Le Haut Salat abrite un mammifère emblématique, aussi rare qu’étrange : le Desman des Pyrénées ! Ses populations y sont sans doute les plus importantes au monde !
Venez découvrir le travail mené par des scientifiques pour percer le secret de cet animal si discret.
Avec Vincent Lacaze
RDV : 20h00 à la salle polyvalente de Seix (09140)
Inscription : vincent.l@ariegenature.fr / 06.70.24.20.45
18h conférence : « L’économie collaborative, un atout pour le développement local ».
Intervenant : Samuel Roumeau, en charge de la thématique Villes & Territoires au sein de OuiShare, plateforme d’idées et de projets dédiée à l’émergence de la société collaborative. Il se passionne pour l’application concrète des modèles économiques émergents, en particulier au profit des populations les plus vulnérables. Il a travaillé avec Lyon Métropole, la ville de Porto, ou encore le Commission Européenne. Il interviendra sur les différents types de pratiques collaboratives, leur impact sur les modèles de développement local, les nouvelles formes de gouvernance et de participation citoyenne.
19h45 : repas partagé (Sur réservation avant le 10/11 au 05.61.05.05.55 / 9 euros)
21h projection : « Food Coop » de Tom Boothe suivie d’un échange.
“Food coop” c’est l’histoire d’une coopérative alimentaire à New York, un supermarché autogéré dont les 16 000 membres donnent 3 heures de travail par mois, un supermarché dans lequel il faut travailler pour consommer les produits vendus et où tout est deux fois moins cher que n’importe où ailleurs ! Une plongée dans une réalisation collective et tous ses aspects quotidiens, pratiques, politiques, éthiques…
L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
www.lestive.com
Uncle Joe est un duo de reprises Mento et Calypso. Composé d’un guitariste chanteur et d’un percussionniste chanteur, Uncle Joe interprète des standards folks Jamaicains et Trinidadiens des chanteurs tels que Stanley Beckford, Count lasher, Harry Belafonte, Jolly Boys, Lord Invader…
Créé en fin 2012, Uncle Joe est un duo toulousain de reprises Mento et Calypso. Le Mento, ancêtre du Ska et du Reggae est la musique Folk jamaïcaine. Le Calypso quant à lui est l’âme de l’île de Trinidad.
Le groupe s’est formé à l’initiative de Benoit Roudel, guitariste/chanteur du groupe Mampy (Reggae Ska Jazz de Toulouse) donc déjà très influencé par la culture caraïbéenne. Léo Bernard, quant à lui, est un percussionniste/chanteur ayant évolué sur des musiques plus « Latines », dans des groupes comme Holimbo (Latin beat) ou Dyade (Flamenco Jazz). Le Combo de ces deux musiciens fait revivre ou perdurer des traditionnels Jamaïcains et Trinidadiens des années 50 à 70.
Vendredi 11 novembre 21h
Restaurant Le Comptoir
Baudet- 09230 Montardit
05 61 02 90 74
www.restaurantlecomptoir.fr/
Les Editions Gallmeister, fondées par un passionné de pêche à la mouche, nous font découvrir les vastes espaces de la littérature américaine.
Qu’ils soient nature writers et dignes héritiers de Thoreau comme Edward Abbey ou David Vann, auteurs de romans noirs comme Craig Johnson ou Samuel W. Gailey ou qu’ils soient ancrés dans la contreculture comme Tim Robbins, les auteurs de Gallmeister sont si marquants qu’ils deviennent nos guides sûrs pour la découverte d’une autre Amérique.
En présence de Marie-Anne Lacoma, responsable de la promotion éditoriale. Entretien animé par Maryline Lambert.
L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
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Opéra fantastique en un prologue, trois actes et un épilogue (1881) EN DIRECT DE L’OPÉRA BASTILLE
Lorsqu’il s’attelle à la composition des Contes d’Hoffmann, Offenbach a déjà plus de cent opéras à son actif.
Laissée inachevée en raison de la mort du compositeur survenue au cours des répétitions en octobre 1880, cette œuvre ultime est une synthèse inouïe, à la fois drôle, grave et fantastique de l’opéra-bouffe, de l’opéra romantique et du grand opéra.
Adaptation de trois contes d’E.T.A. Hoffmann, abreuvée du Faust de Goethe, elle met en scène le poète allemand – à la fois narrateur et héros – qui raconte trois amours : Olympia, Antonia et Giulietta.
