Étiquette : Lavelanet

  • A Lavelanet, le nouveau bar à vins le « Gargantua » propose tapas et menus insolites…

    A Lavelanet, le nouveau bar à vins le « Gargantua » propose tapas et menus insolites…

    Le quartier historique de Lavelanet change de visage, petit à petit. Avec, entre autres, l’ouverture du « Gargantua», un bar à vin – tapas – restaurant dans la rue de Verdun (ancienne rue des marchands).

    Après l’ouverture de la Maison des Arts et de la Maison des projets, place à la gastronomie avec Christine Venturini.

    « Je cherchais un établissement correspondant à mon concept », indique Christine, tombée amoureuse de cette bâtisse du centre-bourg, grâce à une annonce Internet.

    Mais elle avait également le désir irrépressible de se rapprocher des Pyrénées, colonne vertébrale de sa famille. Il faut savoir que Christine Venturini a connu Lavelanet toute petite, grâce à un grand-oncle qui, après avoir fui Franco, a longé les Pyrénées depuis Perpignan pour s’installer à Lavelanet comme manœuvre dans les usines textiles.

    Après quelques mois de travaux, l’établissement a ouvert ses portes le 15 juillet dernier et se découvre avec plaisir. Là, Christine propose une cuisine aux saveurs du Midi et de la Catalogne (gambas au muscat de Rivesaltes, Boles de Picolat, calamars farcis, coq au vin…) pour accompagner un verre de vin choisi parmi une large sélection de bouteilles, principalement des vins de la vallée de l’Agly. Vous pouvez aussi opter pour des tapas et savourer un « pan con tomate » ou diverses charcuteries dans cet endroit cosy et chaleureux.

    Une fois par mois, le Gargantua organise une soirée à thème ; le 8 janvier se sera « soirée pantoufles et galettes des Rois »…« L’objectif est que ce soit un endroit où l’on souhaite se retrouver entre amis, en famille », résume la patronne tombée sous le charme de Lavelanet. « Il faut que ce quartier, l’un des plus anciens de Lavelanet retrouve la vie qu’il a connu. Plein de projets, initiés par la mairie, sont en cours ; j’y crois, tout comme les nouveaux propriétaires du quartier. »

    Le Gargantua est ouvert tous les jours de 8h30 à 23h l’hiver (de 7h30 à 23h en été). 31 rue de Verdun. Tous les midis du lundi au vendredi. Formule : plat-dessert-café 12€. Le soir tapas ou menu à la carte. Samedi et dimanche le menu week-end ou à la carte. Réservations au 06 75 48 74 05.

  • Et si Georges Meliès le grand cinéaste était de Lavelanet ?

    Et si Georges Meliès le grand cinéaste était de Lavelanet ?

    Nous avons rencontré JacquesVergnes directeur du Cinéma le Casino à Lavelanet il y a quelques semaines. Il nous raconte pourquoi Georges Meliès, le grand spécialiste des trucages au cinéma a ses attaches familiales à Lavelanet. Ce n’est pas un scoop car l’info avait été déjà diffusée il y a quelques années dans la presse locale. Mais cette information est d’importance quand on sait le travail qui est fait au Casino sur le film muet et l’envie qui existe d’approfondir le sujet pour en faire quelque chose de grand !

    Georges Méliès, né Marie Georges Jean Méliès le 8 décembre 1861 et mort le 21 janvier 1938, est un réalisateur de films français. Ayant choisi la prestidigitation comme profession, il profite d’une donation de son père, industriel de la chaussure, pour devenir propriétaire et directeur en 1888 du théâtre Robert Houdin, en sommeil depuis la mort du célèbre illusionniste.

    Le 28 décembre 1895, il découvre avec émerveillement les images photographiques animées lors de la première représentation publique à Paris du Cinématographe par les frères Lumière et propose même de racheter le brevet de la machine. Un refus poli mais narquois le pousse à se tourner vers un ami londonien, le premier réalisateur britannique, Robert W. Paul, qui lui fournit un mécanisme intermittent avec lequel il tourne son premier film en 1896, Une partie de cartes, réplique du même sujet réalisé par Louis Lumière. La même année, avec l’Escamotage d’une dame au théâtre Robert Houdin, il utilise pour la première fois en Europe le principe de l’arrêt de caméra, découverte américaine, qui lui assure un franc succès dans son théâtre où il mélange spectacles vivants et projections sur grand écran. Il fait alors de ses tableaux, ainsi qu’il appelle ses films, un nouveau monde illusoire et féerique, mettant à profit les dons de dessinateur et peintre que chacun a pu remarquer dans son adolescence.

