Catégorie : Pamiers Basse-Ariège

  • De l’origine des temps jusqu’à demain, plongez dans l’univers d’Xploria

    De l’origine des temps jusqu’à demain, plongez dans l’univers d’Xploria

    Depuis 3 saisons, ce sont près de 25 000 visiteurs qui ont parcouru les 3 hectares de forêt sur un sentier d’interprétation ludique et pédagogique à la découverte de nos origines et de la biodiversité.

    Florent est spécialiste des techniques primitives mais aussi sculpteur, illustrateur et animateur. Charlotte est anthropologue de formation et ethnobotaniste. Deux passionnés aux compétences complémentaires qui permettent de travailler en « circuit court » à l’intérieur de la structure.

    2 km de sentiers sur lesquels on peut découvrir : les premiers organismes, les premiers animaux, la sortie de l’eau, les premiers et les derniers dinosaures, les premiers hommes… des sculptures grandeur nature, des illustrations, des vitrines tactiles (collection de véritables fossiles à toucher et moulages de haute qualité), des ateliers de fouilles paléontologique…

    Ce sentier est divisé en différents espaces consacrés à des périodes spécifiques de l’évolution (carbonifère, jurassique, paléolithique, etc.) et aménagés avec des contenus interactifs de manière à créer des parcs dans le parc.

    Enfants, parents, grands-parents, enseignants, curieux, passionnés… c’est à tout ce public que Florent et Charlotte veulent s’adresser et offrir une expérience unique.

    Xploria ouvrira ses portes le 2 avril 2016

    Qui n’a jamais rêvé de voir
    sous l’eau sans se mouiller ?

    En ce moment, Xploria La forêt à explorer le temps participe à un concours pour gagner la réalisation d’un de ses projets les plus fous !!! Une MARE PÉDAGOGIQUE VITRÉE, dont le financement peut être réalisé par la fondation Aviva.

    Le projet de MARE PÉDAGOGIQUE VITRÉE est unique dans la région, il permettra de faire découvrir la richesse et l’importance des écosystèmes du territoire. Ce sera un outil aux possibilités inédites pour observer et comprendre dans des conditions optimum l’extraordinaire richesse de nos biotopes, pour comprendre la biodiversité et réaliser des centaines d’animations… Voter pour le projet

    Xploria – Castagnès
    Route de Sabarat
    09 290 Le Mas-d’Azil
    05 61 60 03 69
    xploria.com

    florentrivere.blogspot.fr

     

  • Saint Martin d’Oydes : sur les routes en Ariège

    Saint Martin d’Oydes : sur les routes en Ariège

    ST-MARTIN-OYDES_ariege

     

    Saint-Martin d’Oydes se situe dans la vallée de Latou au milieu des coteaux du Terrefort à proximité de Pamiers. C’est un ancien village fortifié. Ses maisons sont groupées en anneaux autour de son église, « Était proscrit de faire usage de ses armes dans un rayon de quelques mètres autour de l’église« .

    Au Moyen Age il était entouré d’un fossé, comblé au XIXème siècle, et aucune porte ne permettait d’y entrer.

    L’église du IXème siècle est dédiée à un moine bénédictin, Saint Anasthase qui, selon la légende, passant dans la région s’y arrêtât pour soigner les victimes d’une épidémie de peste. Il tomba à son tour malade à Saint-Martin d’Oydes où le diable lui promit sa guérison contre une écuelle de son sang. L’écuelle étant percée, Saint Anasthase se vida de son sang mais il eut la force de prendre son bâton et de le jeter sur le diable qui prit la fuite.

    En 1568, les protestants dévastent la région et arrivent à Saint-Martin : le tombeau de saint Anastase qui y était vénéré est détruit en 1574.

    Le château seigneurial, situé hors de l’enceinte du village, est du XIIème siècle. Ce fut une forteresse jusqu’à la Révolution. C’est aujourd’hui une propriété privée où Mr Tony Blair, Premier Ministre britanique, est venu passer ses vacances d’été.

    sources : wikipedia / www.photosariege.com / www.histariege.com

  • Les Dolmens du Mas d’Azil

    Les Dolmens du Mas d’Azil

    Dolmen du Cap del Puech Vallée de l'Arize jp.pomies@wanadoo.fr 2011
    Dolmen du Cap del Puech Vallée de l’Arize jp.pomies@wanadoo.fr 2011

    Les dolmens européens ont été construits entre la fin du Ve millénaire av. J.-C. et la fin du IIIe millénaire av. J.-C.

