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  • Mady de la Giraudière, « Ariège belle Ariège, Ariège eau de neige, chargée d’Or, où est ton trésor ?

    Mady de la Giraudière, « Ariège belle Ariège, Ariège eau de neige, chargée d’Or, où est ton trésor ?

    Née à Toulouse « par accident » Mady de la Giraudière est farouchement attachée à l’Ariège, au Pays d’Olmes et à Lavelanet. C’est là qu’elle grandit. Une enfance merveilleuse dans une grande demeure, trois générations, un chien, un chat, les montagnes et la nature.

    Mady de la Giraudière, "Ariège belle Ariège,Pyrénées

    D’aussi loin qu’elle se rappelle, sa vocation est venue à l’âge de cinq ans lorsqu’elle dessine avec le rouge à lèvre de sa mère les portraits en pied de ses parents sur le mur de la chambre…

    Cette vie idyllique   « d’enfants sauvage » va souffrir de neuf ans d’internat à Toulouse. L’Ariège lui manque ses animaux sa couleur… tout ce qui fait son paradis. Mais rien n’arrête sa passion dévorante pour le dessin.

    Grand bien nous fasse puisque aujourd’hui, à plus de 90 ans, Mady peint toujours et encore.

    Grâce à son succès, son talent mondialement reconnu (Chevalier dans l’Ordre des Arts et Lettres en 1987, Officier dans l’Ordre des Arts et Lettres au titre de la promotion de juillet 2011), ses nombreux voyages, ses rencontres avec les plus Grands, elle fait rayonner l’Ariège au quatre coins du monde.

    Aujourd’hui c’est un premier portrait de Mady que nous vous proposons dans lequel elle nous parle de sa vocation de son attachement à ses racines, il y en aura d’autres, elle a tant à nous dire…

    www.madydelagiraudiere.com

  • De l’Azinat au menu du collège Pasteur de Lavelanet

    De l’Azinat au menu du collège Pasteur de Lavelanet

    A cette occasion, l’opération étant menée en partenariat avec Azinat.com, le chef Charles Pires et son équipe nous ont accueillis dans leur cuisine du collège Pasteur pour préparer ce plat emblématique de notre département.

    Car non seulement nous parlons de l’azinat mais nous mettons aussi la main à la pâte. C’est donc armés d’une blouse et d’un calot que nous avons investit la cuisine sous la direction du chef.

    A menu ce jeudi 14 février : céleri rémoulade et moule au curcuma, azinat aux choux et tiramisu maison.

    Au collège Pasteur c’est 180 repas qu’il faut élaborer chaque jour tenant compte du budget, du goût des enfants, de la diététique, de l’approvisionnement en produits locaux, un véritable challenge que relève avec passion Charles Pires avec Michelle et Monique ses fidèles collaboratrices. Car il faut le dire, et les élèves ne nous démentiront pas, on mange bien ici. Comme le fait remarquer Charles : «J’ai de la chance de travailler dans un établissement à taille humaine. Nous faisons plus de la cuisine familiale et traditionnelle que de la cuisine de collectivité ».

    C’est pour cela que l’équipe à commencé la veille la préparation, lorsque nous arrivons l’azinat mijote déjà depuis une heure et ça sent déjà très bon !

    L’azinat donc avec tous les ingrédients nécessaires (porc, canard, chou) les légumes seront cuits à part ainsi que quelques manchons de canard, et la fameuse rouzolle.

    On ne va pas vous dire que tous les enfants ont apprécié, le choux ça passe mal auprès des ados, mais dans l’ensemble enfants et adultes sont sortis ravis pour certains d’avoir découvert ce plat.

  • L’Azinat aux choux du Paradis du Pape à Mazères

    L’Azinat aux choux du Paradis du Pape à Mazères

    Monsieur et Madame Ferrand, avec beaucoup de gentillesse, nous ont ouvert la porte de leur cuisine pour nous dévoiler les « secrets » du véritable Azinat de Mazères.

    Choux, carottes, navets, poireaux, céleri, pommes de terre, ventrèche, pieds de porc, jarret de porc, saucisse de couennes, cou d’oie farcie, faisan, canard… rien ne manque.

    Plus qu’une simple potée aux choux, cet azinat et cette rouzolle ont le goût de l’authentique, de la simplicité, de la convivialité, du plaisir bref, de la vrai vie quoi !