Mardi 15 Novembre – 19h15
Le Casino – Lavelanet
www.lavelanet-culture.com
Rencontre avec Denise Déjean pour son roman Le crime du Gamat
En cet an de grâce 1690, la vie est rude pour les paysans de Génat, un modeste village du pays de Foix, au fin fond des Pyrénées. Elle est la même pour tous, rythmée par les saisons, les travaux des champs, les foires.
Derrière cette façade routinière, devins et guérisseurs sont très actifs pour lutter contre la maladie, tenter de maîtriser les intempéries ou conjurer le sort. Les superstitions sont dans tous les esprits. Aussi, quand deux sœurs, bravant les signes néfastes, se marient le même jour, on peut s’attendre au pire…
Denise DEJEAN
Impliquée dans le monde culturel, l’auteur a cosigné plusieurs ouvrages ethnographiques sur les Pyrénées ariégeoises, avant de se lancer dans l’écriture de nouvelles, puis de romans. Deux d’entre eux, Le Crime du Gamat et Lardoulens, ont été récompensés par l’Académie des Jeux floraux. Femmes en leurs jardins a reçu le Prix du Livre Pyrénéen littérature.
Samedi 12 novembre à partir de 15h00
Librairie papeterie SURRE MAJUSCULE
40 rue Théophile Delcassé 09000 Foix
05 61 05 05 80
surre@majuscule.com
«On a ouvert il y a 5 ans, sous la neige, c’était sympa. Le premier plat c’était du boeuf bourguignon» se souvent Laetitia. Depuis, le petit établissement ne désemplit pas.
Avec des grand-parents restaurateurs, un oncle cuisinier amateur et une maman qui cuisine tous les jours de bon petits plats, on pourrait dire que Laetitia est tombé dedans quand elle était petite. Autodidacte, elle a fait de sa passion son métier. Sa cuisine est faite de produits de saison et du terroir, selon le temps et son humeur, une cuisine autant locale régionale qu’internationale, «parce que l’on mange bien partout» explique Laetitia.
Velouté de Potimarron à la Vanille de Madagascar, cervelle d’agneau comme à la maison, joue de porc à la bière d’Ariège, mais aussi le «Burger maison» Best Seller du restaurant qu’il faut penser à commander à l’avance. Du côté des desserts : pain perdu de Lulu, pommes rôties avec caramel au beurre salé et Crème fouettée ou encore banoffee revisité… de quoi faire saliver petits et grands, nostalgiques de la cuisine de nos grand-mères ou amateurs de nouvelles expériences culinaires.
Il y’a longtemps de cela, un temps que les moins de 20 ans ne peuvent sûrement pas connaitre, Carlos chantait «Je préfère manger à la cantine avec mes copains et mes copines…», ça n’a jamais été aussi vrai que dans cette Cantine là.
19 Rue des Marchands – 09000 Foix
05 61 03 65 11
La Batterie fanfare du Coq Lavelanétien : « une grande famille »
En 1930, le Coq Lavelanétien « issu du Réveil Abellan est né grâce à la volonté de Paul Bouhnoure et Antonin Bedeil » a rappelé son président, Jean Escaich qui « veille au bon fonctionnement de sa chère association » depuis 34 ans. Le Coq a donc fêté ce week-end sa publication au journal officiel datant du 30 septembre 1931. Le Coq Lavelanétien fut inscrit sur les registres de la Confédération musicale de France dès le 3 avril 1933 en vue de sa participation au concours international de musique de Narbonne sous son appellation actuelle et sous la catégorie tambours, trompettes et clairons à laquelle elle fait toujours honneur, en continuant à défendre et promouvoir la pratique des instruments dits « naturels ». Sous l’impulsion de son nouveau chef de musique Mickaël Tistounet (qui remplace Patrice Mengod toujours musicien au sein de la formation, mais qui pour des raisons professionnelles ne pouvait plus assumer cette lourde tâche), le Coq a l’ambition de fêter encore de nombreux anniversaires. Seule batterie fanfare en Ariège, « une des plus anciennes, pour ne pas dire la plus ancienne en Occitanie », le Coq compte aujourd’hui 32 membres âgés de 8 à 83 ans pour Jérémy à la trompette. « Même avec un petit effectif, on reste sur une belle qualité. La force du Coq est d’avoir accédé à un niveau supérieur (à Mulhouse en 2010, NDLR) et de savoir s’y maintenir », soulignent ses dirigeants, Jean Escaich et Georges Delmas le vice-président.
