Étiquette : politique

  • Les élus ariégeois au congrès des maires de France

    Les élus ariégeois au congrès des maires de France

    Les élus ariégeois participant au congrès annuel de l’association des maires de France sont reçus au Palais du Luxembourg.

    L’Association départementale des Maires et des élus de l’Ariège, conduisait cette année une délégation de près de 70 participants au Congrès des maires de Paris.

    « Servir le citoyen et agir pour la République »constitue le fil conducteur de cette 101èmeédition. Au delà des forums proposés et des points d’information, plusieurs grands débats sur des thèmes majeurs sont abordés notamment autour de la relation commune-intercommunalité, de la décentralisation et des inégalités d’accès aux services publics de proximité.

    Dans le contexte de tensions sociales actuel, le discours de clôture du premier ministre est très attendu par les élus mais nombreux sont les édiles qui s’interrogent sur les réponses qui pourront être apportées à leurs doléances et inquiétudes légitimes.

    En marge du congrès, près de 40 élus ont répondu présents pour une visite du Palais du Luxembourg. Visite qui s’est achevée par la traditionnelle photo prise dans le grand escalier d’honneur.

    Alain DURAN, Sénateur, représenté par Carole DURAN FILLOLA, sa remplaçante, Bénédicte TAURINE et Michel LARIVE, Députés ont ensuite convié près de 70 élus à un cocktail dinatoire dans les Salons de la Questure du Sénat.

    Les parlementaires accueillis par Bernard LALANDE, Questeur au Sénat, ont remercié les participants, se sont félicités de cette réception conviviale qui s’est terminée en chanson avec notre hymne « Se canto » offert au Questeur.

  • Génération.S Pamiers-Basse Ariège 

    Génération.S Pamiers-Basse Ariège 

    Communiqué Génération.S Pamiers-Basse Ariège*

    Le monde est en pleine mutation. Nous devons proposer des solutions pour faire face aux enjeux sociaux, environnementaux et démocratiques qui se présentent à nous. Nous nous devons d’agir collectivement pour toutes les générations présentes et à venir.

    Nous croyons en une société juste, égalitaire, fraternelle et solidaire où chacun-e doit pouvoir vivre dignement dans un environnement préservé.

    Nous invitons tous les citoyens-citoyennes, toutes celles et ceux qui se reconnaissent dans ces valeurs sur notre territoire à rejoindre le comité Génération.s de son secteur. Plus d’informations sur: www.generation-s.fr/

    Il existe déjà 4 comités en Ariège. Chaque comité est autonome et indépendant et propose des réunions tournantes de débats constructifs et conviviaux et des moyens d’actions.

    En Basse Ariège, un comité vient de se créer. Une réunion est prévue le vendredi 23 février à la salle des Associations à Montaut à 18H30.

    Rejoignez-nous !

    Contacts : generations09pamiers@gmail.com
    ou 06 17 96 51 58 (Mickaël TROVALET).

    Retrouvez nous aussi sur les réseaux sociaux : 

    Facebook : www.facebook.com/generations09/   Twitter : @generations09ba

    *anciennement Mouvement du 1er Juillet, parti politique créé le 1er juillet 2017 par Benoît Hamon.

  • EELV Ariège : Ensemble disons non au Front, le 7 mai votons !

    EELV Ariège : Ensemble disons non au Front, le 7 mai votons !

    Dans un contexte délétère et malgré l’acharnement des soutiens du gouvernement sortant à détruire ses chances de réussites, le candidat Benoît Hamon dans le cadre de l’accord avec Yannick Jadot a mis en avant un projet novateur, courageux et profondément écologiste.

    Si les résultats ne sont pas à la hauteur de l’urgence à changer de modèle de société, son discours a permis de mettre au coeur de cette campagne des questions essentielles pour l’avenir des Français-es. L’Ariège est un des départements où son score est le plus élevé. Il faut cependant noter que dans notre département comme ailleurs, la gauche recule et n’est plus majoritaire, même si la victoire ariégeoise de Jean-Luc Mélenchon montre encore un ancrage profond de celle-ci sur nos territoires.

