Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • Manufacture Giscard, entre art et industrie ?  – 28 novembre Roumengoux

    Manufacture Giscard, entre art et industrie ? – 28 novembre Roumengoux

    Fabrique Giscard, Toulouse, Haute-Garonne
    Fabrique Giscard, Toulouse, Haute-Garonne

    Marie-Géraldine a déjà partagé avec nous ses recherches à ce sujet à l’occasion d’une visite de l’église de La Bastide sur l’Hers, c’est donc l’occasion de venir la ré-écouter dans un édifice très riche en statues provenant de la manufacture, l’église Saint-Martin de Roumengoux.

    Au XIXe siècle, art industriel et production artisanale entrent en concurrence. La manufacture Giscard, installée à Toulouse, fait partie des nombreuses entreprises qui voient alors le jour, et fabriquera d’innombrables sculptures et ornements de terre cuite pendant un siècle et demi. On trouve de nombreux ornements sur les façades, mais c’est dans le domaine religieux qu’a été écoulée une part importante de ces produits de série. Beaucoup d’églises de notre territoire possèdent des œuvres issues de la manufacture Giscard.

    Rendez-vous donc samedi 28 novembre à 14h30 à l’église de Roumengoux. L’animation est à trois euros.

  • La vie de Château, Chanson Jeune public –  28 novembre Pamiers

    La vie de Château, Chanson Jeune public – 28 novembre Pamiers

    La vie de Château Ariège PyrénéesIl était une fois un chanteur à double face. Pile : le jour, il chaussait ses lunettes noires, attrapait sa guitare ou son ukulélé pour témoigner du quotidien de nos bambins ou de celui de nos animaux les bêtes, comme dirait l’autre. Face : le soir, il gardait ses lunettes et ses instruments car après le dîner, pour digérer, il jouait des reprises yéyés façon bossa nova avec ses complices de Radiomatic.

    Depuis treize ans, Pascal Parisot mène cette double vie musicale sans s’emmêler les cordes et cache derrière son élégante nonchalance, une hyperactivité digne d’un lapin Duracell. Après les aliments et les bestioles, c’est aujourd’hui le tour des histoires de princes et princesses de se faire remixer par Saint Pascal dans « La Vie de Château » !

    Quatorze chapitres pour visiter un royaume gouverné par un monarque complètement à l’ouest dans lequel on offre à un prince désorienté, un GPS à princesse et où on baptise son unique progéniture « Bocoudenfan » ! Et quelle vie que celle des enfants de ce château ! Quand ils ne sont pas enchaînés à leur flûte à bec ou à leur piano (on sent le vécu sur cette relecture de la « Lettre à Élise »…), ils luttent contre l’ennui d’une minute qui dure une heure ou se heurtent à l’indifférence de parents trop occupés. 

    Samedi 28 novembre, 17h, Salle du jeu du Mail
    Billetterie en ligne : Cliquez Ici
    05.61.60.93.60

  • Conférence dépistage et diagnostic – 26 novembre Mirepoix

    depistage_diagnostiqueQu’est-ce qu’un dépistage ? Qu’est-ce qu’un test de dépistage ?
    Différence avec un diagnostic.
    Que peut-on dépister ?

    Intervenante : Docteur Dominique Jacques, hépato gastroentérologue.
    Médecin coordonnateur à DOC 31 (dépistage organisé des cancers).

    Jeudi 26 novembre 21h, salle du cinéma, Rue Vidal Lablache, 09500 MIREPOIX.
    Entrée : adultes 6€, gratuit pour les moins de 25 ans.

     

     

     

     

    [callout]*Dans un monde toujours plus technique, mais où les jeunes ont tendance à bouder les filières scientifiques, l’association Vive la Science ! a pour but de rendre plus compréhensible, plus accessible l’évolution de nos sciences et techniques, voire de susciter des vocations.[/callout]

  • Montreal de Sos : Episode 3  les carolingiens

    Montreal de Sos : Episode 3 les carolingiens

    L’origine de château de  Montréal-de-Sos, remonte à l’époque carolingienne. A l’époque Charles le Chauve a totalement réorganisé la région et l’a fait rentrer dans le royaume des Francs, au moins du point de vue administratif.

