Auteur/autrice : Rédaction Azinat.com

  • Décembre en fête à la Cité du Goût et des Saveurs de l’Ariège

    Décembre en fête à la Cité du Goût et des Saveurs de l’Ariège

    Cette année à la Cité du Goût et des Saveurs de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Ariège, les fêtes de fin d’année seront célébrées comme il se doit !

    Ce sont deux rendez-vous de prestige qui attendent les gourmands pour fêter la fin de l’année 2017.

    Pour commencer, nous nous retrouverons le 2 décembre 2017, afin de fêter ensemble les derniers ateliers culinaires de l’année 2017.

    Pour l’occasion ce ne sera pas un mais bien deux ateliers culinaires  « Prestige » qui se dérouleront en même temps dans les locaux du Centre de Formation aux Métiers de l’Ariège. Un atelier dans le laboratoire pâtisserie et un autre dans les cuisines pédagogiques. L’objectif étant de dédier le thème des « menus de fin d’années » à ces deux ateliers culinaires pour que les participants puissent ensuite s’inspirer des recettes effectuées pour leur repas de noël et de la Saint sylvestre.

    Pour l’atelier de cuisine, nous aurons l’honneur et le plaisir d’accueillir Marie José Bru, chef du restaurant « Les Sapins » à Nalzen, qui officiera un cours de cuisine où nous préparerons une entrée et un plat pour un menu de fête. Nous allons découvrir deux recettes : Un Foie Gras Brûlé aux Épices, Pommes Caramélisées, Gelée à l’Hypocras ainsi qu’une Noisettes de filet de Bœuf en Chemise de Lard Fumé, Croûte de Cèpes, purée de Patates Douces, Royale de Champignons.

    De son coté, Patrick Chevrier de la pâtisserie « Mazas », présentera un cours de pâtisserie où seront préparés un dessert sur assiette et un gâteau prestige.

    Dans le but de partagé de beaux moments de plaisirs et de convivialité, le repas sera partagé à la fin de l’atelier.

    Le samedi 9 décembre, toujours dans l’idée de préparer les fêtes, sera organisé  2017 une dégustation de vins avec Catherine Alapont, sommelière professionnelle, créatrice du concept, « Bacchus m’a dit ».

    La dégustation commencera à 18h00 et portera sur le thème « Dégustation de 5 vins « spécial noël » et initiation aux accords Mets/vins. Catherine sélectionnera 5 vins et 5 gourmandises pour réussir à accorder son vin et ses plats de fêtes (35 € par personnes, réservation obligatoire)

    Les portes du CFM seront ouvertes un peu plus tôt, à partir de 15h00 gratuitement afin que notre professionnelle du vin vous propose sa sélection de vins pour les fêtes. Cette vitrine de produits permettra de faire découvrir des vins et champagnes sélectionnés spécialement pour les fêtes de fin d’années.

    Il y sera proposé un conseil personnalisé par une sommelière d’Ariège avec toutes gammes de prix sur des vins et champagnes sélectionnés spécialement pour les fêtes.

    De plus, une tombola sera organisée sur place, avec un tirage au sort pour gagner 1 bouteille de vin sélectionnée par Catherine ainsi qu’un tablier Cité du Goût et des Saveurs.

    N’hésitez pas à nous tenir au courant de votre venue même si ce n’est que pour quelques minutes. Nous serons ravis de recevoir les amoureux du vin en quête de conseils œnologique.

    Pour plus d’informations :
    Cité du Goût et des Saveurs. Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Ariège.
    Audrey Boniface Tél : 07 87 36 64 14 ou cite-du-gout@cm-ariege.fr

    Degustation de vins : 35 € par personne
    Ateliers prestige : 70 € par personne
    Inscription obligatoire

  • Installation d’un comité local abattoirs de l’Ariège

    Installation d’un comité local abattoirs de l’Ariège

    La préfète de l’Ariège Marie Lajus, a installé le comité local abattoir de l’Ariège. Animé par la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (services vétérinaires), ce comité a rassemblé des représentants des abattoirs et des éleveur des filières viandes d’animaux de boucherie et de volailles, des représentants de la société civile (consommateurs et association de protection animale), des institutionnels ainsi que des élus locaux.

