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  • Saint-Lizier : Au Carré de l’Ange, une nouvelle équipe pour un nouveau challenge

    Saint-Lizier : Au Carré de l’Ange, une nouvelle équipe pour un nouveau challenge

    Paul Fontvielle du Carré de l’Ange a souhaité renouveler l’équipe en cuisine et en salle. Avec l’ouverture prévue du restaurant gastronomique en hiver cette année, il a misé sur Anthony Carballo en cuisine et « Mika » (Mickael Garigos) en salle.

    La Carré de l’Ange à Saint-Lizier fait évoluer sa cuisine et son service, avec en pointillé une ambition renouvelée de pouvoir atteindre les étoiles. Le service en salle qui autrefois pouvait ne pas correspondre à toutes les attentes est aujourd’hui animé par Michael Garigos à qui Paul a confié la charge de maitre d’hôtel ; une grande touche professionnelle et un service agréable caractérise la touche de « Mika » qui est venu de Toulouse avec lui aussi une ambition de progression pour le restaurant et son équipe. Lorsque l’on sait combien il est difficile de recruter des profils de bon niveau en Ariège, on mesure à quel point l’ambition est affirmée.

    Côté cuisine Anthony Carballo jeune chef déjà très expérimenté a lui aussi choisi de relever le défi ; « Pas de révolution attendue » en cuisine, seulement une  envie de bien travailler les produits et d’être vrai et efficace, ce qui selon lui est gage de confiance et de succès auprès des clientèles de terroir de l’Ariège, comme de la Garonne son territoire d’origine (Montauban). 

    Contrairement aux années passées, le Carré restera ouvert cet hiver avec certes des horaires aménagés, mais les habitués pourront, tout cet automne et jusqu’au printemps, retrouver les menus du jour pour les midis à la fois très qualitatifs et à des prix compétitifs et la carte en soirée.

    Paul, quant à lui fera la navette pour l’hiver au « Chalet de Beauregard » au pied du Freychet à Guzet, où il aménage encore des nouveaux espaces…mais ça ce sera une autre histoire à voir prochainement dans nos colonnes

  • Aujourd’hui, nous sommes vendredi 13 !

    Aujourd’hui, nous sommes vendredi 13 !

    Il existe au minimum un vendredi 13 dans l’année, vu le fonctionnement du calendrier courant. Un et deux sont les cas les plus courants. Cependant, trois vendredi 13 peuvent être dénombrés par an si, et seulement si le premier jour de l’année est un jeudi, pour une année non bissextile ou si le premier jour de l’année est un dimanche, pour une année bissextile.

    De manière générale, dans le calendrier actuel le 13 du mois tombe légèrement plus souvent un vendredi. En fait, un cycle grégorien dure 400 ans, et 400 ans = 146 097 jours (146 000 jours et 97 jours en plus, qui correspondent aux 29 février). En 400 ans, on a un nombre de semaines entières  : 146 097 / 7 = 20 871 semaines, d’où la fin d’un cycle grégorien. Cependant, en 400 ans, on a 4 800 mois, et 4 800 n’étant pas divisible par 7, certains jours de la semaine tomberont plus souvent le 13 que les autres ; il s’avère que ce jour est le vendredi *.

    *B. H. Brown, « Solution to Problem E36 », American Mathematical Monthly, vol. 40, issue 10 (1933), p. 607; Jean Meeus, Mathematical Astronomy Morsels IV, 2007, p. 367

    Voilà ce que l’on trouve sur le site Wikipédia, vous avez compris quelque chose ? Nous non, alors voyons autre chose :

    La peur du nombre 13 est la triskaidekaphobie, celle du vendredi 13 la Paraskevidékatriaphobie. C’est un phénomène international et tenace, comportant de grands coûts socio-économiques.

    La peur du nombre 13 est la superstition la plus répandue dans la culture occidentale. Ingénieurs et architectes alimentent la superstition : avec des gratte-ciel, des hôtels et des ascenseurs sans 13ème étage, et avec des avions sans siège no 13…

    Une origine biblique !

