Catégorie : Villes et villages

  • Aulus les Bains, une station entre sports et détente

    Aulus les Bains, une station entre sports et détente

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    C’est une terre de nature propice aux loisirs, aux sports et à la remise en forme.

    Randonnées, balades en raquettes, ski de fond, ski alpin, ski de randonnée, parc accrobranches, équitation, sports d’eau vive… et enfin remise en forme et espace détente aux thermes.

    Les Thermes d’Aulus-les-bains proposent des cures thermales, des espaces de bien-être et de l’aquadétente.

    Les cures thermales

    Connues depuis l’antiquité, les eaux thermales d’Aulus ont des propriétés thérapeutiques pour traiter la surcharge pondérale, les affections de l’appareil urinaire, le diabète non insulinodépendant de type II, le cholestérol ou encore l’hypertension artérielle.

    Les cures thermales se font sur la période allant de mi-avril à fin octobre. Les patients bénéficient d’une cure de trois semaines avec deux heures de soins tous les matins, à laquelle s’ajoute une cure de boissons. Bien sûr, il s’agit de consommer de l’eau ! L’établissement possède quatre sources différentes, chacune dédiée à une pathologie particulière : Obésité, diabète, cholestérol, appareil urinaire.

    Espace bien-être et aquadétente

    Soins esthétiques, massages, drainage lymphatique, réflexologie plantaire… mais aussi un espace aqualudique comprenant un bassin a 32°C, un jacuzzi, un hammam et des jets massants est ouvert au public durant toute les périodes de vacances scolaires.

    Un nouvel espace a vu le jour il y a quelques temps, dédié aux « traileurs », de la station de trail voisine (www.stationdetrail.com). Il comporte des appareils de cardio-training ( rameur, vélos, vélos elliptiques). Un programme dédié est en cours, permettant aux traileurs après leur course, de pouvoir faire du cardio-training et également de bénéficier d’un modelage décontractant musculaire.

    Plus d’informations :
    thermes-aulus.fr
    www.aulus-les-bains.com

     

  • Sur les routes de l’Ariège : Pailhès

    Sur les routes de l’Ariège : Pailhès

    Pailhes Ariège Pyrénées

     

    La  commune de Pailhès est située dans le massif du Plantaurel sur la Lèze et sur l’ancienne route nationale 628 entre Saint-Jean-de-Verges et Campagne-sur-Arize, elle fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.

    Jusqu’à la Révolution, la baronnie de Pailhès jouait un rôle important dans la région. Avec quelques paroisses voisines, elle formait une enclave du Languedoc dans le Comté de Foix. Avec ses paroisses voisines, Pailhès faisait partie du diocèse épiscopal de Rieux et du diocèse civil de Toulouse.

    Patrimoine

    L’ église paroissiale, la Chapelle romane Saint Blaise, la Chapelle du château de Pailhès…

    Le Château de Pailhès

    chateau de PailhesLe château se situe sur un pli de roches qui libère la Lèze vers la plaine. Posté sur son sommet stratégique, le château dévoile ses différentes facettes, prisme des périodes : base médiévale du XIIe siècle remaniée à la Renaissance, au XVIII e siècle siècle jusqu’à nos jours.

    Après Foix, le château de Pailhès est l’un des plus anciens encore en état. C’est un bel exemple de l’architecture militaire médiévale avec son accès par une porte surmontée d’un assommoir et sa citerne moyenâgeuse au centre de la cour

    Le logis construit au XIVe siècle est flanqué d’une tourelle contenant un escalier en vis en bois. La salle des gardes conserve la trace de graffiti supposé du XVIe siècle et une chambre du château aurait hébergé le futur Henri IV. Il a appartenu aux familles Amiel, de Villemur, puis à partir de 1762, à la famille de Lafage de Pailhès, jusqu’en 2006

    Plus d’info sur :
    www.histariege.com
    fr.wikipedia.org 

  • Station de ski, le Maire de Mijanes répond à la Cour des comptes

    Station de ski, le Maire de Mijanes répond à la Cour des comptes

    1er WE Couleurs d'Automne (62)L’activité hivernale de la station permet tout d’abord de maintenir 5 emplois ; à l’année ; d’accompagner des personnes (7) plus vulnérables, rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières d’ accès à l’ emploi, à travers des contrats uniques d’insertion ou des emplois d’avenir ; de contractualiser huit saisonniers ; et de faire travailler un indépendant.

