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  • Massat : Des figues en Avril – 20 avril

    Massat : Des figues en Avril – 20 avril

    Des figues en Avril dessine le portrait drôle et bouleversant de Messaouda Dendoune, 82 ans, née en Kabylie un jour indéfini du printemps 1936 et arrivée en France avec son mari il y a soixante ans, filmée ici par son fils Nadir.

    Au-delà de la personnalité attachante, malicieuse, déterminée et passionnée de cette « Kabyle des montagnes », on découvre son quotidien dans son deux pièces de la cité Maurice Thorez de l’Île-Saint-Denis dans le 93, ponctué par la présence invisible de l’absent. Elle apprend désormais à vivre seule depuis que son mari Mohand, atteint de la maladie d’Alzheimer, a été placé en maison médicalisée. Messaouda, bercée par ses chanteurs kabyles emblématiques – comme Slimane Azem –, raconte avec fierté sa France des quartiers populaires et le devenir de ses enfants.

    Projection à 21 heures en présence du réalisateur

    Salle de la mairie de Massat

    Soirée organisée par Ariège Images

  • Foix : Histoire Connectée : Du Pays d’Olmes à l’Amérique Latine – 31 mars

    Foix : Histoire Connectée : Du Pays d’Olmes à l’Amérique Latine – 31 mars

    Ne manquez pas la conférence-projection « Histoire Connectée » qui vous fera découvrir des liens entre le Pays d’Olmes et l’Amérique Latine !

    à 15h : conférence de Bruno Evans : Histoire connectée : du Pays d’Olmes à l’Amérique Latine (Entrée libre).
    « Notre histoire fut longtemps construite comme un roman national. La France s’y incarnait comme une entité naturelle. Pourtant, la réalité est plus complexe et l’on ne saurait comprendre l’histoire de France sans l’envisager comme faisant partie d’un tout : le monde. L’histoire connectée invite à ce cheminement intellectuel. Bruno Evans, professeur d’histoire, chargé de cours à l’université Jean-Jaurès et préparant une thèse sur la connexion au monde du territoire industriel du Pays d’Olmes, vous propose de découvrir comment l’histoire connectée peut permettre une meilleure intelligence du passé à travers le cas qu’il étudie : « Les connexions matérielles entre l’Amérique Latine et le territoire industriel du jais et du peigne en pays d’Olmes »

    à 17h : projection « Zona Franca » de Georgi Lazarevski – Chili – 1h40 (Tarif cinéma).
    En Patagonie, au coeur de la province chilienne du détroit de Magellan, les habitants croisent la route de touristes en quête de bouts du monde…

    Samedi 31 Mars à 15h00

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège 
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX

  • Mirepoix : Ciné – rencontre « Irrintzina, le cri de la génération climat » 1er mars

    Mirepoix : Ciné – rencontre « Irrintzina, le cri de la génération climat » 1er mars

    Le cinéma municipal de Mirepoix organise une projection du film « Irrintzina » suivi d’un débat. 

    Face au sentiment d’impuissance que provoque l’extrême gravité du dérèglement climatique, quelques militants de l’organisation basque Bizi ! font un pari fou : construire en quelques années une mobilisation sans précédent en vue de la COP21 et lancer un grand mouvement non-violent pour le climat : Alternatiba.

    De Bayonne à Paris, sur des vélos multiplaces, coup de pédale après coup de pédale, en multipliant les villages des alternatives, de petites victoires en grandes mobilisations contre les multinationales des énergies fossiles et les banques qui les soutiennent, le lm raconte les étapes de ce e mobilisation.

    Irrintzina, c’est un cri d’alarme sur l’effondrement de notre monde mais c’est aussi un cri de joie poussé par des centaines de militants déterminés qui ont réalisé que si, ensemble, ils ne faisaient rien, personne ne le ferait à leur place.

    En janvier 2015, nous rencontrons pour la première fois l’équipe de Bizi! qui a lancé le mouvement Alternatiba dont nous racontons l’histoire dans notre lm Irrintzina, le cri de la génération climat. C’était le week-end post-a entat de Charlie Hebdo. Ce week-end là, Bizi! avait invité à Bayonne une centaine de militants venus de toute la France souhaitant organiser à leur tour un village des alternatives en vue de la COP21. Nous prenons alors la mesure de l’urgence climatique. C’est un véritable choc.