    La croyance associant le vendredi 13 au malheur aurait des origines bibliques. D’après le Nouveau Testament, lors de la Cène, dernier repas du Christ, les participants auraient été au nombre de 13 (Jésus et ses 12 apôtres), Pour ce qui est de la crainte du vendredi, elle viendrait du fait que le Christ aurait été crucifié un vendredi.

    Depuis des siècles, la combinaison et les composantes du vendredi et du 13 sont symboles d’infortune. On a toujours considéré le 12 comme nombre « divin » et le 13 subséquent devenant symbole de « malédiction ». En effet il y a 12 dieux dans l’Olympe antique, 12 signes du zodiaque, 12 travaux d’Hercule, 12 tribus d’Israël et comme nous l’avons dit plus haut, 12 apôtres de Jésus. De surcroît, il y a 12 mois dans l’année, 12 heures le jour et 12 heures la nuit.

    Toutefois, le vendredi 13 n’est pas un jour d’infortune pour tout le monde. En Espagne en Grèce et en Amérique latine, c’est plutôt mardi 13 qui est jour de malchance. Chez les Italiens, c’est 17 qui est le nombre malchanceux et non 13. « Fare tredici! » ou « Faire le treize » est un slogan de la lotterie nationale. Alors, si vous trouvez le nombre 13 vous gagnez. Toutefois, on ne trouvera pas de chambre 17, ni de 17ème étage dans les hôtels, ni de siège no 17 sur les avions de la compagnie italienne Alitalia.

    Des millions d’Asiatiques ont peur du chiffre 4. En effet, ce chiffre dont la prononciation est identique à celle du mot « mort » tant en mandarin, en cantonais, qu’en japonais. Pour les Japonais, le nombre 4 est hanté car il se prononce « shi », et ce dernier mot signifie « la mort ».

    Aujourd’hui nous sommes vendredi 13 et il pleut, faut-il y voir un signe de malédiction divine ou tout simplement un effet météorologique ?

    Dans tous les cas il est à parier que nombre de gens tenteront leur chance aujourd’hui à l’euro Million !

    Sources : wikipédia – l’internaute – www.vendredi13.co.nr

  • La cabane de l’Aynat, un petit refuge plein de charme

    La cabane de l’Aynat, un petit refuge plein de charme

    A l’origine, la petite cabane de l’aynat (l’ainé en occitan) et la forêt qui l’entoure appartenait à Henri Tartié dit « l’Aynat » habitant de Croquié un des hameau de Mercus.

    A sa mort, sa nièce, seule héritière, loua la forêt à la commune Tarascon, mais lorsque le village de Mercus se porta acquéreur, cette dernière accepta de la vendre à condition que la cabane de son oncle soit préservée et, si possible, arrangée.

    Les chasseurs de Mercus demandèrent alors à la mairie de monter du matériel afin de construire un refuge attenant à la vielle cabane.

    Dès lors, la cabane de l’Aynat est devenue un refuge accueillant les amoureux de la tranquillité, de la montagne et des panoramas à couper le souffle.

    Lorsque, après avoir grimpé le chemin, ramassé ça et là quelques champignons (mais chuuuut !!!! il ne faut pas le dire), on arrive sur la crête de Carmilles sur les pentes Ouest du Mont Fourcat à 1440m d’altitude. Et là, on y découvre un magnifique panorama sur la chaîne des Pyrénées frontière avec l’Espagne et l’Andorre.

    La petite cabane offre un refuge agréable pour une pause déjeuné, une journée ou encore une nuit en couple ou entre amis : Une petite mezzanine, une cheminée et du bois à proximité, une table et des bancs, une gazinière et des ustensiles de cuisine… de quoi passer un moment magique que les petits mots laissés sur le « livre d’or » ne contredisent pas.

