Catégorie : vidéo

  • « La rando de l’espoir », une solidarité record !

    « La rando de l’espoir », une solidarité record !

    Voila déjà quelques années que nous vous parlons de « la rando de Font-co » organisée par l’association  « La Rando de l’espoir ». Il était donc normal qu’Azinat participe à cette huitième édition qui s’est déroulée le 6 septembre dernier.

    J’avais le choix entre ;  10, 20 ou 35 km de VTT, 6 ou 11 km de rollers, 9 km de course à pieds ou enfin 10 km de randonnée.

    Pour quelqu’un de peu sportif le choix était facile … la rando !

    Une boucle de 10 km au départ de Font-Communal sur les routes et les chemins de campagne à travers la plaine de l’Hers et les coteaux de Vals.

    Il fait beau et chaud (normal les vacances sont finies et c’est la rentrée !). Nous partons à 15h00 pile, 3 km jusqu’à Vals par la route et un premier ravitaillement nous attend au pied de la superbe église.

    Et nous repartons pour 3 km par des petits chemins de fôret et à travers de magnifiques paysages. L’ambiance est très conviviale, de 7 à 77 ans on parle on plaisante on fait des photos, on croise des coureurs ou des vététistes… on a surtout chaud et on s’impatiente d’arriver au deuxième ravitaillement.

    Le deuxième ravitaillement passé, il nous reste 4 km à parcourir et voilà, après 2 heures de marche je passe la ligne dans l’autre sens, un peu fatiguée (à voir les visages, quand même beaucoup moins que les coureurs et les vététistes), heureuse de cette belle balade dans cette bonne ambiance mais surtout fière de la cause pour laquelle j’ai pris le départ de « la rando de l’Espoir ». c’est sûr je reviendrai en 2015… et vous ?

    [callout]« On vous espère encore plus nombreux en 2014 ! » c’est par ces mots que ce terminaient les remerciements des organisateurs l’année dernière. Espoir concrétisé puisque 725 participants étaient au départ cette année,  soit 140 de plus qu’en 2013.

    360 marcheurs, 250 vététistes, 88 coureurs et 27 rollers et 5820 euros récoltés.

    En huit ans de Rando c’est 32000 euros de fonds récoltés et intégralement reversés au service de cancérologie et de pédiatrie du CHVA (CentreHospitalier du Val d’Ariège). Ils serviront les malades en cours de traitement qui pourront bénéficier de soins, d’équipements et de prestations, qui ne sont habituellement pas pris en charge. Onco-esthétique, massage, relaxation, musicothérapie…[/callout]

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  • Les biscuits du Moulin, le bon goût de l’Ariège

    Les biscuits du Moulin, le bon goût de l’Ariège

    Voilà un an et demi que Carole et Eric y ont aménagé un petit laboratoire de fabrication et une  boutique. Grace à leur volonté de rester « au Pays » et l’implication de la mairie, le vieux moulin a repris du service, le meunier s’est réveillé.

    La passion des biscuits c’est sa grand-mère qui lui a transmise. Carole a donc remis la recette au gout du jour, avec de la farine de petit épeautre bio et locale,  sans additifs ni conservateurs. Citron, orange, chocolat, figue, noisette ou raisin, des biscuits comme à la maison.

    Grâce à la coopération des anciens du village et à la mémoire orale, Carole est également devenue une véritable « guide touristique » et organise, en parallèle de son travail à la boutique, des visites guidées du vieux moulin.

    Allez donc faire un tour du coté de Sinsat car il reste un des seuls moulins du département ouvert au public.

    Le Moulin
    Route nationale 20
    09310 SINSAT

    05 61 65 37 45 – 06 88 17 28 73

    lesbiscuitsdumoulin@hotmail.fr
    lesbiscuitsdumoulin.com
    facebook.com/pages/Les-Biscuits-du-Moulin

  • Bouan, le Merens à l’honneur

    Bouan, le Merens à l’honneur

    S’il y a une chose dont nous sommes fiers en Ariège (entre autre), c’est bien de ce splendide cheval noir, déjà présent à l’époque magdalénienne et dont la représentation orne les mur de la grotte de Niaux.

