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  • Perrine Laffont conserve sa deuxième place mondiale au Japon

    Perrine Laffont conserve sa deuxième place mondiale au Japon

    Samedi et Dimanche a eu lieu la 8ème étape des championnats du monde de ski freestyle à Tazawako au Japon. Perrine Laffont notre ambassadrice de l’ariége a fait bonne figure samedi, mais s’est un peu effondrée en poursuite le dimanche. Elle reste cependant numéro 2 du championnat du Monde derrière la rivale incontournable de cette saison, Britteny Cox.

    Samedi, l’Ariégeoise prend une magnifique deuxième place après avoir dominé les qualifications. Elle n’était plus montée sur le podium depuis le 12 janvier dernier à Lake Placid ! La victoire revient à l’Australienne Britteny Cox et Andy Naude prend la troisième place.

    Perrine Laffont déclare à Ski Chrono : “Franchement, c’est vraiment un soulagement(…) On savait que j’étais capable de revenir sur le podium(…) Là, je me suis régalée à skier cette piste. Elle me correspond.

    Dimanche, Perrine n’a pas confirmé sa bonne forme, puisqu’elle termine 17ème à la poursuite, un jour sans comme il en existe parfois dans le sport de haut niveau

  • L’Ariège en marche ?

    L’Ariège en marche ?

    Le mouvement « En Marche » initié par Emmanuel Macron commence à prendre ses marques en Ariège. Après une enquête compliquée sur ce mouvement qui reste confidentiel à ce jour en Ariège, il  nous a semblé utile de vous présenter les quelques informations glanées de-ci delà dans notre département.

    En Marche aligne dans les grandes villes une santé florissante et les meeting de leur animateur, Emmanuel Macron, bousculent les partis traditionnels par leurs ampleurs et la ferveur des partisans qui s’y retrouvent. Pourtant, le mouvement semble très confidentiel à ce jour en Ariège alors pourquoi ?

    D’après les informations glanées, notamment sur le site d’En Marche, il n’y aurait qu’une centaine de sympathisants en Ariège (estimations fournies par certains : 200 à 250) et une dizaine de comités locaux.

    Le mouvement en marche est libre d’adhésion sur le site En-marche.fr et en s’inscrivant chacun peut se rendre compte s’il y a des comités locaux (chargés d’organiser des réunions et des actions de promotion ou des ateliers participatifs) : il y en a peu en Ariège; un sur Ax-les-Thermes, quelques-uns à proximité de Foix dont un à Foix qui s’avère le plus actif et un sur Lavelanet et aucun sur Mirepoix. Globalement ces comités étaient peu actifs jusqu’il y a quelques jours et comptent peu de membres actifs, mais une dynamique s’installe et chacun des comités développe de plus en plus d’actions depuis la mi février.

    Qui sont les adhérents ou sympathisants en Ariège ?

    Les sympathisants (qui adhèrent aux idées) ariégeois sont comme la plupart du temps sur le reste de la France, des actifs ou retraités qui sont sensibilisés au monde de l’économie (cadre d’entreprise, chef d’entreprise,..) mais certains sont aussi des enseignants, des Freelance. Pourtant les réunions publiques sont encore assez timides. Quelques réunions techniques et d’approches entre membres ont été organisées à Foix notamment au café Le Roumieu depuis le mois de janvier et la première réunion publique est prévue pour le 10 mars après l’annonce par Emmanuel Macron de son programme le 2 mars !

    Des opérations de « tractage » ont été organisées sur Foix, Ax-les-Thermes et Lavelanet à l’occasion des marchés hebdomadaires de plein vent et seront maintenant effectuées régulièrement.

