Auteur/autrice : Eric d’AzinatTV

  • Henri Nayrou : « Trop souvent, la nature a bon dos. En Ariège, elle a bon goût ! « 

    henrinayrouHenri Nayrou est né le 21 novembre 1944 à Suc-et-Sentenac dans la haute vallée de Vicdessos où il a passé les 11 premières années de sa vie. Né montagnard, il est resté montagnard dans l’âme, viscéralement attaché à l’Ariège. Rugbyman par passion, journaliste par vocation, il a voyagé dans le monde entier pour le journal Midi Olympique dont il a été le rédacteur en chef et le directeur jusqu’en 1997. Dès 1983, il a été élu municipal à La Bastide de Sérou ( 1ier adjoint puis maire ) et conseiller général du Séronais jusqu’en 1998 et ensuite du canton de St Girons.

    En 1997, il a été élu député de l’Ariège et réélu en 2002 et 2007. Il est rapporteur spécial du budget du sport à l’Assemblée Nationale depuis 2007. Actuellement, il est président de l’Association Nationale des Elus de la Montagne ( ANEM ) qui est une force redoutée au Parlement. Il est également président de la commission Communication du Conseil Général de l’Ariège, de la station de Guzet, de l’Hopital du Couserans et du Golf de l’Ariège.

    Principales actions d’élu : son amendement sur les avantages fiscaux consentis en 2000 aux bénévoles de toutes les associations, création du golf de La Bastide de Sérou, relance de la station de Guzet, lancement du Centre de réadaptation neurologique et du Foyer d’accueil médicalisé qui créera, à terme, 105 emplois en Couserans.

    Points d’intérêts personnels : ski, golf, montagne, vins.

     » L’Ariège, terre authentique, a eu longtemps les défauts de ses qualités, elle bénéficiera demain des qualités de ses défauts  » et  » Trop souvent, la nature a bon dos. En Ariège, elle a bon goût !  »  Henri Nayrou – août 2009 pour Azinat.com

  • Kamel Chibli : L’Ariège terre d’apprentissage, terre d’accueil, terre de metissage et terre d’hospitalité

    kamel chibliIl a un coeur “gros comme ça”, un parlé franc et il s’est investit dans la vie locale dans la commune de Lavelanet depuis une dizaine d’années, notamment en faveur des jeunes. Originaire du Maroc, il l’est aussi de l’Ariège (Pays d’Olmes) et son coeur balance entre les deux rives de la Méditerranée. A 30 ans il entame un deuxième mandat en tant que conseiller municipal aux côtés de Marc Sanchez le nouveau maire qui a succédé à Jean-Pierre Bel Sénateur de l’Ariège auprès de qui Kamel a longuement travaillé. Il envisage un parcours politique au delà du département pour faire “bouger” les choses notamment dans les banlieues.

    « l’Ariège, c’est mon histoire et mes racines, je suis fier d’être un Ariégeois-méditerranéen », « L’Ariège terre d’apprentissage, terre d’accueil, terre de metissage et terre d’hospitalité, Je suis très fier de représenter mes racines ariegeoises  à travers le pays, l’Europe et le monde. » Kamal Chibli Août 2009 pour Azinat.com

  • Pays des Pyrénées Cathares : 800ème anniversaire de la croisade

    montsegurQualifiés d’hérétiques, de cathares ou de parfaits par ceux qui les dénoncent, ils se nomment eux-mêmes bons hommes et bonnes femmes et leurs fidèles, bons croyants. On a lancé contre eux une vaste croisade…

    Loin des origines orientales qu’on veut bien lui prêter, le catharisme est une forme médiévale de christianisme. Ses adeptes se considèrent comme la vraie Eglise du Christ et des apôtres à la différence de Rome qui a, selon eux, dévoyé l’héritage initial. Dès le XIe siècle, dans différentes parties d’Europe, les condamnations se multiplient. En Occitanie, en revanche, le catharisme trouve un terreau propice. Le catharisme se diffuse dans le comté de Toulouse et dans les vicomtés réunis par la famille des Trencavel – Carcassonne Béziers, Albi et Limoux-. Le monde féodal méridional est moins structuré et centralisé que son pendant du nord. On y trouve de nombreuses et complexes co-seigneuries ; des liens de vassalité denses. Une fois qu’il a touché la classe aristocratique, le catharisme peut, dans ce contexte, s’ancrer facilement et profondément. Dans le village fortifié autour du château que l’on appelle le castrum, les habitants se côtoient continuellement. Leurs maisons sont enserrées à l’intérieur du rempart au pied de la tour féodale et les pratiques des uns influent sur celles des autres. C’est d’autant plus vrai que les religieux cathares vivent au cœur des bourgades, priant et travaillant à la vue de tous. Ils occupent des maisons communautaires ouvertes dont on compte une cinquantaine à Mirepoix, dont certaines sont fondées pour les femmes comme à Dun ou Lavelanet. Leur église est organisée ; elle propage sa foi et dispense les sacrements.

