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  • L’Ariège en force au salon de l’éducation numérique à Paris Porte de Versailles

    L’Ariège en force au salon de l’éducation numérique à Paris Porte de Versailles

    L’ÉQUIPE DE L’UNIVERSITÉ D’ÉTÉ DE LUDOVIA  ÉTAIT PRÉSENTE SUR LE SALON EDUCATEC-EDUCATICE DE PARIS PENDANT TROIS JOURS RICHES EN RENCONTRES ET EN DISCUSSIONS.

    L’équipe de Ludovia vient chaque année au salon de l’éducation pour faire la promotion de l’Université d’été qui a lieu chaque année en Ariège et sur Ax-les-Thermes. L’occasion pour dévoiler les nouvelles orientations de la nouvelle édition, prendre contact avec les partenaires et faire la promo de l’Ariège par la même occasion. Comme chaque année, en sus de la présence sur un stand, le Mercredi 16 novembre avait  lieu la conférence de synthèse Ludovia#13 et l’annonce des perspectives pour 2017.

    Le thème de la 17ème édition LUDOVIA tournera autour de « Partages, échanges et contributions »…

    Des premiers échos recueillis sur le salon, ce thème semblerait susciter un certain engouement et « transporteraient » déjà certains participants habitués à Ax-les-thermes…

    Alors Rendez-vous est donné du 22 au 25 août 2017 dans l’Ariège sur le site mythique du « Learning village d’Ax » et de ses bains chauds naturels.

    Kamel Chibli Vice-Président en charge de l’éducation de la région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée, partenaire de l’Université d’été, était présent vendredi pour participer à une conférence sur le salon et en a profité pour venir soutenir la « Team » Ludovia.

    Prochaines étapes dans la vie de ce Ludovia#14 : l’appel à communications scientifiques en décembre, le site web en janvier, l’appel à intervenants pour les divers ateliers en février et l’appel à intervenants auprès des collectivités locales pour le 9ème séminaire collectivités locales « Etablissement du XXIème siècle & numérique ».photo_standequipeariege

    De nombreux (es) ariégeois(e)s, de passage à Paris sont venus se retrouver sur le stand LUDOVIA pour partager un verre de l’amitié, Jamel El aichi (Mas d’Azil), Nicolas Micas (CD09), Gérard Borios, Kristophe Léonard (Lavelanet), Isabelle Lesage (Pamiers), Françoise Pancaldi (élue à Pamiers en charge de l’éducation), Aurélie Boussac, Frederic Bourrinet, Claude Iglesis, et bien d’autres..

    (En photo à la Une : Aurélie Julien chef de projet LUDOVIA pour cette nouvelle édition, Laurence Guerrey Azinat.com et Kamel Chibli VP Région Occitane en charge de l’éducation et de la Jeunesse et des Sports)

  • France Sapin Bio, pour un Noël bio et local

    France Sapin Bio, pour un Noël bio et local

    France Sapin Bio créée en septembre 2013 a pour but de commercialiser les premiers sapins de Noël issus de l’agriculture Biologique. Seulement 1% des producteurs de sapin de Noël Français cultivent leurs arbres sans produits chimiques, et Michel Vuillier est l’un des seuls producteurs certifié et labélisé !

    Dernier maillon d’une longue lignée d’hommes de la terre, agriculteurs et forestiers depuis quatorze générations, Michel Vuillier a repris l’exploitation paternelle dans les années 1980.

    A l’époque les terres étaient consacrées à la culture du tournesol et divers autres productions céréalières, ainsi que quelques sapins 800 à 1000, rien de comparable aux productions actuelles.

    Une nouvelle dynamique s’est déclenchée en 2007 pour le premier Noël de l’A 380. Il fallait un beau sapin et Michel Vuillier fut le seul producteur à répondre présent avec un arbre de 18 mètres de haut.

    La création de « France Sapin Bio » est venue à la suite d’une demande faite par un grossiste du marché-gare de Toulouse se plaignant de devoir importer des sapins du Danemark ou de Belgique, la France et particulièrement le sud-ouest accusant un déficit de production.

