Auteur/autrice : Eric d’AzinatTV

  • Des ariégeois à la Découverte de l’Australie.

    Récit d’une aventure menée par quatre jeunes ariégeois, Antonin, Johanna, Loïc et Sébastien dans l’immensité des terres Australiennes. Par Sébastien Font.

    J’ai toujours pensé que le voyage allait occuper une place importante dans ma vie. J’ai d’abord commencé par de petites virées en famille dans nos chers départements français. J’ai ensuite eu la chance de découvrir des pays tels que le Canada ou l’Italie, mais là encore toujours en famille. Puis j’ai opté pour quelque chose de plus nouveau : une aventure un peu plus indépendante sans parents ni itinéraire prédéfini. Une traversée de l’Europe en train avec deux amis. Cette dernière à semé en moi l’idée simple que je devais et étais capable de partir au bout du monde. Le moment était venu pour moi de sauter dans le vide et de m’investir dans un projet que je n’avais alors même pas osé croire réalisable : La découverte de l’Out back Australien.

    Le jour ou trois amis m’ont proposé de les suivre dans un voyage au pays du surf et des moutons, j’y ai vu une incroyable opportunité de changer radicalement ma vision des choses, de partir à la découverte d’un pays nouveau, riche en traditions et en paysages. Après avoir effectué toutes les démarches administratives relatives a un tel voyage, ainsi qu’après avoir averti nos proches respectifs d’un départ imminent, nous nous sommes alors envolés de Paris Charles de Gaule à 21h50 pour Brisbane Airport avec escale à Dubaï, laissant famille, amis et confort.

    Dans l’avion, n’ayant pas encore réalisé dans quelle direction ma vie s’élançait à grand pas, je consumais mes 10 premières heures de vol à regarder des films (en français) et à profiter de la sensation intense que procure l’idée de quitter son pays natal pour une durée indéterminée. Bizarrement je pensais aussi à l’après voyage, si retour il y avait. Quand le moment serait venu de montrer tout le  vocabulaire anglais emmagasiné pendant 9 mois de pratique intensive. Serai-je capable d’impressionner mes parents devant les questions à fort accent british de mes voisins Londoniens ? Pourrais-je avoir une conversation dynamique avec une jeune étudiante new-yorkaise croisée dans la rue sans avoir à répéter toute les 5 secondes ‘sorry ?’, ni à acquiescer honteusement de la tête en signe de compréhension, sans avoir compris un seul mot de sa phrase.

    En fait, ces interrogations soulevaient un problème auquel nous ne voulions pas penser. Nous étions trois, amis et Français.

    Aussitôt atterris à Dubaï à 6h20 du matin, heure locale, nous avons patienté 4h30 dans l’incroyable et imposante structure que constitue cet aéroport encore en expansion, et avons profité de la zone Duty Free pour acheter sucreries et cartouches de cigarettes. Nous sommes repartis à 10h25, quittant les 28°C en cette matinée d’octobre.

    Les 19 heures suivantes qui se sont écoulées dans l’avion on été relativement paisibles, si ce n’est les six films engloutis avec pause toilette entre deux, ne pouvant pas fermer l’œil à cause du bruit assourdissant des moteurs et de l’incommodité des sièges. Les heures passaient et l’avion se rapprochait inexorablement du point ‘Brisbane’ sur la carte, ne faisant que quintupler notre excitation. Chaque seconde devenait minute. Le compte à rebours qui avait débuté devant mon écran d’ordinateur, à la seconde ou j’avais pressé le bouton entrer de mon clavier, réservant ainsi mon billet d’avion et devenant certain de mon futur proche, arrivait bientôt à terme. C’est alors qu’au bout de 6 films, 4 repas et 17 heures passées dans cet avion, qu’il y a eu le déclic, la prise de conscience, le doute. « Mais que suis-je en train de faire  » ? Je suis à 13000 mètres d’altitude, à 1000 km/h, suspendu dans le ciel, en train de partir pour 9 mois minimum dans un pays inconnu, avec pour seul mot d’ordre : Free style ». Je me tourne vers mes amis, je les fixe avec plein d’admiration, et le long de mes joues se mettent à couler des larmes. Je suis en train de réaliser véritablement quelles conséquences aura ce voyage sur ma vie future. Je regarde à nouveau mes amis. « on est fous !»

