Étiquette : Henri Nayrou

  • Course cycliste : Ce week-end, la route d’Occitanie passera par l’Ariège !

    Course cycliste : Ce week-end, la route d’Occitanie passera par l’Ariège !

    C’est il y a quelques jours que la première édition de la route d’Occitanie était présentée à la presse par les partenaires régionaux, départementaux et locaux dans les bureaux de l’Agence Touristique départementale. Première édition ? Pas tout à fait, c’est en fait le nouveau nom de la route du Sud organisée depuis quelques années, qui a pris un nouveau nom en même temps que la nouvelle région s’installait et fusionnait…

    «La plus grande étape de montagne aura lieu ici, cette route revient en Ariège et ça fait dix ans que nous ne l’avions pas reçue sur notre territoire ! » voilà la façon dont Kamel Chibli introduisait cette course et les principales étapes ariégeoises. Cette course se déroule en quatre étapes dont deux jours sur le département avec en prime une arrivée aux Monts d’Olmes et deux départs ; Une de Prat Bonrepaux le 15 juin (Vendredi) et une de Mirepoix le Dimanche 17 juin pour une arrivée finale à Cazouls-les-Béziers dans l’Hérault.

    « Cette année nous n’avons pas d’étape ariégeoise du Tour de France, la route d’Occitanie est moins chère que le Tour et elle est un peu avant, elle finit avec une symbolique forte avec une arrivée aux Monts d’Olmes et passera par un grand site de la collection Ariège (Mirepoix) » précise Henri Nayrou qui rappelle également comment il a été impossible de convaincre les organisateurs du Tour de réaliser une arrivée ou un départ aux Monts d’Olmes car le site est un Cul de Sac et qu’il est impossible pour la « Caravane » de s’y poser sans risque. idem pour Mirepoix qu rend la plupart du temps impossible la tenue d’évenènement sportif de grande envergure à cause de l’étroitesse des couverts et la complexité de départ ou d’arrivée.

    Pourtant cette année avec la route d’Occitanie, un départ symbolique depuis les couverts va être organisé et «c’est avec fierté que la mairie et la communauté de communes de Mirepoix et du Pays d’Olmes accueillent cet évènement» rappelle jean-Jacques Michau présent également. La ville et la Com Com ont d’ailleurs prévu des animations toute la journée du Dimanche pour l’occasion.

    Pour les initiés, on y verra de belles équipes « Pro » et quelques champions français et étrangers que nous vous invitons à découvrir sur le site web de la course ! 

    Quelques chiffres : la route d’Occitanie c’est 126 coureurs au total, 18 équipes, 90 cadets présents 

    Des Pyrénées à la Méditerranée, La Route d’Occitanie – La Dépêche du Midi, épreuve réservée aux groupes professionnels, égrène les départs et les arrivées de ses étapes sur les cités de la grande Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.

    Créée en 1977 sous le nom de Tour du Tarn, elle devient le Tour Midi-Pyrénées en 1982, la Route du Sud en 1988 et désormais en 2018 la Route d’Occitanie – La Dépêche du Midi. Cette course cycliste internationale à étapes dont le palmarès est riche des noms des coureurs les plus huppés est unanimement reconnue par les professionnels du monde du cyclisme.

    Si la course 100% Sud-Ouest connaît un succès toujours croissant, elle le doit à la convivialité (esprit caractéristique sud-ouest), à l’enthousiasme et au professionnalisme d’une organisation exclusivement bénévole, qui la rendent si singulière.

    La Route d’Occitanie est la seule course cycliste du plus haut niveau qui a pour cadre «le grand Sud-Ouest». Inscrite au calendrier international de l’UCI à la fin du mois de Juin, elle est l’ultime course à étapes avant les grands rendez-vous nationaux et internationaux de l’été (Championnats de France, Tour de France etc..).

    Cette organisation qui déplace chaque jour coureurs, encadrement, partenaires, journalistes… est un apport économique appréciable pour les villes qui la reçoivent. Elle bénéficie de l’appui de la Presse, de la Radio, et fait l’objet d’une retransmission de deux heures de direct tous les jours sur Eurosport, dans plus de 70 pays.

    https://www.laroutedoccitanie.fr

    Photo : © Azinat.com / de gauche à droite Didier Laffont, Henri Nayrou, Kamel Chibli, Pierre Caubin (directeur de la course), Jean-Jacques Michau

  • Ariège : le Gouvernement taille dans le budget, les élus du département baissent leurs indemnités

    Ariège : le Gouvernement taille dans le budget, les élus du département baissent leurs indemnités

    En butte aux contraintes budgétaires imposées aux collectivités territoriales par le Gouvernement d’Edouard Philippe qui vont entraîner arbitrairement une réduction de leurs dépenses de 1,05 % sur leur budget de fonctionnement (soit 1,6 millions d’euros), les Conseillers Départementaux de l’Ariège ont, lors de la séance publique du 19 mars dernier, exprimé leur franche hostilité à cette mesure, d’autant plus qu’elle est à effet rétroactif par rapport à leur budget initial 2018, lequel prévoyait une augmentation de l’ordre de 3,3 millions d’euros.

