la France métropolitaine compte aujourd’hui 192 déserts médicaux* dans lesquels vivent près de 2,5 millions de personnes, selon les Atlas régionaux de la démographie médicale publiés jeudi 26 novembre 2015 par le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM).
Qui n’a pas attendu des heures chez le médecin, ou « galéré » pour avoir rendez-vous chez le dentiste et, encore pire chez l’ophtalmologue… Et pourtant nous ne sommes pas concernés, le Sud-Ouest n’est pas un désert médical…. Qu’est ce que ce doit être ailleurs ?
Cependant après seulement 3 ans d’existence, la Maison médicale de Montoulieu va fermer au grand dam du maire, Éric Donzé, dont la commune avait fait de gros investissements.
*Un désert médical est une zone géographique dont la densité en professionnels ou établissements du secteur de la santé, en particulier en médecins, est, rapportée à sa population et ses besoins, nettement plus faible que dans le reste du pays. Ils sont corrélés avec un moindre dynamisme, notamment économique ou un vieillissement de la population et une difficulté de remplacement des professionnels cessant leur activité en dépit de leur charge de travail.
Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne deux stickers Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook).
« C’est l’histoire d’une fille prise entre deux injonctions contradictoires : se souvenir et oublier. Zohar a perdu son père et elle tient à tout prix à se souvenir de lui, car l’oublier, ce serait le faire disparaître complètement, le tuer une seconde fois. C’est en tout cas ce que le fantôme de son père lui fait comprendre. Mais en même temps sa mère aimerait voir sa fille aller de l’avant, ne pas s’enfermer dans le passé et aussi refaire sa vie.
Entre une mère qui lui dit : « Oublie ! » et le fantôme d’un père qui lui dit : « Souviens-toi ! », Zohar devra trouver sa voie. »
Laurent Gutmann
Mercredi 10 Février à 20h45
Séances Scolaires Jeudi 11 Février à 14h15 à l’Estive de Foix
L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX
Construit entre 1163 et 1213, ce château fut abandonné dès le milieu du XIIIème siècle au profit du château de Calamès.
Mentionnée pour la première fois en 1213 sous l’appellation castrum de Enato (fortification d’Aynat), elle dépend alors du comte de Foix.
On ne sait pas exactement quand le site fut abandonné mais subsistent les ruines du premier étage d’un beau donjon rustique dont la particularité est d’être une tour a éperon, forme rare dans le secteur. Au début du siècle dernier, on pouvait encore remarquer 5 pans de mur.
Le mur d’enceinte de la forteresse n’est par contre quasiment plus visible, ainsi que les bâtiments qui étaient construits au dedans. Le panorama sur la vallée et les ruines du château de Calamès (XIIIème-XVème siècle) est particulièrement impressionnant et vaut le déplacement.
Au pied de la Tour une table d’orientation panoramique et un panneau explicatif rendent très agréable la visite de ce site.
Des bénévoles des villages de Bédeilhac et de Saurat ont réalisé la consolidation de cette tour en 2008.
On trouve dans un roman, « La Prophétie de l’Euprocte » de Dany Chevalier-Consola des mentions de la tour de Montorgueil et du château de Calames : « … Elle raconte, une fois encore, l’histoire tragique du pont de cristal qui reliait la tour de Montorgueil au château de Calames. » lepasdoiseau.fr
On trouve une première mention dans la charte de 994 par laquelle Arnaud, fils de Garsinde, donne la ville d’Ax et d’autres alleux (dont « Ordexio ») à l’abbaye de Lagrasse dans le cas où il n’aurait pas d’enfant.
En 1272, lors de la délimitation du comté de Foix, Orgeix figure sous le nom d’Orgeys.
Au début du 17éme siècle, Orgeix est la possession de plusieurs coseigneurs (Olivier Serda, Olivier Munier, Jean de Perpère Munier) avec leurs forêts (qui serviront à l’alimentation des forges à la catalane).
Jusqu’à la moitié du 17éme siècle, Orgeix et Orlu ne formaient qu’une seule paroisse. Un legs important (en 1633) permet la construction d’une chapelle et Orgeix devient paroisse indépendante à partir de 1803.
