Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • Pamiers – N’oublie Jamais – 28 janvier

    Pamiers – N’oublie Jamais – 28 janvier

    N’oublie Jamais Ariège Pyrénées

    Quand le théâtre rencontre l’histoire

    L’histoire est celle de Robert, un jeune juif âgé de 10 ans en 1939 confronté à l’effroyable réalité de l’époque : il a été séparé de ses parents et de tous ses frères et sœurs envoyés dans des camps de concentration. Il est le seul à être sauvé… Robert grandit comme il le peut durant cette période troublée. Devenu adulte, Robert essaie de comprendre… Dans une sorte de rêve sous forme d’introspection, il parle à l’enfant et à l’adolescent qu’il a été (à 10 ans, à 13 ans ½, à 17 ans) : « Mais moi je dois vivre » dit-il… « Je dois survivre… ».

    Ce spectacle traite avant tout de la déportation et de la culpabilité de ceux qui ont été sauvés.

    THEATRE, HISTOIRE ET TERRITOIRE

    Un partenariat avec L’Amicale des Anciens Internés Politiques et Résistants du camp de concentration du Vernet d’Ariège. Nous avons souhaité faire le lien avec l’histoire locale, aussi terrible soit-elle, afin de relier l’artistique et l’historique et rendre encore plus riche cette rencontre avec notre public. L’Amicale du Camp du Vernet a répondu présente et les artistes sont ravis de cette proposition qui entre tout à fait dans leurs objectifs artistiques et pédagogiques.

    Le spectacle sera donc suivi d’une rencontre/débat avec la présence de l’association et les membres de la compagnie  » Le Théâtre Chez Soi  »

    Une exposition sera aussi proposée par l’amicale dans le hall du théâtre retraçant l’histoire du Camp du Vernet d’Ariège. Ouverture des portes à 20h.

     

    Jeudi 28 janvier 2016
    14h30 – Séance scolaire
    20h45 – Salle du Jeu du Mail
    05.61.60.93.60
    billetterie@ville-pamiers.fr
    En ligne : ville-pamiers.festik.fr

  • Alain Leplus, l’Ariège c’est blanc, c’est vert, c’est bleu

    Alain Leplus, l’Ariège c’est blanc, c’est vert, c’est bleu

    Blanc comme neige, vert comme nature, bleu comme ciel et eau. 

    Bien que né en Algérie et rapatrié en 1962 dans le Tarn et Garonne, Alain Leplus se défini comme ariégeois, ayant passé plus de la moitié de sa vie dans ce département qu’il a choisi et qu’il aime

    C’est en 1980 qu’il arrive en Ariège dans la vallée d’Auzat-Vicdessos pour enseigner l’éducation physique et entrainer le club de football d’Auzat. Très attaché à la ruralité et au monde agricole, qu’il a découvert dans le Tarn et Garonne, Alain Leplus à un coup de coeur pour ce fond de vallée :

    « Je suis un pêcheur, un chasseur, un « champignoneur », un jardinier depuis toujours. J’ai besoin de ces éléments là pour vivre, pour m’équilibrer […] c’est pour ça qu’aujourd’hui je m’estime ariégeois et je sens bien cette force qui monte de ces racines et qui me donne cette envie de porter l’Ariège notamment dans son économie touristique »

    C’est à l’annonce de la fermeture de l’usine Péchiney en 1983 qu’Alain Leplus s’engage auprès de Bernard Piquemal dans le développement local.

    Il a fallu imaginer les activités qui pourraient remplacer cette activité économique. Il y a donc eu l’usine d’embouteillage d’eau et il était également question de tourisme. Mais comment développer le tourisme dans un territoire où il n’y a pas vraiment d’activités structurées malgré un environnement et un potentiel extraordinaire ?  

    «Il fallait créer un concept pour être connu et reconnu non seulement par les touristes mais aussi par les partenaires et les financeurs, et de là est né le concept de Station sport nature du Montcalm ».

    Une équipe soudée, créatrice et innovante

    C’est sur les talents de cette équipe de 24 personnes que le nouveau directeur de l’ADT compte s’appuyer pour mener sa tâche à bien.

    La première action du schéma de développement touristique c’est de mettre au coeur des ariégeois, le tourisme. « Le tourisme, c’est partager ce qui fait que moi je suis en Ariège » explique Alain Lepus, « j’aime la montagne j’aime la pêche… il faut que je partage tout ça avec les personnes qui viennent, comme j’accueille un ami. Il faut que les ariégeois soient accueillants et professionnels et en capacité de s’adapter […] et on doit les accompagner dans cette démarche ». 