    Georges Méliès est considéré comme l’un des principaux créateurs des premiers trucages du cinéma, entre autres les surimpressions, les fondus, les grossissements et rapetissements de personnages. Il a également été le premier cinéaste à utiliser des storyboards1. Il a fait construire le premier studio de cinéma créé en France dans la propriété de Montreuil dont son père l’avait également doté.

    Sources Biographiques : WikiPedia

  • Le Musée du Textile et du Peigne en Corne ou l’histoire du Pays d’Olmes depuis le moyen-âge

    Le Musée du Textile et du Peigne en Corne ou l’histoire du Pays d’Olmes depuis le moyen-âge

    Créé en 1983 par l’Association des Amis du Musée du Textile et du Peigne en Corne, constituée d’anciens du textile ( ouvriers, cadres, dirigeants ) et de l’enseignement, le musée occupe les bâtiments de l’ancienne usine Dumons, la première usine textile de Lavelanet qui date des années 1800.

    Rassemblant tous les outils, machines, archives (souvent des dons, parfois des acquisitions) nécessaires à sa présentation, les «Amis du Musée» s’investissent pour faire découvrir aux visiteurs toutes les étapes et processus de fabrication du tissu dans l’ambiance et l’atmosphère conservées de la première usine de Lavelanet

    Avec l’espace filage et découverte des fibres, espace teinture, espace filature mécanique, espace tissage du moyen-âge et maison du tisserand …. le visiteur découvre le secret des fibres et le filage de la laine, le miracle des teintures et l’alchimie des couleurs, ou encore la magie du tissage sur des métiers à bras et des métiers mécaniques en état de marche. 

    Espace sur la fabrication des peignes en corne

    Dans cet espace dédié, les étapes de fabrication d’un peigne en corne sont présentées autour du four du biscayeur des presses et autres machines essentielles à la fabrication de ce produit noble aux propriétés indéniables.

    Outre ces nombreuses et minutieuses étapes de fabrication et ses qualités qui sont souvent mises en avant, l’espace, nouvellement aménagé, permet également de comprendre l’importance de cette activité sur le territoire, l’importance de la production et les conditions de travail des ouvriers.

     
     
    Musée du Textile et du Peigne en Corne
    65, rue Jean Canal – 09300 Lavelanet
    05 61 03 89 19
    de 9h à 12h et de 14h à 18h 

    museedutextile@gmail.com
    www.museedutextileariege.fr

  • Julie Séguélas Piquemal, une jeune bijoutière passionnée en Pays d’Olmes

    Julie Séguélas Piquemal, une jeune bijoutière passionnée en Pays d’Olmes

    Lavelanétienne depuis cinq générations, Julie Séguélas Piquemal est une ariégeoise d’origine mais surtout de coeur. Bien connue dans le Pays d’Olmes notamment pour avoir fondé le RCFPO, Rugby Club Féminin du Pays d’Olmes, dont elle est toujours Présidente d’honneur, Julie, malgré son jeune âge, a déjà bien roulée sa bosse.

    Après avoir été diplômée des Métiers d’Art du bijou et du joyau suite à ses cinq ans de formation (CAP art du bijou et du joyau, BMA art du bijou et du joyau, Mention Complémentaire Sertissage) dans une école de bijouterie-joaillerie-sertissage, Julie a travaillé comme ouvrière dans plusieurs endroits et à enseigné dans les ateliers du Lycée Professionnel Docteur Clément de Pémille à Graulhet dans le Tarn.

    Mais l’envie de créer était plus forte que tout, c’est pourquoi, en 2014 elle revient «au Pays» pour se consacrer à sa passion : la création.

    C’est la passion de la soudure qui l’a menée vers la joaillerie : «j’adorais souder, explique t’elle, et puis le dessin, tout ce qui était dans l’art, avoir un crayon dans les mains. Pouvoir créer des choses et les faire naître ensuite me plaisait beaucoup».

    Sa création c’est la collection GEO. GEO comme Géographie, Géométrie ou Géothermie, une collection en plexiglass strass et argent aux lignes droites et épurées sur laquelle elle travaille depuis deux ans. C’est le temps qu’il a fallut pour apprendre à travailler la matière, la scier, la couper la coller. Depuis six mois il est donc possible de trouver bagues, colliers et boucles d’oreilles de cette belle collection.