    Ce qu’ont mis en évidence les fouilles du château de Montréal, c’est l’ampleur des restructurations à l’époque carolingienne, au moins les trois quart du site de 8000 m2 nous explique Florence.

    C’est une des grandes étapes des fouilles, et ce qui est très intéressant c’est que l’on connait très mal les époques antérieurs au XIIIème siècle. Le site va donc servir à toutes les fouilles régionales pour regarder la vie quotidienne à l’époque carolingienne.

    « C’est très exceptionnel de trouver du carolingiens en place comme ça, et en montagne c’est quasiment unique. Déjà que le site est exceptionnel on a en plus cette chance qu’XIIIème XIVème siècle ils n’aient pas tout recouvert » se réjouie Florence

  • Roquefixade, sur les routes de l’Ariège

    Roquefixade, sur les routes de l’Ariège

    ROQUEFIXADE Ariège Pyrénées

    Le fondateur de la bastide de Roquefixade est Simon Brisetête, sénéchal de Carcassonne, un personnage important qui met en œuvre cette bastide au pied du château « pour l’exaltation de la sainte foi catholique et l’extirpation de l’hérésie ».

    Elle est d’abord dénommée « La Bastide de Montfort » en référence à Simon de Montfort qui mena campagne contre les seigneurs occitans liés au catharisme.

    Il semblerait que les noms de Roquefixade et la Bastide-de-Montfort aient perduré tous les deux un certain temps, le premier pour désigner l’emplacement du château, le deuxième celui du village.

    Le Château

    il a sans doute connu une présence humaine dès l’antiquité puisque quelques objets y ont été retrouvés (haches polies, fragments d’amphores, monnaies antiques, etc.) mais il n’est mentionné pour la première fois que vers 1034date à laquelle il appartient aux seigneurs de Pailhès, vassaux des comtes de Foix et de Toulouse et correspond sans doute plutôt à un castrum. Mentionné parmi les biens du comte de Foix en 1272, le château est racheté par le roi de France Philippe III six ans plus tard, confirmant ainsi sa mainmise sur le territoire. Roquefixade devient alors châtellenie royale

    L’église Saint-Jean-Baptiste

    l’église Saint-Jean-Baptiste remplace l’église Saint-Martin qui se situe au hameau du même nom au cours du XVIIe siècle. Sa date de création n’est pas connue mais elle ne semble pas avoir existé au moment de la fondation de la bastide (1288) ni même au cours du XIVe siècle

    En savoir + : www.pyreneescathares-patrimoine.fr

  • Margaux : Canada, le retour du come-back !

    Margaux : Canada, le retour du come-back !

    Margaux : Canada, le retour du come-back ! Ariège Pyrénées

    Il y a un mois, je posais mes valises dans la campagne du Colorado. Le temps m’a filé entre les doigts : il est déjà temps de (re)partir. Juliette mon acolyte, rencontrée quelques mois auparavant au Quebec, me rejoint, non sans mal et avec 30 heures de retard, dans l’Ouest américain pour une aventure que nous avions imaginé à Canopée !

    Monument Valley, Las Vegas, le Grand Canyon sans oublier le fabuleux parc Zion dans l’Utah sont nos points de chute. Les couleurs sont incroyables, les paysages à couper le souffle : ces étapes incontournables de l’Ouest américain sont de vraies cartes postales et nous sommes dedans.  Pour de vrai ! Nous avons même la chance croiser un lynx et des wapitis près du Grand Canyon.

    2Vegas, une ville tentaculaire que nous rejoignons après avoir roulé plusieurs kilomètres dans la réserve indienne Navajo. Une boule de lumière dans un paysage désertique dont les enseignes font qu’à minuit la ville vie presque plus éclairée qu’en journée ! Le Bellagio, le Ceasar Palace, le Palazzo, ces endroits aux noms familiers sont là … devant nous. Beaucoup de personnes font la manche dans les rues sur lesquelles des minettes se baladent en maillot de bain en vendant leur charmes … Le contraste est saisissant.