    Pour y accéder, à partir de Croquié par la route menant au monument des Brougues. De là une piste carrossable mène au début du sentier piéton. Il faut alors 30 mn (2km) pour atteindre la cabane

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  • Carmen Hay Kolodzey, une artiste iconoclaste qui travaille le textile et la peinture

    Carmen Hay Kolodzey, une artiste iconoclaste qui travaille le textile et la peinture

    Née en Allemagne, Carmen Kolodzey suit des études « d’Art and Textile » à l’université d’Essen et à celle de Duisburg en Rhénanie. Elle enseigne dans plusieurs lycées, avant de s’installer, en 1990, dans la « grosse pomme », New York où « elle s’adonne à la création artistique ». 

    Artiste peintre textile, Carmen a développé sa propre technique. Dans ses créations, elle réalise une fusion du textile et de la peinture. Elle « déconstruit, avant de reconstruire ».

    Dans ses œuvres, les fibres du tissu s’intègrent dans la peinture et la partie peinte correspond au motif du tissu d’origine. Ses créations sont surtout abstraites, mais elle réalise également des œuvres d’inspiration socio-politique, comme celle sur l’industrie textile « où les travailleurs ont des conditions de travail inhumaines ». 

    Après avoir exposé dans le Wyoming (États-Unis), Carmen Kolodzey et son mari Andrew Hay Mc Connel, photographe, ont exposé au cinéma le Casino durant le festival international des droits de l’homme. En mai dernier elle a participé à l’exposition « des Artistes à suivre » à Quillan, et a organisé en juillet la troisième exposition d’artistes new-yorkais dans la galerie Avelan’Arts de Lavelanet.

    Elle dirige maintenant l’Espace D’Art International, un lieu présentant des artistes américains et européens aux amateurs d’art en Ariège. 

    Quand on lui demande pourquoi s’être installé à Lavelanet, Carmen glisse : «Lavelanet a une histoire textile ; ensuite, il existe beaucoup de maisons avec un atelier situé à l’arrière. ». Après « la fièvre de New York », des 25 années passées là-bas, Carmen et son mari avaient envie « d’une vie plus calme, plus proche de la nature. Et Lavelanet a un cinéma, autre passion » du couple. 

    Carmen expose au CHIVA jusqu’au 31 octobre (voir l’article)

  • Tourtrol, une nouvelle vie pour la cabine téléphonique

    Tourtrol, une nouvelle vie pour la cabine téléphonique

    Il y en avait 300.000 il y a 30 ans, il n’y en a plus que 5450 dont 121 en Ariège, et elles auront définitivement disparu du paysage français le 31 décembre 2017. Cela suite au vote,en 2015, de la loi Macron qui entérinait la fin de l’obligation faite à Orange de maintenir ces cabines téléphoniques toujours en service et qui lui génèrent des pertes de l’ordre de 10 millions d’euros par an.

    Mais dans la petite commune de Tourtrol, pas de disparition pour cet objet vintage que seuls les plus de 30 ans ont utilisés, puisque le conseil municipal a décidé de transformer la cabine, située devant la mairie et l’école, en boite à livres. 

    Bien que l’idée était évoquée depuis quelques temps, c’est à la suite d’un courrier d’Orange reçu par la municipalité et demandant si la commune voulait garder la cabine que tout s’est décidé.

    C’est un membre du Conseil, qui a fabriqué les étagères, et les habitants viennent à loisir chercher et déposer des livres. Quant aux élèves de la classe de Tourtrol ils seront bientôt impliqué puisqu’ils auront la charge de décorer la mini-bibliothèque.

    Romans policiers, romans de science-fiction, manuel de jardinage, littérature pour enfant, classique de la littérature… c’est un vaste choix de livres pour tous les goûts et de toutes les couleurs dont les tourtrolais peuvent bénéficier gratuitement. Le principe étant bien évidemment de ne pas garder les livres pour en faire profiter tout le monde. 

    La boite à livre fonctionne très bien depuis quelques mois maintenant, et si Tourtrol, n’est pas pionnière en la matière puisqu’il existe déjà en France 1257 cabines sauvées et transformées en mini-bibliothèques, elle n’en est pas moins, à notre connaissance, la seule en Ariège.

    Et pour toutes les cabines qui n’auront pas la chance d’avoir une deuxième vie, c’est le groupe Veolia qui est chargé de démonter les cabines restantes et de recycler le verre et l’aluminium.