    Tous les étés à Bouan le Merens est à l’honneur. Dans ce petit coin d’Ariège, le temps d’un week-end, tous les plus beaux sujets de la race et leurs éleveurs rivalisent en diverses disciplines : concours d’élevage, démonstrations d’utilisation, présentations montées ou attelées, descente des éboulis, derby…

    Outre ces démonstrations, c’est aussi la promotion de la race qui est de mise car le Merens est une race à petit effectif, moins de 300 naissances par an. C’est pourquoi, l’association « Sherpa » est régulièrement présente au salon de l’agriculture de Paris, au salon du cheval à Lyon, Toulouse, Bordeaux….

    SHERPA FRANCE

    Association Française d’Élevage de la Race Pyrénéenne dite de Mérens
    32 Av. du Général de Gaulle – Chambre d’Agriculture de l’Ariège – 09000 Foix – FRANCE
    Tél. / fax : +33 5 61 01 98 58 – sherpa@chevaldemerens.com – www.chevaldemerens.com

     

  • Les Ailes Bleues Verniollaises, un show de haute voltige

    Les Ailes Bleues Verniollaises, un show de haute voltige

    Le club des Ailes Bleues Verniollaises a été créé en 1984, à cette date il n’existait pas de club en Ariège et c’est la commune de Verniolle qui répond favorablement à la demande. Un terrain d’évolution est trouvé route de La Tour de Crieu à Verniolle. Trés vite, les passionnés ariégeois se réunissent autour de M. Secco Guy et M Bournet Yves qui furent à l’origine de cette initiative. le club rejoint la F.F.A.M. en 1989.

    C’est en 1994 que la commune se trouve dans l’obligation de reprendre son premier terrain et propose le terrain que le club occupe actuellement. Chaque année, le club forme bénévolement entre 3 et 6 pilotes principalement d’avions mais aussi depuis 1998 quelques hélicoptéristes. C’est plus d’une centaine de pilotes de tout âge formés en 30 ans.

    Le club compte actuellement 57 adhérents et s’occupe de 145 enfants en passeport scolaire.

    Dimanche 6 juillet, a eu lieu l’annuel show organisé par l’ABV des pilotes de toute la Région (Pyrénées Orientales, Aude, Haute-Garonne…) viennent faire découvrir ce qui se fait de mieux dans l’aéromodélisme et partager leur passion.

    Car s’est véritablement une passion qui les anime, planeurs, remorqueur, hélicoptère, pulso-réacteur, avion de guerre et même un cycliste volant, c’est un véritable ballet aérien qui se déroule sous les yeux des visiteurs.

    Toute la journée on aura vu s’envoler ces drôles de machines, enfin presque toute la journée car il aura fallut une pluie diluvienne pour faire fuir de la piste ces chevaliers du ciel.

    La piste se situe sur le plateau de Millet (face à l’aèrodrome de Pamiers/Les Pujols), route de Mirepoix à Verniolle

    Les Ailes bleues Verniollaise siège social
    Mairie
    09340 Verniolle
    ABV.0999@yahoo.fr

    a-b-v-09.pagesperso-orange.fr

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  • Pyrénées FM est née

    Pyrénées FM est née

    Après dix ans d’existence « Montaillou Pyrénées » est devenu incontournable dans notre département et bien au delà.

    Avec 12 émetteurs dans les coins les plus reculés de nos belles Pyrénées, la petite radio capte 60 000 auditeurs par jour, un beau succès pour cette petite radio qui a tout d’une grande.