    Les prochaines opérations de tractage prévues sur l’Ariège :

    15/02: Marché Tarascon 
    16/02: Marché La Bastide de Sérou
    17/02: Marché Lavelanet 
              Marché Foix 
    18/02: Marché Pamiers 
    19/02: Action de marche à Ax les Thermes 

    20/02 : Marché de Mirepoix

    22/02 : Permanence publique artigat (chambres d’hôtes maître Loze)

                  Rencontre matinale gare de Foix

    23/02 : Tractage marché Mazeres

    24/02 : Tractage marché Saverdun

    Il est visiblement très difficile en Ariège de s’afficher politiquement en dehors du pouvoir « Socialiste » en place et mieux, il semblerait qu’après le second tour des primaires citoyennes qui ont vu la défaite de Manuel Valls, certains sympathisants socialistes ariégeois aient eu du mal à se ranger sous la bannière « Hamon » comme nous le précise Franck du mouvement EM en Ariège «la victoire de Benoit Hamon va modifier le paysage politique à gauche, je pense que c’est une bonne chose pour notre candidat Emmanuel Macron. En effet, une grande partie des sympathisants PS et électeurs de M. Valls va se tourner vers le mouvement En Marche. C’est à la fois un séisme, une rupture mais aussi une nécessaire recomposition des forces de progrès. En Ariège comme en France, il me semble qu’il faut poursuivre l’organisation sur le plan départemental pour construire une majorité de projet avec l’ensemble des ariégeois qui vont rejoindre le mouvement.»

    Ce qui plait chez « Emmanuel Macron » 

    Comme nous le dit Philippe, «Il (Emmanuel Macron) a des idées qui sont intéressantes et dans lesquelles je me reconnais» ou encore Didier «pour moi les valeurs travail sont essentielles et ayant plutôt le coeur à gauche, il m’est difficile de me reconnaître dans les programmes de rupture avec l’Europe de monsieur Mélenchon et de revenus universels proposés par Benoit Hamon». Tous semblent aussi lassés par les propositions d’alternances politiques automatiques Droite/Gauche et des votes par défaut : «pour une fois, on a un autre choix crédible, des idées neuves, une proposition d’espoir mais réaliste qui est portée par un candidat, le dogme ne fait pas partie de son langage et on sent réellement qu’il y a une approche renouvelée avec un candidat qui n’est pas en politique depuis trente ans comme c’est le cas de tous les autres candidats». 

    Un programme loin des préoccupations de départements ruraux comme l’Ariège

    Certains disent qu’Emmanuel Macron n’a pas de programme, c’est un peu inexact quand on visite son site. Pourtant, quand on demande au mouvement des informations sur l’Ariège et les propositions du candidat pour des départements comme l’Ariège, on nous renvoie (Fabien d’En Marche) vers son entretien sur l’environnement avec le WWF ! Et avec déception , on pense que depuis le staff central, on voit encore l’Ariège comme un territoire où vivent les ours et les troupeaux en estive. Certes, les questions sur l’eau et l’importance de la forêt font partie des réflexions qui sont abordées dans le mouvement.

    A croire que chez « EM », on ne maîtrise pas encore tout à fait les questions pratiques qui sont posées dans le monde rural et que pour le moment l’objectif essentiel est de séduire le plus grand nombre en France (Priorité est données aux grands meeting dans les grandes villes) pour passer au second tour : les membres d’EM en Ariège ont pu s’en rendre compte au démarrage et certains ont pu se sentir un peu seuls pour attaquer leur actions sur l’Ariège.

    Il faudra pourtant, si ce mouvement veut intéresser « les locaux », s’attaquer aux questions sur la ruralité, le monde du travail, les contraintes liées à l’éloignement des centres urbains et des centres de décisions. Même si parfois « la télé-médecine » ou les télé-activités semblent être chez « EM » la solution pour nos territoires, le mouvement devra proposer d’autres solutions !

    Le compte twitter du mouvement en Ariège : https://twitter.com/EnMarche09/

    La page Facebook de EM en Ariège : https://www.facebook.com/Enmarche09ariege/

     

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  • Des « boites à livre » dans les rues de Foix

    Des « boites à livre » dans les rues de Foix

    La municipalité de Foix avait le souhait d’animer le centre historique et le rendre plus agréable à vivre, notamment à travers d’actions culturelles. Dans la continuité de l’exposition de photos grands formats dans les rues de la ville, le projet « des livres et nous » se poursuit avec l’installation de boites à livres depuis le mois de janvier dans quelques endroits « stratégiques » de la ville.