En 1642, Olivier Serda donne la seigneurie d’Orgeix au neveu de son beau-frère, Arnaud Thonel : c’est ainsi qu’Orgeix devient le fief de cette famille qui détiendra aussi, à la veille de la Révolution, Vaychis, la moitié de la terre d’Orlu, la moitié de la terre de Tignac…
Orgeix a été le fief depuis le XVIIéme siècle de la famille Thonel. En 1817 Jean François Thonel fut nommé marquis d’Orgeix par Louis XVIII. Le cinquième marquis d’Orgeix était Jean d’Orgeix homme passionné et aventurier connu comme cavalier (il fut médaillé de Bronze en saut d’obstacle aux Jeux Olympiques de Londres en 1948 et dirigea l’équipe de France championne olympique en 1976 à Montréal), comme acteur sous le nom de Jean Pâqui, comme écrivain ou encore pilote de voltige aérienne.
Insolite
Le , le village est bombardé et mitraillé par neuf avions trimoteurs inconnus provenant de l’Espagne en proie à la guerre civile. 24 bombes sont lâchés mais on ne releve aucune victime au sol. Seule la ligne à haute tension de 52 000 volts de La Pyrénéenne a été coupée. On suppose qu’il s’agit tentative sous fausse bannière pour accusé l’Armée populaire de la République espagnole de l’attaque.
Le restaurant « les sapins » a été créé en 1976, mais c’est à partir de 1996 que Marie-José Bru décide de faire une nouvelle cuisine. Une cuisine de terroir, préparée avec des produits locaux, mais une cuisine re-visitée et inventive.
Les Saint-Jacques – Inspiration du Moment, Gravelax de Truite Bio de Montferrier en Salade, Les Petits Gris de Dun à la Catalane, Tripes de Veau Façon Grand-Mère… ne sont que quelques exemples qui excitent déjà les papilles.
Il y a quelques mois, Marie-José Bru et Gilles Sabatier, nous recevaient dans leur restaurant ‘Les sapins » à Nalzen. En fait mieux que dans le restaurant puisque nous eu accès à ce lieu un peu secret, les coulisses en quelques sortes, la cuisine.
Là, Marie-José à concocté devant notre caméra un Rôti de pintade à la rouzolle et foie gras, nous pouvons vous assurer que ça met l’eau à la bouche.
De la rouzolle avec environ 500g de chair à saucisse (boucherie Marrot à Lavelanet), 4 oeufs du pain trempé dans du lait, du persil de l’ail. Voir la recette ICI
Marche à suivre :
Désosser la pintade, préparer la rouzolle, faire des rouleaux de foie gras assaisonné de sel poivre et armagnac.
Placer sur la pintade désossée, la rouzolle préalablement cuite au four, le rouleau de foie-gras, rouler la pintade de manière à en faire un rôti, cuire au four.
Servir tranché sur assiette avec des petits légumes ou autre garniture selon votre goût et votre imagination.
L’Ariège était loin du front, bien sûr, mais comme tous les départements français, elle a subi ce cataclysme dans sa chair. Les hommes sont partis dans l’enfer des tranchées, des milliers (6000 ? 7000 ?) ne sont pas revenus, tant d’autres sont rentrés blessés, gazés, mutilés, traumatisés. Entre 1911 et 1921, le département a perdu 12% de sa population dont la plus grande part est imputable à la guerre, tant au nombre de tués qu’au déficit des naissances.
Les archives de l’Ariège, parallèlement aux actions de cérémonies du Centenaires de la Grande Guerre, nous renseignent en abondance sur l’état d’esprit de la population et son évolution au cours des années, sur les moyens de faire tourner l’économie en l’absence des hommes, sur le rôle des femmes, donc, sur les problèmes de ravitaillement, sur les usines mobilisées dans l’effort de guerre, sur la hantise de l’espionnage dans ce pays de frontière…
Une exposition itinérante a été réalisée pour l’occasion par Christine Rouaix, chargée notamment des expositions itinérantes pour les archives Départementales de l’Ariège, qui a réalisé un important travail de recherche sur le sujet afin de finaliser cette belle exposition.