    Le développement de l’Ariège sera l’addition du développement des différentes destinations. Ce sera donc à l’ADT d’impulser de coordonner, de soutenir, d’aider, d’accompagner, et ce sera à chaque destination d’essayer de faire évoluer son offre sur quatre critères : la qualité des prestations, la quantité de lits marchands, le professionnalisme et la culture.

    Interview réalisée à Foix, propos recueillis par Azinat.com

  • Le Mérens fait son cirque au plateau de Beille … 12 mars

    Le Mérens fait son cirque au plateau de Beille … 12 mars

    Espace nordique de Beille, paré pour l'hiver 2016. Ariège Pyrénées

    Cette initiative Sherpa-Angaka émane de la synergie entre des éleveurs du Sherpa et des responsables de l’entreprise Angaka au plateau de Beille qui ont mis en place une activité de promenades en traineau à cheval. Cette activité est venue enrichir les activités de chiens de traineau, raquettes, igloo, au départ du village nordique.

    Les membres du Sherpa ont l’expérience de l’organisation d’événementiel comme les journées annuelles du cheval de Mérens à Bouan au mois d’août ; Angaka a acquis une pratique du traineau sur la neige avec l’aide technique de la station de Beille. Il ne manquait plus qu’à proposer un rendez-vous hivernal réunissant éleveurs et chevaux en continuité avec celui de Bouan.

    L’objectif de cette journée est la présentation de différentes activités de loisirs et de sport avec des chevaux de Mérens sur la neige. Cette animation a pour but en particulier de montrer les qualités du cheval de Mérens sur la neige en bénéficiant de l’expérience du Village Nordique Angaka qui utilise depuis 4 ans deux Mérens attelés à des traîneaux pour des promenades destinées à sa clientèle pendant l’hiver.

    Cette initiative rejoint la volonté des dirigeants du Sherpa – Syndicat de race du cheval de Mérens– de démultiplier les actions de promotion déjà présentes lors des Concours nationaux de la race de Mérens à Bouan en été (manifestation labellisée par le Conseil départemental), et de promouvoir une manifestation hivernale étonnante qui démontre toute la polyvalence du cheval de Mérens.

    Les animations commenceront à 11h, en deux sessions de 2h : de 11h à 13h et de 14h à 16h :

    • Démonstration de ski Joering (skieur tracté par un cheval)
    • Jeux à poneys sur la neige
    • Spectacle équestre dans la neige
    • Course de traîneau en parallèle
    • Relais entre cheval de mérens, chien de traineau, skieurs….
    • Epreuve de traction de force en traineau avec participation du public
    • Présentation de représentants de la race Mérens et de traineaux de collection.
    • Grande course de chevaux en clôture de la journée

    chevaldesneigesCes animations se succéderont sur la carrière aménagée à cet effet sur le pied de piste, immédiatement attenant au parking, avec une très bonne visibilité pour le public.

    Cette carrière est située de sorte que les animations n’entravent pas le fonctionnement de la station.

    Il y aura une sonorisation, des commentaires au micro, et des animations musicales.

    En plus des animations sur la carrière, les 2 chevaux d’Angaka continueront à proposer des promenades pour le public sur la piste dédiée à cet effet dans la forêt autour du village nordique (prestation payante).

    L’organisation est assurée de manière bénévole par les membres du Sherpa et d’Angaka, autofinancée par les participants, avec l’appui technique et humain de la station de Beille.

    Au plateau de Beille, Dimanche 31 janvier 2016 animations équestres, à partir de 11h.

    Contact :

    SHERPA Mathieu CARRIERE
    m.carriere231@laposte.net
    www.chevaldemerens.com

    ANGAKA Isabelle CORBIERES
    isabelle.corbieres@free.fr
    www.angaka.com
    06 45 79 12 77

  • Tarascon – Contes méditerranéens : « Histoire d’une barque » – 28 janvier

    Tarascon – Contes méditerranéens : « Histoire d’une barque » – 28 janvier

    Contes méditerranéens : "Histoire d'une barque" Ariège Pyrénées

    Et voici un nouveau chapitre des contes méditerranéens…

    Il dormait paisiblement pépère sur le quai du port d’Alexandrie mais l’aventure l’a surpris au réveil. Et le voilà embarqué dans sa petite embarcation rouge sur les flots bleus -ou presque- de cette mare nostrum.

    D’orient en occident, de vent chaud en bourrasque il traverse des légendes,, des mythes antiques , collectent les histoires et rumeurs des ports.

    Ce soir il est là le conteur pour vous offrir ces souvenirs de son tumultueux voyage à bord de sa barque !