    La politique libérale et anti-écologiste prônée par Emmanuel Macron ne constitue pas, à nos yeux, une solution aux crises sociale, démocratique et écologique que traverse nos territoires. Pour autant, face au national-populisme incarné par le FN et sa candidate, nous en appelons à un sursaut démocratique. La réalité de la gestion politique du FN, telle qu’elle se développe dans les villes dirigées par le parti comme Henin-Baumont, renforce notre détermination à lui faire barrage. Si le programme d’Emmanuel Macron peut être combattu démocratiquement au Parlement et être battu dans les urnes dans un futur proche, le risque de dérive autocratique du pouvoir par le FN apparaît aujourd’hui comme un danger autrement supérieur.

    La dette écologique que nous laisserons à nos enfants ne sera bientôt plus remboursable ! Nous ne cesserons de nous battre pour que l’écologie reste au cœur des politiques et des débats citoyens. L’écologie est bien vivante et présente et elle a pleinement pénétré la gauche, c’est-à-dire le mouvement de ceux pour qui la justice sociale est une condition vitale de la paix civile. Pour toutes ces raisons, en Ariège comme ailleurs, l’écologie a besoin de candidat-e-s aux législatives des 11 et 18 juin prochain.

    Europe Ecologie Les Verts confirme que Florence CORTES et Jérôme BROSSERON seront leurs candidat-e-s dans la 1° et la 2° circonscription, pour une République de gauche, démocratique, écologique, sociale et européenne.

    Europe Ecologie Les Verts appelle à voter contre le Front National dimanche prochain.

    communiqué EELV Ariège

  • Le sénateur Alain Duran appelle à voter Emmanuel Macron

    Le sénateur Alain Duran appelle à voter Emmanuel Macron

    Lundi, il sera trop tard !

    « Après le séisme du 21 avril 2002, voici l’héritière, la fille du vieux chef nationaliste qui dimanche, en recueillant 7,6 millions de suffrages a permis au Front National d’atteindre un triste chiffre record. Ils étaient 4,8 millions il y a 15 ans. Et pourtant, dimanche soir, face à ces résultats effrayants, aucune colère sur les plateaux télé, aucun appel à manifester dans la rue, où était donc passé l’esprit du 21 avril ? Tout semblait normal,  alors que notre pays, notre république n’ont jamais été aussi menacés. Certes, l’héritière semble plus présentable que le père, mais elle a conservé le même programme populiste, destructeur de l’unité nationale. Les fondamentaux demeurent, priorité nationale, politique nataliste, femme au foyer, isolement de la France, exclusion, haine, violences de tous ordres.

    Dimanche prochain nous devons dire haut et fort que nous ne voulons pas faire vivre ce cauchemar à la France, aux françaises et aux français. Dimanche prochain je voterai sans état d’âme pour Emmanuel Macron et j’invite les ariègeoises et les ariègeois à en faire de même au nom de notre attachement aux valeurs de la République pour que vivent la liberté, l’égalité et la fraternité. Lundi, il sera trop tard ! »

    Alain DURAN
    Sénateur de l’Ariège

  • 23 avril et 7 mai, aux urnes citoyens

    23 avril et 7 mai, aux urnes citoyens

    Dans quelques jours, tous les Français et Françaises âgés de 18 ans, jouissant de leurs droits civils et politiques et n’étant dans aucun des cas d’incapacité prévus par la loi sont appelés à voter pour le futur Président de la République.  

    Si vous n’êtes pas au courant, c’est que vous vivez dans une grotte !

    Un peu d’histoire

    C’est seulement depuis 1965, au cours de la Cinquième République, que l’élection du président se fait au suffrage universel direct. La Constitution du 4 octobre 1958 prévoyait initialement une élection pour une durée de sept ans par un collège électoral comprenant les membres du Parlement, des conseils généraux et des assemblées des territoires d’outre-mer, ainsi que les représentants élus des conseils municipaux.

    Cette disposition est modifiée en 1962 après référendum, ainsi l’élection de 1965 est la première au suffrage universel direct requérant la majorité absolue des suffrages exprimés.

    C’est en 2000, sous la présidence de Jacques Chirac que la durée du mandat est réduite à cinq ans lors du référendum sur le quinquennat présidentiel.