  • Le Paradis du Pape, Bernard Ferrand nous parle de l’Azinat

    Le Paradis du Pape, Bernard Ferrand nous parle de l’Azinat

    Monsieur Ferrand est un ariégeois de souche et de coeur. Né à Mazères, il a dû quitter son Ariège natale pour des raisons professionnelles et sportives. C’est en 1986 qu’il fait l’acquisition d’un ancien élevage de porc qui n’a pas trouvé de repreneur. Après trois ans de travaux, le Paradis du Pape ouvre ses portes aux gourmets, en février 1989. Le nom ne fût pas difficile à trouver, puisque le Pape Benoît XII, lui même ariégeois d’origine avait baptisé les lieux au XIVè siècle.

    Bernard Ferrand est un cuisinier de passion et il tient à garder et cuisiner ces plats ancestraux de notre terroir. Il nous a accueillis dans son restaurant, pour nous parler de l’Azinat, et plus précisément de son azinat mazérien…

  • Augustin Bonrepaux :  « Le département fait preuve de volontarisme »

    Augustin Bonrepaux : « Le département fait preuve de volontarisme »

    Maire D’Orlu (1966-1995) , maire d’Ax-Les-Thermes (1995-2001), conseiller Général du canton d’Ax-Les-Thermes (1976-2001), Député de l’Ariège (1981-2007), Président du Conseil Général de l’Ariège depuis le 23 mars 2001, Augustin Bonrepaux est ariégeois d’Origine né à Perles-et-Castelet.

    Augustin Bonrepaux : "Le département fait preuve de volontarisme"

    En tant que Président du Conseil Général il nous présente les grandes lignes de la politique départementale pour 2013.

    « L’année 2013, comme la précédente, va être une année difficile pour l’Ariège » déclare Monsieur Bonrepaux. « Le chômage dépasse 12%, on observe  un accroissement de la précarité, le nombre de bénéficiaires du RSA  est deux fois plus élevé en Ariège que la moyenne nationale avec 6000 allocataires… »

    Pour 2013 les investissements sont en hausse de 10% et beaucoup d’interventions seront nécessaires pour le désenclavement du Couserans et du Pays d’Olmes, les réseaux (plus de 3 millions 1/2 pour les réseaux d’eau et d’assainissement), les collèges (restauration du collège de Foix, construction d’un collège à Mazères), le maintien à domicile des personnes âgées et des personnes en situation de handicap, les enfants en difficulté, les maisons de retraite (agrandissement des maisons de Mirepoix et de Luzenac), le très haut débit, la santé avec le projet de construction de deux hôpitaux, à Lavelanet et à Tarascon…

    De grands chantiers en perspective pour cette année qui débute.

    « C’est une année qui va nécessiter beaucoup d’implications, beaucoup d’interventions (…) les choses sont loin d’être réglées mais je vais demain à la présidence de la République et la semaine prochaine, avec les parlementaires, chez le premier Ministre et j’espère qu’à partir de là les choses se développeront un petit peu, » conclut le Président.

    L’interview complète.

     

  • Olivier de Robert : « Continuons à marcher vers l’avant »

    Olivier de Robert : « Continuons à marcher vers l’avant »

    olivier de robert point de vue sur la'riege et les ariegeois

    « Conter, ce n’est jamais que dire avec lenteur ce qui pourrait être résumé en quelques mots. » Voilà ce que se plait à répéter Olivier de Robert. En 2009, pour azinat, il avait dit cette superbe phrase : « Je porte l’Ariège au cœur et m’en inspire à chaque instant pour faire vivre mes mots. »

    Aujourd’hui pour Azinat.com, il raconte avec cet humour qui le caractérise et son accent qu’on adore, comment lui est venu cette passion du conte, ce que représente pour lui l’Ariège et les ariégeois(e)s et son optimisme pour l’avenir de notre territoire.

    Azinat : « Qui est vraiment Olivier de Robert ? »

    Olivier de Robert : « Je viens d’exil, j’ai vécu loin de l’Ariège pendant près de 20 ans et j’ai développé une mentalité d’exilé, avec un seul but dans la vie revenir en Ariège. Quand j’y suis revenu, à 18 ans, j’ai eu un besoin d’enracinement très fort et je l’ai fait en devenant accompagnateur en montagne. Peut-être parce que c’est plus facile de réfléchir avec ses pieds qu’avec sa tête. En marchant comme ça, dans les refuges pour que les gens reprennent leur souffle, j’ai commencé à raconter des choses et peu à peu c’est devenu une partie importante de ce que je faisais… et puis est arrivé un moment où il n’était plus possible de faire autre chose que ça et je m’y suis consacré complètement… d’où triple identité. L’exil, la montagne et l’Ariège. »