    En Ariège, une quinzaine de dolmens ont été recensés. Onze se situent sur le canton du Mas-d’Azil.

    Tous semblables par leur architecture, ils diffèrent de part leur taille et leur implantation. Quasiment tous fouillés, ils ont révélé un nombre important d’ossements humains mais également des matériaux divers qui permettent de les dater (âge du bronze, c’est-à-dire fin de l’époque Néolithique) et qui fournissent des indications précises sur les rites funéraires de cette période.

    Le dolmen du Cap Del Pouech est situé, comme son nom l’indique, sur un lieu élevé. Il est formé de 5 pierres : quatre verticales soutenant une grande dalle. La fouille de ce dolmen a été effectuée par l’Abbé Pouech au milieu du XIXème siècle : il y a retrouvé de nombreux ossements humains.

     Le dolmen de Brillaud est aussi appelé Pierre St Martin. Situé à 564 mètres d’altitude, il est le plus élevé. Sommairement fouillé en 1864 puis, plus récemment, on y a retrouvé 535 dents humaines dont notamment la dentition entière d’un enfant.

     Le dolmen de Couminge était, quant à lui, complètement en ruine. Une équipe de Sapeurs Pompiers de Pamiers, en 1989, a contribué à sa restauration (ils possédaient, en effet, le matériel adéquat pour transporter et soulever ces blocs de pierre) Il est composé de deux pierres verticales supportant une impressionnante dalle dont le poids est estimé à plusieurs tonnes.

    Le dolmen du Peyré à Sabarat possède une dalle latérale méridionale effondrée et une dalle de couverture (3.20 x 2.50 x 0.58 m) toujours soutenue par les deux dalles latérales (longueur totale 2.90 m, hauteur 1.10 m) et par la dalle de chevet.
    Suite à des fouilles il a été découvert des haches polies, des ciseaux, des couteaux polis, des meules, des percuteurs, des burins, des grattoirs. A environ 600 m, a été découverte « la cachette du Peyré » contenant boucles, rouelles, tubes en spirales et des objets en bronze indéterminés.

    Les dolmens de Brillaud, de Couminge et du Cap del Pouech se trouvent sur le parcours de la randonnée: la boucle de la Quère.

    Sources :
    www.tourisme-arize-leze.com
    www.photosariege.com
    www.ariegepyrenees.com

  • « Cent centimètres carrés IV » du 12 dec 2015 au 21 fev 2016

    « Cent centimètres carrés IV » du 12 dec 2015 au 21 fev 2016

    Cent centimètres carrés IV Ariège Pyrénées

    Près de 200 artistes investissent la Galerie du Philosophe avec plus de 2 500 oeuvres !

    La variété des médiums est à elle seule étonnante : peintures, gravures, dessins, photos, reliefs, micro-installations… Toutes les tendances contemporaines et modernes sont représentées, de l’abstraction au street art en passant par les arts singuliers, l’art brut, l’arte povera, le minimalisme, le néo-cubisme, post-symbolisme, le néo- expressionnisme…

    Cette année, cette exposition aura lieu simultanément à Sarlat-la-Canéda en Dordogne du 18 Décembre 2015 au 3 janvier 2016 à L’Ancien Evêché pour l’exposition des Hivernales.

    Comme pour les précédentes éditions, l’objectif général de cette exposition est de mettre en avant la créativité, l’originalité et la qualité artistique, en jouant avec la contrainte unique du format : un carré de 10 centimètres de côtéOn ne pouvait donc espérer panorama plus vaste des arts plastiques actuels, de belles surprises en perspective.

