Cette nouvelle commune est unie à Tarascon par arrêté préfectoral du 30 mars 1973 puis à nouveau érigée en commune distincte (Cazenave-Serres et Allens) par arrêté préfectoral du 26 novembre 1980
La première mention portant sur cette commune semble être celle de 1213 dans laquelle la « Cauna de Solabria » (spoulga de Soloumbriè) fait partie des fortifications du comte de Foix
Allens et Cazenave ne sont connus qu’à la fin du Moyen Âge, et avec eux la forge hydraulique qui est aujourd’hui encore un bâtiment ancien.
Cazenave, doté de l’église paroissiale dut être depuis le Moyen Âge le village le plus important mais, à la fin du XIVe siècle, c’est à Allens que vit le seigneur de Cazenave.
Patrimoine :
Le manoir de la mouline : XIIIéme
Rocher l’ « Aiguille » (avant d’arriver à Sourdeing)
Château d’Allens
Spoulga de Soloumbrè : mentionnée en 1213 (grotte fortifiée) : Plan et description : « Monographies villageoises du Sabarthès », Florence Guillot, 1999
Occupé sûrement dès la fin de l’age de Fer, il est certain que Saint Jean de Verges était habité par les Romains. De nombreuses fouilles (années 1853-1855 et reprises en 1963) ont révélé de nombreux objets.
De Llobet dans « Histoire de Foix et de la Haute Ariège » (sous la direction de Cl. Pailhès) écrit P. 33: « Les datations de ces objets tendent à prouver que le site a été fréquenté et habité du premier âge du fer au moins jusqu’à la fin de l’Empire romain, avec peut-être un maximum d’occupation au 1ersiècle av. J.C. »
A cette époque en effet, Saint-Jean de Verges était une sorte d’avant-poste qui séparait les conquérants (les Romains) des indigènes (un peuple appelé les Sociates )
Une bataille, opposant l’armée romaine dirigée par Crassus un lieutenant de César, aux Sociates eut lieu dans le vallon de Saint-Jean de Verges, à l’issue de laquelle, les Romains vainqueurs établirent un camp retranché sur la crête calcaire qui surplombe le village actuel. Ils bénéficiaient là d’une position stratégique remarquable leur permettant de dominer et de surveiller les plaines du nord et du nord- est d’une part et d’autre part la ville principale des Sociates : Foix.
Peut-être a-t-il existé un château dont il ne reste rien de nos jours et dont on ne trouve pas trace dans les documents. Il se serait situé dans le village même, mais il est plus vraisemblable qu’il s’agisse de la tour d’Ope, cette tour gallo-romaine qui aurait été reconstruite au moyen-âge comme l’affirme Adelin Moulis dans son livre : « Vieux sanctuaires ariégeois ».
L’église romane Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-Verges date du XIIème siècle. C’était alors un prieuré de l’abbaye Saint-Volusien de Foix.
Cette église est une des plus belles de l’Ariège,bâtie en grès brunâtre sur l’emplacement d’un ancien édifice wisigothique, lui-même précédé d’une construction romaine.
Son plan comprend une seule nef prolongée par une abside percée de trois fenêtres. Au niveau du choeur un appendice a été rajouté de chaque côté de la nef sur lequel s’ouvre une absidiole.
Arnave a été construite sur les rives du ruisseau de même nom, l’Arnave. Il est essentiellement alimenté par un autre cours d’eau, le ruisseau de la Montagne qui prend sa source sur le versant de la montagne dite de Cazenave, au pic de la Lauzate. D’autres sources et ruissellements des montagnes l’alimentent. Il se jette dans l’Ariège quatre kilomètres en aval du village d’Arnave, à hauteur de la commune de Bompas.
L’Arnave serpente au travers des hautes vallées, plusieurs cascades le brisent par endroit et donc certaines sont impressionnantes, citons celle communément appelée « la poêle » à l’accès assez difficile.
Vers 1890, des ouvriers, qui travaillaient sur le chemin qui va d’Arnave à Tarascon, ont mis à jour une sépulture de l’âge du bronze et divers objets remontant à l’époque de la pierre polie mêlés aux objets de l’âge de bronze.