    Lorsque Innocent III accède au siège pontifical en 1198, la réponse des autorités catholiques va se faire plus musclée. Dès 1208, le nouveau pape s’appuie sur le prétexte de l’assassinat de son légat, Pierre de Castelnau, pour appeler à une croisade. Elle démarre en 1209. Comme pour toutes les autres croisades, il s’agit d’une guerre contre les infidèles permettant de déposséder et de tuer. La différence est que cette croisade-ci se déroule en terre chrétienne. Les armées du nord déferlent sur le Languedoc avec pour objectif de chasser de leurs terres, afin de les remettre à de bons catholiques, tous ceux qui protègent l’hérésie. Bûchers collectifs, massacres de civils, pillages se succèdent.

    C’est à Béziers en juillet 1209 qu’est prononcée cette phrase tristement célèbre : « Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens ». Les chevaliers que l’on va alors appeler les faydits sont dépossédés au profit des barons du nord, la famille de Lévis notamment pour la terre de Mirepoix et du pays d’Olmes.

    Après la mort en 1218 du célèbre chef de guerre croisé, Simon de Montfort, l’espoir renaît et les reconquêtes se multiplient. Il est de courte durée. A partir de 1226, le roi de France, Louis IX, intervient à la tête d’une puissante armée. L’alliance du roi et du pape conduit à la défaite du Midi. Par le traité de Meaux en 1229, les terres du comte de Toulouse reviennent à sa fille Jeanne promise au jeune frère du roi, Alphonse de Poitiers. Si le sort politique du Languedoc est scellé il n’en est pas de même pour les églises cathares qui entrent dans la clandestinité. Montségur abrite les évêques successifs du Toulousain mais aussi le clan seigneurial Péreille-Mirepoix et ses défenseurs. Ce nid d’insoumis offre une double résistance : à l’ordre catholique romain et à l’ordre royal français.

    En 1244, après un an de résistance, les assiégés se rendent. En cette journée du 16 mars, deux cents vingt religieux choisissent le bûcher plutôt que d’abjurer. Ce n’est pas encore la fin du catharisme puisque qu’il y aura des croyants jusqu’au XIVe siècle avec un renouveau en Haute Ariège mais c’est la fin de l’Eglise cathare structurée en Occitanie.

  • Azinat – Ariégeois d’Origine, le T-shirt de l’été !

    Enfin ! les premiers T-shirts Azinat – Ariégeois d’Origine sont disponibles sur la boutique en ligne. Pour porter les couleurs de l’Ariège haut et fort pendant vos vacances !

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  • Jean Clottes : « J’aime l’Ariège blanche, verte et noire… »

    Jean Clottes

    Conservateur Général du Patrimoine, Jean Clottes fut Conseiller scientifique pour l’art préhistorique au ministère de la Culture, après avoir été Directeur des Antiquités préhistoriques de la région Midi-Pyrénées (1971 à 1991). Ses recherches portent principalement sur l’art préhistorique, en France et dans le monde. Il a eu la charge de l’étude de la grotte Chauvet jusqu’à fin 2001. Il dirige et publie la revue INORA (International Newsletter on Rock Art). Il est directeur de la collection Arts rupestres aux éditions du Seuil. Ancien Président du Comité International d’Art Rupestre de l’ICOMOS, il est présentement Expert international auprès de l’ICOMOS et de l’UNESCO.