    Mémoire attisée, oreilles gorgées de paroles, le conteur subit les ondes de la Méditerranée, embarquent avec lui une jarre d’or et un maçon, un miroir et des visages, une belle et une bête, un sac de farine et des ballons multicolores.

    Et voilà :
    A barque à bon port , paroles salées
    A conteur éveillé , conte à l’infini !

    le 28 janvier 20H30
    Centre Culturel François Mitterand 
    Tarascon sur Ariège 
     06 81 860 870 / 06 86 84 16 21 

    www.chergui.org

  • Lac de Montbel, l’écrin des Pyrénées cathares

    Lac de Montbel, l’écrin des Pyrénées cathares

     

    D’une superficie de 570 ha, à cheval entre l’Aude et l’Ariège, le lac de Monbel  est alimenté par les eaux de l’Hers-Vif amenées par une dérivation située juste à l’aval du Peyrat à la limite départementale.

    Une étude pour la construction d’un barrage est lancée en 1977. Les travaux commencent en 1982 et aboutissent en 1984, date de la mise en eau du lac.

    Les eaux emmagasinées en hiver et au printemps par la fonte des neiges, servent à l’irrigation du Lauragais et de la plaine ariégeoise ainsi qu’au soutien des débits estivaux et automnaux de l’Hers-Vif et au-delà de l’Ariège et de la Garonne, soit l’irrigation de 28 000 hectares environ.

    Mais laissons là les considérations techniques pour nous pencher sur le principal, la beauté magique de l’endroit.

    wfdwsf

    IMG_4453Le lac de Monbel est un lieu privilégié pour l’observation des oiseaux migrateurs, pour les amateurs de pêche, les vététistes et simples marcheurs. Il est aussi renommé pour la variété de ses espèces de poissons en particulier carpes et carnassiers. Les amateurs de nature peuvent y étudier la flore mais aussi les oiseaux migrateurs décrits sur des panneaux didactiques disposés tout autour du lac.

    sqDQ

    dfS

    Le lac est également unIMG_4465 important centre d’activités de loisirs : plages aménagées sur les rives de Léran et de Montbel, baignades surveillées, base de loisirs nautique et de plein air, école multivoile sur les rives de Léran, camping…

    dsqd<sfd<ws

    <dv<sfd<sfvd<

    <dvd<vd<◊d<◊d

    IMG_4461La magie du lac, c’est la diversité de ces paysages, selon l’endroit, la saison, le moment de la journée il a, comme le disait Charles Trénet à propos de la mer, des reflets changeants.

    Si vous vous balader en ce moment vous verrez tantôt un paysage de lac canadien avec de grands sapins, tantôt vous vous croirez au bord de la mer en observant les petits voiliers voguer au fil de l’eau, tantôt, le niveau du lac étant très bas vous traversez un désert de pierres.

    16 km à parcourir a pied, en marche nordique, en VTT ou à cheval ; un petit arrêt à la Guinguette, à la Régate, à l’Ecume des jours ou un pique-nique les pieds dans l’eau… il y a là de quoi passer un fabuleux moment et s’en mettre plein les yeux.

     

     

     

    [nggallery id=110]

  • Beille : l’Espace Nordique paré pour l’hiver 2016

    Beille : l’Espace Nordique paré pour l’hiver 2016

    La neige est là depuis début décembre et ces derniers jours de froid ont permis de renforcer l’enneigement. Le manteau neigeux est stabilisé et la station prépare les trois prochains mois.

    La nouveauté cette année, c’est le réseau d’enneigeurs qui, avec le lac artificiel, ont permis de passer 5800 mètres cube de neige en deux nuits ; pour les fondeurs, c’est la nouvelle piste Piparlan qui fera le bonheur des confirmés et des débutants.

    La station de Beille en chiffres

    La Régie emploie 35 salariés saisonniers et permanents ; dammeurs, pisteurs secouristes, personnels d’accueil, personnels d’entretien et de mécanique auxquels il faut ajouter le personnel du restaurant, de l’école de ski et l’équipe d’ANGAKA (accompagnateurs en montagne et mushers). Au total, une soixantaine de personnes pour un chiffre d’affaire de 1,5 à 2 millions d’euros sans compter les retombées économiques sur la vallée.

    Ce qui fait de Beille un lieu unique, ce sont, en plus du ski de fond, les activités d’ANGAKA : chiens de traineau, traineau à cheval sur neige, balades en raquette, constructions d’igloos, nuits en yourtes… Bref, un véritable dépaysement.

