairn scénariste travaillant dans l’industrie du comics book, et traduit par Anne-Sophie Bigot

    1220 après J.-C. la croisade contre les albigeois bat son plein quand un vaisseau spatial infesté d’une horde de prédateurs sanguinaires arrive dans le désert des Pyrénées françaises. lls tombent alors sur une petite bande de croisés et une hérétique cathare. Ces derniers devront faire équipe pour protéger le Royaume de Dieu et empêcher que ne s’installe l’Enfer sur Terre.Voyage entre le Royaume de Dieu et l’Enfer sur Terre.

    Suite à leur rencontre sanguinaire avec la menace étrangère, les croisés survivants et les hérétiques se réfugient derrière les murs de Montaillou. Mais quand la nuit tombera, tiendront-ils assez longtemps face aux démons de l’autre côté de la barrière, ou vont-ils se laisser diviser par la peur et les préjugés ?

    Pour le savoir, vous pouvez déjà lire les deux premiers tomes parus ce mois ci.

    • Le Lac de feu T1  – 10 janvier 2018
    • Le lac de feu Tome 2  – 24 janvier 2018
    • Le lac de feu Tome 3 à paraître  – 21 mars 2018

     

  • Pyrénées FM et le Studio du Château, à la découverte des jeunes talents musicaux pyrénéens !

    Pyrénées FM et le Studio du Château, à la découverte des jeunes talents musicaux pyrénéens !

    Forte de ses 120 000 auditeurs en Occitanie-Pyrénées Méditerranée, et de son réseau de diffusion en constante évolution, la radio souhaite aujourd’hui promouvoir les jeunes talents musicaux pyrénéens.

    Pour cela, Pyrénées FM s’associe au Studio du Château à Montaillou et lance son concours : «  LE MICRO D’OR Pyrénées FM ».

    Ouvert aux jeunes de 16 à 25 ans, auteurs, compositeurs ou interprètes, jouant seuls, en duo ou en trio. Tous les styles de musique sont acceptés. La participation au concours est totalement gratuite.

    Pour participer au concours, chacun doit renvoyer le dossier d’inscription téléchargeable ici et fournir un lien ou un support numérique contenant un enregistrement témoin, audio ou vidéo, d’un de ses morceaux/titres.

    La qualité sonore de cet enregistrement ne sera pas prise en compte dans la sélection, celui-ci ne servant qu’à déterminer le style de musique.

    À clôture de réception des dossiers soit le 28 février 2018, un jury composé de professionnels de la radio et de la musique réalisera une première sélection de 10 nominés.

    Ces 10 sélectionnés se verront tous offrir l’enregistrement d’une vidéo du titre de leur choix, au Studio du Château à Montaillou (Ariège, 09110). Ces vidéos seront réalisées entre le 31 Mars et le 24 juin 2018.

    Afin de donner les mêmes chances à chacun, les enregistrements seront réalisés dans les mêmes conditions matérielles en studio, tant pour la partie audio que pour la partie vidéo (enregistrement multi-cam avec 4 caméras HD). Le studio du Château se chargeant ensuite du montage vidéo.

    Quel que soit le classement final, ces vidéos seront acquises à chacun des 10 participants qui, en fin de concours, pourront en user librement pour faire leur promotion sur les supports de leurs choix. Les 10 vidéos des nominés seront visibles sur la page Facebook de Pyrénées FM du 02 juillet au 31 août 2018. Elles seront soumises au vote des auditeurs.
    Début septembre 2018, le jury de professionnels sélectionnera 3 finalistes en tenant compte des performances musicales et artistiques, et bien sûr du vote des auditeurs.

    Les 3 finalistes seront personnellement informés par Pyrénées FM de leur sélection, et seront invités à une grande finale en public à Tarascon sur Ariège, à l’espace culturel François Mitterand, le samedi 29 septembre 2018.

    À cette finale, sera élu le gagnant du titre du « MICRO D’OR Pyrénées FM » qui se verra remettre le trophée du concours, et gagnera deux jours d’enregistrements professionnels audio/vidéo au Studio du Château, ainsi que la diffusion promotionnelle de son titre gagnant sur les ondes de Pyrénées FM.

