Patrick Lagarde est natif de La Bastide de Sérou, où il a passé un grande partie de son enfance avant de quitter le nid familial pour aller faire ses études au collège à Foix, puis à l’Université sur Toulouse. Rugbyman à l’USF à Foix, il a appris la rudesse du terrain et l’amitié solide propre aux ariégeois. Patrick oeuvre au sein du CAPI pour la promotion de l’Ariège et pour que l’on ne confonde plus notre département avec l »Ardèche ». Fier d’être ariégeois, il rentre au pays 3 ou 4 fois par an et quitte ses occupations à la Brinks, où il est devenu récemment Pdg.
12 août : On a emménagé aujourd’hui dans notre nouvelle maison, dans l’Ariège ensoleillée. Cet endroit est vraiment magnifique. Les montagnes sont si majestueuses. Je suis impatient de les voir couvertes de neige. J’adore cet endroit.
14 octobre : l’Ariège est l’endroit le plus beau de la planète. Les feuillages passent par toutes les nuances du rouge et de l’orange. Je suis allé en promenade dans ces belles montagnes et j’ai aperçu des cerfs. Ils sont tellement gracieux. Ce sont sans doute les animaux les plus merveilleux sur terre. J’ai l’impression d’être au paradis. J’adore cet endroit.
11 novembre : Bientôt l’ouverture de la chasse aux cerfs. J’ai du mal à imaginer qu’on puisse tuer des créatures aussi adorables. J’espère qu’il va bientôt neiger. J’adore cet endroit.
2 décembre : Il a neigé cette nuit. Au réveil, j’ai vu que tout était recouvert de blanc. On dirait une carte postale. Nous sommes sortis pour déblayer la neige sur les marches et nous avons dégagé le chemin d’accès à la pelle. Nous avons fait une bataille de boules de neige (j’ai gagné) mais quand le chasse-neige est passé, nous avons dû reprendre les pelles pour dégager la neige qui a poussé dans notre chemin. Quel endroit merveilleux ! J’adore l’Ariège.
12 décembre : Encore de la neige cette nuit. J’adore ! Le chasse-neige nous a refait une farce en encombrant le chemin. J’adore cet endroit.
19 décembre : Encore de la neige cette nuit. Je n’ai pas pu aller travailler. Le chemin est obstrué par la neige. Je suis exténué à force de pelleter. Enfoiré de chasse-neige.
22 décembre : Cette merde blanche est encore tombée toute la nuit. J’ai des ampoules plein les mains à cause de la pelle. Je suis sûr que le chasse-neige est planqué dans le virage et attend que j’aie dégagé le chemin. Le connard !
25 décembre : Joyeux Noël de merde ! Encore cette saloperie de neige. Si seulement je pouvais mettre la main sur le fils de pute qui conduit le chasse-neige. Ma parole, je lui fais la peau à ce con ! Je me demande pourquoi ils n’ont pas rajouté du sel sur la route pour faire fondre cette putain de glace !
27 décembre : Encore cette merde blanche la nuit dernière. Je suis resté enfermé trois jours, sauf pour dégager le chemin à chaque passage du chasse-neige. Je ne peux plus aller nulle part. La voiture est enfouie sous un tas de neige. Le gars de la météo dit qu’on doit s’attendre à 25 cm de merde cette nuit. Vous avez une idée de combien de pelletées ça représente 25 cm ?
28 décembre : Le météorologue de mes deux s’est foutu dedans. Cette fois c’est plus de 80 cm qu’il est tombé. A ce train là, ça ne fondra pas avant l’été ! Le chasse-neige est resté coincé sur la route, et l’autre burne est venu à la porte pour m’emprunter une pelle. Après lui avoir raconté que j’avais déjà bousillé six pelles en dégageant la neige qu’il balançait dans mon allée, je lui ai cassé la dernière qui me restait sur sa sale gueule !
4 janvier : J’ai quand même pu sortir aujourd’hui. Je suis allé au magasin acheter à manger et sur le chemin du retour, un connard de cerf est venu emplafonner l’avant de la voiture. Il a fait 3000 balles de dégâts. On devrait massacrer ces putains de bestioles. Je croyais que les chasseurs les avaient toutes tuées en novembre.