    Julie réalise également des bijoux sur mesure pour hommes et femmes, les répare ou leur redonne une seconde vie. 

    Alors quoi de mieux qu’un joli bijou ariégeois pour les fêtes ?

    www.facebook.com/JulieSeguelasPiquemal

    jspcreatrice.com

     

     

  • L’histoire du textile en Pays d’Olmes avec Sylvette Saboy

    L’histoire du textile en Pays d’Olmes avec Sylvette Saboy

    Sylvette Saboy nous conte l’histoire du textile, une industrie artisanale qui est née à Lavelanet au moyen âge au bord de la rivière  puisque les machine fonctionnaient grâce à la force hydraulique. 

    C’est à partir de la révolution que l’activité textile s’est ouverte vers l’Aude avec des commanditaires de Carcassonne et des manufactures Royale. 

    c’est l’arrivé d’un audois, Jean Pascal Dumons avec un métier mécanique pour faire la filature qui entrainera petit à petit la disparition de la filature au rouet.

    Dans les années 1880, les métiers en bois qui servaient au tissage se sont transformés en métiers en fonte qui permettaient plus de rendement. A cette époque, de la filature à l’apprêt en passant par le tissage, le territoire est un territoire de laine : De la laine des moutons locaux puis de la laine d’importation. La région devint ainsi une région de cardé.

    Avec la guerre de 1914, le territoire voit arriver des espagnols pour remplacer les hommes partis au front, quelques réfugiés belges arriveront dans les années 20.

    C’est la deuxième guerre mondiale qui va arrêter peu à peu l’activité en raison du manque de matière première. Au sortir de la guerre, le Pays d’Olmes va se développer grâce à «l’effiloché», c’est à dire la récupération de tricots et de chiffons qui permettait de fabriquer une «matière première». C’est dans les années 50 que l’effilochage a relancé l’industrie textile. 

    Jusqu’en 1973, le Pays d’Olmes était le premier centre de cardé de France.

    Le choc pétrolier amène un renchérissement des fibres synthétiques et à partir de là une grosse concurrence. Viendront ensuite les gros industriels dont les entreprises Roudière, Michel Thierry et la petite entreprise familiale la Sotap Carol.

    Avec les années 90 commencera le déclin d’une industrie florissante qui laisse un grand souvenir mais qui malheureusement, au vu du peu d’entreprises qui restent sur la place, risque de faire perdre tout le savoir faire d’un territoire.

  • Lavelanet, la station des Monts d’Olmes s’invite au Marché de Noël – 10 décembre

    Lavelanet, la station des Monts d’Olmes s’invite au Marché de Noël – 10 décembre

    Vous êtes très cordialement invité à venir rencontrer la station des Monts d’Olmes, le samedi 10 décembre à partir de 15h00 au Marché de Noël à Lavelanet. 

    Tremplin, air bag, atelier maquillage, DJ vin chaud et chocolat seront au rendez-vous tout au long de cet évènement. 

    Ce sera aussi l’occasion pour rencontrer les acteurs socioprofessionnels de la station :personnel de la station,  skis club, écoles de ski, magasins de location,…

    • 15h00 – 20h00 : animations glisse avec tremplin et airbag
    • 15h00 – 17h00 : les enfants pourront s’essayer à la descente du tremplin en luge
    • 15hOO – 17h00 : Atelier maquillage
    • 17h30 – 20h00 : Démonstration de sauts et et de figures par les skieurs du boss-club 

    Animation musicale avec DJ, vin chaud et chocolat chaud

     

  • Lavelanet se dote d’une Web TV pour renforcer son image de dynamisme

    Lavelanet se dote d’une Web TV pour renforcer son image de dynamisme

    Ce jeudi 1er décembre 2016, la Ville de Lavelanet inaugure officiellement le lancement de la chaîne Lavelanet T’y Vis, une Chaîne TV 100% Lavelanétienne, sur le site de partage de vidéos YouTube…

    Le Service communication de la mairie et l’équipe Woomeet travaillent depuis quelques semaines sur différents films promotionnels pour la ville de Lavelanet en Ariège. Objectif : donner une vision « dynamique » de cette ville en plein changement. À la clé : la mise en place d’une chaîne YouTube pour la ville afin d’animer la communauté des gens de Lavelanet et renforcer image et démocratie participative. Car Lavelanet bouge, se transforme et met en place de grands chantiers au travers des dispositifs : AMI centre-bourg, TEPcv et Contrat de territoire. Un challenge pour les élus et Lavelanétiens, mettre en lumière Lavelanet 2050, une ville au carrefour de sites d’exception.