    Confrontés aux baisses inévitables des aides aux communes et aux 2 000 associations de culture, musique, sport, animation, ainés ruraux qui contribuent au « mieux vivre ensemble » et estimant que les efforts devaient être partagés, les élus ariégeois, sur la proposition de leur président Henri Nayrou ont unanimement décidé de baisser leurs indemnités de 3 % et non de – 1,05 %.

    Lequel président a conclu la séance en ces termes : « Ni démagos, ni héros, juste des élus lucides et responsables dans un petit département qui n’est pas pour rien le 2ème le moins endetté de France ! »

    Source : CD09

  • Avec « ARIEGEONS-NOUS », l’ADT propose d’initier une démarche « circuits-courts » dans le tourisme de groupe

    Avec « ARIEGEONS-NOUS », l’ADT propose d’initier une démarche « circuits-courts » dans le tourisme de groupe

    Vendredi dernier, Henri Nayrou présentait à la presse la nouvelle initiative en matière de développement du tourisme de groupe en Ariège. Accompagné de Philippe Lacube, un des parrain de la journée de lancement prévue le 10 avril prochain, ils nous ont présenté sous la bannière « ARIEGEONS-NOUS ! » l’objectif de développement de cette filière avec l’idée que le circuit court et la consommation locale pouvait être un accélérateur de la démarche.

    Le FORUM « ARIÉGEONS-NOUS ! » doit rassembler la filière ariégeoise (et de proximité Est-Nord-Ouest en périphérie du département) du secteur groupes et séminaires et stages afin qu’elle puisse ; échanger, mieux se connaitre et faire du « business » ensemble. Objectif : créer une dynamique, créer une communauté d’intérêt autour du secteur « accueil de groupes sportifs ou professionnels » en Ariège.

    C’est parce que ces deux mondes se côtoient sans se connaître et parce qu’ils ont tout intérêt à se rencontrer que l’Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées a décidé d’organiser le premier Forum professionnel d’accueil de groupes. Il aura lieu le 10 avril 2018 à partir de 9h30 au Parc de la préhistoire à Tarascon-sur-Ariège

    Pourquoi le nom ARIEGEONS-NOUS ?

    La volonté de l’ADT est de créer une dynamique de développement d’affaires dans le secteur de l’accueil de groupe en Ariège. La stratégie passe par une étape de circuit-court, car en effet bien souvent, même en local, prestataires et clients potentiels se connaissent mal ou peu : Mettre en relation l’offre et la demande. Ce Forum se veut être une première expérience où on invite l’offre et la demande) à venir se rencontrer et mieux se connaitre, développer des synergies, mettre en connexion, pour peut-être un jour travailler ensemble ! ARIEGEONS-NOUS ! a en quelque sorte pour ambition de devenir le vecteur du consommer local en matière de séminaires, stages, activités de fin d’année, pour tout ce public professionnel ou associatif. Mieux connaitre la demande pour faire évoluer l’offre. Mettre en action une offre collective Ariégeoise

    ARIEGEONS-NOUS ! a été également choisi pour faire écho à ARIEGEZ-VOUS ! qui a pour vocation de faire découvrir l’Ariège à l’extérieur du département, ARIEGEONS aura pour objectif de créer une dynamique « interne » au département.

    «L’Ariège est une terre d’avenir. Entreprises performantes, associations dynamiques, clubs sportifs remuants, tous ces groupes sont de plus en plus en recherche de séminaires, de stages, d’immersion, de sorties à la fois studieuses et décontractées. En face, il est des lieux enchanteurs, les uns référencés, d’autres inconnus mais tous équipés pour recevoir des groupes dans les meilleures conditions d’accueil et de prix. C’est parce que ces deux mondes se côtoient sans se connaître et parce qu’ils ont tout intérêt à se rencontrer que l’Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées a décidé d’organiser le 1er Forum professionnel d’accueil de groupes ARIEGEONS-NOUS !.» précise Henri NAYROU

    Le forum du 10 avril aura deux éminents parrains :

    • un parrain issu du monde économique : Philippe LACUBE de « La Montanha »
    • un parrain issu du monde sportif : Fabien PELOUS

    Exemples d’ateliers qui vont être présenté lors de cette journée.