3 mai : J’ai conduit la voiture au contrôle en ville. Vous me croirez si vous le voulez, la caisse est complètement bouffée par cette saloperie de sel qu’ils ont répandu partout sur la route cet hiver.
10 mai : Les déménageurs sont là. On retourne à Paris. Je n’arrive pas à imaginer que quelqu’un sain d’esprit puisse avoir envie de vivre dans ce pays paumé !!!!!
L’important n’est pas la destination mais le chemin lui-même. Celui de Jean-Marc Bonnel démarre en 1958 dans les montagnes ariégeoises, près du château de Montségur. Il garde le souvenir des copeaux de l’atelier de son père, des repas de fêtes, des soeurs toujours en chamaille, l’école est souvent délaissée pour surprendre la truite, cueillir les cèpes, écouter le silence et rêver en regardant le vol des oiseaux. Devenu fonctionnaire de police, en 1997 il suspend l’uniforme et ouvre sa première librairie à Marseille. Des histoires lui rendent visite comme de nouvelles amies. Son premier roman voit le jour.
Son dernier roman « La dernière nuit » Raconte un fait divers dans une campagne encore soumise aux peurs ancestrales. Un secret, la dureté des hommes, le sacrifice d’une femme, le regard des autres, un jardin fleuri d’étoiles, un brin d’amour, un destin tracé dans l’inattendu. Un garçon écrit en une nuit l’histoire de sa vie. Il s’appelait Pierre Benazet : LE MONSTRE
Ariégeois et fier de l’être, Jean-Marc Bonnel viendra, à l’occasion de son nouveau roman, rencontrer son lectorat pour deux dates en mars : Samedi 14 mars 2009 — 14 h – Foix 09 Librairie MAJUSCULE SURRE – 40 RUE DELCASSE – 09000 FOIX
Lundi 16 mars à partir de 9 h 30 – Mirepoix (09) Librairie des Couverts – 8 place maréchal Leclerc – 09500 Mirepoix
Le roman est déjà disponible dans ces deux librairies — et en direct sur le site de l’éditeur www.elansud.fr/bonnel/
la rencontre avec un auteur est toujours plus riche lorsqu’on a déjà lu son livre.
Il sera aussi présent au salon du livre de Tarascon – Le 9 août 2009 de 10 h à 18h30 – 09400 TARASCON SUR ARIEGE
Salon du livre de Tarascon/Ariège, invitée : Maison d’éditions Elan Sud
Après une enfance passée à la découverte de la musique et des instruments (clavier – accordéon), Florent Adroit commence sa carrière musicale en créant plusieurs groupes et orchestre avec des amis de sa région de Mirepoix dans l’Ariège. Ils se produisent le plus souvent dans des fêtes locales et Florent Adroit se fait un nom parmi les formations variétés/rock. En octobre 2004, il monte un projet jeune pour financer une partie d’un single nommé « Angelo ». A 23 ans, il devient membre de la Sacem en tant qu’auteur – compositeur – interprète. Une année plus tard, « Flo » décide de quitter sa région et de s’installer à Toulouse pour son travail mais aussi pour se produire seul sur scène et sortir ses chansons de l’ombre. Il monte un nouveau défi jeune dans le but cette fois de créer sa propre carrière, et c’est avec succès qu’il obtient celui-ci avec pour objectif de sortir son premier CD : »Les Châteaux ». L’appel de la scène étant trop fort, Florent reprend du service dans un orchestre mais n’en oublie pas sa carrière solo, un premier album apparait où plusieurs chansons vont être très appréciées lors des représentations et autres scènes régionales, notamment « Le Grand Voyage », « Toulouse », « Amour », « Le Train » ou encore « Les Histoires des Autres ».
