Catégorie : Villes et villages

  • Lavelanet : Les jardins partagés, un projet solidaire pour renforcer le lien social

    Lavelanet : Les jardins partagés, un projet solidaire pour renforcer le lien social

    C’est le jeudi 30 mars qu’une trentaine de personnes se sont réunies à Lavelanet, au lieu-dit « Prairie de Madame , pour l’attribution des parcelles des jardins partagés.

    Sur un terrain de 3.041m2 divisé en parcelles de 80 ou 40 m2, la municipalité donne l’opportunité aux Lavelanétiens d’accéder au jardinage, de produire leurs propres fruits et légumes  et d’avoir un espace vert dédié.

    Le terrain est équipé de bacs surélevés pour les personnes à mobilité réduite, de cabanes, d’un cabanon – qui permettra aux usagers d‘organiser des animations –  et de toilettes sèches. La maîtrise des consommations d‘eau et de traitements phytosanitaires entre aussi dans le projet afin de respecter l’environnement.

    Pour Myriam Léonard, première adjointe et vice-présidente du CCAS l’objectif principal est de « renforcer le lien social et encourager l’activité de jardinage sans laquelle les bénéficiaires de ces parcelles ne pourraient avoir accès ». « Le jardinage pourra favoriser la solidarité, la convivialité, la mixité sociale et intergénérationnelle » ajoute t’elle.

    Marc Sanchez, après avoir salué le travail des techniciens et des élus du CCAS, dont Myriam Léonard et Raymond Lorca, a remercié Philippe Ferkatadji, le président de l’association des usagers « Prairie de Madame ». Ce dernier a annoncé l’attribution d’une subvention de 500€ par le CCAS, et une autre du CIC de 300€, la banque devant également offrir des graines à l’association.

    Ce jeudi 30 mars c’est un framboisier jaune qui a été planté par Isaura et Jean-Philippe.

    Les personnes intéressées par l’attribution d’une parcelle peuvent encore s‘inscrire à la mairie, auprès de Pascale Fernandez au : 05 61 01 53 70. Pour info, la redevance annuelle à verser à la mairie est de 20€ pour 80m2, et de 10€ pour 40m2. Une cotisation annuelle de 10€ à l’association a été validée par ses membres.

    Sources : Mairie de Lavelanet

  • Ustou, sur les routes en Ariège

    Ustou, sur les routes en Ariège

    Ustou, Uston en occitan, se situe dans le Haut-Couserans et dans le canton d’Oust entre les vallées du Garbet (Aulus-les-Bains) et du Haut-Salat (Salau)

    La commune s’étale tout le long de la vallée, frontalière avec l’Espagne, et est composée de quelques villages (Saint-Lizier, Le Trein et Sérac), chacun ayant son église et son cimetière, ainsi que de multiples hameaux (Escots, Bieille…) et sur les hauteurs la station de ski de Guzet. La vallée se termine par le cirque de Cagateille, deuxième cirque des Pyrénées après Gavarnie.

    Les premières traces d’occupation de la vallée datent du Néolithique : des archéologues amateurs ont signalé avoir trouvé, près de l’entrée de la grotte de Font Sainte et d’une autre anfractuosité située de l’autre côté de la rivière, des outils taillés et des ossements enfouis, indiquant une occupation humaine continue depuis au moins 2000 ans.

    La vallée fut maintes fois pillée et envahie jusqu’au XVIIIème siècle où les Miquelets incendièrent le château du Trein et emmenèrent le seigneur du lieu avant de le libérer contre rançon.

    Plus tard, la « Guerre des Demoiselles » a éclaté entre les habitants et les propriétaires qui s’étaient accaparé les forêts pour alimenter les forges. Des mines ont été exploitées dans la montagne, notamment vers Ossèse, Cagateille et Carboire où le dernier puits (tungstène, plomb argentifère) a fermé en 1953.

    La vallée d’Ustou était surtout connue au XIXème  siècle pour ses montreurs d’ours ainsi que ses colporteurs.