    « Comment organiser des synergies pour offrir des solutions d’accueil de groupe évolutives »

    « Demande d’activité de pleine nature dans le cadre d’un séminaire entreprise : la création de produits adaptés et sur-mesure », « Faire en sorte qu’un séjour pour un groupe soit aussi agréable qu’utile », « Comment attirer des groupes chez soit avec des produits clés en main », «Bien comprendre les attentes et les besoins de la clientèle groupe», «Offre culturelle et ludique pour les groupes», « Comment recevoir des groupes de jeunes, règlementations spécifiques »

    L’Agence est encore à ce jour ouverte à toute proposition d’intervention ou de participation de la part des professionnels ariégeois et lancera prochainement une campagne d’information  auprès des clientèles locales et de proximité.

    Plus d’infos et inscriptions sur http://www.ariegepyrenees.com/accueil/agenda/ariegeons-nous

  • En 2025 100% des ariégeois seront « connectés » au très haut débit

    En 2025 100% des ariégeois seront « connectés » au très haut débit

    Lundi 5 mars, Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental, a donné le coup d’envoi du Réseau d’Initiative Publique de 2ème génération pour une « Ariège Très Haut-Débit » avec Madame Marie Lajus, Préfète de l’Ariège, Madame Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie, Monsieur Antoine Darodes, directeur de l’Agence Numérique  et Monsieur Cyril Luneau, Directeur des Relations avec les collectivités d’Orange.

    L’Ariège, un Département pionnier

    Dès 2002, le Conseil Général de l’Ariège évaluait le risque que représentaient une insuffisance de services et la fracture numérique avec les zones plus denses du territoire en matière de Haut Débit…

    En 2007, Augustin Bonrepaux alors Président du Conseil Généra , en présence de Monsieur le Préfet Billand et de M. Cyril Juneau, Président Directeur Général de la Société LD Collectivité lançait le 1er Réseau d’Initiative Publique à Haut Débit : Ariège Télécom.

    En décembre 2014, le Conseil départemental a réalisé la révision du  schéma directeur territorial d’aménagement numérique  (SDTAN) qui propose un plan de couverture global du territoire en FTTH.

    Le programme se déroulait en trois phases jusqu’en 2030.

    Le 7 mars 2018, déployer la fibre optique jusqu’au domicile pour tous les ariégeois est une réalité avec un calendrier avancé de 5 ans par rapport aux prévisions du SDTAN.

    140M€ d’investissements seront nécessaires pour réaliser les travaux et le Conseil départemental bénéficiera du soutien de l’Etat et de la Région.  Henri Nayrou et Carole Delgaont ce lundi 5 mars signé la Convention THD à hauteur de 17M€ venant compléter l’apport de 27.7 M€ de l’Etat dans le cadre du Plan France Très Haut Débit…

    En onze ans, grâce à l’action départementale, les débits Internet ont augmenté entre 8 et 100 Mb/s pour 75% des foyers. Le Département a réalisé les travaux de déploiement de la fibre optique dite de « collecte » en interconnectant 102 nœuds de raccordement abonnés en Ariège, ce qui place l’Ariège au dessus de la moyenne régionale en termes de débits et d’arrivée des Fournisseurs d’Accès sur le réseau.

    Le Département a par ailleurs amené la fibre jusqu’aux principales Zones d’activités de l’Ariège, sans oublier les collèges, les lycées et autre établissements publics.

    Après onze années de déploiement du haut débit et du très haut débit en Ariège , le Département peut maintenant emmener  la fibre au delà du NRA, c’est à dire jusqu’à l’abonné … (FTTH : fiber to the Home  fibre jusqu’au domicile)

    7 villes, 7 dates, 7 réunions publiques informatives

    Henri Nayrou, donne rendez-vous aux Ariégeoises et Ariégeois pour le Lancement du Plan Ariège Très Haut Débit. Ces échanges citoyens se dérouleront suite au coup d’envoi du Réseau d’Initiative Publique de 2ème génération pour une Ariège Très Haut-Débit

    Sept réunions, ouvertes à toutes et à tous, sont donc organisées selon l’agenda suivant :