    L’inauguration de la première boite à livres a eu lieu lundi 9 janvier dans le petit jardin « la Passéjade » près de la halle aux grains. Des livres sont laissés à disposition du public. Le fonds sera alimenté régulièrement par la bibliothèque grâce à des dons privés ou collectifs. Il y en a pour tous les âges. Chacun peut également y déposer les ouvrages qu’il souhaite partager. Un tri sera fait régulièrement pour éviter que l’on y trouve des livres inappropriés.

    D’autres boites, réalisées par les agents municipaux, vont être installées dans les semaines qui viennent comme au parc Bouychères par exemple. Cinq boites en tout qui  s’ajouteront aux 2 déjà mises en place par le secteur jeunesse Fajip, dans le quartier du Courbet et du Capitany. 

    Le projet « Des livres et nous » est organisé par la ville de Foix dans le cadre des 200 ans de la bibliothèque municipale et du programme POCTEFA*.  « Concerts sur place » des 26 et 27 août 2016 était la première action mise en œuvre dans le cadre de ce projet européen. Au vu du gros succès remporté par cette animation gratuite, elle devrait être reconduite cet été les 25 et 26 août 2017.

    Crédit photo : Mairie de Foix

  • Lavelanet a obtenu deux lauriers du label « Ville active et sportive »

    Lavelanet a obtenu deux lauriers du label « Ville active et sportive »

    Montpellier a accueilli les 7, 8 et 9 février, SportColl, le premier forum visant à accompagner les collectivités, les acteurs sportifs et le mouvement sportif. De la gestion des équipements aux dernières innovations exposées par les acteurs économiques de la filière sport, SportColl a présenté des solutions adaptées aux problématiques des territoires à travers des conférences, des tables rondes et des ateliers de formation.

    À l’issue de ce forum a eu lieu la remise du label « Ville active et sportive » co-organisé par la Direction des Sports du Ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et l’ANDES (Association Nationale des Élus du Sport), en présence de Thierry Braillard Secrétaire d’État en charge des Sports et sous le parrainage de Tony Estanguet, président du Comité de candidature Paris 2024.

    Le label « Ville active et sportive »

    Ce label, accordé pour une durée de deux ans, a pour objet de valoriser les communes qui développent des politiques volontaristes pour promouvoir l’activité physique et sportive, sous toutes ses formes, et accessible au plus grand nombre. Cette labellisation à 4 niveaux, vise également à récompenser les villes qui contribuent par ce biais à l’animation et l’attractivité de leur territoire, au renforcement du lien social, au tourisme et au bien-être des concitoyens.

    Marc Sanchez président de l’ANDES a souligné le succès de cette promotion, avant de remercier les 175 villes récompensées et d’indiquer : « l’intérêt des Français (68% des personnes ayant répondu à un sondage, ndlr) pour les équipements sportifs de proximité est indiqué comme rôle catalyseur d’animation et d’attractivité pour le territoire. Dans les territoires ruraux, cette attente est encore plus marquée, car cela est considéré comme un véritable service public du sport ».

    Pour le président de l’ANDES, pas de doute : « le sport est facteur de développement et de transformation de nos territoires et de nos villes qu’il convient de penser dans une politique transversale en lien avec l’éducation, le social, les scolaires, la santé, l’urbanisme. Le sport étant également vecteur d’économie et d’emplois ».  

    Pour en revenir à Lavelanet et à l’obtention de deux lauriers du label « Ville active et sportive », le 1er édile qui était accompagné pour l’occasion d’André Cassan adjoint en charge du sport et d’Erald Gast chargé de mission sport, s’est félicité pour la commune. « Ce label est une reconnaissance du travail effectué, des moyens humains et financiers mis en place par la municipalité ; mais aussi de l’implication de nos associations et leurs bénévoles ».