    Vernissage le 12 décembre à 18 h

    Du 12 décembre 2015 au 21 février 2016, 14 h 00 à 18 h 00 sauf Lundi.
    Galerie du Philosophe / Place de l’Europe / 09130 Carla-Bayle / 05 67 44 18 01

  • Les Pujols, sur les routes de l’Ariège

    Les Pujols, sur les routes de l’Ariège

    Sur les routes de l’Ariège, Rieucros Ariège Pyrénées

    Lors de la Guerre de Cent Ans, le bourg et plus précisément son château (aujourd’hui disparu) fut le camp de routiers qui saccagèrent les alentours. La ville est reprise par Arnoul d’Audrehem, alors maréchal de France, en 1363. Il la remet au seigneur de Mirepoix, sans omettre de lui faire payer les frais de guerre, et surtout de lui imposer une amende pour ne pas avoir défendu le pays.

    Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, on fabriquait aux Pujols des tuiles et des briques.

    Patrimoine 

    Église fortifiée Saint-Blaise

    Les Pujols (Ariège)-clocher église.jpg

    Le mur-clocher, couronné de 9 créneaux, date de 1333. Le portail de l’église (sur un côté de l’édifice) remonte lui aussi au XIVe siècle (antérieur à 1350). Il est de grès rouge, à trois archivoltes en arc brisé. On y lit cette inscription : « Renaud IV de Pons, gendre du duc de Lévis (1296-1335) ». Sont également visibles les armes du consulat des Pujols et l’écusson de Renaud IV de Pons (dit Rudel) qui avait édifié le clocher à la fin du XIIIe siècle. Ce portail daterait d’un sanctuaire antérieur (qui fut pillé et incendié par les bandouliers en 1293).

    L’église en elle-même date de la fin du XIIIe ou du début du XIVe siècle.

     

    Fontaine réalisée en 1893 par l’architecte Émile Sauret (qui a entre autres réalisé les fontaines-lavoirs de La Bastide-de-Lordat, Saint-Amadou et Saint-Paul-de-Jarrat)

    armorial Pujols Ariège PyrénéesArmorial – (Réalisation: Y.A. Cros du Cercle Généalogique de Languedoc)

     

     

     

     

     

    De nos jours, le village possède un aérodrome. Créé en 1976, il forme pilotes, voltigeurs, parachutistes, et est le lieu de construction amateur. Cet aérodrome est géré par la Chambre de commerce et d’industrie de l’Ariège.

    Sources :
    www.histariege.com/
    fr.wikipedia.org

  • Les vendanges au Domaine du Sabarthès

    Les vendanges au Domaine du Sabarthès

    L’histoire commence en 1997 avec l’association « Les Vignerons Ariègeois » et par la volonté de 4 producteurs de vin. Les premières plantations débutent en 1998, leur succède alors la construction de 2 chais de vinification.

    C’est donc à Montégut Plantaurel, où se trouve le chais, que nous nous sommes rendus pour assister au dernier jour de vendanges. Une équipe d’une vingtaine de vendangeurs est à pied d’oeuvre depuis un mois. Elles ont commencées le 7 septembre par les blancs et se termine ce 7 octobre par le Cabernet Sauvignon. Ici pas de machine, la vendange se fait à la main et est transportée dans des caissettes.

    La vendange est alors transportée en camion, déposée sur une plate-forme puis « éraflée » c’est à dire que l’on sépare les grains de raisin de la rafle (la charpente de la grappe). Elle est ensuite recueillie dans un cuvon de transfert, pour être acheminée vers la cuve où elle est déversée par un système gravitaire. «L’idée, c’est de tout faire par gravité afin de préserver au maximum l’intégrité du raisin sans le brusquer» explique Robert Lala l’oenologue. C’est dans ces cuves que ce fait la sélection par cépages et par parcelles.

    Pour ce vin de qualité, plusieurs cépages on été sélectionnés, des cépages classiques du sud-ouest :

    Merlot, Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, Tannat utilisé dans les vin de Madiran, un peu de Syrah pour les rouges.

    Chardonnay, Chenin, Sauvignon gris et Sauvignon blanc pour les blancs. Un hectare de petit manseng, le cépage à la base des vins de Jurançon a été planté l’année dernière. Il n’est pas encore en production.

    Après quatre années difficiles, la vendange 2015 promet d’être de très bonne qualité assurent Jean-Louis Thouet, chef de culture et Robert Lala.

    En 2013 les vins du Domaines du Sabarthès ce sont vu attribuer le label IGP (Indication Géographique Protégée) une belle récompense en attendant, pourquoi pas, le label AOP.