A l’époque de la guerre froide, dans le cadre de fouilles dans le sous-sol russe jusqu’à 100m de profondeur, les scientifiques russes ont trouvé des vestiges de fil de cuivre qui datait d’environ 1000 ans. Par provocation, un comité scientifique en a conclu publiquement que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 1000 ans d’un réseau de paire de cuivre fournissant de l’internet ADSL à leur ancêtres.
Les Américains, pour faire bonne mesure, quelques semaines après, ont également procédé à des fouilles dans leur sous-sol jusqu’à une profondeur de 200m. Ils y ont trouvé des restes de fibre de verre. Il s’est avéré qu’elles avaient environ 2000 ans. Un comité scientifique composé d’experts de renommés internationale, en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 2000 ans d’un réseau de fibre optique à haut débit internet que devaient certainement utiliser les premiers américains. Et cela, 1000 ans avant les Russes !
Une semaine plus tard, à Tarascon, en Ariège, on a publié le communiqué suivant : « Suite à des fouilles dans les différentes grottes préhistoriques du département, qui étaient, et cela a été scientifiquement prouvé, peuplées des premiers Ariégeois , jusqu’à des profondeurs importantes et dans tous les boyaux possibles et imaginables, les différentes scientifiques et experts des plus renommés du département n’ont rien trouvé du tout »… Ils en conclurent que les Anciens Ariègeois disposaient déjà il y a 5000 ans d’un réseau Internet Wifi et Wimax à longue portée, première pierre du réseau haut-débit du département. 🙂 Ils sont forts ces ariegeois !!
PS : aujourd’hui, l’ariège a un réseau très haut débit internet. pour plus d’infos : http://www.ariege-telecom.fr
Chloé Mortaud Miss France 2008 – crédits photos AFP
Le dernier classement des personnalités ariégeoises sur internet vient d’être publié. Augustin Bonrepaux qui caracole en tête de ce classement depuis déjà deux ans a été détrôné par une personnalité nationale inattendue : Miss France, qui cette année a par chance pour le département, des origines ariégeoises.
Ainsi, le leader incontesté de notre classement laisse sa place pour un temps. Notons également que des personnalités ont considérablement évolué dans le classement du Who’s Who by Azinat.com de février 2009 : Claude Delrieu qui gagne 37 places depuis la dernière édition de septembre 2008, Michel Teychenné qui est entre temps devenu député européen et qui gagne 20 places et se retrouver 14ème. Parmi les plus grosses progressions, on notera : Françoise Pancaldi (Elu local, + 22), Michel Alcaïne (Sport, +28), Annie Fachetti (Economie, + 20) et Kim Chevalier de Ariege.com.
Si certaines personnalités progressent, c’est parfois la descente « aux enfers » pour d’autres… parmi les déchus du moment : Fabien Pelous (Sport – 11), Bernard Piquemal (Elu local – 9), Louis Marette (Elu local, -14), Alain Sutra (Elu local, -15) et jean-Christophe Thomas (Journaliste, -24).
Extraits du Top 50 Whos' Who by Azinat.com
On remarquera l’entrée à petits pas de Nicolas Hubert (ancien journaliste) qui vient d’intégrer le service communication du Conseil Général, dans le Top 50 des personnalités ariegeoises.
Pour finir, nous félicitons tous et toutes pour leur présence sur Internet et la promotion de l’Ariège sur le Net.
Nous avons trouvé ces paroles provenant d’une ariégeoise sur le Web, qui s’exprime avec coeur sur ses origines, elle dit avec fierté et ressent des choses que seuls les habitants de ce pays ont déjà vécus dans leur chair. Certes le style est parfois moins poétique que l’Abbé Maury, mais nous on a apprécié avec sourire. Merci Amélié….(elle se reconnaitra peut-être)
« Tu sais que tu viens d’Ariège quand :
-Tu trouves que les Andorrans sont des C… mais t’apprécie bien de payer tes clopes, ton alcool et le gasoil a moitié prix
-On t’as déjà dis ‘je connais l’Ardèche mais l ‘Ariège pas du tout….