  • Avis aux propriétaires de perroquets gris du Gabon (Jaco)

    Avis aux propriétaires de perroquets gris du Gabon (Jaco)

    En Afrique, dans les pays où il vit en liberté, le gris du Gabon se raréfie, victime du braconnage et de la destruction de son milieu naturel. Les pays dont il est originaire, appuyés par l’Union européenne, l’ont fait transférer à l’annexe I de la Convention internationale sur le commerce des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (dite CITES). Le règlement européen a suivi cette protection renforcée en inscrivant cette espèce à l’annexe A (statut le plus protecteur) à partir du 04/02/2017.

    Mise en garde de la préfecture de l’Ariège :

    Si vous détenez un ou plusieurs perroquets gris du Gabon, qu’ils soient nés en captivité ou pas, vous avez jusqu’au 04/02/2018 au plus tard pour déclarer vos animaux. Passé ce délai, vos oiseaux seraient détenus en infraction et

    pourraient faire l’objet d’une saisie et d’un procès verbal par la police de l’environnement.

    Pour éviter cela vous devez impérativement :

    • Vous déclarer comme « éleveur d’agrément » auprès des services vétérinaires départementaux. La direction départementale de la protection des populations de votre département vous fera parvenir des documents à compléter et à lui retourner.

    • Faire identifier vos gris du Gabon par puce électronique, chez votre vétérinaire, sauf s’ils sont porteurs d’une bague fermée sans soudure

    • Déclarer au plus tôt votre oiseau identifié à la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) / Bureau convention de Washington (xavier.niveleau@developpementdurable.gouv.fr david.danede@developpement-durable.gouv.fr)

    La DREAL ne pourra délivrer les certificats intra-communautaires (CIC) autorisant la cession des oiseaux que si les démarches précédentes ont été préalablement réalisées. En l’absence de tels CIC, la vente, la détention en vue de la vente, la publicité en vue de la vente, le transport en vue de la vente, la mise en vente, la vente et l’achat des perroquets gris du Gabon sont interdits et les infractions constituent des délits.

  • EELV Ariège dit NON au « Permis Couflens » à Salau

    EELV Ariège dit NON au « Permis Couflens » à Salau

    La vallée de Couflens Salau, aux sources du Salat, dans le Parc Naturel de Pyrénées Ariègeoise, possède des espaces riches d’une biodiversité incomparable et une population qui œuvre à la protéger et la valoriser. Autoriser un Permis Exclusif de Recherche de Mines », comme l’a fait le ministre de l’économie, c’est détruire définitivement les efforts entrepris, depuis la fermeture de l’ancienne mine en 1986, par la population locale et les collectivités.

    Un passif social désastreux

    Ce sont des logiques financières qui ouvrent et qui ferment les mines, ici ou ailleurs au gré du court du minerai et de l’appétit des actionnaires. Ceux qui ont fermé la mine en 1986 ont laissé sur le carreau des dizaines de mineurs et de sous-traitants, des tonnes de déchets dangereux toujours stockés à ciel ouvert aujourd’hui. Ce sont les même qui veulent nous faire croire qu’ils reviennent pour sauver la haute vallée du Couserans.

    Un environnement menacé

    L’impact mortifère sur la faune et la flore et les dégâts irréversibles sur l’environnement causés par l’extractivisme minier à travers le monde ne sont plus à démontrer. Quant à l’emploi, les promoteurs du permis de recherchen’avance aucun chiffre. Mais les habitants ont bien compris que cette mine va détruire les emplois existants, liés principalement à l’agriculture, à l’accueil et aux activités de pleine nature et au pyréneisme.

    EELV Ariège est solidaire des habitants de la vallée qui luttent contre cette réouverture et s’associe à l’association Stop Mine Salau qui appelle à manifester samedi 18 février à 10h à St Girons contre le Permis Exclusif de Recherche de Mines à Salau.

    Florence Cortès et Jérôme Brosseron, candidats aux prochaines élections législatives, seront présents pour dénoncer ce permis exclusif accordé après une intervention pressante d’Alain Fauré, député PS sortant de la Basse Ariège.