Au siècle dernier Arnave possédait une carrière de gypse qui est connue pour les pièces de collection d’anhydrite.
Insolite
Par R Milanese — Travail personnel
La Chapelle romane Saint-Paul d’Arnave, est considérée comme une des plus anciennes du département. L’édifice, situé au-dessus du village, remonte aux Xe et XIe siècles. Jules d’Ancelin, baron de Labaume, y repose. La chapelle était en effet possession de la Baronnie de Labaume jusqu’au milieu du XXe siècle, date à laquelle elle fut cédée à la commune pour en effectuer la restauration.
Le lieu est aussi connu pour sa pierre noire, censée guérir du « Haut-Mal », c’est-à-dire de l’épilepsie, lorsque le malade dort une nuit entière la tête dessus. Grâce aux légendes de guérisons miraculeuses, l’endroit fut longtemps lieu de pèlerinage
Faute de pouvoir abolir ce culte païen, la chrétienté a érigé à cet endroit une chapelle dédiée à Saint-Paul. La pierre est conservée dans une cabane prés de la chapelle.
« Un mois de décembre qui n’a jamais été aussi chaud depuis les premiers relevés de température, des enneigements en janvier et février qui n’ont pas été de très bonne qualité ; malgré cela et grâce aux infrastructures, notamment les 210 canons à neige et à la compétence des personnels, la station a pu être exploitée depuis le 28 novembre sans aucun jour de fermeture. » Tel est le constat de Cyril Chantrelle, le gérant du restaurant d’altitude « Le Louzat« .
Mais pour cela, la station a été obligée de se servir, au mois de décembre, d’un appareil capable de produire de la neige même à des températures positives afin de produire de la neige pour les vacanciers.
Voilà qui peut faire grincer des dents en cette période de Cop 21, mais « sauver toutes les parties de la saison, c’est très important pour une vallée comme Ax-les-Thermes« , explique Cyril Bardin, responsable marketing et communication.
Il faut savoir que la station génère de l’emploi pour 600 personnes
« non seulement les employés directs mais également les restaurants, les épiceries… 600 personnes qui travaillent pour faire vivre une station comme Ax 3 Domaines, c’est très important, c’est structurant et on a vraiment besoin de développer toutes les idées pour maintenir ces emplois ».
Les vacances de février se sont plutôt bien passées malgré le mauvais temps et des périodes neigeuses.
« C‘est un comble de se plaindre de ça alors que le début de saison n’était pas assez enneigé, mais on a tendance à être très difficile et, comme les vacanciers, on aimerait avoir le soleil pendant les vacances et la neige la nuit ou en semaine« , plaisante Cyril Bardin.
Quelque soient les conditions météo, le réseau de canons à neige permet de garantir l’ouverture de 30 à 40 % de pistes soit 60 à 70% du domaine.
Après avoir travaillé en belgique où il a fait de la préparation physique, du coaching vidéo et d’autres petits boulots, Julien décide de s’installer en Ariège. « Pour la beauté des paysages, pour la nature, pour tout ce que ça dégageet aussi pour vivre en autonomie » explique t’il.
Il s’installe dans un petite grange et la rénove tout en travaillant à la station d’Ax 3 Domaines. Gourmand, amateur de gaufres belges et voyant que cela n’existe pas dans la région, Julien se lance dans l’aventure.
Il a d’abord construit un petit traineau et s’est installé la saison dernière. Il a ensuite profité de l’été pour transformer son food-traîneau en food-roulotte, et le succès est au rendez-vous, la roulotte ne désemplit pas.
Une dizaine de litres de chocolat chaud et entre 100 et 150 gaufres par jour en moyenne sucrées et salées : chèvre/miel, 3 fromages, oignons/lardons et la gaufriflette (oignons lardons reblochon), le tout avec un maximum de produits bio et locaux, de quoi revigorer au milieu ou à la fin d’une journée de ski !
