Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • Commémoration du Centenaire de la Grande Guerre – du 7 au 11 novembre

    Commémoration du Centenaire de la Grande Guerre – du 7 au 11 novembre

    11-novC’est le colonel Jean-Louis Doumerc et Antoine Garcia, de l’association « Centenaire 14-18 en Ariège », qui ouvriront ces commémorations par une conférence sur les Ariégeois dans la Grande Guerre, le samedi 7 à 15h dans l’Hôtel de ville de Lavelanet. A la fin de la conférence, les deux expositions prêtées par les Archives Départementales de l’Ariège et l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre de l’Ariège, et visibles à l’Hôtel de ville jusqu’au 10 novembre, seront inaugurées.

    Ces expositions seront également présentées au public scolaire le lundi 9 novembre, et cela par Pierrette Soula et Bernadette Truno.

    En parallèle des animations programmées par le pays d’art et d’histoire, le service culturel et la mairie de Lavelanet vous proposent

    –  la diffusion du film « La peur » de Damien Odoul Gabriel, le dimanche 8 novembre à 18h,

    – le spectacle d’Olivier de Robert « Je vous écris du front », inspiré de courriers de soldats, le mardi 10 à 20h45

    – une cérémonie du 11 novembre accompagnée par les élèves du collège Victor Hugo, le Coq Lavelanétien, la Société Philarmonique de Lavelanet et l’Ecole de Musique.

    Plus d’info : www.pyreneescathares-patrimoine.fr

  • « L’homme semence » 11 novembre Le Carla Bayle

    « L’homme semence » 11 novembre Le Carla Bayle

    "L'homme semence" 11 novembre Le Carla Bayle Ariège Pyrénées

    L’homme semence nous est présenté comme une histoire vraie écrite en 1919 par Violette Ailhaud dans sa 85ème année. Peu importe finalement l’authenticité réelle ou imaginaire du récit.

    1852, Louis Napoléon Bonaparte mate dans la violence la révolte des paysans provençaux contre son coup d’état. Il ne reste plus un homme ici, au village, plus un seul. Ils ont tous été tués, ou déportés.

    C’est l’histoire d’un village sans hommes et d’un serment qui lie les femmes de ce village des Basses-Alpes : pour ne pas rester stériles, pour le triomphe de la vie, elles ont promis de se partager le premier homme qui  apparaîtrait dans leur village et dans leurs vies. Violette, au soir de sa vie se souvient. Elle raconte la béance du corps endeuillé de la jeune fiancée orpheline de son promis, le corps en désarroi, l’appel des sens, la nécessité viscérale d’être ensemencée, et puis l’amour inattendu qui chavire tout, et le désir, et le plaisir. Elle raconte la parole partagée, le bonheur des livres lus à deux.

    Il y a une liberté de ton, une générosité, une poésie extraordinaires dans ce court texte ! – j’allais ajouter « une modernité ». Mais non ! Descendante d’une belle lignée de Provençales, je savais déjà cela, ayant profité d’une irrévérencieuse arrière-grand-mère qui transmettait à sa descendance la détermination lumineuse de celles qui l’avaient précédée. On retrouve aussi chez Giono cette parole franche et sans détours pour dire les sentiments et les corps qui souffrent et leur chant d’amour.

    Pour qui aime les voix féminines, le détour par ce beau récit lumineux apporte beaucoup d’émotions. L’éditeur précise que la Collection main de femme, ce sont « des livres à ne pas mettre entre les mains de tous les hommes »… Pourtant il en est des précieux, des hommes tout beaux à l’intérieur, qui savent se faire les passeurs de ces histoires et semer.

    (Blog Les 8 plumes)

    Les Crues, Caro et Alexia, ce sont deux vieilles copines de théâtre, une amitié de 30 ans, des retrouvailles et une furieuse envie de dire. Deux nationalités, deux accents, deux voix, deux corps pour une Violette.

    L’HOMME SEMENCE de Violette Ailhaud (Parole éditions, collection Main de femme, juin 2012) par LES CRUES Alexia Bouloukou, Caroline Soula

    le mercredi 11 novembre à 18h00  à la bibliothèque du Carla-Bayle. durée : 50 minutes
    Entrée libre, sortie au chapeau

  • Paamath « Le nom de l’eau » – 3, 7 et 10 novembre

    Paamath « Le nom de l’eau » – 3, 7 et 10 novembre

    Paamath Le nom de l'eau Ariège Pyrénées

    Le poème “Le Nom de l’Eau” de l’auteur Louise Léo a inspiré à Paamath la chanson et le titre de son album. De leurs rapports amicaux, est né une complicité artistique déja remarquée dans “Les Objets Pénitents” du précédent album “Gaïndé N’diaye”.