    Jusqu’à la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, il n’y avait pas de limite au nombre de mandats que pouvait effectuer un président de la République. L’article 6 de la Constitution dispose désormais que le mandat ne peut être renouvelé qu’une fois consécutivement.

    Pour être autorisés à se présenter les candidats doivent avoir 18 ans révolus, avoir la qualité d’électeur, ne pas être privé de ses droits d’éligibilité par une décision de justice, ne pas être placé sous tutelle ou sous curatelle,  justifier avoir satisfait aux obligations imposées par le code du service national

    Ils doivent présenter 500 parrainages d’élus. Depuis la loi organique n° 2016-506 du 25 avril 2016 qui a modernisé les règles applicables à l’élection du Président de la République, la liste des citoyens habilités à présenter un candidat à l’élection du Président de la République (les « parrains »), a été étendue aux conseillers de la métropole de Lyon, aux maires délégués des communes déléguées ainsi qu’aux présidents des organes délibérants des métropoles afin de tenir compte des évolutions de notre organisation territoriale.

    C’est le Conseil constitutionnel qui s’assure de l’éligibilité des candidats.

    Sont électeurs tous les Français et Françaises âgés de 18 ans, inscrit sur les listes électorales, jouissant de leurs droits civils et politiques, n’étant dans aucun des cas d’incapacité prévus par la loi.

    Les opérations de vote

    Le scrutin a lieu dans chaque commune qui, selon le nombre d’électeurs, peut avoir un ou plusieurs bureaux de vote, il est, comme précédemment, ouvert à 8 heures et, depuis la loi organique du 25 avril 2016, il est désormais clos à 19 heures (heure locale) au lieu de 18 heures. Toutefois, le préfet peut décider, par arrêté, d’avancer l’heure d’ouverture ou retarder l’heure de clôture dans certaines communes. En tout état de cause, le scrutin ne pourra être clos après 20 heures.

    Le déroulement des opérations de vote est assuré par un bureau composé :

    • d’un président qui est le maire de la commune, un des adjoints, ou un des conseillers municipaux. À défaut, le président est désigné par le maire parmi les électeurs de la commune ;
    • si, le jour du scrutin, pour une cause quelconque le nombre d’assesseurs se trouve être inférieur à deux, les assesseurs manquant sont pris parmi les électeurs présents, sachant lire et écrire le français, selon l’ordre de priorité suivant : l’électeur le plus âgé, puis l’électeur le plus jeune ;
    • d’un secrétaire (qui a voix consultative dans les délibérations du bureau).
      25/62

    Le vote par procuration

    Le vote par procuration permet de se faire représenter, le jour d’une élection, par un électeur de son choix.

    L’article L. 71 du code électoral fixe les trois catégories d’électeurs qui sont autorisés à voter par procuration :

    • les électeurs attestant sur l’honneur qu’en raison d’une obligation professionnelle, d’un handicap, pour raison de santé ou en raison de l’assistance apportée à une personne malade ou infirme, il leur est impossible d’être présent dans leur commune d’inscription le jour du scrutin ou de participer à celui-ci en dépit de leur présence dans la commune
    • les électeurs attestant sur l’honneur qu’en raison d’une obligation de formation, parce qu’ils sont en vacances, ou parce qu’ils résident dans une commune différente de celle où ils sont inscrits sur une liste électorale, ils ne sont pas présents dans leur commune d’inscription le jour du scrutin
    • les personnes placées en détention provisoire et les détenus purgeant une peine n’entraînant pas une incapacité électorale.

    La personne que le mandant choisit pour voter en son nom (le mandataire) doit jouir de ses droits électoraux et être inscrite sur les listes électorales de la même commune que l’électeur qui donne procuration (le mandant). Il n’est pas nécessaire que le mandataire soit inscrit dans le même bureau de vote que le mandant. A Paris, Lyon et Marseille, il n’est pas non plus nécessaire d’être inscrit dans le même arrondissement.

    Un mandataire ne peut disposer, pour chaque scrutin, de plus de deux procurations, dont une seule établie en France.

    Le mandant indique la date du scrutin et précise si la procuration concerne, le premier tour, le second tour ou les deux tours. La procuration peut aussi être établie pour une durée déterminée. La durée maximum de la procuration est d’un an. Cependant, rien n’interdit au mandant de faire établir sa procuration pour une durée plus courte, de 3 ou 6 mois par exemple.