    Michel a eu l’idée de développer sa production pour répondre à la demande du marché français. Producteur bio, il a donc continué sa logique en devenant le premier producteur de sapin bio français et le plus gros producteur Européen.

    Les portes ouvertes « Viens choisir et couper ton sapin » auront lieu le 3 décembre de 10h00 à 17h00, à la canadienne : les clients viennent choisir leur sapin dans la plantation

    Nordmann ou épicéa ? Odorant ou résistant ? Grand ou petit ? Touffu ou élancé ? Vous aurez l’embarras du choix… mais la garantie d’un sapin de Noël 100% local et cultivé dans le respect de l’environnement, car l’agriculture biologique ne se cantonne pas qu’à l’alimentaire !

    Le sapin de Noël est un symbole de la magie de Noël. Il est spécialement mis en culture pour ce moment de fête.
    Alors… si on a le choix, autant acheter un sapin cultivé en France, qui développe l’économie d’une région, et qui respecte notre planète.

    Contacts :
    France Sapin Bio
    Belloc 
    09200 Montjoie en Couserans
    Tél. : 05 61 66 54 40
    francesapinbio@gmail.com
    www.francesapinbio.fr

  • Perrine Laffont : « La saison va reprendre en décembre ! »

    Perrine Laffont : « La saison va reprendre en décembre ! »

    Nous avons rencontré Perrine Laffont notre « double » championne du Monde de ski de bosses lors d’une journée d’étude sur les Monts d’Olmes où elle avait bien voulu soutenir et préter son image à cette station qui l’a vu prendre ses premières marques en ski. L’occasion pour nous de prendre le pouls du moral et de la forme de cette jeune athlète ariégeoise hors du commun.

    Après un entraînement qui ne s’arrête visiblement jamais, même en vacances, après un Bac en poche à l’entrée de l’été, Perrine reprend les entraînements sur les pistes dès aujourd’hui à Tignes (sur le glacier) et les compétitions début décembre.

    « Le Bac en poche, maintenant je vais me consacrer essentiellement au ski »

    Au vu des premières descentes de ces jours-ci (voir sa page Facebook), les reprise sur les bosses sont prometteuses et ce « qui a été mis en place cet été » devrait porter ses fruits, en tout cas nous l’espérons tous, et elle aussi avant tout !

    Le détail  de son entrainement en interview vidéo de 4 minutes.

  • Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    A l’occasion de la sortie de son sixième ouvrage «Stupéfiante fenaison», le plus rital des ariégeois, l’écrivain Verino Piedigrossi, est venu nous rendre visite et nous a parlé en toute amitié, de sa vie et de ses livres.

    Originaire des Abruzzes, une région du sud de l’Italie, Verino débarque en Ariège le 13 décembre 1947 à l’âge de huit ans. Sa famille s’installe dans le petit village de Vicdessos, dans une maison  donnée par l’entreprise Péchiney où son père travaille depuis six mois. 

    Après avoir passé un C.A.P de chaudronnerie, Verino suit les traces de son père et commence sa carrière à Péchiney, alors la plus grosse industrie du département. Il y restera dix ans puis, voulant « repousser ses horizons », il s’engage dans une carrière commerciale. 

    C’est à l’âge de soixante six ans qu’il décide d’écrire : «J‘ai voulu laisser une trace à mes enfants, mes petits-enfants, mes neveux et nièces qui sont nés en France, et comme j’étais le mieux à même de la famille à pouvoir traduire notre histoire, je me suis mis à l’écrire. J’ai écris sept pages, je l’ai fait lire autour de moi, ma femme mes enfants… qui m’ont incité à aller plus loin. Alors de sept pages j’ai fini à trois cents pages». Cette histoire il l’a intitulée «L’odyssée d’un rital» dans laquelle il retrace l’exode chaotique de sa famille et la mise en place et le parcours de chacun.