    • Pays d’Olmes – Mardi 13 mars à 18 heures à Lavelanet (Salle du Casino)
    • Foix / Val d’Ariège / Couserans Est – Mercredi 14 mars à 18 heures à La Bastide de Sérou (Salle Jean Nayrou)
    • Saverdun / Mazères – Lundi 19 mars à 20h30 à Saverdun (Salle Multimédia)
    • Arize-Lèze – Mercredi 21 mars à 18 heures à Lézat-sur-Lèze (Hôtel d’entreprises)
    • Pays de Mirepoix – Jeudi 22 mars à 18 heures à Mirepoix (salle Paul Dardier)
    • Tarascon / Haute Ariège – Jeudi 29 mars à 18h30 à Tarascon-sur-Ariège (Espace François Mitterrand)
    • Portes du Couserans / Couserans Ouest – Vendredi 30 mars à 18 heures à Saint-Girons(Max Linder)

    Au cours de ces rencontres, les élus et les techniciens en charge de ce dossier répondront à toutes les questions des ariégeois concernant le très haut débit numérique, équipement indispensable à la compétitivité de notre territoire.

    Afin de permettre au plus grand nombre d’y participer chacun a la possibilité de poser sa (ou ses) question(s) en amont, via l’adresse électronique : comdir@ariege.fr.

  • Ariège Terre de Trails édition 2018, premiers chiffres et mise au point du département

    Ariège Terre de Trails édition 2018, premiers chiffres et mise au point du département

    L’Agence de Développement Touristique et son président Henri Nayrou organisait aujourd’hui une réunion d’information à l’attention de la presse, en compagnie de pas mal d’organisateurs de courses et du Comité Départemental des Courses Hors Stade, pour faire un point sur l’opération « Ariège Terre de Trails ».

    C’est la deuxième édition du challenge qui sera organisé en 2018 et donc pour « Ariège Terre de Trails». Pour cette édition, un guide est édité par le Comité Départemental des Courses Hors Stade Ariègeois (CDCHS 09) avec 54 courses au programme déjà annoncées et présentées dans le livret «ARIEGE 09 Calendrier courses à pied 2018 ».

    «Il faut rappeler également qu’il n’y a pas que les courses à classement, mais aussi des courses plus conviviales qui permettent de faire découvrir la course et le territoire ariégeois de manière originale ou participer pour une cause (La Rando de Font Co, Virades de l’Espoir, …) » précise Gérard Masclet président du comité.

    « On a atteint plus de 9000 coureurs à l’arrivée pour cette dernière année sur la totalité des courses organisées en Ariège. Cette année je pense que les 10 0000 vont être dépassés. Cette Ariège et ce challenge du patrimoine est là pour aller faire découvrir d’autres territoires ou d’autres villes aux compétiteurs et c’est une bonne chose » rappelle t’il.

    En guise d’introduction, une mise au point d’Henri Nayrou sur l’opération

    « Le challenge c’est moi qui l’ai voulu, car ces courses ont trouvé leur public, elles mettent en lumière ce que l’Ariège a de plus précieux ; sa nature et ses montagnes…

    Nous avons pensé que cela pouvait apporter un plus à chaque organisateur et contribuer aussi au rayonnement de notre département en créant les Challenges et Ariège Terre de Trails. Pourtant il y a eu des suspicions de « récupération » de la dynamique autour des courses en montagne et notamment lors de la remise des prix du Challenge, je vous assure que ce n’est pas le cas et ce n’est pas notre ambition ».

    Le prochain évènement « Trail » sera le 18 février avec le « Trail du Maquis », puis tout au long de l’année 2018, les courses du challenge « Patrimoine » passeront par Montgaillhard, Labatut, Lavelanet, Montels, Saverdun, Saint-Paul-de-Jarrat, Saint-Pierre de Rivière, Bestiac, Prades, Laroque d’Olmes et Léran.

    Il y aura donc cette année 10 courses « du patrimoine » et 3 courses « des sommets »

    Parmi les courses du challenge des sommets, on aura cette année des nouveautés comme la PiCAPICA, entre autres, ainsi qu’une nouveau tracé de 55 Km pour la « Trail des Citadelles ».

    Alain Leplus directeur de l’ADT précise certains chiffres notamment ceux des retombées économiques et précise l’action de l’agence et du département sur cette action « Ariège Terre de Trail ».