    Cette création concrétise, au niveau départemental, une des propositions du rapport du 20 septembre 2016 de la commission d’enquête parlementaire sur les conditions d’abattage. L’objectif du comité local abattoir est de favoriser les échanges d’informations entre les acteurs de la filière d’abattage et les différentes parties intéressées au plan local, tout en améliorant la transparence sur le fonctionnement des abattoirs.

    Le département de l’Ariège dispose de deux abattoirs d’animaux de boucherie à Pamiers et Lorp- Sentaraille, et de quatre petits abattoirs de volailles agréés. Ces structures assurent l’abattage d’animaux issus essentiellement du département. Elles sont un maillon économique et stratégique pour l’élevage du département.

    La réunion a permis de rappeler l’organisation des services de l’Etat dans les abattoirs et la réglementation applicable tant en matière de sécurité sanitaire des aliments que de protection animale. Ce premier comité a également été l’occasion d’évoquer les actions conduites et restant à conduire pour garantir la maîtrise de la protection des animaux dans les abattoirs. Il a ainsi permis de confirmer les compétences et la technicité des acteurs de la filière en matière de bien-être animal.

    La DDCSPP insiste sur le juste équilibre à trouver entre les problématiques sociétales et commerciales : si un animal est abattu pour être consommé, il n’en demeure pas moins un être vivant doué de sensibilité [Cf Article L.515-14 du Code Civil] qu’il faut respecter dès son arrivée à l’abattoir, jusqu’à sa mise à mort.

    Les échanges ont porté par ailleurs sur l’abattage d’urgence, à la ferme ou à l’abattoir, de manière à préserver tant le bien être animal, en limitant le transport de bêtes blessées, que l’impact économique lié à la valorisation de la bête. Cela a montré la nécessité de réaliser un état des lieux qualitatif et quantitatif d’ici la fin 2017, en vue de débouchersur des propositions concrètes début 2018.

    La question de la préparation des animaux en amont de leur arrivée à l’abattoir a donné également lieu à des discussions (état de santé, propreté des bêtes…) et à des engagements de la profession en la matière.

    En conclusion, la préfète a remercié les membres pour la richesse des discussions qui ont démontré toute l’utilité de cette commission. Elle a également tenu à saluer les personnes travaillant en abattoirs pour leur professionnalisme et a indiqué avoir conscience des difficultés de ces métiers, comme elle a pu l’observer lors de sa dernière visite en abattoir.

    La préfète souhaite s’appuyer sur cette instance pour continuer à améliorer les pratiques contribuant au développement des circuits courts et à la qualité des produits locaux.

    Source : Préfecture de l’Ariège

    2 rue de la préfecture 
    Préfet Claude Erignac – B.P. 40087 
    09007 Foix cedex
    05.61.02.10.00

  • Semaine du goût ariégeois : en novembre, la lentille en vedette dans les assiettes des 5.000 collégiens

    Semaine du goût ariégeois : en novembre, la lentille en vedette dans les assiettes des 5.000 collégiens

    Pour les quelque 5.000 demi-pensionnaires des collèges ariégeois*, un jeudi par mois est dédié aux saveurs et aux produits locaux. La lentille sera en vedette le jeudi 23 novembre dans les assiettes des collégiens.

    Le repas ariégeois dans lequel les produits locaux entrent majoritairement dans la composition des menus servis aux collégiens de l’Ariège est renouvelé chaque mois, en partenariat avec les responsables et les chefs cuisiniers des établissements ainsi que des diététiciennes du département.

    Pour le Conseil Départemental, cette démarche correspond à la politique engagée depuis 2008 dans le but de proposer au moins un repas par mois, concocté à base de produits locaux. Une initiative qui a pour principaux objectifs d’améliorer la qualité de la restauration dans les collèges, de soutenir les filières agricoles locales, et de sensibiliser les élèves sur l’origine et la diversité des goûts de l’ensemble des produits.

    Cette opération est également confortée par le dispositif initié par le Département en fin d’année 2015, visant à inciter les établissements à accroître leur approvisionnement en produits locaux, dans une logique de valorisation des filières agricoles locales.

    *Les collèges de Vicdessos et Mirepoix ne participent pas à l’opération, ne disposant pas d’un service de restauration géré par le Département.