    Le second et le troisième gagneront un trophée et une journée d’enregistrement au Studio du Château à Montaillou, où seront réalisées pour chacun deux vidéos professionnelles destinées à les aider dans leur promotion sur les réseaux sociaux et les sites de vidéos en ligne.

    Inscriptions avant le 28 février prochain, c’est gratuit !

    Prêt à participer ?
    Alors cliquez vite sur le lien de téléchargement pour récupérer votre dossier d’inscription ici.

  • «Construire ensemble» les vœux de Lavelanet pour 2018

    «Construire ensemble» les vœux de Lavelanet pour 2018

    Marc Sanchez a adressé ses vœux jeudi soir au Marché couvert de Lavelanet devant un parterre plutôt dense. Habitants, élus, personnels, membres d’associations, autorités militaires et religieuses… tous s’étaient rassemblés autour de leur maire, de leur ville.

    Un moment de rassemblement, de partage

    « Cette cérémonie des vœux est l’occasion de jeter avec vous un coup d’œil dans le rétroviseur et d’éclairer les enjeux de l’année qui commence. Ce moment doit rester un moment de rassemblement et de solidarité pour construire ensemble les projets d’avenir que l’on attend de nous. Pour autant, ne soyons pas amnésiques sur ceux qui dans le passé ont su impulser et exécuter les nombreux projets à ce jour réalisés, et cela, sur l’ensemble du territoire » a déclaré le 1er édile de Lavelanet après avoir chaleureusement remercié « les forces vives du territoire, les associations et leurs bénévoles qui donnent de leur temps au service de leurs concitoyens et de l’animation de notre cité. » Cette soirée est également l’occasion pour Lavelanet de rendre hommage aux disparus, de remercier techniciens ou personnalités. Christophe Mirousse d’ENNEDIS a été mis à l’honneur ; Michel Nigou directeur de l’ESAT a remis la Médaille du travail à Martine Petit, avant de recevoir le trophée de reconnaissance de la Ville pour son action (création d’une maison de retraite pour les personnels de l’ESAT à Lavelanet) des mains de Marc Sanchez louant « son implication pour le Pays d’Olmes ». Gérald Gast animateur sportif de la mairie a également reçu un trophée de reconnaissance remis par André Cassan adjoint en charge du sport avant son départ en retraite.

    « Ce que nous appelons « Lavelanet 2050 » a déjà débuté !  Les projets en cours et à venir que nous portons pour Lavelanet, seront aussi d’utilités intercommunales et contribueront au développement  économique et social de nos collectivités, ne l’oublions pas.  En effet, c’est grâce à notre ténacité que nous avons obtenu de figurer dans les projets AMI centre-bourg et TEPcv ; lesquels programmes nous ont permis d’obtenir des financements conséquents (entre 70 et 80%).                                                                                                                                 Ces projets sont indispensables au bien-être et à  l’épanouissement de tous, pas  dans 10 ans, mais aujourd’hui même.» Marc Sanchez en est convaincu : cet avenir ne peut se construire sans concertation citoyenne et sans comprendre la nécessité de proposer des investissements publics pour attirer de nouvelles activités et entreprises   ainsi que de nouvelles populations. L’emploi, la santé, la sécurité, la culture, le cadre de vie, les activités sportives et associatives « restent les conditions essentielles d’un choix de vie pérenne dans  un environnement de qualité tel que le nôtre ».  Des remerciements ont été adressés à l’État, au Conseil départemental et Régional « pour leur soutien ». 

    Avant de conclure son discours, le maire de Lavelanet a rappelé : « Tous ensemble nous devons, main dans la main, construire « Lavelanet – Pays D’Olmes en Pyrénées Cathares. Notre devoir est d’apporter une contribution à cette reconstruction pour les générations actuelles et futures. Là est notre seul et unique devoir. Comptez sur moi pour aller dans cette voie. »

    Cette cérémonie de vœux à la population a été ponctuée de petits films mis en scène par Jacques Ghilardi et les services municipaux avant l’épisode 2 « Lavelanet 2050 » mettant en scène la restructuration du centre-bourg. Un très beau film à découvrir prochainement sur les réseaux sociaux de la municipalité.