    Diffusée en Ariège, Aude, Haute-Garonne, Pyrénées-Orientales, Principauté d’Andorre, « Pyrénées FM » construit sa ligne éditoriale autour de 3 thématiques : une programmation musicale multi-culturelle et populaire (musiques régionales, standards du rock, variété française et internationale), un ancrage profond dans la culture pyrénéenne et le soutien aux cultures occitanes et catalanes et enfin contact et proximité.

    Jean Clergue, président fondateur et maire de Montaillou, ne cache pas son petit pincement au coeur du ne plus voir apparaître le nom de son petit village, mais là était le changement nécessaire pour permettre la visibilité géographique de tous les territoires de la zone d’émission.

    Pyrénées FM est née le 1er juillet 2014, longue vie à elle.

  • Azinat.com récompensé au Salon du Livre de l’Histoire locale de Mirepoix

    Azinat.com récompensé au Salon du Livre de l’Histoire locale de Mirepoix

    Monsieur Pierre Sabatier, Président du salon pour la première année, nous explique ce qu’il imagine pour le futur.

    « En tenant compte de l’évolution des moyens de la communication et de la littérature numérique entre autre, il faut s’ouvrir à d’autres sortes d’expressions littéraires »

    « La culture locale c’est un patrimoine qu’il faut préserver, il y aura toujours une place pour l’histoire et la littérature locale ».

    Pierre Sabatier envisage également des échanges inter-pyrénéens. Nous attendons donc le Salon 2015 avec impatiente.

    Les récompenses :

    Prix Joseph-Laurent Olive :  Bernadette Truno , pour l’ensemble de ses ouvrages présentés au Salon dont : Raymond Escholier, avec les tirailleurs sénégalais. 1917-1919 , coécrit avec  André MinetVoir l’interview

    Prix Spécial du Jury, huit récipiendaires :

    • André Minet pour « Raymond Escholier, avec les tirailleurs sénégalais. 1917-1919, coécrit avec Bernadette Truno.
    •  Auguste Armengaud, pour « l’école dans le canton de Belpech, 1891-1989 », ouvrage collectif de la Société d’Histoire du Garnaguès-Belpech. Voir l’interview
    •  Sylvie Goll-Solinas pour « Vous êtes venus me chercher ». Voir l’interview
    • Association du Centenaire de la Grande Guerre pour « les Poilus ariégeois dans la Grande Guerre ». voir les interview de Georges-Patric Gleize et Jean-Louis Doumerc
    • Michèle Teysseyre pour « Monsieur Riquet ». Voir l’interview
    • Monique Dollin du Fresnel pour «  Clément V, le pape gascon et les Templiers ». Voir l’interview
    • Michel Rivière pour « lettres d’un Ariégeois, Maurice Armengaud, 1914-1918 ». Voir l’interview
    • AZINAT.COM pour sa « newsletter hebdomadaire ». nous en sommes très heureux et très fiers, et nous remercions chaleureusement le comité.

     

     

  • Christine Belcikowski, « La trace du Serpent »

    Christine Belcikowski, « La trace du Serpent »

    « La scène se déroule au château de Mirepoix, dit de Terride (Ariège), où vit au XXIIe siècle Jean de Lévis Lomagne, frère du seigneur dudit Mirepoix. La noblesse se croit éternelle. On suborne deux jeunes filles… On bat un vieillard… Heureusement, Barrau, le trop fidèle serviteur veille… Tiré des archives locales, ce roman inspiré par un drame réel fait revivre au lecteur les passions d’une autre époque demeurées universelles : l’orgueil et l’argent, la violence et le sexe. »

    Christine Belcikowski est agrégée de lettres, docteur en philosophie. Professeur à l’Université de Poitiers, elle arrive à Mirepoix il y a sept ans. Intriguée par le Château qu’elle voit de sa fenêtre, agrémenté par les histoire que racontait son père à propos de ce château quand elle était petite fille, Christine Belcikowski entreprend des recherches aux archives de Mirepoix. Ce livre est le résultat de sept années de recherche.