    5Au Grand Canyon ce qui surprend, c’est la vue ouverte et dégagée sur des dizaines de kilomètres et cette immensité rocheuses d’un camaïeu de rouge qui dégage un sentiment de force et d’humilité. Pour arriver au Monument Valley, nous parcourons plusieurs kilomètres sur un ruban d’asphalte vallonnée. Puis, les paysages deviennent plats ; plus aucun arbre à l’horizon, et tout à coup en haut d’un petit col, une route toute droite révèle dans l’horizon des sortes d’îlots de roches rouges qui s’élèvent vers le ciel. Zion est un parc que nous avons beaucoup hésité à voir après le fabuleux Grand Canyon … Nous n’avons pas été déçues. Nous parcourons exactement 12 miles entre l’entrée du parc et le parking d’où partent toutes les randonnées. Tristement, les touristes s’arrêtent n’importe où et grimpent sur les roches pour faire LA photo souvenir idéale. Nous préférons continuer la route et rester sur les sentiers. Sous un ciel bleu nous nous attaquons à des dénivelés de 30 à 160 mètres sur des sentiers parfaitement balisés qui nous conduisent aux canyons, cascades, forêts et montagnes du parc… On est ravies d’avoir fait le détour !

    Nous cherchons chaque jour des hébergements abordables : auberges de jeunesse et motels de bord de routes, comme dans les blockbusters américains, clôturent nos belles journées de découverte.

    On en prend plein les yeux et une semaine plus tard, il est temps de rentrer dans le Colorado, pour un nouveau départ. Je laisse derrière moi Shirley et Danny le coeur gros. Ils sont devenus au fil des jours un peu plus que de simple hôtes du bout du monde. Je m’attache … mais comment faire autrement auprès de tous ces gens qui ouvrent leur coeur et leur vie. Je savais qu’il serait dur de quitter le Colorado, mais à l’heure H du jour J, les émotions sont démultipliées : c’est la famille que je laisse derrière moi. Et même si ce n’est qu’un au revoir, car je le sais, je reviendrai, je ne résiste pas au « We already miss you » (tu nous manques déjà) de Danny … et je les quitte les larmes aux yeux.

    Nous quittons les States en train puis en bus et voyagerons rien de moins que deux jours pour une expédition de 3 000 kilomètres, cap plein nord en direction de Vancouver. Oui, oui … au Canada.

    Ce trajet est génial. Long je vous l’accorde, mais somptueux. Une fois encore, nous sommes scotchées aux vitres, découvrant l’évolution des paysages qui défilent sous nos yeux. Nous passons tantôt des villages à l’allure de Far West, tantôt des villages plus modernes, aux enseignes rutilantes. Nous traversons des forêts interminables et longeons des lacs d’un bleu turquoise étonnant.

    Le train est incroyable : les sièges sont tellement spacieux … il y a un bar, un restaurant où les tables sont soigneusement dressées, un lounge panoramique d’où, lovés dans de grands fauteuils, les voyageurs peuvent observer, grâce aux commentaires d’un guide, et apprécier le paysage dans les meilleures conditions.…

    Depuis mon départ, j’ai fait plus de 8 000 kilomètres en bus. Les conditions de ce voyage en train sont un luxe que j’apprécie pleinement.

    3Après avoir passé la douane canadienne avec un statut d’implicite, (puisque mon PVT est terminé et que la prolongation demandée n’a été ni refusée ni validée par les services l’immigration), c’est vers une heure du matin que nous arrivons finalement à la gare centrale de Vancouver. Nous avons réservé 2 lits à l’auberge de jeunesse qui se trouve à quelques centaines de mètres de là !

    Vancouver, c’est la ville la plus peuplée du Canada et nous sommes impatientes de la découvrir. Du quartier chinois au quartier gay en passant par le Stanley Park et la rue Granville, nous ne nous lassons pas de la parcourir en long, en large et en travers. Vancouver se compose de grattes-ciels cernés de montagnes et de forêts aux pieds de l’océan … J’apprécie tout particulièrement le sentier de Greenway qui nous permet de longer la ville du Sud au Nord. Et c’est là, sur les bords du Pacifique, que je réalise que, symboliquement, la boucle est bouclée : je suis passée d’un océan à l’autre.

    Nous passons 5 jours à Vancouver sous un temps mitigé. Il est temps de faire nos valises direction l’île de Vancouver où, pour les 10 prochains jours nous habiterons la ferme de Ruby.

    4Je teste alors mon tout premier Wwoofing. Le woofing fait partie de ces réseaux de solidarité qui offrent aux voyageurs la possibilité d’échanger le gîte et le couvert contre quelques heures de travail quotidien.