    Bien qu’il en soit à son sixième livre, «L’odyssée d’un Rital» reste, nous explique t’il, sa locomotive. «Les autres sont les wagons. Même si j’y ai mis la même passion, «L’odyssée d’un Rital», étant une autobiographie, c’est plus émouvant et plus attachant, on se reconnait dans cette histoire que l’on soit français de souche, italien, espagnol, ou qui que ce soit.»

    Viendront ensuite deux romans, «Le berger du vallon rouge» et «Le violon sous le toit», un roman policier, «Le sarbacanier du clair de lune», et un essai sur l’environnement, «La triade infernale».

    Cette année c’est donc «Stupéfiante fenaison», son troisième roman et sixième ouvrage qui vient de sortir. Une troisième fiction qui débute dans une région agricole des Hautes-Pyrénées, entre Lannemezan et Auch. Un croisement, un abri-bus, une voiture qui s’arrête, un passager qui descend dépose deux mallettes et repars aussitôt, tout cela sous l’oeil curieux d’un agriculteur… Nous n’en dirons pas plus. 

    «Avec cette histoire, contrairement aux autres, je ne savais pas ou j’allais. Elle m’est venue d’une simple phrase que j’ai posé sur un papier en voyant ce paysage. J’ai créé les personnages et puis je me suis contenté de les suivre, et je les ai suivi pendant trois ans. C’est le seul que j’ai écris en trois ans mais je suis content du résultat parce que je me croyais incapable d’écrire un tel roman.»

    verino-piedigrossi.pagesperso-orange.fr

     

     

  • Sauver l’humanité avec un Mars, Chroniques d’Olivier de Robert

    Sauver l’humanité avec un Mars, Chroniques d’Olivier de Robert

     
    Il y a chez les puissants de ce monde (non, pas les politiques, les milliardaires) de curieuses lubies comme celle d’Elon Musk qui s’est mis en tête de sauver l’humanité.

    Comment ? En l’envoyant sur Mars… A mon avis, on est pas rendu si on s’y prend comme ça pour sauver le monde !

  • Margaux, GOOD AS … New Zealand

    Margaux, GOOD AS … New Zealand

    Avant d’entrer dans le vif du sujet et de vous raconter mes derniers 30 jours aux pays des Maori, je vous remercie à tous pour vos messages et vous rassure, je vais bien.

    En fait pour la petite histoire et alors que je dormais paisiblement dans mon van sur un parking discret près d’Auckland, c’est Juliette (Canopée Lit, Quebec 2015) qui, depuis le Quebec m’a réveillée aux aurores en me demandant si j’allais bien, suite au tremblement de terre ! C’est donc là que j’ai appris les événements … et que j’ai également réalisée que j’étais passablement coupée du monde et des infos … bref, je vous rassure, je suis en sécurité et je vais bien, merci de vous inquiéter et revenons donc à nos moutons.

    3Deuxième mois en Nouvelle Zélande et je fête tout juste les 8 000 kilomètres parcourus avec Duka, mon cher van, mon compagnon de route. Je ne l’ai pas ménagé ces dernières semaines … alors il toussote un peu, le ralenti est trop bas, l’huile fuit par ci et par là, mais il est solide et suit sa route (sans mauvais jeu de mots !) et inutile de vous dire que du Nord au Sud et d’Est en Ouest je commence à bien connaitre le Poisson de Maui (Te Ika-a-Maui, nom Maori de l’île nord).

    J’apprends beaucoup sur l’histoire et les traditions maories. Quelques mots aussi … les indispensables, bonjour : Kia ora ; au revoir : Haere rā ; rivière : Awa (tout aussi important, croyez moi) et les légendes aussi stupéfiantes que la géologie locale … et la politique énergétique : figurez-vous qu’il n’y a aucune centrale nucléaire ici, bon d’un autre côté, il y a toujours des sacs plastiques au supermarché et presque 1 voiture par habitant. Pas par foyer. Par habitant !

    4Pour la photographe que je suis, les contrastes omniprésents sont tous les jours plus saisissants. Je ne me lasse pas de regarder les petites collines vertes vallonner l’horizon. Tout est si différent et si familier. Les villes ressemblent à nos villes, mais il y a des palmiers à chaque coins de rues … L’Amérique est bien implanté et grâce à elle, le McDonald’s de Te Awamutu ressemble à s’y méprendre à celui de Foix. Tout est pareil mais autrement ! C’est saisissant.

