« J’appelle poésie cet envers du temps, ces ténèbres aux yeux grands ouverts(…) » Louis Aragon Jean-Pierre Siméon, directeur artistique de l’événement nous invite « à une pêche miraculeuse ».
La nôtre convoquera Prévert, Aragon, Desnos, Cocteau, Apollinaire, mais également d’autres poètes moins souvent célébrés, comme Gaston Couté, Bernard Dimey, Jean Richepin, Frédéric Mouret… »
C’est à Coko, jeune auteur-compositeur-interprète, accordéoniste et pianiste que nous confions cette célébration d’un siècle de poésie majeure. Claude Fèvre (rédactrice pour le site Chanson http://www.nosenchanteurs.eu/) s’insinuera dans ce spectacle où se mélangeront « les grandes voix du siècle passé » et les propres compositions de Coko.
COKO est tombé très tôt dans la marmite des mots et de leur musique. Amateur de Chanson et de Poésie, il a réalisé les premières parties de Juliette Gréco, Julos Beaucarne, Allain Leprest, Loïc Lantoine, Jean Guidoni, Alexis HK, Gilbert Laffaille, Francesca Solleville, et bien d’autres. Invité parfois par des groupes comme Les Croquants ou Les Ogres de Barback, il a aussi été l’élève de Juliette, et défend toujours ses textes avec une présence scénique pleine de tendresse, humour, et ironie.
http://www.corentin-coko.fr/
Jeudi 10 Mars 2016 20:45 Salle Avelana – Lavelanet
L’association « La Vie d’Artiste » a été créée il y a deux ans au centre Léo Lagrange de Foix où elle à été accueillie pendant un an, le temps de la création du spectacle « Danser le Soleil ».
La thérapie par l’art
C’est une compagnie qui conjugue création et diffusion de spectacles vivants (danse, théâtre, spectacle équestre…) avec de la thérapie.
Elle est dirigé par une équipe d’art-thérapeutes (analystes Balint) qui sont en même temps artistes. C’est le cas des deux protagoniste de la pièce, Céline Cacciolati qui est danseuse et comédienne, et Henri Marcoux qui est comédien et metteur en scène.
Tout l’objet de la compagnie est de transmettre le bien être à des personnes de passage, par la participation à une oeuvre collective. « Une façon de se recharger en énergie positive »
Un retour sur soi
« Danser le Soleil » c’est tout d’abord une biographie, la biographie d’une danseuse, Céline Cacciolati.
« A 40 ans, on a roulé sa bosse de danseuse » explique t’elle, alors elle s’est arrêté à Brassac au pied du Mont Picou où elle à pu faire une descente en elle même. Dans son livre Céline témoigne de sa passion, comment la danse est arrivé dans sa vie. Un récit qui est construit autour des trois axes de sa vie. La petite danseuse qui est cette part d’innocence que l’on a tous en nous, la comédienne qui représente la femme adulte et enfin l’écrivain « la femme écriture » qui représente notre part sagesse.
Un récit facile à lire ou chacun pourra retourner une part de soi.
La danse m’a permis de devenir consciente de mes aptitudes et de trouver le moyen de réaliser une vocation. Ma mère m’a beaucoup parlé de cette grâce qui semble m’avoir touchée dès ma naissance. J’ai entendu la parole de ma marraine. Elle s’est penchée vers moi et elle a dit : « On dirait une danseuse indienne ». Je recevais un sceau, un don. J’ai suivi cette légende familiale qui est devenue ma « Légende personnelle » Extrait du livre
Un spectacle intimiste et libérateur
Dans cette première création « Danser le Soleil » une jeune femme vient pour la première fois à une séance de psy. Elle va apprendre à se dire, faire remonter ses souvenirs et en direct, le psy va l’accompagner dans sa découverte intérieur. Entre rêve et hyper réalisme sa passion de la danse va ressurgir. Grâce au tact révélateur du psy sa séance fait sens.
Le lac des cygnes, un élan mystique de Barata Nathyam et une évocation des danses des Toradjas d’indonésie, de Legongcraton, Ketchak de Bali, « Danser le Soleil » c’est un partage intime dans le cabinet du thérapeute, une intimité toute particulière dans laquelle est emporté le spectateur. C’est drôle, c’est léger, c’est poignant, c’est libérateur.
« Danser le Soleil » une production « La Vie d’Artiste » en partenariat avec : la ville de Tarascon, le CIDDF, centre Léo Lagrange, le FAGIP, le théâtre de la terre, la ville de Foix, la ville de Tarascon, et le soutien de radio Transparence.
