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  • Les Immigrants de l’Utopie : un film documentaire sur les néo-ruraux ariégeois

    Les Immigrants de l’Utopie : un film documentaire sur les néo-ruraux ariégeois

    Les Immigrants de l’Utopie c’est le projet d’un film documentaire de 52 minutes réalisé par Nicole Medjeveski, auteure et réalisatrice, qui parle de jeunes urbains, issus du baby-boom de l’après-guerre. Ils ont fuit les villes et la société de consommation, on les a appelé successivement les hippies, les babas cool, les punks, et aujourd’hui les néos.

    Pour parler de ces néo-ruraux, Nicole Medjeveski a choisi l’Ariège. «Les personnages de ce film ont été choisis pour leurs parcours singuliers, leur persévérance à expérimenter, au présent et en grandeur réelle, leur utopie et à œuvrer activement à un autre idéal de vie» explique t’elle «J’ai fait leur connaissance à l’occasion d’un voyage lorsque des amis m’ont invitée en Ariège. Sur le marché de Saint-Girons, haut lieu de vie des cultures alternatives, j’ai eu l’impression de me retrouver face à certains de mes camarades de jeunesse : même parcours, même choix de vie en communauté et en milieu rural.»

    Aujourd’hui, le film est écrit, les contacts établis, l’équipe constituée mais ils ont besoin de  soutien pour financer le tournage, qui débutera mi- juillet.

    Une aide à l’écriture avait déjà permis de réaliser les repérages, et la réalisatrice a la garantie de France 3 et de la RTBF (chaîne belge) d’assurer post-production et diffusion, si, grâce à votre soutien, elle peut boucler le budget « tournage ».

    Pour vous mettre l’eau à la bouche, voici un Teaser (compilation des moments marquants des repérages effectués entre juin 2016 et avril 2017 ; il ne s’agit pas d’extraits du film)

     

    Pour soutenir le projet www.kisskissbankbank.com/

  • FAREM TOT PETAR ! un projet de court-métrage en Ariège

    FAREM TOT PETAR ! un projet de court-métrage en Ariège

    FAREM TOT PETAR ! un projet de court-métrage Ariège Pyrénées

    Ce projet de court-métrage de Sylvain Augé jeune réalisateur ariègeois, raconte l’histoire d’un Gamin de banlieue qui malgré lui, atterrit dans un village de montagne et rencontre un agriculteur, Marcel, qui lutte pour préserver ses champs contre un projet de construction de quartiers écologiques.

    Le tournage est prévu pour l’été 2015, notamment sur la ville de Foix et certainement le village de Massat. Mais pour l’heure, l’équipe continue les repérages à travers le département et est en recherhe de financement.

    [info]Et le co-producteur ce sera peut être vous, si vous soutenez Sylvain via la plate forme de financement participatif, fr.ulule.com/farem-totpetar, il manque encore quelques euros à collecter.[/info]

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    Autour du récit

    L’histoire est racontée sur un ton décalé (disons un humour léger, un peu marginal), mais toujours imprégné du réel, presque documentaire. Un contraste qui pousse souvent le film aux frontières du fantastique. J’explore le potentiel à la fois étrange et humoristique des personnages atypiques qui construisent le récit.

    Une part de mon inspiration vient de la bande dessinée. J’aime la façon de faire rire en BD. Souvent cela tient aux ellipses et aux instants où le dessin est «suspendu». J’évoquerai ces moments là dans le film, jouant sur l’ellipse, parfois courte, et en resserrant sur les expressions des personnages.

    Farem Tot Petar ! est un film en patois. L’argot et l’occitan déteignent sur le Français qui se fond dans un mélange d’accents et d’occitan (le languedocien en l’occurrence). C’est un thème actuel qui sera abordé sur fond d’écologie (sans volonté d’un réel discours engagé).

    Festivisuel, la société de production qui soutient ce projet (et apporte une aide logistique et matérielle) est basée à Montpellier. Dirigée par des passionnés de l’image, elle est très active dans le domaine du spectacle et s’aventure ici dans le monde du cinéma.