    “J’aime l’Ariège blanche, verte et noire. La neige de ses montagnes l’hiver et ses vertes collines l’été, et -on s’en doute…-  ses cavernes profondes fréquentées depuis plus de quinze mille ans”  Jean Clottes – Juillet 2009 pour azinat.com

    Parmi ses derniers livres :
    – Le Musée des roches : l’art rupestre dans le monde (2000) (Seuil) – La Grotte Chauvet. L’Art des Origines (dir.) (2001) (Seuil) – La Préhistoire expliquée à mes petits-enfants (2002) (Seuil) – Cosquer Redécouvert (2005), avec J. Courtin & L. Vanrell (Seuil) – Les Félins de la Grotte Chauvet (2005), avec M. Azéma (Seuil) – Les Chamanes de la préhistoire, texte intégral, polémique et réponses (2007), avec D. Lewis-Williams (Seuil) – L’Art des Cavernes préhistoriques (2008) (Phaidon).

  • Kader Nadjar : « l’Ariège m’apporte un souffle frais et pur »

    Kader Nadjar : « l’Ariège m’apporte un souffle frais et pur »

    Kader Nadjar

    Né à Oran en Algérie, Kader Nadjar arrive très tôt dans un quartier de la banlieue toulousaine où il fait ses premiers pas. De nature introverti, il est marqué durant son adolescence par le découverte de la danse hip hop qui devient très rapidement son principal centre d’intérêt. Il trouve dans cette activité un moyen d’expression qui lui faisait jusque là cruellement défaut et qui l’aide à s’épanouir personnellement. En 1992 , il intègre la première compagnie professionnelle toulousaine « Olympic Starz ». Plus tard, il se frotte à la danse contemporaine en collaborant à la création de Karine Saporta « Break me babe » au Centre Chorégraphique de Caen.

    En 1998, il réussit les auditions de la comédie musicale « Notre Dame de Paris » et participe à la tournée internationale du spectacle pendant trois ans. Outre son rôle d’interprète il est aussi formateur des troupes anglaises et canadiennes. Durant cette période, sa rencontre avec les « Yamakasi », fondateurs de l’art du déplacement marque une étape importante. Cette pratique sportive née en 1996, consiste à utiliser les édifices, le mobilier urbain ou tout autre obstacle pour réaliser des figures périlleuses en courant, en sautant, d’un point à un autre. A leur contact, il conçoit progressivement un concept de danse plus personnel, mélange du langage hip hop et de cet art du déplacement qu’il nomme « l’Art du Mouvement ».

    Une blessure l’oblige à stopper ses activités pendant plus de six mois. Il prend alors du recul sur sa pratique, sur son parcours personnel et décide de créer une structure où il pourra développer et transmettre sa nouvelle vision de la danse.

    De retour du Canada, Kader s’installe à Tarascon sur Ariège prés des montagnes dont il rêvait enfant. Cet environnement est pour lui un facteur favorable à la réalisation de ses projets. Très soucieux de s’implanter sur ce territoire et d’œuvrer à son développement, il enseigne la danse à la Maison des Jeunes et de la Culture et fédère autour de son projet suffisamment de personnes pour créer l’association Créatique, et dans la foulée sa compagnie en 2002.

    « Parlez-moi du bruit

    Parlez-moi de la poussière

    Parlez-moi du stress

    Parlez-moi de l’ivresse

    Parlez-moi de l’hostilité

    Parlez-moi de l’invisibilité. Parlez-moi encore et encore et j’entends l’urbanisme.

    Pour moi l’Ariège m’évoque son contraste et m’apporte un souffle frais et pur. » Kader Nadjar – juillet  2009 pour azinat.com

  • Fontaine de Fontestorbes

    Fontaine de Fontestorbes
    Fontaine de Fontestorbes

    Fontestorbes peut sans conteste être qualifiée de « Merveille du Monde », contrairement aux sept merveilles du monde Antique, ayant toutes en commun d’être le fait de l’homme, Fontestorbes est le seul fait du hasard de la nature. Elle est caractérisée par un phénomène rarissime d’intermitence (moins de 30 phénomènes d’intermittence dans le monde). Pendant la majeure partie de l’année (7 à 9 mois), la fontaine coule de manière constante. Par contre à la saison de basses eaux, elle devient intermittente par variation du débit de manière rythmée et régulière (de 1/2 heure en 1/2 heure approximativement)

  • Laurence Cabrol, de l’histoire médiévale aux « News »