    On le sait, le concept Web-Tv répond à la formidable demande de contenus vidéo dans tous les secteurs. Une opportunité que les élus Lavelanétiens ne pouvaient ignorer, car il ne s’agit plus aujourd’hui seulement d’informer sur l’action des élus ou les projets de la collectivité, mais bien d’incarner les politiques publiques en déroulant le récit du territoire, en mettant en scène les acteurs sociaux économiques et les citoyens, « car ce sont eux qui font Lavelanet ». Lavelanet TV donne la parole à ceux que l’on n’entend pas et traite de sujets que l’on ne trouve pas ailleurs.

    Le devenir de sa ville et du Pays d’Olmes chevillé au corps, Marc Sanchez s’est adjoint les services de l’équipe WOOMEET spécialisée dans les nouveaux Médias de l’Internet afin de changer une image trop souvent négative et ne prenant pas en compte le ressenti de ses habitants. Pour le 1er édile de Lavelanet, « Lavelanet TV vient compléter l’information diffusée sur nos autres supports de communication traditionnels et redonne ses lettres de noblesse au centre-bourg du Pays d’Olmes. »
    Le concept est simple… Parler de Lavelanet, du Pays d’Olmes, de celles et ceux qui y vivent…

    Vous y découvrirez des personnages attachants, des personnes passionnantes, des interventions insolites, mais aussi des surprises… Allez à la rencontre des résidents, découvrir les savoir-faire, la vie associative culturelle, sportive… Rencontrer les artisans, commerçants, professions libérales… Enfin tout ce qui fait notre patrimoine, la richesse de Lavelanet et du Pays d’Olmes.

    Voir la chaine : www.youtube.com

  • Le SLBB, un club historique à Lavelanet

    Le SLBB, un club historique à Lavelanet

    S’il est un club historique à Lavelanet, c’est bien le Stade Lavelanétien de Basket Ball, le SLBB. André Cassan l’actuel président nous raconte les débuts du club, et les projets. 

    Tout a commencé en 1938 : Les ouvriers, avant de rentrer à L’usine, s’amusaient à lancer des pelotes de tissus dans un cerceau accroché à des poteaux. Un cadre de l’usine qui connaissait le basket, a commencé les initier à la pratique du jeu. C’est ainsi qu’est né, en 1938, le premier terrain de basket de Lavelanet, derrière les usines Dumons ; Un terrain rudimentaire sur de la terre battue avec des poteaux de fortune. 

    C’est en 1942 que le club prend son autonomie et devient le «Stade Lavelanétien de Basket Ball» avec un fait assez insolite dans le département, c’est le seul club qui accueille, à cette époque, une équipe de séniors féminine et des jeunes.

    En 1980, les dirigeants de l’époque, créent une école de basket ouverte à tous les enfants de 5 à 18 ans. Cette école eut immédiatement un gros succès auprès de la jeunesse lavelanétienne avec un nombre important d’équipes créées.

    Il y a deux, Anthony Juan à rejoint le club comme entraîneur en contrat «Emploi Avenir». 

    Fort des 140 licenciés, l’objectif principal du club est avant tout d’accueillir tous les publics, de faire jouer tout le monde et bien sûr un objectif éducatif qui est de transmettre, à travers le sport, des valeurs de citoyenneté, de respect.

    En Juin 2017, le SLBB fêtera ses 75 ans, une grande journée festive est d’ores et déjà prévue. On en reparlera évidemment.

     

     

  • Lavelanet-Pays d’Olmes, porte d’entrée des Monts-d’Olmes

    Lavelanet-Pays d’Olmes, porte d’entrée des Monts-d’Olmes

    Monts d’Olmes : la station s’installe durablement à Lavelanet et sur le territoire 

    Comme une « équipe de rugby », SAVA SEM, mairie de Lavelanet et CCPO s’inscrivent dans un partenariat de longue durée avec pour objectif de créer une porte d’entrée en plaine pour la station des Monts d’Olmes. Ce samedi 10 décembre, place aux sensations fortes avec le tremplin des MDO installé en centre-bourg…