Entendons nous bien, il s’agit là de gaufres liégeoises c’est à dire une recette qui vient de Liège en Belgique. C’est d’ailleurs un restaurateur liégeois qui lui a donné la recette.
Cet été Julien devrait s’installer en haut du « lièvre blanc », à l’arrivée du télésiège pour le VTT et les randonneurs. Alor si vous avez raté les gaufres cet hiver ne manquez pas cette séance de rattrapage.
Ce sont près de 25 chevaux venus de tout le département qui se sont réunis dans la neige et sur une piste de la station nordique du plateau de beille : 100 m de long , 30 m de large, damée et sécurisée par les équipes techniques de la station.
Différentes disciplines ont été proposées en exhibition : skijoering avec les chevaux d’Angaka, du Soularac et de Sié, avec la participation d’un professionnel de cette discipline : Bernard Lavidalie venu d’Argelès Gazost. Plusieurs personnes ont pu s’initier à ce sport « en biplace » y compris Jean Daniel Bergès, skieur émérite et Président du Syndicat National des chevaux de Mérens. Les 2 chevaux du centre équestre du Soularac menés par 2 cavalières ont pu aussi initier quelques jeunes skieurs, mais sans pouvoir répondre à toutes les sollicitations du public : nul doute que cette discipline devrait faire un tabac si elle était proposée sur la station tout au long de la saison.
Des courses de relais entre skieurs en « skijoering » et cavaliers ont été organisées sur 2 slaloms en parallèle. Ensuite ce sont des épreuves de traction de force qui ont fait participer le public qui devait –comme dans les épreuves de force basque- arrêter un cheval tractant un longue corde où s’arc boutait le maximum de spectateurs. L’étalon Jaffar a ainsi remporté l’épreuve contre 10 personnes qui n’ont pas réussi à le stopper sur 100 m au pas.
Puis ce fut une compétition de traîneau de course en parallèle menés par deux éleveurs ariègeois déguisés en bûcherons casqués et habillés aux couleurs de leur traineau : Sébastien Baleydier avec son cheval Vipper et Xavier Paquin menant Jaffar.
Le centre équestre du Fantilhou proposait ensuite des jeux équestres avec course de relais par équipes, et courses de galop très spectaculaires ainsi qu’un joli carrousel sur neige composé de 16 chevaux. Inès Roussel, Sophie et Sylvie Alzieu ont coordonné l’ensemble des exhibitions montées.
Une grande parade clôturait la matinée et permettait d’amener les élus présents, M Geraud maire des Cabannes, M Prat maire d’Albiès, M Rouzoul maire de Vèbre, au village Nordique d’Angaka en traineau pour visiter les installations et le circuit réservé aux activités équestres. Toute l’après midi les deux chevaux Tornade et Vichnou ont évolué sur ces pistes pour des balades magiques en traîneau au milieu de la forêt enneigée avec Isabelle Corbières et Pierre Gomis aux guides.
L’après midi les mêmes animations furent proposées au public nombreux attiré par ce spectacle inhabituel au pied des pistes, avec les commentaires au micro de l’éleveur Yves Rauzy……
Vu le succès de cette première manifestation, une deuxième édition devrait avoir lieu l’hiver prochain pour promouvoir le cheval de Mérens au plateau de Beille, avec Angaka et avec la participation du syndicat des chevaux de Mérens, de la communauté de communes des vallées d’Ax et de tout le personnel de la station.
Une des plus vaste avec, en plus, 3 ambiances complètement différentes, d’où le nom de « 3 Domaines ».
Trois Domaines
Sur un premier secteur, il est possible de skier en forêt : « une ambiance très familiale, très intime, très chaleureuse« , explique Cyril Bardin, responsable marketing et communication, « un peu comme dans les forêts du Jura« .
Un deuxième secteur de glisse emmène le skieur sur un plateau d’altitude, avec une splendide vue panoramique ; et enfin, un troisième où l’on peut skier dans une ambiance plus montagneuse avec des rochers et des pics à travers des vallées et des défilés.