Mise en Scène : Henri Marcoux – Distribution : Henri Marcoux et Céline Cacciolati
jeudi 10 mars à 20h30 Centre Culturel F. Mitterrand à Tarascon sur Ariège
Le spectacle sera suivi du pot de l’amitié avec les artistes, et la signature du livre « Dansez le soleil » par Céline Cacciolati
Un voyage au coeur de la création théâtrale. C’est malin, cocasse et drôle !
« Hymne à la drôlerie et à la légèreté, mais que de choses ont pourtant été dites. On assiste à une sorte de palais des glaces d’une finesse et d’une habileté qui laissent pantois. On balance toujours entre la surprise, l’émerveillement et l’hilarité. Du jamais vu. Du jamais lu. Du jamais vécu. Mais du pur bonheur. Ce spectacle est de la pure littérature et du pur théâtre. Les deux auteurs comédiens sont de première force. Eve Bonfanti est fine, maligne et prémédite ses chausse-trappes avec une patience savante. Yves Hunstad est un virtuose comme on en voit rarement. Le spectacle est une drogue. On ressort de là shooté, secoué par les derniers ricochets d’euphorie. » Charlie Hebdo
« C’est dans la pratique d’un travail constant et simultané sur l’écriture et le jeu en présence du public, que naît notre rapport à l’art du théâtre. Pour nous, le lieu du théâtre est un espace consacré à la connaissance de la vie, à la poésie de l’univers, à l’apprentissage de ce qui nous meut, à la beauté de l’incertitude qui nous compose. Toute la question est de faire coexister, dans un même spectacle, la légèreté qui se libère du plaisir de jouer sur scène, et la métaphysique qui se dégage de nos questions sur l’existence et l’inébranlable envie de vivre et d’aimer. Le temps présent est notre espace de création (…) » Eve Bonfanti et Yves Hunstad
Production : La Fabrique Imaginaire. Avec le soutien du Groupe des 20 Théâtres en Ile-de-France, le Théâtre d’O de Montpellier, le Centre Culturel Transfrontalier Le Manège-Mons et l’aide de l’Association Beaumarchais et du Ministère de la Culture de la Communauté Française de Belgique, service général des arts de la scène.
Crédit photo : Vincent Marin / P.Delacroix
Jeudi 10 mars – 20h45 Varilhes (Complexe sportif 1) www.lestive.com
Pour la journée de la femme, on se mobilise et c’est la femme « en action » qui est mise en avant ! Artisanes, paysannes, créatrices, musicienne, actrices … venez passer une journée 100% meufs*
Au programme : marché toute la journée, musique et chorale, spectacle de récits musicaux tout public, démonstration, buvette et restauration sur place …
Et comme toujours : Marché annulé en cas de pluie.
* Hommes bienvenus !
Participation aux spectacles au chapeau.
Les Gonzesses Le village 09230 LASSERRE 06 61 32 25 62
Dans la foulée de Rigoletto, Verdi n’aspirait qu’à faire du nouveau. Mais il avait beau trépigner d’impatience, voire même de colère, le projet d’adapter El Trovador, pièce du dramaturge espagnol Antonio García Gutiérrez, ne suscitait de la part de Salvatore Cammarano, son librettiste, qu’un enthousiasme modéré.
Conséquence d’une intrigue rocambolesque entre toutes, ou de la maladie qui allait finir par l’emporter, laissant le livret inachevé ? Face aux injonctions du bouillonnant musicien, le poète, auquel Donizetti n’est pas sans devoir une part du succès de Lucia di Lammermoor, ne céda pas. Et c’est bien là le paradoxe de Trovatore, qui passe aux yeux de ses détracteurs pour le comble du mélodrame, mais dont les contraintes formelles imposées par la plume de Cammarano attisèrent la flamme du compositeur.
Plus que des personnages – seule Azucena la Gitane, qui détient le secret qui les anéantira tous, fait peut-être exception, les airs dessinent des figures consumées par des passions confinant à l’abstraction. Du second rôle que Verdi lui destinait initialement, Leonora accède ainsi au statut d’héroïne sacrificielle, dont la cavatine du quatrième acte, ≪ D’amor sull’ali rosee ≫, est moins un adieu qu’une assomption.
Anna Netrebko porte cette cantilène extatique à incandescence, entourée d’Ekaterina Semenchuk, Marcelo Alvarez et Ludovic Tézier, dans une nouvelle mise en scène d’Alex Ollé.
En s’inspirant de l’actualité difficile de la société grec, Panagiota monte ce quatuor chorégraphique à partir de photos prises par ces nouveaux sans abris, victimes de la crise. Elle se propose de revisiter la sensation d’enfermement, la perte des sens et la reconquête d’identité. La rencontre avec ces femmes et ces hommes l’a profondément questionnée sur l’espoir et sur ses propres désirs de bonheur.