-Tu craques en disant que tu viens de Toulouse et ça fait mal au cœur
-Tu trouve normal de dire moinssss , espanté ou ça pègue et personne ne te comprend
-Tu es le seul a monter au Passss…les Toulousains eux vont au Pa
-Lorsque t dans une grande ville,tu connais pas le bonhomme vert ou bonhomme rouge et tu traverses quand même
-Quand tu vois un 09 loin de chez toi tu le fais remarquer à tout le monde (et tout le monde s’en fout!) mais toi t content
-Barthez nous a fait gagner le mondial 98 et Pelous est le plus grand capitaine de l’équipe de France de rugby
-Les seules fois où on parle de l’Ariège au 20H c’est pour parler des ours
-Tu rencontres la moitié du département pendant tes vacances a Rosas
-Si tu t’exiles trop longtemps la verdure et les montagnes Ariégeoises te manquent
-Tu sais que les flocons d’Ariège ne tombent pas en hiver
-Le panorama des Pyrénées sur l’Ariégeoise quand tu passes à coté du panneau ‘Pyrénées Ariégeoises’ est énorme
-Tu klaxonnes quand tu passes à côté de ce panneau…
-Tu regardes le tour de France quand il passe en Ariège même si le vélo c vraiment chiant
-Quand tu dis on vas au ski, tu vas forcement à Bonascre…et si c’est plein tu te rabattras sur Ascou
– Saint-Girons c’est vraiment très loin…
-Tu cherches encore un Quick en Ariège
-Tu ne t’étonnes plus quand le Tunnel de Foix est fermé
-Quand tu vas à la mer, tu as envie de gerber dans la descente vers Quillan tellement ya de virages
-Le nord commence à Saverdun
-Ton accent fait rêver les nordistes
-Tu traites les Toulousains de doryphores
-Tu veux l’indépendance de l’Ariège
-Tu sais que pendant les fêtes de Foix et de Pamiers les concerts sont vraiment nazes
-Si tu prends le Puymorens c’est forcement l’été et tu vas te bourrer la gueule en Espagne
-Toi tu es habitué mais quand tu habites à Seix ou à St Jean de Verges t’as toujours droit à une petite blague bien grasse
-Tu connais forcement quelqu’un avec internet qui tourne encore à 56ko/s
-Tu sais que l’Ariège ça monte et ça descend mais c jamais plat
-On ta forcement déjà dit qu’un Ariégeois c’est un belge qui a pas trouvé l’Espagne
-Tu connais les parole d’Arièjo ô moun Païs et du Se canto par coeur
-Tu sais qu’il y a pas plus fier qu’un(e) Ariegeois(e) » Amélie J. juin 2008
La rouzolle se fait avec l’azinat auquel elle est associée. , c’est une sorte de farce à base dechair à saucisse. La recette vous permet de vous rendre compte de ce que c’est : 500 g de chair à saucisse, 4 oeufs, 1 verre de lait, 2 gousses d’ail, poivre, 1 tranche de jambon du pays (épaisse) ou 2 tranches de ventrèche , 150 g de mie de pain rassie, 6 à 8 branches de persil. Dans un grand récipient, mettre la chair à saucisse, le jambon ou la ventrèche coupés en dés, les oeufs, l’ail et le persil haché, la mie de pain bien trempée dans le lait et égouttée; bien poivrer sans saler. Mélanger le tout. Faire chauffer l’huile dans la poêle puis y mettre la farce bien homogène en formant une galette de 3 à 4 cm d’épaisseur à l’aide d’une spatule. La cuire à feu moyen sur les 2 faces et quand elle est bien cuite et dorée, la mettre dans un plat. J’en ai réussi une il y a quelques temps pour 12 personnes…malheureusement pas eu le temps d’immortaliser par une photo à vous présenter, impossible d’être au four..et au moulin.