    La procuration peut être établie tout au long de l’année. L’électeur a deux possibilités pour établir sa procuration :

    – soit remplir un formulaire cartonné disponible dans les tribunaux, commissariats, gendarmeries ou consulats ;
    – soit remplir la demande de procuration en ligne ou l’imprimer et la remplir manuellement.

    A cet effet, un formulaire CERFA a été mis en ligne sur www.service-public.fr. Le mandant doit ensuite se déplacer auprès des autorités habilitées pour prouver son identité et la réalité de son consentement, puis dater et signer sur place le formulaire.

    Les autorités habilitées à recevoir les procurations sont les commissariats de police, les brigades de gendarmerie, les tribunaux d’instance et les consulats.

     
  • Avec la plateforme « Politizr », découvrez une nouvelle idée de la démocratie

    Avec la plateforme « Politizr », découvrez une nouvelle idée de la démocratie

    Concepteurs et développeurs de site internet depuis plus de 10 ans, Lionel Bouzonville et Thomas Champion sont deux artisans du monde numérique et ont fondé, en août 2015, la S.A.S Politizr.

    L’ambition de la plateforme « Politizr » est de recréer du lien entre les élus et les citoyens et de permettre aux uns et aux autres de discuter de manière sereine et constructive sur les propositions des citoyens.

    Elle repose sur quatre piliers fondamentaux :

    – Reconnaitre la légitimité des élus qui peuvent discuter des sujets dans la profondeur sans être interrompus par les citoyens. Les citoyens ne peuvent intervenir que sur les sujets qu’ils ont initiés eux mêmes, les élus ont la possibilité d’intervenir sur l’ensemble des discutions sur leur territoire.

    – La transparence : Les élus peuvent faire la preuve de leur compétence en argumentant et en ayant des débats de fond en dehors du temps médiatique ou en dehors du temps des réseaux sociaux.

    – Politizr a une forme qui encourage le fond en permettant aux élus de rentrer dans une argumentation de fond.

    – Le temps : Les sujets ne sont jamais clos, ce qui permet aux élus d’argumenter dans la longueur et de réintroduire du temps politique.  

    Encore fortement ancrée en Ariège avec 200 utilisateurs ariégeois, Politizr est en développement au niveau régional et national. La plateforme compte à ce jour 1500 utilisateurs – dont 150 élus – et 600 sujets de discussion.

    Lionel et Thomas espèrent, dans un avenir proche, devenir une plateforme réflexe pour les citoyens qui veulent interpeller leurs élus. Gageons qu’en cette période électorale ça ne saurait tarder.

    www.politizr.com

  • Primaires Citoyennes : Jean-Christophe Bonrepaux appelle à voter Valls

    Primaires Citoyennes : Jean-Christophe Bonrepaux appelle à voter Valls

    Jean-Christophe Bonrepaux, premier secrétaire de la Fédération Socialiste de l’Ariege, ainsi que Christine Tequi et Henri Nayrou  appellent à voter Manuel Valls au second tour des primaires citoyennes, qui auront lieu dimanche 29 janvier prochain. Rencontré il y a quelques jours, Jean-Christophe Bonrepaux nous explique pourquoi ce choix pour une partie de la gauche en Ariège.

    Aujourd’hui tout amène à penser que le second tour de l’élection présidentielle se fera entre François Fillon et Marine Lepen. Nous considérons que ce n’est pas inéluctable et nous pensons que la gauche peut passer au deuxième tour. Dans l’idéal il faudrait que la gauche soit rassemblée pour éviter cet événement, mais plusieurs raisons cela n’a pas été possible malgré nos appels au rassemblement. 

    Nous souhaitons créer un mouvement, dans le cadre de cette primaire, pour espérer que le candidat issu de cette primaire puisse être bien placé lors de l’élection présidentielle.

    Dans le contexte de la primaire, c’est une personnalité que les gens choisissent et nous avons fait le choix de Manuel Vals, car il a de l’expérience il est resté aux responsabilités jusqu’au bout. Il n’a pas faiblit, ni renoncé et montré, ce dont il était capable. On pense qu’il est au coeur de l’électorat ciblé qui permettra de passer au second tour. De plus, ce qu’il propose, est un projet ambitieux mais réaliste, et il assume son bilan.

