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  • Roquefixade, Rendez-vous autour du terroir – 18 juin

    Roquefixade, Rendez-vous autour du terroir – 18 juin

    17h30 : Conférence « les métiers de bouche au Moyen-Age »

    Le Pays d’Art et d’Histoire vous propose une conférence avec Mme Clémentine Stunault – en partenariat avec la Chambre des Métiers et de l’Industrie de l’Ariège, intervention de Damien Biard (Artisan de bouche en Pyrénées Cathares – Maison Biard (Mirepoix/Varilhes))

    Organisé en partenariat avec la démarche « Renforcement des filières alimentaires en Pyrénées Cathares »

    Au Moyen-âge, comme de nos jours, l’alimentation constituait un véritable marqueur social, et les pratiques de consommation alimentaire permettaient de se distinguer du reste de la société. Une part importante de la nourriture consommée au Moyen-Âge, et notamment dans les villes, était fournie par des métiers de bouche parfois très spécialisés. Clémentine Stunault, professeure agrégée d’histoire, travaille sur les métiers de l’alimentation, et dressera un tableau de ces professions, des rapports qu’elles entretenaient entre-elles, de leur rôle dans l’alimentation des habitants, et des liens forts avec les Pyrénées.

    → RDV : Sur la place – Conférence dans l’église

    19h30 : Repas « Cœur de Terroir »

    Réalisé par l’Auberge des Troubadours et Les Sapins à base de produits locaux – Place du village
    Accompagné par l’Orchestre de Chambre d’Hôte « Du Haut des Pyrénées » avec Jean-Paul Raffit (guitare) et Frédérik Lacourt (Saxophone)

    MENU « COEUR DE TERROIR »

    Apéritif : Hypocras (blanc et rouge) et feuilleté

    Entrée : Mise en bouche surprise  et Rose de saumon fumé, mousseline de truite au curcumin et fenouil

    Plat : Roulé de pintade à la rouzolle, légume du moment

    Fromage : Pyramide de fromages

    Dessert : Bavarois aux fruits et croquant à la lavande

    Réservations obligatoires pour le repas (places limitées) au 05 61 05 52 03 – 38 euros la soirée

    www.pyreneescathares-producteurs.fr

    www.pyreneescathares-patrimoine.fr

  • Workshop en Pays d’art et d’histoire, à la reconquête des friches industrielles.

    Workshop en Pays d’art et d’histoire, à la reconquête des friches industrielles.

    Du 23 au 29 avril 2016, le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares en collaboration avec la DDT de l’Ariège, a organisé un atelier (workshop) de territoire sur la thématique de la reconversion des friches industrielles du territoire du Pays des Pyrénées Cathares. Une démarche qui s’inscrit dans le cadre du dispositif AIDER (Appui Interministériel au Développement et à l’expertise en Espace Rural).

    Durant 7 jours, une cinquantaine d’étudiants de tous horizons, de France et d’Europe, spécialisés en architecture, en urbanisme, en sociologie ou encore en économie ont visité 5 friches industrielles et se sont entretenus avec les élus et la population.

    Ils ont travaillé à la reconquête de ces friches. Leur défi : s’interroger sur le passé pour mieux penser le futur, répondre à des problématiques liées à l’histoire, à l’économie, à l’architecture, à l’espace urbain, à la ruralité, etc.

    Ces friches industrielles qui font partie de l’environnement immédiat de la population et véhiculent aujourd’hui une image négative et de déclin, sont le témoin important d’une période florissante de l’industrie.

    Mais  au delà de ce workshop, c’est aussi un travail de mémoire à destination de la population qu’a voulu entreprendre le Pays d’art et d’histoire à travers une série d’animations

    Une conférence sur « l’aventure de la laine », dirigé par Jean-Michel Minovez, professeur d’histoire moderne à l’université de Toulouse Jean-Jaurès et spécialiste de l’histoire proto-industrielle, au cours de laquelle il a expliqué comment ce pays faiblement industriel a pu se développer face aux territoires majeurs ?

