Étiquette : écrivain

  • Josette Elayi et les « Secrets de granit »

    Josette Elayi Escaich est née à Bordes sur Lez, dans la vallée du Couserans. Après des études secondaires au Lycée de Saint-Girons, elle quitte son Ariège natale pour des périples multiples, d’extrême Occident en extrême Orient. Elle a connu la guerre du Liban et vécu dans l’Irak de Saddam Hossein.

    Tour à tour professeur de lettres, chercheur au CNRS en histoire ancienne de la Phénicie, éditeur, essayiste et journaliste occasionnelle, elle a publié plus de 25 livres et de 200 articles, couronnés par deux prix à l’Académie et la légion d’honneur décernée par le Ministre de la recherche.

    Enrichie d’expériences si diverses, elle n’a jamais oublié l’Ariège qui est au centre de son deuxième et nouveau roman « Secrets de granit » paru chez l’harmatan.

    « Ce soir de mai 1979, dans une tranquille soirée de notables de Saint-Girons, la femme du notaire est empoisonnée sous leurs yeux. Elle porte à la nuque un étrange tatouage, qui va être le fil conducteur de l’enquête de François, professeur d’histoire, entre l’Ariège et Paris, entre le présent et le passé. Il espère ainsi retrouver le fil de sa vie et accepter le suicide de sa femme. Ce massif de granit qui constitue le socle essentiel des Pyrénées recèle en son cœur de terribles secrets qu’il a décidé d’affronter pour s’y perdre ou s’y retrouver. »

    « Même au cœur immense du désert et des sortilèges de ses mirages, j’ai toujours préservé en moi les racines secrètes d’une terre rude et sauvage et l’envoûtement de ses montagnes de granit. Telle est mon Ariège avec ses paysages imbibés de pluie et de brume, ses interminables hivers ensevelis dans la neige et le gel, la tendre douceur de ses printemps fleuris, ses étés rayonnants et ses automnes flamboyant de couleurs » Josette Elayi Escaich pour Azinat.com



    Liens externes

    Secrets de granit est en vente sur le site de l’éditeur : http://www.harmattan.fr et dans les librairies ariégeoises, dont   » La Mousson » et « A la lettre »  Saint-Girons

  • « La Triade Infernale » de Verino PIEDIGROSSI.

    Un ouvrage de Verino PIEDIGROSSI, auteur ariégeois d’une autobiographie : L’Odyssée d’un Rital ; d’un roman de terroir : Le berger du Vallon Rouge ; et d’un policier : Le Sarbacanier des clairs de lune.

    « C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l’écoute pas ». V. Hugo

    Dans La Triade Infernale, Verino PIEDIGROSSI propose ses réflexions sur l’environnement : Monde, Europe et France. Il a, sur papier – sans casque, gants et masque de protection – gravé ses constats et solutions à l’attention de tout terrien. Il invite les politiques et les « écologistes » de métier à plus de réalisme, et les industriels et usagers à un  comportement moins « chien fou » envers Dame Nature.

    Selon lui, la perpétuation de la biosphère, Mère de vie sur la Terre, passera par l’économie des matières autant premières que dernières, des sources énergétiques toutes confondues, et une régression considérable de biens de consommation « kleenex » ; ceux-là même qui font stupidement confondre utilités et futilités, et multiplier déchets et pollutions.

    L’auteur  de La Triade Infernale suggère de faire sienne la citation de René Dubos, agronome, biologiste et écologue (1901/1982) : « Agir local, penser global ».

    284 pages  Prix : 17€ – tel : 05 61 01 06 51

  • Des écrivains ariégeois au Salon du Livre de Montréal d’Aude.

    Les 17 et 18 septembre 2011, l’Union des Commerçants et Artisans de Montréal d’Aude organisent un salon du Livre et de la Maquette. Ce sera aussi une première avec ce premier Salon du Livre dont l’UCAM s’est appuyée sur l’expérience de Patrick Hierard et son Café Littéraire de Villeneuve les Montréal.

    Si à ce jour se sont près de 26 auteurs qui se sont inscrits, côté maquette on approche la vingtaine d’exposants. Concomitamment le samedi 17 au soir l’Oreille du Hibou sera aussi sur ce site pour proposer un Diner-Spectacle sur le thème de la musique Irlandaise. Il est fait aussi état d’une exposition de tableau sous l’égide de l’Oreille du Hibou.