Comment retrouver ses capacités physiques et morales quand on se sent perdu ? Qu’est ce qu’on espère ? Comment dépasser les obstacles ? Où est la sortie ? Elle aime penser qu’il existe une porte à découvrir.
Le regard particulier d’une artiste sur le monde contemporain.
Personnage hors du commun, peu connu du grand public, Alexandre Grothendieck est le fils d’un anarchiste russe et d’une journaliste pasionaria allemande. Il fondera l’écologie radicale, puis après avoir reçu la médaille Fields, il refusera le prestigieux prix Crafoord. Il finira ses jours dans le petit village de Lasserre, dans le Couserans, retiré du monde.
Alexandre Grothendieck, homme de conviction, pacifiste, antimilitariste, anarchiste… et immense mathématicien – l’un des plus grands de tous les temps – est un personnage de roman. Comment, pourquoi, un tel génie a-t-il procédé, par étapes successives, à son propre « enterrement » ?
La vie de Grothendieck nous fascine ; elle contient de larges parts d’ombre et de mystère. Dans les excès, dans le combat de la raison et de la déraison, Grothendieck peut être déconcertant, dérangeant, parfois détestable, toujours pétri de contradictions ; mais c’est aussi un homme généreux, profondément humain, attachant à bien des égards.
L’intervenant : ancien professeur de mathématiques et sciences physiques, Georges Bringuier est inspecteur de l’éducation nationale depuis 1993. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont (aux Éditions Privat) : Alexandre Grothendieck, Itinéraire d’un mathématicien hors norme, 2015 ; Charles Darwin, voyageur de la raison, 2012 ; Lucy, Eve et Marianne (ou Évolutionnisme, créationnisme et laïcité), 2010.
L’ouvrage de Georges Bringuier sur Alexandre Grothendieck (Privat, 2015) sera en vente sur place, le soir de la conférence (18 €).
À l’issue de cette séance, comme chaque fois, vous partagez ce que chacun(e) aura amené à manger et/ou à boire.
Celles et ceux qui le souhaitent pourront renouveler leur cotisation annuelle (ou adhérer pour la première fois) : 10 €, adhésion non obligatoire.
mardi 9 février 2016 – 20 h
espace culturel – Les Bordes/Arize
Anakronic Electro Orkestra Musique klezmer et l’électro
Assurément, Anakronic aime les prises de risque. Alors que le groupe consacre ses 7 premières années d’existence à la fusion audacieuse de musique klezmer et de musique électronique (encensée par la critique, et notamment par Télérama qui leur attribue la note maximale (FFFF) pour leur second opus Noise in Sepher, ils font un grand écart pour leur troisième album – Spoken Machine – en proposant une fusion de Hip Hop et de rock électro, avec l’invitation à leur côté de la rappeuse new-yorkaise Taron Benson.
Cet ovni sonique franco-américain déboule tel un pavé dans la mare, mais en réalité, chez Anakronic, tout fait sens. Leur jeu ? Mêler leur univers singulier à toutes les esthétiques musicales.
Le groupe (initié et porté par Mikaël Charry, compositeur) nous a habitué aux collaborations, que ce soit avec Pigeon John, Socalled, Marc Ribot, Estelle Goldfarb, David Krakauer, Mangu ou Amy D. et ses musiciens maliens.
Et leur prochaine collaboration sonne comme évidence : ils invitent le pape de la musique klezmer, David Krakauer, à co-signer un album avec eux (sortie début 2016).
Lyre le temps Jazz / Electro / Nu-Swing
Lyre Le Temps, c’est d’abord le rêve de trois passionnés de musique: voyager à travers le XXème siècle. Bien que chacun des protagonistes arbore une couleur musicale différente, ils partagent le même intérêt pour les grands genres qui ont influencé le XXème siècle – en particulier le jazz. les différents titres ont été enregistrés en une prise, et rien n’a été écrit à l’avance… Nommés “Découvertes du Printemps de Bourges” en 2009, ils ne comptent pas s’arrêter là.
Lyre le Temps a produit un premier album ‘LADY SWING’ distribué par le label IRFAN en 2010, et depuis est reparti sur les routes pour partager avec le public leur musique.
Deux singles sont sortis en 2012: Lindy Hop, ft. Electric Swing Circus, et Swing Machine, avec Art District.
Leur deuxième album “Outside the box” (Believe/PIAS) leur a permis de jouer au Québec, en Angleterre, en Espagne.
samedi 6 février 21h30 Casino d’Ax les Thermes plus d’infos : www.lestive.com
Prenez une bonne dose de festif, un zeste de manouche et une grosse louche de joie de vivre, ajoutez-y une Contrebasse, une Guitare et une Clarinette, élevées à la chanson française et vous obtiendrez : « Ca peut plaire à ta mère » du plaisir à vous faire tricoter les pieds !!