    Une conférence sur le « Paysage et industrie » menée par Agnès Legendre, directrice du CAUE de l’Ariège dans laquelle elle a abordé le développement de l’industrie textile qui a considérablement transformé le paysage du pays des Pyrénées Cathares

    Et enfin une soirée à la mémoire des anciens ouvriers du textileDes acteurs phares de l’industrie textile ont raconté leur histoire, leur expérience, pour faire vivre la mémoire ouvrière du Pays d’Olmes. Ce fut une expérience unique au sein même d’une ancienne friche industrielle reconvertie en brasserie artisanale par Marie Guera, « Le grand bison« .

    « Les portes ouvertes, c’était le coeur de Lavelanet, on entendait le battement des métiers à tisser, ça c’était le coeur. » se souvient Mady de la Giraudière, « Et le jour où ça na plus battu…« 

    C’est également pour cela que ce travail de mémoire est important. Pour que l’Histoire industrielle continue à faire la fierté des habitants de ce territoire et soit porteuse d’identité et de valeurs.

    Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares
    32, rue Jean Jaures
    09300 LAVELANET
    05 61 05 52 03

    www.pyreneescathares-patrimoine.fr

  • 11 bouquetins de plus pour les Pyrénées ariégeoises

    11 bouquetins de plus pour les Pyrénées ariégeoises

    Ils sont 11 à avoir foulé le sol pyrénéen mardi dernier. Ce 6ème lâcher ariégeois comprenait 5 femelles et 6 mâles, toujours en provenance de la Sierra de Guadarrama en Espagne.

    En 2016, les bouquetins sont lâchés sur un nouveau site afin de créer un second noyau de population. Après un lâcher à Gèdre le 8 avril dernier par le Parc national des Pyrénées, c’est au tour de la commune d’Aulus-les-Bains d’accueillir de nouveaux hôtes. C’est donc au lieu-dit Coumebière, près de l’Etang de Lers, que le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises a effectué ce lâcher.

    La route d’accès au col d’Agnes étant fermée jusqu’au 4 mai, le public n’a pu assister à cet évènement et seul le personnel technique nécessaire à l’opération était présent.

    Le camion transportant les bouquetins est arrivé à 20h sur le site où l’attendait le personnel du PNR des Pyrénées Ariégeoises, de la Fédération des chasseurs de l’Ariège, de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, du centre vétérinaire du Chat Perché, des communes et des associations communales de chasse agréées d’Aulus-les-Bains et d’Ustou, de l’Office national des forêts, de l’association des Amis du Parc, de la Direction départementale des territoires ainsi que les gendarmes et les pompiers afin d’assurer la sécurité.

    Les caisses ont été transportées sur 300m jusqu’au site de lâcher dans le brouillard qui s’était installé. Au signal, toutes les caisses ont été ouvertes et les animaux se sont élancés vers la forêt et ont disparu dans la brume.

    Au moins deux autres lâchers sont prévus cette année sur le site de Coumebière pour lesquels le public ainsi que les scolaires seront conviés. Donc le rendez-vous est pris pour le suivant !

    Retrouvez toute l’actualité de la réintroduction et des nouvelles des animaux sur le site internet www.bouquetin-pyrenees.fr .

    Contacts Bouquetin ibérique – Ariège :
    Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises
    Yannick Barascud & Jordi Estèbe
    05.61.02.71.69 – info@parc-pyrenees-ariegeoises.fr

  • Lâcher d’ours chez nos voisins espagnols

    Lâcher d’ours chez nos voisins espagnols

    Les autorités de Catalogne s’apprêtent à procéder à un lâcher d’ours mâle dans les Pyrénées d’ici le 30 mai 2016, apprend-on dans les colonnes de la Dépêche du Midi.