    Source : Mairie de Lavelanet 

  • Monter un projet européen avec Erasmus+ et l’association « Le temps d’agir »

    Monter un projet européen avec Erasmus+ et l’association « Le temps d’agir »

    Le temps d’agir est une association Loi 1901 qui a été créée en 2005. Son objet est de proposer des activités d’éducation populaire afin de sensibiliser la population d’un même territoire aux enjeux locaux notamment en termes de qualité de vie, de protection de l’environnement et plus généralement du « vivre ensemble ».

    Vous avez envie de monter un projet européen avec Erasmus+, mais vous ne savez pas comment faire ? En 2018, l’association vous propose de vous accompagner gratuitement dans le montage de votre projet lors d’ateliers collectifs qui regroupent des porteurs de projets.

    Ces ateliers s’adresse à tous les professionnel de la jeunesse et de l’éducation (animateurs, jeunes, formateurs, enseignants) et sont ouvert à toutes les structures éducatives (association, établissement scolaire, collectivité territoriale…) qui souhaitent participer ou organiser des échanges, des formations, questionner un thème précis en terme d’éducation (l’emploi, la politique, l’éducation à l’environnement…).

    Dans un premier temps, vous exposerez vos idées et nous déterminerons le type de dossier que vous pouvez déposer, à quelles échéances et avec quels financements.

    Ces ateliers auront lieu les vendredis, de 14h à 16h30 à la DDCSPP, 9 rue du Lieutenant Paul Delpech 09000 Foix

    • 16 février 2018 : présentation des projets et relevés des attentes des participants [si besoin : obtenir un numéro d’identification Erasmus+ (PIC) pour pouvoir accueillir ou déposer des projets]
    • 9 mars 2018 :  trouver un partenaire européen (Otlas) et remplir le dossier E+
    • 16 mars 2018 : organiser les activités et remplir le dossier E+
    • 30 mars 2018 : remplir le dossier E+
    • 6 avril 2018 : remplir le dossier E+, préparation des rapports finaux
    • 13 avril 2018 : relectures collectives des dossiers

    apportez votre ordinateur portable ou signalez-nous si vous avez besoin d’un ordinateur

    Le programme des ateliers sera défini avec et en fonction des participants.

    contact et information : 

    Lisa Bergeron
    06 79 88 32 10

    interventions@letempsdagir.com

    www.letempsdagir.com

  • Voeux présidentiels aux paysans et prédation, La conf’ariège toujours sur le terrain !

    Voeux présidentiels aux paysans et prédation, La conf’ariège toujours sur le terrain !

    Communiqué de  La conf’ariège

    Hier, le président Macron a choisi de s’adresser au monde agricole, pour lui adresser ses vœux, au cœur de l’Auvergne. La Confédération paysanne, lasse des rencontres infructueuses dans les ministères, a décidé d’aller à sa rencontre pour l’interpeller sur l’inacceptable nouveau Plan loup. Des militants ariègeois ont fait le voyage !

    Bien gardé par un impressionnant dispositif policier, le président en marche, a pu présenter ses vœux au monde paysan. Une délégation de la Confédération paysanne y été reçue et entendue car le Président a annonçé « assumer un modèle d’agropastoralisme » et « remettre le berger au coeur de la montagne »

    A l’extérieur, une soixante de militants venus de la plupart des zones où les prédateurs font des victimes sur les troupeaux, se sont approchés du site, accompagnés de leurs désormais inséparables brebis ! Le préfet en charge du dossier loup, M. Bouillon, a dû répondre à nos questions pendant près d’une heure, durant laquelle il a notamment reconnu que le nombre de loups présents sur le sol national était bien supérieur aux 350 annoncés par l’ONCFS…

    Interrogé sur l’ours et sur la mission d’expertise promise fin 2017, il a été bien en peine de donner quelques nouvelles que se soit… Les éleveurs ariégeois qui ont payé un lourd tribu l’été dernier apprécieront l’intérêt qui leur est porté !

    En ce début d’année, la Confédération paysanne annonce clairement que, face à l’impasse dans laquelle se trouve le pastoralisme en général et celui des pyrénées centrales en particulier, nous mènerons toutes les actions nécessaires pour nous faire entendre avant que la saison d’estive ne débute !