    Irrintzina, le cri de la génération climat
    De Sandra Blondel, Pascal Hennequin
    8 novembre 2017 / 1h 40min / Documentaire / Français

    Jeudi 1er mars à partir de 20h00

    Espace Culturel Andre Malraux 14 Rue Vidal Lablache
    09500 Mirepoix
    05 61 68 29 98

    voir la Bande Annonce sur : www.facebook.com/irrintzinalefilm

  • Mas d’Azil : Ciné-Rencontre avec Yannis Youlountas – 2 mars

    Mas d’Azil : Ciné-Rencontre avec Yannis Youlountas – 2 mars

    Au terme de 15 mois de tournage et de préparation, Yannis Youlountas vient nous présenter son 3ème film « L’amour et la Révolution », sur l’état actuel de la Grèce et nous informer des formes de résistances qui naissent et s’organisent face aux forces destructrices du capitalisme.

    « Dix ans après les premières émeutes, les médias ne parlent plus de la crise grecque. Tout laisse croire que la cure d’austérité a réussi et que le calme est revenu. Ce film prouve le contraire. À Thessalonique, des jeunes empêchent les ventes aux enchères de maisons saisies. En Crète, des paysans s’opposent à la construction d’un nouvel aéroport. À Athènes, un groupe mystérieux inquiète le pouvoir en multipliant les sabotages. Dans le quartier d’Exarcheia, menacé d’évacuation, le cœur de la résistance accueille les réfugiés dans l’autogestion. Un voyage en musique parmi celles et ceux qui rêvent d’amour et de révolution. »

    Le réalisateur : Yannis Youlountas est écrivain et cinéaste franco-grec, animateur de goûters philo avec les enfants et critique de la fabrique médiatique de l’opinion.

    Depuis 2008, il participe aux événements en Grèce, les rapporte en articles, photos, livres et films, et organise des actions et des convois solidaires. 

    En 2013, son film « Ne vivons plus comme des esclaves » a commencé à porter la parole du mouvement social grec sur tous les continents, suivi, deux ans plus tard, par le film « Je lutte donc je suis ».

     De 18h00 à 19h30 : Conférence : « Non, rien n’est fini en Grèce » 

    À 19h30, un buffet (10€), avec option végétarienne, réunira tous ceux qui souhaitent poursuivre les échanges dans la détente et la convivialité. 

    À 20h45 : Film et débat – « L’amour et la Révolution » – Durée : 1h17. VF-VOSTF / Sortie : février 2018

    Un stand de DVD et de livres seront à votre disposition. 

    Sur réservation au 06 78 97 42 68 ou par mail : 09pupal@gmail.com

    Visitez le blog : pupal09.blogspot.fr et la page Facebook : Pupal Arize-Lèze

  • Lavelanet : Festival Cinéma et Droits de l’Homme – 16, 17 et 23 janvier

    Lavelanet : Festival Cinéma et Droits de l’Homme – 16, 17 et 23 janvier

    Du 13 au 25 janvier 2018, le Festival Cinéma et Droits de l’Homme prend le relais après dix éditions régionales du Festival International du Film des Droits de l’Homme (FIFDH) à Toulouse et en région. Onze documentaires et vingt-et-une projections dans quatorze salles de cinéma pour découvrir, s’informer et échanger avec des spécialistes des sujets présentés.

    Huit organisations (Amnesty International, CCFD Terre- Solidaire, Ligue des Droits de l’Homme, École des Droits de l’Homme, les Amis du Monde Diplomatique, Médecins Sans Frontières, Médecins du Monde et l’ACAT), soutenues par de nombreux partenaires, proposent au public de l’agglomération toulousaine, de Tarbes, de Saint Girons, de l’Isle Jourdain, de Graulhet et de Lavelanet de visionner des films issus d’une sélection faite par ces différentes associations et de voir deux expositions, l’une sur la Palestine et l’autre sur des enfants soldats.