    Ce sont donc 21 personnes qui travaillent dans cette petite station familiale, un nombre conséquent lorsqu’on le rapporte à la population du canton de Quérigut, qui se situe à 534 habitants au dernier recensement de l’INSEE (2011).

    À cela s’ajoutent tous les emplois indirects, à commencer par les emplois liés au service de restauration au sein même de la station de ski.

    Aussi, et tel que mentionné dans le rapport de la Cour, les retombées économiques indirectes sont loin d’être neutres pour un territoire comme le Donezan. Considérant que pour chaque euro dépensé en remontées mécaniques, 6 € sont dépensés sur le territoire, la station de ski de Mijanès-Donezan est un élément essentiel pour le maintien non seulement des commerces, mais également des services à la population dont dispose le canton (gendarmerie, poste, médecin, école, infirmière, sapeurs- pompiers). De plus, de par ses investissements, la station de ski contribue à faire vivre de nombreuses entreprises locales, qu’elles soient du Donezan, ou d’un peu plus loin en Ariège, dans l’Aude ou les Pyrénées Orientales.

    Il va sans dire, la fermeture de la station de ski aurait un impact extrêmement négatif sur l’économie du canton, et obligerait les quelques commerces, déjà dans une situation économique fragile, à mettre la clé sous la porte. Ce serait sans conteste le cas pour plusieurs gîtes, les hôtels, la supérette – seul magasin d’alimentation du Donezan – et l’unique boulangerie du canton, qui se situe sur la route de la station de ski à Mijanès.

    La fermeture de la station et ses répercussions en ce qui concerne les commerces et services, participeraient sans nul doute à accentuer l’exode rural. De plus, le Donezan, qui compte, toujours selon l’INSEE, près de 75 % de résidences secondaires, verrait son attractivité définitivement et largement diminuée.

    «Je souhaite également préciser que nous avons déjà engagé certaines actions de mutualisation notamment en ce qui a trait à la commercialisation de la station, par exemple, via une présence commune à certains salons de promotion touristique.» précise le Maire de Mijanes.

    Enfin, il souligne que le projet d’extension bloqué en 2011, qui incluait la bascule sur la station d’Ascou-Pailhères, aurait permis d’atteindre les 40 km de pistes, une condition de rentabilité structurelle minimale évoquée dans le rapport. Il se dit prêt à travailler en ce sens, en collaboration avec les différents acteurs territoriaux, afin d’élaborer un projet de territoire structurant et cohérent permettant d’atteindre une meilleure rentabilité économique.

    Aussi, il conclue en affirmant qu’au vu de tous les éléments présentés, la petite subvention de la communauté de communes du Donezan vers la Régie du Donezan, qui gère la station de ski, est amplement justifiée.

    source : Cour des comptes

  • Sur les routes de l’Ariège :  Varilhes

    Sur les routes de l’Ariège : Varilhes

    Sur les routes de l’Ariège :  Varilhes

     

    Le nom de Varilhes viendrait De « vallis » : vallée,« varilla » en espagnol,qui signifie bâton, lance et « Varilhas »  en occitan qui signifie en forme romane

    La première mention certaine de Varilhes figure dans un acte de restitution, faite en 1108, par le comte Roger de Foix à l’abbaye Notre Dame d’Aleth.

    Dès 1108-peut-être dès 1034- existe un château qui lors de la croisade des Albigeois est abandonné et brûlé par ses défenseurs, puis occupé par les troupes de Simon de Montfort en 1211». (J. Baylé « Archéologie du canton de Varilhes, dans BSA 1970-1971)

    Après la croisade des Albigeois, Varilhes devient frontière entre  le comté de Foix et la « Terre du Maréchal » (Guy de Lévis) au Languedoc

    Le château est cité en 1272 dans l’enquête sur les limites du Comté de Foix et est même donné en gage en 1297 par le comte de Foix lors d’une transaction arbitrée par Guy de Lévis… Gaston 1er le choisit comme résidence pour sa femme Jeanne d’Artois par son contrat de mariage de 1301… En 1391, la noblesse se réunit au château de Varilhes pour y prêter hommage.