Durant 20 ans, le 1er édile de Lavelanet a « eu la chance de partager les joies d’appartenir à cette grande famille ». Marc Sanchez glissant : « depuis de très nombreuses années, le Coq Lavelanétien a vu passer dans ses rangs des centaines de musiciens qui, au fil des années, ont glané de nombreux trophées et titres nationaux. »
Ce week-end sur la scène du Marché couvert, se sont succédé les « Nuts Gospel Company », « l’Ensemble musical de Labruguière », le « Brass band de l’Ariège », la « Société Philarmonique de Lavelanet », « l’orchestre de Batterie fanfare de paris », le « Big bang de Laroque d’Olmes », sans oublier « Los Tchaopinos », le « LDO Big Bang », les deux frères Teruel et le groupe « HassaH » et la classe de guitare de l’APFERA. Deux journées musicales où le nombreux public a pu apprécier « divers aspects de la langue musicale » glisse Jean Escaich. Lequel souligne que le Coq recrute de jeunes musiciens : « si le cœur vous en dit, si vous voulez intégrer notre grande famille, n’hésitez plus à nous rejoindre ».
Musiciens confirmés ou non, sont donc invités à venir se renseigner les vendredis soirs, lors des répétitions, dans les locaux du Coq, salle Paul Bounhoure, place du foirail à partir de 20h45. À noter que les cours sont gratuits au sein de l’école de batterie fanfare.
Source : Mairie de Lavelanet
Constituée à l’origine de deux maraîchers et de quelques familles, l’association compte aujourd’hui plus de 40 adhérents et 15 producteurs.
Légumes, fruits, fromages, oeufs, miel, produits sec (farine, haricots, lentilles, pois chiches…) viandes, c’est toute une palette de produits locaux, bio ou en culture raisonnée….
Chaque producteur s’engage sur la qualité et la transparence de ses produits. Il a un interlocuteur privilégié : un « référent produit » chargé des commandes et de leur suivi. Toutes les commandes sont réglées par pré paiement, les chèques sont débités au fur et à mesure des livraisons.
ENGAGEMENTS DES CONSOMMATEURS :
engagement financier par l’achat à l’avance de produits locaux
engagement solidaire vis à vis de l’agriculteur en acceptant les aléas de la production
engagement associatif par la participation aux distributions, à la communication et aux animations
ENGAGEMENTS DES PRODUCTEURS :
engagement économique (fournir les produits régulièrement selon les termes d’un contrat)
engagement associatif (rôle pédagogique et d’information)
engagement de transparence (prix, origine des produits, méthodes agronomiques utilisées, etc.)
Chaque semaine, c’est plus de 30 paniers de légumes qui sont distribués aux adhérents tous les mercredis. Mais, plus qu’une distribution hebdomadaire c’est également un moment convivial pour les producteurs et les consommateurs
Contacts :
Anne (Présidente) :05 61 68 28 62 anne.souef@orange.fr
Joëlle (trésorière) : 05 61 68 80 jobuk@hotmail.fr
Simone (Secrétaire) : 05 61 68 85 28 simone-verdier@orange.fr
« Ce résultat, c’est d’abord une volonté » explique le 1er édile. « Celle que j’ai de repositionner Lavelanet comme ville rayonnante au carrefour des 4 M et porte d’entrée des Monts-d’Olmes ». À l’été 2014, déçu que sa ville n’ait pas été acceptée dans la politique de la ville, Marc Sanchez se tourne vers la préparation du concours AMI centre-bourg pour lequel la commune sera labélisée en novembre 2014. Avec ses élus, « en collaboration étroite avec l’intercommunalité et le précieux concours des techniciens de la mairie et des services de la préfecture», un « important travail est mené », différentes rencontres s’enchaînent et permettent de découvrir l’existence de l’appel à projet « transition énergétique croissance verte ».
Rappel
Le dossier de candidature de finalisation du TEPcv en devenir a été lauréatisé le 12 mai 2016 à Paris par Ségolène Royal Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie. C’est une enveloppe de 500.000€ qui étaient alors alloués à Marc Sanchez. Le 4 octobre dernier, le maire de Lavelanet est « remonté » à Paris signer la convention d’extension d’enveloppe TEPcv (un avenant) pour la mise en œuvre de l’appui financier. 1 M 500.000€ ont alors été octroyés à la ville de Lavelanet, en présence de Frédérique Massat. À noter que ce projet est adossé à la démarche AMI centre-bourg, et au dispositif AIDER en ce qui concerne Lavelanet ; Lavelanet étant la seule commune en France a bénéficié de deux dispositifs conjointement (AMI et TEPcv).