    La roue de notre A340 a enfin touché le sol Australien. Température extérieure 25°C.

    Aussitôt descendu, nous avons parcouru les couloirs interminables réservés aux passagers arrivants et nous nous sommes dirigés au service des douanes, présentés nos passeports, récupéré nos 20kg de bagages chacun et nous étions dehors. ‘Welcome in Australia ». Les prochaines heures que nous allions passer sur cette nouvelle terre allaient certainement être les plus dépaysantes de notre vie. C’est ici que le voyage a commencé, à Brisbane, le 14 octobre 2009.

    Dans le tram pour le centre ville nous n’avons pas quitté du regard le paysage qui défilait devant nos yeux. Chaque détail avait de l’importance, chaque individu qui rentrait ou sortait du tram faisait l’objet d’un commentaire et était dévisagé. « C’est incroyable comment chaque chose est différente de ce que l’on connaît ». Nous étions ébahis par ce tableau peu ordinaire qui se dressait devant nous. En train de découvrir une architecture différente, une biodiversité différente et toutes autres choses que ce que l’on peut voir sur les cartes postales : les usines, les parkings, les bâtiments désaffectés, les résidences, les jardins, les murs taggués semblaient au fur et à mesure nous apporter plus d’informations sur le pays, sur le mode de vie et sur l’identité des Australiens. Nous nous échangions des sourires. Nous avions oublié le voyage éprouvant que nous venions de subir. Nous étions heureux.

    Aussitôt arrivé à la « central station », nous nous sommes empressé de trouver un Backpacker et de nous débarrasser de nos encombrants bagages qui commençaient à nous scier les articulations. Chose faite, tout excités de pouvoir enfin poser les pieds sur le bitume et allégé de quelques 20Kg, nous avons pu déambuler librement. L’immensité de cette ville de 2 millions d’habitants m’impressionnait mais m’était tout de même un peu familière, ayant parcouru au préalable les axes principaux sur Google Map.

    Après 29h de voyage assis et 4 misérables repas dans les airs, nous avons voté à l’unanimité pour un bon rafraîchissement et une pizza. Premier contact avec la bière australienne et certainement pas le dernier.

    Déjà conquis par l’incroyable hospitalité des habitants de Brisbane, nos intentions étaient de rester quelques jours et arriver à temps pour le début de nos cours d’anglais prévus le 19 octobre à la « English Language Shcool of Byron Bay ». Finalement l’envie de nous y rendre en avance a été plus forte et nous avons prit un bus le lendemain après midi pour parcourir les 140km qui sépare Brisbane de Byron Bay. .

    Les 4 heures de route le long de la côte ont suffit pour témoigner de l’incroyable diversité des paysages du Queensland et du New South Wales (la nouvelle Galles du sud). Nous découvrions de kilomètre en kilomètre des décors qui changeaient à une vitesse folle, passant de collines arborées et verdoyantes à un paysage plat et grisâtre, de criques rocheuses à une véritable jungle de lianes et d’eucalyptus. De ville en ville, on découvrait la grandeur, la richesse et le potentiel touristique de chaque ville de la Gold Coast, qui en fait la destination principale des étudiants en fin de cycle de toute la partie Est du pays durant les « schoolies ». Surfer Paradise, Palm Beach, Coolangatta, Twead heads, autant de spots de surf connus et reconnus mondialement, proches les uns de autres, où déferlent de magnifiques vagues quelque soit la période de l’année.

    Nous sommes arrivés en fin d’après midi sentant déjà les vibrations hippy, le charme et le potentiel incroyable de cette petite ville côtière. Nous avons déposé nos sacs dans un backpacker, réservé une chambre pour la nuit et tongs aux pieds, nous avons courru dans les larges rues en direction de la plage, croisant surfeurs et bodyboardeurs encore mouillés. J’ai alors senti le sable effleurer mes doigts de pied . Nous étions tous les quatre, face à l’Océan Pacifique, nous nous rapprochions de l’eau lentement et savourions chaque seconde unique de bonheur que nous offrait ce spéctacle. Le soleil orange-violet ce reflétait sur l’horizon du Pacifique. Il ce trouvait à dix mètres de moi, celui que j’avais toujours réspécté, toujours envié, que je n’avais jamais vu, jamais touché. Nous nous sommes avancés, sans hésitaion. L’eau tiède de l’ocean nous a dévoilé une de ses plus belle vague de bienvenue.

