Étiquette : Exposition

  • Lavelanet, expo « Féérie et nature d’enfance » – jusqu’au 9 octobre

    Lavelanet, expo « Féérie et nature d’enfance » – jusqu’au 9 octobre

    La Maison des Arts de Lavelanet, vous invite à découvrir l’exposition « Féérie et nature d’enfance »

    Quatre artistes et Artisans :  Christophe Farragut, Sandrine D’Eimar De Jabrun, Mylène Mondeguer et Aurélie Bourgouin, vous feront voyager  dans un univers féérique, original et artistique, à travers des peintures, des sculptures et de l’artisanat d’art.

    Maison des arts de Lavelanet
    1 Place Henri Portet
    Du mercredi au samedi de 14h30 à 18h00 (entrée livre et gratuite)
    Visite de groupe sur Rendez-vous
    06 30 69 38 33 / 06 48 39 83 38
    association.avelanarts@laposte.net

  • Trémoulet, Expo « souvenirs, souvenirs » – 11, 12 et 13 août

    Trémoulet, Expo « souvenirs, souvenirs » – 11, 12 et 13 août

    A l’occasion de la fête du village de Trémoulet, qui se déroulera du 11 au 13 août, les habitants vous invitent à découvrir une exposition de photos et de peintures retraçant la vie du village.

    Maya (Marianne Pradère, photographe, pigiste pour le Dépêche du midi et auteure de livre pour enfants) expose, après les avoir remises en forme, des anciennes photos du village que certains habitants lui ont confiées.

    Egalement des peintures de Michèle Fleurier, peintre amateur, ingénieur retraitée, originaire du village où elle a conservé une maison de famille. 

    Cette exposition est la troisième dans l’église de Trémoulet au moment de la fête locale.

    tremoulet-ariege.blog4ever.com

  • Mirepoix, expo « Les tableaux textiles de Léna » – du 18 au 31 juillet

    Mirepoix, expo « Les tableaux textiles de Léna » – du 18 au 31 juillet

    Depuis fort longtemps déjà, les œuvres multiples de Léna sont connues bien au delà de nos frontières territoriales : tapisseries de haute lice, tissage et création de vêtements en pièces uniques, chapeaux à faire pâlir d’envie tous les modistes contemporains …  

    Aujourd’hui Léna nous propose des tapisseries-tableaux poétiques et joyeux pour le plaisir des yeux et prêts à égayer vos murs.

    Vernissage mardi 18 juillet à partir de 16h

    Galerie d’art La porte d’Amont
    10 cours Louis Pons Tande
    Mirepoix

    galerie-art-portedamont.blogspot.fr

  • Banat, exposition au clos des Pradals – 11 juin

    Banat, exposition au clos des Pradals – 11 juin

    Animations et exposition le 11 juin au clos des Pradals de 10h à 19h   (entrée gratuite)

    Au clos des Pradals, l’histoire vous conte fleurette

    La fabuleuse histoire des plantes passe aussi par leurs noms. Leur origine nous révèle comment nos lointains ancêtres ont compris et décrit peu à peu les formes et les propriétés du monde végétal qui les entourait. L’étymologie botanique nous entraîne dans un monde étonnant où le magique et l’anecdotique le disputent au savoir scientifique. 

    Les jolis petits noms du végétal…

    Au fil des millénaires, les sociétés humaines ont observé le monde végétal. Elles l’ont expérimenté, pour le meilleur et pour le pire. Dans toutes les langues du monde, les plantes ont reçu des noms qui disent beaucoup de l’usage qu’en ont fait les humains, et aussi les animaux.