    Sources : CD09

  • « Sécuriser » et augmenter la capacité de stockage de Montbel : la réponse des associations environnementales

    « Sécuriser » et augmenter la capacité de stockage de Montbel : la réponse des associations environnementales

    Suite à une Conférence de Presse le 7 novembre 2017 à propos de  « Sécuriser » et augmenter la capacité de stockage de Montbel par prélèvement sur le Touyre, Les APNE (Associations de Protection de la Nature et de l’Environnement) et des collectifs citoyens communiquent : 

    Le Projet porté par le Conseil Départemental de l’Ariège ( nous l’avons rencontré en mai dernier ):

    Se substituant ( ?!) à l’IIABM (Institution Interdépartementale de l’Aménagement du Barrage de Montbel), le Conseil Départemental a initié une démarche de réapprovisionnement en eau du barrage de Montbel par prélèvement sur le Touyre.

    Il a engagé des études pour :

    • sécuriser le remplissage du barrage par un apport supplémentaire à partir du Touyre, de 10 à 17 Mm3 annuels
    • soutenir l’étiage du Touyre et du Countirou si besoin par retour d’eau de Montbel via la canalisation d’amenée,
    • augmenter la capacité de stockage du barrage en relevant la ligne d’eau de 50 cm, ce qui correspond à 3 Mm3 supplémentaires.

    Il affirme la volonté :

    • de maintenir un débit réservé suffisant pour la vie aquatique à l’aval de l’ouvrage de prise d’eau (3 fois l’obligation légale du 1/10ième du module interannuel soit 600 l/s)
    • d’assurer la qualité de l’eau entrant dans le barrage par des analyses en temps réel des volumes prélevés
    • d’assurer le développement de filières locales de maraichage, qui manquent cruellement, et favoriser les circuits courts dans le Pays d’Olmes.
    • Volonté de transparence de l’institution départementale sur ce dossier.

    Le Président insiste sur la maitrise d’ouvrage du CD09 qui garantit, selon lui, la maitrise totale des usages et des investissements complémentaires qui seront réalisés. Il précise que les règles de répartition, les usages, les surfaces irriguées et les m3 attribués resteront identiques : « il n’y aura pas de volume supplémentaire ni de surfaces irriguées en plus ». Le coût est estimé entre 8 et 10 M d’euros.

    Notre point de vue 

    Tout d’abord, débarrassons-nous d’éléments de langage bien trompeurs : 

    Le barrage de Montbel n’est pas un barrage destiné au soutien d’étiage comme cela est régulièrement présenté. C’est, comme toutes les retenues de substitution, une retenue servant à compenser les prélèvements agricoles d’irrigation. Lesquels prélèvements sont massivement faits dans les mois d’été et représentent 80% de l’utilisation de l’eau dans ces périodes sensibles.

    Pour preuve, sur les 70 à 75 millions de m3 transitant dans Montbel, seuls 7 millions sont destinés au réel soutien d’étiage à partir de septembre. Et encore, s’il en reste dans le barrage.

    Qu’on ne nous fasse pas régulièrement pleurer, photos à l’appui, sur le « désolant » spectacle d’un lac à sec. C’est la nature même de ces investissements que d’être utilisés et donc d’avoir des marnages très importants, barrages pleins en juin, vides en octobre. Si non à quoi bon.

    Les associations désapprouvent totalement ces politiques de stockages intensifs, de suréquipement des cours d’eau et la vision consumériste de l’eau qu’elles induisent.

    Avec plus de 320 millions de m3 stockés entre montagne et piémont, soit l’équivalent de « 3 Charlas », notre département contribue déjà grandement depuis de nombreuses années à l’effort régional et national : hydroélectricité, irrigation, soutien d’étiage. Il est le premier contributeur au soutien d’étiage interrégional Adour Garonne. Sous peine de ne pas atteindre les objectifs du « bon état écologique des eaux » et pour assurer une gestion équilibrée de la ressource, il est temps pour notre département de réorienter les politiques de gestion quantitative vers une gestion moins gourmande, plus économe et de moindres stockages d’eau.

    La vision purement marchande, au profit quasi exclusif de quelques lobbies agro-industriels, ne peut qu’exacerber les conflits d’usages et impacter durablement des milieux aquatiques déjà malmenés. Alors que l’objectif devrait être d’aboutir à des gains conséquents sur les consommations d’eau en favorisant toutes les reconversions et adaptations utiles, c’est la fuite en avant qui nous est proposée. Il est plus que temps de remettre en question cette agriculture productiviste, excessivement gourmande en eau, en produits « phyto », insecticides et pesticides, et en engrais chimiques nocifs. Dans nos plaines agricoles d’Ariège, pas une goutte d’eau n’est indemne de nitrates et de glyphosate, entre autres.