    1450 : Varilhes est le siège d’une des dix-huit châtellenies du comté comprenant : Crampagna, Escosse, Montaut, Les Rives (Joucla), Rieux de Pelleport, La Terrasse (commune de Saint Jean de Verges), Varilhes, Verniolle

    Henri IV y séjourna du 13 au 18 juin 1584.  Marie de Médicis fit démolir le château (fin 1612-27 janvier 1613) par l’intermédiaire d’Imbernac

    Guy de Montfort, frère de Simon IV de Montfort le meneur de la Croisade des Albigeois, fut tué en assiégeant Varilhes le 31 janvier 1228.

    Sabas Maury curé doyen de Varilhes de 1863 à 1923  et créateur de l’hymne ariégeois « Arièjo ô moun Païs » y est inhumé.

    Sources : Wikipédia et Histariège

     

  • Sur les routes de l’Ariège : Sabarat

    Sur les routes de l’Ariège : Sabarat

    Sur les routes de l’Ariège : Sabarat

    La commune de Sabarat s’étale au nord de la chaîne du Plantaurel. Le bourg se développe de part et d’autre de l’Arize, au niveau d’un méandre de cette rivière venant de traverser le massif calcaire du Plantaurel.

    Sur la rive gauche de l’Arize se trouve le noyau ancien du village ; un noyau plus récent, sur la rive droite, s’est formé autour du carrefour de la D119 avec la D628. Dix sept fermes sont disséminées sur les coteaux environnants.

    Existence d’un dolmen au Peyré. Découvertes en ce lieu de haches polies, de ciseaux, de couteaux polis, de meules, de percuteurs, de burins, de grattoirs. Découverte de «  la cachette du Peyré » contenant boucles, rouelles, tubes en spirale et des objets en bronze indéterminés.

    Le 1er septembre 1625, les habitants incendièrent le village et, à l’approche du Maréchal du Thémines, se réfugièrent au Mas d’Azil. L’église fut détruite (on signale qu’en 1623 se trouvait encore un cloître, en l’emplacement de l’église actuelle). L’église fut reconstruite et la date de 1688 gravée sur le portail marque certainement l’achèvement de la remise en état des lieux. L’église fut dédiée, à ce moment-là, à sainte Anne, elle était auparavant dédiée à sainte Marie.

    Personnalité de la commune 

    L’abbé Pouech, chanoine titulaire de la cathédrale de Pamiers est né à Sabarat en 1814. Auteur de nombreux travaux sur les principaux saints du diocèse, il fut surtout connu comme géologue. Il étudia spécialement les terrains tertiaires de l’Ariège, les poudingues dits de Palassou, auxquels il attribue une origine lacustre ou marine et non glaciaire. Il fut un collaborateur assidu du Bulletin de la société géologique de France. En paléontologie, il se signala par la découverte d’ossements fossiles (hippopotame à Caoué, près du Mas d’Azil, grand saurien à Bédeilhe) et aussi par ses études sur la grotte de Lherm et les dolmens du Mas d’Azil (surtout ceux du Bidot et du Cap Del Pouech).

    Il fut le premier à découvrir les œufs de dinosaures. Il a laissé une collection (ossements, poteries, colliers, monnaies, pistolets du temps de Louis XIII) malheureusement quelquefois en partie perdue et de nombreux écrits non publiés. Aujourd’hui, les restes de ces richesses sont jalousement gardés dans les locaux du collège Jean XXIII à Pamiers. On a pu les voir lors du colloque organisé pour le centenaire de la mort du chanoine les 16 et 17 octobre 1992. Pour ce centenaire, la place du village a été dénommée place du Chanoine-Pouech.

    blason Blason d‘or, à sept sabres de gueules posés en pal et rangés en orle.

     

     

    Voir aussi l’observatoire de Sabarat
    www.observatoire-sabarat.com

  • Sur les routes de l’Ariège : Le Fossat

    Sur les routes de l’Ariège : Le Fossat

    Sur les routes de l’Ariège : Le Fossat Ariège Pyrénées

    Le nom de la commune viendrait du latin « Fossatum » le fossé.