    « C’est merveilleux, on pourrait se croire n’importe où, en Finlande ou en Norvège », raconte Pierre, qui vient de passer la nuit dans un igloo qu’il a construit lui-même.

    Elsa vient de Montauban ; habituée au ski alpin, elle est venue en famille. « On est venus chercher autre chose ; on voulait passer un week-end au grand air et découvrir un autre monde. Pour ça, Angaka a bien réussi. »

    Le cocktail préféré des touristes pour le week-end : la construction et la nuit en igloo agrémenté de la balade en traineau à chiens, la randonnée nocturne en raquettes et aux flambeaux et enfin, bien méritée, la soirée tartiflette au restaurant. De quoi remplir agréablement un week-end d’hiver !

    www.beille.fr
    www.angaka.com

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » deuxième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » deuxième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    SEMAINE-02-2016-OTRA

    Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne un sticker Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook). 

    Pour participer laisser votre message avec votre adresse email et postale sur ce formulaire de contact ou sur notre page FaceBook

    Deux stickers Azinat à gagner pour le premier qui répondra correctement.

    Réponse la semaine prochaine avec un petit historique de l’endroit ou du thème de la photo.

    La dernière fois, il s’agissait de la commune d’Aston.

    Voir l’article sur Aston

  • Aston, sur les routes en Ariège

    Aston, sur les routes en Ariège

    ASTON Ariège Pyrénées

    Autrefois Aston, vallée rurale, s’est peu à peu industrialisée avec les forges de Gudanes, les barrages, les centrales hydroélectriques, l’usine Minco.

    Patrimoine

    L’église, du 19éme siècle appartenait, auparavant à Saint Martin des Cabannnes sous le vocable de Saint Pierre. On y trouve des icônes contemporaines du peintre russe Nicolaï Greschny et un chemin de croix en céramique dont il a réalisé les dessins

    Anecdote

    Une légende attribue une bataille de Charlemagne au « cimetière de la Hunarde », à 2200 m d’altitude, à la limite de la commune de Siguer (limite du territoire de Miglos au 14éme). une note manuscrite sur le cadastre de 1824 signale : « le cimetière où fut livré la bataille entre français et espagnols »…

    Mais les textes (cartulaires, etc…) ne mentionnent rien se rapportant à Charlemagne : seul un texte parle d’un conflit entre Château-Verdun et Miglos (entre 1302 et 1305) au lieu-dit « la Gournarde »

    www.histariege.com
    www.mairie-aston.fr

  • La sanquette, une vieille tradition.

    La sanquette, une vieille tradition.

    La sanquette, une vieille tradition. Ariège Pyrénées

    Préparation à base de sang !!!! bon, jusque là ça fait un peu vampire, mais que l’on se rassure, le sang se fait cuire.

    La sanquette est préparée au moment même de l’abattage de la volaille (poulet, canard, oie, pintade), du lapin ou même de l’agneau, par une saignée.

    Pour la recette, rien de plus simple :

    Le sang est récupéré sous l’animal en touillant dans un récipient garni d’un peu de vinaigre (pour ralentir la coagulation), d’ail, d’oignons doux, de persil, de morceaux de ventrèche, de sel et de poivre. Une fois le sang caillé, la galette obtenue est frite à la poêle, dans de l’huile ou de la graisse de canard, et consommée bien chaude. 

    A la façon du «pèle-porc», la dégustation de la sanquette clôturait le travail d’abattage et de préparation des volailles. Occasion qui réunissait la famille et les amis.

    Crédit photo : Canalblog

     

  • Margaux de retour en Ariège.

    Margaux de retour en Ariège.

    C’est le 30 octobre 2014 que Margaux, jeune ariégeoise de 21 ans quitte l’Ariège et le cocon familiale pour un fabuleux voyage au Canada et dans le nord de l’Amérique.

    Le 1er janvier 2016 âgée maintenant de 23 ans, elle revient au « Pays » avec dans la tête de merveilleux souvenirs d’un voyage qui aura duré 14 mois.

    Malgré un emploi du temps chargé, Margaux est venue dans nos locaux de Mirepoix pour nous parler de son « Américan Trip« 

    Photographe et étudiante en LEA anglais / russes, Margaux se rend vite compte que ce n’est pas vraiment cela qu’elle veut faire et que pour apprendre l’anglais le meilleur moyen, c’est l’immersion. Signataire du Programme Vacances Travail en partenariat avec la France, c’est pour Margaux l’occasion de travailler sur un projet photographique d’un an.

    «Je voulais allier mes études de photographie et mon envie d’apprendre l’anglais en voyageant et je me suis dit que je pourrais peut être faire une photo par semaine et puis faire un livre qui pourrait résumer toute mon aventure.»