    Bien qu’en Ariège nous ayons des vins de qualité, nous nous devons de vous rappeler que « l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération« 

    www.lesterroirsduplantaurel.com

  • Sur les routes de l’Ariège, Montaut

    Sur les routes de l’Ariège, Montaut

    MONTAUT Ariège Pyrénées

    Le cœur du village est fortifié, l’accès se faisant à l’origine par un porche récemment rénové. Le 28 novembre 1632, Louis XIII signe la démolition du château (réalisée par Galinier, capitaine, en 1635) : il n’en reste aujourd’hui que quelques ruines

    En 1002, le château de Montaut a été désigné dans le testament de Roger 1er le Vieux, comte de Carcassonne. Il passera donc dans les biens de ce qui devient le Comté de Foix.

    En 1243 la seigneurie appartient à Loup de Foix-Rabat. En 1272 ce dernier verra son château de Montaut mis sous séquestre pour une dette au comte d’Empurias

    Pendant la guerre des Albigeois, la commune de Montaut, qui portait le titre de baronnie, fut prise par Simon de Montfort, chef des croisés. Elle était Encore assiégé, en 1399, par le comte de Sancerre.

    En 1390, Montaut faisait partie du paréage de Mirepoix et du roi de France. C’est donc une des 32 seigneuries de Mirepoix. Des biens temporels appartiennent aux Prémontrés de Combelongue et aux cisterciens de l’abbaye de Boulbonne toute proche.

    L’église au clocher octogonal est dédiée à saint Michel date du XVè siècle. L’une de ses chapelles renferme les reliques de saint Eudoce, centurion romain martyr. La cloche date de 1533. On y trouve un orgue mécanisé à l’aide de rouleaux pointés exécuté vers 1830-1840 et protégé le 13 septembre 1982.

    Blason Montaut Ariège PyrénéesSon blasonnement est : Écartelé : au 1, de gueules à trois pals d’or ; au 2, d’azur, à un monde d’argent ; au 3, d’or, à un château de gueules et au 4 d’argent, à deux vaches passantes de sable posées l’une sur l’autre.

  • Sur les routes de l’Ariège, Saint-Amadou

    Sur les routes de l’Ariège, Saint-Amadou

    Saint Amadou  Ariège Pyrénées

    En 960-70, et jusqu’au 13e siècle, la paroisse de Saint-Amadou dépend du temporel de l’évêché de Toulouse. Le premier paréage connu pour Saint-Amadou est passé en 1230 entre l’abbé de Saint-Antonin de Pamiers (seigneur ecclésiastique) et Bertrand de Belpech (seigneur laïc).

    En 1250, un acte de partage désigne Saint-Amadou et la moitié de Ludiès parmi les possessions de Aycard, seigneur de Belpech, Trémoulet et La Bastide (l’autre moitié étant détenue par l’abbaye Saint-Antonin). La commune appartenait aux localités détenues en commun, au 13e siècle, par l’abbaye Saint-Antonin et l’évêque de Pamiers, comprises dans les fiefs du Comte de Foix et rappelées dans le paréage de 1308

    Ces communes sont placées dès lors sous tutelle royale et représentées par la viguerie royale des Allemans. Cette tutelle perdurera jusqu’à la Révolution pour certaines communes seulement, dont Saint-Amadou.

    Saint-Amadou est un exemple parmi d’autres de l’enchevêtrement des droits liés aux co-seigneuries : les Rigaud de Vaudreuil, hormis leur seigneurie de Trémoulet et le quart du Carlaret, étaient co-seigneurs par moitié de Ludiès et Saint-Amadou, l’autre moitié appartenant en indivision au roi et à l’Evêque de Pamiers. En 1683, il y avait encore des co-seigneurs fonciers qui levaient des redevances sur les terres, prés, vignes et jardins mais il n’y avait pas de banalité. Il est fait mention d’un consul de Saint-Amadou lors des obsèques de l’évêque Henri-Gaston de Lévis.