    Le changement climatique ne doit pas être un prétexte. Il est temps d’adapter nos comportements et nos productions et non de poursuivre ce qui participe des désordres environnementaux.

    Les APNE et collectifs citoyens constatent que le CD 09 et non l’IIABM, dont pourtant cela devrait être le rôle, envisage de réaliser tout seul les investissements pour prélever, par captage sur le Touyre, les 10 à 17 Mm3 supplémentaires annoncés pour 8 à 10 Millions d’euros.

    Au-delà de l’enrobage environnemental déclaré, figurent en bonne place des raisons cachées comme celle de délivrer plus d’eau et d’irrigation à l’Aude et la Haute Garonne – étrangement absentes du débat – par l’intermédiaire de l’adducteur du Lauragais. Lequel alimente la Ganguise. Or, la capacité de la Ganguise a été doublée, elle est passée de 22 à 44 millions de m3 ces dernières années. C’est d’ailleurs depuis cette rehausse, en 2008, que les problèmes de remplissage de Montbel nous sont si régulièrement évoqués.

    La convention qui lie l’IIABM à la Ganguise impose de livrer à ce barrage 26 millions de m3 sur les 60 transitant à Montbel, 18 en hiver et 8 en été, ce qu’il n’a jamais fait (Convention du 26/60ième des eaux dérivées). Reste donc pour l’Ariège 34 Mm3. Autant dire que l’idée d’avoir 60Mm3 stockés dans le barrage en début d’été, à destination des agriculteurs ariégeois, est depuis toujours absolument irréaliste car cela supposerait que l’Hers fournisse plus de 86 Mm3. Or, dans ses meilleures années, l’Hers n’a jamais pu apporter qu’un maximum de 70 à 75 millions de m3. On est donc loin d’une surprise due au changement climatique ! En fait c’est structurel et la seule solution c’est de faire avec.

    En plus, on demanderait aux contribuables Ariégeois, qui n’ont rien à voir avec l’utilisation de ces réserves d’eau, de payer, outre la facture environnementale, la facture financière.

    Des désordres écologiques forts :

    Les APNE et collectifs citoyens prennent acte de l’engagement de maintenir un débit réservé dans le Touyre supérieur à l’obligation légale et de le soutenir en période de crise. Toutefois, ce débit reste très voisin du débit d’étiage minimum du Touyre (647 l/s en valeur moyenne mensuelle). Ainsi, le cours d’eau resterait en quasi permanence à ses débits les plus bas. Et sur des débits aussi appauvris dans le tronçon court-circuité, les effluents des stations d’épuration de Laroque d’Olmes et de Léran perturberont fortement les milieux.

    D’autre part, nous faisons ressortir qu’il existe déjà un très long linéaire de l’Hers Vif en difficulté. Sur son tronçon court-circuité sur plus de 17 kilomètres, les débits réduits à 1 m3/s perturbent les écosystèmes qui peinent à maintenir une vie biologique normale. La présence de nombreuses stations d’épuration (5)* fait de ce linéaire un concentré d’effluents résiduels.

    Avec une prise d’eau installée sous Laroque d’Olmes, le Touyre comme l’Hers, sera amputé définitivement sur plus de 13 km d’une eau qui lui fait déjà cruellement défaut, le privant ainsi des crues moyennes utiles à son équilibre naturel et à sa reconquête.

    La qualité des eaux du Touyre, même si elle s’est améliorée ces dernières années, reste dangereuse et peut contaminer durablement les fonds du barrage de Montbel malgré les mesures de précautions annoncées. De tout le secteur du Pays d’Olmes, le Touyre est la
    devrait même pas ouvrir les vannes d’arrivée…
    Ainsi risquent d’être remises en question les activités nature présentes sur le Lac, baignade, activités nautiques et aquaculture bio.

    Le barrage lui-même, étudié pour contenir 60,5 millions de m3 pourrait devenir, avec 3 Mm3 supplémentaires, une menace pour les populations aval. Sa ligne d’eau, rehaussée de 50cm en moyenne peut déstabiliser ses berges et remettre en question les équipements touristiques ou autres déjà réalisés.