    EELV Ariège

  • Le jour du brushing… Chroniques d’Olivier de Robert

    Le jour du brushing… Chroniques d’Olivier de Robert

    Dans la série « nos publicitaires sont givrés », voilà une étrange perle où l’on tente de nous vendre pour 10000 euros de bagnole en mettant en avant le jour de canicule où on aura fait un brushing…

    Givrés je vous dis !

  • Education : en février, les collèges seront aussi des « Ambassades du bon goût ariégeois »

    Education : en février, les collèges seront aussi des « Ambassades du bon goût ariégeois »

    Lorsque le Département ouvre son « Ambassade du bon goût » à Paris, le temps du Salon international de l’Agriculture, il n’oublie pas les collégiens ariégeois. L’Azinat, plat ariégeois par excellence, sera la vedette du repas des quelques 5.000 demi-pensionnaires des collèges* du département le jeudi 23 février. 

    Le repas ariégeois, au cours duquel les produits locaux entrent majoritairement dans la composition des menus servis aux collégiens, est renouvelé chaque mois, en partenariat avec les responsables et les chefs cuisiniers des établissements ainsi que des diététiciennes du département. 

    Pour le Conseil Départemental, cette démarche correspond à la politique engagée depuis 2008 dans le but de proposer au moins un repas par mois, concocté à base de produits locaux. Une initiative qui a pour principaux objectifs d’améliorer la qualité de la restauration dans les collèges, de soutenir les filières agricoles locales, et de sensibiliser les élèves sur l’origine et la diversité des goûts de l’ensemble des produits. 

    Cette opération est également confortée par le dispositif initié par le Département en fin d’année 2015, visant à inciter les établissements à accroître leur approvisionnement en produits locaux, dans une logique de valorisation des filières agricoles locales. 

    *Les collèges de Vicdessos et Mirepoix ne participent pas à l’opération, ne disposant pas d’un service de restauration géré par le Département. 

  • Restaurant Le Paquito, un morceaux d’Espagne à Lavelanet.

    Restaurant Le Paquito, un morceaux d’Espagne à Lavelanet.

    Nés à Lavelanet et d’origine espagnole de la région l’Abacete, Yannick et Aymeric Munoz ont repris en 2012 le restaurant fondé par leur père en 1999, Le Paquito.

    Situé à l’origine place Henri Portet le restaurant, suite à un incendie en aout 2015, à déménagé à l’ancienne « Bulle » bien connu des lavelanétiens.

    Cuisine traditionnelle, spécialités espagnoles et pizza au feu de bois sur place ou à emporté, Aymeric et Yannick travaillent en famille et avec les amis. 

    Yannick est pizzaiolo, Aymeric se distingue au service et à l’accueil avec sa femme et sa belle soeur, David leur ami d’enfance se charge de la cuisine. Une jeune équipe qu’est venue renforcer Romane une jeune apprentie. 

    Avec son foie gras poêlé aux figues, sa cocotte brioché aux saints-jacques, sa salade César ou encore sa paella, sa zarzuela et autre fideua et bien sur sa pizza au feu de bois, le Paquito est un petit restaurant familial ou l’on trouve une cuisine maison, simple et de qualité accompagnée d’un accueil sympathique.

     

  • Les chefs ariégeois n’ont toujours pas la tête des les étoiles….. Michelin

    Les chefs ariégeois n’ont toujours pas la tête des les étoiles….. Michelin

    C’est la gastronomie qui a inspiré notre illustrateur cette semaine acec la sortie du Guide Michelin 2017. Et cette année encore, point d’étoile pour nos chefs.

     

    Et pourtant ont le sait qu’ils sont bons nos Chefs et qu’elle est bonne notre cuisine. Et certains se souviendront sûrement qu’il y en avait un de restaurant étoilé en Ariège : Le Castrum à Villeneuve d’Olmes avec son grand Chef Jean-Jacques Benet, mort tragiquement dans un accident de voiture en 2002. 

    Pas d’étoile donc mais quand même quatre « Bib gourmand » (rapport qualité /prix) pour :  Le Chalet à Ax-les-Thermes, La petite maison à Lorp-Sentaraille, le restaurant Deymier à Pamiers et  Les Saveurs du Manoir à  Tarascon-sur-Ariège.

