Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • Lavelanet – Peace and Lobe – 29 novembre

    Lavelanet – Peace and Lobe – 29 novembre

    affichepeaceandlobePeace and Lobe revient :

    Avant-Mardi, Pôle Régional Midi-Pyrénées des Musiques Actuelles, propose un programme pédagogique d’information, de sensibilisation et de prévention des  risques auditifs liés à l’écoute et à la pratique des musiques amplifiées.

    Peace and Lobe propose diverses actions et notamment une animation à destination des collégiens et des lycéens avec les « KKC orchestra ».

    Mardi 29 Novembre 2016 09h00 et  14h00

    Tarif Gratuit Le Casino – Lavelanet

  • Mirepoix, Marché « Noël d’antan du fait main » – 27 novembre

    Mirepoix, Marché « Noël d’antan du fait main » – 27 novembre

    Organisé par l’association ID PLEIN LA TETE, Créateurs amateurs et professionnels.

    Beaux-arts, poterie, cartonnage, tricot, scrapbooking, couture, bijoux, encadrement, broderie, peintures /verre, porcelaine froide, vitrail, home-deco, modelage, mosaïque etc…

    Renseignements, inscription 06 77 88 64 96 – 06 50 95 22 88

    Entrée gratuite (vente de vin chaud etc…)

    Dimanche 27 novembre de 10h à 19h à Mirepoix à la salle Paul Dardier (Ancienne Gare).

  • Pamiers, Théâtre « La perle de la Canebière » – 26 novembre

    Pamiers, Théâtre « La perle de la Canebière » – 26 novembre

    «perle-katty-castellatLa perle de la Canebière» de Eugène Labiche, par l’Arène Théâtre. Une comédie mêlée de chants, jubilatoire comme une  » pagnolade « …

    La perle, Théréson Marcasse, une marseillaise généreuse et libre, une bombe de démesure dans un monde de mesure, va porter l’anarchie, faire éclater le petit univers coincé des Beautendon. Elle va mettre les Parisiens à neuf !… Ensemble nous goûterons l’aïoli hyper comique de la Canebière jusqu’à la folie. Jubilatoire on vous dit…!

    Samedi 26 Novembre – 20h45
    Salle du Jeu du Mail – Pamiers

    Tarifs : 12€, 8€ réduit. Organisé par l’Aftha. Réservations à l’Office de Tourisme du Pays de Pamiers. Tél : 05 61 67 52 52.

  • Clermont , week-end « Le Souleilla » 25 et 26 novembre

    Clermont , week-end « Le Souleilla » 25 et 26 novembre

    un week-end plein de chaleur humaine et de rythmes endiablés ! avec  THE concert EVENEMENT  SOFAZ !

    Vendredi 25 novembre – 22H /dancefloor

     DJ OPEN SESSION avec Dj ART-MAN

    reagge, roots , dub all stars

    Participation libre mais indispensable

    Samedi 26 novembre – 21H30/concert événement !

     SOFAZ : Maloya-Elektro

    Sofaz est un jeune volcan Maloya-électro métissé et multiculturel.
    Depuis son apparition il y a 3 ans, ses activités créatives exercent un très fort magnétisme sur toute forme de vie, sédentaire ou migratrice…
    Lors des éruptions, les nuées ardentes de la danse Gnawa exhalent le cri puissant d’un saxophone aurifère. La lave profonde du kayamb ou de la guitare jaillit tout droit de sous le manteau d’un break beat & bass bouillonnant et nourricier, que les diamants du djembé sertissent.
    C’est ici que les tendres alizés des chants créoles ont choisi de se retrouver, en cet havre chaleureux de transe, de partage et de respect.

    http://sofaz-music.com/

    Participation libre mais indispensable

    Les horaires du Souleilla :

    Le restaurant est fermé le lundi et mardi, ouvert du mercredi midi au dimanche soir (10h-15h et 17h-02h)
    Horaires bar restaurant et épicerie : 10H-15H et 17H- 22H

    Week-end, fermeture à 02H

    Réservations et renseignements au 05 34 09 02 20 

    www.souleilla.com

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  • Cirque « Flaque » Compagnie Defracto – 25 et 26 novembre

    Cirque « Flaque » Compagnie Defracto – 25 et 26 novembre

    Spectacle aussi hypnotisant que burlesque où les corps mous, flasques, élastiques tombent, se relèvent, rattrapent les balles dans une forme de ballet graphique jonglé auquel nous sommes peu habitués.