Un Territoire
Un des gros atout de la station, c’est de pouvoir skier sur des distances très longues. « On a la possibilité de descendre jusqu’à 10 km d’une seule traite, sans emprunter de remontée mécanique, parce que l’on a un point haut à 2400 mètres d’altitude et un point bas à 1400« .
Le deuxième atout, c’est la possibilité de skier pour tout le monde ; des pistes noires, des zones hors piste très réputées… mais surtout, des pistes bleues sur l’ensemble du domaine au bout de chaque remontée mécanique.
Il n’y a pas une zone réservée aux pro-riders et une zone réservée aux débutants ; on trouve à la sortie de chacune des remontées, des pistes de toutes les couleurs.
Enfin, même si la station peut accueillir jusqu’à 9000 skieurs simultanément, l’étendu du territoire fait qu’il n’y a jamais d’impression de fourmillement.
Une Tribu
Et pour tous ceux qui constitue cette tribu et qui se donne rendez-vous à Ax 3 Domaines, qu’ils soient skieurs ou non, enfants, ados ou adultes, un panel d’activités est proposé en dehors du ski : découverte de la montagne, construction d’igloos pour les enfants, balades en raquettes, VTT sur neige, ski de randonnée, speed-riding… apéro-concert à la tombé de la nuit ou encore chiens de traineau dans la station nordique de Beille, toute proche…
[notice]La station Ax 3 Domaines est labellisée «Espace Loisir Handisport», à ce titre les personnes en situation de handicap peuvent profiter des joies et des sensations de la glisse grâce au matériel adapté mis à disposition et au personnel formé susceptible de les encadrer.[/notice]
Pour terminer, les incontournables Bains du Couloubret à Ax-les-Thermes viendront combler petits et grands. « Après le ski, ou à la place du ski, c’est l’activité idéale de détente. On se dépense mais on peut aussi se relaxer à Ax » conclut Cyril Bardin.
Anciens propriétaires du « Chalet de la Hulotte » à Ax 3 domaines, Céline et François Rousseau ont repris cette saison le restaurant d’altitude au Col du Chioula et lui ont donné un nom fort sympathique : « La Marmotte Toquée« .
Céline est en cuisine, secondée par Marie ; François, lui, est en salle, secondé par Dorine.
« Le démarrage de la saison a été difficile« , explique Céline, notamment à cause du faible enneigement mais, même la station fermée, les clients étaient au rendez-vous, surtout des habitués du « Chalet de la Hulotte« .
Ici, on privilégie les produits locaux : canard des Terroirs du Plantaurel, pommes-de-terre du Pays de Sault, boeuf bio de Prades, lait de la ferme de la Baure….
L’acoustique du restaurant étant très bonne, des soirées apéro-concert et contes sont également organisées.
Aujourd’hui, la station est ouverte : la neige est là, le panorama est magnifique et les produits d’excellente qualité : cela fait donc quatre très bonnes raisons de se rendre à « La Marmotte Toquée« .
Vous avez jusqu’au mois d’avril en attendant l’été.
Ouvert de décembre à avril et de juin à septembre de 8h30 à 19h30 col du Chioula – 09110 Ignaux 05 61 03 18 71 / 06 30 91 25 02 / 07 70 13 45 16
Organisée par l’association “Lune et lʼautre”, qui a pour objet de rassembler des personnes, filles et garçons, autour du thème de lʼhomosexualité et plus généralement de toutes les sexualités, la Snow Gay ou Gay Pride des neiges, entame sa 5ème édition.
Pourquoi la snow gay ? Sʼengager dans un acte militant, donner vie le plus librement possible à sa nature sexuelle et faciliter lʼexpression de celle-ci en milieu rural et montagnard. Il existe, encore trop de personnes subissant le poids dʼanciennes mentalités enfermées par des notions de normalités des rapports humains, et ayant cette obligation de se diriger vers le milieu citadin plus ouvert et anonyme pour assumer, souvent cachés, leur particularité. C’est pourquoi un événement gay organisé en montagne, en hiver, dans une station de ski est un atout.
Les 4 jours de la SNOW GAY, ce sont avant tout des moments de rencontres et d’échanges rassemblant Gay, Lesbien et Friendly.