    Après moult péripéties, j’ai réussi à réunir l’intégralité des papiers nécessaires pour travailler et être en règle avec l’administration kiwi. Je vais pouvoir me lancer … répondre aux « Now Hiring » sur les devantures des magasins … ou proposer mes services pour ramasser des fruits ! En tous cas, la saison touristique arrive à grand pas et il y a profusion de jobs saisonniers. Et oui !! C’est « mon année à deux étés » !! Il ne me reste plus qu’à trouver LA bonne annonce, celle qui me permettra de vivre pleinement cette expérience Néo-Zélandaise.

    J’ai hâte de vivre proche de kiwi, des locaux. Je ne me fais toujours pas à leur accent qui agresse les littéralement les tympans de tout nouvel arrivant, car outre le « jargon » local, les syllabes mangées et les mots-valises … ici on rajoute des exclamations à la fin des phrases et on invente des mots ! Sacré challenge cette année anglophone 24/7 !

    On m’a demandé plusieurs fois si je n’étais pas « Yankee », comprenez américaine, à cause de mon non-accent français : «NON NON aïe ème fraume France beute wi donte spique ole laike zat ».

    5En parlant de français, j’en croise partout, tout le temps. Des allemands aussi, beaucoup. Les Européens voyagent, ça questionne non ? En tout cas, à les écouter ils sont tous à la recherche de quelque chose, un ailleurs meilleur je suppose !

    En attendant, je dois aller chercher ma pote de fac Manon qui débarque en Nouvelle Zélande pour 8 mois avec son copain Pierre. Tout deux arrivent mardi et je me suis déjà proposée de les accueillir. La gentillesse Néo-Zélandaise me colle à la peau 😉 En tout cas, on va partager quelques heures ensemble avant qu’ils entament cette année en PVT avec un programme déjà chargé.

    Et après ? Je prépare un déménagement. Pas le mien, mais celui de Virginia et sa famille qui m’accueillent quelques semaines à partir de mi-novembre, mais je vous raconterai tout ça le mois prochain !

    Ka kite ano 😉
    À bientôt

    Kilomètres parcourus depuis le 25 août 2016 : 34.971 kms
    19.510
      en avion

    3.898 en bus
    1.024 en train
    10.489 en voiture
    50 en bateau

    Toute l’aventure de Margaux sur : margauxvallet.wixsite.com

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  • « Les 2es Rencontres de l’Ariège » : six réunions publiques pour préparer l’avenir de l’Ariège avec les Ariégeois

    « Les 2es Rencontres de l’Ariège » : six réunions publiques pour préparer l’avenir de l’Ariège avec les Ariégeois

    En novembre 2015, Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental, avait proposé aux Ariégeoises et aux Ariégeois d’échanger publiquement sur les grands projets du territoire dans une démarche participative et citoyenne. A l’issue de ces rencontres, l’Assemblée départementale examinait le débat d’orientations budgétaires (DOB), préfigurateur du budget 2016.

    presse-rencontres-elusDans le cadre du DOB 2017 et en compagnie des vice-présidents du Conseil Départemental, délégués à l’aménagement du territoire, à la solidarité, aux routes et travaux publics, à l’éducation et aux transports, aux finances ou encore à la culture et à la jeunesse, Henri Nayrou renouvelle l’initiative et organise des réunions publiques durant lesquelles il évoquera les projets engagés mais aussi ceux à venir. Il répondra surtout à toutes les interrogations et aux échanges qui lui seront proposés.

    Afin de permettre au plus grand nombre de participer à ces « 2es Rencontres de l’Ariège », chacun a la possibilité de poser sa (ou ses) question(s) en amont, via l’adresse électronique : comdir@ariege.fr. Toutes les réponses seront apportées à l’occasion de ces réunions publiques.