    Si l’endroit exact n’est pas encore connu, on sait qu’il se situera dans le parc de l’Alt Pyreneu, à proximité de la frontière française et de l’Ariège.

    Si, de ce côté des Pyrénées, la réintroduction de l’ours a toujours été un sujet très sensible, il n’en est pas de même de l’autre coté du massif.

    Mais reste à savoir si notre ours espagnol gardera ses distances avec la frontière et ne sera pas attiré pas nos belles femelles ariégeoises.

    Une affaire à suivre !

    Voir l’article de la Dépêche

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

  • Appy, sur les routes en Ariège

    Appy, sur les routes en Ariège

    A l’origine, la petite commune d’Appy était située dans l’immense Comté de Toulouse, puis de Carcassonne.

    On trouve la première mention d’Appy en 1074, dans une donation des comtes de Foix à l’abbaye de Cluny, sous l’appellation de « Pinus ».

    A cette époque, il s’agit d’une communauté sans église appartenant à la paroisse d’Axiat.

    Ses habitants sont appelés les Pynarols et les Pynaroles

    Insolite

    Le village est devenu presque inhabité, à tel point qu’il y eut une période de 64 ans sans aucun mariage : le mariage de deux habitants, en 1946, et celui de 2010 qui fit l’objet d’un article dans La Dépêche du Midi pour l’occasion

    De nos jours, bien qu’Appy soit l’une des plus petites communes de France, la commune contribue à une exploitation mondialement connue : celle des carrières de talc de Luzenac

    Le bel étang d’Appy

    Bien connu des pêcheurs de truite, le bel étang d’Appy accueille pour un moment de détente tous ceux qui veulent simplement gouter le plaisir d’être en montagne.

    A l’est, le Pic de Saint-Barthélémy (2348m ) pourra tenter les plus téméraires.

    Une petite escapade jusqu’au col de l’étang d’Appy offre une belle vue d’ensemble sur l’étang et son cirque.

    Sources :
    www.rando-marche.fr
    www.photosariege.com
    www.histariege.com/appy

     

  • Le Noste Courtiu à Orgibet.

    Le Noste Courtiu à Orgibet.

    noste-courtiu

    Noste Courtiu, litteralement : notre cour, donc singulier de nosti courtius.

    Cette appellation est inspiré par un recueil littéraire en gascon local Nosti Courtius réalisé par Jean CASTET (1883-1961) qui fut curé de Balagué et auteur très prisé des jurys floraux gascons.

    Les courtius  y sont ainsi définis :

    «  petites cours entourées de maisons où les voisins se réunissent pour s’y reposer en plein air et échanger leurs impressions. Le terme qui s’étend aux basses-cours, jardins et vergers immédiats ayant ces petites cours pour centre, comme autant de petites places publiques, est devenu le symbole des relations humaines dans les villages montagnards du Couserans ».

    Le Noste Courtiu est un café, un restaurant, une petite épicerie, peut-être bien un bistrot… Dans tous les cas un véritable lieu de vie et d’échange pour la vallée.
    Vous pourrez y boire un jus de pommes local en lisant le journal, vous retrouver autour d’un verre avec des amis, assister à un spectacle ou un concert… Ou,  vous installer sur la terrasse, tranquillement et  regarder la montagne, les Milans et les Gypaètes tournoyer dans le ciel…

    Vous pourrez vous laisser tenter par un encas plus léger, ou,  pourquoi pas, un plat à emporter ! Retrouvez nos menus dans la section Le Café – Restaurant.