Un projet en marche
Le centre-bourg de Lavelanet se résume actuellement à un carrefour d’axes routiers entourés de parcs de stationnement, sans véritable cœur urbain. Le projet de revitalisation engagé dans le cadre de l’AMI centre-bourg vise à recréer un véritable cœur urbain, centré sur l’Esplanade de la Concorde, la Place de l’Europe et la Place des Sécoustous. L’ambition du TEPcv est de réaffirmer la place du piéton et du cycliste dans ce cœur urbain et de le connecter aux différents itinéraires de déplacements doux ou alternatifs transitant autour de la ville et qui s’inscrivent à l’échelle du Pays des Pyrénées Cathares. Il s’agit en particulier de prolonger la voie verte venue du nord vers le sentier des Tisserands qui relie Lavelanet à Montségur. Ces itinéraires « verts » butent actuellement sur les entrées de la ville et l’objectif est ainsi de créer une « voie bleue » traversant intégralement le centre-bourg, en s’appuyant sur les cours d’eau aujourd’hui dissimulés sous des dalles en béton qui seront partiellement démolies à cette fin. (250m de dalle béton recouvrant le Pipier, affluent du Touyre, seront abattus). Mais la reconstitution d’un véritable cœur de bourg, outre des actions fortes sur la réorganisation des circulations et des mobilités, passe aussi par une réhabilitation en profondeur des espaces publics, s’appuyant en premier lieu sur une revalorisation architecturale et paysagère, un travail sur l’accessibilité à tous, les équipements et le mobilier urbain. Après l’achat de deux véhicules électriques et l’accueil en mairie le 14 juin dernier de Marie Lajus préfète, des services de l’État, notamment la DDT, la DREAL et l’ADEME afin de les remercier pour leur implication lors de la lauréatisation de la commune. La municipalité se penche également sur le poste éclairage de la ville. Un « plan lumière » va être mis en œuvre au sein du centre-bourg. Il s’agira notamment d’établir des critères de performance thermique et énergétique des espaces recomposés, en agissant sur la rénovation complète de l’éclairage public à l’aide d’éclairages de dernière génération associés à des systèmes de gestion intelligente adaptés aux espaces concernés (extinctions partielles, allumages à détection, etc.). Ces dispositifs et les technologies intelligentes associées permettront de faire baisser la consommation d’électricité de la commune et contribueront à lui donner une image plus moderne et écologique. Cette action sera réalisée en coordination avec le Syndicat Départemental de l’Énergie (SDE 09). Autres points forts du projet TEPcv, la réalisation de travaux de mise en valeur des points d’accès aux Soulas depuis le centre bourg, comprenant des démolitions, de la végétalisation d’espace public, des travaux de voirie, de zones et d’espaces piétons ainsi que les cheminements et aménagements au sein même des deux collines. Ces aménagements intégreront par ailleurs les enjeux de préservation et de mise en valeur de la biodiversité.
«Des dispositifs pour accompagner le développement économique du territoire»
Mobilité douce, éclairage public, voiture électrique, bornes électriques, liaison des deux soulas, centre urbain, étude énergie hydraulique et géothermique avec la réouverture partielle du Touyre et du Pipier enterrés sous la ville afin de créer une microcentrale hydroélectrique pouvant servir à l’éclairage public … autant d’actions pour « redonner ses lettres de noblesse » au centre-bourg du Pays d’Olmes. Marc Sanchez et ses élus ont la « volonté de changer le cours de l’histoire. Lavelanet est garante de l’attractivité du territoire, la ville concentre 80% des équipements structurants, elle a une histoire, un passé. Il est important pour le Pays d’Olmes, les Pyrénées cathares et nos amis voisins de l’Aude, qu’elle garde cette attractivité. Avec mes élus, nous nous battons pour la maintenir. » Le 14 juin dernier, Marie Lajus soulignait à cet égard : « il faut sortir de l’image de ville en déclin et recréer une attractivité pour un centre très accessible aux promeneurs, aux vélos, aux touristes… » Lavelanet devenant ainsi carrefour de mobilités des 4 M (Mirepoix, Montségur, Montbel, Monts-d’Olmes). « Porté par Ségolène Royal, ce projet innovant, adossé aux autres dispositifs » conclut Marc Sanchez « doit permettre aux entreprises, commerçants et artisans de s’investir pour la création d’emplois, car ces dispositifs accompagnent le développement économique de notre territoire ».
Sources : Mairie de Lavelanet
Henri Nayrou, Président du Conseil Départemental de l’Ariège, en présence de Guy Cattay, Vice- Président de l’association « Esprit Montagne » et Perrine Laffont, la jeune championne ariégeoise de ski de bosses, a reçu à l’Hôtel du Département les partenaires de l’opération « Esprit Montagne ».