    « Les Rencontres de l’Ariège », inspirées des séances publiques organisées depuis une dizaine d’années par le Département, se déclinent donc selon les modalités suivantes :

    Arize et Lèze : mardi 29 novembre, à 18 heures, au Fossat (salle multimédia).
    – Couserans : mercredi 30 novembre, à 18 heures, à Saint-Girons (salle Max-Linder).
    – Foix et Val d’Ariège : jeudi 1er décembre, à 18 heures, à Montgailhard (Forges de Pyrène).
    – Pays d’Olmes et Mirepoix : mardi 6 décembre, à 18 heures, à Lavelanet (salle du Casino).
    – Pamiers et Portes d’Ariège : mercredi 7 décembre, à 18 heures, à Pamiers (salle Espalioux).
    – Sabarthès et Haute Ariège : jeudi 8 décembre, à 18 heures, à Tarascon (espace multimédia).

    Toutes les Ariégeoises et tous les Ariégeois sont invités à participer à ces temps d’échanges et de débats.

    Renseignements complémentaires : www.ariege.fr ou facebook.com/conseil.departemental.ariege

  • Saint-Jean-de-Verges, sur les routes en Ariège

    Saint-Jean-de-Verges, sur les routes en Ariège

    En latin « Sanctus Joannes de Virginibus », sa position géographique lui a donné un parcours historique dans l’histoire du département de l’Ariège. Le « Pas de la Barre » marque la frontière entre la plaine et la zone de montagne qui sera, au Moyen Age, appelé le Sabarthès.

    Occupé sûrement dès la fin de l’age de Fer, il est certain que Saint Jean de Verges était habité par les Romains : un oppidum s’y trouvait (la « Tour d’Ops ou d’Opio »). De nombreuses fouilles (années 1853-1855 et reprises en 1963) ont révélé de nombreux objets.

    On a découvert, à diverses époques, en divers endroits du territoire de St Jean de Verges, des médailles grecques, celtiques, des monnaies romaines, des statues, des vases, des fibules, des bijoux ». 

    De cet habitat gallo-romain, l’on a tiré des colonnes de marbre blanc, des chapiteaux d’ordre corinthien, de nombreuses monnaies et amphores. Un temple consacré à la déesse Cybèle, déesse de la terre, s’y serait trouvé. A son propos, Duclos dans son « Histoire des ariégeois » dit que dans le temple de Cybèle (présent à St Jean de Verges) pouvaient seulement entrer les vierges vestales et le pontife public. Le temple est mis, ensuite, sous l’invocation de St Jean ; delà,  Saint Jean des Vierges devient St Jean de Verges

    Patrimoine 

    L’Église Saint-Jean Baptiste3 date du XIIème siècle et est classée aux Monuments historiques. Il s’agit d’une des plus belles églises romanes de l’Ariège. C’est en ce lieu qu’en 1229 le comte de Foix Roger-Bernard II dit le Grand vint se soumettre au roi de France et recevoir l’absolution pour avoir soutenu l’hérésie albigeoise. Elle a dépendu de l’abbaye Saint-Volusien de Foix à partir de 1104 comme l’a été l’église de Vals. Elle possède une nef de trois travées à vaisseau unique avec chœur et abside. Elle a deux petites dépendances formant un transept bas munis d’absidioles.

    Sources : Histariège / Wikipédia 

    Crédit Photo : Florent Pécassou

  • Zéro bijou pour les professionnels de santé de l’Ariège

    Zéro bijou pour les professionnels de santé de l’Ariège

    Une campagne Zéro bijou pour les professionnels de santé : « ma tenue de travail, c’est mains nues »

    affiche-lancement-0-bijou-2016-2017Les établissements du groupement hospitalier de Territoire des Pyrénées Ariègeoises (CHAC, CHPO, CHIVA, hôpitaux d’Ax et de Tarascon) et les instituts de formation du CHIVA s’associent pour promouvoir une campagne d’information «zéro bijou».

    Il s’agit d’une opération de sensibilisation destinée à faire adopter le bon comportement à tous les professionnels de santé : ma tenue de travail, c’est « mains nues ».