    Patrimoine : Châteaux de Mirabat et de la Garde

    Sources : wikipédia

  • Maison d’accueil pour les mamans à l’Hospitalet, « Que la Montagne est Rebelle » lance une pétition

    Maison d’accueil pour les mamans à l’Hospitalet, « Que la Montagne est Rebelle » lance une pétition

    Voilà six ans que le collectif « Que la Montagne est rebelle » cherche et trouve des solutions pour sauver la vie des villages de montagne.

    Le projet actuel de création d’une maison d’accueil pour les mamans en difficulté à l’Hospitalet est très avancé à ce jour mais n’est pas encore complètement validé par l’Etat.

    Le 12 décembre dernier, le collectif avait décidé d’interpeler le Premier Ministre par une Lettre ouverte lors de sa venue à Ax-les-Thermes (voir l’article).

    Aujourd’hui, afin d’obtenir la signature de Madame la Ministre Emmanuelle Cosse pour que le projet de création d’une maison d’accueil pour les mamans célibataires en difficulté voit le jour, Que la Montagne est Rebelle lance la signature d’une pétition.

    «Le temps presse ! Ce sont des mères et leurs enfants qui attendent un accueil. Ce sont des habitants solidaires et un territoire à revitaliser qui sollicitent un soutien. Plus qu’un projet, c’est un symbole d’innovation sociale dans un territoire rural de montagne.

    Pour l’avenir de nos territoires, Que vive notre montagne rebelle et solidaire !»

    Pour lire et signer la pétition : www.change.org

    Source : Que la Montagne est rebelle 

     

  • Le Comité de Défense du Patrimoine Appaméen monte au créneau pour sauver la place Milliane

    Le Comité de Défense du Patrimoine Appaméen monte au créneau pour sauver la place Milliane

    Le Comité de Défense du Patrimoine Appaméen est né de la rencontre d’appaméens scandalisés de voir que l’équipe municipale en place avait formé le projet de vendre une partie de la place Milliane à un opérateur privé, le propriétaire du cinéma Le Rex, pour y construire un cinéma multiplex. Apolitique, le comité s’engage à veiller au respect et à la valorisation du patrimoine de la ville de Pamiers.

    Pourquoi ce comité 

    A Pamiers, des bruits courent, la construction d’un cinéma multiplex sur la zone Gabriella, puis à Verniolle, puis en bordure de place Milliane, puis, plus rien, calme plat. Puis, lors d’un conseil municipal, des appaméens découvrent qu’une partie de la place Milliane va être déclassée pour devenir vendable.

    Lors de ce conseil, le groupe d’opposition d’Alain Faure a voté pour ce projet, il ne restait que le groupe d’opposition de Michel Teychenné et Bernadette Subra pour s’y opposer, sans possibilité de contrecarrer la décision du groupe majoritaire.

    C’est pourquoi des citoyens ont décidé de créer un Comité de Défense, afin de se pourvoir en recours gracieux contre cette décision… 

    Les actions engagées 

    Au départ cinq adhérents, leur première action a été de déposer une lettre d’opposition à la modification du PLU de la Place Milliane le 14 décembre dernier, sur le cahier dédié au service de l’urbanisme, intitulé : « révision générale du PLU« .  Au service de l’urbanisme, on affirme que ce cahier est régulièrement visité par les élus et le maire et que, temps que l’enquête publique n’est pas lancée par la mairie, il ne peut y avoir d’autre action… 

    Un flou artistique existe toujours sur la date d’ouverture de cette enquête : début mars, des personnes du comité se rendent au service de l’urbanisme : personne n’est au courant de cette date de début d’enquête publique où tous et toutes pourrons donner notre avis sur le projet…, ce serait entre le 14 avril et le 29 mai…

    L’association historique et archéologique de Pamiers a de son côté, envoyé une lettre au Maire de Pamiers, et d’autres associations et particuliers ont aussi alerté la mairie de leurs désaccord…

    Deuxième action : une pétition contre la modification du PLU de la Place Milliane. (La modification du PLU autoriserait la vente d’environ la moitié de la place – une diagonale de Gamm vert à l’extremité du cimetière – et épargnerait seulement sa partie est, classée pour la fontaine Natanaelle et la vue sur le cimetière. Cette parcelle e 2700m2 pourrait donc être vendue  à un particulier…)

    Actuellement, le Comité de Défense du Patrimoine Appaméen compte une bonne vingtaine d’adhérents, dont des membres de l’association « Penser la ville de Pamiers »

    La pétition lancée sous forme papier il y a quelques semaines, et déjà largement signée, est maintenant en ligne sur la plateforme change.org et compte à ce jour 47 signataires.

