Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • Foix, Théâtre « Des châteaux en Espagne » – 6 et 7 mars

    Foix, Théâtre « Des châteaux en Espagne » – 6 et 7 mars

    Comment dialoguer quand on ne parle pas la même langue ?

    En fait de châteaux en Espagne, c’est d’amitié et de paix qu’il s’agit, de filles et de garçons d’ici et d’ailleurs qui se croisent, entre langue française et espagnole, entre fiction et réalité.
    Au début, on se toise, on se cherche, puis on échafaude toutes sortes d’aventures et on s’invente ensemble de nouvelles destinées… Quiproquos, situations cocasses, mésentente font le miel de cette pièce où la danse et la musique flamenco sont les traits d’union entre tous, quand les mots sont à court.

    Philippe Dorin – Sylviane Fortuny – Compagnie Pour ainsi dire

    Une fête pour célébrer les 10 ans de «Théâtre dans les Collèges» !

    Séances Scolaires 
    Lundi 06 mars 14h45
    Mardi 7 mars 10h00

    Séances Tous publics
    Mardi 07 Mars  20h45

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
    www.lestive.com

  • L’Ariège « frappe monnaie » pour le Salon International de l’Agriculture

    L’Ariège « frappe monnaie » pour le Salon International de l’Agriculture

    L’Ariège aura sa monnaie sur le salon de l’agriculture et ce c’est une entreprise de Lavelanet qui les a produit, celle de Guillaume Lopez.

    Conducteur de travaux à Toulouse, mais passionné depuis toujours par le bois, Guillaume Lopez crée son entreprise de mobilier en bois, LPZ, en juin 2014. Lavelanétien d’origine c’est tout naturellement qu’il s’installe dans sa ville natale.

    Un an plus tard LPZ devient LPZ Gravure et Découpe Laser. Avec sa machine pour faire de la découpe laser CO2 (jusqu’à 6mm d’épaisseur), il peut graver la signalétique intérieure extérieure (Plaques boîtes aux lettres, rues, etc…) des objets publicitaires (Portes clés, badges etc) ou encore des médailles, des plaques militaires, des plaques pour animaux de compagnie, des trophées…, le tout conçu et imaginé à Lavelanet. Guillaume Lopez travaille tous les matériaux (bois, plexiglas, verre, pierre, cuir, plastic, tissus, carrelage…)

    5000 pièces pour le Salon !

    Depuis, l’artisan Lavelanétien a conquis de nombreux marchés et c’est en janvier qu’il est chargé, par l’Agence de Développement Touristique Ariège Pyrénées, de frappé une monnaie ariégeoise pour le Salon International de l’Agriculture qui se tiendra à Paris du 25 février au 5 mars. Avec un côté pile représentant un mammouth et un côté face gravé «fabriqué en Ariège» ces pièces de monnaies seront distribuées aux lauréats des jeux et animations ou aux invités, leur permettant ainsi de consommer les produits ariégeois vendus sur le stand de 120m2 où se relaieront durant 9 jours, 17 exploitants producteurs et artisans. 

    LPZ Gravure et Découpe Laser
    11 rue Victor Hugo – Lavelanet 

    lpzgravure@gmail.com 
    www.facebook.com/societeLPZ

     

     
     
  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » troisième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » troisième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne deux stickers Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook). 

    Pour participer laisser votre message avec votre adresse email et postale sur ce formulaire de contact ou sur notre page FaceBook

    Deux stickers Azinat à gagner pour le premier qui répondra correctement.

    Réponse la semaine prochaine avec un petit historique de l’endroit ou du thème de la photo.

    La dernière fois il s’agissait de la commune de La Bastide de Sérou

  • Des jeunes bretons visitent l’Ariège et ses environs

    Des jeunes bretons visitent l’Ariège et ses environs

    Après un premier échange en Bretagne durant l’été 2016 autour des activités nautiques, c’était au tour des jeunes bretons de Trégueux de venir découvrir les richesses de l’Ariège durant les vacances d’hiver. 

    Cet échange s’est fait dans le cadre du jumelage entre les villes de Lavelanet et de Trégueux. Comme thèmes principaux durant ce séjour, les activités autour de la glisse, la découverte du patrimoine et de la gastronomie.

    Outre ces 12 jeunes bretons, un groupe de 14 jeunes issus des secteurs Jeunesse de la Communauté de communes du Pays de Mirepoix et de Lavelanet ont participé, du dimanche 12 au samedi 18 février à ce camp.