    De nombreuses questions restent aussi sans réponse :

    * rien ne garantit que le Touyre et le Countirou seront réalimentés selon leur besoin, car rien n’est dit sur les seuils d’étiages déclencheurs de la réalimentation annoncée,

    * le débit réservé annoncé à 600 l/s laisse le Touyre dans un état d’étiage permanent et le CD09 évoque une « étude complémentaire qui pourrait affirmer qu’un débit de 400 l/s pourrait suffire » !

    * au final le remplissage de Montbel se solde par l’augmentation importante du linéaire de cours d’eau court-circuité qui passe de 17 à 30 km, Touyre et Hers confondus.
    seule rivière qui est classé de mauvaise qualité selon les études faites dans le cadre du PAOT (Plan d’Action Opérationnel Territorialité) du bassin versant dans au titre de la DCE.

    On y retrouve des chloroalcanes*, des phtalates*, du mercure, des perchlo et trichlorétylènes de triste mémoire en Ariège. Un automate, qui serait censé arrêter l’eau polluée entrant dans le lac de Montbel, ne
    Pour nos Associations et collectifs citoyens, il est urgent d’impulser une réflexion globale sur la reconquête de milieux aquatiques de qualité qui, sans exclure l’optimisation des ouvrages existants, passe par un moratoire sur toute politique de stockage ou d’équipement supplémentaire sur nos cours d’eau.

    Foix le 7 novembre 2017

    * de la prise d’eau à l’aval immédiat de la station d’épuration du Peyrat jusqu’à la restitution de Montbel avant Camon, 5 stations se succèdent sur 17 km : Ste Colombe, Rivel, Chalabre, Sonac / l’Hers, Camp-Limoux

    * chloroalcanes : chlorures d’alkyle ou paraffines chlorées, ce sont des produits souvent très stables dans l’environnement où ils peuvent s’être accumulés et/ou être bio-concentrés par certaines espèces.

    * phtalates : sont couramment utilisés comme plastifiants , ils peuvent persister longtemps dans certains milieux comme le milieu aquatique où ils vont se mélanger aux sédiments, ce qui rendra plus difficile leur dégradation en milieu aérobie.

  • Mirepoix, théâtre « Partenaires Particuliers » – 30 novembre

    Mirepoix, théâtre « Partenaires Particuliers » – 30 novembre

    Une échappée belle, menée avec des résidents du Foyer d’Accueil Médicalisé de Béziers.

    Partenaires Particuliers est le fruit d’un travail avec un groupe de résidents du Foyer d’Accueil Médicalisé de Montflourès (Béziers) et de Quarante dans l’Hérault. 

    « Durant un an, à raison d’un mardi toutes les deux semaines, nous nous sommes réunis, dans une salle dont la fonction première était la fabrication de petites brioches, pour y bricoler de la manière la plus artisanale qui soit –à l’image de ces petites brioches– notre cinéma.
    Des mardis studieux et joyeux où nous avons fictionné avec les ingrédients du réel et exploré les étendues qui séparent le vrai mensonge du mensonge vrai.De ces vagabondages pas très raisonnables, nous avons ramené le récit en miettes d’une échappée belle. »

    Depuis sa création, le travail mené par la compagnie La Grande Mêlée sous la direction artistique de Bruno Geslin, a la volonté d’être enraciné dans le présent à mi chemin entre fiction et réalité.

    Abolissant les frontières entre disciplines, chaque aventure est avant tout le témoignage d’un questionnement sur l’identité, ou pour le dire plus précisément, comment chaque être humain, quel qu’il soit, d’où qu’il vienne, est dépositaire d’une parole primordiale et comment cette biographie de l’intime peut nourrir une réflexion sur notre présence au monde.

    Avec la commune de Mirepoix, la commune de Limoux, la communauté des communes du Limouxin et le Conseil Départemental de l’Aude et AAA Arts Aude Ariège (Arts Vivants 11, l’ATP de l’Aude, la Claranda, l’Ouvre-Boîte, MiMa, l’Estive).