    Ici nous travaillons à la ferme et vivons dans une caravane. Au fond du jardin. Oui, oui, en Novembre à 48° latitude Nord !!! Bon, elle n’est pas toute récente, mais elle a le nécessaire. Nous sommes au chaud et à l’abri !
    Entre nettoyage des poulaillers et préparation des plantes pour l’hiver, (qui consiste à les recouvrir d’une épaisse couche de fumier) les journées défilent …Quant aux températures, elles nous rappellent que l’hiver approche à grand pas : manteau, gants, bonnet et écharpe sont désormais de rigueur … C’est le même scénario que l’année dernière : me voilà couverte des pieds à la tête, prête à affronter l’hiver.
    Après 15 jours sur l’île, il est déjà temps de rallier le continent. Emues, nous quittons Ruby et son fils Cody, nos hôtes de Saanich, et c’est sous une pluie diluvienne que nous rallions Vancouver en ferry, prêtes pour une nouvelle aventure, plein nord, vers Whistler Village à 2h30 de Vancouver.

    Nous arrivons juste quelques jours avant l’ouverture de la saison et profitons, à plus petits prix, des merveilles de cette ville. Nous nous imaginions déjà des sommets enneigés, des chalets en bois, des illuminations de fin d’année et espérions trouver un peu de magie dans cette station de ski réputée. Eh bien nous ne sommes pas déçues !

    A 660 mètres d’altitude, nous sentons toutes petites au milieu des montagnes qui culminent elles à 2200m. Ce village, qui a accueilli les jeux olympiques d’hiver en 2010, est entouré de foret et de lacs ; il a gardé tous les attraits du village touristique-olympique et on y trouve des dizaines de magasins, de restaurants et de pubs !

    Les températures chutent un peu plus chaque jour. Le vent glacé rend nos joues un peu plus rouges que d’habitude, mais ça ne nous empêche pas de rester dehors ….

    Dans quelques jours nous attaquons le vif du sujet : les Rocheuses canadiennes, Banff, Calgary et changerons, à nouveau, de Province et d’heure avant de continuer notre aventure vers l’Est …  Car en Décembre, c’est dans le Saskatchewan, à proximité de Saskatoon, dans un lieu sans adresse … juste des coordonnées géographiques … que nous poserons nos valises  pour un mois. Ça promet ! A très vite.

    6

    [callout]Kilomètres parcourus depuis le 30 octobre 2014 : 20080 kms
    6813
      en avion
    8216 en bus
    3495 en train
    8874 en voiture
    83 en bateau
    [/callout]

  • L’Auberge des Troubadours, le charme au pied du château de Roquefixade

    L’Auberge des Troubadours, le charme au pied du château de Roquefixade

    Avec un gîte d’étape, un restaurant, une boutique dédiée aux produits issus de l’artisanat local et un café-bar, Jennifer à plus d’une corde à son arc.

    Avant de venir en France, il y a 19 ans, Jennifer a su faire de sa passion, une grande réussite dans son pays natal, le Royaume Uni, et elle récidive aujourd’hui avec l’Auberge des Troubadours.

    Coté café-restau

    filet de poulet fermier à la bière ambréeC’est un des seuls petits restaurants de campagne ouvert toute l’année. Ambassadrice de ce qu’elle appelle la « Real Food » (vraie nourriture) Jennifer cuisine avec passion des plats à base de produits locaux, linguini dans sa marée de patates douces et lardons de truite de Montferrié, filet de poulet fermier à la bière ambrée (Le Grand Bison)

    Elle propose également des spécialités au four à bois et notamment des tourtes, (tartes salées spécifiques à l’Angleterre), à l’inspiration de l’histoire du pays cathares : «Cathare», «Amour courtois», «Templier» ou «Troubadour».

    Un mariage des cultures, une inspiration saisonnière, Jennifer nous régale d’une cuisine  à la fois simple et campagnarde mais recherchée.

    On peut également venir passer un petit moment de tranquillité sur la terrasse ensoleillée, et déguster un café, un thé, la limonade de Fontestorbes ou la bière de Lavelanet.