    Un petit coin épicerie, vous permettra de vous dépanner et de trouver les produits incontournables du pays… Miel, fromage, confitures, jus de fruits…

    De temps à autre, quelques notes de musique pourront retentir dans le village…

    Le Noste Courtiu fête ses 1 an les 29 – 30 avril et 1er mai

    Un triptyque musical et festif qui débutera par une soirée ou les Frangines sont à l’honneur, leurs voix, leurs talents, empreints de toute la finesse de leur humour et du brin de folie qui fait de la femme un pays, un voyage…

    Soirée dédiée à nos compagnes, à nos sœurs, à nos mères…
    Les Garçons, venez avec votre coté le plus féminin et la tenue qui va avec…

    « Le soleil et la femme semblent s’être partagé l’empire du monde : l’un nous donne les jours, l’autre les embellit. »
    Joseph SANIAL DUBAY

    Noste Courtiu
    route des Pyrénées
    09 800 ORGIBET
    05.61.02.60.17
    noste-courtiu.fr

  • la Tribu de Magda, un nouveau spectacle

    la Tribu de Magda, un nouveau spectacle

    tribu-magda_ariege

    L’Association La Tribu de Magda, créée au Mas d’Azil en 2005, propose tous les étés sur le site majeur de la grotte mondialement connue, un spectacle préhistorique « son et lumière ». On y retrouve toute la chronologie de l’évolution de l’homme et plus spécialement des femmes et des hommes du Mas-d’Azil.

    Nouveau bureau, nouveau spectacle et nouveau metteur en scène. Cette année la Tribu de Magda repart sur les chapeaux de roue avec la création d’un nouveau scénario, « Les Mystères de nos origines ».

    L’association, présidée par Philippe Marie, a mobilisé le talentueux Alain Marion pour mettre en scène ce nouveau projet. Tout a commencé depuis janvier avec l’organisation d’ateliers techniques (effets spéciaux, décors, bande son, costumes, accessoires) et artistiques (chants, danse et théâtre) grâce à l’activité soutenue de tous les bénévoles.

    Le spectacle aura lieu du 23 juillet au 15 août 2016.

    www.facebook.com/latribudemagda

  • ERDF Ariège fait le point sur le déploiement du compteur Linky

    ERDF Ariège fait le point sur le déploiement du compteur Linky

    Invité comme d’autres média par ERDF pour faire le point sur le déploiement du compteur Linky sur le département, nous avons fait le point sur ce compteur, qui fait polémique depuis 2007 en France et qui compte quelques opposants en Ariège, avec François Camerlinck, le tout nouveau directeur territorial Ariège du réseau.

    Linky est un compteur électrique avant tout. Il est fait tout d’abord pour compter les consommations électriques de l’abonné. C’est un compteur de nouvelle génération. On lui demande aujourd’hui d’envoyer les consommations vers un concentrateur pour mieux piloter le réseau. L’électricité ne se stockant pas, ERDF a en effet besoin de créer un équilibre permanent entre consommation et production sur son réseau. Linky a pour ambition de l’aider dans cette démarche.

    « Linky se situe aujourd’hui en plein dans les problématiques de développement durable, comme des sujets qui ont été évoqués lors de la COP 21 ; la pollution de l’air, les enjeux climatiques, … Face à ces constats, il paraît évident que l’utilisation de l’électricité va tendre à se développer  dans le futur! » précise François Camerlinck.

    Sur ce sujet, en Ariège on a la chance d’avoir des énergies renouvelables à disposition et à proximité car le département est bien placé avec sa production hydro-électrique, ce qui n’est pas forcement le cas pour tous les territoires.

    «Nous avons donc besoin de savoir comment vit notre réseau et c’est pourquoi Linky est important». Toutes ces innovations technologiques et ce nouveau compteur se font sous l’impulsion d’une directive européenne qui oblige les distributeurs à mettre en place des compteurs évolués ou dit « intelligents ».

    La facturation pour l’abonné devient donc réelle, ce qui par exemple pour l’Ariège, sera très intéressant pour les résidences secondaires.

    Avec Linky, plus besoin de perdre du temps pour relever les compteurs

    Plus de RTT à poser pour faire les relevés au compteur pour les abonnés ; la mise en service facilitée (dans le cas de logements inoccupés), fait visiblement de Linky un compteur qui améliore la situation des abonnés et leur propose beaucoup d’avantages, notamment une baisse du prix de la mise en service (prix divisé par deux par rapport à un compteur classique).