    Au début du XXème siècle (réf: Annuaire de 1909), un instituteur et une institutrice y exercent, ainsi qu’un curé. Autres professions mentionnées : un afficheur, un agent d’assurances, deux aubergistes, deux bouchers, un boulanger, trois cafés; un charpentier, deux charrons, deux cordonniers, quatre épiciers, trois forgerons, un sabotier, un débitant de tabac et un tailleur d’habits.

    La voie ferrée Moulin-Neuf à Pamiers (33 km) desservait les gares de Moulin-Neuf, Mirepoix, Coutens, Rieucros, Les Pujols, Saint Amadou, Le Carlaret. La station de chemin de fer y est dite « halte avec bagages« 

    Source : www.histariege.com/saint_amadou / patrimoines.midipyrenees.fr

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    Blason_Saint-Amadou_(Ariège).svg« Blason Saint-Amadou (Ariège) » D’or à un écusson d’azur par BastienM. Sous licence CC BY-SA 3.0 via Wikimedia Commons – commons.wikimedia.org


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    Lieux et monuments

    • Église des XIIIe et XVIIIe siècles, au clocher fortifié, elle possède 3 cloches dont une date du XVIe siècle
    • Lavoir couvert et fontaine de 1897 ou 1899
    • Ensemble de bassins, fontaines et lavoirs du XIXe siècle restauré en 2007
    • Point de passage du chemin de Saint-Jacques de Compostelle
  • Sur les routes de l’Ariège  – La Bastide de Lordat

    Sur les routes de l’Ariège – La Bastide de Lordat

    La Bastide de Lordat Ariège Pyrénées

    La bastide fut fondée, antérieurement à 1250, sous la suzeraineté des évêques de Toulouse, par les seigneurs de Belpech

    Elle sera nommée sans un premier temps de la « Bastide de Cazenave », Hugues de Belpech ayant vendu sa seigneurie, le 13 mai 1416, à Hugues II de Lordat, dit  seigneur de Cazenave.

    Nommée ensuite « La Bastide de Gardenoux », elle prendra son nom définitif par l’acte législatifs an VIII et an X

    Anecdote :

    Lors du début de la seconde guerre mondiale (printemps 1940),  La Bastide de Lordat a été pressenti avec des communes alentours pour être un dépôt d’obus et d’explosifs avec centrales électriques, voie ferrée avec gare de triage etc… Le montant des travaux était estimé à 140 millions de Frs et les délais de 10 mois (Lettre du Ministère de l’Intérieur au préfet de l’Ariège, le 5 avril 1940 le projet fut abandonné..

    A voir :

    Église dédiée à St Etienne
    La fontaine (1912)

    En savoir +  : http://www.histariege.com/la_bastide_de_lordat.htm

    blason bastide lordatSon blasonnement est : D’or à un chevron rompu de sable.

  • La Commune du Carla Bayle lance son marché hebdomadaire estival du dimanche matin.

    La Commune du Carla Bayle lance son marché hebdomadaire estival du dimanche matin.

    La Commune du Carla Bayle lance son marché hebdomadaire estival du dimanche matin.

    Tous les dimanches matin, place de l’Europe, dans le cadre d’un panorama exceptionnel, entourés de galeries d’artistes, producteurs, artisans et commerçants proposeront leurs produits aux consommateurs, habitants, résidents secondaires, et touristes…

    Plus d’une dizaine d’exposants seront présents dès le lancement du marché, proposant une offre riche et diversifiée, dont la majorité issue d’une production locale : légumes, viandes bio, fromages fermiers bio et artisanaux, charcuteries, miel bio, biscuits bio, chocolats bio, artisanat d’art (poteries, fabrication artisanale de chaussures en cuir…

    Pour cette première, le marché sera égayé par les animations organisées par la Confrérie de l’Escargot Ariégeois.

    L’inauguration officielle du marché se tiendra quant à elle le dimanche suivant, 5 juillet, avec un vin d’honneur et apéritif offert par la Mairie du Carla Bayle, à 11h, mettant à l’honneur les produits du marché

    Tous les consommateurs intéressés sont ainsi invités à venir partager ce moment de détente et de convivialité, et découvrir la richesse et la diversité des produits locaux commercialisés lors du marché.