    «Manuel Vals est le mieux placé pour passer le cap du premier tour des élections présidentielles »

    Dans sa globalité, regardons avec fierté ce bilan et c’est important pour la cohérence que l’on veut dans cette campagne. C’est un projet ambitieux par rapport à l’Europe,  au travail, au pouvoir d’achat et à la ruralité. A noter que c’est aussi un des rares candidats à parler de la ruralité . 

    Une raison essentielle pour lesquelles pour nous Manuel Vals est le meilleur candidat, c’est qu’il a une stature de chef d’état  et peut se comparer à François Fillon et aller chercher l’électorat qui s’est laissé charmer par Emanuel Macron qui est un danger pour la gauche car il met en danger les chances de la gauche d’être au deuxième tour…

     

     

     

  • Politizr start-up ariégeoise, s’expose à la Start’Up Avenue à Toulouse

    Politizr start-up ariégeoise, s’expose à la Start’Up Avenue à Toulouse

    L’édition 2016 de La Mêlée Numérique organisée par l’association régionale des acteurs du numérique a proposé il y a quelques jours un format original au travers de la Start’Up Avenue, installée au coeur de Toulouse sur les Allées Jules Guesde, à proximité du Quai des Savoirs.

    L’occasion pour notre Start’Up ariégeoise « Politizr » de présenter sa plateforme de démocratie citoyenne permettant aux élu(e)s de débattre directement et publiquement sur les sujets proposés par les citoyens et citoyennes. Améliorer la vie locale en développant les débats de proximité dans toute la France, telle est l’ambition de Politizr qui compte, dans sa version en test depuis juin dernier, près de 120 élus, avant le lancement officiel de la plateforme à la fin de l’année.

    Thomas Champion et Lionel Bouzonville ont notamment eu le plaisir de présenter leur projet à Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée et à Bertrand Serp, Vice-Président de Toulouse Métropole en charge du numérique, qui inauguraient ensemble la Mêlée Numérique 2016.

    Politizr a également concouru aux Trophées de l’économie Numérique qui seront remis le 30 septembre prochain aux lauréats, toujours dans le cadre de la Mêlée Numérique. Ils sont soutenus dans leurs démarches par Ariège Expansion, en particulier Annie FACHETTI en charge de la communication mais également administratrice de La Mêlée.

    Enfin, Politizr et Equivote, une autre start’up toulousaine spécialisée dans la Civic Tech, travaillent sur l’organisation d’un évènement le 7 décembre prochain sur Toulouse pour donner la parole à ceux qui cherchent à changer la politique grâce au numérique. »

    Plus d’infos sur www.politizr.com

    Source : Arex 30/09/16

  • Frédérique Massat élue présidente de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale

    Frédérique Massat élue présidente de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale

    le dessin de CIRE Ariège Pyrénées

    Et comme on en finit plus de parler des écarts de langage de Nadine Morano, notre dessinateur CIRE s’est amusé à imaginer quelle aurait pu être sa réaction.

    OUPS !!!!! encore un petit dérapage ????!

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

  • Henri Nayrou : c’est parti pour le combat « Ariéjo moun Païs » !

    Henri Nayrou : c’est parti pour le combat « Ariéjo moun Païs » !

    A l’occasion de son investiture, Henri Nayrou nouveau président du Conseil Général de l’Ariège fraichement élu à défendu une vision du territoire de l’Ariège qu’il aura en charge au moins jusqu’aux prochaines élections le 22 mars 2015 prochain. Quelques extraits de son discours.

    Depuis 2001, la période a été difficile pour les Départements avec notamment des transferts de charges mal compensés, comme le RSA et les services de routes et des collèges, mais aussi la suppression de la taxe professionnelle qui assujettit le Département au bon vouloir de la loi de finances, et coupe le lien vertueux entre le territoire et ses entreprises.

    Augustin Bonrepaux s’est battu contre ces mesures, réussissant parfois à faire entendre la voix de la raison aux responsables nationaux. Il n’a jamais oublié non plus d’accompagner son action d’une gestion rigoureuse. Nous aurons l’occasion dans quelques semaines, cher Augustin, de te rendre un hommage encore plus appuyé. Mais je me devais, en cet instant, de dire la considération très amicale que je te porte.