    Comblé d’admiration et d’exitation, d’amitié et de beauté, je me promis alors que plus jamais je ne me sentirai malheureux.

    La suite de notre aventure qui a duré un peu plus de 9 mois nous a permis de découvrir les nombreuses régions, parcs naturels et plages qui font de l’Australie un pays qui reste sauvage. Mais elle nous a aussi permis de découvrir la dure réalité dans laquelle le peuple aborigène est en train de sombrer.

    Nous avons eu  l’opportunité et la chance d’avoir des contacts avec ce peuple qui s’efface de plus en plus sous la culture dite « américaine » de consommation de masse.  Il est important de préciser dans quelles conditions déplorables ils vivent, étant chassés de leurs terres pour permettre la construction des villes. Il est déprimant de voir que ce peuple, et surtout la jeunesse aborigène, est face à un paradoxe qui tend à déchirer leurs mœurs et leur culture. La grande majorités des anciens ne veulent pas oublier la façon dont le gouvernement australien les a traités. Dans un état de refus totale d’aides du gouvernement, les anciens inculquent à leurs enfants la peur des occidentaux et la haine des « blancs ». Mais en même temps, la jeunesse n’étant pas directement conscérnée comme l’on été leurs parents par les actes du gouvernement, a envie et a besoin de ce rapprocher de cette culture occidentale qui les entoure pour pouvoir s’intégrer. Ils en ont assez des conditions de vie que leur offre leurs parents. Nous étions écœuré de voir la grande majorités des adultes vivre dans la rue avec leurs enfants et commettant des vols pour se procurer de l’alcool et errant dans les rues sans buts ni solidarité pour leurs frères.

    Malgré cette situation, qui ne touche que certaines régions mais qui reste tout de même alarmante, nous avons découvert un pays ouvert, multiracial, doté de paysages fabuleux et très variés, d’une population très hospitalière et surtout un pays dans lequel chacun peut vivre une expérience propre à ses envies.

    [nggallery id=38]

    Crédit photos Sébastien Font.

  • Joli succès pour « la course pour rire » à Beille

    Malgré une météo incertaine ce samedi 26 février au plateau de Beille, (alternance d’éclaircies, de pluie et de vent), c’est une dizaine d’équipes qui étaient au départ de la traditionnelle « course pour rire« . Des équipes françaises et catalanes et essentiellement familiales se sont élancées pour un relais 2 fois 700m. Beaucoup de récompenses ont été distribuées et notamment des t-shirts et bonnets Azinat.

    Après la course, dans une ambiance conviviale, Isabelle (accompagnatrice en montagne pour la base ANGAKA) a sorti son accordéon autour du traditionnel « Nordic vin show » (vin chaud et chocolat chaud offerts par la Station).

    Si vous aussi vous voulez participer, rendez vous tous les samedis à Beille dès 14h30 pour la « couse pour rire » et le « Nordic vin show ».

    [nggallery id=36]

    crédit photos Azinat.com

  • Georges-Patrick GLEIZE : « Rue des Hortensias rouges »

    C’est le titre du neuvième et tout nouveau roman de Georges-Patrick GLEIZE qui sortira le 2 mars. L’action se passe principalement à Ax-les-Thermes en 1936 et à Toulouse en 1991.

     » Quelques lingots d’or, une arme à feu, et une lettre envoyée de Lettonie : c’est le curieux héritage que Maxence découvre à la mort de sa mère, Mathilde, dans son appartement de la rue des Hortensias rouges à Bègles. Héritage d’autant plus singulier que Maxence, abandonné peu après sa naissance, ne connaît rien du passé de Mathilde. Intrigué, il part pour Riga et découvre, bouleversé, ce destin qui a basculé un matin de 1936, lorsque par amour, sa mère quitte Toulouse et sa vie bourgeoise pour suivre un militant trotskyste en Espagne aux côtés des républicains… »

    Après Le Destin de Marthe Rivière et L’Auberge des myrtilles, Georges-Patrick Gleize retrace, de l’Ariège à l’Espagne, une folle passion sous le signe de l’Histoire et du front populaire. »

    Le lancement officiel se fera le 2 mars 2011 à Ax-les-Thermes, salle de cinéma du Casino avec le support de la librairie « Les beaux livres ».