A travers des textes remplis de sincérité tantôt incisifs, tantôt délicats, réalistes ou naïfs, Ça peut plaire à ta mère nous racontent des souvenirs, des tranches de vies sur une musique légère et des rythmes entraînants.
Spontanés, loufoques et décalés, nos 3 compères aiment prendre la route à la rencontre du public et colporter, depuis 2010, la bonne humeur et la fête de concerts en concerts, de Toulouse à Lyon, du Vaucluse à l’Ariège, du Lot au Jura.
« Ca peut plaire à ta mère » a eu le plaisir de partager la scène avec André Minvielle, KKC Orchestra, Alain Leprest, Sapho, Chouf, Phyltre, Kassla Datcha, et bien d’autres !
Lieu : Salle Henri Servant (RDC mairie), 21h00 Entrée : 8€, tarif réduit (jeunes -20ans et adhérents sympathisants) 6€, gratuit moins de 12 ans. Contact : 06 02 33 50 10 (réservation possible) www.varilhations-culturelles.fr
Kyle Eastwood viendra nous interpréter tel un parfait reflet de son parcours artistique. D’abord, il sonne comme un aboutissement du travail entamé avec les jeunes Anglais qui l’accompagnent, désormais rejoints par un batteur cubain qui leur insuffle une pulsation impeccable.
Autour des compositions souvent collectives du quintet, le répertoire est aussi un autoportrait musical de Kyle Eastwood. Les reprises choisies (Herbie Hancock et Horace Silver) révèlent sa passion pour le hard bop lyrique des années cinquante et soixante, et une relecture de son thème pour Letters from Iwo Jima confirme l’importance de son écriture pour le cinéma.
Tout en élégance mélodique et en groove soutenu, Kyle nous entraîne au cœur d’un Song Book moderne de jazz d’aujourd’hui.
Tarifs : 18€, réduit 13€ (Rsa, demandeurs d’emploi, -26 ans, gratuit -13 ans. Infos : 05 61 60 93 60 Direction des Affaires Culturelles. Billetterie en ligne : ville-pamiers.festik.net
L’histoire est celle de Robert, un jeune juif âgé de 10 ans en 1939 confronté à l’effroyable réalité de l’époque : il a été séparé de ses parents et de tous ses frères et sœurs envoyés dans des camps de concentration. Il est le seul à être sauvé… Robert grandit comme il le peut durant cette période troublée. Devenu adulte, Robert essaie de comprendre… Dans une sorte de rêve sous forme d’introspection, il parle à l’enfant et à l’adolescent qu’il a été (à 10 ans, à 13 ans ½, à 17 ans) : « Mais moi je dois vivre » dit-il… « Je dois survivre… ».
Ce spectacle traite avant tout de la déportation et de la culpabilité de ceux qui ont été sauvés.
THEATRE, HISTOIRE ET TERRITOIRE
Un partenariat avec L’Amicale des Anciens Internés Politiques et Résistants du camp de concentration du Vernet d’Ariège. Nous avons souhaité faire le lien avec l’histoire locale, aussi terrible soit-elle, afin de relier l’artistique et l’historique et rendre encore plus riche cette rencontre avec notre public. L’Amicale du Camp du Vernet a répondu présente et les artistes sont ravis de cette proposition qui entre tout à fait dans leurs objectifs artistiques et pédagogiques.
Le spectacle sera donc suivi d’une rencontre/débat avec la présence de l’association et les membres de la compagnie » Le Théâtre Chez Soi »
Une exposition sera aussi proposée par l’amicale dans le hall du théâtre retraçant l’histoire du Camp du Vernet d’Ariège. Ouverture des portes à 20h.
Et voici un nouveau chapitre des contes méditerranéens…
Il dormait paisiblement pépère sur le quai du port d’Alexandrie mais l’aventure l’a surpris au réveil. Et le voilà embarqué dans sa petite embarcation rouge sur les flots bleus -ou presque- de cette mare nostrum.
D’orient en occident, de vent chaud en bourrasque il traverse des légendes,, des mythes antiques , collectent les histoires et rumeurs des ports.
Ce soir il est là le conteur pour vous offrir ces souvenirs de son tumultueux voyage à bord de sa barque !
Mémoire attisée, oreilles gorgées de paroles, le conteur subit les ondes de la Méditerranée, embarquent avec lui une jarre d’or et un maçon, un miroir et des visages, une belle et une bête, un sac de farine et des ballons multicolores.
Et voilà :
A barque à bon port , paroles salées
A conteur éveillé , conte à l’infini !
le 28 janvier 20H30 Centre Culturel François Mitterand Tarascon sur Ariège 06 81 860 870 / 06 86 84 16 21
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