    Lavelanet – Pays d’Olmes : porte d’entrée de la station

    Si la station des Monts d’Olmes cherchait « un nouveau souffle », elle l’a trouvé en la personne de Jean-Claude (Joan) Montané directeur. « Surpris par le manque de connaissance sur la station des gens d’ici », le directeur veut élargir le partenariat mis en place avec la commune de Lavelanet, une ville au carrefour des 4 M. Une porte d’entrée, tout comme le Pays d’Olmes vers la station. L’idée étant de fédérer habitants, entreprises, commerçants et artisans autour de « leur station ». Le marché de Noël sera « le coup d’envoi » d’une campagne visant à réinstaller la station en plaine au travers de signalétiques, opérations en direction de la jeunesse, vente de remontées dans les commerces, installation de décorations sur les ronds-points du centre-bourg, etc…  Jean-Claude Montané et Cyril Bardin (directeur marketing communication de la SAVA SEM) l’affirment, «le collectif des élus est vraiment là, ça ressemble à un ouragan ».  

    Une première manifestation ce week-end durant le marché de Noël

    Le centre-bourg de Lavelanet va être le théâtre ce week-end d’une manifestation hors norme. Outre le marché de Noël, entre féeries et savoir-faire locaux, organisé par l’association Lavelanet d’Hier à Aujourd’hui de Franck Farez, la station va installer, samedi 10 décembre un tremplin (25m de long au sol, 11m de haut) et un air bag, devant le Marché couvert. Un objectif pour Jean-Claude Montané: « que les habitants de Lavelanet, du pays d’Olmes se réapproprient leur station ; qu’ils en deviennent les ambassadeurs ». Pour ce faire, SAVA SEM, mairie de Lavelanet et Communauté de communes travaillent main dans la main. « Fervent admirateur de rugby Monsieur le Maire le sait » glisse Jean-Claude Montané, « nous devons pousser dans le même sens ». Il est question ici « d’un enjeu économique important, tant pour la station que pour le pays « ; propos réitérés par Marc Sanchez convaincu : « notre station a un potentiel énorme. Aujourd’hui des professionnels la gèrent et la mettent en valeur ». Pour tous, ce partenariat doit s’inscrire dans la durée. Pour ce faire, les techniciens de la station, dont Nathalie Quérol chargée de communication, mettent en place divers projets : opération « je skie à la maison ». Une offre de forfait saison pour les enfants résidant en Pays d’Olmes et à l’école primaire ou au collège à un prix très attractif. Des rencontres sont organisées avec les établissements scolaires du territoire (Écoles primaires et collèges). Politique tarifaire en baisse pour les écoles du Pays d’Olmes. Partenariat fort avec le lycée Professionnel Jacquard qui forme ses futurs élèves aux métiers de la montagne. Autant d’opérations pour, glisse Jean-Claude Montané, « que les habitants du Pays d’Olmes prennent conscience qu’ils ont un bijou » , et, une conclusion à cette conférence de presse pour le maire de Lavelanet : « on écrit aujourd’hui une nouvelle page pour notre station ».

    Les animations de la station ce samedi 10 décembre : de 15h00 à 20h00 : animation glisse avec un tremplin et un air bag ; de 15h00 à 17h00 : les enfants pourront s’essayer à la descente du tremplin avec des luges en toute sécurité ; de 17h30 à 20h00 : démonstrations de sauts et de figures par les skieurs du Boss Club (club de ski de Perrine Laffont

    Sources : Mairie de Lavelanet

  • Lavelanet, Le Lac des cygnes – 8 décembre

    Lavelanet, Le Lac des cygnes – 8 décembre

    Le Lac des cygnes un Ballet en quatre actes en direct de l’Opéra Bastille. Livret : Vladimir Begichev, Vassili Geltser

    Dans la version « freudienne » que Rudolf Noureev imagine pour le Ballet de l’Opéra de Paris en 1984, le prince Siegfried, manipulé par le maléfique Rothbart, se dérobe à la réalité du pouvoir et du mariage pour se réfugier dans les rêves, où lui apparaît un lac magique porteur de l’amour idéalisé.

    Noureev hisse à la hauteur de l’héroïne le rôle du prince en lui donnant une nouvelle ampleur psychologique et préfère donner à ce chef-d’œuvre du ballet d’action une fin tragique plus harmonieuse avec l’écriture musicale.

    Jeudi 8 Décembre – 19h15 durée : 2h35
    Le Casino – Lavelanet 

  • Lavelanet – Peace and Lobe – 29 novembre

    Lavelanet – Peace and Lobe – 29 novembre

    affichepeaceandlobePeace and Lobe revient :

    Avant-Mardi, Pôle Régional Midi-Pyrénées des Musiques Actuelles, propose un programme pédagogique d’information, de sensibilisation et de prévention des  risques auditifs liés à l’écoute et à la pratique des musiques amplifiées.