    « Coté département, avec la communication du Conseil Départemental, nous avons communiqué sur le lointain et voulu être plus efficace pour l’Ariège. On a également voulu être plus efficace en comblant un besoin en matériel logistique plus adapté que le département a pu acquérir et que chacun a pu utiliser à bon escient.

    On vous laisse le choix dans le contenu du Challenge et vous avez montré que les professionnels ont été capables de tenir leurs engagements. On a mesuré l’impact et voulu mesurer ce que cela avait comme impact sur le territoire. Nous n’avons pas pu le faire sur toutes les courses mais on a mesuré par exemple sur le challenge du Montcalm une retombée importante en voici quelques chiffres :

    • 65% des coureurs (sur les 3 challenges des sommets mesurés) participent pour la première fois, certes c’est à la mode, mais 65% par rapport au vélo c’est très important. (35% de nouveau sur l’Ariègeoise par exemple)
    • 64% ont dit qu’ils souhaitent revenir et sont très satisfait des courses et 24% viennent préparer leurs courses en venant quelques jours avant,
    • 5% viennent par le bouche à oreille et ensuite Internet (y compris les sites web des médias spécialisés courses)
    • Sur 3,5 personnes qui viennent sur les courses on a donc 2 coureurs, soit 1,7 personnes par coureur inscrit. Chiffre qui est beaucoup plus important que dans le cyclo par exemple où on est à 0,7
    • On est à 84% de participants hors Ariège !

    700 000 euros minimum de retombées économiques par an grâce au Trail en Ariège

    Ces challenges font donc de l’Ariège un territoire très attractif au sens « touristique »

    • 55% des coureurs viennent en séjour et donc au sens économique du terme ils sont « des touristes » et cela génère des retombées touristiques importantes ; on arrive à 2837 nuitées et 96% consomment ces nuitées en hébergements marchands.
    • On est entre 70 et 133 euros par visiteurs consommés sur le département.
    • On arrive donc enfin sur le total des courses organisées à une estimation de 500 à 700 000 euros par visiteurs sans intégrer le budget des organisations qui est aussi réinvestit pour la plupart dans l’économie locale.

    « Vous avez donc un rôle économique important pour notre département et si nous ramenons à notre collectif des courses» précise Alain Leplus.

    Henri Nayrou rappelle que l’argent qui est donné pour l’opération « Ariège Terre de Trails » est celui des ariégeois.es et « nous souhaitions rappeler que cet argent produisait des résultats. »

    Pour le futur, les prochaines courses commencent à enregistrer des inscriptions : pour le Trail des Citadelles il y a à ce jour 1600 inscrits et 500 sur la nouvelle course pour une course qui aura lieu début Avril, sur le Montcalm il y a déjà 17 pays représentés 70 inscrits fermes.

     

    « Les deux Challenges attirent des coureurs sur les autres courses et on voit que la mayonnaise prend. Sur le Challenge du patrimoine on a voulu diminuer les distances pour permettre aux coureurs de réaliser plusieurs courses. » précise Gérard Masclet 

    « Sur toutes les courses notamment sur les courses du Challenge du patrimoine on a vu une croissance des inscriptions nette. L’intérêt c’est de tourner sur ce Challenge pour faire découvrir le patrimoine de notre région » rappelle-t’il

    Tout le monde était d’accord ce matin pour dire que l’opération « Challenge et Ariège Terre de Trails » était un succès et que le futur resterait prometteur, certains ont quand même proposer d’organiser une rencontre de type « FORUM des ORGANISATEURS de Courses » pour partager expériences et informations sur la sécurité, l’organisation, les responsabilités des organisateurs en cas de pépin…car il y en aura certainement un jour au vu de l’engouement…

     

     

     

  • Voeux d’Henri Nayrou : « 2018, une grande année pour l’Ariège, sauf si… »

    Voeux d’Henri Nayrou : « 2018, une grande année pour l’Ariège, sauf si… »

    Année nouvelle, vœux nouveaux car, c’est sûr, il va y avoir du nouveau en 2018 ! Tout d’abord, je souhaite bien sûr, à chaque Ariégeoise et Ariégeois santé, bonheur, argent et plénitude dans la vie comme au travail. Et sur un plan plus général, j’exprime le vœu que notre société soit plus solidaire, plus tolérante, plus humaine, moins égoïste. Ce n’est pas gagné…

    Liaison toute trouvée, j’en viens aux perspectives ariégeoises en 2018 qui seront manifestement fléchées côté citoyenneté vers le « mieux vivre ensemble » et côté avenir par des travaux d’une envergure considérable, pour faire sobre ou d’une ampleur inégalée pour qui voudrait faire rouler les tambours. 2018 va indiscutablement marquer un tournant dans l’histoire de notre département, s’il n’y a pas bien sûr de chausse- trapes…

    Dans une semaine, vos élus vont débattre du budget 2018 qui, en effet, va porter espérance et inquiétudes.