    Une affaire à suivre ! 

    sources : Comité de Défense du Patrimoine Appaméen

  • Foix va tester l’extinction de son éclairage public en avril

    Foix va tester l’extinction de son éclairage public en avril

    La Ville de Foix va tester dans certaines rues l’extinction de l’éclairage public du 10 avril au 30 juin. A l’issue de ces trois mois, une réunion publique sera proposée pour faire un bilan de cette opération.

    Depuis plusieurs années, certaines villes testent ou mettent en oeuvre ce type de politique pour des raisons économiques ou écologiques. La ville de Foix a décidé de participer elle aussi à ce type d’opération.

    La lumière dans les villes a en effet un impact négatif sur la faune et la santé humaine ainsi qu’un coût énergétique non négligeable. Les conséquences de l’excès d’éclairage artificiel ne se limitent pas à la privation de l’observation du ciel étoilé. Elles sont aussi une source de perturbations pour les écosystèmes (modification du système proie-prédateur, perturbation des cycles de reproduction, perturbation des migrations…) et représentent un gaspillage énergétique considérable.

    Selon l’Ademe, les 11 millions de points lumineux qui constituent le parc d’éclairage public appellent une puissance d’environ 1300 MW, soit la puissance délivrée par une tranche nucléaire récente à pleine charge. L’éclairage public correspond à 41 % de la consommation d’électricité des communeset émet annuellement 670 000 tonnes de CO2.

    Près de 40% de la facture énergétique de Foix

    Pour la commune de Foix, l’éclairage public représente près de 40% de ses dépenses en électricité. Déjà 10 000 communes en France ont choisi de réduire l’éclairage public avec succès sans qu’il y ait un impact négatif sur la sécurité ou la circulation.

    C’est pourquoi la municipalité de Foix a décidé de procéder à titre expérimental dans certains quartiers, à l’extinction des lampadaires durant 3 mois.

     Les quartiers et zones concernées : 

    • Route de Toulouse (entre chemin de Berdoulet et le camping)
    • Avenue de Barcelone, chemin croix de Bouychères et rue pigeonnier
    • Avenue de Cadirac, rue Lfagette, rue et lotissement des Oustallous
    • Lotissement Belissens
    • Chemin et hameau de Mouragues, chemin du Peyrou
    • Lotissement de Caussou et fin e l’avenue de Roquefixade
  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » quatrième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » quatrième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne deux stickers Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook). 

    Pour participer laisser votre message avec votre adresse email et postale sur ce formulaire de contact ou sur notre page FaceBook

    Deux stickers Azinat à gagner pour le premier qui répondra correctement.

    Réponse la semaine prochaine avec un petit historique de l’endroit ou du thème de la photo.

    La dernière fois il s’agissait de la commune de Prayols

  • Prayols, sur les routes en Ariège

    Prayols, sur les routes en Ariège

    Petit village blotti entre la montagne et l’Ariège dans l’aire urbaine de Foix, Prayols tient son nom du mot moyenâgeux «Pradillolis» en référence la multitude de près entretenus sur son territoire. Il fait partie du Parc Naturel Régional des Pyrénées ariégeoises.

    Le village s’étend entre une vaste plaine nichée dans un méandre de la rivière et une  forêt de hêtres qui escalade la montagne, en pente abrupte, pour grimper vers les estives du  prat d’albis  jusqu’à 1.500 m d’altitude.