La culture des pommes et des pommiers en Ariège n’est certes pas une tradition ancestrale comme elle peut l’être dans les Pyrénées atlantiques, la Galice en Espagne. Elle a permis cependant à des générations d’Ariégeois de trouver là un fruit qui pouvait se conserver et se ramasser jusque fort tard en automne. La pomme a bien sûr été utilisée pour faire de l’eau de vie et chacun amenait sa récolte au bouilleur de cru qui passait (il n’en reste quasiment plus en activité) dans le village. Depuis quelques années la pomme d’Ariège est redevenu à la mode. On en tire du jus de pomme et une variété de cidre. Le renouveau de la culture des pommiers a été fortement promue par l’association RENOVA (Daumazan) avec son opération « Vergers de plein vents ». La pomme est également fêtée à Mirepoix chaque année à la fin Octobre.
Littérateur et critique d’art français, né en Ariège en 1823, mort à Paris en 1876. Dans son Eugène Delacroix de 1864, le critique Cantaloube le qualifie d’« écrivain redouté », « plein de verve, incisif et perçant, capable de pousser jusqu’au raffinement ses cruautés ou ses injustices contre ceux qu’il n’aime pas ». Il est de ces critiques sarcastiques à qui Jenny, la servante de Delacroix, ferme la porte de l’atelier pour ne point voir troubler la tranquillité du maître. Mais ces rebuffades ne font point faiblir son intérêt pour Delacroix. Dans son Histoire des artistes vivants (1855), qui marque le début de sa carrière littéraire, il consacre déjà un chapitre au peintre. Les Artistes français, études d’après nature (1878), refonte de l’ouvrage précédent, ne démentent pas cette première passion. Delacroix devait avoir pour lui une certaine estime, puisqu’il lui confie, en 1853 ou 1854, la copie d’une partie de son journal. Silvestre mentionne sa copie dès 1855, dans l’Histoire des artistes vivants, se montrant très fier de l’honneur qui lui est fait. Dans Eugène Delacroix. Documents nouveaux, en 1864, il accorde une importance capitale à cette copie, car il croit (à tort) que les originaux ont disparu.
L’abbé Sabas-Maury, curé de Varilhes de 1906 à 1923, a composé le célèbre hymne ariégeois « arièjo ô moun pays ». Il l’a dédicacée à l’amicale des Ariégeois de Paris. (On peut d’ailleurs écouter l’hymne sur le site web www.adg-paris.org) . Merci à Alain CANAL pour la photo et ses précisions sur son Grand Oncle. (voir Biographie complète de Sabas Maury sur Wikipedia)
Les Paroles en Français :
Ariège, Ariège ô mon pays
Ariège, Ariège, ô mon pays,
O terre tant aimée,
Mère tant adorée,
De près, de loin, toujours
Ton nom me réjouit
Ariège, ô mon pays.
J’aime d’amour tes montagnes superbes,
L’hiver leur met un blanc vêtement
Mais dans l’été parmi les hautes herbes,
Les agnelets gambadent follement.
Ariège, Ariège, ô mon pays,
O terre tant aimée,
Mère tant adorée,
De près, de loin, toujours
Ton nom me réjouit
Ariège, ô mon pays.
J’aime tes plaines si jolies
Riches tapis de vignes et de blés,
Tes ruisseaux d’argent et tes prés fleuris
Et tes plateaux que couronnent les bois.
Ariège, Ariège, ô mon pays,
O terre tant aimée,
Mère tant adorée,
De près, de loin, toujours
Moutons sur le Mont Fourcat
Ton nom me réjouit
Ariège, ô mon pays.
Pour l’oisillon, qu’il fasse soleil ou pluie
Le plus beau nid sera toujours le sien.
Je suis ariégeois, laissez-moi mon Ariège,
Aucun pays n’est aussi beau que le mien.
Ariège, Ariège, ô mon pays,
O terre tant aimée,
Mère tant adorée,
De près, de loin, toujours
Ton nom me réjouit
Ariège, ô mon pays.
O mon pays si doux à ma mémoire
Ton nom aimé est gravé dans mon cœur.
Où je suis né, Dieu veuille que je meure,
Sous mon ciel bleu, sous mon beau soleil d’or.
Ariège, Ariège, ô mon pays,
Sommet vallée de Tarascon
O terre tant aimée,
Mère tant adorée,
De près, de loin, toujours
Ton nom me réjouit
Ariège, ô mon pays.
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