    Oui, les grands projets qui vont sortir cette année, préparent le futur des jeunes générations, estampillé « Ariège-2030 ».

    Oui, j’exprimerai nos craintes que le Président de la République et le gouvernement persistent dans leurs intentions de faire des économies en tondant la laine sur le dos des territoires de notre pays, Régions, Départements, Intercommunalités et Communes. Sachez que notre riposte de deuxième département le moins endetté de France sera à la hauteur de la menace.

  • Henri Nayrou est prêt à tester un revenu « de base » en Ariège

    Henri Nayrou est prêt à tester un revenu « de base » en Ariège

    Henri Nayrou est prêt à tester un revenu « de base » sur le département de l’Ariège. Inspiré du revenu universel  proposé lors de la dernière campagne présidentielle par le candidat du Parti Socialiste Benoit Hamon, Henri Nayrou serait prêt à tester un revenu de base à l’instar de 7 autres présidents de départements français.

    Dans une tribune publiée dimanche 26 novembre dans Le Journal Du Dimanche s‘appuyant sur leur implantation locale, les 8 présidents (Haute-Garonne, Aude, Gers,  Ariège, Gironde, Meurthe-et-Moselle, Ile-et-vilaine, Seine saint-Denis) sont prêt à expérimenter ce concept qui divise et resurgit régulièrement dans le débat politique français. « Nous voulons passer de l’étude en laboratoire au test in vivo en portant un projet d’expérimentation au Parlement », ajoutent les élus, rappelant « l’intention »d’Emmanuel Macron de « réformer la Constitution pour assouplir le droit à l’expérimentation », exprimée lors du Congrès des maires de France.

    Les présidents de département visent ainsi l’élaboration d’« un modèle robuste, crédible scientifiquement, audacieux socialement et soutenable financièrement grâce à des micro-simulations » partant des « réalités sociales ». L’expérimentation de terrain permettra d’évaluer le revenu de base « pour l’ajuster, avant peut-être de le généraliser », font-ils valoir sans en préciser les contours exacts.

    Lors d’une conférence de presse qui a  eu lieu au Conseil départemental lundi après-midi, Henri Nayrou a précisé sa volonté d’étudier ce dossier et a insisté sur le fat qu’il s’agissait d’un revenu de base et non d’un revenu universel qui le gène dans sa conception puisqu’il met en cause la valeur travail.

    « Puisque l’on sait que le RSA ne remplit pas ses objectifs de réinsertion, nous souhaitons avec d’autres départements, comme Emmanuel Macron nous le propose, mettre à l’étude puis expérimenter une version qui reste à définir, d’un revenu de base, qui permettrait in fine à 9 millions de français de ne pas rester dans la pauvreté », un sorte de revenu d’utilité sociale qui permettrait  de faire évoluer le RSA actuel et qui pourrait donner à la fois un revenu et une utilité sociale aux personnes exclues actuellement du système.

     

     

  • Suppression des Contrats aidés : 1.000 emplois menacés en Ariège

    Suppression des Contrats aidés : 1.000 emplois menacés en Ariège

    Dans un communiqué de presse, Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental de l’Ariège, explique pourquoi 1.000 emplois sont menacés en Ariège dans la perspectives de suppression des emplois aidés.

    Aucune perspective n’est donnée à ces employeurs sur la poursuite de ces dispositifs d’aide à l’embauche qui concernent plus de 1.000 emplois par an dans notre département.

    «Cette décision, prise sans aucune concertation, va se révéler catastrophique pour les collectivités et les associations, mais surtout pour les bénéficiaires eux-mêmes. Ils en seront les premières victimes qu’ils soient allocataires du RSA, travailleurs handicapés, demandeurs d’emplois de longue durée ou issus des quartiers prioritaires. Ces contrats ne sont pas de l’assistanat. Les personnes concernées occupent des fonctions utiles à notre société, à notre département et à nos concitoyens.»

    Leurs contrats remettent sur pied des personnes éloignées de l’emploi et leur permettent de mettre en œuvre une ou plusieurs formations. Ils représentent un outil indispensable de lutte contre le chômage et de consolidation du lien social. Pour nos associations, la fin des contrats aidés provoquera immanquablement l’arrêt de très nombreux projets, et certaines seront vraisemblablement obligées de cesser leur activité.