    Un proverbe dit « si tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens ». Laissant à chacun le soin d’interpréter l’adage, Paamath ouvre donc une fenêtre sur cet enfant à la recherche de sa source, voulant connaître le nom de l’eau. Bien des vérités lui sont apparues dans sa quête. Des vérités dénonçant un monde violent où l’affrontement fait rage : appropriation des terres, asservissement de ses peuples ; mais aussi des vérités laissant la part belle à l’amitié, l’amour, ou la reconnaissance de l’enfant envers sa mère…

    Chansons accompagnées à la guitare douze cordes, mélodies et couleurs venues d’ailleurs et d’ici, c’est avec un esprit d’enfance que Paamath est parti à la recherche du “Nom de l’Eau”, pour nous le ramener sous forme de compositions inédites.

    «J’étais comme un petit enfant
    sur le chemin des innocents,
    qui s’est enfui dans les roseaux
    parti chercher le Nom de l’Eau…»

    L’afro-folk de Paamath, c’est de l’émotion à l’état pur !

    Crédit photos : Claudine Vigneron

    Mardi 3 Novembre 2015
    à 20h45 au Mas d’Azil (Salle des fêtes)
    Tarif : C et 7 euros (-13 ans)
    Durée : 1h30

    Samedi 7 Novembre 2015
    à 20h45 à Lavelanet (Marché couvert)
    Tarif : C et spécial 6.5€ (-18 ans)
    Durée : 1h30

    Mardi 10 Novembre 2015
    à 20h45 à Saint-Félix-de-Tournegat (Eglise)
    Tarif : C et 7 euros (-13 ans)
    Durée : 1h30

  • Rencontre avec Guy de Bois – 7 novembre Foix

    Rencontre avec Guy de Bois – 7 novembre Foix

    Rencontre avec Guy de Bois Ariège PyrénéesL’art de la ciselure, dont les origines remontent à l’époque mésopotamienne consiste essentiellement en un travail décoratif par déformation du métal.

    Au fil des siècles, il a évolué en fonction des modes et des demandes, mais aussi des techniques et de la maîtrise progressive de la mise en œuvre du bronze, du cuivre ou des métaux précieux : argent, or, alliages.

    Au-delà des origines dans l’antiquité, les périodes emblématiques se situent entre le XIVe et le XXe siècle au fil des règnes successifs, des goûts et des tendances artistiques. Les armes, les parties métalliques d’armures, comme les objets décoratifs, l’orfèvrerie, la bijouterie, la joaillerie réclamaient une personnalisation de celui qui les possédait, ou à ceux à qui ils étaient destinés.

    C’est au ciseleur, rompu aux arts et techniques de la décoration de ces métaux ainsi qu’aux œuvres les plus emblématiques qu’il est ici rendu hommage.

    Le samedi 7 novembre à partir de 15h00 librairie SURRE MAJUSCULE

     

  • Lo Cor de la Plana – 6 novembre Saint Girons

    Lo Cor de la Plana Ariège Pyrénées

    Réinventer la vocalité méridionale : tel est le credo du Cor de la Plana «choeur de la plaine», célèbre formation de la cité phocéenne.

    Au quartier de La Plaine à Marseille, les voix exceptionnelles de ces chanteurs qui s’accompagnent de simples tambours sur cadre (bendir) ont remis au goût du jour une culture occitane alors ringardisée. « Nous voulions nous réapproprier ce répertoire pour en faire le miroir de ce que nous sommes : des urbains, qui ont grandi au son du rock et du raggamuffin. »

    Chants religieux, chants à danser, couplets protestataires, improvisations, le choeur a porté ses voix de Carnegie Hall à La Ciotat et de l’Olympia aux fêtes de quartier avec le même succès ! Vous êtes prévenus, leurs polyphonies ne ressemblent à rien de déjà entendu. Organiques et subversives elles sont ancrées dans le chaudron méditerranéen le plus contemporain.

    Lo Cor de la Plana visite et rénove le patrimoine populaire, recrée la polyphonie et y instille swing, allégresse et humour, il invente la chanson traditionnelle d’aujourd’hui. Rythme et énergie, suscitent la transe. Un récital pour se dégourdir l’âme et les sens !