    L’auteur réalisateur

    Sylvain Augé est originaire de l’Ariège, il part pour des études audiovisuelles d’abord à Toulouse, puis à l’université Paris III, Sorbonne nouvelle.

    Après une année de voyage à l’étranger, et avec le recul dont il avait besoin, il écrit un scénario destiné à être tourné en Ariège. La démarche est en partie due à une investigation personnelle sur ses origines (notamment à travers l’occitan), mais aussi à la volonté de participer au développement de l’activité cinématographique et culturelle en Ariège.

    A travers la réalisation d’un court-métrage qui parle d’une rencontre entre générations, et qui intègre l’occitan comme une langue à part entière, Sylvain souhaite promouvoir la richesse culturelle de ce département. Avec un regard jeune, cette comédie aura, Il l’espère, le mérite de concilier les générations.

    Farem tot petar ! est soutenu par le FDLA (Fond Départemental des Loisirs Actifs) du département de l’Ariège. Le scénario a également reçu l’avis favorable des lecteurs pour l’aide à la production de court-métrage par la région Midi-Pyrénées.

    Pour soutenir le projet de Sylvain, rendez-vous sur fr.ulule.com/farem-totpetar

     

  • Troisièmes « Journées d’Études Cinématographiques de l’Arize »

    Troisièmes « Journées d’Études Cinématographiques de l’Arize »

     Troisièmes « Journées d’Études Cinématographiques de l’Arize » Ariège PyrénéesQuelle est le rôle de la femme ? Quelle est son ambition ? Le film noir montre-t-il la  revendication d’émancipation de la femme ou une image critiquable de la condition féminine ? Que dit-il du couple et du mariage ? Quelle identité féminine est construite ? Le discours n’est-il pas faussé quand le portrait de la femme est fait sous un regard masculin (récit et/ou regard de la caméra) ? Comment la fétichisation est-elle à l’œuvre ?

    On isolera aussi quelques instants privilégiés. Celui de l’apparition de la femme : la toute première, bien sûr, qui impose la protagoniste dès son entrée, mais aussi quelques autres qui forcent la fascination (chant, danse…).  Celui de la chute, aussi, au double sens du terme : échec et tombée du corps jusqu’à finir, parfois, en image de pietà.

    Mélanie Bourdaa est Maitre de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication à l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3. Elle enseigne les séries télévisées et les genres cinématographiques, dont le film noir. Elle a travaillé sur le rôle de la femme dans le film noir à l’UCLA (Los Angeles).

    Xavier Daverat, professeur de droit privé à l’Université Montesquieu – Bordeaux IV, est spécialisé en droit de la propriété littéraire et artistique. Il travaille et publie également sur la musique, ainsi que sur le cinéma dans l’intersection cinéma et politique. Il a dirigé le numéro de la revue Europe sur Pasolini (mars 2008) et vient de publier Tombeau de John Coltrane (Parenthèses, 2012). Les fidèles de la PUPAL le connaissent bien puisqu’il est l’initiateur des Journées d’Etudes Cinématographiques de l’Arize, désormais annuelles.

    •  jeudi 31 octobre : Out of the past / La griffe du passé (Jacques Tourneur, 1947) ;
    • vendredi 1er novembre : Double indemnity / Assurance sur la mort (Billy Wilder, 1944) ;
    • samedi 2 novembre : Phantom Lady / Les mains qui tuent (Robert Siodmak, 1944).

     

    films diffusés en numérique (VOSTF) les soirs à 21 h. Conférences, analyses de films et débats en après-­midi de 14h30 à 18h
    Centre Culturel Multi-Média du Mas d’Azil
    Toutes les séances (films, conférences, etc.) sont gratuites, dans la limite des places disponibles.

    Renseignements : 05 61 68 90 05
    phf@carla-bayle.com
    pupal09.blogspot.fr