    Cette nouvelle sélection donnera l’occasion de revenir sur des événements qui ont fait l’actualité de ces dernières années : les violences faites aux femmes, la tentative de reconstruction des enfants soldats en Ouganda, le non droit des patients en psychiatrie, la recherche de la paix en Palestine, les lobbies industriels aux effets néfastes en Argentine, au Brésil et en France, l’avenir du nucléaire militaire, la persécution des Rohingyas en Birmanie et toujours la situation des migrants, leur intégration parfois chaotique mais au final positive.

    Complétés par le témoignage de spécialistes, ces documentaires de grande qualité sont une invitation à s’informer sur l’état des droits humains à travers le monde, la diversité des luttes et des enjeux, le chemin qu’il reste à parcourir pour la construction d’un monde plus juste.

    A Lavelanet, au mois de janvier, 3 associations (ACAT-Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture- Amnesty International et ccfd-Terre Solidaire-Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement-Terre Solidaire) présentent trois films au cinéma Le Casino à 21heures.

    Chaque film sera suivi d’un débat animé par un intervenant.

    Mardi 16 janvier 2018 :  Bienvenus –  Intervenant Alain Gleizes ACAT 

    Mercredi 17 janvier 2018 :  La belle et la meute  –  Intervenante Jacqueline Deloffre  Amnesty International

    Mardi 23 janvier 2018 : Histoires de la plaine  –  Intervenante Colette Franco ccfd-Terre Solidaire

     
  • Le Fossat, ciné-rencontre autour de « Homeland, Irak Année Zéro » – 18 novembre

    Le Fossat, ciné-rencontre autour de « Homeland, Irak Année Zéro » – 18 novembre

    Le prochain évènement cinéma de la PUPAL aura lieu le Samedi 18 Novembre, à partir de 14h, à la Salle Multimédia du Fossat pour une Ciné-Rencontre avec Abbas Fadhel, réalisateur franco-irakien de  « Homeland, Irak Année Zéro ».

    Ce film nous immerge pendant deux ans dans le quotidien de la famille du cinéaste peu avant la chute de Saddam Hussein, puis au lendemain de l’invasion américaine de 2003. A la suite de chaque film, vous pourrez dialoguer et échanger avec Abbas Fadhel.

    À 14h00 – Homeland, Irak Année Zéro, partie 1, Avant la chute : 2015  – 2h40 – VO

    La première partie décrit les instants de vie d’une famille qui se prépare à la guerre. Elle va être terrible, mais il y a quand même l’espoir de voir une démocratie s’installer après la chute de la dictature. Que peut-il leur arriver de pire ?

    « La première partie du film est exclusivement tournée en intérieur, avec ma famille. Les Irakiens vivent sous la dictature de Saddam, l’une des plus terribles au monde. Un régime très policier, très paranoïaque. La moindre critique contre le régime menait à une exécution ». Abbas Fadhel

    À 20h00 – Homeland, Irak Année Zéro, partie 2, Après la bataille : 2015  – 2h54 – VO

    La seconde partie, après la chute du régime, est davantage tournée en extérieur. Les langues se délient et on découvre un peuple anéanti, un pays mis à feu et à sang où dans les rues, les incidents éclatent, les bandes rivales s’affrontent… Au cours des deux parties, nous partageons les joies et les craintes de cette famille irakienne qui nous montre à quel point toutes les familles du monde ont les mêmes aspirations : travailler, éduquer leurs enfants, rire, aimer, s’impliquer dans leur société…

    « … C’est un film de deuil travaillant des blessures terribles, et une œuvre de référence pour comprendre l’histoire et le présent du Moyen-Orient. Plus qu’un film beau, c’est un film nécessaire. Il devait être réalisé, il doit être vu ».  Luciano Barisone, Festival Visions du Réel.

    « Si la violence est un hors-champ qui fait ici perpétuellement pression sur le visible, il s’agit de témoigner en donnant des visages à un peuple invisible – pensons aux images médiatiques ô combien lacunaires de ce conflit. Homeland porte l’une des composantes les plus émouvantes de la démarche documentaire : filmer dans un perpétuel présent ce qui est voué à disparaître ». Arnaud Hée, critique de cinéma.