    Partenaires Particuliers de  Bruno Geslin – Cie la grande Mêlée
    Jeudi 30 Novembre 2017 à 20h30 à Mirepoix (cinéma – centre culturel André Malraux)
    Durée : 2h – Tarif : 5 euros (unique)

     

     

    05 61 68 83 76
    contact@tourisme-mirepoix.com

  • Foix, concert Dhafer Youssef – 28 novembre

    Foix, concert Dhafer Youssef – 28 novembre

    Dhafer Youssef, maître de l’oud et vocaliste, juxtapose musique ancienne, musique soufi et jazz.

    Dhafer Youssef nous offre treize poèmes musicaux dédiés à Damas, pour un message de paix, accompagné de la fine fleur du jazz américain. Le terme Diwan, qui signifie à la fois un recueil de poésie chantée et une cérémonie religieuse alliant musique et danse transcendantale, est au cœur de ses compositions. Artiste exceptionnel à la performance vocale sincère chargée d’un groove poignant, il présente ici un ensemble d’une parfaite maîtrise musicale.

    Enfant d’une modeste famille originaire d’un village de pêcheurs du centre-est tunisien, Dhafer Youssef est issu d’une longue lignée de muezzins. La maîtrise de la performance vocale est pour lui un héritage. Infatigable explorateur, son Diwan Of Beauty And Odd transcende les genres et nous livre une musique intrigante et riche de sa complexité.

    Mardi 28 Novembre à 20h45
    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    www.lestive.com

    Crédit photo : Flavien Prioreau

  • Ornolac, Tony Yates Concert acoustique blues – 25 novembre

    Ornolac, Tony Yates Concert acoustique blues – 25 novembre

    Guitariste chanteur anglais, Tony Yates s’établit en France au début des années 90 et fonde les New Dixie Ramblers (old time country music) avec qui il tourne une dizaine d’années puis se consacre au blues avec Time Off.

    Actuellement, il se produit en solo et puise aux racines du blues les morceaux iconiques du delta du Mississippi, Chicago, New Orleans, en passant par la côte est des Etats-Unis. Son répertoire inclut, entre autres, des morceaux de Blind Boy Fuller, Robert Johnson, Scrapper Blackwell, Jelly Roll Morton… Un blues bien « roots » que l’on n’a pas fréquemment l’occasion d’entendre.

    Tony Yates revivifie pour le public tout un patrimoine dont il transmet l’émotion et la diversité dans une forme d’engagement personnel d’une grande sincérité et d’une grande générosité.

    Samedi 25 novembre à 19h00
    Au centre Point Soleil
    2 chemin du col d’Ussat

    09 400 Ornolac-Ussat-Les-Bains
    06 85 81 97 09 / 05 32 42 95 10

    Participation libre, consommations et restauration sur place

  • Varilhes, concert de l’orchestre d’harmonie Varilhes-Foix – 25 novembre

    Varilhes, concert de l’orchestre d’harmonie Varilhes-Foix – 25 novembre

    A l’occasion de la Sainte Cécile, l’orchestre d’harmonie Varilhes-Foix organise un concert le 25 novembre 2017 dans l’église de Varilhes au profit de l’association « Les Gladiateurs ».

    Fondée par deux familles toulousaines confrontées à la maladie de leur enfant, l’association « Les Gladiateurs » a pour but de venir en aide aux parents qui traversent cette épreuve.
    Malgré le dévouement des soignants, on se retrouve souvent isolés et désemparés lors de l’annonce d’une maladie grave, d’une malformation ou d’un handicap, puis à la sortie de l’hôpital ou après un deuil.

    Gérer l’inquiétude et l’attente, les séjours hospitaliers et les séparations, accepter ou vaincre la maladie, c’est un périple difficile au cours duquel l’enfant, les parents, mais aussi les frères et sœurs et l’ensemble de la famille ont besoin de soutien.

    Un temps pour se faire aider, souffler un peu…
    Née de ce constat, l’association propose des réunions, des groupes de parole pour les parents, des ateliers d’éveil pour les enfants, des sorties, une aide pour la vie quotidienne et les problèmes administratifs…

    Outre ses bénévoles, l’association mobilise aussi des professionnels : psychologue, kinésithérapeute, psychomotricien.ne, sage-femme, éducateur.trice de jeunes enfants, assistante sociale…

    L’ensemble de l’orchestre Varilhes-Foix sous la direction musicale de Mikael Celma ainsi que l’association « Les Gladiateurs » vous attendent nombreuses et nombreux le 25 novembre 2017 à 20h45 dans l’église de Varilhes.