    «Aujourd’hui, grâce à toi, et grâce à tous, la situation du Département nous permet d’entrevoir un Débat d’Orientation Budgétaire ambitieux pour répondre aux besoins de nos populations et pour maintenir un effort d’investissement conséquent, créateur d’emplois et d’activités pour nos entreprises, en ces temps où la croissance en Europe est atone. La maison « Conseil général » est une maison bien tenue, et c’est surtout une maison « propre ».

    C’est dans ces conditions avec ces objectifs que je deviens donc aujourd’hui le Président du Conseil général pour assumer cette fonction, certes difficile, mais ô combien exaltante. Il n’est pas inutile à ce propos de préciser que vous venez de m’installer à ce poste jusqu’au 22 mars 2015.

    Des dossiers importants sont déjà posés sur la table :

    l’aménagement de l’E9, le Très Haut Débit, le développement de notre économie industrielle, touristique, agricole et forestière, le maintien des services publics de proximité, et bien sûr la réforme territoriale sur laquelle je vais revenir.

    Pour relever tous ces challenges, je compte sur vous tous jusqu’au dernier jour de mon mandat. Vous, dont j’ai pu apprécier la compétence et la disponibilité dans vos domaines d’intervention respectifs, comme j’ai pu apprécier aussi les mêmes qualités au niveau des services de notre «maison départementale». C’est la raison pour laquelle je vous proposerai dans un instant d’adopter une organisation en tous points conforme à celle que nous avons mise en place lors du dernier renouvellement de 2011.

    En effet et compte-tenu de la date des prochaines échéances, j’ai souhaité procéder à une permutation simplifiée avec Augustin Bonrepaux, dont l’avantage sera d’éviter la valse des chaises musicales. Nous avons assez d’actions à mener dans cette courte période pour nous passer fort aisément de l’effet-domino qui en découlerait. Nous l’évoquerons tout à l’heure lors du renouvellement obligatoire de toutes nos instances, comme il est de mise en semblable circonstance.

    Ce n’est une surprise pour aucun d’entre vous bien sûr si je vous dis en cet instant que ma motivation profonde, celle qui m’a poussé à solliciter ces nouvelles fonctions, est d’aller au- delà de cette fin de mandat et de m’inscrire dans quelque chose de différent d’un simple mandat d’intérim. Pour être tout à fait clair, ma démarche se résume à ces deux locutions : piloter la transition et préparer la succession. Tout est dit.

    Et je reviens à l’essentiel qui est l’entité « Conseil général ». Notre Assemblée est certes « une » lorsqu’il s’agit de s’accorder sur nos objectifs de développement et d’amélioration du cadre de vie des Ariégeoises et des Ariégeois. Mais les sensibilités politiques sont diverses et nous divergeons parfois sur les moyens à mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs.

    Les électrices et les électeurs choisiront dans quelques mois les Conseillers Départementaux qui les représenteront au sein de cette instance.

    Je porterai avec d’autres une vision du département qui me correspond, qui ne trahit pas mes idées et qui s’inscrit dans le bilan de la présente majorité.

    Cette vision est simple : le rôle essentiel d’une collectivité comme la nôtre, même si les compétences ne couvrent pas toutes ses responsabilités, est de créer les meilleures conditions du développement.

    Le développement, c’est plus d’emplois, plus d’habitants, plus d’activités, plus de bien-être, plus de solidarité. Je pense parler en connaissance de cause pour avoir tracé ma route dans l’entreprise avant d’être élu.

    Les conditions sont :
    – le désenclavement par le très haut débit, les routes et les esprits,
    – le soutien à l’emploi à la fois sur la création et le maintien,
    – c’est aussi garantir toutes formes de solidarités entre les personnes, les territoires avec leurs collectivités, leurs élus, leurs corps sociaux et leurs associations
    – la condition enfin de nourrir l’espoir d’un bel avenir, c’est de conserver le bien le plus précieux dans notre département rurbain, rural et montagnard, les vertus de la proximité.

    Il est clair pour moi que l’Ariège est un territoire d’avenir.