    Laurence Cabrol
    Laurence Cabrol

    Laurence Cabrol ? Tout le monde la connaît en Ariège : elle anime depuis quelques années le journal d’information d’Ariegenews mis en ligne tous les jeudi matin sur le web. Mais saviez-vous que Laurence était une ariégeoise de longue date ? Originaire de l’Aiguillon dans la vallée de l’Hers et née dans une famille installée dans le Pays d’Olmes depuis 1908. Son arrière-grand-père Aubain Cabrol apporta la technique de la laine cardée dans la vallée de l’Hers et cré une entreprise familiale qui fit vivre une bonne partie du village. Laurence fit ses études au collège Victor Hugo de Lavelanet, puis au Lycée Gabriel Fauré à Foix en filière littéraire. Dans les années 80 elle entame des études à l’Université de Toulouse ou elle empoche au bout de quelques années un Diplôme de DEA en Histoire médiévale et pour mémoire de fin d’étude sur les Mérovingiens. Véritablement « branchée » histoire de l’Art, elle travaille successivement dans un musée et aux archives municipales de Toulouse où elle touche aux métier de la communication (sans oublier entre temps d’être chargée de cours à l’Université). C’est ainsi qu’elle s’est rapprochée du monde des médias, en « montant » à la capitale,  avec le lancement de site féminin (sotrendy.com) dans les années 2000. En 2004 saturée de grandes villes, elle est revenue dans son Ariège natale pour se lancer dans l’aventure dans  les (Ariège) News.

  • Guide de survie pour les touristes en Ariège (Blague)

    1 – N’oubliez jamais que vous n’êtes pas chez vous.
    2 – Cessez de mettre des Moon Boots avec vos jeans
    3 – Laissez toujours un pourboire, quelques centimes suffisent parfois pour vous maintenir en vie.
    4 – Comparer les remontées mécaniques au métro peut vous coûter cher.
    5 – Ne dites surtout pas « A Paris, c’est moins cher ».
    6 – Ne branchez jamais en boite, contentez-vous de danser.
    7 – Même immatriculée 09, une voiture de location reste une voiture de location.
    8 – Arrêtez de dire « oh, comme c’est beau », on le sait.
    9 – Ne vous ridiculisez pas en parlant de ski.
    10- Ne roulez pas à 40 km/h sur les routes de montagne, nos routes ne sont pas dangereuses, c’est vous qui ne savez pas conduire.
    11- Ici le Klaxon n’est là que pour dire bonjour. Vous ne connaissez personne, ne klaxonnez pas.
    12 – Vous n’avez rien à faire au comptoir, il nous est réservé.
    13- Sachez qu’un Ariégeois n’est jamais seul.
    14- Ne branchez pas les habitantes des stations, même nous, nous n’y arrivons pas.
    15 – Ne nous lancez jamais de défis stupides sur notre capacité à tenir l’alcool. Vous avez perdu.
    16 – Ici, on vous appelle les Gaulois, et vous n’êtes pas nos ancêtres.
    17- Enfin, n’oubliez pas que vous n’êtes pas partout chez vous, surtout chez nous.

    A part ça, vous êtes les bienvenus !

  • Cheval de Merens « Prince Noir de l’Ariège »

    Le cheval de Mérens « Prince Noir » remonte à la nuit des temps : des grottes préhistoriques de Niaux en passant par Napoléon, où il s’est exprimé en tirant les canons pendant la campagne de Russie notamment, il a su passer à travers les âges. Ce petit cheval rustique originaire de l’Ariège a su conserver son allure et ses atouts jusqu’à nos jours. Le cheval de Mérens est un cheval rustique mais surtout polyvalent, il peut passer du trec, (Second au championnat d’Europe en 98) au bât en passant par la randonnée, l’attelage (champion de France en 93) la voltige, le travail de la ferme. Son potentiel d’utilisation est illimité avec une assurance et un calme apprécié de tous. Son pied sûr en montagne, sa patience en font un cheval qui sait conquérir tout un chacun, de l’enfant à l’adulte passionné de randonnées sauvages, au cavalier ayant eu un accident et souhaitant refaire de l’équitation.

    On retrouve les Mérens aujourd’hui aussi bien, en Angleterre dans les mains de Mr Tony BLAIR, qu’en Italie, Allemagne, Tunisie, Inde, Réunion…etc. Caractéristiques du cheval de Mérens : Taille moyenne : 1,45, Robe : noire, Les poulains naissent noirs, gris agentés ou café au lait, Crins : abondants, durs et souvent crépelés, Tête : expressive, Encolure : de longueur moyenne, bien orientée, Poitrail : bien ouvert, Epaule : moyennement longue assez inclinée, Garrot : assez sorti et prolongé vers l’arrière, Dos : large et bien soutenu, Rein : bien attaché, large et musclé, Croupe : ronde, Classé comme Cheval à part entière depuis le 1er Janvier 1998 .