    1ère Partie : KNS

    Hamid Khezri aux dôtars
    Neirda aux claviers et machines
    Loïc Schild à la batterie

    Hamid Khezri s’est formé dans la plus pure tradition des bardes plurilingues d’Asie centrale. Accompagné de ses différents dotârs (littéralement « 2 cordes »), il conte les légendes populaires et les épopées guerrières des peuples nomades ou des villes-étapes de la route de la soie. Loic Schild, compositeur et musicien, s’est formé au conservatoire en percussion classique, à la batterie dans le domaine des musiques actuelles, et en Inde, au centre Vijnanakalavedi. Neirda, issu de la scène électro, rejoint le duo « K.S » en 2014 pour former K.N.S. Le pont entre la tradition et les musiques d’aujourd’hui est enfin achevé. Leur musique propose un croisement entre l’Europe et l’Asie centrale, résolument ancré dans les musiques actuelles et dont le descriptif le plus précis est l’Electro-Perse.

    Vendredi 6 Novembre 2015
    à 20h45 à St Girons (salle Max Linder)
    Tarif : C et 7 euros (-13 ans)

    [callout]Stage avec les membres du groupe Lo Cor de la Plana – Samedi 7 novembre de 14h à 17h – à Saint Girons – Ancienne école de Sièvres, avenue Fernand Loubet[/callout]

    Plus d’info : www.lestive.com/

  • « La Gata de la Barona » – 6 novembre la Tour du Crieu

    « La Gata de la Barona » – 6 novembre la Tour du Crieu

    « La Gata de la Barona » Ariège PyrénéesLa Gata de la Barona, aquò’s una comèdia en dos actes, amb çò que cal de bofonariá e de suspens per téner lo public apetegat. « A St Florentin, las rumors van coma cal, qual tuèt la Gata de la Barona ? ». Emocion e rires garantits !

    La Gata de la Barona – La Chatte de la Baronne -, c’est une comédie en deux actes, avec ce qu’il faut de drôlerie et de suspense pour tenir le public en haleine. « A St Florentin, les rumeurs vont bon train, qui a tué la chatte de la baronne ? »  Emotion et rires garantis !

    « La gata de la Barona »
    6 de novembre – 20h30 – Sala del Pareatge.

    Organisé par  : « Les seniors critouriens » en partenariat avec  l’IEO 09 l‘Institut d’études occitanes d’Ariège        

  • Le chemin des bonshommes – la route des cathares

    Le chemin des bonshommes – la route des cathares

    Le chemin des bonhommes - la route des cathares Ariège PyrénéesLe Chemin des Bonshommes a été, du XIe au XVIe siècle, un axe économique important qui unissait l’Ariège et le Berguedà.

    Les derniers Cathares en exil, fuyant la prison, la spoliation et la mort, utilisaient tout naturellement cet itinéraire pour aller chercher refuge en Catalogne. Par les montagnes, les cols, allant de maison amie en abri précaire, ils gagnaient les terres catalanes vers l’Alt d’Urgell, la Cerdagne ou le Berguedà.

    211 kms en 9 ou 10 jours, 370 à 2517 m d’altitude, il passe la frontière au col de la Porteille Blanche à 2517m

    En passant par Roquefixade et  Montségur, les gorges de la Frau, Montaillou dans l’Aude, la haute vallée  l’Ariège et la merveilleuse réserve d’Orly, la Haute Vallée du Carol dans les Pyrénées Orientales, la Sierra de Cadi en Cerdagne espagnole, emprunter le chemin des bonshommes, c’est revivre l’épopée cathare en marchant dans le sillage des cathares qui partaient se réfugier en Espagne afin d’échapper aux inquisiteurs.

    Plus d’infos sur le GR 107 www.sentiers-pyreneens.com

  • Tourisme en Ariège : septembre, sorties rando et patrimoine

    Tourisme en Ariège : septembre, sorties rando et patrimoine

    Tourisme en Ariège Pyrénées : septembre

    Après trois bonnes premières semaines, la fréquentation du mois de septembre s’est un peu tassée en fin de période mais le bilan reste positif.

    Plusieurs facteurs ont influé positivement sur les résultats :

    – Les journées du patrimoine, dont le succès est toujours garanti, qui ont bonifié la fréquentation des sites.