    Lundi soir, Trégueusiens, Lavelanétiens et Mirapiciens ont été reçus en mairie par le Comité de jumelage et le maire de Lavelanet.

    Hébergés à l’internat du Lycée Jacquard, ils ont pu découvrir tout au long de la semaine diverses activités choisies par leurs soins avec le concours de leurs encadrants : José Lopez (CCPM), Gladys Munoz et Karine Tolosa animatrices à Lavelanet.

    Au programme : découverte de la cité de Carcassonne, ski aux Monts-d’Olmes mardi et mercredi, veillées, cinéma offert par le Comité de jumelage, découverte de la ville Rose et d’un trampoline parc, visite du marché de Lavelanet et du patrimoine local…

    Pour le Comité de jumelage Emilie Allabert adjointe en charge de la culture a dit son plaisir « à voir vivre de tels séjours d’échanges ». Propos relayés par Marc Sanchez qui a adressé « ses amitiés au maire de Trégueux, Christine Métois, son Conseil et ses administrés ».

  • La Bastide de Sérou, sur les routes de l’Ariège

    La Bastide de Sérou, sur les routes de l’Ariège

    Située dans le massif du Plantaurel entre Foix et Saint-Girons, La Bastide de Sérou fait partie du PNR des Pyrénées ariégeoises.

    Historiquement Pays des Serones, ancienne peuplade gauloise. Elle fut occupée un temps par les Romains attirés par la région pour l’abondance des gites métallifères. On trouve aussi des traces des Arabes, qui, refoulés vers les Pyrénées après leur échec de Poitiers, s’emparèrent de Foix en 732

    Au Moyen Âge, La Bastide-de-Sérou est chef-lieu de l’une des seize châtellenies du Comté de Foix. Des vestiges sont encore visibles (Amphores de Nescus, lac asséché d’Alzen, mines des Atiels, chemin gallo-romain vers Castelnau-Durban).

    En 1150, la Bastide-de-Sérou s’appelait Montesquieu (Mont Farouche) et était alors composée des quartiers Noir et de la Faurie. En 1246, Montesquieu devient la Bastide d’Antuzan.

    En 1252, la commune passe sous le régime de la charte de Roger IV de Foix qui remet en question le monopole des moulins et forges. La place retrouve son nom primitif et Roger IV l’entoura d’une enceinte de murailles avec quatre portes : la porte du Mas, la porte de Foix, la porte d’Arize et la porte de la Faurie.

    C’est au xive siècle que le bourg prend son nom actuel. Le château, mentionné en 1255, fut rasé sous ordre de Louis XIII. Il abritait une garnison du Comte de Foix, ainsi qu’une prison. Son imposante enceinte était suivie par des escoussières (chemin de ronde). La ville était encore enclose en 1672.

    A savoir :

    Lucien Lafont de Sentenac, directeur des haras de Cluny (années 1920) habitant à Estaniels (proche de La Bastide-de-Sérou) a réhabilité le cheval de Mérens comme cheval de compagnie.

    A voir :

    – Halle du 19éme (1830), avec ses trois mesures à grains en pierre (un hectolitre, un demi-hectolitre et un quart d’hectolitre) : construite sur l’emplacement d’anciennes halles (seconde moitié du XIIème siècle, incendiées en 1621, réparées en 1785), détruites au 19éme siècle qui comportaient 21 piliers.

    – Maisons anciennes à colombage (l’une d’elle remonte à 1645 ; les autres sont du 18éme)

    – Restes de fortifications (Voir étude de J. Baylé) ; Vestiges de remparts et des portes d’entrée ( qui étaient: Porte de Foix; Porte de la Faurie; Porte du Mas; Porte d’Arize) ; Ruines du château démoli au XVIIéme

    Château de La Bourdette (privé) : ayant appartenu à la famille de Morteau depuis le 17éme siècle, il est reconstruit au 19éme.

    – Ancien moulin à farine

    –  « Château de Bugnas » : construit au 17éme siècle sur des fondements datant du XIIème (privé)

    – Mine antique de cuivre gallo-romain au lieu-dit « Le Goutil ». Privé. M.H. : 20/04/1980

    – Tour du Loup : château du 13éme (mention en 1243). Privé. M.H. : 07/12/1994 (de la famille des comtes de Foix) : en cours de « restauration »…

    600px-Blason_ville_fr_La_Bastide-de-Sérou_(Ariège).svgBlason d’azur à une tour d’or sur une terrasse de sinople.