    La trace du serpent
    Editions l’Harmattan 

    la trace du serpent

  • Michel Rivière « Maurice Armengaud, lettre d’un ariégeois 1914-1948 »

    Michel Rivière « Maurice Armengaud, lettre d’un ariégeois 1914-1948 »

    Il s’agit là d’un recueil de 900 lettres écrites par Maurice Armengaud, durant la Guerre 14-18. La très grosses majorité sont des correspondance qu’il à entretenu avec sa femme.

    Ces 900 lettres ont été retrouvées il y a plus de 15 ans dans le grenier de la maison familiale de Mirepoix. Michèle Rivière, petit fils de Maurice Armengaud, les a auto édité pour offrir ce recueil qui témoigne de la vie quotidienne dans les tranchées.

  • « Les poilus ariégeois dans la grande guerre » partie 2, Jean Louis Doumerc

    « Les poilus ariégeois dans la grande guerre » partie 2, Jean Louis Doumerc

    Un livre témoignage sur la guerre de 14-18 et l’Ariège, un grand format de plus de 400 pages, des centaines de photos, de dessins.

    Ce livre passe en revue les régiments du 17e corps du Sud-Ouest, dans lequel ont été enrôlés les ariégeois et restitue leur quotidien durant 4 longues années.

    « En 1914, les soldats ariégeois n’appartenaient pas tous aux régiments dits de « l’Ariège » qu’étaient les 59° RI, 259°RI et 134° RIT. Nombreux furent ceux qui servirent ailleurs pendant la Grande Guerre: 7°, 9°, 11°, 14°, 20°, 83°, 88° RI… Témoigner de l’histoire des poilus ariégeois dans la Grande Guerre oblige à se pencher sur celle, plus vaste, du 17° Corps d’Armée. Mais qu’ils soient pour la plupart d’origine modeste, paysans, ouvriers, artisans, employés domestiques, ou issus des classes moyennes, petits patrons, fonctionnaires, militaires d’active, médecins, instituteurs… à l’heure où le pays traverse la plus terrible des épreuves, de la tragédie de Bertrix, le 22 août 1914, aux féroces combats livrés aux Eparges, de l’enfer de Verdun aux batailles sur le front d’Orient, les poilus ariégeois sont présents partout. »

    Jean-Louis Doumerc est président de l’association départementale du centenaire de la Grande Guerre

     

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  • « Les poilus ariégeois dans la grande guerre » partie 1 Georges Patrick Gleize

    « Les poilus ariégeois dans la grande guerre » partie 1 Georges Patrick Gleize

    Un livre témoignage sur la guerre de 14-18 et l’Ariège, un grand format de plus de 400 pages, des centaines de photos, de dessins.

    Ce livre passe en revue les régiments du 17e corps du Sud-Ouest, dans lequel ont été enrôlés les ariégeois et restitue leur quotidien durant 4 longues années.

    « En 1914, les soldats ariégeois n’appartenaient pas tous aux régiments dits de « l’Ariège » qu’étaient les 59° RI, 259°RI et 134° RIT. Nombreux furent ceux qui servirent ailleurs pendant la Grande Guerre: 7°, 9°, 11°, 14°, 20°, 83°, 88° RI… Témoigner de l’histoire des poilus ariégeois dans la Grande Guerre oblige à se pencher sur celle, plus vaste, du 17° Corps d’Armée. Mais qu’ils soient pour la plupart d’origine modeste, paysans, ouvriers, artisans, employés domestiques, ou issus des classes moyennes, petits patrons, fonctionnaires, militaires d’active, médecins, instituteurs… à l’heure où le pays traverse la plus terrible des épreuves, de la tragédie de Bertrix, le 22 août 1914, aux féroces combats livrés aux Eparges, de l’enfer de Verdun aux batailles sur le front d’Orient, les poilus ariégeois sont présents partout. »

    Voir la bio de Georges-Patrick Gleize

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