    Avec ses fontaines, ses lavoirs, son ruisseau, ses cascades, Prayols vit autour de l’eau, le système ancestral de déviation du ruisseau pour irriguer les prés en témoigne, il est d’ailleurs encore utilisé par les agriculteurs Prayolais.

    Patrimoine

    Église Notre-Dame-de-l’Assomption a été construite en 1876-1877, en partie sur l’ancienne église endommagée ainsi que le cimetière attenant, par une crue du Ruisseau.

     Le monument National des Guérilleros :

    Le 20 août 1944, un commando de guérilleros espagnols et de FTP a arrêté une colonne allemande à Prayols. Le récit de ce fait d’arme est à lire sur la page  Histariège – Prayols.
     L’Association « Prayols R.M.F. » oeuvre pour le souvenir de cette bataille et des combattants de la Résistance. Le Monument National des Guérilleros, inauguré en 1982 et visité par Mitterand et Felipe Gonzalez en 1994 lors d’un sommet franco-espagnol, rend hommage aux guérilleros espagnols ayant combattu pour la Libération de la France.

    Sources :
    http://www.prayols.fr
    www.photosariege.com
    www.histariege.com/prayols

     
  • Avec le Contrat de Territoire, c’est tout le Pays d’Olmes qui se redynamise

    Avec le Contrat de Territoire, c’est tout le Pays d’Olmes qui se redynamise

    Le contrat de territoire est né suite à la lauréatisation de Lavelanet du dispositif AMI (Appel à Manifestation d’Intérêt) Centre-bourg fin novembre 2014. Ce dispositif avait lauréates 54 projets émanent de communes et d’intercommunalités qui bénéficieront de 40 millions d’euros d’aides de l’État par an.

    Ce Contrat de territoire,lancé en juillet 2016, renforce toutes les initiatives portées par les différentes actions telles que : le TEPCV, la Maison des projets, le dispositif AIDER, le tourisme avec les « 4M » et workshop sur les friches industrielles. «L’idée étant de s’appuyer sur la même logique que les Contrats de ville, pour mobiliser, avoir un effet levier » soulignait Ronan Boillot alors secrétaire général de la préfecture, mettant en avant « l’occasion à saisir pour le Mirapicien et le Pays d’Olmes ».

    Après le diagnostic, le « portrait » du territoire effectué au cours de l’été, l’identification des points forts et des points faibles : emploi, scolarité, habitat, culture, lien social, sport, santé, sécurité…, les partenaires ont identifié trois volets qui permettront d’élaborer ce projet territorial : l’AMI centre-bourg permet de travailler sur l’habitat. Les dispositifs AIDER et TEP cv sur le tourisme. Il manquait la cohésion sociale. Maintenant tout le monde est mobilisé ; ce contrat de territoire assurera la cohérence de l’ensemble, au travers des 3 volets retenus : la cohésion sociale, le développement économique – emploi, et enfin, le cadre de vie.

    Ce mercredi 15 mars, Madame la Préfète, Marie Lajus, les organismes consulaires et les élus, étaient réunis en mairie de Lavelanet pour la signature du Contrat de territoire.

    « Il fallait relancer ce territoire » explique  la Préfète, «  pour que les fées accordent leurs baguettes magiques il fallait la méthode des contrats de ville : tout d’abord un diagnostic, ensuite une démarche commune, et enfin, la participation des habitants ».

    « Lavelanet et le Pays d’Olmes sont en mouvement, on est en train de construire » précise Marc Sanchez, maire de Lavelanet, et d’ajouter : «Il est à souhaiter, au travers de ces conventions et contrats, que des moyens financiers supplémentaires et exceptionnels, viendront appuyer tous les projets en cours, pour apporter une réponse à nos collectivités qui ont souffert, qui souffrent encore aujourd’hui, mais qui commencent à redresser la tête et redonne confiance à chacun d’entre nous, aux commerçants et à nos entreprises.»

     

  • La Bastide de Sérou, sur les routes de l’Ariège

    La Bastide de Sérou, sur les routes de l’Ariège

    Située dans le massif du Plantaurel entre Foix et Saint-Girons, La Bastide de Sérou fait partie du PNR des Pyrénées ariégeoises.