    Lancée à l’occasion de la semaine de la sécurité du patient, cette campagne  comprend plusieurs approches pédagogiques : évaluation initiale menée avec l’aide des étudiant(e)s en soins infirmiers, prélèvements sur bijoux, travail mené par les cadres de santé sur les représentations.  Elle se déroulera en plusieurs phases  qui s’étaleront de novembre 2016 à juillet 2017.

    Chaque établissement s’engage, par la signature d’une charte, à promouvoir et atteindre cet objectif commun : « Faire des mains nues un symbole et une valeur partagés par tous les professionnels soignants du territoire ».

  • L’Ariège présente à Saint-Germain des Neiges

    L’Ariège présente à Saint-Germain des Neiges

    Organisée par France Montagne, le département de l’Ariège invité par la Confédération Pyrénéenne du Tourisme, l’Agence de Développement Touristique sera présente à Paris ce week-end.

    Magique et unique ! Pendant 4 jours, les rues du quartier de Saint-Germain à Paris se parent de leurs plus beaux atouts pour offrir aux Parisiens une parenthèse enchantée en ce début d’hiver. Les bars sont métamorphosés en chalets aux couleurs des massifs.

    La Place Saint-Sulpice est transformée en station de montagne avec de nombreuses activités gratuites : Big Air, une piste de luge, un jardin des neiges, un simulateur de ski, une piste de ski de fond équipée d’un pas de tir à la carabine laser, pour ressentir les sensations du biathlon, des chiens de traîneau pour découvrir l’ambiance grand nord. Cette année, deux nouvelles animations sont proposées : un second espace biathlon et un espace bien-être composé d’un sauna bulle et d’un bain nordique. Prévoyez vos maillots de bain pour vivre une expérience unique !

    Bref, tout y est : l’ambiance, la musique, le décor, les activités comme si on était sur les pistes !

    Au programme de l’édition 2016 :
    Principales animations Place St-Sulpice
    Big Air avec des démonstrations de sauts freestyle en ski ou snowboard
    Espace Bien-être avec un sauna et bain nordique
    Piste de luge
    Simulateur de ski
    Jardin des neiges
    Espace biathlon
    Chiens de traîneau
    Dégustations de spécialités montagnardes (fromages, douceurs sucrées, chocolat chaud, bières locales et de la Brasserie du Mont Blanc…)
    Fabrication de Reblochon
    Sculpture sur bois
    etc.

  • La citrouille en vedette dans les assiettes des 5.000 collégiens !

    La citrouille en vedette dans les assiettes des 5.000 collégiens !

    Pour les quelque 5.000 demi-pensionnaires des collèges ariégeois*, un jeudi par mois est dédié aux saveurs et aux produits locaux. Après le poulet en octobre, la citrouille ariégeoise sera en vedette dans les assiettes au cours de ce mois de novembre. 

    Le repas ariégeois dans lequel les produits locaux entrent majoritairement dans la composition des menus servis aux collégiens du département est renouvelé chaque mois, en partenariat avec les responsables et les chefs cuisiniers des établissements ainsi que des diététiciennes du département. 

    Pour le Conseil Départemental, cette démarche correspond à la politique engagée depuis 2008 dans le but de proposer au moins un repas par mois, concocté à base de produits locaux. Une initiative qui a pour principaux objectifs d’améliorer la qualité de la restauration dans les collèges, de soutenir les filières agricoles locales, et de sensibiliser les élèves sur l’origine et la diversité des goûts de l’ensemble des produits. 

    * Les collèges de Vicdessos et Mirepoix ne participent pas à l’opération, ne disposant pas d’un service de restauration géré par le Département. 

    Source : CD09

  • Manuel de survie à l’usage des non-geeks, Tome I, Chroniques d’Olivier de Robert

    Manuel de survie à l’usage des non-geeks, Tome I, Chroniques d’Olivier de Robert

    Le bluetooth n’est pas le truc le plus difficile à utilise pour les non-geeks (quoi que…) mais pas le plus facile non plus. Mais le plus épouvantable reste sa prononciation ! Heureusement, l’histoire du mot peut vous sauver, car histoire il y a…