Tout au long de ces dernières années, une action de sauvegarde du patrimoine privé a été menée, relayée à plusieurs reprises par la presse locale qui a joué un rôle très efficace. L’appel portait en priorité sur la sauvegarde de documents originaux : plusieurs dizaines de dons ont été enregistrés, portant chacun sur des ensembles de photographies, de lettres, de carnets et d’objets de toutes sortes (médailles, « artisanat des tranchées ») envoyées par les Poilus à leur famille ou ramenés par eux ; ou sur des collections de documents concernant la guerre édités plus tard (collections de presse, disques, plaques photographiques). D’autres personnes ont prêté des documents pour numérisation : 18 premiers fonds ont été ainsi reproduits.
Ces lettres, ces objets gardés dans une boîte, dans un tiroir, par amour d’abord pour celui qui était parti et qui trop souvent n’était pas revenu, puis par respect et par fidélité familiale ont été confiés pour qu’ils soient conservés dans les conditions optimales et qu’ils puissent servir à l’histoire. Nous devons être, en être, d’autant plus reconnaissants à ceux qui ont choisi de le faire. La collecte continue. Elle s’amplifie même avec un appel lancé aux témoignages oraux. Il n’y a plus de survivants, mais il reste encore des personnes qui ont entendu parler leur père, leur grand-père, un oncle, un parent, qui les ont vus vivre comme le pouvaient avec leurs souvenirs ou malgré leurs souvenirs.
Un ouvrage accompagne l’exposition. Tout cela est présenté depuis le 01 février jusqu’au 03 avril 2016 à la maison des Patrimoines Le Barri à Auzat.
Durant les vacances scolaires, Le Barri est ouvert du samedi 6 février au dimanche 6 mars inclus du mercredi au dimanche de 15h30 à 18h30 (fermé lundi et mardi) .
L’exposition est visible les autres jours sur RV.
Crédit photo : ADA09 et Communauté de communes d’Auzat et du Vicdessos.
Personnage hors du commun, peu connu du grand public, Alexandre Grothendieck est le fils d’un anarchiste russe et d’une journaliste pasionaria allemande. Il fondera l’écologie radicale, puis après avoir reçu la médaille Fields, il refusera le prestigieux prix Crafoord. Il finira ses jours dans le petit village de Lasserre, dans le Couserans, retiré du monde.
Alexandre Grothendieck, homme de conviction, pacifiste, antimilitariste, anarchiste… et immense mathématicien – l’un des plus grands de tous les temps – est un personnage de roman. Comment, pourquoi, un tel génie a-t-il procédé, par étapes successives, à son propre « enterrement » ?
La vie de Grothendieck nous fascine ; elle contient de larges parts d’ombre et de mystère. Dans les excès, dans le combat de la raison et de la déraison, Grothendieck peut être déconcertant, dérangeant, parfois détestable, toujours pétri de contradictions ; mais c’est aussi un homme généreux, profondément humain, attachant à bien des égards.
L’intervenant : ancien professeur de mathématiques et sciences physiques, Georges Bringuier est inspecteur de l’éducation nationale depuis 1993. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont (aux Éditions Privat) : Alexandre Grothendieck, Itinéraire d’un mathématicien hors norme, 2015 ; Charles Darwin, voyageur de la raison, 2012 ; Lucy, Eve et Marianne (ou Évolutionnisme, créationnisme et laïcité), 2010.
L’ouvrage de Georges Bringuier sur Alexandre Grothendieck (Privat, 2015) sera en vente sur place, le soir de la conférence (18 €).
À l’issue de cette séance, comme chaque fois, vous partagez ce que chacun(e) aura amené à manger et/ou à boire.
Celles et ceux qui le souhaitent pourront renouveler leur cotisation annuelle (ou adhérer pour la première fois) : 10 €, adhésion non obligatoire.
mardi 9 février 2016 – 20 h
espace culturel – Les Bordes/Arize
Anakronic Electro Orkestra Musique klezmer et l’électro
Assurément, Anakronic aime les prises de risque. Alors que le groupe consacre ses 7 premières années d’existence à la fusion audacieuse de musique klezmer et de musique électronique (encensée par la critique, et notamment par Télérama qui leur attribue la note maximale (FFFF) pour leur second opus Noise in Sepher, ils font un grand écart pour leur troisième album – Spoken Machine – en proposant une fusion de Hip Hop et de rock électro, avec l’invitation à leur côté de la rappeuse new-yorkaise Taron Benson.