    La commune de Le Fossat faisait partie de l’arrondissement de Pamiers en 1801, puis passe à celui de Foix en 1926 pour enfin revenir dans celui de Pamiers en 1942.

    Quelques dates

    • 1274: octroi d’une charte
    • 1568, assiégé par les Huguenots
    • Le 7 mai 1625, le Fossat est attaqué par 500 huguenots de Mazères qui furent repoussés (Le Fossat appartenait, alors, à la châtellenie du Carla)
    • Le 15 octobre 1801 (23 vendémiaire an X)  est créé le canton du Fossat La commune du Fossat appartenait, auparavant au canton du Carla le Peuple (Carla-Bayle).
    • Au début du XXème siècle, deux instituteurs y exercent pour le bourg et ses hameaux : Pouteau, Raymond les Bois ; Brau ; Michelet
    • Foires : Sous le 1er Empire: 7 février, la veille des Rameaux, 17 mai, 6 août, 26 octobre, 23 décembre
    • La voie Toulouse-Sabarat (ouverte le 1er août 1912) desservait pour la partie ariégeoise: Lézat, Massabrac, Le Fossat, Artigat, Pailhès et Sabarat

    Source : www.histariege.com

     

     

     

     

  • Sur les routes de l’Ariège : Prades

    Sur les routes de l’Ariège : Prades

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    Prades se situe à la limite de l’Aude et de l’Ariège.

    Petit village pyrénéen perché à 1200 mètres d’altitude, Prades accueille avant tout les amoureux de la nature.

    Les marcheurs et les promeneurs, les cyclistes, les skieurs, ceux qui aiment respirer l’air pur et vif des montagnes, ceux qui cherchent le repos et la convivialité dans un site préservé et authentique.

    Les monuments de Prades : la fontaine, l’enceinte fortifiée du « Fort », le puits médiéval restauré, l’église Saint-Pierre, avec sa statue en bois doré d’une Vierge à l’Enfant qui date du xviie siècle

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  • Sur les routes de l’Ariège : la forêt de Belesta

    Sur les routes de l’Ariège : la forêt de Belesta

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    La commune de  Bélesta dans le Pays d’Olmes est célèbre pour sa forêt de sapins et ses nombreuses randonnées (Rieufourcant, Le Trou aux Corbeaux, Pech Audou), ainsi que pour la fontaine intermittente de Fontestorbes, importante résurgence des eaux infiltrées dans le plateau karstique de Sault

    Pendant de longs siècles, les habitants de Bélesta, Fougax et l’Aiguillon avaient ce précieux privilège de s’approvisionner dans la forêt de Bélesta pour leurs usages : chauffage, construction… c’est encore le cas pour les champignons

    Les bois de la forêt de Bélesta servirent sous Colbert (1619 -1683) à la construction des mâts de bateaux dans les chantiers de Toulon. Le transport de bois s’effectuait par voie d’eau à partir de Quillan sur l’Aude.

  • Sur les routes de l’Ariège, première neige Au monts d’Olmes

    Sur les routes de l’Ariège, première neige Au monts d’Olmes


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    La station des Monts d’Olmes figurent parmi les premières stations de ski des Pyrénées naturellement enneigées. Au cœur du massif de Tabe (2368 m), la station veille sur ses trois vallées nourricières, l’Hers, le Touyre et le Douctouyre et offre des panoramas grandioses sur la chaîne des Pyrénées et sur la plaine toulousaine proche.

    Le domaine skiable s’étend sur plus de 350 hectares et convient, grâce à sa diversité, à tous les skieurs. Entraînés vers les sommets en moins de 5 minutes, faces à des panoramas grandioses.

    Ici la première neige tombée il y a quelques jours.

    La station ouvre ce week-end avec le début des vacances, on leur souhaite une excellente saison !

  • Sur les routes de l’Ariège : RN 20 Perles et Castelet

    Sur les routes de l’Ariège : RN 20 Perles et Castelet

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    Les habitants sont appelés les Perlois et les Perloises. Entouré par les communes de Tignac, Savignac-les-Ormeaux et Caussou, Vaychis est situé à 2 km au sud-est de Perles-et-Castelet la plus grande ville à proximité.