  • Lorp : Couserans Plastique Industrie produit la Georgette recyclable

    Lorp : Couserans Plastique Industrie produit la Georgette recyclable

    Couserans Plastique Industrie produit depuis quelques semaines une version « recyclable » de la Georgette. Cette unité industrielle de 25 salariés développe un savoir-faire en injection plastique pour l’automobile et d’autres secteurs industriels. Aujourd’hui elle espère avec ces productions « spécifiques » faire tourner son outil industriel à fort potentiel. Reportage en vidéo.

    Jean-Louis Orengo travaille depuis des mois sur son projet de Georgette « Recyclable » et c’est aujourd’hui avec CPI qu’il arrive enfin à donner une version très locale de son fameux couvert.

    Tout le monde a reconnu les qualités de la Georgette dans le milieu de la restauration professionnelle et notamment celui des « grands chefs » en France et à l’étranger. Mais acquérir un tel outil reste assez onéreux pour certains et il était assez difficile d’intégrer ce couvert dans sa panoplie professionnelle notamment les traiteurs amenés à produire et servir des centaines de convives.

    Aujourd’hui ce sera possible avec les Georgettes recyclables, qui sont proposées aux professionnels en deux dimensions (10 et 18 cm); une adaptée pour des verrines ou encore une dégustation d’huitres  et l’autre pour des cocktails ou les clients sont amenés à manger debout : la Georgette recyclable sera utile pour piquer et trancher comme elle sait le faire pour son modèle « Inox » et ce avec une seule main !

    Pour l’instant le modèle recyclable a base d’amidon et colorés en vert est destinés aux seuls professionnels de la restauration qui pourront de ce fait améliorer leur empreinte écologique et ne plus utiliser de couverts en plastique ou limiter leur utilisation d’eau pour laver les couverts comme le précise jean-Louis Orengo. Une démarche qui plait à notre inventeur pour qui nature et progrès ne font qu’un !

  • Who’s who 3ème trimestre 2O17 :  Floriane Caux, André Trigano, Jean-Marc Bonnel

    Who’s who 3ème trimestre 2O17 : Floriane Caux, André Trigano, Jean-Marc Bonnel

    L’été est terminé, la rentrée est passée, l’automne est arrivé et avec lui notre who’s who trimestriel. 

    Force est de constater, qu’il y a eu peu de changement en trois mois. Sans surprise nous retrouvons notre photographe Floriane Caux qui tient la tête du classement depuis le 1er juillet 2016. 

    Rien ne bouge pour le Maire de Pamiers, André Trigano qui garde sa seconde place. 

    Petit changement pour la suite puisque Jean-Marc Bonnel , écrivain lavelanétien et vivant à Marseille, prend la troisième place, qu’occupait Alain Leplus, directeur de l’ADT, qui lui se classe quatrième.

    Voilà pour le peloton de tête. 

    Nos deux nouveaux Députés Bénédicte Taurine et Michel Lavigne entrés le trimestre dernier gagnent deux places et se classent respectivement sixième et septième. 

    Autre nouvelle entrée du trimestre dernier, Marie Cantagrill, violoniste virtuose et Directrice musicale de l’Orchestre de Chambre d’Ariège (O.C.A.), gagne 13 places pour se classer vingt et unième. 

    Voir le classement complet de ce troisième trimestre : Classement-whoswho-Azinat-juil-sept2017

     

    Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège sur Internet est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois

    Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège sur Internet. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège*, comme : «Prénom Nom» + Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.
    (pour obtenir l’historique des classements et le détail sur plus de 99 personnalités suivies du pannel, merci de nous contacter par email àredaction@azinat.com)

    Reproduction même partielle, interdite sans accord préalable

    Tous droits réservés Azinat 2007-2017 ©

    si vous n’êtes pas sur ce classement et que vous pensez avoir été oublié merci de nous le signaler

    Crédit photo : Floriane Caux – www.florianecaux.com

  • Festival Mazeres : François Petit de Samarabalouf en soutien

    Festival Mazeres : François Petit de Samarabalouf en soutien

    Comme une dizaine d’autres groupes de musique manouche ou du voyage, SAMARABALOUF mené par son Leader François Petit sera présent à la soirée de soutien du 30 septembre prochain qui aura lieu à Mazères sous la Halle.

