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  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » seizième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » seizième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

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    La dernière fois, il s’agissait de la commune de Campagne sur Arize

    Voir l’article sur Campagne sur Arize

  • Campagne sur Arize, sur les routes en Ariège

    Campagne sur Arize, sur les routes en Ariège

    La petite Bastide médiévale de Campagne-sur-Arize se répartit de part et d’autre de la rivière Arize, formant une « ville haute » et une « ville basse », qui sont reliées par un pont à arche unique.

    La ville haute, sur une petite éminence, est le cœur historique de la cité, typique d’un bourg fortifié (traité de paréage du 25 janvier 1255), auquel on peut encore accéder aujourd’hui par une ancienne porte ogivale du XIVe. L’enceinte d’habitation est visible avec l’emplacement d’une grande cour centrale. Selon la tradition locale, les comtes de Pailhès y avaient établi leur résidence d’été.

    La ville basse date principalement des XVIIIeXIXe et XXe siècles. L’homogénéité du bâti et le fait que Campagne-sur-Arize ait connu un développement modéré lui confèrent un charme désuet qui en font une sorte d’archétype du petit village français.

    Le nom de Campagne apparaît au XII siècle. La toponymie classique considère que ce nom a été donné à des communes qui étaient situées en plaine, ou dans des espaces dégagés. Cette explication conviendrait pour Campagne-sur-Arize. Selon d’autres sources, ce nom aurait été donné car il s’agissait d’un lieu de repos (une campagne) pour les évêques de Foix. L’adjonction de la mention « sur Arize » à la dénomination « Campagne », date de 1933.

    le village était étroitement lié à l’abbé de Combelongue, qui, en paréage avec le roi, exerçait la justice haute, moyenne et basse. L’abbaye de Combelongue, située près de Saint-Girons, possédait plusieurs terres dans le village de Campagne, ainsi que le « moulin farinier », et percevait des impôts.

    De son passé historique subsistent, outre quelques ruelles étroites de la bastide, certains vestiges situés dans la partie haute dite « Ville Haute » qui rappellent que les comtes de Pailhès y avaient établi leur résidence d’été.

    Elle possède également un nombre important de calvaires. Le plus intéressant, celui du fond du pont a été détruit par la tempête de 1999, restauré par des conseillers municipaux, il a retrouvé sa place en 2003.

    Patrimoine

    • Petit château néo-gothique, dit Château Robert, à l’entrée du village, le long de la route départementale, avec sa tourelle et un bestiaire typique de l’imagination de la fin du xixe siècle
    • Château du Touronc (ancienne propriéte des Bardies-Montfa)
    • Maison forte de Marsoulies (1641)
    • Porte monumentale à ogive de type « gothique » dans la ville haute, considérée comme datant du XIVe, et reste d’une maison forte, dit l’ancien « château » de Campagne
    • Pont à arche simple, au-dessus de l’Arize
    • Plusieurs maisons de maître des XVIIIe etXIXe siècle, notamment dans la rue de l’Église, avec des inscriptions sur les clés d’encadrement des portes d’entrées.
    • Cadran solaire sur le presbytère, avec la devise « Tout passe ici-bas »
    • Ancienne église Saint-Martin, avec cimetière, sur le chemin de Daumazan
    • Calvaires : croix en fonte restaurée à la suite de la tempête de 1999, en bas du pont ; calvaires en pierre, l’un sur le chemin de la croix, l’autre à l’emplacement de l’embranchement sur la montée de la Crouzette.

    Sources :
    wikipedia.org/wiki/Campagne-sur-Arize
    www.arize.fr/-campagne

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » quinzième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » quinzième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

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    La dernière fois, il s’agissait de la commune de Axiat

    Voir l’article sur  Axiat

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » quatorzième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » quatorzième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

     

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    La dernière fois, il s’agissait de la commune de Appy

    Voir l’article sur  Appy

  • Appy, sur les routes en Ariège

    Appy, sur les routes en Ariège

    A l’origine, la petite commune d’Appy était située dans l’immense Comté de Toulouse, puis de Carcassonne.

    On trouve la première mention d’Appy en 1074, dans une donation des comtes de Foix à l’abbaye de Cluny, sous l’appellation de « Pinus ».

    A cette époque, il s’agit d’une communauté sans église appartenant à la paroisse d’Axiat.

    Ses habitants sont appelés les Pynarols et les Pynaroles

    Insolite

    Le village est devenu presque inhabité, à tel point qu’il y eut une période de 64 ans sans aucun mariage : le mariage de deux habitants, en 1946, et celui de 2010 qui fit l’objet d’un article dans La Dépêche du Midi pour l’occasion

    De nos jours, bien qu’Appy soit l’une des plus petites communes de France, la commune contribue à une exploitation mondialement connue : celle des carrières de talc de Luzenac

    Le bel étang d’Appy

    Bien connu des pêcheurs de truite, le bel étang d’Appy accueille pour un moment de détente tous ceux qui veulent simplement gouter le plaisir d’être en montagne.