    Coté gîte

    gitesLe gîte peut accueillir une vingtaine de personnes, pèlerins, randonneurs, cavaliers, touristes. Jennifer dispose également de deux chambres de qualité « chambre d’hôtes. De quoi satisfaire une nombreuse clientèle, qui peut profiter du restaurant de la terrasse ensoleillée et bien sûr s’approvisionner dans la boutique.

    Coté troubadours.

    Coté musique, David est toujours présent, aux heures des repas, l’après midi, pour accueillir les pèlerins il joue ou fait jouer de la musique. Cet hiver, Jennifer et David organiseront des « banquets troubadours » tous les vendredis soirs avec des animations par de vrais troubadours.

    Ils envisagent également de créer cet été un « festival des troubadours » en faisant venir des troubadours d’autres régions, et d’organiser une parade à travers le village de Roquefixade, en bref faire découvrir la culture des troubadours. Une affaire à suivre !

     

    Horaires d’hiver 2015 – 2016 –Restaurant – les midis du jeudi au dimanche et les soirs du vendredi et samedi sur réservation
    Bar, café et boutique ouvertes de mercredi à dimanche à partir de 14.00 

    Jennifer Parker Brown et David Dawson
    Gite d’Etape de Roquefixade
    Le Village
    09300 Roquefixade
    Tel 05 61 66 44 56
    www.aubergedestroubadours.com
    www.gite-etape-roquefixade.com

    aubergedestroubadours@gmail.com

  • Tendances et perspectives du tourisme en Vallées d’Ax

    Tendances et perspectives du tourisme en Vallées d’Ax

    Les tendances

    Les tendances de la saison touristique estivale en Vallées d’Ax sont conformes au reste de l’Ariège (voir le rapport de l’ADT) ainsi qu’aux autres départements de la région Midi-Pyrénées avec un glissement touristique  sur le mois d’août et l’arrière saison.

    Le mois de juillet a été moyen voire calme et cela malgré l’arrivée du Tour de France au plateau de Beille, un mois bon d’août, conforme aux autres années, et un très bon mois de septembre.

    Le beau temps et les températures très clémentes ont permis un développement des activités outdoor (de plein air). Cependant Un léger ralentissement des visites des sites est très significatif d’une baisse d’activité touristique.

    Au niveau de l »hébergement, qui a été très dynamique sur l’arrière saison, l’hôtellerie à souffert, les camping se sont développer, les gîtes ont eu une activité moyenne.

    Par contre, les bains du Couloubret arrivent à saturation. « C’est un produit qui est mature mais qui est néanmoins soumis aux aléas climatiques » explique Laurent Boquet.

    [callout]Quelques chiffres clés de l’été 2015

    • Une baisse de 4,6% des lits professionnels (-405 lits)
    • 838 800 nuitées touristiques générées sur la saison d’été 2015
    • Une diminution de la fréquentation station de 4,7%, en baisse sur toutes les périodes : -2,9% en mai ; -17,4% en juin, -2,9% sur juillet ; -3,3% sur août ;-5,6% sur septembre ; -1,7% en octobre
    • -5,3% de séjours professionnels avec une baisse de 4,6% de lits (-405 lits) avec notamment l’impact important des hôtels et du secteur locatif en recul cet été.
    • -4,3% de séjours diffus avec + 0,9% (+147) lits diffus
    • La location de particuliers à particuliers présente sur les sites internet de location représente sur l’été une potentiel de 163 appartements. Le taux d’occupation est de 31,6%, comparé à 52,5% pour le secteur locatif[/callout]

    Les perspectives

    Pour le président, il y a en vallées d’Ax beaucoup de prestations et de prestataires, le challenge aujourd’hui c’est de travailler à améliorer la qualité et le standing de ces prestations.

    La circulation

    « On peut avoir des offres touristiques de qualités, encore faut’il que les gens puissent y venir« , explique Laurent Boquet. « La question se pose actuellement sur la complémentarité du train avec des navettes mais également sur les transports mutuels du style blabla-car« .

    La clientèle

    « Aujourd’hui, on résonne sur une offre touristique familiale, mais on peut aller chercher une clientèle incentive*, des congrès d’entreprises ou encore des tours opérateurs. Ce travail là est émergent et il est à approfondir« 

    *Incentive« motivation » Le terme désigne les techniques destinées à améliorer la motivation et les performance du personnel d’une entreprise (le plus souvent, l’équipe commerciale).