    Azinat.com TV l’a rencontré en pleine répétition en compagnie de jean-Louis SOREL le président du Festival. Un moment musical où chacun a pu exprimer sa solidarité et son envie pour que le Festival de Mazères survive !  

    Petit rappel

    Le 3ème Manouch’ Muzik Festival a tenu toutes ses promesses avec des concerts de grandes qualités, un public venu nombreux et une ambiance chaleureuse et conviviale qui a comblé les festivaliers. (revoir la vidéo tournée par Azinat.com TV)

    Malgré tous ces points positifs, un évènement est venu ternir le déroulement du Festival où des malfrats ont cambriolé avec effractions le domicile d’un des membres de l’association et ont fait main basse sur une partie importante de la recette du Festival.

    Cette mésaventure aurait pu mettre en danger la pérennité du Manouch’ Muzik Festival. Mais ce n’était sans compter sur la détermination de l’association « Les Amis du Swing » et sur l’élan de solidarité qui s’est mis en place dès l’annonce de la mauvaise nouvelle. Les musiciens présents au moment des faits ont spontanément proposé leur service pour aider les bénévoles en mettant en place une Soirée de Soutien.

    Celle-ci aura donc lieu le Samedi 30 Septembre sous la Halle Couverte de Mazères à partir de 19h30. 1 Soirée / 10 Concerts avec : Steeve Laffont, Bernardo Sandoval, Samarabalouf, Thomas Kretzschmar, Rodinka, Kiko & Gipsyland, Zazous Zélés, Janes Romanes, Les Pères Peinards et Savignoni trio et lo papet.

    Tarif Unique 7 € – Gratuit moins de 16 ans. Buvette / Restauration sur place / Formule Tapas.

    Réservation en ligne sur www.festivalmazeres.fr

    Pour ceux qui ne peuvent venir à cette soirée, mais qui souhaitent quand même apporter leur contribution, une Cagnotte en Ligne est ouverte sur : https://www.leetchi.com/c/association-de-les-amis-du-swing

    Comment réserver :

    Tarif Entrée Concerts 7 €. Gratuit moins de 16 ans. Plateau de Tapas 18 €.Pour faciliter l’organisation de la Soirée, il est conseillé de réserver vos Entrées Concerts et Plateaux de Tapas.
    – En ligne sur www.festivalmazeres.fr (paiement sécurisé)
    – Permanence Office de tourisme de Mazères (Rue Gaston de Foix) les 27, 28, 29 et 30 Septembre de 10h30 à 12h30 et de 16h00 à 18h30.

    – Par téléphone au 07 85 71 12 72

  • Lavelanet : Les jardins partagés, un lieu intergénérationnel de solidarité et de partage

    Lavelanet : Les jardins partagés, un lieu intergénérationnel de solidarité et de partage

    Rencontre avec les jardiniers de la « Prairie de Madame »

    Nous sommes allés il y a quelques semaines à la  rencontre de ces jardiniers amateurs ; un moment chaleureux avec en toile de fond le Touyre, et les jardins.

    « Tout le monde n’a pas la chance de posséder un jardin, de la terre » glisse Aline avant de rajouter : « la mairie a eu raison de créer ce lieu. J’y ai rencontré de belles personnes ; ici on se transmet graines, plants, conseils, il s’agit d’une richesse humaine énorme ». 

    Quand il avait été question de créer ces jardins, Myriam Léonard première adjointe, et vice-présidente du CCAS, confiait vouloir « renforcer le lien social et encourager l’activité de jardinage sans laquelle les bénéficiaires de ces parcelles ne pourraient avoir accès ». L’élue espérait que le jardinage puisse favoriser « la solidarité, la convivialité, la mixité sociale et intergénérationnelle ». Mission remplie au vu des commentaires des usagers.