    David Eychenne
    Co porte-parole
    de confédération paysanne Ariège
    06 47 65 08 33

  • Arythmie sur les rythmes : Communiqué de presse du SNUipp-FSU 09

    Arythmie sur les rythmes : Communiqué de presse du SNUipp-FSU 09

    Communiqué de presse du SNUipp-FSU 09 , syndicat majoritaire des enseignants du 1er degré en Ariège

    Dans le cadre des discussions en cours sur les rythmes en Ariège pour la rentrée scolaire 2018, et suite à différents articles parus récemment dans la presse, le SNUipp-FSU 09, syndicat majoritaire des enseignants du 1er degré en Ariège, communique.

    Tout d’abord il faut souligner que les adultes (animateurs, personnels Mairie, enseignants..) qui œuvrent au quotidien auprès des enfants font de leur mieux pour les accueillir et les scolariser avec professionnalisme et responsabilité. De bonnes conditions de travail de ces personnels vont de pair avec la recherche d’un meilleur fonctionnement de l’école, de l’ALAE dans l’intérêt des élèves.

    Ensuite, il existe bien des disparités, non seulement dans les missions des accompagnants, mais aussi au niveau des territoires. Le SNUipp-FSU dénonce ces inégalités car elles vont à l’encontre de l’égalité entre les enfants. Fabriquons des « égaux » plutôt que des egos. Nous regrettons ainsi que l’Etat ne soit pas le garant de l’égalité Républicaine. La succession de 4 réformes depuis 2008 a désorganisé le système scolaire en même temps qu’elle a ouvert la voie à une territorialisation des compétences relatives aux prises en charge des différents temps de l’enfant dans la loi de Refondation de 2012 dont le principal objectif, rappelons-le, était de lutter contre l’échec et les difficultés scolaires.

    Nous alertons enfin sur ce « transfert » du pouvoir décisionnel en matière d’Education vers les élus. Il n’est pas acceptable que, pour une demande de dérogation, l’avis d’une municipalité ou d’un établissement public à compétence intercommunale prime sur celui d’un conseil d’école qui réunit tous les partenaires de l’école. Il nous semble qu’il s’agit d’un déni de démocratie, d’un manque de considération des personnels, et d’une dangereuse orientation qui dérégulerait, libéraliserait l’enseignement et les services, mettant en concurrence des établissements et des territoires inégaux en moyens humains et/ou financiers.

    Quelle que soit l’organisation proposée (pas de changement, retour à 4 jours, dérogation samedi matin ou après- midi libérée), le SNUipp-FSU sera extrêmement vigilant à ce que la voix des personnels soit entendue. C’est de confiance, de temps, et de sérénité dont la communauté éducative a besoin dans l’intérêt des enfants. Une remise à plat sur les rythmes nous permettrait sans doute d’éviter l’arythmie…

  • Génération.S Pamiers-Basse Ariège 

    Génération.S Pamiers-Basse Ariège 

    Communiqué Génération.S Pamiers-Basse Ariège*

    Le monde est en pleine mutation. Nous devons proposer des solutions pour faire face aux enjeux sociaux, environnementaux et démocratiques qui se présentent à nous. Nous nous devons d’agir collectivement pour toutes les générations présentes et à venir.

    Nous croyons en une société juste, égalitaire, fraternelle et solidaire où chacun-e doit pouvoir vivre dignement dans un environnement préservé.

    Nous invitons tous les citoyens-citoyennes, toutes celles et ceux qui se reconnaissent dans ces valeurs sur notre territoire à rejoindre le comité Génération.s de son secteur. Plus d’informations sur: www.generation-s.fr/

    Il existe déjà 4 comités en Ariège. Chaque comité est autonome et indépendant et propose des réunions tournantes de débats constructifs et conviviaux et des moyens d’actions.

    En Basse Ariège, un comité vient de se créer. Une réunion est prévue le vendredi 23 février à la salle des Associations à Montaut à 18H30.

    Rejoignez-nous !

    Contacts : generations09pamiers@gmail.com
    ou 06 17 96 51 58 (Mickaël TROVALET).

    Retrouvez nous aussi sur les réseaux sociaux : 

    Facebook : www.facebook.com/generations09/   Twitter : @generations09ba

    *anciennement Mouvement du 1er Juillet, parti politique créé le 1er juillet 2017 par Benoît Hamon.