    Sources : fr.wikipedia.org / www.mairielabastidedeserou.fr / www.histariege.com

  • Ax-les-Thermes, Concert « Un sourire d’hiver avec Artambouille » – 25 février

    Ax-les-Thermes, Concert « Un sourire d’hiver avec Artambouille » – 25 février

    Au cours de ce spectacle se rassemblent musiciens, jongleurs, circassiens, et toute une belle foule d’illuminés pour des festivals pluridisciplinaires, ouverts aux petits comme aux grands.

    Programmation :

    TANGLED TAPE (Nu soul / Old soul)  

    Formation de 6 musiciens et musiciennes menée par le producteur et beatmaker N-Soul, TANGLED TAPE nous propose un projet aux influences Soul et Hip Hop sur lesquelles la chanteuse Nell Mess fait planer des volutes de Trip Hop. 

    https://soundcloud.com/tangled-tape
    https://www.facebook.com/tangledtape/

    CUMBIA AL POBRE(Cumbia / Musiques latines)

    Des percussions venues d’Afrique, un chant espagnol et des mélodies indiennes, le coeur de Cumbia al Pobre bat au rythme de l’Amérique latine, de son métissage et de ses rythmes endiablés. Ces sept musiciens nous emmènent sur les plages de Colombie, nous font traverser le Pérou et la Bolivie pour danser jusqu’au Chili ! Cumbia a bailar y gozar!

    https://www.youtube.com/watch?v=nArmg_tXO80 
    http://cumbiaalpobre.wixsite.com/site/dates
    https://www.facebook.com/CumbiaAlPobre/

    TOFIGNOLE(Electro tek / Drum&bass)

    Dj du sound system »Ratsansblé »,bien connu des montagnes ariégeoises.Adepte du mix »vinyles »,son set drum&bass et electro tek,ravira les inconditionnels du dancefloor.

    DJ ICKARUS AKA MOONKICKS(Electro swing / Psytrance)

    1999, ICKARUS débute le live et le mix. Par la suite, il décide de monter un sound system nommé « GKC » en 2002 et fini par jouer en guest dans de nombreux sound system dans la région Île-De-France. Avec « ATN » (sound system de Paris), il étendit son style musical à la minimale, l’électro, la drum et la psytrance. En 2010, il créa l’association « K2C Sound System » où, ICKARUS, cherche à étendre sa passion au-delà des frontières, du monde et de la galaxie…

    https://www.facebook.com/Moonkicks-1708256372818802/?fref=ts
    https://www.facebook.com/ickarusk2c/?fref=ts
    https://www.facebook.com/groups/115572771837574/?fref=ts

    paf: 10 euros/5 euros(réduc bij/pij)

    A partir de 19h
    Salle Café Musique du Casino, Allée Paul Salette – Ax-les-Thermes

  • Mardi gras, entre Carnaval et Carême.

    Mardi gras, entre Carnaval et Carême.

    Mardi gras a lieu tous les ans à une date différente qui est fixée par rapport à la date de Pâques : Il s’agit de la veille du Mercredi des cendres, fête catholique qui marque le début du carême. Ainsi, le Mardi Gras est toujours fixé entre le 3 février et le 9 mars soit 47 jours avant Pâques. Cette année il tombe le 28 février.

    Le carême fait en particulier référence aux quarante années passées au désert par le peuple d’Israël entre sa sortie d’Égypte et son entrée en terre promise ; elle renvoie aussi aux quarante jours passés par le Christ au désert entre son baptême et le début de sa vie publique. La durée du Carême est de quarante jours sans compter les dimanches.

    La tradition voulait donc qu’en cette veille du début de période de privation, on faisait « gras » et on en profitait donc pour préparer des beignets, bugnes ou autres fritures mais aussi des crêpes. 

    C’est aussi le jour de mardi gras que s’achèvent la période des carnavals qui a commencé le 6 janvier,  jour de l’Epiphanie. Voilà la raison pour laquelle il est de tradition de se déguiser le jour de mardi-gras.

    En France il ne s’agit pas d’un jour férié, au contraire de la Suisse, du Portugal et du Brésil en particulier.

    La mi-carême, fêtée le jeudi de la 3ème semaine de carême, est également un jour de fête où on fait aussi des crêpes.

    Pourquoi faire autant de crèpes ?

    La logique du bon sens économique ! Le Carême est un temps de jeûne et les générations passées prenaient très au sérieux cet aspect particulier. Même les œufs étaient interdits. Mais les œufs ne se conservent guère plus de vingt jours, c’est-à-dire la moitié de quarante. C’est pour ne pas perdre cette denrée précieuse pour beaucoup, qu’on l’utilisait sous toutes les formes possibles.