    Au moment où les politiques publiques départementales et nationales commençaient à porter leurs fruits en stabilisant le nombre de personnes au RSA, cette décision est un mauvais coup porté aux personnes qui souhaitent tout simplement travailler.

    Les personnes évincées de leur Contrat aidé iront vers le RSA. En clair, d’un côté, un boulot et une formation ; de l’autre, le maintien dans le tunnel du RSA.

    Et le Gouvernement trouve cela logique ?

    Le Premier Ministre a déclaré que les Contrats aidés n’avaient pas prouvé leur efficacité. On l’attend au tournant. Il ne faudra pas qu’il vienne ensuite reprocher aux Départements de ne pas être assez efficaces en matière d’insertion professionnelle.

    Communiqué du CD09 du 4 septembre 2017

  • Les voeux du Président du Conseil Départemental de l’Ariège : « L’Ariège d’abord, ensemble nous serons plus forts »

    Les voeux du Président du Conseil Départemental de l’Ariège : « L’Ariège d’abord, ensemble nous serons plus forts »

    Henri Nayrou dans ses traditionnels voeux encourage les ariégeois et les ariégeoises à se tourner vers l’avenir, car l’avenir est prometteur. Avec passion, il nous propose « ensemble car on est plus fort » de regarder cet avenir et ce, jusqu’en 2030 ! Fier d’une ruralité apaisante face aux stress de l’urbanisation galopante, le président du Conseil Départemental pense à l’Ariège d’abord !

    «A toutes les Ariégeoises et les Ariégeois d’aujourd’hui et aussi de demain, je présente mes voeux les plus chaleureux de santé, bonheur, quiétude, plénitude, emploi, retour à l’emploi, loisirs, mémoire, sens des responsabilisés, générosité, engagement, foi en l’avenir.

    L’année 2016, en effet, ne peut nous laisser qu’un souvenir amer d’attentats barbares, de cortèges de morts programmés au hasard mais hélas pas au hasard. Sans tomber dans l’aveuglement, le monde est entré dans un combat de civilisation. Que 2017 y mette fin, enfin !

    Pour en revenir à notre Ariège, il est une tendance qui n’est pas pour nous défavoriser, celle d’une société urbaine de plus en plus anxiogène qui engage les citadins à faire un pas de côté et à rechercher des havres de paix, de verdure et de qualité de vie. C’est une chance que notre département doit intégrer, comprendre, saisir et faire un pas en avant vers ces citoyens. Au demeurant, le mouvement vers une ruralité apaisante est déjà enclenché comme en témoignent les indicateurs démographiques de l’INSEE et du marché immobilier.

    Le projet « Ariège 2030 » s’inscrit dans cette perspective prometteuse. Le premier acte va d’ailleurs consister à doter notre collectivité d’une grille d’analyse prospective dans laquelle devront passer tous les grands projets des prochaines années afin de ne pas injurier l’avenir, celui des générations futures.

    Pour l’heure, celle de 2017, je vais dans quelques jours présenter un budget départemental axé sur deux secteurs essentiels, l’investissement et les solidarités humaines et territoriales, deux compétences sanctuarisées par la loi NOTRe. Priorité donc au déploiement du réseau Très Haut Débit qui, en 2020, va permettre d’assurer 8 mégabits minimum aux 84.000 lignes actives dont les deux tiers dotées de la fibre jusqu’à l’abonné. Elle est là, la vraie chance pour l’avenir de l’Ariège et nous ne manquerons pas le rendez-vous !

    L’Ariège est un territoire d’avenir. L’Ariège d’abord, ensemble nous serons plus forts !»

    Henri Nayrou

  • « Brexit » : Henri Nayrou répond à l’inquiétude d’une ressortissante britannique en Ariège

    « Brexit » : Henri Nayrou répond à l’inquiétude d’une ressortissante britannique en Ariège

    Même si les conséquences du « Brexit » ont été atrocement submergées dans la presse par les attaques terroristes perpétrées en France et en Allemagne, il n’en demeure pas moins vrai que la victoire dans les urnes des électrices et électeurs de Grande-Bretagne tournant le dos à l’Europe engendrera de grands désordres dans les domaines économiques et financiers. Elle importera également, négativement, la vie des Britanniques résidant en France.