  • L’Ariège dans la liste des territoires infestés par le moustique-tigre

    L’Ariège dans la liste des territoires infestés par le moustique-tigre

    La lutte contre le moustique-tigre fait partie intégrante de la lutte antivectorielle. Le moustique Aedes albopictus, originaire d’Asie et communément appelé moustique-tigre est un vecteur de maladies telles que la dengue ou le chikungunya. Par arrêté ministériel du 25 novembre 2017, publié au journal officiel du 30 novembre 2017, l’Ariège a fait son entrée dans la liste des territoires où l’insecte s’est implanté.

    En 2018, 42 départements métropolitains sont classés au niveau 1 du plan national anti-dissémination du chikungunya, de la dengue et du zika. Le niveau d’implantation du moustique-tigre est déterminé par les experts des opérateurs publics de démoustication. Sous l’autorité de la préfète de l’Ariège, une cellule départementale de gestion, composée d’acteurs de la lutte anti-vectorielle, a été activée. La mission de cette instance est de proposer à la représentante de l’État et au président du conseil départemental, un plan de surveillance épidémiologique, de lutte anti-vectorielle et de communication.

    Un arrêté préfectoral en cours d’élaboration définira dans les semaines à venir le rôle des acteurs impliqués dans le dispositif ainsi que les modalités de mise en œuvre de mesures qui font leurs preuves depuis déjà plusieurs années dans d’autres départements du territoire.

    Le moustique-tigre est essentiellement urbain. Son caractère anthropophile, qui aime les lieux habités par l’homme, explique qu’une fois installé dans une commune ou un département, il est pratiquement impossible de s’en débarrasser.  Les départements dans lesquels le moustique tigre est implanté et actif, c’est à dire durablement installé et se multipliant sont classés au niveau 1 du plan national anti-dissémination de la dengue ou du chikungunya. Le niveau d’implantation du moustique tigre est déterminé par les experts des opérateurs publics de démoustication.

    Le moustique-tigre est reconnaissable à ses rayures noires et blanches sur tout le corps ainsi que sur les pattes. Sa taille est généralement inférieure à celle du moustique commun. Ses ailes sont complètement noires et sans tâche. Son allure est pataude et il est facile à écraser en vol. Il apprécie généralement de voler autour des chevilles. Dans la plupart des cas, sa piqure est bénigne, bien que ce moustique puisse être vecteur de diverses maladies comme la dengue, le chikungunya ou le zika. Pour transmettre ces virus, il doit au préalable avoir piqué une personne infectée. Le moustique-tigre établit le plus souvent ses quartiers chez des particuliers, dans de petites réserves d’eaux stagnantes. Une fois installé dans votre jardin, il est très difficile de l’en déloger.

    Contrairement au moustique vecteur du paludisme, l’Aedes a une activité principalement diurne avec une recrudescence d’activité le matin et en fin de journée. C’est donc dans la journée qu’il faut se protéger.

    En savoir plus sur le site de l’agence régionale de santé d’Occitane :   www.occitanie.ars.sante.fr/moustique-tigre-3

    Source : Préfecture de l’Ariège 

    Carte de présence
    du moustique-tigre

  • Voeux de Marie Lajus, Préfète de l’Ariège

    Voeux de Marie Lajus, Préfète de l’Ariège

    Voeux 2018 à la préfecture de l’Ariège où la préfète Marie Lajus a accueilli les représentants, venus en nombre, des forces politiques, économiques, institutionnelles, administratives, associatives et civiles de notre département.

    Madame et monsieur les députés,
    Monsieur le sénateur,
    Madame la vice-présidente du conseil départemental,
    Mesdames et messieurs les maires, présidents d’intercommunalités et élus de la République, Mesdames et messieurs les directeurs et chefs de service de l’État et des collectivités territoriales, Mesdames et messieurs les représentants des forces de sécurité, de secours et de la Défense, Mesdames et messieurs les présidents et représentants des cultes, du monde économique, syndical et associatif,
    Mesdames, messieurs,

    « Une nouvelle fois, je suis heureuse de ce moment de rencontre et de partage. Heureuse à titre personnel, tant vous savez le bonheur que j’ai à échanger et travailler avec l’ensemble d’entre vous. Heureuse pour l’Ariège aussi, car nous avons ici tous les signes d’une solidarité citoyenne et institutionnelle qui fait la force et la ressource de la République, la capacité des mondes politique, institutionnel, administratif, économique, associatif et civil, toutes nuances et toutes orientations confondues, à se mêler, échanger, débattre et produire des projets et des idées nouvelles. Le jour où nous ne presserons plus pour participer à ces moments d’échange institutionnels ou festifs, où il n’y aura plus de vœux, de pots, de repas, de cérémonies, ou de troisième mi-temps où se croisent le maire, l’institutrice, l’agriculteur, le syndicaliste, l’épicier et le curé, il faudra s’inquiéter pour la démocratie et la République… »