    Retrouvez également Georges-Patrick GLEIZE, mercredi 2 mars sur radio transparence dans l’émission de Tania Helbringer

    « Rue des Hortensias rouges » chez Albin Michel 2011

  • « Les courses pour rire » à Beille avec Azinat.com

    La neige est enfin arrivée sur nos belles montagnes et Azinat.com est partenaire des « courses pour rire » organisées tous les samedis au plateau de Beille dès 14h30.

    Un moment agréable et adapté à tous types de skieurs, par équipe de deux personnes et sous forme de relais, homme/femme, débutant/novice, junior/senior… tout est permis. Alors si vous êtes en famille, en couple ou entre amis, que vous soyez petits ou grands, n’hésitez pas à vous rendre à Beille, dès ce samedi 26 février et jusqu’ au 2 avril, pour tenter votre chance et participer à cet évènement ouvert à tous et avec des surprises à la clé…

    inscription sur place et au moment.

    crédit photo : page facebook http://www.facebook.com/pages/Beille-Chioula/104826786255574

  • Patrick Hiérard « Quand je serai grand, je ferai berbere »

    Voici le tout premier roman de Patrick Hiérard, dans lequel il raconte ses souvenirs d’enfance au Maroc mais aussi en Ariège dans le petit village de Serre sur Arget où il débarque en 1965 à l’âge de 12 ans.

    Patrick se définit comme « ariégeois d’adoption et pied noir occitan »

    Laissez-vous entraîner par la saga de Maurice, l’orphelin de Lorraine, qui débarque au Maroc en 1926 pour y mater la révolte des tribus d’Abdel Krim, mais Maurice déteste cette guerre coloniale.

    Suivez-le quand il s’opposera malgré lui, à l’armée américaine de Patton qui débarque au Maroc pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Maurice aime passionnément le Maroc, mais il sera pris dans la tourmente de ce pays qui cherche son indépendance. Meurtres sauvages d’Européens, réponse tribale de l’armée française et c’est l’engrenage dramatique. Il échappera à des attentats, il ne vivra plus qu’avec son revolver et une grenade dans la poche.

    Le calme revient, Maurice trouve sa voix dans le Sud marocain en aidant les fellahs à développer leur agriculture, il est aimé et respecté,

    1965, le retour mystérieux vers la France. Il découvre l’affreux nom de « Rapatriés »,il est un étranger dans son propre pays, il souffre et sa famille aussi. C’est alors la longue adaptation à son nouveau pays.

    Maurice a 60 ans et se retrouve perdu en Ariège dans le village de Serres sur Arget… Patrick, son fils, se souvient. Il raconte ses souvenirs de gosse, du Maroc où il a vécu jusqu’à l’âge de douze ans, son arrivée en France…a serres sur arget, à Pamiers, Foix… La vie se passe, l’enfant grandit, que va-t-il devenir ?

  • Bernard Garcia « la fin du monde en 2012 ? Bugarach c’est pas loin et puis c’est pas grave en Ariège on a toujours eu 100 ans de retard »

    Ariégeois d’origine et forcément de coeur, Bernard Garcia est né le 2 avril 1956 à LAVELANET d’une famille paysanne, et il est père d’un garçon, Nicolas né en 1988.  De 1956 à 1969  il passe son enfance dans la ferme familiale où il se familiarise aux petits travaux agricoles. Après une scolarité primaire à l’école du village de Chalabre, il entre en secondaire au lycée de ST GIRONS puis de FOIX.

    Attiré par le tourisme (animateur en club de vacance en Tunisie,Grèce, …, responsable de bureau de représentation touristique pour le Tour Operateur FRAM , responsable commerciaux du CDT de l’Aude), il obtient  son Brevet de Technicien Tourisme en 1976. Dix ans plus tard c’est la création de PYRENE VOYAGES, agence réceptive en PAYS CATHARE et Grand Sud Ouest. Cette PME  ariégeoise, dont il est toujours à la tête, compte aujourd’hui 7 points de ventes, 17 collaboratrices et réalise un volume d’affaires de 6M€.