    Ainsi que  six « assiette Michelin » (cuisine de qualité) pour : L’Auberge d’Antan  à Saint-Girons, le Carré de l’Ange à Saint-Lizier, le Phoebus à Foix, la Maison Lacube à Les Cabannes, Les Sapins à Nalzen et l’Auberge Pierre Bayle au Carla-Bayle.

    De quoi bien se régaler quand même. 

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

  • Le contrat de ruralité : nouvel outil de mise en valeur, de coordination et de structuration des politiques publiques territorialisées

    Le contrat de ruralité : nouvel outil de mise en valeur, de coordination et de structuration des politiques publiques territorialisées

    Deux contrats de ruralité ont été signés avec le pôle d’équilibre territorial et rural de l’Ariège et avec la communauté de communes du Couserans-Pyrénées, en présence de l’ensemble des représentants de l’Etat, de la région et du département et de leurs partenaires (collectivités, Caisse des Dépôts et Consignations, chambres consulaires, etc…) à la préfecture de l’Ariège, le 7 février 2017.

    Le contrat de ruralité, nouvel outil de mise en valeur, de coordination et de structuration des politiques publiques territorialisées, a été lancé par le gouvernement lors du troisième comité interministériel aux ruralités du 20 mai 2016.

    A partir d’une volonté exprimée par les élus locaux, il doit permettre d’accompagner la mise en œuvre d’un projet de territoire à l’échelle d’un bassin de vie, en fédérant l’ensemble des partenaires institutionnels, économiques et associatifs autour d’un programme d’actions pluriannuel.

    Pour conforter et coordonner les interventions publiques à l’échelle infra-départementale

    -Pour l’État, ils participent de la mise en œuvre locale des mesures des comités interministériels aux ruralités, pour les engagements pris par l’État et ses opérateurs.

    – Pour les collectivités territoriales et les acteurs publics, ils constituent un socle partagé leur permettant d’apporter un soutien aux projets des territoires, de faire état de leur intervention, ou de renforcer celles-ci.

    – Ils visent la coordination entre les dispositifs déjà en place (dispositifs contractuels, appels à projets…), notamment ceux portés par les conseils régionaux et départementaux, dans le cadre de leurs compétences.

    -L’approche partenariale entre l’État et les collectivités territoriales se traduira aussi par l’adossement des contrats au volet territorial du contrat de plan Etat-région

    Pour fédérer autour de projets de territoire

    Les contrats sont signés à l’échelle des pôles d’équilibre territoriaux et ruraux (PETR) ou des établissements publics de coopération intercommunale dont le périmètre est suffisamment vaste pour porter un projet de territoire sur un bassin de vie autour de 6 thématiques:

    • L’accès aux services et aux soins,
    • La revitalisation des bourgs-centres notamment à travers la rénovation de l’habitat et le soutien au commerce de proximité,
    • L’attractivité du territoire (activités économiques, numérique et téléphonie, tourisme…),
    • Les services liés à la mobilité des habitants (interne au territoire et vers les agglomérations),
    • La transition écologique,
    • La cohésion sociale.
       

    Une méthodologie partagée

    Un diagnostic du territoire est réalisé en vue de l’élaboration partagée du projet qui constitue le socle du contrat. Le contrat de ruralité qui couvre la période 2017/2020:

    – Recense les thématiques et priorités issues du projet de territoire qui seront déclinées en actions,
    – Précise les calendriers prévisionnels de réalisation: actions prioritaires, projets à engager par année, développement de nouveaux projets à moyen terme,
    – Identifie les partenaires financiers et leurs critères d’intervention,
    – Liste et valorise les actions déjà en cours des signataires et pour l’Etat les mesures locales des comités interministériels aux ruralités.

    Les modalités de financement

    Le contrat a vocation à mobiliser les financements des signataires pour les projets inscrits dans le cadre des compétences de chacun :

    – Crédits d’État (DETR, FNADT des volets territoriaux des CPER, fonds de soutien à l’investissement public local),
    – Crédits et subventions des collectivités territoriales (département et région),
    – Crédits des communes et EPCI concernés (maîtres d’ouvrage des projets),
    – Fonds européens structurels d’investissement ( FEDER, FSE, FEADER ).