Cet ovni sonique franco-américain déboule tel un pavé dans la mare, mais en réalité, chez Anakronic, tout fait sens. Leur jeu ? Mêler leur univers singulier à toutes les esthétiques musicales.
Le groupe (initié et porté par Mikaël Charry, compositeur) nous a habitué aux collaborations, que ce soit avec Pigeon John, Socalled, Marc Ribot, Estelle Goldfarb, David Krakauer, Mangu ou Amy D. et ses musiciens maliens.
Et leur prochaine collaboration sonne comme évidence : ils invitent le pape de la musique klezmer, David Krakauer, à co-signer un album avec eux (sortie début 2016).
Lyre le temps Jazz / Electro / Nu-Swing
Lyre Le Temps, c’est d’abord le rêve de trois passionnés de musique: voyager à travers le XXème siècle. Bien que chacun des protagonistes arbore une couleur musicale différente, ils partagent le même intérêt pour les grands genres qui ont influencé le XXème siècle – en particulier le jazz. les différents titres ont été enregistrés en une prise, et rien n’a été écrit à l’avance… Nommés “Découvertes du Printemps de Bourges” en 2009, ils ne comptent pas s’arrêter là.
Lyre le Temps a produit un premier album ‘LADY SWING’ distribué par le label IRFAN en 2010, et depuis est reparti sur les routes pour partager avec le public leur musique.
Deux singles sont sortis en 2012: Lindy Hop, ft. Electric Swing Circus, et Swing Machine, avec Art District.
Leur deuxième album “Outside the box” (Believe/PIAS) leur a permis de jouer au Québec, en Angleterre, en Espagne.
samedi 6 février 21h30 Casino d’Ax les Thermes plus d’infos : www.lestive.com
Service autant administratif que culturel et patrimonial, les archives départementales gèrent les archives contemporaines de tous les services publics, conservent un patrimoine, le mettent à disposition des chercheurs et le valorisent par l’animation culturelle.
Voici une définition très succincte des trésors que l’on peut trouver tout au long des 14 km de rayonnages consacrés à l’Ariège et à son histoire.
Nous avons rencontré Claudine Palhiès, directrice, conservateur général du patrimoine, qui nous a conté l’Histoire des archives et nous a guidés dans les couloirs de cette vieille institution. Une véritable remonté dans le temps…
Une société ne peut pas vivre sans archives
Les archives existent depuis l’origine des sociétés, on a trouvé des salles d’archives dans les sociétés mésopotamiennes. A l’échelle de la France elles existent depuis le moyen âge ; les archives nationales existent depuis 1789 et les archives départementales ont été crées en 1795.
90% des archives sont des archives publiques. La loi impose aux producteurs d’archives publiques : Conseil départemental, services départementaux de l’Etat, hôpitaux, lycées et collèges, chambres consulaires, organismes privés chargés d’une mission de service public, minutes et répertoires des notaires, de verser leurs archives, et aux services des archives de les recevoir de les répertorier et de les classer.
Le reste des archives sont privées, elles viennent d’entreprises, d’associations, de personnes privées ou morales. Elles constituent une source importante de l’histoire, elles viennent compléter les archives publiques, et sont conservées dans des locaux pourvus de moyens techniques, qui garantissent la meilleure conservation possible.
Les archives sont ouvertes à tous, c’est un droit du citoyen proclamé à l’époque révolutionnaire. Chacun peut venir y trouver la justification d’un droit, faire des recherches généalogiques ou historiques…
Les documents récents font l’objet de tri tous les 10 ou 30 ans, à la suite de ce tri certains sont détruits. Ceux qui ne le sont pas pas sont jugées définitifs.
Certaines archives ne sont pas communicables, parce qu’elles touchent la sécurité de l’Etat (police, préfecture), mais surtout parce qu’elle touchent la vie privée des personnes. L’accessibilité des archives ne doit pas se faire au détriment de la vie privée, c’est pourquoi elle relèvent d’un délai de 50 ans avant de pouvoir être communiquées.