    Le rôle de l’Office de Tourisme

    « Actuellement nous travaillons à présenter l’offre, ce que l’on voudrait faire évoluer, c’est d’être un véritable acteur touristique en accompagnant les prestataires, les élus, les tours opérateurs à monter des produits touristiques. nous travaillons actuellement à monter une plate-forme de commercialisation d’offres touristiques. Il y a une grande diversité de prestataires, d’hébergements, de restauration, mais comment combiner tout ça pour offrir au public un produit complet et comment le commercialiser ?« 

    Le thermalisme

    « Du thermalisme de soin au thermalisme ludique qui lui, touche une clientèle différente et notamment familiale, c’est l’activité primordiale, l’image d’Ax est basée là dessus et la notoriété de la ville repose sur son offre thermale. Toutes les évolutions d’Ax tournent autour de l’eau, c’est la richesse et le potentiel de la ville« .

    L’avenir

    Pour le président, la proximité d’Andorre est une chance et non une concurrence, « la dynamique d’andorre nous tire vers le haut« . Mais les Vallées d’Ax comme le reste du département n’ont pas vocation à devenir une zone touristique de masse comme peuvent l’être certaines vallées des Alpes.

    « On peut s’améliorer sur la qualité, notamment de l’hébergement, pour que les touristes qui viennent soient de bons prescripteurs de l’Ariège quand ils rentres chez eux. »

  • Beaujolais Nouveau, cette année plus que jamais, un Symbole

    Beaujolais Nouveau, cette année plus que jamais, un Symbole

    Beaujolais Nouveau, cette année plus que jamais un Symbole

    Alors on ne va pas rater ça, surtout pas cette année, même si l’on a pas forcément le coeur à la fête.

    Le cru 2015 du Beaujolais Nouveau débarque aujourd’hui, alors sortons, rendons nous dans les bars, les restos, sur les terrasses des cafés, avec nos amis, nos voisins et levons nos verres.

    Un peu d’histoire

    Le beaujolais nouveau, ou beaujolais primeur, est un vin de primeur produit dans le vignoble du Beaujolais, au sein des appellations d’origine contrôlée beaujolais et beaujolais-villages, essentiellement à partir du cépage gamay.

    Le 8 septembre 1951, un arrêté paru au Journal officiel dispose que les vins d’appellation d’origine ne peuvent être vendus qu’à partir du 15 décembre. Cependant, suite aux réclamations des syndicats viticoles, une note du 13 novembre 1951 précise « dans quelles conditions certains vins peuvent être commercialisés dès maintenant sans attendre le déblocage du 15 décembre ». C’est cette note qui de fait a créé l’appellation « beaujolais nouveau ».

    Pendant les quinze années suivantes, la date fut variable, et ce n’est qu’à partir de 1967 qu’elle fut fixée au 15 novembre jusqu’en 1985, année lors de laquelle elle fut fixée au troisième jeudi de novembre, d’une part pour des raisons de calendrier, car il tombait trop près du jour férié du 11 novembre (anniversaire de l’armistice de 1918), d’autre part pour des raisons pratiques, car il arrivait que cela tombe un week-end.

  • Festenal Occitan – 20, 21, 22 novembre  Pamiers

    Festenal Occitan – 20, 21, 22 novembre Pamiers

    OccitanQuesAquo

    Vendredi 20. Salle du Jeu du Mail, 21h, théâtre en oc  » La Gata de la Barona  » par la troupe Les Galejaires. Sous titrage en français. Participation libre.

    Samedi 21. Médiathèque Pamiers : 10h, petit-déjeuner littéraire  » Des écrivains occitans ariégeois et la Grande Guerre (14-18) « . Gratuit. 14h30/17h,  » Jòc en Òc « , de Sylvie Boulard, jeu de société éducatif sur le vocabulaire et la culture occitane, pour débutants et confirmés, pour apprendre tout en s’amusant ! Gratuit. 17h, remise des prix du concours photo sur le thème  » Tours et clochers d’Occitanie « . Salle du Jeu du Mail : 18h30, inauguration du Festenal. 19h30, repas  » del país « . 21h30, concert-bal occitan animé par le groupe La Nilha. Tarifs : repas+bal 20€, 15€ (adhérents IEO, Cercle Occitan, Lauseta). Bal seul 8€, 5€ réduit, gratuit -12 ans. Réservation repas (jusqu’au 16) : 05 61 69 60 96 ou ostaloc09@club-internet.fr.