    Historiquement Pays des Serones, ancienne peuplade gauloise. Elle fut occupée un temps par les Romains attirés par la région pour l’abondance des gites métallifères. On trouve aussi des traces des Arabes, qui, refoulés vers les Pyrénées après leur échec de Poitiers, s’emparèrent de Foix en 732

    Au Moyen Âge, La Bastide-de-Sérou est chef-lieu de l’une des seize châtellenies du Comté de Foix. Des vestiges sont encore visibles (Amphores de Nescus, lac asséché d’Alzen, mines des Atiels, chemin gallo-romain vers Castelnau-Durban).

    En 1150, la Bastide-de-Sérou s’appelait Montesquieu (Mont Farouche) et était alors composée des quartiers Noir et de la Faurie. En 1246, Montesquieu devient la Bastide d’Antuzan.

    En 1252, la commune passe sous le régime de la charte de Roger IV de Foix qui remet en question le monopole des moulins et forges. La place retrouve son nom primitif et Roger IV l’entoura d’une enceinte de murailles avec quatre portes : la porte du Mas, la porte de Foix, la porte d’Arize et la porte de la Faurie.

    C’est au xive siècle que le bourg prend son nom actuel. Le château, mentionné en 1255, fut rasé sous ordre de Louis XIII. Il abritait une garnison du Comte de Foix, ainsi qu’une prison. Son imposante enceinte était suivie par des escoussières (chemin de ronde). La ville était encore enclose en 1672.

    A savoir :

    Lucien Lafont de Sentenac, directeur des haras de Cluny (années 1920) habitant à Estaniels (proche de La Bastide-de-Sérou) a réhabilité le cheval de Mérens comme cheval de compagnie.

    A voir :

    – Halle du 19éme (1830), avec ses trois mesures à grains en pierre (un hectolitre, un demi-hectolitre et un quart d’hectolitre) : construite sur l’emplacement d’anciennes halles (seconde moitié du XIIème siècle, incendiées en 1621, réparées en 1785), détruites au 19éme siècle qui comportaient 21 piliers.

    – Maisons anciennes à colombage (l’une d’elle remonte à 1645 ; les autres sont du 18éme)

    – Restes de fortifications (Voir étude de J. Baylé) ; Vestiges de remparts et des portes d’entrée ( qui étaient: Porte de Foix; Porte de la Faurie; Porte du Mas; Porte d’Arize) ; Ruines du château démoli au XVIIéme

    Château de La Bourdette (privé) : ayant appartenu à la famille de Morteau depuis le 17éme siècle, il est reconstruit au 19éme.

    – Ancien moulin à farine

    –  « Château de Bugnas » : construit au 17éme siècle sur des fondements datant du XIIème (privé)

    – Mine antique de cuivre gallo-romain au lieu-dit « Le Goutil ». Privé. M.H. : 20/04/1980

    – Tour du Loup : château du 13éme (mention en 1243). Privé. M.H. : 07/12/1994 (de la famille des comtes de Foix) : en cours de « restauration »…

    600px-Blason_ville_fr_La_Bastide-de-Sérou_(Ariège).svgBlason d’azur à une tour d’or sur une terrasse de sinople.

    Sources : fr.wikipedia.org / www.mairielabastidedeserou.fr / www.histariege.com

  • Des « boites à livre » dans les rues de Foix

    Des « boites à livre » dans les rues de Foix

    La municipalité de Foix avait le souhait d’animer le centre historique et le rendre plus agréable à vivre, notamment à travers d’actions culturelles. Dans la continuité de l’exposition de photos grands formats dans les rues de la ville, le projet « des livres et nous » se poursuit avec l’installation de boites à livres depuis le mois de janvier dans quelques endroits « stratégiques » de la ville.