    Une causerie sur ce que raconte le nom des plantes

    Venez explorer l’univers captivant des mots du végétal au Clos des Pradals, à Banat (Tarascon-sur-Ariège). Roselyne et François Mascaro vous y invitent à la causerie animée par Pierre-Jean Brassac le dimanche 11 juin 2017, de 11 h à 12 h 30 et de 15 h à 16 h

    15h30 animation autour d’une cuisson d’un four Raku

    Exposition de toutes les œuvres dans l’atelier galerie

    Roselyne Mascaro

    05 61 05 85 02
    06 29 86 16 92
    www.leclosdespradals.com
    le Clos des Pradals Banat
    09400 Tarascon sur Ariège

  • Lavelanet, expo « PSYCHÉDÉLIQUE » – du 2 au 30 juin

    Lavelanet, expo « PSYCHÉDÉLIQUE » – du 2 au 30 juin

    L’association Avelan’ARTS est ravie de vous convier au vernissage de l’exposition « PSYCHÉDÉLIQUE » – par un trio d’artistes ariégeois, Anne-Marie Millet, Emilie Verkinderen et Yvan Fleissig – qui se déroulera le vendredi 2 juin à partir de 18h à la Maison des Arts de Lavelanet.

    Pour cette occasion l’espace artistique de la Maison des Arts deviendra un espace de performance contemporaine (danse) de 18H à 19h avec nos invités surprises.

    L’exposition sera visible jusqu’au 30 juin 1 Place Henri Portet – 09300 Lavelanet

     
     
  • St Jean de Verges, Expo photos de Cédric Lafoux « Les détritus au fil de l’eau » – 1er au 30 juin

    St Jean de Verges, Expo photos de Cédric Lafoux « Les détritus au fil de l’eau » – 1er au 30 juin

    Cédric Lafoux est un photographe amateur originaire du Gard, installé en Ariège en 2000.

    Embauché à Auzat dans une association (Haute-Ariège) il va passer dix ans à nettoyer les rivières de tous les détritus et autres décharges sauvages sur tout le département et parfois jusqu’en Haute-Garonne.

    Par manque de financement l’équipe de travail se voit licenciée et l’association dissoute. Il décide alors d’aborder un travail de sensibilisation auprès de grand public avec une série de clichés pris ça et là au fil de l’eau. Avec une mise en image douce mais sûre des déchets, l’auteur veux rappeler au visiteur que la préservation sanitaire des cours d’eau est, au-delà, la préservation de la ressource vitale.

    Certaines photographies donnent l’envie d’y retirer cette chose disgracieuse et polluante du cadre, comme il voudrait qu’on le retire du ruisseau lui-même.

    Du 1er au 30 juin

    Hall principal du centre hospitalier du val d’Ariège    

    Contact : Cédric Lafoux 06 73 07 13 24

  • Mirepoix, exposition Playmobil – 3 et 4 juin

    Mirepoix, exposition Playmobil – 3 et 4 juin

    Pour la deuxième année, Ludothèque itinérante le ludo.labyrinthe organise une exposition de diorama avec des playmobil  

    Le vendredi 2 juin, conception de diorama avec les enfants de l’I.M.E de Léran, visite avec la classe de Madame Combe grande section maternelle de l’école Jean Jaurès de Mirepoix. 

    Les stands : vente de playmobil avec l’association Playmo du sud, les doudous de Ninou de Léran, vente de tapis de jeu, doudous, etc…

    les 3 et 4 juin à la salle Paul Dardier

  • Au Carla-Bayle, la Rue des Arts « prend la tangente » avec une exposition de Suzy Lelièvre – du 15 avril au 10 juin

    Au Carla-Bayle, la Rue des Arts « prend la tangente » avec une exposition de Suzy Lelièvre – du 15 avril au 10 juin

    Suzy Lelièvre et ses invités, Jennifer Brial, Raphaël Kuntz et Guillaume B. Gilles, ont axé leurs travaux de manière à explorer les représentations et les projections qui conditionnent notre rapport à l’espace. Chacun à sa manière prend la tangente des conventions de représentation, pour rendre concrets des objets dont la réalité mathématique défie le bon sens. Se jouant des propriétés des matériaux, ou en attribuant à des objets des déformations impossibles et incompatibles avec leur essence, ils nous rappellent avec humour que les constructions mathématiques font également partie de notre monde.  Texte de Bernard Roy

    Suzy Lelièvre dans ses premiers travaux détournait les fonctions habituelles d’objets du quotidien. C’est ainsi que des tables s’entrechoquaient (Contorsions, tables choquées – 2011), qu’une échelle s’enroulait sur elle-même (Échelle – 2006-2008), qu’une fourchette se prolongeait en plat de pâtes (Usage unique – 2004)… Que s’était il passé pour que ces objets se transforment de telle manière ? Avaient-ils fondu puis se seraient-ils durcis de nouveau ? Avaient-ils été fabriqués dés le départ ainsi ? A quoi peuvent-ils bien servir ?