    Contact et renseignements :
    Mairie du Carla Bayle
    Tél : 05 61 68 51 32
    Courriel : carla.bayle@wanadoo.fr

  • La Calandreta fête ses 20 ans le 20 juin à Pamiers

    La Calandreta fête ses 20 ans le 20 juin à Pamiers

    Une journée d’échanges festifs et de joyeuses retrouvailles avec les anciens calandrons (élèves), qui pour l’occasion retrouveront leur langue d’Oc, ouvert à tous les curieux et amis. Le 20 juin à partir de 14h00 – Salle Fernan – Pamiers

    La calandreta Ariège Pyrénées

    [info]Au Programme :

    À partir de 14h : Ouverture, dictée occitane, suivie de nombreuses animations gratuites pour petits et grands (ateliers danses, chants, jeux en bois, exposition…) tout l’après-midi.

    18h Pot inaugural des 20 ans,

    19h Apéritif en musique avec Bibilik

    21h30 MAURESCA
    Mauresca vendange à pleines mains dans le Hip Hop ou le Reggae, sans modération, les machines distillent le groove et les cuves débordent de textes vivants et acérés où l’occitan déploie sa verve et son originalité[/info]

    Toutes les animations sont libres et gratuites jusqu’à 21h – 

    Bar et restauration à l’assiette au choix : 8€ plat principal et 2€ pour le fromage ou le dessert

    L’ occitan est une langue vivante, jeune, musicale et créative ! C’est ce que la Calandreta veut transmettre en accueillant le groupe: MAURESCA

    Pour eux, la musique est avant tout une aventure collective, une « coopérative » où la rime et le rythme tournent à plein régime, les machines distillent le groove et les cuves débordent de textes vivants et acérés où l’occitan déploie sa verve et son originalité. 10 ans de scènes et 4 albums, Mauresca vendange à pleines mains dans le Hip Hop ou le Reggae, sans modération.

    Tarifs Concert: 10€ / 8€ pour les 13-20 ans / gratuit pour les moins de 12 ans

    L’organisation de cette fête est le résultat d’une collaboration entre plusieurs associations : La Calandreta, La Lauseta, Le cercle occitan Prosper Estiu, Association Padènes compagnie.

    “Calandreta del pais de Pàmias” &
    “Association La Lauseta”
    11 rue Henri Fabre
    09100 Pamiers
  • Sur les routes de l’Ariège, Lissac

    Sur les routes de l’Ariège, Lissac

    Lissa Ariège Pyrénées

    Lissac est un petit village de 165 habitants situé au Nord du département, la commune est  limitrophe au département de la Haute-Garonne. Ses habitants sont les Lissacois.

    Les terres de la commune s’étendent sur le plateau de la première terrasse et surtout dans la plaine alluviale fertile de l’Ariège

    Selon Henri Castillon d’Aspet : « L’abbaye de Boulbonne contribua, vers la fin du XIIéme et au commencement du suivant, à la fondation de divers monastères, entre autres à l’abbaye de Valnègre ou Valnare, destinée à des filles de l’ordre de Cîteaux, près du lieu de Lissac, dans le comté de Foix, dépendant plus tard du diocèse de Rieux. Guillaume de Lissac, chevalier, en fut le principal fondateur, en 1209 ; et, c’est par suite des guerres, qu’elle fut, en 1442, unie à celle de Boulbonne, dont elle avait toujours suivi la règle ».

    Quant à la paroisse de Lissac (« Lissacum »), elle dépendait pour le temporel de Foix et mise sous le patronage de l’abbé de  St Sernin de Toulouse : vers 1060, l’église St Jean de Lissac est donnée par Raymond de Marliac et Pons Willem à St Sernin.

    patrimoine 

    Château médiéval, construit sur la colline, dont il ne reste aucun vestige

    L’église Saint-Jean, construite sur les vestiges d’une chapelle du XIe siècle, dont la façade a été entièrement construite en briques rouges On retrouve des traces de l’histoire de l’église de Saint Jean de Lissac dès le XI ème siècle. Elle fut cédée plusieurs fois à l’église Saint-Sernin suivant les aléas des conquêtes.

    Château du XVIIe siècle

    lissac - copieArmorial : (Réalisation: Y.A. Cros du Cercle Généalogique de Languedoc)

     

     

     

    http://www.histariege.com/lissac.htm

    http://isaisons.free.fr/Lissac.htm