    C’est un énorme challenge que d’organiser un salon du livre au temps ou la lecture n’est plus prisée voire même laissée pour compte au profit de l’électronique. Heureusement il existe encore des joyeux fous qui pensent que rien ne vaut un bon livre bien chaud qui sent bon. Les écrivains au nombre de plus de 26 ont déjà répondus présents les organisateurs pensaient limiter à 15 invités, mais comment refuser a un écrivain local le plaisir de parler de son livre ? Ce salon se voudra différent des salons du livre traditionnels. Nous souhaitons un salon convivial, de proximité. Nous n’invitons que des écrivains des départements limitrophes, Aude, Ariège, Pyrénées Orientales, et haute Garonne, afin de mieux les faire connaître. Nous leur donnerons un temps de parole, environ 5 minutes pour présenter leur livre, leur œuvre, ce qui ne se fait jamais dans les salons traditionnels. Autre innovation un jeu de piste  qui mènera les visiteurs de tables en table et y trouverons la réponse à un questionnaire, ainsi nous l’espérons le dialogue naîtra entre l’écrivain et son visiteur. Il y aura des livres à gagner. Nous avons d’autres idées encore qui feront que ce salon du livre bien que modeste et sans prétention, soit différent.

    Seront présents comme auteurs ariégeois /

    Georges patrick Gleize

    Xavier Malbreil

    Christine Clairmont

    Marie Guillon

    Denise Déjean

    Renseignement au 06 12 22 74 18


  • Les aventures de Germaine Soula

    Nouveauté dans notre boutique, une Bande Dessinée 100% ariégeoise, réalisée par  Jean-Pierre Stahl (textes) et Philippe Cazeneuve (dessins), et dédicacée par Jean-Pierre Stahl.

    N’étant disponible que dans les librairies ariégeoises, il est bien normal que les ariégeois d’ailleurs puissent se procurer cette histoire  romantico-sentimento-sportivo-touristico-ariègeo-rurales, mettant en scène Germaine, Firmin et les personnages du petit village imaginaire de Vernajoul.

    Les personnages de cette BD pour Adultes, existent sans doute, ouvrons les yeux, ils ne sont peut être pas si loin de nous, et si tout simplement le bonheur était là ? En tout cas c’est sûr l’humour est dans les prés.

    Pro Scenium production – 2011

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  • Philippe Ward : « Pour que mon village ne meure pas, il faudra que sa mémoire demeure ».

    Auteur – éditeur ariégeois de coeur, Philippe Ward est né le 13 juillet 1958 à Bordeaux, il débarque en Ariège début août 1958 dans le village familial de Gourbit. Pendant une vingtaine d’années, il effectuera les trajets Bordeaux (où il vit) – Ariège (où il passe toutes les vacances scolaires à chercher le trésor des cathares dans les grottes et les châteaux ariégeois) avant de s’installer définitivement à Pamiers en 1982.

    Philippe Ward c’est d’abord l’éditeur de Rivière Blanche, un éditeur hors normes qui publie des anthologies, des romans inédits (français, espagnols, américains, russes, basques, australiens…), des ouvrages  qui se situent dans le domaine de l’Imaginaire (Science-fiction, fantastique, polar, fantasy . Ces livres en général, ne trouveraient  par leur public dans des structures plus importantes, mais l’atteignent avec lui. Après six ans d’existence et plus de 130 ouvrages, Rivière Blanche s’est fait un nom dans le monde de l’édition.

    Philippe Ward, c’est aussi seul, ou avec Sylvie Miller, un écrivain. Avec une quinzaine de nouvelles, un recueil Noir Duo (Rivière Blanche) et un roman (le chant de Montségur) sur le trésor des cathares. Sylvie Miller et Philippe Ward sont devenus l’un des rares couples littéraires de l’imaginaire français.

    Philippe Ward écrit aussi en solo, on lui doit un roman sur l’ours dans les Pyrénées Artahe (bientôt réédité), un roman fantastique se déroulant au Père Lachaise 16 rue du repos (Rivière Blanche), un roman d’aventure à la Indiana Jones La fontaine de jouvence (Rivière Blanche), un roman sur les vampires Radu Dracula (Rivière Blanche), un roman sur le Pays Basque et l’ETA Mascarades (Aïtamatxi Editions), et deux polars se déroulant à Perpignan, un autour de l’USAP Meurtre à Aimé Giral et l’autre des dragons catalans Dans l’antre des dragons (Mare Nostrum Editions).

    Philippe Ward est aussi un dévoreur de livres. Après avoir mangé des séries comme le clan des 7 ou le club des 5, il tombe dans les aventures de Bob Morane pour ensuite plonger dans les domaines de l’imaginaire. Il possède plus de 10.000 livres.