    L’entrée est libre et l’ensemble des recettes sera reversée à l’association « Les Gladiateurs ».

    Contactez Nadine ou Valérie
    association.lesgladiateurs@gmail.com
    06 64 97 20 83

  • Vira, soirée de soutien à Tagoudoum – 25 novembre

    Vira, soirée de soutien à Tagoudoum – 25 novembre

    Voici à nouveau cette année une fête en soutien, et aussi en l’honneur de cette contrée du Haut Niger, autour du village de Tagoudoum.

    Vous y retrouverez l’ambiance très chaleureuse, la soupe à l’oignon fabuleuse ainsi que petits plats et crêpes et vous vous régalerez des artistes qui reviennent, bénévolement : plusieurs d’entre nous les attendent déjà avec impatience.

    Nous vous espérons donc nombreux, avec vos amis, et …vos couverts (assiette à soupe notamment) !

    Association AET France-Niger
    8 rue Rescanières 09120 Vira
    06 83 34 60 95

  • Le Fossat, théâtre « encore des mots » – 25 novembre

    Le Fossat, théâtre « encore des mots » – 25 novembre

    C’est une petite caravane qui ne paie pas de mine. Soudain elle éclot et la femme qui vivait dedans se met à chanter des chansons.

    Des chansons que l’on reconnaît. C’est une femme solitaire. Elle chante Dalida. Pourquoi ? Parce que sa mère était fan ? Parce que toute petite elle se prenait pour elle ? Parce que là où elle vivait, c’était le seul moyen de remplir les salles ? Ça n’a pas d’importance. Au reste elle n’est pas son sosie, ni sa pâle copie, ni son imitatrice. C’est une femme sauvage et brune qui chante Dalida à sa façon.

    Derrière les paillettes et les strass, ses élans, ses tristesses, ses éclats de rires et ses cicatrices, Patou Bondaz incarne cette icône populaire avec toute sa sensibilité, sa gouaille aussi. Un prétexte pour faire surgir les fêlures et les forces que chaque être cache derrière son image. L’occasion de retrouver une partie de la compagnie Attention Fragile avec la chaleur et la fantaisie qui sont leur marque de fabrique.

    Samedi 25 novembre à 19h à LE FOSSAT, salle polyvalente

    RESTAURATION CARTE BLANCHE GASTRONOMIQUE
    dès 20h30 avec les artistes 16 € (cocktail, vin et café compris) – 14 € (adolescent) Réservation repas conseillée avant le mardi 21 novembre minuit

    Association ArLésiE Tél : 05 61 60 48 84 – arlesie@wanadoo.fr – www.arlesie.asso.fr
    www.facebook.com/arlesie

     

  • Carla-Bayle, Mégaphone Tour – 24 novembre

    Carla-Bayle, Mégaphone Tour – 24 novembre

    Depuis 8 ans, le Mégaphone Tour s’est imposé comme un nouveau souffle sur l’émergence de la chanson française.

    Le Mégaphone Tour est UN FESTIVAL DE MUSIQUE ITINÉRANT voulu comme un dispositif national d’aide à la tournée qui défend la formation de la scène par la scène et revendique le passage dans de petits lieux comme étant plus que jamais une étape formatrice et indispen- sable dans la carrière d’un artiste.

    Ainsi, chaque saison (octobre à juin), le Mégaphone Tour emmène 12 artistes émergents sillon- ner les routes de France en présentant 4 plateaux découvertes composés de 3 artistes.

    Le dispositif participe également au DÉVELOPPEMENT DES PROJETS DES ARTISTES sélec- tionnés, leur offrant des perspectives concrètes d’évolution : formations collectives au Studio des Variétés, showcases de n de saison à l’attention des professionnels, programme d’actions culturelles et accompagnement des artistes sur deux ans à travers un soutien à la diffusion «Les itinéraires BIS du Mégaphone Tour».

    Le Mégaphone Tour est à la fois un OUTIL DE PROFESSIONNALISATION participant au dé- veloppement de projets de création musicale au niveau national mais aussi une AVENTURE HUMAINE DE PROXIMITÉ.