De nombreuses activités vous seront proposées :
– des plaisirs physiques (ski alpin, ski de fond, balades pédestres).
– des animations artistiques (spectacles).
– des soirées festives jusqu’au bout de la nuit.
– des moments de rencontres autour d’un verre ou d’une table (le midi, le soir ou toute la nuit).
– du bien être et de la détente dans un espace unique que sont Les Bains du Couloubret (bains bouillonnants, sauna, hammam et autres).
En vous connectant à www.vallees-ax.com vous pouvez découvrir les nouveautés suivantes :
– un site « responsive », c’est à dire qu’il s’adapte à tous les supports numériques
–une arborescence simplifiée et une navigation intuitive
– une rubrique « Expériences » qui permet à certaines clientèles de découvrir les Vallées d’Ax et permet également de renforcer le référencement du site
– des « bons plans » mis en avant
– des balades et randonnées valorisées
– un module de réservation « responsive »
– un lien avec les réseaux sociaux
– un site qui s’adapte à tous les types de clientèles avant et pendant leurs séjours
Office de Tourisme des Vallées d’Ax 6 Avenue Théophile Delcassé 09110 Ax-les-Thermes 05 61 64 60 60
Vous vivrez une d’immersion totale dans l’univers des chiens de traîneau et partagerez avec Olivier ses anecdotes et ses récits de course tout en vous permettant de vivre une relation privilégiée avec un chien.
Vous pourrez apprendre à lui soigner les pattes, à le masser et le nourrir.
Il faut en profiter et y aller durant ces vacances ou le week-end.
Le site Nordican Pyrenées, est une base écocanine qui vaut le déplacement, située dans la vallée du Vicdessos, entre le village de Vicdessos et le port de Lers à 1420 mètres d’altitude.
Vous y trouverez une immersion totale au milieu de 16 chiens husky et d’un torjnak au travers d’activités et de formules adaptées à vos envies et vos besoins : baptêmes en traineaux, visites du parc de chiens polaires et médiation animale.
Installé grâce au soutien de la Communauté de communes d’Auzat et du Vicdessos, Olivier accueille autant les individuels que les groupes tout en d’adaptant à leur demande et à leurs envies.
bvc
Un site internet attractif est à la disposition du public et toutes les activités peuvent être réservées en lignes www.nordicanpyrenees.com ou par téléphone au 06.84.56.30.80 (Olivier Houplain).
Et pour compléter la journée de détente en Vicdessos, pourquoi ne pas en profiter pour se rendre jusqu’à la station de ski de Goulier-Neige à quelques km, ouverte tous les jours durant les vacances ou aller faire du ski nordique au port de Lers (téléphoner avant de s’y rendre afin de connaître l’état d’enneigement et l’ouverture de la route).
La première mention de Savignac figure dans la donation à l’abbaye Saint Volusien de Foix de domaines (« villa de Savigna, Perlas… ») par le comte Roger de Carcassonne et sa femme Aladays en 987. Cette donation sera rappelée en 1445.
Au Moyen Âge, Savignac appartenait au Comté de Carcassonne, jusqu’en 1034.
Un château de Savignac est mentionné, en 1240 dans le testament de Bernard de Comminges, mais ne figure pas dans le dénombrement du comté de Foix, à la date de 1272.
Jusqu’à la Révolution, l’abbé de Foix est seul seigneur direct et foncier de Savignac et terres en dépendant (avec château, forge, scierie, moulin…)
En octobre 1811 et février 1812, Savignac est réquisitionné (argent, animaux…) par les espagnols qui avaient occupé Ax.
« Savignac » devient « Savignac les Ormeaux » en 1936
Patrimoine
Château du XVI et XIXéme siècle avec pigeonnier,
Croix en fer forgé du Couzillou (1731)
Église d’abord dédiée à saint Volusien, puis à saint Fabien et saint Sébastien. Mentionnée en 1224, elle devient distincte de celle de Perles en 1803. Elle est reconstruite de 1901 à 1904. Elle est actuellement dédiée à st Volusien.
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