    Entre absurdité et prise de risque, précision du geste et nonchalance, Guillaume Martinet et Eric Longequel transgressent les codes du jonglage dans un élégant pas de deux humoristique et léger. Spectacle de danse jonglé à partir de 6 ans, 1h

    Écriture et interprétation : Eric Longequel, David Maillard, Guillaume Martinet

    TARIFS SPECTACLE

    12 €, 10 € (réduit), 9 € (abonnés Arlésie et Estive), 7 € (- de 13 ans) et carte réduc09

    CARTE BLANCHE GASTRONOMIQUE à ISABELLE

    A partir de 20h30 avec Les artistes

    SOUPE de Cresson, toast surprise, Gratin de potimarron au confit de canard et sa verdure Clafoutis de poires au miel 16 € (cocktail, vin et café compris), 14 € (ado), 10 € (enfant) Réservation conseillée avant le mardi 22 novembre minuit

    Vendredi 25 novembre au Casino d’Ax les Thermes (avec Ax’Animation)
    Samedi 26 novembre à 19h Salle polyvalente à Le Fossat
    en co-réalisation avec l’Estive, scène nationale de Foix et d’Ariège.

    Association ArLésiE Tél : 05 61 60 48 84 – arlesie@wanadoo.fr – www.arlesie.asso.fr

    www.facebook.com/arlesie

  • Saint Pierre de Rivière, Atchalo – 26 novembre

    Saint Pierre de Rivière, Atchalo – 26 novembre

    Helios QUINQUIS (guitare, voix, percussions) et Hélène LAFONT ( voix, percussions)

    «Un duo qui chante l’amour et l’eau au rythme des rencontres d’un jeune vannier avec une ondine, un cheval fougueux, des personnages étranges ; le tout servi par des mélodies d’influences hispano – arabo – balkaniques»

    Lien site : atchalo.wixsite.com

    Samedi 26 novembre
    19h30 à l’auberge de la Barguillère , Saint Pierre de Rivière

    RESERVATION 05.61.65.14.02
    Spectacle : participation libre et nécessaire
    Repas : 20€ concocté par Giovanni

    AUBERGE LA BARGUILLERE
    LOGIS
    18 Lieu dit le Pont
    09000 SAINT PIERRE DE RIVIERE
    contact@barguillere.fr
    www.barguillere.fr
     facebook

  • France Sapin Bio, pour un Noël bio et local

    France Sapin Bio, pour un Noël bio et local

    France Sapin Bio créée en septembre 2013 a pour but de commercialiser les premiers sapins de Noël issus de l’agriculture Biologique. Seulement 1% des producteurs de sapin de Noël Français cultivent leurs arbres sans produits chimiques, et Michel Vuillier est l’un des seuls producteurs certifié et labélisé !

    Dernier maillon d’une longue lignée d’hommes de la terre, agriculteurs et forestiers depuis quatorze générations, Michel Vuillier a repris l’exploitation paternelle dans les années 1980.

    A l’époque les terres étaient consacrées à la culture du tournesol et divers autres productions céréalières, ainsi que quelques sapins 800 à 1000, rien de comparable aux productions actuelles.

    Une nouvelle dynamique s’est déclenchée en 2007 pour le premier Noël de l’A 380. Il fallait un beau sapin et Michel Vuillier fut le seul producteur à répondre présent avec un arbre de 18 mètres de haut.

    La création de « France Sapin Bio » est venue à la suite d’une demande faite par un grossiste du marché-gare de Toulouse se plaignant de devoir importer des sapins du Danemark ou de Belgique, la France et particulièrement le sud-ouest accusant un déficit de production.

    Michel a eu l’idée de développer sa production pour répondre à la demande du marché français. Producteur bio, il a donc continué sa logique en devenant le premier producteur de sapin bio français et le plus gros producteur Européen.