    De la même manière, c’est pour vider les réserves qu’on fait des crêpes pour le mardi gras.

    Après la mi-Carême, on attend à nouveau vingt jours pour sortir, décorés de joie pascale, les œufs gardés en réserve.

  • Restaurant Le Paquito, un morceaux d’Espagne à Lavelanet.

    Restaurant Le Paquito, un morceaux d’Espagne à Lavelanet.

    Nés à Lavelanet et d’origine espagnole de la région l’Abacete, Yannick et Aymeric Munoz ont repris en 2012 le restaurant fondé par leur père en 1999, Le Paquito.

    Situé à l’origine place Henri Portet le restaurant, suite à un incendie en aout 2015, à déménagé à l’ancienne « Bulle » bien connu des lavelanétiens.

    Cuisine traditionnelle, spécialités espagnoles et pizza au feu de bois sur place ou à emporté, Aymeric et Yannick travaillent en famille et avec les amis. 

    Yannick est pizzaiolo, Aymeric se distingue au service et à l’accueil avec sa femme et sa belle soeur, David leur ami d’enfance se charge de la cuisine. Une jeune équipe qu’est venue renforcer Romane une jeune apprentie. 

    Avec son foie gras poêlé aux figues, sa cocotte brioché aux saints-jacques, sa salade César ou encore sa paella, sa zarzuela et autre fideua et bien sur sa pizza au feu de bois, le Paquito est un petit restaurant familial ou l’on trouve une cuisine maison, simple et de qualité accompagnée d’un accueil sympathique.

     

  • Pamiers, Demi-Finale Championnat de France Savate Boxe Française – Élite A – 18 février

    Pamiers, Demi-Finale Championnat de France Savate Boxe Française – Élite A – 18 février

    Le gymnase de la Rijole ouvrira donc portes le samedi 18 février à 18h30 pour une belle démonstration de boxe des meilleurs champions. Certains, d’origine ariégeoise, comme Kevin Albertus, Mathilde Minier, respectivement champions d’Europe, champions du monde, seront présents pour disputer leurs matchs.

    Ce sont 16 athlètes de 8 catégories différentes, dont la moitié sont des féminines, qui vous offriront une boxe de qualité et de tempérament.

    1200 personnes sont attendues avec deux carrés VIP, un dispositif de sécurité digne de Bercy ( !) et cela grâce à plus de 30 bénévoles investis.

    Mais ce n’est pas tout ! Cette compétition est organisée comme un « Showbiz » et sera rythmée de multiples spectacles « Les Jump Rop », (démonstration de sauts à la corde), un show de Twirling bâtons, les « boxing girls » et bien d’autres animation se succèderont. La ville prend une part active dans l’aide matérielle et humaine.

    Restauration et buvette sur place. tarifs : 10€ (+ de 12 ans), 8€ (6-12€), gratuit (-de 6ans)
    En attendant, pensez à réserver au 06.95.97.12.09.

    Samedi 18 février –  gymnase de la Rijole – Pamiers 
    Contact : boxingclubsavate09@hotmail.fr 

     

  • L’histoire incroyable d’un ariégeois méconnu, Blaise Ferrage

    L’histoire incroyable d’un ariégeois méconnu, Blaise Ferrage

    Violeur des montagnes, anthropophage des Pyrénées ou encore l’ogre de Gargas, voilà quelques sobriquets sympathique pour définir Blaise Ferrage, qui a été qualifié de  premier tueur en série de l’Histoire. Et si on vous en parle aujourd’hui c’est parce que ce « charmant » personnage est né au milieu du XVIIIème dans le petit village de Cescau dans le Couserans.

    D’après la légende il aurait violé, tué et mangé pas moins de 80 jeunes filles.

    En fait il faut essayer de débrouiller les fils entre la Légende et l’Histoire et ce n’est pas toujours facile. Ce qui est sûr, c’est que Blaise Ferrage voit le jour, au milieu du XVIIIe siècle à Cescau où sa famille a des terres. C’est un individu taciture et solitaire, doué d’une grande force et chasseur d’isard de son métier. Il a marqué l’imaginaire collectif, d’un bout à l’autre de la chaîne montagneuse, de Cescau jusqu’à Aventignan (Hautes-Pyrénées), où la légende veut qu’il trouvât refuge, dans les grottes de Gargas.