    Ses œuvres hybrides, entre art et design, interrogent nos habitudes, notre rapport à l’objet. C’est moins l’usage qui est questionné que notre manière de fonctionner avec ces objets ainsi que nos relations corps – objets. L’artiste nous permet d’inventer de nouvelles corrélations avec ces derniers, de développer nos affects, notre imaginaire pour amplifier la puissance d’évocation d’utilisation d’objets nous semblant si banals, comme par exemple servir un verre à l’aide d’une bouteille (Verre et bouteille – 2009).

    Suzy Lelièvre interroge nos moyens de nous représenter le territoire, nos projections, nos vérités occidentales construites historiquement et qui régissent le monde. Consensus sur lesquels tout le monde s’accorde, comme s’ils étaient évidents. A travers son travail l’artiste cherche à révéler leur côté arbitraire et par là-même la possibilité de les transformer en une nouvelle réalité

    Texte de Leïla Simon – Décembre 2015

    «PRENDRE LA TANGENTE»

    Exposition de Suzy Lelièvre
    Avec Jennifer Brial, Guillaume B.Gilles et Raphaël Kuntz du 15 avril au 10 juin 2017, de 14h à 18h tous les jours Galerie du Philosophe
    Carla-Bayle
    Vernissage le 15 avril à 18h

    la-rue-des-arts.blogspot.fr

  • Saint Pierre de Rivière, exposition David Saunders – 8 avril au 15 mai

    Saint Pierre de Rivière, exposition David Saunders – 8 avril au 15 mai

    L’artiste londonien, David Saunders, exilé depuis peu à Mercus, expose jusqu’au 15 mai à l’auberge la Barguillère .

    Il présente ces œuvres de 2011 à 2016 où sa recherche picturale tend à «rendre visible l’invisible», explique Michèle Ginoulhiac, membre de l’association La Galerie09, qui a exposé ses œuvres au lycée Fauré de Foix l’année dernière.

    Les trois préoccupations principales de David Saunders dans sa peinture sont l’unité du corps et de l’esprit, l’incarnation du temps dans l’art et la tension qui s’établit entre le hasard et l’ordre dans le monde sensible

    Depuis ses débuts dans les années soixante, l’artiste est resté fidèle à son courant artistique : l’abstraction géométrique.

    l’exposition est déjà visible à l’auberge de la Barguillère à Saint Pierre de Rivière.

     « The poetry of a painting must appear without the artist’s being aware of it » Baudelaire

    L’art qui intéresse David Saunders est un art expérimental. Ainsi, sa recherche picturale s’apparente à la randonnée : savoir se perdre et découvrir son propre chemin, « celui que seule la peinture peut dire ». Il s’engage de fait dans un processus d’acquisition d’expérience toujours renouvelé depuis ses débuts à Londres dans les années 1960 où il appartient à ce courant historique que l’on nomme l’Abstraction géométrique.  Cherchant dans l’acte pictural un équilibre entre harmonie, découverte et plaisir, il nous présente aujourd’hui ses dernières recherches qui nous font entrer dans un monde qu’il qualifie lui-même de « romantique ». Effectivement, cinquante années de connivence avec la peinture lui ont permis de faire évoluer son abstraction vers un lyrisme qui se traduit par des entrecroisements de lignes, de fragments colorés et d’espaces blancs indéfinis.