    Les portes ouvertes « Viens choisir et couper ton sapin » auront lieu le 3 décembre de 10h00 à 17h00, à la canadienne : les clients viennent choisir leur sapin dans la plantation

    Nordmann ou épicéa ? Odorant ou résistant ? Grand ou petit ? Touffu ou élancé ? Vous aurez l’embarras du choix… mais la garantie d’un sapin de Noël 100% local et cultivé dans le respect de l’environnement, car l’agriculture biologique ne se cantonne pas qu’à l’alimentaire !

    Le sapin de Noël est un symbole de la magie de Noël. Il est spécialement mis en culture pour ce moment de fête.
    Alors… si on a le choix, autant acheter un sapin cultivé en France, qui développe l’économie d’une région, et qui respecte notre planète.

    Contacts :
    France Sapin Bio
    Belloc 
    09200 Montjoie en Couserans
    Tél. : 05 61 66 54 40
    francesapinbio@gmail.com
    www.francesapinbio.fr

  • Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    Verino Piedigrossi, l’itinéraire d’un Rital de l’Italie à l’Ariège

    A l’occasion de la sortie de son sixième ouvrage «Stupéfiante fenaison», le plus rital des ariégeois, l’écrivain Verino Piedigrossi, est venu nous rendre visite et nous a parlé en toute amitié, de sa vie et de ses livres.

    Originaire des Abruzzes, une région du sud de l’Italie, Verino débarque en Ariège le 13 décembre 1947 à l’âge de huit ans. Sa famille s’installe dans le petit village de Vicdessos, dans une maison  donnée par l’entreprise Péchiney où son père travaille depuis six mois. 

    Après avoir passé un C.A.P de chaudronnerie, Verino suit les traces de son père et commence sa carrière à Péchiney, alors la plus grosse industrie du département. Il y restera dix ans puis, voulant « repousser ses horizons », il s’engage dans une carrière commerciale. 

    C’est à l’âge de soixante six ans qu’il décide d’écrire : «J‘ai voulu laisser une trace à mes enfants, mes petits-enfants, mes neveux et nièces qui sont nés en France, et comme j’étais le mieux à même de la famille à pouvoir traduire notre histoire, je me suis mis à l’écrire. J’ai écris sept pages, je l’ai fait lire autour de moi, ma femme mes enfants… qui m’ont incité à aller plus loin. Alors de sept pages j’ai fini à trois cents pages». Cette histoire il l’a intitulée «L’odyssée d’un rital» dans laquelle il retrace l’exode chaotique de sa famille et la mise en place et le parcours de chacun.

    Bien qu’il en soit à son sixième livre, «L’odyssée d’un Rital» reste, nous explique t’il, sa locomotive. «Les autres sont les wagons. Même si j’y ai mis la même passion, «L’odyssée d’un Rital», étant une autobiographie, c’est plus émouvant et plus attachant, on se reconnait dans cette histoire que l’on soit français de souche, italien, espagnol, ou qui que ce soit.»

    Viendront ensuite deux romans, «Le berger du vallon rouge» et «Le violon sous le toit», un roman policier, «Le sarbacanier du clair de lune», et un essai sur l’environnement, «La triade infernale».

    Cette année c’est donc «Stupéfiante fenaison», son troisième roman et sixième ouvrage qui vient de sortir. Une troisième fiction qui débute dans une région agricole des Hautes-Pyrénées, entre Lannemezan et Auch. Un croisement, un abri-bus, une voiture qui s’arrête, un passager qui descend dépose deux mallettes et repars aussitôt, tout cela sous l’oeil curieux d’un agriculteur… Nous n’en dirons pas plus. 

    «Avec cette histoire, contrairement aux autres, je ne savais pas ou j’allais. Elle m’est venue d’une simple phrase que j’ai posé sur un papier en voyant ce paysage. J’ai créé les personnages et puis je me suis contenté de les suivre, et je les ai suivi pendant trois ans. C’est le seul que j’ai écris en trois ans mais je suis content du résultat parce que je me croyais incapable d’écrire un tel roman.»

    verino-piedigrossi.pagesperso-orange.fr

     

     

  • Margaux, GOOD AS … New Zealand

    Margaux, GOOD AS … New Zealand

    Avant d’entrer dans le vif du sujet et de vous raconter mes derniers 30 jours aux pays des Maori, je vous remercie à tous pour vos messages et vous rassure, je vais bien.