    Vous allez peut-être croire que je cède volontiers à la facilité des images d’Epinal mais je le dis quand même car tout cela est bouillonne depuis belle lurette dans mon esprit d’Ariégeois. Notre territoire est appelé à devenir un point d’ancrage recherché parce qu’il représente un équilibre entre nature intacte et métropole proche, entre mer et montagne, entre traditions respectées et modernité assumée.

    Avant d’accéder au Nirvana, il reste cependant des conditions à remplir avec des combats à mener et surtout à gagner :

    La première des choses concerne la réforme territoriale. La condition sine qua non d’un futur prometteur et accompli passe par le maintien des départements ruraux et de leurs compétences. Le Président Bonrepaux en a fait son cheval de bataille et il a eu raison. Je ne serai pas celui qui baissera la garde car je n’ai pas attendu d’être élu pour être un rural convaincu des bienfaits de la vie sur nos territoires.

    Lorsque j’ai été Président de l’Association Nationale des Elus de la Montagne (ANEM), après Augustin et avant Frédérique Massat que j’ai plaisir à féliciter pour sa pugnacité dans cette fonction qu’elle vient d’abandonner à Chambéry, j’ai eu maintes fois l’occasion d’affirmer que le débat sur les ruralités n’est ni de Gauche ni de Droite. C’est tout simplement un débat de société. Et au-dessus de toutes adaptations de rhétorique et de sémantique, la seule question qui vaille est celle-ci : quel type de société territoriale voulons-nous pour demain ?

    Une société métropolisée, aseptisée, broyeuse de joies ou d’espoirs, ou bien une société équilibrée mais pas seulement entre le 14 juillet et le 15 août et entre le vendredi soir et le dimanche soir ? Je peux vous assurer que dans ma bouche et dans mon esprit ce sont des mots très forts de sens car de la réponse à cette question découle les bonnes décisions concernant la dite-réforme.

    Le Premier Ministre, Manuel Valls vient d’apporter deux réponses publiques sans ambiguïté le 17 octobre à Chambéry lors du congrès de l’ANEM, et le 28 octobre à la tribune du Sénat. C’est une reconnaissance importante de la crédibilité des arguments ariégeois pour conserver cet échelon de collectivité intermédiaire, championne sans rivale de la proximité, surtout dans le cadre de régions de plus en plus étendues et naturellement porteuses d’éloignement, ce poison insidieusement déposé dans les veines de la ruralité…/…

     J’ai dit plusieurs fois qu’une Ariège vidée de compétences et de moyens correspondants serait comme un couteau sans manche auquel il manquerait la lame.

    Or, rien n’est encore acquis pour gagner la deuxième… manche.

    Mais à cet égard, nous pouvons compter sur nos parlementaires. Nos députés, Frédérique Massat et Alain Fauré, qui sont déjà très engagés dans cette opération, Frédérique vice- présidente des affaires économiques et Alain membre de la commission des finances et notre nouveau Sénateur, Alain Duran, que je félicite, et qui vient d’effectuer une entrée tonitruante dans l’hémicycle et dans les médias. Nous allons jouer « groupés » je vous l’assure.

    Le second élément, après la réforme territoriale et ses incidences, c’est l’unité des forces ariégeoises, sans rien renier de nos engagements divers et généraux, mais en admettant les yeux grands ouverts qu’en ces temps difficiles, ce qui nous rassemble est plus important que ce qui nous divise.

    C’est du reste pour cette raison que j’ai accepté de retarder mes vacances « éternelles ». Je me considère en mission. Certes pas une mission sacrée, mais une mission difficile.

    Je pense que mon caractère est plus rassembleur que clivant, et je vous garantis que je ne vais pas modifier mon ADN en devenant Président du Conseil général.

    L’Ariège n’appartient à personne, elle appartient aux citoyens ariégeois, à ceux qui y sont depuis toujours, à ceux qui y sont depuis quelques temps, à ceux qui viennent d’y entrer et enfin à celles et à ceux qui vont arriver.

    L’Ariège a toujours été ma passion. C’est vrai, je suis un homme passionné. Mais je me crois aussi élu rationnel. Notre département, mon département, a un grand avenir mais il ne suffit pas de le dire, il faut le prouver.