    Lire la suite 

  • Mine de Salau : Il est urgent de retirer les transformateurs au Pyralène selon Jérôme Azéma

    Mine de Salau : Il est urgent de retirer les transformateurs au Pyralène selon Jérôme Azéma

    Notre invité de la semaine Jérôme Azéma vient régulièrement nous informer de ses actions pour le département de l’Ariège. Ce mois-ci ce sont deux dossiers « brulants » que nous évoquons avec lui, notamment le dossier de la mine de Salau pour lequel il a usé de sa position de référent départemental pour informer les instances nationales. Un moment pour nous pour faire le point de nouveau sur ce dossier.

    La mine de Salau, située sur la commune de Couflens, est une mine de Tungstène, minerai en pénurie mondiale, et hautement stratégique. Ce gisement fût exploité entre 1976 et 1986. Plus de 11 000 tonnes de tungstène furent extraites à une teneur moyenne de 1,5 %, ce qui en faisait à l’époque le gisement de tungstène le plus riche du monde. Il fût fermé, comme beaucoup d’autres exploitations de tungstène, à la suite d’un fort dumping de la Chine.

    Les travaux scientifiques menés par la Société E-Mines durant ces deux dernières années ont démontré que ce gisement avait été très largement sous-estimé, et qu’il pouvait être considéré aujourd’hui comme l’un des plus importants au niveau mondial. L’objectif du projet mené par Apollo Minerals au travers de ses filiales françaises Mines du Salat et Ariège Tungstène est la démonstration de 50 000 tonnes de tungstène. Le potentiel géologique serait beaucoup plus important, probablement plus de 200 000 t, le gisement se poursuivant jusqu’en Espagne. Par ailleurs, ces mêmes travaux scientifiques ont démontré que le minerai, particulièrement riche en tungstène, est également riche en or (> 5 g/t), ce qui préserverait la future exploitation des fluctuations sur le cours du tungstène et garantirait l’économie du projet sur le long terme.

    Un permis exclusif de recherche minier (PERM « Couflens ») a été signé le 20 octobre 2016 par Mr Sirugue, ancien Secrétaire d’Etat à l’Industrie, permis confirmé par le Premier Ministre Cazeneuve avec des clauses environnementale, et publié au Journal Officiel le 11 février 2017. L’exécution de ce PERM est supervisée par l’Etat, via la préfecture de l’Ariège.

    Cependant, le maire de la ville de Couflens, qui était en charge de la fermeture de l’exploitation, s’acharne à stopper le projet, pour des raisons expliquées ci-après. En particulier, il a exhumé un arrêté municipal de 1992 interdisant l’accès à tout véhicule à la seule route d’accès au carreau de la mine, alors que de nombreux véhicules ont circulé sur cette route depuis 25 ans sans difficulté. Mme la Préfète de l’Ariège, Marie LAJUS, a saisi la Justice en référé pour « détournement de pouvoir » et « application discriminatoire d’un arrêté municipal », contre le maire de Couflens. Mais le Tribunal Administratif a rejeté cette requête de la préfecture. 

    De ce fait, la circulation de tout véhicule est interdite sur la route d’accès à la mine. Or la mine de Salau présente en ce moment même deux risques majeurs : les rejets miniers et le PCB des transformateurs.

    Les rejets miniers présentent un risque géotechnique majeur !

    Ceux-ci correspondent à deux tas déversés sur la pente du Carreau 1230 de la mine et sur le Plat des Pommiers en contre-bas. Au total, ces déchets représentent environ 1 million de tonnes de résidus de traitement constitués par les restes du minerai broyé, une fois la plus grande partie du tungstène (sous forme d’un minéral : la scheelite) retiré. Ces tas sont restés à l’abandon sur une forte pente pendant plus de 40 années ; aucune étude sérieuse de leur impact environnemental ne fut réalisée.