    Des petits boulots, une demande de financement participatif, c’est avec un peu moins de 2000 euros que Margaux a financé son voyage. Une entreprise lui a fourni un objectif photo.

    L’idée de Margaux n’était pas de gagner de l’argent mais plutôt de  faire des échanges de services, faire des petits travaux contre un logement et de la nourriture. Elle est donc passée par le site  workaway et c’est comme cela qu’elle a trouvé sa première famille d’accueil en Ontario.

    Pour résumer le trajet et pour faire rêver voici les grandes étapes du Road Trip : Montréal, l’Ontario, le nord des USA, 3 mois en Nouvelle Ecosse, 4 mois à Quebec, le Colorado, la Colombie britannique, les Rocheuse, l’Alberta…. retour au Canada et puis Paris et puis, l’Ariège. Au total 40 213 km parcourus.

    14 mois de voyages, des rencontres, des paysages magnifiques… quand on demande à Margaux quel est son plus beau souvenir elle nous répond que c’est très difficile de répondre.

    «Ce qui m’a le plus marqué, c’est la générosité des gens, le fait qu’ils ouvraient tellement plus que leur porte. Ils m’ont accueillie comme quelqu’un de leur famille. je peux dire maintenant que j’ai de la famille en Amérique du nord. […] Je pensais que je n’avais pas beaucoup changée, mais le fait de revenir ici, je me rend compte que j’ai beaucoup évoluée , j’ai l’impression d’être plus affirmée, d’être partie comme une petite fille et d’être revenue comme une jeune femme avec plus de convictions, plus d’envies.»

    Et ce n’est pas fini, car, le temps de recharger les batteries et le porte-feuilles, Margaux repartira bientôt vers la Nouvelle Zélande pour un an.

    Un nouveau carnet de voyage, de nouvelles photos, de nouvelles chroniques.. ce sera bientôt sur azinat.com, ne manquez pas le rendez-vous.

    Voir ou revoir les chroniques de Margaux sur Azinat.com ICI et sur son site goingwest

  • Les nuits de la thermographie du PNR saison 5

    Les nuits de la thermographie du PNR saison 5

    Les nuits de la thermographie du PNR saison 4 Ariège Pyrénées

    Ces soirées se dérouleront du mois de janvier au mois de mars dans sept communes du PNR.

    Equipés d’une caméra infrarouge, vous vous promènerez dans les rues de la commune et prendrez des clichés de façades de maisons qui seront commentés en salle. C’est l’occasion de découvrir les déperditions énergétiques de votre maison et d’obtenir des conseils pour réaliser des économies d’énergie.

    Une dégustation de produits locaux du PNR sera proposée au cours de la soirée.

    La première soirée a lieu le :

    Vendredi 22 janvier à 18h30 à BENAC (Salle des fêtes)

    La deuxième soirée a lieu le

    Mardi 26 janvier à 18h30 au MAS D’AZIL (Salle multimédia)

    Les autres soirées auront lieu :

    • Le vendredi 5 février 2016 à 18h30 à GAJAN
    • Le vendredi 12 février 2016 à 18h30 à ARIGNAC
    • Le vendredi 11 mars 2016 à 18h30 à ENGOMER
    • Le vendredi 18 mars 2016 à 18h30 à GANAC
    • Une soirée sera également programmée à Saint-Lary.

    Contacts et renseignements :

    Luce RAMEIL : l.rameil@parc-pyrenees-ariegeoises.fr
    Tél. : 05 61 02 71 69.

    Site Internet : www.parc-pyrenees-ariegeoises.fr

  • Lavelanet – Que m’importe le jour – 26 janvier

    Lavelanet – Que m’importe le jour – 26 janvier

    Que m’importe le jour Ariège Pyrénées

    Entre comique et dramatique, des relations se nouent autour de différents personnages. Se déroule alors l’histoire de chacun, dans son contour immédiatement visible, mais aussi dans ses facettes les plus troubles.

    Violence contenue et ironie constante, se mêlent aux liens invisibles qui relient, qui retiennent, qui les feront revenir l’année prochaine… Combien de temps encore ?

    Autour d’une table, le temps d’un repas, deux hommes et trois femmes vont tenter de remettre en question ce qui semblait à jamais établi.

    L’accueil de la compagnie s’inscrit dans le cadre de l’opération « Entrez dans la danse » en partenariat avec le Conseil Départemental de l’Ariège.

    www.lavelanet-culture.com

    Mardi 26 Janvier 2016 20h45
    Cinéma le Casino Lavelanet