Centenaire de la Première Guerre : l’Ariège se souvient
Depuis janvier 2014, le programme de commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale a été lancé par les Archives Départementales de l’Ariège.
Une action de sauvegarde du patrimoine privé a été menée. plusieurs dizaines de dons ont été enregistrés, portant chacun sur des ensembles de photographies, de lettres, de carnets et d’objets de toutes sortes (médailles, « artisanat des tranchées ») envoyées par les Poilus à leur famille ou ramenés par eux. Une exposition aura lieu aux services des archives départementale à la fin de l’année.
Si vous avez de tels documents ou objet vous pouvez contacter les archives.
En partenariat avec l’ANACR (Association Nationale des Anciens Combattants et Amis de la Résistance), la journée du samedi est réservée au Devoir de Mémoire, et plus particulièrement aux Brigades Internationales.
Ce week-end est proposé pour honorer la mémoire des hommes et femmes qui ont su faire preuve de courage en ignorant peurs et larmes, jusqu’à offrir leur vie pour qu’un pays retrouve honneur et paix. Ces journées, par extension, sont dédiées à la Liberté et à la Fraternité entre tous les peuples du monde.
Pour cette commémoration, sont programmées :
10h00 : exposition prêtée par l’ONAC : « Les Forces de la Liberté » . Elle pourra être vue jusqu’au Dimanche 21 midi.
14h00 : projection de l’interview de Henri Gorgue, ancien brigadiste. Réalisé par Danick Florentin (vice-présidente de l’ANACR 09) et Gilbert Lazaroo (membre).
14h30 : Conférence sur les Brigades Internationales assurée par Mr Alex VALERO, Professeur d’Université.
16h30 : film documentaire : « La Traque de l’Affiche Rouge » réalisé par Jorge Amat et Denis Peschanski : la lutte, la traque et la chute du groupe de l’Affiche rouge. (Précision : dans le groupe Manouchian , se trouvait un ancien brigadiste, évadé du camp du Vernet : Léo Knéler.) Durée : 72 Mn
18h00 : La soirée se terminera par le pot de l’amitié et de la fraternité
Le dimanche sera dédié au sport avec deux courses et une marche au départ de Dun et direction les collines de la vallée du Douctouyre sur les traces des Résistants Français et Guérilleros Espagnols.
7h30, accueil des participants (retrait du « pack » dossard)
9h30, départ de la Marche du Maquis (13.5km/450m de dénivelé positif cumulé).
10h00, départ du Trail du Maquis (26km/1100m d+).
10h30, le dernier « top chrono » sera donné pour le Petit Maquis (10km/500m d+).
Attention : le nombre de places dans chaque épreuve est limité… clôture des inscriptions le 20 février
Pour plus de renseignements sur l’organisation de ce week-end, nous vous invitons à feuilleter le site traildumaquis.sitew.fr.
Saint-Martin d’Oydes se situe dans la vallée de Latou au milieu des coteaux du Terrefort à proximité de Pamiers. C’est un ancien village fortifié. Ses maisons sont groupées en anneaux autour de son église, « Était proscrit de faire usage de ses armes dans un rayon de quelques mètres autour de l’église« .
Au Moyen Age il était entouré d’un fossé, comblé au XIXème siècle, et aucune porte ne permettait d’y entrer.
L’église du IXème siècle est dédiée à un moine bénédictin, Saint Anasthase qui, selon la légende, passant dans la région s’y arrêtât pour soigner les victimes d’une épidémie de peste. Il tomba à son tour malade à Saint-Martin d’Oydes où le diable lui promit sa guérison contre une écuelle de son sang. L’écuelle étant percée, Saint Anasthase se vida de son sang mais il eut la force de prendre son bâton et de le jeter sur le diable qui prit la fuite.
En 1568, les protestants dévastent la région et arrivent à Saint-Martin : le tombeau de saint Anastase qui y était vénéré est détruit en 1574.
Le château seigneurial, situé hors de l’enceinte du village, est du XIIème siècle. Ce fut une forteresse jusqu’à la Révolution. C’est aujourd’hui une propriété privée où Mr Tony Blair, Premier Ministre britanique, est venu passer ses vacances d’été.
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