    Abbas Fahdel est un réalisateur, scénariste et critique de cinéma franco-irakien, né à Hilla, Babylone, en Irak. Installé en France depuis l’âge de 18 ans, il y étudie le cinéma en suivant notamment les cours d’Éric Rohmer, Jean Rouch et Serge Daney, jusqu’à obtenir un doctorat de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ses documentaires sont essentiellement des témoignages sur l’Irak. 2002: Retour à Babylone, documentaire ; 2004: Nous les Irakiens, documentaire, 2008: L’Aube du monde, long métrage, fiction, 2015: Homeland : Irak année zéro a reçu des récompenses dans de nombreux pays du monde, Italie, Tunisie, France, Mexique, Canada, Japon…

    ​Cette rencontre est organisée avec le soutien du Mois du Film Documentaire. 

    L’entrée est libre et gratuite. Une buvette et un stand de DVD et de livres seront à votre disposition. 

    Visitez le blog : pupal09.blogspot.fr  avec tout le programme du 2ème semestre 2017 de la PUPAL et la page Facebook : Pupal Arize-Lèze

    Celles et ceux qui le souhaitent pourront renouveler leur cotisation annuelle (ou adhérer pour la première fois) 10 €, adhésion non obligatoire.

    À 19h, un repas (13€), avec option végétarienne, réunira tous ceux qui souhaitent poursuivre les échanges dans la détente et la convivialité. Au menu : Apéritif – Lasagnes – Salade verte – Fromage – Croustade. 

    Sur Réservation au 06 78 97 42 68  ou 09pupal@gmail.com

     

  • Foix, ciné conférence « Qu’est-ce qu’on attend » de Monique Robin – 22 mai

    Foix, ciné conférence « Qu’est-ce qu’on attend » de Monique Robin – 22 mai

    L’Estive et la MAIF vous proposent une soirée pour échanger et débattre autour des initiatives citoyennes dans le domaine de l’énergie.

    18h Conférence : par Johann Vacandare, suivie d’un échange et de témoignages -Entrée libre

    Johann Vacandare est initiateur et co-fondateur d’Enercoop Midi-Pyrénées, société coopérative d’intérêt collectif. Il est membre d’Energies Citoyennes Languedoc Roussillon et référent du réseau Catalis, incubateur de l’innovation sociale porté par l’Union régionale des SCOP et Enercoop Midi- Pyrénées pour accompagner des projets citoyens de production d’énergie renouvelable. 

    Il a été directeur d’une Agence Locale de l’Energie et du Climat, et a contribué à la création du mouvement Energie Partagée.

    Après avoir rappelé le contexte environnemental et dressé le paysage des mouvements ou réseaux d’initiatives agissant dans le domaine de la transition énergétique et des politiques publiques mises en œuvre en ce domaine, il abordera la question de l’initiative citoyenne et de projets en cours à travers des exemples concrets.

    20h Repas partagé

    21h Projection : « Qu’est-ce qu’on attend » de Monique Robin, suivie d’un échange -Tarif cinéma.

    Tarif spécial soirée entière : 13 euros 

    Réservation indispensable

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    www.lestive.com

  • Foix, soirée autour du film « Vivere » – 18 avril

    Foix, soirée autour du film « Vivere » – 18 avril

    Le regard d’une cinéaste sur la maladie d’Alzeimer

    La cinéaste Judith Abitbol signe « Vivere » un documentaire au long cours sur la relation d’amour filial entre Paola et sa mère atteinte d’Alzheimer, dans un village italien. Huit ans durant Judith Abitbol a filmé, de la cueillette des cèpes à la mise sous housse des couvertures avant l’été, la joie de vivre de celles qui se retrouvent, les chansonnettes fredonnées, les pas de danse.

    Quand les symptômes de la maladie d’Ede se font sentir, le tournage au long cours les intègre sans heurt, avec la même sollicitude que son entourage. La souffrance, le chagrin sont là, bien sûr, et ils sont inévitables, tout à fait normaux ; ils ne se ressentent pas dans l’agitation, la nervosité, l’arrêt sur la souffrance.