Depuis 2013, et en partenariat avec l’association éponyme, le Département a initié l’opération en faveur des collégiens ariégeois. Cette opération, menée en collaboration avec les stations de ski du département, consiste à accompagner les enfants au ski tout en leur inculquant des bases de sécurité en montagne et notamment sur les domaines skiables. Elle s’adresse en particulier aux élèves de classe de 5e et 4e.
L’Association «Esprit Montagne», les représentants des stations de ski, les principaux et professeurs de sports des collèges participants, les écoles de ski, les magasins de location de matériel et les institutions en charge des stations de ski, tous soucieux d’entretenir et perpétuer la culture et l’identité du territoire montagnard auprès des nouvelles générations, se sont ainsi retrouvés pour le lancement de la saison 2016-2017 qui permettra à près de 600 collégiens d’une dizaine de collèges de découvrir « la glisse » en toute sécurité sur les domaines skiables du département.
Sources et photo: CD09
Guy Cattay, vice-président de l’association Esprit Montagne, exprime sa satisfaction face à la mobilisation des Ariégeois, en présence d’Henri Nayrou, Perrine Laffont et Akim Boufaïd (Guzet).
Créé à Tarascon sur Ariège, en février 2013 pour fêter la naissance du Club ENTR’ACTES, le Cabaret Canaille avait connu un énorme succès auprès du public (700 spectateurs). Nous avons voulu lui redonner vie à l’occasion de nos 10 ans d’existence.
Les auteurs et compositeurs de la « Belle Epoque » ont écrit, pour des revues de cabaret, des centaines de chansons dites « grivoises ou coquines », qui sont autant de chefs d’œuvre d’humour et d’invention verbale. Elles ont fait rire nos grands-parents et forgé l’image d’un début de 20è siècle volage, insouciant, rigolard, aveugle aux problèmes sociaux contemporains. Ces artistes avaient pour noms : Vuillemetz, Oberfield, Benech ou Rimbault, leurs interprètes : Polin, Yvette Guilbert, Ouvrard…
Fées et Gestes a eu envie de ressusciter une partie de ce patrimoine musical et de s’en amuser, tout en l’élargissant à d’autres interprètes et musiciens iconoclastes des années 50 et 60 : Boris Vian, Serge Gainsbourg, Jacques Brel, Georges Brassens ou Bobby Lapointe.
Ce sont au total une quinzaine de chansons qui sont proposées au public, mais aussi des sketchs ou saynètes comiques dans la grande tradition du « cabaret canaille » : la parodie de Phèdre de Pierre Dac, une inénarrable Chèvre de Mr Seguin sexy et déjantée, mais aussi des imitations de Bourvil, Marlène Dietrich (L’ange bleu), Brigitte Bardot ou Jacques Martin (Ecole des Fans).
2 heures d’un cabaret musical à ne pas mettre entre toutes les oreilles. Les comédiens, chanteurs et musiciens, sur scène et dans la salle, entrainent les spectateurs dans un feu d’artifice de cocasserie et de bonne humeur : une référence jubilatoire à toute une époque durant laquelle insouciance, humour et légèreté régnaient en maîtres. Toutefois, dans l’esprit du travail habituel de la Compagnie sur l’absurde ou le burlesque, les nombreux décalages ou « clins d’œil » font de « Sans dessous…dessus » un spectacle dynamique, décapant, d’humour et d’esprit contemporains, loin d’une évocation nostalgique d’une époque révolue.
Pour la reprise de ce spectacle, nous avons confié la direction musicale à John Asquith, chanteur, pianiste et danseur de claquettes qui a participé pendant 20 ans sur les scènes londoniennes à de nombreuses comédies musicales. C’est un honneur et un plaisir de l’accueillir au sein de Fées et Gestes pour le Cabaret Canaille.
Le vendredi 11 novembre à 21h au Centre Culturel de Tarascon
tarifs : 10 € et 15 €, billets en vente à l’Office du Tourisme de Tarascon (05-61-05-94-94)
Le samedi 19 novembre à 20h30 au Foyer Rural de Ferrières réservations auprès de la Mairie : 05 61 65 31 86
Contact et renseignements : Cie Fées et Gestes – 18 Rue du Barry – 09400 Tarascon sur Ariège 05 61 64 18 54 / 06 63 00 34 04 – feesetgestes@yahoo.fr – www.compagniefeesetgestes.com