    Mais Philippe Ward c’est surtout un amoureux de l’Ariège dont il a gardé l’accent malgré son séjour à Bordeaux. Jeune, il lui tardait les vacances scolaires pour retrouver Gourbit d’où est originaire sa famille depuis…. Les temps préhistoriques. Village où il possède toujours une maison. Village qui lui tient tellement à cœur qu’il a publié deux ouvrages sur son histoire. Un livre écrit par son père et un autre écrit par sa mère. Avec pour objectif : « Pour que mon village ne meure pas, il faudra que sa mémoire demeure. »

    Philippe Ward – mars 2011 pour Azinat.com

  • Les Mystères de l’Ariège, le nouveau livre d’Olivier de Robert.

    De sorcière en fée, de pierre magique en saint dresseur d’ours, de demoiselle moustachue en contrebandier anthropophage, tout ce ce que vous avez cru savoir pourrait bien s’écrouler et tout ce que ignoriez se révéler … Et oui, on croit connaître l’Ariège mais à chaque pas elle se dérobe et se révèle à la fois. Olivier de Robert, voyageur et conteur passionné, nous offre une fois de plus une belle moisson de galéjades, de récits merveilleux et de légendes intemporelles qu’il relate avec l’humour et le talent qu’on lui connaît. Après « Contes et légendes d’Ariège » publié en 2006, on se régale encore une fois d’histoires insolites, étranges, criminelles et extraordinaires.

    Olivier de Robert, « Les Mystères de l’Ariège » aux éditions De Borée 2010.

  • Denise Déjean et « Lardoulens » au salon du livre de Tarascon

     

    Denise Déjean est née à Tarascon-sur-Ariège le 19 juillet 1956. Elle a mené ses études au lycée Gabriel Fauré de Foix, puis obtenu son bac Philo au lycée de Mirepoix. Elle a étudié sur le terrain l’ethnologie montagnarde, dans le cadre de la fondation et de l’animation du Musée Pyrénéen de Niaux.  Elle est maman d’une jeune femme également écrivain.

    Elle a exercé plusieurs métiers qui gravitent autour de la culture et du livre : mise en page de manuscrits, correctrice dans un hebdomadaire, conférencière, guide de musée. Elle a été chargée de programmation culturelle à la ville de Tarascon-sur-Ariège. Aujourd’hui, elle est à la fois bibliothécaire, conteuse et correspondante de presse. Elle s’investit avec passion dans plusieurs associations, dont L’Oiseau-Lyre qui organise chaque année le Salon du Livre de Tarascon-sur-Ariège, le 2e dimanche d’août.

    Son expérience littéraire : en tant qu’écrivain, elle a cosigné plusieurs ouvrages ethnographiques sur les Pyrénées ariégeoises, avant de se tourner en 1996 vers la nouvelle et le roman, sur les conseils d’un “parrain” de poids : Georges Coulonges. Ce besoin d’écrire a donné naissance à des textes salués par la critique, et récompensés par plusieurs prix. Son premier roman “Le crime du Gamat” a reçu en mai 2000 le prix Fabien Artigue de l’Académie des Jeux Floraux.

     

    oeuvres publiées seule ou en co écriture avec son mari :

    – Traditions pyrénéennes  , éd. Combier, 1984

    – L’Ariège d’autrefois , éd. Horvath, 1988

    – Vieux métiers et pratiques oubliées en Ariège , éd. Horvath, 1989

    – Découvrir l’Ariège , éd. Horvathn 1991

    – Veillées ariégeoises : recueil de nouvelles , éditions Lacour – 1996

    – L’Ariège au coin du feu :  recueil de nouvelles, éditions Lacour – 1998

    – Le crime du Gamat : roman historique , éditions Lacour – 1999

    – L’école de Niaux a 100 ans : essai , éditions Lacour – 2003

    – Pyrénéennes : recueil de nouvelles   éditions Pyrégraph – 2005

    – Le pot-aux-sous : nouvelle   in Revue Largevision n° 19 – 2007

    – Tri sélectif : nouvelle  in Revue  Largevision n° 23 – 2008

    Max et Denise Déjean : créateurs Le musée pyrénéen de Niaux http://www.originepyrenees.com/mag/interv/index.htm

    Lors du prochain salon du livre de Tarascon, Denise Déjean dédicacera son dernier roman « Lardoulens » paru chez Elan Sud.
    Cette parution commence à faire du bruit dans les collines ariégeoise ainsi que dans la presse et chez les lecteurs.
    « Les libraires nous appellent pour prévoir des séances de dédicaces, des lecteurs nous en commandent directement chaque jour. Cette sortie est une réussite pour cet auteur de Banat » annonce Dominique Lin son éditeur…