    La cinéaste transmet un certain niveau de perception et de vécu  où une caresse devient un poème… Les paroles d’une chanson reviennent dans la bouche d’Ede : « J’étais paysanne… » Celle qui perd la mémoire semble s’en créer une autre, et le film restitue avec pudeur ce qu’il reste de possible, de surprenant, dans cette vie altérée.

    La soirée  organisée en partenariat avec l’association France Alzeimer Ariège, et animée par Lawrence Bories, responsable du pôle gériatrique au CHIVA aura lieu à l’Estive mardi 18 à 21h, en présence de la réalisatrice Judith Abitbol. 

    Mardi 18 avril – 21h00

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    www.lestive.com

  • Mas d’Azil, Ciné-Rencontre avec Elisabeth Leuvrey – 4 avril

    Mas d’Azil, Ciné-Rencontre avec Elisabeth Leuvrey – 4 avril

    La prochaine séance PUPAL aura lieu le Mardi 4 Avril au Mas d’Azil pour une Ciné-Rencontre avec Elisabeth Leuvrey, réalisatrice, auteure de documentaires sur des sujets d’actualité d’importance comme l’immigration, le nucléaire.

    Elle nous présentera “AT(h)OME”, film documentaire sur « le jour où la France irradia le Sahara algérien ». Durée : 53 min. En compétition au Festival Visions du Réel, Nyon, 2013. 

    Le programme de cette rencontre :

    18 h 30 : Inauguration et visite commentée de l’exposition «  1er mai 1962, Heure H »,  par un témoin de l’Association des Vétérans des Essais Nucléaires à la médiathèque.

    19 h 30 : Auberge espagnole Salle multimédias 

    20 h 30 : Projection du film AT(h)OME suivie d’un débat avec Elisabeth Leuvrey, salle multimédia.

    Plus de cinquante ans après la fin de la guerre d’Algérie, une cinéaste et un photographe, issus des deux camps du conflit et héritiers de l’histoire coloniale franco-algérienne, nous ramènent en 1962 en plein Sahara. D’une zone désertique irradiée aux faubourgs d’Alger, ils suivent le parcours d’une explosion nucléaire expérimentale dont les retombées contemporaines dramatiques interrogent la responsabilité des nations, de la France et de l’Algérie en particulier. De l’essai à l’accident, des retombées environnementales au “recyclage” des lieux du passé… Le point de départ est historique mais l’histoire contée nous rattrape au présent et vient nous chercher là où nous sommes – at home – pour un face à face avec des retombées sans frontière.

    La réalisatrice – Élisabeth Leuvrey – Née en 1968 à Alger, elle est issue de cinq générations d’Européens établis en Algérie. C’est en 1974, douze ans après l’indépendance, que sa famille refranchit la mer méditerranée pour s’établir en France. Après des études à l’Institut de langues orientales de Paris, une rencontre déterminante avec le cinéaste Jean-Luc Léon lui ouvre les portes du cinéma documentaire. Elle reste huit ans à ses côtés. En 1998, c’est en Inde qu’elle tourne un premier court métrage en 35 mm, Matti Ke Lal, Fils de la Terre. Elle entreprend ensuite un retour en Algérie, suivi d’incessants voyages en bateau entre Marseille et Alger qui aboutissent à la réalisation de La Traversée, long-métrage sorti en salles en 2013.

    Auteur des photographies et de l’enquête : – Bruno Hadjih –

    Son travail est régulièrement exposé en France et à l’étranger. Il collabore à plusieurs quotidiens et magazines ; Le Monde, Géo, Paris Match… Au sujet de l’enquête qui est au cœur d’At(h)ome et de son engagement, il déclare : « Le paysage a à voir avec la liberté, le sentiment d’immensité, la possibilité de se mouvoir. Ce paysage-là est à l’opposé de cette perception, par la seule faute des hommes. (…) Ne rien faire, c’est aussi participer des dégâts causés par d’autres. Nous voici face au dilemme. Ainsi se pose la question de l’engagement. »
    Celles et ceux qui le souhaitent pourront renouveler leur cotisation annuelle (ou adhérer pour la première fois) : 10 €, adhésion non obligatoire.
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