    En 1994 il acquiert et réhabilite « La Maison des Consuls » à MIREPOIX et la transforme en  hôtel de charme de 8 chambres avec un concept de Bistro de Pays.

    Parallèlement, il cumule plusieurs fonctions représentatives : Fondateur du club Parfum de France regroupant 30 agences réceptives. Vice président de la chambre de commerce de l’Ariège depuis 1992. Président de l’UMIH 09 depuis 2001 et vice président MIDI PYRENEE. Vice président fondateur du club Hôtel de charme en MIDI PYRENEE. Administrateur national du SNAV depuis 2007. Administrateur d’AS voyages depuis sa création par la fusion AFAT/SELECTOUR en 2010.

    Si l’on demande à Bernard Garcia sa vision de l’Ariège, il répond :

    « Je vois une industrie touristique « bio », la mise en scène de notre patrimoine pour l’offrir au regard des autres et la préservation de l’authenticité par la vie. Non aux villages musées oui aux villages vivants, en trouvant le juste équilibre entre commerce de tradition et de proximité et ceux, plus saisonniers, dédiés aux visiteurs. Et après la révolution de jasmin et celle du Nil, à quand celle de l’ AZINAT, pour une Ariège ouverte à toutes les idées dans la tolerance et le respect »

    Bernard Garcia pour Azinat, février 2011 : « la fin du monde en 2012 ? Bugarach c’est pas loin et puis c’est pas grave en ARIEGE on a toujours eu 100 ans de retard »

  • Germaine Soula, une BD 100% ariégeoise !

    Germaine Soula, une BD 100% ariégeoise !

    D’une rencontre aussi impromptue qu’improbable entre Philippe Cazeneuve, Jean Pierre Stahl et Jean Jacques Cripia (Duo des Non), naquit à l’écoute d’un morceau de Jazz Nouvelle Orléans, parodie de Sweet Georgia Brown, joué par le Yukon Dixieland Orchestra, au cours d’une soirée ô combien conviviale, le  challenge de faire vivre, en images, Germaine Soula dont il est question dans la chanson.

    Impossible n’étant pas Ariègeois, Germaine Soula se met à vivre et à exister sous les crayons de Philippe Cazeneuve et la plume de Jean Pierre Stahl, pour nous offrir un florilège d’amusantes aventures romantico-sentimento-sportivo-touristico-ariègeo-rurales, mettant en scène Germaine, Firmin et les personnages du petit village imaginaire de Vernajoul (toute homonymie ne pouvant relever que de la pure fiction !) animés affectueusement par les auteurs.

    Les personnages de cette BD pour Adultes, existent sans doute, ouvrons les yeux, ils ne sont peut être pas si loin de nous, et si tout simplement le bonheur était là ? En tout cas c’est sûr l’humour est dans les prés.

    Produite par les Editions Pro Scenium (Duo Des Non) E-mail : duodesnon@wanadoo.fr Tel :05 62 79 14 71 Collection « Ici par chez nous », la sortie de cet Album de 50 pages, est prévue, accompagnée de la signature des auteurs, pour le Vendredi 11 Février 2011 de 10h à 12h à la Maison de la presse Bruel à Lavelanet ; le Samedi 12 Février de 15h à 16h 30 ; à la Librairie Surre Majuscules et le Lundi 14 Février de 10 h à 12h à Mirepoix sous les couverts devant la Maison des Consuls.

    Un superbe cadeau de la Saint Valentin, à découvrir goulument, Boudu éh ! bé !


  • Préservatifs ariégeois

    A l’occasion de la Saint Valentin, Azinat.com vous propose un cadeau original à petit prix. Un lot de trois préservatifs à l’effigie de nos avatars Facebook et assortis d’une petite citation coquine. N’hésitez pas à faire sourire votre fiancé(e) ou vos ami(e)s.

    Accédez directement au produit

  • Azinat.com; une soirée « partenaires » au manoir d’Agnes autour d’un azinat

    Amuse-bouche, Azinat première passe « bouillon et rouzolle« , Azinat deuxième passe « farandole de viandes et légumes« , croustade aux pommes et pruneaux, tel était  le menu qu’avaient concocté Jean Carzola, Chef aux « Saveurs du Manoir » à Tarascon, et son équipe.