    Ce ne sont plus les Constructivistes qui l’inspirent dorénavant mais la sensibilité de Baudelaire pour la couleur et pour l’imagination, telle qu’il l’exprime dans le Salon de 1846, ou la poésie d’Yves Bonnefoy « Psyché devant le château d’amour » :

    « Puis il se réveilla ; Qu’est-ce que la lumière ?
    Qu’est-ce que peindre ici de nuit ? Intensifier
    Le bleu d’ici, les ocres, tous les rouges,
    N’est-ce pas de la mort plus encore qu’avant ? »

    La trace est une dimension essentielle de sa pratique. Elle se présente aussi bien sous la forme de l’empreinte, fragile, sombre, s’inscrivant en creux sur la surface crayeuse, que prenant l’aspect de la tache, du pan coloré. Le geste est retenu comme suspendu. Par ces jeux de lignes interrompues et d’accords colorés en contrepoints, David Saunders cherche à rendre visible l’invisible. Tout est mouvement et vibration dans cette peinture affirmant en cela les valeurs de la modernité définies par Baudelaire comme l’éphémère, le transitoire et la contingence. Tout est aussi lumière ! Intensité des contrastes de valeurs, nuances imperceptibles ou tons saturés, chaque parcelle de l’espace pictural, donné pourtant sur de petits formats, exacerbe notre sensibilité et amplifie notre capacité de perception.

    La présence de l’artiste en terre ariégeoise, ne relève pas du hasard. David Saunders s’intéresse à cette terre de résistance emplie de la mémoire des cathares mais aussi des Guerilleros ; mémoire qui s’affirme dans cette peinture d’autant plus abstraite qu’elle est justement chargée d’Histoire. 

    Michèle Ginoulhiac Baudeigne

     Vernissage 8 avril 2017 à 18h à l’Auberge de la Barguillère – 18 Lieu dit le Pont -09000 Saint Pierre de Rivière

    05.61.65.14.02 / contact@barguillere.fr / www.barguillere.fr

  • Foix, Expo photos de Bart Menten – du 1er au 30 avril

    Foix, Expo photos de Bart Menten – du 1er au 30 avril

    Bart Menten est belge. Depuis juillet 2016, il habite et travaille en Ariège (il est kinésithérapeute au centre hospitalier du val d’Ariège). Curieux sans être indiscret, il a posé son regard incisif sur la misère humaine qu’il a côtoyé en Moldavie, le pays le plus pauvre d’Europe, pendant une action humanitaire à Straseni, une ville pas loin de la capitale Chișinău  en 2014. Ses photos, émouvantes et convaincantes, reflètent une grande sensibilité à l’humain.

     Bart a accompagné un infirmier qui travaille pour l’organisation  » Neoumanist ». Cette association soutien les personnes âgées en allant les visiter à domicile. A cette mission s’associent aussi une maison de retraite et un centre d’accueil de jour. 

    Le travail d’Andreï consiste à visiter une quarantaine de personnes par semaine. La plupart des gens habitent des maisons insalubres – souvent difficiles à joindre tant l’état des routes est déplorable – où l’eau, l’électricité et même une simple protection du sol sont quasi inexistantes. Quelques paillassons font office d’un maigre confort. Suite à la mauvaise état des maisons, beaucoup d’incendies sont à déplorer.

    L’infirmier amène toutes les semaines quelques produits alimentaires de base  : quelques pâtes, un bout de viande ou un peu de fromage. Pour beaucoup d’entre eux c’est la seule chose qu’ils reçoivent. AndreÏ apporte les médicaments et – pour ceux qui peuvent se l’offrir – quelques petites courses. 

    Ces personnes âgées ont des choix à faire : soit se chauffer (1 tonne de charbon à 200 € pour l’hiver) soit manger. Ici une bonne pension de retraite équivaut à 50 €.La plupart des personnes n’ont pas cette chance. Une des femmes photographiée ne reçoit que 3€ par mois. Chercher du bois reste alors le seul moyen de se chauffer. Et elle est sous-alimentée.