    Agenda de rencontres avec Denise en 20108 août de 10 h à 18 h:
    (09) Tarascon sur Ariège, salon du livre avec L’oiseau Lyre…
    Stand de la maison d’édition Elan Sud avec Denise Déjean et Dominique LIN.
    Sortie officielle du roman de Denise Déjean : « LARDOULENS » .
    14h30, table ronde animée par Aline PAILLER, journaliste à France-Culture : « La vie rurale dans les Pyrénées: la fin d’un monde? »
    avec Denise DEJEAN, Olivier de MARLIAVE et Alain LEYGONIE.

    23 août de 10 h à 13 h:
    (09) Mirepoix,  librairie des couverts
    7 place du maréchal leclerc
    Denise Déjean dédicace « Lardoulens »

    25 août de 10 h à 13 h:
    (09) marché de Ste Croix Volvestre,
    Denise Déjean dédicace « Lardoulens »

    28 août de 10 h à 18 h:
    (84) Coustellet, journée de la fête du livre…
    Stand de la maison d’édition Elan Sud : Denise Déjean, F. Hertier, D. Lin, A. Raoux-Granier.

    12 septembre de 10 h à 18 h:
    (09) Ax les thermes. Festival des saveurs
    Denise Déjean dédicace « Lardoulens »

  • Michel Sébastien : « L’Ariège, l’asile que choisit l’été pour passer l’hiver »

    michel-sebastienJ’ai 73 ans mais reste toujours jeune ! Et en plus manie l’humour avec allégresse. Je suis un métèque que l’Ariège a accueilli avant la guerre, non pas celle de 14/18 tout de même. Et donc je dis merci l’Ariège, merci la France de nous avoir, nous tous les immigrés, si bien accueilli. Depuis toujours j’ai la passion de ce pays, de sa somptueuse nature, de ses montagnes, de son eau. C’est pourquoi j’ai créé en 1973 l’association pour la protection des rivières et sites d’Ariège. La même année, avec quelques amis, nous avons commencé à nous intéresser à la création d’un parc national. Cela a abouti en 2009 à la création du Parc Naturel Régional des Pyrénées Ariégeoises. On peut donc espérer que dans 37 ans de plus ! on verra la création du Parc Pyrénéen des trois Nations avec l’Andorre et l’Espagne. Par ailleurs j’ai un peu publié sur des choses sérieuses (géographie : « Torrents et rivières d’Ariège* ») sur des choses agréables (sur la montagne : « Mais où sont les neiges d’antan *») et même sur l’humour, « Sourires d’un  mountagnol ariégeois * » Je fais quelques publications sur divers médias, en particulier une chronique humoristico-légère sur Ariègenews . Enfin, ma dernière «couillonnade», je fais parti des 1200 français volontaires pour être cobayes ou « cow-boy » au choix, sur l’étude de la maladie d’Alzheimer.

    Quel beau programme d’avenir !

    Michel Sébastien pour Azinat.com Avril 2010

    Crédits photos :Ariegenews

    *Editions. Lacour – ollé : www.editions-lacour.com

  • Patrick  Caujolle : « Un ariégeois peut parfois s’écarter de sa terre, mais il ne peut jamais s’en éloigner »

    Patrick Caujolle : « Un ariégeois peut parfois s’écarter de sa terre, mais il ne peut jamais s’en éloigner »

    caujolleAuteur aux éditons De Borée, Patrick Caujolle, né en 1958, est originaire de Daumazan sur Arize, commune où se sont installés ses ancêtres en provenance de Contrazy. Fonctionnaire de Police à Toulouse, il publie son premier recueil de Poésie en 1988 avant que, activités familiales et professionnelles s’imposant, il ne cesse l’écriture durant 17 années.

    Puis, celle-ci tambourinant à nouveau, il se teste auprès de plusieurs sociétés littéraires qui le gratifient en 2006 du prix de la ville de Beaune pour son recueil « Sur les traces du vent », en 2007 du prix des Jeux Floraux du Béarn pour son recueil « Lignes d’Horizons », puis en 2008 du prix de la ville de Lyon pour son recueil « Racines ». Les éditions De Borée lui permettent en 2008 de lier la musique de sa Poésie à la prose en publiant « Les Mystères de Haute-Garonne », ouvrage mosaïque qui recense bon nombre de faits ou de destins insolites et pittoresques de ce département, ouvrage aussitôt suivi en 2009 par les « Mystères du Tarn et Garonne ». Sans toutefois oublier la densité de la Poésie, si lourde à porter mais si belle à aimer, il publiera un second volet des « Nouveaux Mystères de Haute-Garonne » en octobre 2010.