    En fait pour la petite histoire et alors que je dormais paisiblement dans mon van sur un parking discret près d’Auckland, c’est Juliette (Canopée Lit, Quebec 2015) qui, depuis le Quebec m’a réveillée aux aurores en me demandant si j’allais bien, suite au tremblement de terre ! C’est donc là que j’ai appris les événements … et que j’ai également réalisée que j’étais passablement coupée du monde et des infos … bref, je vous rassure, je suis en sécurité et je vais bien, merci de vous inquiéter et revenons donc à nos moutons.

    3Deuxième mois en Nouvelle Zélande et je fête tout juste les 8 000 kilomètres parcourus avec Duka, mon cher van, mon compagnon de route. Je ne l’ai pas ménagé ces dernières semaines … alors il toussote un peu, le ralenti est trop bas, l’huile fuit par ci et par là, mais il est solide et suit sa route (sans mauvais jeu de mots !) et inutile de vous dire que du Nord au Sud et d’Est en Ouest je commence à bien connaitre le Poisson de Maui (Te Ika-a-Maui, nom Maori de l’île nord).

    J’apprends beaucoup sur l’histoire et les traditions maories. Quelques mots aussi … les indispensables, bonjour : Kia ora ; au revoir : Haere rā ; rivière : Awa (tout aussi important, croyez moi) et les légendes aussi stupéfiantes que la géologie locale … et la politique énergétique : figurez-vous qu’il n’y a aucune centrale nucléaire ici, bon d’un autre côté, il y a toujours des sacs plastiques au supermarché et presque 1 voiture par habitant. Pas par foyer. Par habitant !

    4Pour la photographe que je suis, les contrastes omniprésents sont tous les jours plus saisissants. Je ne me lasse pas de regarder les petites collines vertes vallonner l’horizon. Tout est si différent et si familier. Les villes ressemblent à nos villes, mais il y a des palmiers à chaque coins de rues … L’Amérique est bien implanté et grâce à elle, le McDonald’s de Te Awamutu ressemble à s’y méprendre à celui de Foix. Tout est pareil mais autrement ! C’est saisissant.

    Après moult péripéties, j’ai réussi à réunir l’intégralité des papiers nécessaires pour travailler et être en règle avec l’administration kiwi. Je vais pouvoir me lancer … répondre aux « Now Hiring » sur les devantures des magasins … ou proposer mes services pour ramasser des fruits ! En tous cas, la saison touristique arrive à grand pas et il y a profusion de jobs saisonniers. Et oui !! C’est « mon année à deux étés » !! Il ne me reste plus qu’à trouver LA bonne annonce, celle qui me permettra de vivre pleinement cette expérience Néo-Zélandaise.

    J’ai hâte de vivre proche de kiwi, des locaux. Je ne me fais toujours pas à leur accent qui agresse les littéralement les tympans de tout nouvel arrivant, car outre le « jargon » local, les syllabes mangées et les mots-valises … ici on rajoute des exclamations à la fin des phrases et on invente des mots ! Sacré challenge cette année anglophone 24/7 !

    On m’a demandé plusieurs fois si je n’étais pas « Yankee », comprenez américaine, à cause de mon non-accent français : «NON NON aïe ème fraume France beute wi donte spique ole laike zat ».

    5En parlant de français, j’en croise partout, tout le temps. Des allemands aussi, beaucoup. Les Européens voyagent, ça questionne non ? En tout cas, à les écouter ils sont tous à la recherche de quelque chose, un ailleurs meilleur je suppose !

    En attendant, je dois aller chercher ma pote de fac Manon qui débarque en Nouvelle Zélande pour 8 mois avec son copain Pierre. Tout deux arrivent mardi et je me suis déjà proposée de les accueillir. La gentillesse Néo-Zélandaise me colle à la peau 😉 En tout cas, on va partager quelques heures ensemble avant qu’ils entament cette année en PVT avec un programme déjà chargé.

    Et après ? Je prépare un déménagement. Pas le mien, mais celui de Virginia et sa famille qui m’accueillent quelques semaines à partir de mi-novembre, mais je vous raconterai tout ça le mois prochain !