    A l’est, le Pic de Saint-Barthélémy (2348m ) pourra tenter les plus téméraires.

    Une petite escapade jusqu’au col de l’étang d’Appy offre une belle vue d’ensemble sur l’étang et son cirque.

    Sources :
    www.rando-marche.fr
    www.photosariege.com
    www.histariege.com/appy

     

  • Mercus-Garrabet, sur les routes en Ariège

    Mercus-Garrabet, sur les routes en Ariège

    La commune de Mercus-Garrabet est composée de trois villages, Mercus, Garrabet et  Amplaing, rattachée par arrêté préfectoral du 26 janvier 1965,  et de deux hameaux,  Jarnat et Croquié.

    On pense à une occupation préhistorique avec la présence d’un dolmen jusqu’à la création de la voie rapide entre Tarascon et Foix.

    A Amplaing, sur le sommet du Roc du Barry, se trouvait le château de Castelpenent qui existait avant le Xéme siècle. Simon de Montfort le détruisit en 1211. Lors de l’inventaire des fortifications du Comté de Foix, en 1272, Castelpenent  (au rocher du Barri) n’est plus mentionné.

    A Croquié se forma un noyau de réfractaires (Daniel Pujiula, Émile Dussart, Paul Balasc du village de Croquié et quelques autres) qui formera ce qui sera la 3101ème Cie FTP de l’Ariège. De Croquié, plusieurs actions seront menées : sabotage de l’usine de Mercus qui « travaillait » pour l’industrie allemande, télescopage du train dans le tunnel de St Paul…

    Patrimoine 

    A Mercus : L’église Saint-Louis construite au XIIe siècle en granit sur un piton de feldspath, et son portail sculpté en grès, classée Monument historique en 1910. Le clocher est du XIXe siècle. Ce piton surplombe la vallée de l’Ariège est désigné comme « roc de Carol« . La légende dit que l’empereur Charlemagne y serait monté pour considérer son armée rassemblée dans la plaine, avant l’entrée dans les vallées plus étroites des Pyrénées.

    A Garrabet : Le fameux Pont du Diable au-dessus de l’Ariège, avec sa légende au sujet de sa construction, semblable à toutes les autres légendes des « ponts du diable ».

    A Amplaing : Le rocher du Barri au-dessus de l’Ariège, qui supportait le château de Castelpenent.

    Sources :
    www.histariege.com/mercus
    fr.wikipedia.org/

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » treizième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » treizième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    semaine-13-2016-OTRA

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    La dernière fois, il s’agissait de la commune de Mercus-Garrabet

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  • Cazenave-Serres et Allens, sur les routes en Ariège

    Cazenave-Serres et Allens, sur les routes en Ariège

    cazenave-serres-et-alens Ariège Pyrénées

    Cette nouvelle commune est unie à Tarascon par arrêté préfectoral du 30 mars 1973 puis à nouveau érigée en commune distincte (Cazenave-Serres et Allens) par arrêté préfectoral du 26 novembre 1980

    La première mention portant sur cette commune semble être celle de 1213 dans laquelle la  « Cauna de Solabria » (spoulga de Soloumbriè)  fait partie des fortifications du comte de Foix

    Allens et Cazenave ne sont connus qu’à la fin du Moyen Âge, et avec eux la forge hydraulique qui est aujourd’hui encore un bâtiment ancien.

    Cazenave, doté de l’église paroissiale dut être depuis le Moyen Âge le village le plus important mais, à la fin du XIVe siècle, c’est à Allens que vit le seigneur de Cazenave.

    Patrimoine :

    • Le manoir de la mouline : XIIIéme
    • Rocher l’ « Aiguille » (avant d’arriver à Sourdeing)
    • Château d’Allens
    • Spoulga de Soloumbrè : mentionnée en 1213 (grotte fortifiée) : Plan et description : « Monographies villageoises du Sabarthès », Florence Guillot, 1999
    • Nombreux orrys

    Sources :

    www.montagnesdetarasconetduvicdessos.com
    www.histariege.com

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » douzième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » douzième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    semaine-12-2016-OTRA

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  • Saint Jean de Verges, sur les routes en Ariège

    Saint Jean de Verges, sur les routes en Ariège

    Saint-Jean-de-Verges, sur les routes en Ariège Pyrénées

    Occupé sûrement dès la fin de l’age de Fer, il est certain que Saint Jean de Verges était habité par les Romains. De nombreuses fouilles (années 1853-1855 et reprises en 1963) ont révélé de nombreux objets.