    Azinat : « Ces derniers temps, tu es un peu exilé à l’envers, le Lot, bientôt Metz, la vie de spectacle et de conteur te reprend et te retire de la montagne, comment fais-tu pour gérer ça ? »

    Olivier de Robert : « La 1ère partie de ma vie de conteur c’est quand j’étais encore accompagnateur en montagne, là tu peux pas partir loin. Et puis comme je me suis mis à ne faire que ça j’ai commencé à partir un peu plus loin. Au début la proche région, puis dans tout le monde francophone. J’avais peur de ne pas y trouver ma juste place, parce que je racontais l’Ariège* et il me semblait que ça intéresserait au mieux les ariégeois… mais les histoires sont universelles et elles touchent, par leur essence, absolument tout le monde (…) ça touche de la même façon toutes les oreilles du monde. »

    Azinat : « Pour toi aujourd’hui les ariégeois et ariégeoises, au delà des personnages que tu contes, qui sont-ils comment les perçois-tu ? »

    Olivier de Robert : « Définir l’ariégeois, c’est pas que c’est difficile, c’est que c’est risqué, je suis père de famille, et mourir à mon âge me parait déraisonnable (…) on est un des départements les moins peuplé de France et probablement un des moins riche, et on est en recherche permanente de ce que nous sommes… peut être qu’on est écartelés entre l’ariégeois du XIXè siècle du temps où il y avait tant de monde dans la montagne,  d’une sorte de passé et d’archaïsme rêvé, et d’un rêve d’une Ariège qui, tout d’un coup, se réveillerait moderne. on sait pat trop si on porte encore le béret ou une combinaison de cosmonaute ? »

     Azinat : « Qu’est ce que tu leur souhaites pour l’année à venir en ces temps de crise ? »

    Olivier de Robert : « L’Ariège n’est pas en crise, on est en crise quand on est au sommet de sa courbe et qu’on risque de perdre des choses, mais nous, nous avons pris du retard au démarrage (…) on est en train de monter, on est en progression vers quelque chose, quoi je sais pas (…)  Continuons de marcher vers l’avant, c’est ce que je nous souhaite pour 2013. Et puis se dire que tout va bien… normalement l’année dernière c’était la fin du monde… ça va ! »

    le site officiel d’Olivier de Robert

     

  • Jean-Pierre Bel : « l’Ariège, des femmes et des hommes de courage »

    Jean-Pierre Bel : « l’Ariège, des femmes et des hommes de courage »

    Doit-on encore présenter Jean-Pierre Bel ? Né  à Lavaur  dans le Tarn, Sénateur de l’Ariège depuis 1998, il fut président du groupe socialiste du Sénat de 2004 à 2011, année au cours de laquelle il est élu président du Sénat.

    C’est en 1983 que Jean-Pierre Bel entame son chemin en politique, après avoir été maire de Mijanès. Neuf ans plus tard, en 1992, il est élu conseiller régional de Midi-Pyrénées. En 1997, il est nommé conseiller technique dans le cabinet du ministre des Relations avec le Parlement Daniel Vaillant, et ce jusqu’en 1998, année au cours de laquelle il est élu sénateur de l’Ariège sous l’étiquette socialiste.

    Mais Jean-Pierre Bel n’oublie pas l’Ariège et il la porte dans son coeur. Monsieur le président du Sénat a gentiment accordé une interview à Azinat.com dans laquelle il nous parle de son engagement pour ce territoire qui l’a accueilli et où il à fait ses débuts en politique.

    Azinat : « Jean-Pierre Bel, vous êtes une des personnalité les plus connues de l’Ariège, vous caracolez en tête du « Who’s who » depuis que vous êtes président du Sénat, mais qui est Jean-Pierre Bel »?

    Jean-Pierre Bel : « Quelqu’un qui a fait ses premiers pas en tant que responsable élu en Ariège, et j’ai voulu être digne de la confiance qu’on m’a toujours témoignée du premier jour où j’ai été élu Maire de mon petit village de Mijanès jusqu’à aujourd’hui où je suis président du Sénat. On doit être soucieux à la fois de ce département qui m’a tellement apporté et de s’interroger sur ses convictions (…) je suis toujours soucieux de savoir si je suis dans la bonne ligne de ce qui m’a amené à m’engager en politique (…) S’il fallait que je traduise, je suis quelqu’un qui veut porter sous ses semelles la terre d’Ariège, et qui veut être fidèle à l’idée que je me fais de la république et de mon département ».