  • Georges-Patrick Gleize : « Ariège, terre des bonheurs d’enfance Ariège, terre des hommes d’espérance, En conjuguant ton nom, je transforme mes rêves en de bien doux souvenirs »

    gleizeAuteur chez l’Editeur Parisien Albin Michel, Georges-Patrick Gleize est originaire de familles ariégeoises ayant des attaches en Barguillère et dans le pays d’Olmes. Rentré au pays en 1991, il exerce comme professeur d’histoire au Lycée du Castella à Pamiers. Ce spécialiste des campagnes ariégeoises débute sa carrière de romancier en publiant un premier roman « Le Temps en Héritage », dont le vif succès l’encourage à poursuivre en littérature. Dès lors, il écrit un roman chaque année : « Le chemin de Peyreblanque », « La vie en plus », « Le forgeron de la liberté », « Un brin d’espérance », « Le sentier des Pastelliers » et tout récemment « Le destin de Marthe Rivière». Ses romans, tous édités chez Albin Michel et parus en livre de poche chez LGF et De Borée, aux Editions VDB pour les déficients visuels, régulièrement sélectionnés pour le Grand Livre du Mois, privilégient pour cadre les Pyrénées et portent témoignage de la mémoire des hommes d’Ariège. Vice-président des Appaméennes du Livre, participant à de très nombreux salons littéraire en France comme véritable ambassadeur culturel d’un département dont il entend promouvoir l’image bien au-delà de la région, ce passionné de géopolitique, est aussi Président Départemental de l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale.

    « Ariège, terre des bonheurs d’enfance Ariège, terre des hommes d’espérance, En conjuguant ton nom, je transforme mes rêves en de bien doux souvenirs. » Georges-Patrick Gleize, septembre 2009 pour Azinat.com

    Découvrir le site web de Georges-Parick Gleize www.georges-patrick-gleize.com

  • Olivier de Robert : « Je porte l’Ariège au cœur et m’en inspire à chaque instant pour faire vivre mes mots »

    olivierderobertOn peut naître à Paris et sentir l’Ariège vous couler dans les veines. Olivier de Robert a connu ce déboire de départ, mais a choisi dès qu’il a pu la terre de ses ancêtres, gentilshommes verriers de Gabre, en s’installant dans les montagnes sauratoises. Accompagnateur en montagne, féru d’histoire médiévale, il s’est découvert conteur au hasard de la vie. Depuis il promène sa besace à histoires partout en France et dans le monde francophone. Contes traditionnels, créations, récits historiques : l’homme a de multiples facettes et devient un nom qui… compte sur la scène régionale !

    De l’oral à l’écrit il n’y avait qu’un pas, franchit allègrement avec les « Contes et légendes d’Ariège » aux éditions De Borée, véritable succès de librairie qui ne se dément pas depuis 2006.

    « Je porte l’Ariège au cœur et m’en inspire à chaque instant pour faire vivre mes mots. » Olivier de Robert août 2009 pour Azinat.com

  • Théophile Silvestre

    Littérateur et critique d’art français, né en Ariège en 1823, mort à Paris en 1876. Dans son Eugène Delacroix de 1864, le critique Cantaloube le qualifie d’« écrivain redouté », « plein de verve, incisif et perçant, capable de pousser jusqu’au raffinement ses cruautés ou ses injustices contre ceux qu’il n’aime pas ». Il est de ces critiques sarcastiques à qui Jenny, la servante de Delacroix, ferme la porte de l’atelier pour ne point voir troubler la tranquillité du maître. Mais ces rebuffades ne font point faiblir son intérêt pour Delacroix. Dans son Histoire des artistes vivants (1855), qui marque le début de sa carrière littéraire, il consacre déjà un chapitre au peintre. Les Artistes français, études d’après nature (1878), refonte de l’ouvrage précédent, ne démentent pas cette première passion. Delacroix devait avoir pour lui une certaine estime, puisqu’il lui confie, en 1853 ou 1854, la copie d’une partie de son journal. Silvestre mentionne sa copie dès 1855, dans l’Histoire des artistes vivants, se montrant très fier de l’honneur qui lui est fait. Dans Eugène Delacroix. Documents nouveaux, en 1864, il accorde une importance capitale à cette copie, car il croit (à tort) que les originaux ont disparu.