    –  L’arrivée de randonneurs pédestres et cyclistes a conforté les résultats des hôtels et meublés, mais en légère baisse par rapport à l’année dernière.

    –  La présence de campings-caristes français et étrangers a soutenu la consommation touristique.

    Incités par une bonne météo, touristes en courts-séjours et excursionnistes ont constitué le socle de  la fréquentation de septembre.

    Animations festives et culturelles : 

    • Au Festival des saveurs à Ax, les exposants étaient satisfaits malgré une fréquentation en baisse.
    • Forte fréquentation au salon des métiers d’art à St-Lizier.

    [notice]La note de conjoncture mensuelle donne la tendance de l’activité dans le mois écoulé, à partir d’indicateurs et de données provisoires, validées en fin de saison. Elle est élaborée par l’observatoire du tourisme de l’ADT grâce au partenariat avec le réseau des Offices de Tourisme.[/notice]

    Observatoire du Tourisme
    ADT Ariège Pyrénées
    Maison du Tourisme
    2 boulevard du sud bp 30143
    09000 Foix

  • JP Piments, une production unique en Ariège

    JP Piments, une production unique en Ariège

    Jean-Philippe Turpin est installé depuis trois ans sur son exploitation. Il a commencé avec 500 plans pour 25 variétés de piments. Aujourd’hui, c’est 70 variétés, du plus doux au plus fort, qu’il propose à ses clients.

    Son projet, qu’il a établi sur quinze ans, c’est de produire les 450 variétés qui existent dans le monde.

    Il y a deux ans ils étaient deux en France à produire une aussi grande variété de piments. Il est aujourd’hui le seul.

    Par un effet du hasard, en croisant différents plans, Jean-Philippe à réussi à créer une nouvelle variété de piment qu’il appelle le « JP Piment ». Il arrive à le reproduire depuis 3 ans. C’est un piment qui, quand il est vert, ressemble à du poivron, et rouge il est un peu piquant avec beaucoup de saveur.

    « C’est ma passion et ma vie en même temps. Je ne pourrais pas le quitter ce boulot là, parce que je suis amateur de piments, j’adore ça »

    Alors si vous aimez les piments, n’hésitez pas à aller à la rencontre de Jean-Phillipe. Il vend directement sur l’exploitation, sur les marchés (Lavelanet, Mirepoix, Espéraza) et sur les foires régionales. Possibilité de visite de juin à octobre. Sur rendez-vous.

    • Pâtés de piments (doux, forts, très forts)
    • Poudre de piments (doux, forts, très forts)
    • Huile pimentée (doux, forts, très forts)

    JP Piments, une production unique en Ariège PyrénéesJean-Philippe TURPIN
    Barry d’en Haut – 09500 St-Quentin-La-Tour
    Tél : 06 85 05 88 82
    pepper@jppiments.com
    www.jppiments.com

    Retrouvez les autres producteurs du Pays des Pyrénées Cathares sur : www.pyreneescathares-producteurs.fr

    Crédit photo : Trifine Cuvillier – Pays des Pyrénées Cathares

  • Trail des Orris, deuxième édition –  1er novembre Laroque d’Olmes

    Trail des Orris, deuxième édition – 1er novembre Laroque d’Olmes

    Trail des Orris Ariège Pyrénées

    Organisé par l’association SNPC09 (Sports Natures Pyrénées Cathares), ce trail est composé de deux parcours ; le Trail des Orris et le Tour de Mouillet

    Ces deux parcours passent par des magnifiques singles et des pistes forestières sur les communes de Laroque d’Olmes, Le Sautel et Ilhat et vous aurez seulement 3 mètres de bitumes sur la totalité du parcours.

    Il ne reste d’ores et déjà qu’une cinquantaine de places (sur les 350 prévues) pour découvrir l’un des deux circuits :

    • Le premier de 19 kms et 700 m de D+ nommé Trail des Orris
    • Le deuxième de 11 kms et 450 m de D+ nommé Tour de Mouillet.

    Le départ aura lieu à l’Entounadou à Laroque d’Olmes (Trail des Orris à 10H00 et Tour de Mouillet 10H30).

    Informations et inscriptions sur le site raidocathare.fr

    Crédits photos : SNPC09 

  • Participez à l’aventure de l’orpaillage

    Participez à l’aventure de l’orpaillage

    Participez à l'aventure de l'orpaillage Ariège Pyrénées

    L’’orpaillage a été très actif jusqu’au XVIIème siècle, dans l’Ariège, essentiellement entre Crampagna et Saverdun avec Pamiers comme centre. Mais aussi dans le lit de la Lèze, de l’Arize et du Salat, en aval de Saint-Girons.