    J’en prends ici l’engagement. Cela sera la meilleure manière d’honorer ma nouvelle fonction ainsi que mes prédécesseurs, Pierre Faur, André Saint-Paul, Robert Naudi et Augustin Bonrepaux.

    Cela sera aussi ma manière de remercier celles et ceux qui viennent de m’accorder leur confiance ainsi que celles et ceux qui pourraient me l’accorder à l’avenir sur la foi de résultats avérés.

    Je vous adresse à tous un grand merci de m’avoir écouté et c’est parti pour le combat « Ariéjo moun Païs » !

  • Elections sénatoriales, oui mais encore ?

    Elections sénatoriales, oui mais encore ?

    Elections sénatoriales, oui mais encore ? Ariège Pyrénées

    Depuis 2011, et en application de la réforme de 2003, le Sénat est renouvelable par moitié, en deux séries. La série 1, renouvelée lors des élections de 2011 pour 170 sièges, et la série 2, concernée par le renouvellement de septembre 2014 pour 178 sièges.

    La série 2 comprend 58 départements métropolitains, 1 département d’outre-mer, 4 collectivités d’outre-mer, et 6 des douze sièges de la circonscription des Français établis hors de France.

    C’est donc le 28 septembre prochain, que les grands électeurs (députés, sénateurs, conseillers régionaux et généraux ainsi que les délégués des conseils municipaux)  éliront notre nouveau sénateur.

    Pour chaque circonscription, le nombre de sénatrices sénateurs est déterminé en fonction de la population, en Ariège un seul siège à pourvoir.

    Voilà donc les grandes lignes, donc pas d’inquiétudes, samedi 28 septembre vous pourrez aller aux champignons, à la chasse, en rando… inutiles de vous rendre aux urnes.

    Mais à quoi sert le Sénat ?

    Un peu d’histoire :

    C’est en 1765 que la constitution thermidorienne fait naître le Sénat sous le nom de Conseil des Anciens.

    Le Sénat siège au Palais du Luxembourg. Ce bâtiment, dont la première pierre fut posée en 1615 par Marie de Médicis, fut une demeure royale, une prison révolutionnaire, puis le siège du pouvoir exécutif brièvement après la Révolution. Il accueille le Sénat de la République depuis 1879.

    Le Sénat, avec l’Assemblée Nationale constitue le Parlement : 

    Les sénateurs examinent les projets de loi que le Gouvernement leur soumet. Ils peuvent également déposer et examiner des propositions de loi. ils contrôlent aussi l’action du Gouvernement et vérifient que les lois votées sont bien appliquées. Il est le garant de la stabilité des institutions : contrairement à l’Assemblée nationale, il ne peut être dissous.

    De plus, le Président du Sénat assure l’intérim en cas de vacance de la Présidence de la République ou d’empêchement.

    En Ariège nous aurons 7 candidats :

    • FN : Aimé Deléglise. Remplaçante : Thérèse Aliot.
    • PS : Alain Duran. Remplaçante : Carole Duran-Fillola.
    • Parti de gauche : Denis Puech. Remplaçante : Annick Maissonnier.
    • FDG/PCF : Didier Calvet. Remplaçante : Nathalie Loze.
    • UDI : Bernadette Dedieu. Remplaçant : Paul Afonso.
    • UMP : Jean-Marc Salvaing. Remplaçante : Marie-Noëlle Samarcq.
    • EELV : Florence Cortès. Remplaçant : Antoine Avilez.

     

     

  • Deuxième tour des élections, aux urnes citoyens

    Deuxième tour des élections, aux urnes citoyens

    Deuxième tour des élections Ariège Pyrénées

     

    Ce ne fût pas, cette année, une élection municipale ordinaire en Ariège, un département majoritairement socialiste :

    Jean-Christophe Bonrepaux battu à Saint-Paul-de-Jarrat, ainsi que Bernard Piquemal à Auzat. Trois élus FN à La-Tour-du-Crieu et quatre listes en lice à Pamiers dont le FN qui a obtenu 14,38 des voix.

    Comme bon nombre de français, certains ariégeois devront donc de nouveau voter ce week-end, et n’oubliez pas que rien n’est joué tant que tout n’est pas fini.

    Aux urnes citoyens !

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com