    A ce propos, j’ai reçu il y a quelques jours à peine le témoignage d’une Anglaise habitant dans le Mirapicien, et s’en réjouissant. Elle s’interrogeait à la fois sur son futur statut et sur l’opinion des élus et citoyens ariégeois à l’égard des ressortissants britanniques.

    Je crois être en mesure de porter le message de la quasi-totalité de nos compatriotes qui apprécient le fait que des Britanniques aient choisi de vivre dans notre département. Lors de mes « années député », j’ai eu l’occasion d’en côtoyer un certain nombre et aussi de Ies interroger sur leurs motivations à prendre racine chez nous. Deux raisons émergeaient : la qualité de nos services publics et notre organisation de santé publique, comme un pied-de-nez aux Français qui ne se rendent pas compte de la chance que nous avons de posséder de tels atouts.

    Nos amis britanniques auraient pu également citer notre cuisine et notre philosophie de vie ou tant d’autres domaines dans lesquels nous sommes supérieurs à leur pays d’origine.

    Mais là n’est pas l’objet de mon intervention publique. Je veux leur dire combien je comprends leur désappointement et même leur désarroi devant ce choix à peine majoritaire de leurs compatriotes qui n’ont jamais été, hélas, des supporters de l’Europe alors que celle-ci a tant fait pour la paix des peuples.

    Je reconnais cependant que les technocrates de Bruxelles ont eu le tort de faire passer les intérêts financiers et budgétaires avant l’aspect humain dans l’ordonnancement et les priorités de la société européenne. Mais, de deux maux, mieux valait choisir le moindre.

    Je tiens à témoigner enfin aux Britanniques vivant en Ariège, devenus de vrais Ariégeois de Grande-Bretagne, notre solidarité ainsi que notre espoir que les conséquences à venir du « Brexit » ne compliquent pas leur existence.

    Nous nous tenons à leur écoute.

    Henri Nayrou

  • Henri Nayrou : « 13ème mois, 32 heures par semaine et 2600 euros de prime annuelle » qui dit mieux ?

    Henri Nayrou : « 13ème mois, 32 heures par semaine et 2600 euros de prime annuelle » qui dit mieux ?

    Le président Henri Nayrou a souhaité prendre à témoin les citoyens et contribuables ariégeois ; les négociations avec les délégués CGT du Conseil départemental et les communications dans la presse étant tronquées, il dénonce sur la surenchère  : « La CGT est pour les 32 heures, un 13ème mois en sus de la prime annuelle accordée d’un minimum  de 2600 euros au Conseil Départemental » 

    «Faisant suite à leur absence au comité Technique Paritaire, à leur communiqué de presse et à leur demande de rendez-vous exprimé vendredi 10 juin à 9h10, j’ai reçu avec mes collègues élus Jean-Paul Ferré et André Montané, les six délégués CGT du Conseil Départemental dès le lundi 13 juin à 15 heures. Je reste fidèle à l’un de mes principes : le meilleur moment pour répondre aux sollicitations est toujours le premier. 

    Ces représentants des salariés sont dans leur rôle et je suis pour la transparence en toutes circonstances, j’écris bien, dans toutes. 

    Dans « La Dépêche du Midi » de dimanche dernier, j’ai répondu sur les points exposés publiquement mais lors de notre rencontre de lundi, les délégués CGT m’ont formulé plusieurs autres demandes dont, notamment, la semaine à 32 heures et l’octroi d’un 13ème mois, deux revendications importantes sur lesquelles étaient adossées deux pétitions signées par près de 400 salariés et qui, de manière surprenante, ne figuraient pas dans le compte-rendu de leur rencontre avec la presse. 

    Lundi, nous leur avons répondu qu’elles seraient soumises à nos pairs mais que nous n’étions pas favorables. Pour les 32 heures, je leur ai rappelé notre séance publique du 4 mai 2015 au cours de laquelle la Chambre Régionale des Comptes nous reprochait d’être déjà plus près des 32 heures que des 35 règlementaires et qu’il manquait donc 56 heures au temps de travail officiel par année. 

    Concernant le 13e mois, nous avons fait remarquer aux délégués CGT que le régime indemnitaire en vigueur au Conseil Départemental équivalait déjà à un 13ème mois de salaire et parfois même à un 14ème. En effet, aucun agent n’est en dessous d’une prime annuelle de 2.600 € par an. Si une collectivité publique ariégeoise fait mieux, qu’elle vienne nous le dire. 

    Je ne souhaite faire aucun autre commentaire, laissant nos choix à l’appréciation des citoyens-contribuables de notre département. »

    Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental de l’Ariège