    Au programme : 

    JUDAH WARSKY | parrain

    Judah Warsky joue en solo quand il ne tient pas les claviers du groupe kraut-rock Turzi ou produit l’album de Thos Henley.
    Il créé une musique hybride basée sur un mélange spacio-temporel qui s’opère à travers une poésie parfois un peu mélancolique. Il est l’auteur de 2 albums solo «Painkillers & Alcohol» et «Bruxelles». Son dernier EP, Seul, a été réalisé en collaboration avec Flavien Ber- ger et propose des morceaux qui parlent de sollitude, mais aussi de non-sollitude et de gros trips. Son prochain album solo sortira en janvier 2018 chez Pan European Recording.

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    DANI TERREUR

    Magnétique et passionné sur scène, Dani Terreur se transforme en chasseur de sons en studio, traquant les mélodies fortes, les harmonies chaudes et électriques, en quête d’un groove qui oscille entre turbulences synthétiques et cristallines.

    Tapi dans la pénombre, il attrape tout ce qui passe à sa por- tée de jour comme de nuit, a n d’aller chercher dans des mélo- dies accrocheuses, habillées de sons électroniques et d’éner- gie électrique, cette magie qui vous attrape et ne nous quitte plus.

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    SIAU

    SiAu, c’est l’aboutissement de chemins parcourus, de tentatives, d’envies. Accompagné de claviers et de samplers, Simon chante des mélodies aériennes, Tressy est aux machines, synthés et choeurs.

    Les textes des chansons sont sombres et mélancoliques tandis que la musique lumineuse emporte, plonge dans un univers délicat et onirique.
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    U.STONE (Analog dub-jungle-dubstep live)

    De l’hybrid french dub profond au dubwise-drum&bass dancefloor, en passant par les vibrations du dubstep, la musique de U.Stone ne se fixe pas de limite. 
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    Vendredi 24 novembre à 20h30 : Les Flots Bleus
    Lac du Carla Bayle, 09130 Carla-Bayle
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  • Bordes sur Arize, « Hommes et femmes antimilitaristes et antipatriotes dans l’Europe d’avant-guerre » – 24 novembre

    Bordes sur Arize, « Hommes et femmes antimilitaristes et antipatriotes dans l’Europe d’avant-guerre » – 24 novembre

    La prochaine séance PUPAL aura lieu le vendredi 24 Novembre, à 20 h, à l’Espace culturel des Bordes sur Arize avec Marion Gary sur le thème : « Hommes et femmes antimilitaristes et antipatriotes dans l’Europe d’avant-guerre (1870-1914) » 1ère partie.

    Dans le contexte actuel d’état d’urgence, d’appel à « l’Union sacrée » pour mener la « guerre au terrorisme », de nouvelle course aux armements au niveau mondial, d’unanimité de la classe politique dans sa volonté de porter à 2% du PIB le budget de la défense pour mieux participer à « l’effort de guerre », ce premier cours reviendra sur la période historique de l’avant-première guerre mondiale – de la répression de la Commune de Paris à l’entrée en guerre en 1914 –. 

    Nous montrerons comment, durant cette période, face au développement des impérialismes occidentaux, d’un militarisme agressif et d’un patriotisme exacerbé, des mouvements ouvriers et révolutionnaires ont su opposer une vive résistance, inventer un antimilitarisme révolutionnaire, établir une critique radicale de la guerre et du capitalisme. A rebours de l’historiographie officielle, nous reviendrons sur des faits historiques marquants de la période contemporaine, pour tenter à la fois de mieux comprendre le développement du système de production capitaliste et de rendre vivante l’histoire de celles et ceux qui s’y sont opposés, en France et ailleurs.

    Pour celles et ceux qui voudront approfondir le sujet, cette première conférence sera suivie d’un atelier de lecture collective de textes portant sur la période étudiée. La participation à cet atelier nécessite de s’inscrire auprès de la PUPAL. Le nombre de personnes est limité à 15. Lieu : Les Bordes sur Arize.

    L’intervenante : Ex-enseignante, diplômée de la faculté d’histoire de l’Université du Mirail à Toulouse, Marion Gary se passionne pour l’histoire des luttes sociales, l’histoire des femmes, ainsi que celle, entre autres, des mouvements ouvriers et révolutionnaires.

    Visitez le blog : pupal09.blogspot.fr  avec tout le programme du 2ème semestre 2017 de la PUPAL et la page Facebook : Pupal Arize-Lèze

    Celles et ceux qui le souhaitent pourront renouveler leur cotisation annuelle (ou adhérer pour la première fois) 10 €, adhésion non obligatoire.