    Azinat : « Vous avez été souvent premier, plus jeune sénateur de France, premier Président socialiste du Sénat, premier du « Who’s who » d’Azinat.com… L’Ariège est un des plus petit département de France, que souhaiteriez-vous pour ce département qui essaie de s’en sortir depuis des années ? »

    Jean-Pierre Bel : « L’Ariège n’a pas de complexe à avoir par rapport à sa taille, c’est un département qu’on nous envie beaucoup (…) Ce qui me frappe toujours lorsque je vais à l’étranger, c’est que je rencontre toujours un ariégeois (…) Ce qu’on aime aujourd’hui, ce sont les pays qui sont restés authentiques et naturels (…) quelquefois les ariégeois ont une vision pas suffisamment valorisante de leur territoire et je leur dis vous pouvez être fier (…) Il y a ceux qui sont aujourd’hui dans des situations dramatiques, je connais bien cela puisque le Pays d’Olmes en traverse beaucoup et aussi le Couserans, mais il faut dire que nous avons de la chance d’être ariégeois et de vivre en Ariège. »

    Azinat : « Avez-vous une petite phrase ou une grande phrase pour l’Ariège ? »

    Jean-Pierre Bel : « Les petites phrases ne sont pas à la hauteur de l’Ariège puisque c’est un grand département, mais il y des phrases qui ont marqué historiquement l’Ariège, j’ai été un peu à l’origine d’un slogan qui n’a pas été tout à fait apprécié par les ariégeois mais qui a permis de le faire connaître c’était :  » la terre courage « , car pour moi, l’Ariège c’est des femmes et des hommes de courage. »

  • L’Azinat aux choux de l’Auberge de l’Isard

    L’Azinat aux choux de l’Auberge de l’Isard

    En ce début d’octobre nous nous sommes rendus à Saint Lary, en plein coeur du Couserans, à l’Auberge de l’Isard pour filmer Nicolas et sa recette toute personnelle de l’ azinat aux choux.

    Nicolas vient de Grenoble mais il a adopté l’Ariège et ses traditions culinaires. Il n’a jamais cuisiné d’Azinat donc pas de recette de grand-mère ou d’une gentille arrière-tante, alors il se sert de livre de recettes* et de son talent pour égayer les papilles des clients.

    De l’oseille et de la sauge dans la rouzolle, du jarret de veau, des épices et les légumes de saison… Que les puristes ne crient pas au scandale, nous avons gouté, c’est excellent.

    Dans le cadre des semaines du terroir, vous pourrez encore déguster l’Azinat à l’Auberge de l’Isard jusqu’au 14 octobre et du  17 au 21 octobre le  menu «paloumbayres» (voir l’article)

    * « La cuisine du Comté de Foix et du Couserans » par Christian Bernadac

  • Les Raisins de Pyrène, du nouveau à Mirepoix

    Les Raisins de Pyrène, du nouveau à Mirepoix

    Les Raisins de Pyrène, c’est le nom du « bar à vins » qui ouvrira ses portes le 9 novembre sous les couverts de la place Maréchal Leclerc à Mirepoix. Tout dans ce lieu est dédié au vin, jusqu’au lustre en fer forgé garni de bouteilles, une pièce unique.

    Jeudi 4 octobre, Bernard Garcia, heureux propriétaire des lieux, avait réuni amis, clients, ainsi que les commerçants de Mirepoix pour inaugurer ce nouveau bar.

    Dégustation de vins et de charcuterie, paëlla géante pour une fiesta espagnole avec à l’honneur les danses sévillanes, menées d’un « pas de maître » par Ingrid Martin, présidente de l’APFERA (Association des Parents de Familles Espagnoles Résidentes en Ariège).

    Dans cette « vinothèque« , vous pourrez déguster tous les vins du Piémont pyrénéen, de l’Irouléguy jusqu’au vins de Colioure, et, tous les 09 de mois la présentation d’un vin. Cela commencera le 09 novembre avec la présentation des vins des « Coteaux d’Engravies » présentés par Philippe Babin.

    Bon vent donc au « Raisins de Pyrène ».

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    L’abus d’Alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération

  • Village Expo de l’Ariégeoise, avant la course !

    Village Expo de l’Ariégeoise, avant la course !

    En Préambule à la cyclosportive l’Ariègeoise, le village expo, qui s’est tenu le 29 juin 2012 à Tarascon sur Ariège,  est un « marché » dédié à l’univers du vélo.