    Tout ce déploiement se fait accompagné par la commission nationale de régulation de l’énergie (CRE) pour qu’il n’y ait pas de distorsion de concurrence et pour qu’il y ait neutralité avec les différents fournisseurs d’électricité.

    Pourtant  le compteur « miracle » connaît ses détracteurs

    Linky utilise en effet le CPL (Courant Porteur) comme parfois la connexion ADSL utilisée aujourd’hui dans certains foyers ariégeois. Il envoie ses données entre minuit et six heures du matin. L’envoi de données est l’équivalent de 3 SMS.

    Il y a eu aussi des rumeurs en Ariège qui ont eu lieu sur le fait que des compteurs avaient brulé, mais en réalité, on dénombre un seul cas où le compteur a connu un échauffement, car mal posé par l’installateur.

    En ce qui concerne la fourniture de données personnelles grâce à Linky, matière à polémique, là aussi « le sujet n’a pas lieu d’être », explique François Camerlinck, alors que la CNIL a accepté le principe d’échange de données de consommation et les propositions d’ERDF.

    Les données appartiennent au consommateur mais elles sont anonymes. Pour autant, le client pourra avoir ses données de consommation sur un portail Internet dédié.

    Il pourra analyser ses consommations, jour après jour et les partager s’il le souhaite.

    En Ariège comme ailleurs, les compteurs en limite de propriété seront automatiquement changés. Le taux de refus du client pour avoir ou non un compteur Linky est de 2% en France et un petit peu plus en Ariège.

    A terme, il semblerait que le relevé de compteur « classique » deviendrait payant, ce qui apporte quelques crispations…

    Linky est l’occasion d’enclencher des oppositions et des combats politiques autour de la libéralisation de l’électricité en France.

    Certains maires en Ariège ont délibéré contre la pose des compteurs Linky sur leur commune notamment pour les raisons évoquées plus haut : Massat, Saint-Paul de Jarat, Loubaut, Engourtiech, Lesparrou, Saint-Félix de Tournegat font partie du lot et Esplas de Sérou le soumettra prochainement au vote.

    Pourtant, l’objectif en Ariège reste de 105 000 compteurs Linky installés en 2021 et le directeur territorial Ariège pour ERDF semble assuré d’arriver aux objectifs.

     

    Linky, histoire,  législation et finalité Le 1er distributeur français, ERDF, lance en 2007 le projet Linky (nom donné officiellement au compteur en mars 2009) afin de répondre à la directive européenne no 2009/72 qui impose aux pays de l’Union européenne de déployer des compteurs électriques évolués pour au moins 80 % des consommateurs du marché intérieur. Le gestionnaire de réseaux mène ensuite une expérimentation en 2009 et déploie 300 000 prototypes du compteur Linky dans les régions de Lyon et de Tours. Avant la fin de l’expérimentation, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) constitue un groupe de travail sur le sujet incluant la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés). Cette dernière a, à cette occasion, mis en garde EDF quant à la nécessité de « garanties sérieuses » sur la confidentialité des données, compte tenu du fait qu’à terme ces compteurs permettront de savoir « beaucoup de choses sur les occupants d’une habitation, comme leur horaire de réveil ou le moment où ils prennent une douche ». L’ADEME pose également des questions concernant le gain réel en économie d’énergie pour le consommateur, ne considérant pas celui-ci comme prouvé jusqu’alors et préconise une année supplémentaire de test, ainsi que l’ajout d’un mécanisme d’affichage supplémentaire relié au compteur et situé à l’intérieur du logement pour mieux informer le consommateur. Un an plus tard, la commission de régulation de l’énergie (CRE) publie finalement un avis favorable en juin 2011 et conclut que Linky respectait les critères d’évaluation Sources : Wikipedia