    Jean-Philippe parle « d’une vraie réussite… ça nous a même étonnés » poursuit-il. Marc, insiste sur les mots « partage, solidarité. On a même un cageot où l’on peut trouver semences, graines et se servir ».  Isaora glisse : « nous avons eu beaucoup de dons – nous avons eu des centaines de plants de tomates à nous partager ». D’origine brésilienne, elle entend faire goûter ses récoltes. Elle a planté du maïs, « on en mange beaucoup au Brésil » souligne-telle, mais aussi des tomates, des salades, des haricots pour ses voisins, mais aussi des fleurs « pour leur beauté. Amoureuse de la terre, de la nature », elle vient tous les jours et prend plaisir à retrouver le soir « ses amis. On se réunit le soir à la bonne franquette ». 

    À n’en pas douter, le lien social prôné par les élus est d’ores et déjà en place au sein de l’association des usagers de la « Prairie de Madame ». Parmi ces usagers, on note par ailleurs la présence des écoles primaires de la Ville et de l’ALAE du SMECTOM, mais aussi des associations telles que : Âge d’Olmes, le Secours catholique, l’ESAT, le CMP, le CISELL, pension de famille. Des associations souhaitant créer encore plus de partage ; un partage intergénérationnel.

    Pour le président de l’association Philippe Ferkatadji « les usagers ont, petit à petit,  pris possession de leurs jardins, et ce, dans une belle ambiance ».

    Une formation à la permaculture est envisagée ; quant à l’inauguration des jardins partagés, elle devrait avoir lieu sous peu « afin de réunir tout le monde autour d’un apéritif dînatoire ».

    Même si vous n’êtes pas vraiment jardinier, vous pouvez toujours faire comme Isaora, qui nous a confié, avec beaucoup de poésie, que parfois elle regarde pousser les feuilles. 

  • Fête de la Noisette 2017 : le soleil était au rendez-vous !

    Fête de la Noisette 2017 : le soleil était au rendez-vous !

    La 18ème fête de la Noisette avait lieu ce week-end sous un soleil radieux avec en prime une bonne ambiance : une deuxième ronde gourmande réussie, un espace producteurs attractif, une esplanade renouvelée de nouveaux artisans et commerçants qui pour certains venaient pour la première fois.

    C’est donc  au total plus de 60 commerçants, stands de producteurs liés aux produits locaux ou à la noisette ou encore l’artisanat local présents. Azinat.com TV était là et a croisé à cette occasion, Olivier Canipel, le président de la fête et Marc Sanchez, le Maire d’une ville heureuse d’être au carrefour de l’Aude et de l’Ariège.

  • Journée « portes ouvertes » des Tiers Lieux ariégeois – 21 septembre

    Journée « portes ouvertes » des Tiers Lieux ariégeois – 21 septembre

    Dans le cadre de la Semaine européenne de la mobilité, la première édition de la Journée portes ouvertes des espaces de coworking, aura lieu le jeudi 21 Septembre prochain dans l’Ariège.

    Afin de promouvoir et de faire découvrir ces nouveaux espaces, l’agence régionale Madeeli organise, dans le cadre de la Semaine européenne de la Mobilité, une journée portes ouvertes des Tiers Lieux de l’Ariège associant les trois espaces CapWork qu’elle anime, ainsi que d’autres Tiers Lieux ariégeois partenaires de l’opération.

    Au total se sont huit espaces qui seront ouverts et accessibles gratuitement entre 9 h et 18 h le 21 septembre :
    – Les trois CapWork animés par Madeeli à Verniolle, Saint-Lizier et Lavelanet.
    – Le XmotionLab de WOOMEET à Mirepoix,
    – Le FabLab « Pamiers 4D« ,
    –  Le « LabPlace » à Oust.

    Souvent appelés « Tiers Lieux » pour le troisième lieu où travailler en dehors de l’entreprise ou du domicile, les espaces de coworking s’adressent principalement aux indépendants souhaitant rompre l’isolement dans lequel ils se trouvent lorsqu’ils exercent leurs activités depuis leur domicile.