    Les résidus sont donc constitués d’une roche réduite en poudre, d’une granulométrie très fine : 60 µ. Aujourd’hui encore, ils restent très peu végétalisés, mais cette caractéristique n’est pas liée à une toxicité particulière et peut aisément s’expliquer :

    • Il s’agit d’une roche en poudre : milieu particulièrement peu fertile pour la végétation
    • Ils subissent un fort phénomène d’érosion sur la pente, ce qui handicape la végétalisation.

    Ils présentent des traces de métaux et métalloïdes, mais dans des proportions faibles pour ce genre de matériau, et l’étude halieutique effectuée dans le ruisseau du Cougnet qui érode le bas de ces tas n’a pas révélé une contamination de la faune aquatique par ces métaux et métalloïdes.

    Cependant, si ces tas n’ont que peu ou pas d’impact sur une contamination chimique, ils présentent un risque géotechnique majeur pour l’environnement.

    Ces tas sont constitués par une pulpe de roche pulvérulente de granulométrie moyenne de 60µ. Ils ont été déposés sur une pente forte, plus de 45 degrés, et sur une membrane géotechnique étanche qui empêche son drainage par infiltration.

    A l’extérieur du tas, l’exposition à l’oxygène de l’air a provoqué la formation d’une croute indurée (principalement des oxydes de fer, d’où la couleur rouge des tas) qui donne l’apparence d’une bonne stabilité.

    Toutefois, à l’intérieur du tas et sous la protection de cette croute d’oxydes, il reste possible (probable ?) que ces rejets forment un matériau très différent, riche en eau et pouvant s’apparenter à un gel (milieu thixotrope). Dans cette hypothèse, un évènement extérieur comme une inondation ou une avalanche, pourrait entrainer le fluage des tas et le déversement de plusieurs dizaines voire centaines de milliers de tonnes d’une boue très fluide dans le cours d’eau le Cougnet. Cela pourrait entrainer une pollution massive par asphyxie des cours d’eau jusqu’à en affecter la Garonne.

    Des catastrophes de ce genre arrivent fréquemment sur des sites miniers. Il est urgent de vérifier la stabilité de ces tas par des sondages géotechniques (technologie des sondages soniques) qui devraient être entrepris dès le printemps pour peu que les problèmes d’accès à la mine soient résolus.

    Mines du Salat, le porteur du projet PERM, a planifié une série d’études pour évaluer la possibilité de réintroduire ces rejets dans l’ancienne mine en les incorporant dans le circuit de traitement du minerai d’une future exploitation. Il serait ainsi fait la démonstration que loin de générer des pollutions supplémentaires, une mine responsable peut contribuer à restaurer un environnement dégradé.

    du PCB dans l’eau du Cougnet

    Les journalistes d’investigation de la revue mensuelle l’Ariégeois magazine ont révélé la présence dans la mine de 5 transformateurs ayant contenu du PCB (pyralène) et partiellement vidés mais non décontaminés, ainsi que celle d’autres transformateurs encore pleins.

    Les études réalisées récemment par Géodéris auraient montré des traces de PCB dans l’eau du Cougnet (le torrent qui draine l’entrée de la mine). Cette contamination est confirmée par l’étude halieutique commandée par Mines du Salat qui révèle la présence de PCB dans la chair des truites de ce même torrent. On rappellera la longue persistance des PCB dans l’environnement et leur capacité à se concentrer dans la chaine alimentaire.

    Il est donc urgent de procéder à l’évaluation de ce risque et de retirer au plus tôt ces transformateurs de la mine afin de stopper cette contamination particulièrement grave. Il apparait aujourd’hui évident qu’ils sont la source des contaminations constatées.

    Jérôme Azéma en tant que référent de LaREM09 a contacté immédiatement les services de l‘Etat (préfecture, services du premier ministre, des ministères de l’a transition écologique et solidaire, et de la santé), car il appartient à l’Etat d’imposer la réouverture de l’accès au carreau de la mine dans les plus brefs délais.

  • Après deux ans de travaux, le « Rond-point » a ouvert ses portes à Lavelanet

    Après deux ans de travaux, le « Rond-point » a ouvert ses portes à Lavelanet

    Le Rond-Point
    22 Place Albert Gabarrou – Lavelanet
    05 61 02 99 90