    Sur l’Esplanade de la Libération, la veille de la course, c’est tout l’univers du cyclisme qui est représenté. Vélos, casques, lunettes, maillots et dernières nouveautés tout y est. C’est là que se retrouvent tous les passionnés de la « petite reine ».

    On parle vélo, course, résultats… on commente l’Ariégeoise de l’année dernière, on extrapole sur celle de demain et c’est sûr, on fera mieux qu’en 2011.

    Cette année ce sont pas moins de 4150 participants venus de 78 départements et 18 pays, qui ont pris le départ de cette 18ème édition (en 1995 ils étaient 400), et pour faire faire fonctionner cette grosse machine, 650 bénévoles et deux salariés à plein temps travaillent d’arrache pied tout au long de l’année.

    C’est sans doute grâce à ce travaille que l’Ariégeoise fait partie des 5 plus importantes cyclosportives françaises et est répertoriée parmi les 8 plus belles du monde. Une belle vitrine pour notre département.

  • Solstice d’été 2012, une aurore flamboyante.

    Solstice d’été 2012, une aurore flamboyante.

    Jeudi 21 juin, cinq heure du matin, et pas de frisson. Au Pied du Pog de Montségur la température est douce et le ciel est dégagé. Les chocolatines et le café dans le sac à dos, les flambeaux à la main, l’équipe d’Azinat va rejoindre les habitués et les autres au Château de Montségur pour assister à l’événement.

    Il fait nuit mais la lumière nous guide, et au fur et à mesure de l’ascension la clarté apparaît. Les ruines se dessinent petit à petit dans le ciel, plus que quelques mètres et voilà, nous y sommes.

    Encore une fois une foule nombreuse s’est déplacée, certains sont déjà dans le donjon, d’autres au pied du château pour admirer le lever de soleil, et quel levé !

    Pas de bruit, peu de paroles, juste les images. Difficile de décrire le spectacle, il faut monter pour admirer. Pour cela on vous offre les images, et on vous donne rendez-vous l’année prochaine, ne ratez pas ça.

    Photo à la Une : Cire (Merci)

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  • Michel Comte révèle le secret de fabrication du bijou Azinat de A à Z

    Michel Comte révèle le secret de fabrication du bijou Azinat de A à Z

    « C’est un petit coin de verdure où chante une rivière… », voilà les mots qui viennent à l’esprit lorsque l’on arrive à Montjoie en Couserans avec sa vue magnifique sur les Pyrénées.

    C’est là que travaille Michel Comte, artisan joaillier, chez lui et en famille. Cela fait déjà 30 ans que Michel exerce ce métier de passion, il a commencé par une école d’horlogerie, pour suivre les traces de son grand-père, mais très vite il s’aperçoit que dans ce métier peu de place est laissé à la création et c’est pourquoi il se lance dans la bijouterie.

    Après 15 ans de boutique et d’atelier à Saint Girons, Michel se consacre entièrement à la création et à la vente par internet. C’est donc dans son petit atelier de Montjoie en Couserans qu’il peut donner libre cours à sa passion Son dernier site, creer-mon-bijou.fr est le reflet de cette passion, il créé, pour vous le Bijou unique, celui que vous ne trouverez chez personne d’autre, ensuite il « casse le moule »

    Michel Comte est un homme inspiré et passionné par son métier, c’est pourquoi Azinat lui a confié la création et la fabrication de son bijou, et voilà en vidéo le « secret » de fabrication.

    1. Ebauche du dessin
    2. Réalisation en 3D
    3. Le bijou est sculpté dans une cire qui va servir a préparer une fonte à cire perdue.
    4. Le bijou en cire est alors disposé dans un cylindre métallique et enrobé d’un revêtement. L’ensemble est  placé dans un four à haute température pour permettre l’élimination de la cire, on obtient une empreinte négative en plâtre de l’ensemble du bijou.
    5. L’alliage est ensuite chauffé à près de 1000°C. C’est à cette température qu’il est injecté dans le moule en plâtre soit par le procédé de centrifugeuse ou par aspiration. Après refroidissement le plâtre est dissous afin de récupérer les pièces « brutes de coulée ».
    6. Le bijou est ensuite retravaillé manuellement (sciage, émerisage, polissage) pour lui donner son aspect définitif.
    7. Et enfin, l’avivage qui consiste à donner l’ éclat final du bijou. Celui-ci sera ensuite nettoyé et lustré.

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