    Pour l’État, en 2017, une enveloppe de 216 millions d’euros est dédiée aux contrats de ruralité au sein du fonds de soutien à l’investissement public local afin de compléter les crédits de droit commun. L’enveloppe régionale s’élève à 20,4 millions €. L’enveloppe sera répartie entre les départements après examen des projets par les territoires. Ces derniers pourront bénéficier de crédits d’investissement de droit commun (DETR, FNADT). Les crédits d’investissement (DETR, FSIPL, FNADT) alloués au département de l’Ariège pour 2017 devraient dépasser 15 millions d’€ soit une augmentation de 20% par rapport à 2016.

    Les enjeux locaux

    Deux contrats de ruralité ont été élaborés qui couvrent tout le territoire du département.

    Le contrat du PETR de l’Ariège a fait l’objet de déclinaisons territoriales afin de répondre aux enjeux de chaque territoire:

    • Communauté d’agglomération Foix – Varilhes
    • Communautés de communes du pays d’Olmes et du pays de Mirepoix
    • Communauté de communes de la Haute-Ariège
    • Communauté de communes du pays de Tarascon
    • Communauté de communes des Portes d’Ariège Pyrénées
    • Communauté de communes Arize-Lèze

    Le contrat de la communauté de communes Couserans Pyrénées regroupe le territoire de la nouvelle communauté de communes.

    6 axes d’actions

    •  l’amélioration de l’accessibilité des services au public et des services essentiels à la population notamment dans le cadre des actions conduites autour du schéma départemental d’amélioration de l’accessibilité des services au public,
    •  l’amélioration du cadre de vie, des logements et de la mobilité dans le cadre de la requalification des centres-bourgs,
    •  l’accompagnement de l’attractivité résidentielle, économique et touristique dans le cadre du schéma départemental de développement touristique,
    •  le développement de l’économie sociale et solidaire,
    •  l’accélération des transitions énergétiques et numériques au titre du développement durable et pour agir contre la fracture numérique,
    •  l’accompagnement de la politique de la ville en matière de renouvellement urbain et d’accompagnement des publics vulnérables.

    Source : Préfecture de l’Ariège

     

  • L’Ambassade du bon goût ariégeois s’implante à nouveau au Salon international de l’Agriculture 2017

    L’Ambassade du bon goût ariégeois s’implante à nouveau au Salon international de l’Agriculture 2017

    Dans le cadre du Salon international de l’Agriculture à Paris, le Département de l’Ariège reconduit le dispositif exceptionnel initié en 2016.

    Du samedi 25 février au dimanche 5 mars, l’Ariège présentera donc ses spécialités au cœur du parc des Expositions de la porte de Versailles. Salaisons, vins, confitures, miels, viande de bœuf gascon, de poulet et d’agneau, fromages mais aussi produits artisanaux s’attacheront à séduire les quelque 600.000 visiteurs venus de toute la France.

    Pas moins de 17 producteurs, se partageront les 120 m2 de cette «Ambassade du bon goût ariégeois », sans compter les éleveurs des races ariégeoises emblématiques répartis dans les autres halls d’exposition (vaches gasconnes, brebis tarasconnaises, cheval de Mérens et de Castillon).

    Cette opération est initiée par le Conseil Départemental de l’Ariège et l’Agence de Développement Touristique Ariège-Pyrénées, en partenariat avec la Chambre d’Agriculture de l’Ariège. Durant le Salon, des opérations de communication, de relations presse et publiques seront également programmées.

    Nouveauté en 2017, le Département frappe monnaie. Durant les neuf jours du Salon de l’Agriculture, une monnaie ariégeoise sera en effet distribuée aux lauréats des jeux et animations, aux journalistes et autres invités pour leur permettre de consommer les produits ariégeois. Cette monnaie a été baptisée « mammouth » pour marquer les esprits des consommateurs parisiens.

    Source : CD09