    Mais au-delà des indépendants les Tiers Lieux s’adressent également aux télétravailleurs salariés d’entreprises, aux étudiants et aux porteurs de projet de création d’entreprise ou aux personnes en recherche d’emploi qui peuvent y développer leur réseau.

    Si ces espaces proposent avant tout des équipements pour travailler dans de bonnes conditions, leur valeur ajoutée réside dans les animations qui sont proposées aux adhérents : conférences autour de thématiques spécifiques ou encore co-petits-déjeuners placés sous le signe des échanges et de la convivialité.

    Avec près de 120 Tiers Lieux existants recensés, l’Occitanie est l’un des territoires les plus dynamiques au niveau national, après la Région Ile-de-France.

    De nombreux projets sont également en réflexion ou sur le point d’émerger, tous à la recherche du bon modèle économique qui permettra de pérenniser et développer cette offre. Si l’urbain se caractérise par une importante densité de l’offre, particulièrement sur l’agglomération toulousaine, les territoires ruraux ne sont pas en reste.

  • Accessibilité au travail dans la fonction publique territoriale, une journée dédiée

    Accessibilité au travail dans la fonction publique territoriale, une journée dédiée

    C’est le 21 septembre prochain qu’aura lieu la journée départementale du handicap organisée par le Centre de Gestion de l’Ariège en lien avec le FIPHFP à La Bastide de Serou. C’est Martine Esteban qui mercredi dernier présentait l’objectif de cette journée et plus globalement l’action du Centre de Gestion sur ce thème.

    «Le handicap est pluriel et complexe, mais l’accompagnement doit être singulier»  précise André Montané invité de la matinée de présentation de la prochaine journée consacrée au handicap dans les collectivités territoriales. L’accompagnement quelque soit la déficience permet à chacun de pouvoir vivre dans cette société, c’est la société « inclusive » tout au long de sa vie. On parle d’’accessibilité universelle. Dans ce contexte, l’Ariège est dans la norme car le département est proche du taux national d’emploi de 6, 35%. En Ariège on est à 6,32% en emploi direct sur la fonction publique territoriale et  5,90% sur le département. 5, 32 % sur la fonction publique globale (Etat et collectivités).

    Mais les efforts fait pour le handicap sur le département, ne se limitent pas à des taux. Le centre de gestion réalise également des actions toute l’année comme par exemple, des diagnostics pour aider les collectivité à adapter l’environnement de travail des personnels qui en ont besoin. C’est ainsi qu’en 2016, 35 diagnostics d’accessibilité ont été fait dans l’année par le Centre de gestion sur les communes,  avec diagnostic et préconisations. 54 études de postes ont également été réalisées avec l’aide du FIPHIP (Fonds pour l’Insertion des Personnes Handicapées dans la Fonction Publique))

    «Maintenir un agent dans l’emploi suite à la survenue du handicap est la majorité des cas de sollicitation pour un appui du centre de gestion» (Diagnostique ou étude et aménagement de poste) précise Martine Esteban

    «Le centre de gestion dispose également d’un service de remplacement de fonctionnaire et nous étudions le fait d’intégrer des personnels en situation de handicap dans cette équipe… Le handicap ce n’est pas toujours le fauteuil roulant, il y a beaucoup de handicaps non visibles et c’est souvent la majorité des cas aujourd’hui » explique Frédéric Dedieu directeur adjoint du Centre de Gestion en charge de ces questions.

    « La journée aura aussi pour vocation de faire évoluer l’image que l’on a du handicap » ajoute Francis Laguerre le Maire de Prayols

    « Le centre de gestion de l’Ariège est un relai d’information pour les collectivités sur le champ du handicap . Il sensibilise les décideurs territoriaux sur l’emploi des personnes en situation de handicap, renseigne sur l’obligation d’emploi de la collectivité, informe sur les aides humaines, techniques et financières proposées par le FIPHFP et accompagne l’entourage professionnel du travailleur en situation de handicap, avant et après recrutement. Nous proposons une journée pour faire le point sur tout ceci et apporter des témoignages de professionnels»…précise Martine Esteban,

    «…Je ne doute pas que les collectivités répondront à notre appel et venir nombreuses à cette journée ! »