    Ceux qui ont les moyens sont majoritairement des personnes travaillant à l’étranger (surtout en Italie). Ils tiennent à pousser leurs enfants à continuer leurs études afin de quitter le cercle vicieux de pauvreté (La plus grande partie de la population ne peut s’offrir une voiture, ce qui explique la quantité de chevaux et chariots). Andreï occupe aussi un poste d’ambulancier. En accumulant ces 2 jobs il arrive à gagner un salaire assez correct pour pouvoir subvenir aux études de ses enfants. Il fait son travail avec plein d’enthousiasme. 

    L’organisation  » Neoumanist » travaille presque exclusivement grâce aux dons, surtout reçus des organisations étrangères. Le gouvernement de Moldavie ne fait quasiment rien pour aider ces/ses personnes âgées.

    Néanmoins la plupart de ces personnes gardent leur bonne humeur. Leur vie est difficile, voir très difficile mais ils gardent le sourire. La moindre chose qu’ils reçoivent apporte le bonheur pour la journée, la semaine voire le mois à venir.

     Du 1er au 30 avril 2017 – Hall principal du centre hospitalier du val d’Ariège

  • Montels, exposition « Bee my Muse, l’art et l’abeille » du 10 mars au 7 avril

    Montels, exposition « Bee my Muse, l’art et l’abeille » du 10 mars au 7 avril

    Du 10 mars au 7 avril, Thomas LESPRIT, Les P’tites z’Abeilles et Riudebtilles Territori d’Art s’installent à la Ferme d’Icart, à Montels, pour un démarrage de saison, apicole et artistique, haut en couleurs…

    BEE MY MUSE ce sont des ruches peintes par des artistes catalans et français, une rétrospective vidéo de l’installation en apiculture de Thomas LESPRIT, des tableaux des artistes l’ayant accompagné dans ce projet.

    Les ruches seront ensuite peuplées et partiront en montagne pour la saison, elles nous reviendront en décembre, patinées et parfumées par le travail des abeilles.

    Le vernissage aura lieu le vendredi 10 mars à 18h30.

    Un avant-goût de cette aventure sur :

    beemymuseproject.
    www.facebook.com

    L’exposition est visible jusqu’au 7 avril 2017, du lundi au vendredi de 9h à 18h.

    Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises
    Pôle d’activités de la Ferme d’Icart
    09240 MONTELS
    Tel 05.61.02.71.69
    Fax 05.61.02.80.23
    i.cambus@parc-pyrenees-ariegeoises.fr
    www.parc-pyrenees-ariegeoises.fr

     

  • Foix, Expo F(r)iction : l’art de la rue à l’hôpital – du 3 au 31 mars

    Foix, Expo F(r)iction : l’art de la rue à l’hôpital – du 3 au 31 mars

    À travers des techniques d’art urbain (pochoir, collage, feutre) Philippe Debiol nous promène dans son univers entre la BD et le street art. Il produit des œuvres sur bois et sur carton, souvent issus de la récup pour créer son microcosme entre ses propres inspirations et la science-fiction.

    Parfois explosives, parfois colorées ses peintures font partager des influences populaires et une vision plus personnelles de l’artiste.

    Philippe Debiol vit et créé à Foix en Ariège. Il est un des membres actifs et productifs de l’association la Biz’Art Rit à Foix. Il dessine dès son plus en jeune âge en gribouillant sur les tables de l’école ou sur de multiples carnets. Philippe est influencé par le milieu de la bande dessinée et du street art, il n’hésite pas aujourd’hui à assumer et casser les codes de ces deux mouvements artistiques en mélangeant imaginaire avec contradiction et émotion. Zombies, super héros, ou personnages imaginaires, Philippe assume et met en avant ses références de la bande dessinée en sortant les personnages de leur contexte de base et en leur offrant une nouvelle mise en situation, ainsi qu’une nouvelle réflexion qu’elle soit engagée, émotive, humoristique ou simplement esthétique.

    Les œuvres de Philippe Debiol se lisent à double sens – le bon ne peut exister sans le mauvais – et inversement.

    La confrontation entre le réel et l’imaginaire font partie des grands axes de création de l’artiste.

    Du 3 au 31 mars 2017 – Hall principal du centre hospitalier du val d’Ariège