    Ka kite ano 😉
    À bientôt

    Kilomètres parcourus depuis le 25 août 2016 : 34.971 kms
    19.510
      en avion

    3.898 en bus
    1.024 en train
    10.489 en voiture
    50 en bateau

    Toute l’aventure de Margaux sur : margauxvallet.wixsite.com

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  • « Les 2es Rencontres de l’Ariège » : six réunions publiques pour préparer l’avenir de l’Ariège avec les Ariégeois

    « Les 2es Rencontres de l’Ariège » : six réunions publiques pour préparer l’avenir de l’Ariège avec les Ariégeois

    En novembre 2015, Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental, avait proposé aux Ariégeoises et aux Ariégeois d’échanger publiquement sur les grands projets du territoire dans une démarche participative et citoyenne. A l’issue de ces rencontres, l’Assemblée départementale examinait le débat d’orientations budgétaires (DOB), préfigurateur du budget 2016.

    presse-rencontres-elusDans le cadre du DOB 2017 et en compagnie des vice-présidents du Conseil Départemental, délégués à l’aménagement du territoire, à la solidarité, aux routes et travaux publics, à l’éducation et aux transports, aux finances ou encore à la culture et à la jeunesse, Henri Nayrou renouvelle l’initiative et organise des réunions publiques durant lesquelles il évoquera les projets engagés mais aussi ceux à venir. Il répondra surtout à toutes les interrogations et aux échanges qui lui seront proposés.

    Afin de permettre au plus grand nombre de participer à ces « 2es Rencontres de l’Ariège », chacun a la possibilité de poser sa (ou ses) question(s) en amont, via l’adresse électronique : comdir@ariege.fr. Toutes les réponses seront apportées à l’occasion de ces réunions publiques.

    « Les Rencontres de l’Ariège », inspirées des séances publiques organisées depuis une dizaine d’années par le Département, se déclinent donc selon les modalités suivantes :

    Arize et Lèze : mardi 29 novembre, à 18 heures, au Fossat (salle multimédia).
    – Couserans : mercredi 30 novembre, à 18 heures, à Saint-Girons (salle Max-Linder).
    – Foix et Val d’Ariège : jeudi 1er décembre, à 18 heures, à Montgailhard (Forges de Pyrène).
    – Pays d’Olmes et Mirepoix : mardi 6 décembre, à 18 heures, à Lavelanet (salle du Casino).
    – Pamiers et Portes d’Ariège : mercredi 7 décembre, à 18 heures, à Pamiers (salle Espalioux).
    – Sabarthès et Haute Ariège : jeudi 8 décembre, à 18 heures, à Tarascon (espace multimédia).

    Toutes les Ariégeoises et tous les Ariégeois sont invités à participer à ces temps d’échanges et de débats.

    Renseignements complémentaires : www.ariege.fr ou facebook.com/conseil.departemental.ariege

  • Lavelanet : Une réunion de travail pour partager et faire remonter

    Lavelanet : Une réunion de travail pour partager et faire remonter

    La 4ème réunion du groupe de travail « Territoires et bourgs-centres » portée par l’association « Sites et Cités remarquables de France », son président Martin Malvy et sa directrice Marylise Ortiz, a eu lieu ce mercredi 16 novembre, Salle du Casino espace culturel Mady de la Giraudière.