    L’inauguration de la première boite à livres a eu lieu lundi 9 janvier dans le petit jardin « la Passéjade » près de la halle aux grains. Des livres sont laissés à disposition du public. Le fonds sera alimenté régulièrement par la bibliothèque grâce à des dons privés ou collectifs. Il y en a pour tous les âges. Chacun peut également y déposer les ouvrages qu’il souhaite partager. Un tri sera fait régulièrement pour éviter que l’on y trouve des livres inappropriés.

    D’autres boites, réalisées par les agents municipaux, vont être installées dans les semaines qui viennent comme au parc Bouychères par exemple. Cinq boites en tout qui  s’ajouteront aux 2 déjà mises en place par le secteur jeunesse Fajip, dans le quartier du Courbet et du Capitany. 

    Le projet « Des livres et nous » est organisé par la ville de Foix dans le cadre des 200 ans de la bibliothèque municipale et du programme POCTEFA*.  « Concerts sur place » des 26 et 27 août 2016 était la première action mise en œuvre dans le cadre de ce projet européen. Au vu du gros succès remporté par cette animation gratuite, elle devrait être reconduite cet été les 25 et 26 août 2017.

    Crédit photo : Mairie de Foix

  • Lavelanet a obtenu deux lauriers du label « Ville active et sportive »

    Lavelanet a obtenu deux lauriers du label « Ville active et sportive »

    Montpellier a accueilli les 7, 8 et 9 février, SportColl, le premier forum visant à accompagner les collectivités, les acteurs sportifs et le mouvement sportif. De la gestion des équipements aux dernières innovations exposées par les acteurs économiques de la filière sport, SportColl a présenté des solutions adaptées aux problématiques des territoires à travers des conférences, des tables rondes et des ateliers de formation.

    À l’issue de ce forum a eu lieu la remise du label « Ville active et sportive » co-organisé par la Direction des Sports du Ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et l’ANDES (Association Nationale des Élus du Sport), en présence de Thierry Braillard Secrétaire d’État en charge des Sports et sous le parrainage de Tony Estanguet, président du Comité de candidature Paris 2024.

    Le label « Ville active et sportive »

    Ce label, accordé pour une durée de deux ans, a pour objet de valoriser les communes qui développent des politiques volontaristes pour promouvoir l’activité physique et sportive, sous toutes ses formes, et accessible au plus grand nombre. Cette labellisation à 4 niveaux, vise également à récompenser les villes qui contribuent par ce biais à l’animation et l’attractivité de leur territoire, au renforcement du lien social, au tourisme et au bien-être des concitoyens.

    Marc Sanchez président de l’ANDES a souligné le succès de cette promotion, avant de remercier les 175 villes récompensées et d’indiquer : « l’intérêt des Français (68% des personnes ayant répondu à un sondage, ndlr) pour les équipements sportifs de proximité est indiqué comme rôle catalyseur d’animation et d’attractivité pour le territoire. Dans les territoires ruraux, cette attente est encore plus marquée, car cela est considéré comme un véritable service public du sport ».

    Pour le président de l’ANDES, pas de doute : « le sport est facteur de développement et de transformation de nos territoires et de nos villes qu’il convient de penser dans une politique transversale en lien avec l’éducation, le social, les scolaires, la santé, l’urbanisme. Le sport étant également vecteur d’économie et d’emplois ».  

    Pour en revenir à Lavelanet et à l’obtention de deux lauriers du label « Ville active et sportive », le 1er édile qui était accompagné pour l’occasion d’André Cassan adjoint en charge du sport et d’Erald Gast chargé de mission sport, s’est félicité pour la commune. « Ce label est une reconnaissance du travail effectué, des moyens humains et financiers mis en place par la municipalité ; mais aussi de l’implication de nos associations et leurs bénévoles ».

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » deuxième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » deuxième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne deux stickers Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook). 

    Pour participer laisser votre message avec votre adresse email et postale sur ce formulaire de contact ou sur notre page FaceBook

    Deux stickers Azinat à gagner pour le premier qui répondra correctement.

    Réponse la semaine prochaine avec un petit historique de l’endroit ou du thème de la photo.

    La dernière fois il s’agissait de la commune de La Bastide sur l’Hers