    Situé à 880 mètres d’altitude, le Ruisseau de Lègnes, le Ruisseau de Guissou, le Ruisseau Linats sont les principaux cours d’eau qui traversent la commune de Vaychis.

    La commune est proche du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.

     

  • Sur les routes de l’Ariège : la RD 119 commune de Les Issards

    Sur les routes de l’Ariège : la RD 119 commune de Les Issards

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    La commune se situe dans la basse Ariège, à 11km de Pamiers et autant de Mirepoix.Traversée par la RD 119, elle s’étend sur 381 hectares. Altitude 270 à 383m. 255 habitants. Le village s’est formé sur une butte autour de l’église. L’agglomération se développe actuellement sur sa partie basse, formant un seul bloc jusqu’a la RD 119. « Eissard » en occitan : terre récemment défrichée. Nom des habitants : Issardens et Issardennes

    L’ église paroissiale Sainte-Colombe

    L’édifice est situé sur un emplacement légèrement surélevé par rapport au village. Il est mentionné dès 1375. Les deux baies à couvrement en arc plein cintre des élévations nord et sud de la nef datent sans doute de cette période. L’église a été fortement modifiée au cours du 19e siècle. En 1844, Ferdinand de Coma, architecte diocésain, compte tenu de l’accroissement de la population et de la nécessité d’agrandir l’édifice, fait démolir les couverts et partiellement les murs

    Travaux de réaménagements

    En 2012 l’aménagement du carrefour « tourne à gauche » a permis d’améliorer la sécurité des usagers, augmenter la perception du carrefour, améliorer la visibilité des véhicules entrant sur la RD 119 et bien entendu, celle des riverains.

    Il passe en effet 10 000 véhicules par jour sur cette route dont environ 500 poids lourds.

     

  • La ville de Lavelanet veut se réinventer un futur

    La ville de Lavelanet veut se réinventer un futur

    http://mairie-lavelanet.fr

    Pourtant il s’agit aujourd’hui de relever le défi et de mobiliser toutes les énergies pour rechercher des pistes d’avenir, définir une stratégie de reconquête qui s’appuie sur les ressources et les richesses de la ville et de ses habitants.

    La Mairie et son maire Marc Sanchez souhaitent relancer l’initiative et se fixer un objectif ambitieux.

    L’immobilisme engendre potentiellement deux risques majeurs :

    – soit de sombrer dans le pessimisme, de se replier face aux difficultés indiscutables, renoncer à chercher des solutions,
    – soit de s’installer dans un optimisme béat en refusant de s’interroger sur les causes profondes de nos difficultés que l’on ne peut seulement imputer à l’environnement extérieur.

    Pour éviter ces deux écueils la Mairie propose de débattre largement en essayant de conserver une ambition forte pour la ville tout en restant réalistes sur les conditions pour y parvenir.

    Mobiliser les habitants pour envisager l’avenir

    C’est la raison pour laquelle la municipalité a souhaité engager une mobilisation de tous les habitants, acteurs économiques, institutions, associations pour qu’à partir d’une concertation élargie et sans a priori les réflexions collectives sur  un projet de territoire ambitieux et qui donne du sens à la communauté des acteurs locaux et de habitants.

    Différentes initiatives sont d’ores et déjà engagées :
    – Une étude de reconquête du centre ville a été confiée à une équipe pluridisciplinaire d’urbanistes conduite par le cabinet AARP avec Architecture et paysage, 2DKS, Solidarité Villes. Ils présenteront prochainement leur diagnostic et leurs propositions.
    – La commune a posé sa candidature à un appel à projet national (AMI) visant à renforcer ses moyens financiers pour mener à bien des opérations de restructuration urbaine du centre bourg.
    – Le projet du nouvel hôpital est toujours dans les cartons et représente un grand espoir de contribuer à soutenir l’emploi et l’attractivité de la commune et du Pays d’Olmes.

    Le Maire et le conseil municipal invitent tous les habitants à venir débattre les 26 et 27 novembre dans un exercice d’intelligence collective pour réfléchir ensemble aux axes principaux d’un véritable projet de développement durable qui donne une nouvelle impulsion au territoire.

    Plus d’infos sur http://mairie-lavelanet.fr

    Crédits photo : Azinat.com Juillet 2008.