    « L’importance de telles journées porte sur les échanges entre élus, techniciens, État » a indiqué en préambule Bruno Marty maire de La Réole et président du groupe de travail, avant de rappeler : « l’intérêt des populations, l’attractivité, le développement de nos territoires passent par le développement des bourgs-centres. Il faut raisonner globalement sur un territoire ; pour ceci, un gros travail est à faire sur les communautés de communes, car ne l’oublions » a-t-il poursuivi : « le bourg-centre est la locomotive du territoire ». Propos réitérés par Jean-Jacques Michau pour le pays d’art et d’histoire des Pyrénées cathares glissant : « le PAH est un liant, on essaye de mettre en synergie les projets de territoire pour s’inventer un avenir ». L’avenir, le maire de Lavelanet Marc Sanchez y croit dur comme fer. « La revitalisation des centres-bourgs représente un enjeu crucial pour l’attractivité des campagnes et la structuration des territoires. Le dispositif AMI se fonde sur la réhabilitation du bâti ancien, mais concerne aussi la qualité de vie, la cohésion sociale et le développement commercial, touristique, artisanal, industriel. Nous le savons tous, la valorisation des atouts et de l’identité de chaque territoire passe par la protection et la mise en valeur de notre patrimoine naturel, culturel et architectural. Par un centre-bourg animé et vivant, par une transition écologique et énergétique. Mais tous ces projets ne peuvent être mis en œuvre sans l’implication des habitants de Lavelanet, du pays d’Olmes. Habitat, culture, emploi, circuits courts, lutte contre le mal-logement, patrimoine… sont inscrits dans le projet « Lavelanet 2050 que porte la municipalité». Du patrimoine, il en a été également question avec Marylise Ortiz rappelant : « un travail spécifique sur l’économie et territoire, culture et patrimoine est réalisé sur quatre territoires parmi les 54 villes lauréates AMI-centres bourgs. Quatre territoires pilotes ayant tous connu une déprise industrielle : Saint-Flour, Pont-Saint-Esprit, La Réole et Lavelanet ». À Lavelanet comme dans les autres territoires concernés, ces projets reposent sur une action de proximité, d’animation d’acteurs par une démarche collective de co-construction avec les porteurs de projets et les acteurs de terrain ; de concertation avec les élus et habitants. Mais l’État intervient aussi comme l’a souligné Marc de Dumast responsable stratégie et partenariat à la Caisse des Dépôts et Consignations : « la Caisse des Dépôts se mobilise pour faire face à 4 grands défis : transition territoriale,  économique, démographique, écologique ». 

    Cette réunion de travail a également été l’occasion de « faire remonter les difficultés rencontrées » : élus et techniciens souvent isolés, calendriers de financement un peu long « se faisant on fait languir nos populations » selon Bruno Marty. Mais des pistes sont à l’étude : fonds d’investissement d’avance, guichet unique et boîte à outils globale, création ou renforcement de clubs  ou comités régionaux entre lauréats, allongement de la durée du FNDAT. Pour Julia Gartner-Negrin et Vincent Lacaille Ministère de la Culture et de la Communication « l’idée étant que le dispositif AMI fasse des petits, grâce aux évaluations ». Car tous les participants en sont convaincus : « c’est une chance de bénéficier de tels dispositifs » ; d’autant plus pour Lavelanet qui peut également s’appuyer sur le dispositif TEPcv, dispositif en marche sur la Ville et porteur d’une nouvelle dynamique.  

    Source : Mairie de Lavelanet

  • Laroque d’Olmes, «Les Acher, les plus grands marchands du Pays d’Olmes au XVIII° siècle» – 25 novembre

    Laroque d’Olmes, «Les Acher, les plus grands marchands du Pays d’Olmes au XVIII° siècle» – 25 novembre

    Vendredi 25 novembre, le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares a invité Bruno Evans, historien et spécialiste de l’industrie du jais et du peigne en vallée de l’Hers et du Touyre.

    Il animera sa conférence sur la commune de Laroque d’Olmes, car Justin Acher y fit construire deux moulins à jais dans les années 1750, l’un étant sur la propriété de la maison Sage.

    Les Acher vendaient des bijoux en or, en jais et des peignes du Pays d’Olmes, de l’Amérique à la Syrie en passant par l’Angleterre et l’Allemagne. Grâce à ce commerce, ils bâtirent une véritable fortune dont l’empreinte foncière marque encore le Pays d’Olmes. Et selon l’historien : « Le Sud-Ouest, et donc le territoire du Pays d’Olmes, fut longtemps qualifié de sous-développé économiquement par de grands historiens. Pourtant, l’examen des livres de compte des Acher, aussi aride soit-il, nous révèle des marchands au long cours ». Mais, comme bien des nouveaux riches du XVIIIe siècle, leur idéal social était la noblesse : Justin Acher en fit le combat de sa vie.

    Bruno Evans, vous invite à découvrir cette épopée vendredi 25 novembre à 18h, dans la salle Mermoz. Le tarif de la conférence est de 3€.