    Blaise Ferrage est en fait entré dans la carrière de légende du crime en violant des bergères. Ce qui, dans ces temps-là, n’avait rien d’extraordinaire, ni même de franchement répréhensible sauf s’il s’agissait de femmes dites de « qualité », nobles, bourgeoises, ou issues de familles paysannes aisées. De plus il les prenait de préférence assez jeunes (la plus jeunes avait dix ans). Mais à cette époque point de pédophilie puisque les enfants étaient considérés comme des adultes miniatures. Ce qui parait donc à notre époque comme des crimes monstrueux n’avaient en ce temps là rien de répréhensible sinon une solide correction physique administrée par des groupes de jeunes sous l’autorité des consuls, qui rendaient la justice localement.

    Il en sera autrement pour Blaise Ferrage car non seulement il violait, souvent, des filles très jeunes, mais il avait également tenté de tuer la jeune Marie Gros, la servante de son oncle, sans doute la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Il fut arrêté et condamné pour 22 viols, l’assassinat d’un Espagnol et deux tentatives de meurtre… pour ce qui a pu être prouvé. 

    Condamné à mort, il fut  roué vif en place Saint-Georges à Toulouse le 13 décembre 1782. Sur ordre des juges, le bourreau ne lui accordera pas d’être étranglé avant d’être roué, comme il était de coutume, pour alléger les souffrances du supplicié.

    Ce n’est qu’après, dans la presse de l’époque qu’apparaît la notion de cannibalisme et notamment  dans le « Mercure de France », qui était le journal officiel de la cour, à Paris.

    Pour comprendre comment la légende est née, analyse Jean-Pierre Allinne historien, qui a consacré un ouvrage à Blaise Ferrage intitulé «l’anthropophage des Pyrénées»,  il faut remonter au XVIIIe siècle, juste avant la Révolution. « À cette époque où le roi voulait imposer son administration, la presse était prompte à stigmatiser le paysan, afin d’opposer la civilité de la ville à la supposée sauvagerie paysanne ». 

    Blaise Ferrage a donc violé au mauvais endroit et au mauvais moment ! 

    Si vous voulez en savoir plus sur cette incroyable histoire, Jean-Pierre Allinne donnera une conférence à Artigat le 21 février à 20h à la salle des fêtes – renseignements au 06 87 33 92 48.

    source :www.sudouest.fr

    Photo à la une : gravure représentant Blaise Ferrage, « l’anthropophage des Pyrénées ». Reproduction Cairn éditions

     

  • Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » deuxième semaine

    Sur les routes de l’Ariège « On the road Again » deuxième semaine

    3, 2, 1 … C’est parti !!!!

    Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne deux stickers Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook). 

    Pour participer laisser votre message avec votre adresse email et postale sur ce formulaire de contact ou sur notre page FaceBook

    Deux stickers Azinat à gagner pour le premier qui répondra correctement.

    Réponse la semaine prochaine avec un petit historique de l’endroit ou du thème de la photo.

    La dernière fois il s’agissait de la commune de La Bastide sur l’Hers

  • Tarascon sur Ariège, Ouverture de saison pour « La voix du scribe » 15 février

    Tarascon sur Ariège, Ouverture de saison pour « La voix du scribe » 15 février

    Pour l’ouverture de sa saison culturelle, l’Association LA VOIX DU SCRIBE vous invite le mercredi 15 février à 21h au Centre Culturel de Tarascon sur Ariège à un voyage musical atypique.

    La première partie de la soirée sera assurée par le groupe ariégeois, UN AIR DE ZIC, dont la musique se veut une mosaïque de rythmes et de couleurs. Jazz alternatif, air flamenco, swing…

    Puis, c’est le quartet pop-rock MARNAMAÏ, groupe originaire de la vallée de Bédeilhac, qui interprètera ses propres compositions. David, le chanteur auteur -compositeur, offrira au public ses textes percutants de sa voix profonde qui n’est pas sans rappeler celle de Bernard Lavilliers.

    Fidèle à ses objectifs, dans l’esprit des Festi’Scrib qu’elle organise deux fois par an sur Banat, l’association portera une fois de plus ses valeurs de défense des passerelles entre l’écriture et les autres formes d’art.

    Mercredi 15 février à 21h au Centre Culturel de Tarascon sur Ariège

    Tarif : 10 euros / 5 euros. Gratuité moins de 12 ans.

    Réservation conseillée : 06.86.02.86.95 ou sur www.facebook.com/LaVoixDuScribe.