    Peace and Lobe propose diverses actions et notamment une animation à destination des collégiens et des lycéens avec les « KKC orchestra ».

    Mardi 29 Novembre 2016 09h00 et  14h00

    Tarif Gratuit Le Casino – Lavelanet

  • Lavelanet : Une réunion de travail pour partager et faire remonter

    Lavelanet : Une réunion de travail pour partager et faire remonter

    La 4ème réunion du groupe de travail « Territoires et bourgs-centres » portée par l’association « Sites et Cités remarquables de France », son président Martin Malvy et sa directrice Marylise Ortiz, a eu lieu ce mercredi 16 novembre, Salle du Casino espace culturel Mady de la Giraudière.

    « L’importance de telles journées porte sur les échanges entre élus, techniciens, État » a indiqué en préambule Bruno Marty maire de La Réole et président du groupe de travail, avant de rappeler : « l’intérêt des populations, l’attractivité, le développement de nos territoires passent par le développement des bourgs-centres. Il faut raisonner globalement sur un territoire ; pour ceci, un gros travail est à faire sur les communautés de communes, car ne l’oublions » a-t-il poursuivi : « le bourg-centre est la locomotive du territoire ». Propos réitérés par Jean-Jacques Michau pour le pays d’art et d’histoire des Pyrénées cathares glissant : « le PAH est un liant, on essaye de mettre en synergie les projets de territoire pour s’inventer un avenir ». L’avenir, le maire de Lavelanet Marc Sanchez y croit dur comme fer. « La revitalisation des centres-bourgs représente un enjeu crucial pour l’attractivité des campagnes et la structuration des territoires. Le dispositif AMI se fonde sur la réhabilitation du bâti ancien, mais concerne aussi la qualité de vie, la cohésion sociale et le développement commercial, touristique, artisanal, industriel. Nous le savons tous, la valorisation des atouts et de l’identité de chaque territoire passe par la protection et la mise en valeur de notre patrimoine naturel, culturel et architectural. Par un centre-bourg animé et vivant, par une transition écologique et énergétique. Mais tous ces projets ne peuvent être mis en œuvre sans l’implication des habitants de Lavelanet, du pays d’Olmes. Habitat, culture, emploi, circuits courts, lutte contre le mal-logement, patrimoine… sont inscrits dans le projet « Lavelanet 2050 que porte la municipalité». Du patrimoine, il en a été également question avec Marylise Ortiz rappelant : « un travail spécifique sur l’économie et territoire, culture et patrimoine est réalisé sur quatre territoires parmi les 54 villes lauréates AMI-centres bourgs. Quatre territoires pilotes ayant tous connu une déprise industrielle : Saint-Flour, Pont-Saint-Esprit, La Réole et Lavelanet ». À Lavelanet comme dans les autres territoires concernés, ces projets reposent sur une action de proximité, d’animation d’acteurs par une démarche collective de co-construction avec les porteurs de projets et les acteurs de terrain ; de concertation avec les élus et habitants. Mais l’État intervient aussi comme l’a souligné Marc de Dumast responsable stratégie et partenariat à la Caisse des Dépôts et Consignations : « la Caisse des Dépôts se mobilise pour faire face à 4 grands défis : transition territoriale,  économique, démographique, écologique ». 

    Cette réunion de travail a également été l’occasion de « faire remonter les difficultés rencontrées » : élus et techniciens souvent isolés, calendriers de financement un peu long « se faisant on fait languir nos populations » selon Bruno Marty. Mais des pistes sont à l’étude : fonds d’investissement d’avance, guichet unique et boîte à outils globale, création ou renforcement de clubs  ou comités régionaux entre lauréats, allongement de la durée du FNDAT. Pour Julia Gartner-Negrin et Vincent Lacaille Ministère de la Culture et de la Communication « l’idée étant que le dispositif AMI fasse des petits, grâce aux évaluations ». Car tous les participants en sont convaincus : « c’est une chance de bénéficier de tels dispositifs » ; d’autant plus pour Lavelanet qui peut également s’appuyer sur le dispositif TEPcv, dispositif en marche sur la Ville et porteur d’une nouvelle dynamique.  

    Source : Mairie de Lavelanet