    Le mardi 1er février, l’équipe d’Azinat.com avait convié ses distributeurs et partenaires à une soirée conviviale autour du traditionnel Azinat. Après une présentation rapide des nouveaux produits et des événements prévus pour 2011, chacun a pu s’attabler, discuter, plaisanter et lier connaissance. Une soirée 100% ariégeoise, puisque que l’Azinat était accompagné d’un vin des Côteaux d’Engraviès et d’un apéritif au Sambuc des Terroirs du Plantaurel.

    [nggallery id=35]

    crédit photos : Sébastien Font et Matthieu Bardou

  • Jean-Pierre Stahl « Je suis un humaniste libéral, philanthrope et épicurien, passionnément et fusionnellement endémiquement Ariégeois »

    Jean-Pierre Stahl « Je suis un humaniste libéral, philanthrope et épicurien, passionnément et fusionnellement endémiquement Ariégeois »

    Ariégeois d’origine, Jean-Pierre Stahl est né à Foix en 1947. Après un baccalauréat en sciences expérimentales et une année de médecine, il se dirige vers des études dentaires, obtient son diplôme en 1973  et installe son cabinet à Lavelanet en 2002, après avoir exercé à Tarascon et à Montgailhard.

    Jean-Pierre Stahl aime sa famille et ses amis, sa profession, la musique (musicien au Yukon Dixieland Orchestra – Washboard et Chant) , le Music-hall, Le Chant, La Mise en Scène et le Rire. Les voitures anciennes, le bateau, le rugby et le ski. L’écriture et les discussions lors de bons repas entre amis. La convivialité, le vin et les cuissons à la broche. L’ouverture d’esprit , l’intelligence, la tolérance et le respect de soi, de sa famille, de ses amis, de son pays et de ses institutions. L’impartialité

    En 2006 il se lance dans la mise en scène et réalise un petit film à la gloire de l’Azinat, « Une Affaire de Choux ». Fort de cette expérience, d’autres projets sont en cours de réalisation, tournage d’un film (Réalisation Digi Production) « Mady m’a dit !! » et la création d’une Bande Dessinée : « Les Aventures de Germaine SOULA ».

    Depuis 1999, Jean-Pierre Stahl est Grand Maistre de la Confrérie des Avelanaïres, et membre fondateur et Président de la Fête de la Noisette à Lavelanet.

    Jean-Pierre Stahl pour Azinat.com, février 2011: «Je suis un humaniste libéral, philanthrope et épicurien, passionnément et fusionnellement endèmiquement Ariégeois»

  • Que la Montagne est rebelle…

    « Parce que la montagne est un lieu de vie à part entière. Parce que, ici comme ailleurs, la proximité des services publics constitue un facteur essentiel de dynamisation des territoires ».

    Les mairies de L’Hospitalet et de Mérens se sont donc conjointement associées pour mener un combat baptisé « Que la montagne est rebelle« .

    Les objectifs de celui-ci sont les suivants :
    • Agir pour la défense de nos services publics,
    • Favoriser le développement social et économique de nos territoires,
    • Faire de nos deux villages les « symboles » du combat pour la vie en montagne.

    Un certain nombre d’actions sont prévues pour mener ce combat. La première d’entre elles, et non des moindres, est la conférence de presse organisée le 25 Janvier 2011 à 12h pour lancer officiellement le mouvement.
    À cet effet, de nombreux supports ont été réalisés pour accompagner cette conférence (site www.quelamontagneestrebelle.com, autocollants, affiches…) afin de rassembler un maximum de personnes.

    Un manifeste résume les raisons et les positions prises par ce combat, il en retranscrit l’esprit et en est le symbole fort. Celui-ci a pour objectif de rassembler au delà de la Vallée et du département toutes les personnes qui croient à l’aménagement équilibré du territoire.

  • Azinat toujours plus haut.


    Cette fois, c’est Laurence qui a porté très haut les couleurs de l’Ariège, puisqu’elle a entrepris et réussi l’ascension du pic Uhuru, le pic de la Liberté, en Tanzanie.

    5895 mètres, le point culminant de l’Afrique. Uhuru peak est le plus haut pic du Kilimandjaro, devant le Shira culminant à 3 962 et le Mawenzi, s’élevant à 5 149 mètres d’altitude.

    Un seul mot, bravo Laurence, et une question, qui battra le record …