    Dimanche 22. Salle du Jeu du Mail, 14h30, projection dufilm de Philippe Carrèze  » Malatèrra « , pendant la Grande Guerre, en Haute-Provence. Gratuit. 17h, Jean-Jacques Delpoux, conteur occitan. Tarifs : 8€, 5€, gratuit -12 ans.

    Expos : Peintures  » Variation sur la carte de l’Occitanie  » de Michel Averous, du 3 au 28 à la Médiathèque St-Jean du Falga. Photos du concours  » Tours et clochers d’Occitanie  » du 17 au 28 à la Médiathèque Pamiers.

    Contacts : 05 61 69 60 96 IEO et ostaloc09@club-internet.fr

  • Café littéraire avec Pierre Déram – 21 nov Foix

    Café littéraire avec Pierre Déram – 21 nov Foix

     

    Pierre Deram

    Djibouti est le premier roman de Pierre Déram.

    Il raconte les quelques mois que le lieutenant Markus a passés dans cette ville de la corne de l’Afrique, ville métaphorique perdue dans une vaste étendue silencieuse de blancheur pétrifiée, de sel, de gravats et de poussière ; ville desséchée, écrasée de soleil, piégée dans le « premier cercle d’une spirale de mort », et dont les fantômes s’animent dans une nuit grouillant d’« agitation secrète… ».

    « C’est demain, se répète Markus, que je rentre à Paris… ». Pour sa dernière nuit africaine, le jeune militaire se jette à corps perdu dans Djibouti, son implacable désert, son désordre étourdissant, ses putains redoutables, et sa faune de soldats fous d’ivresse et de solitude.

    « Soudain ils ne furent plus rien, pas même un soldat et une putain, mais deux enfants perdus au milieu du monde, serrés l’un contre l’autre sur ce matelas sale, roulant à moitié inconscients, le sang rapide, les yeux brillants, roulant si loin de tout, roulant à n’en plus finir au fond de l’indicible comme deux bagnards sautant d’un train en marche. »

     Entre violence brute et errance onirique dans les bas-fonds de la ville, Pierre Deram met à nu la bouleversante férocité des rapports humains.

    À Djibouti, berceau de l’humanité et barque de perdition, prostituées et légionnaires sont les mêmes enfants de la violence et de la beauté…

    Pierre Deram est né en 1989.

    L’entretien avec l’auteur sera animé par Maryline Lambert

    Les cafés littéraires de l’Estive sont organisés avec la librairie Majuscule Surre et la Bibliothèque Municipale de Foix.

    DJIBOUTI Editions Buchet Chastel
    Pierre Déram
    Samedi  21 novembre à 17h

    Au bar de l’Estive à Foix – Entrée libre

    L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège
    accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX

  • Deux jours d’animation 20 et 21 novembre Madière

    Balade Madiere Ariège PyrénéesLe vendredi 20 novembre à 20h30, l’association « Bien vivre à Madière » accueillera Olivier de Robert pour une soirée Contes qui se tiendra dans la salle des fêtes du village. Il est d’ores et déjà possible de réserver sa place en téléphonant au 06 18 09 40 06. Le prix d’entrée est fixé à 5 €.

    Le lendemain, samedi 21 en fin d’après-midi, l’association organise, au profit du TELETHON, une balade nocturne dans le village (distance de 5,5 km environ). L’ouverture des inscriptions débutera à la salle des fêtes dès 17h00 pour un départ estimé vers 18h00.

    De bonnes chaussures et un éclairage adapté sont nécessaires pour cette promenade dont une bonne partie est effectuée dans la nature.

    Au retour de cette balade, il sera possible de se restaurer avec une garbure qui sera servie vers 20h30 dans la salle des fêtes du village. Le nombre de places étant limité, il est indispensable de réserver auprès de Sonia au 06 38 66 23 12 (heures de repas).

    Espérons que le beau temps sera de la partie, c’est tout ce que l’on peut souhaiter pour les participants à la balade et aux membres de l’association « Bien vivre à Madière » qui seront tous mobilisés pour la bonne cause.