    Arrivé il y a quinze ans en Ariège Jimmy Benard est tombé sous le charme de ce beau département. Autodidacte, il a travaillé dans différents corps de métier sur l’Ariège.

    Il propose aujourd’hui de vous faire découvrir les richesses des rivières de l’Ariège, en vous faisant partager sa passion pour l’orpaillage.

    « Orpaillage aventure » c’est une démarche qui est motivée par une envie personnelle de pouvoir créer ma propre activité, passionné d’aventure et de nature, j’ai mûri mon projet sur le terrain pendant deux ans auprès des touristes de passage afin d’offrir une prestation en OR.

    La géologie de l’Ariège offre un terrain de jeu idéal pour mettre en place cette activité de pleine nature. Conscient de l’impact des activités « pleine nature » sur l’environnement, il a pris la décision de fonctionner de façon responsable et de prendre les meilleurs soins de l’environnement en travaillant en étroite collaboration avec des associations locales pour la protection de la faune et de la flore.

    Aujourd’hui il fait appel au financement participatif à hauteur de 1700 €, via la plate-forme, « Projet Loco » pour mener à bien son projet. Ce financement contribuera à financer une partie du matériel nécessaire à la mise en place des stages de chercheur d’or. L’autre partie par des subventions.

    • Coût total du projet : 6000 €
    • Publicité : flayers, affiches, publicité véhicule 1500 €
    • Véhicule utilitaire (occasion) 2800 €
    • Matériel d’orpaillage 1700 €

    Pour les contreparties, Jimmy a souhaité vous faire partager un peu de rêve, devenir chercheur d’or le temps d’une demi-journée, une journée et un stage individuel d’une journée en Ariège midi Pyrénées.

    • Stage d’initiation à la demi-journée : Initiation au pan américain
    • Stage d’initiation à la journée : Initiation au pan américain et rampe de lavage de loisir ( sluice box )
    • Stage découverte pour les scolaires : Initiation au pan américain et rampe de lavage de loisir ( sluice box ) en rivière ou sur berge.

    Pour participer au projet : www.projetsloco.fr/fr/projet-orpaillage-aventure

    Découvrir le site : orpaillage-aventure.wix.com/

  • Géographie amoureuse de l’Ariège – épisode 4, « la civilisation de l’orri »

    Géographie amoureuse de l’Ariège – épisode 4, « la civilisation de l’orri »

    En compagnie de Michel Sébastien, jeune écologue ariégeois, comme il aime à se définir, nous abordons quelques aspects de la montagne. Dans ce quatrième volet il nous parle de la vie du passé : « la civilisation de l’orri »

    De forme arrondie et construit entièrement en pierre sèche, l’orri est la demeure estivale du berger et, on le sait peu, de sa famille. Le berger y amenait les vaches, pour le lait, les moutons, parfois les chevaux et il y fabriquait le fromage.

    Mais comment les hommes sont arrivés là ?

    Après la glaciation (voir épisode 2), la roche est à nu, il n’y a plus aucune végétation. Quand le climat se réchauffe la végétation reprend vie et l’animal sauvage la suit. C’est en poursuivant le gibier que l’homme colonise la montagne.

    La vie du passé, une double vie 

    Il y a d’abord la vie au village, et la vie d’altitude lorsque les troupeaux sont amenés à l’estive à partir du mois de mai et jusqu’en octobre.

    Cette vie d’altitude c’est une vie d’élevage, qui a atteint son apogée dans les années 1850. A cette époque la vie dans les montagnes est au maximum de la démographie. Le canton de Castillon était, dans ces années là, plus peuplé que celui de Pamiers. La montagne était surpeuplée et il n’y avait plus d’arbres car ils avaient servi pour les forges à la catalane..

    C’était une vie rude, une vie de travail et de misère. On vivait rarement plus de 50 ans et la moitié des enfants mourraient avant l’âge de 10 ans

    Cette vie s’est étiolée peu à peu à partie de 1850, et elle est maintenant en train de mourir, il reste très peu d’estives. En 1850, dans la vallée du Vicdessos et les vallées annexes, il y avait plus de 30000 moutons, il en reste à peine 10000 aujourd’hui.

    Prochain et dernier épisode : l’avenir de la montagne