    Il est souvent utilisé en thérapie avec le cheval

  • Who’s Who des personnalités ariégeoises de juin 2009

    La dernière édition du Who’s Who des personnalités ariégeoises du mois de Juin vient de sortir.La culture et le sport sont à l’honneur ce mois-ci ! Fabien Pelous revient en pôle position du classement (son départ à la retraite il y a quelques semaines a fait parlé de lui) reprend le dessus et vole la vedette à Fabien Barthez premier du classement précédent. Chloé Mortaud « Miss France » perd deux places encore ce mois-ci : le buzz sur internet depuis son élection semble s’estomper, même si elle reste toujours une excellente ambassadrice de l’Ariège sur le Web. 

    Le Top 10 n’évolue pas beaucoup en trois mois, même si les positions changent et l’on retrouve toujours Augustin Bonrepaux, Henri Nayrou, André Trigano, Jean Clottes, Jean-Pierre Bel, Frédérique Massat ; les valeurs sûres du classement depuis déjà quelques années. A noter la venue de René Massat dans ce top 10 ; il prend 27 places en trois mois.

    Dans le milieu de classement, les positions bougent considérablement pour certains. On notera la progression vertigineuse de Catherine Robin du Pays des Pyrénées Cathares qui oeuvre sur le Label « Pays d’Art et d’Histoire » qui arrive dans le top 50 en 25ème position, de Jean-Christophe Thomas de la dépêche du Midi qui progresse de 12 places et Françoise Pancaldi, conseillère municipale de Pamiers de 14 places.

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    Extraits du Who's Who Ariégeois by Azinat.com

     A noter qu’il faut aujourd’hui un score de 181 (contre 142 en Avril et 131 en Février 2009) pour intégrer le Who’s Who by Azinat.com ; les places sont chères en bas de classement et il est parfois difficile de subsister…

    Pour finir, nous félicitons encore une fois tous et toutes pour leur présence sur Internet et la promotion de l’Ariège sur le Net. 

    Découvrir l’intégrale du top 50 du Who’s Who by Azinat.com © mise à jour le 08/06/09

  • Who’s Who des personnalités ariégeoises sur le web Fabien Barthez revient en force !

     

    Fabien Barthez
    Fabien Barthez

    La dernière édition du Who’s Who des personnalités ariégeoises du mois d’Avril vient de sortir. Les mois se suivent et ne se ressemblent pas ! Fabien Barthez reprend le dessus et vole la vedette à Chloé Mortaud « Miss France » qui perd trois places : le buzz sur internet depuis son élection semble s’estomper, même si elle reste toujours une excellente ambassadrice de l’Ariège sur le Web. 

    Le Top 10 n’évolue pas beaucoup en trois mois et l’on retrouve toujours Augustin Bonrepaux, Henri Nayrou, André Trigano, Jean Clottes, Jean-Pierre Bel, Frédérique Massat ; les valeurs sûres du classement depuis déjà quelques années. A noter le retour dans le Top 10 d’Olivier de Robert notre conteur « national ». Dans le milieu de classement, les positions bougent considérablement pour certains. On notera la progression vertigineuse de Kamel Chibli candidat PS aux européennes qui progresse de 25 places et Michel Comte, le Bijoutier sur Internet qui s’approche du Top 10 avec 10 places gagnées en trois mois.
     

    Extraits du Who's Who Ariégeois by Azinat.com
    Extraits du Who's Who Ariégeois by Azinat.com

     A noter qu’il faut aujourd’hui un score de 142 pour intégrer le Who’s Who au lieu de  131 en Février 2009; les places sont chères en bas de classement et parfois difficile de subsister…

    On remarquera ainsi l’entrée de Pascal Alard Directeur du SESTA et de François Toulis de l’Interconsulaire  qui évincent Nicolas Hubert et Julien Souquet du Top 50 des personnalités ariegeoises.
    Pour finir, nous félicitons encore une fois tous et toutes pour leur présence sur Internet et la promotion de l’Ariège sur le Net. 

    Découvrir l’intégrale du top 50 du Who’s Who by Azinat.com © mise à jour le 17/04/09