    De Llobet dans « Histoire de Foix et de la Haute Ariège » (sous la direction de Cl. Pailhès) écrit P. 33: « Les datations de ces objets tendent à prouver que le site a été fréquenté et habité du premier âge du fer au moins jusqu’à la fin de l’Empire romain, avec peut-être un maximum d’occupation au 1ersiècle av. J.C. »

    A cette époque en effet, Saint-Jean de Verges était une sorte d’avant-poste qui séparait les conquérants (les Romains) des indigènes (un peuple appelé les Sociates )

    Une bataille, opposant l’armée romaine dirigée par Crassus un lieutenant de César, aux Sociates eut lieu dans le vallon de Saint-Jean de Verges, à l’issue de laquelle, les Romains vainqueurs établirent un camp retranché sur la crête calcaire qui surplombe le village actuel. Ils bénéficiaient là d’une position stratégique remarquable leur permettant de dominer et de surveiller les plaines du nord et du nord- est d’une part et d’autre part la ville principale des Sociates : Foix.

    Peut-être a-t-il existé un château dont il ne reste rien de nos jours et dont on ne trouve pas trace dans les documents. Il se serait situé dans le village même, mais il est plus vraisemblable qu’il s’agisse de la tour d’Ope, cette tour gallo-romaine qui aurait été reconstruite au moyen-âge comme l’affirme Adelin Moulis dans son livre : « Vieux sanctuaires ariégeois ».

    L’église romane Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-Verges date du XIIème siècle. C’était alors un prieuré de l’abbaye Saint-Volusien de Foix.

    Cette église est une des plus belles de l’Ariège,bâtie en grès brunâtre sur l’emplacement d’un ancien édifice wisigothique, lui-même précédé d’une construction romaine.

    Son plan comprend une seule nef prolongée par une abside percée de trois fenêtres. Au niveau du choeur un appendice a été rajouté de chaque côté de la nef sur lequel s’ouvre une absidiole.

    Sources :
    www.saintjeandevergesariege.com
    monographie_melle_barbat.pdf
    www.photosariege.com

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » onzième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » onzième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    semaine-11-2016-OTRA

    Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne deux stickers Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook). 

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    Deux stickers Azinat à gagner pour le premier qui répondra correctement.

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    La dernière fois, il s’agissait de la commune de Saint Jean de Verges

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  • Arnave, sur les routes en Ariège

    Arnave, sur les routes en Ariège

    ARNAVE Ariège Pyrénées

    Arnave a été construite sur les rives du ruisseau de même nom, l’Arnave. Il est essentiellement alimenté par un autre cours d’eau, le ruisseau de la Montagne qui prend sa source sur le versant de la montagne dite de Cazenave, au pic de la Lauzate. D’autres sources et ruissellements des montagnes l’alimentent. Il se jette dans l’Ariège quatre kilomètres en aval du village d’Arnave, à hauteur de la commune de Bompas.

    L’Arnave serpente au travers des hautes vallées, plusieurs cascades le brisent par endroit et donc certaines sont impressionnantes, citons celle communément appelée « la poêle » à l’accès assez difficile.

    Vers 1890, des ouvriers, qui travaillaient sur le chemin qui va d’Arnave à Tarascon, ont mis à jour une sépulture de l’âge du bronze et divers objets remontant à l’époque de la pierre polie mêlés aux objets de l’âge de bronze.

    Au siècle dernier Arnave possédait une carrière de gypse qui est connue pour les pièces de collection d’anhydrite.

    Insolite

    Par R Milanese — Travail personnel
    Par R Milanese — Travail personnel

    La Chapelle romane Saint-Paul d’Arnave, est considérée comme une des plus anciennes du département. L’édifice, situé au-dessus du village, remonte aux Xe et XIe siècles. Jules d’Ancelin, baron de Labaume, y repose. La chapelle était en effet possession de la Baronnie de Labaume jusqu’au milieu du XXe siècle, date à laquelle elle fut cédée à la commune pour en effectuer la restauration.

    Le lieu est aussi connu pour sa pierre noire, censée guérir du « Haut-Mal », c’est-à-dire de l’épilepsie, lorsque le malade dort une nuit entière la tête dessus. Grâce aux légendes de guérisons miraculeuses, l’endroit fut longtemps lieu de pèlerinage

    Faute de pouvoir abolir ce culte païen, la chrétienté a érigé à cet endroit une chapelle dédiée à Saint-Paul. La pierre est conservée dans une cabane prés de la chapelle.