 Pierre Bertrand est né le 17 août 1949 dans les Hautes Pyrénées, à Lourdes.  Dix ans plus tard, il se glisse dans les bagages de ses parents qui avec ses deux frères quittent ses Pyrénées natales pour la Ville Rose. Après des études secondaires chez les jésuites du Caousou, il intègre les Beaux Arts de Toulouse.   Il s’installe comme décorateur-créateur d’architecture intérieure-designer, activité qu’il exercera pendant douze ans.  Ne résistant plus à l’appel des cimes, il s’établit en Ariège. Après cinq ans à Ax les Thermes, il découvre le tourisme comme gérant de crêperie le temps d’une saison d’hiver. Dans la foulée, il crée avec un ami l’Office de la Montagne de la Haute Vallée de l’Ariège qui a pour but de faire découvrir la montagne ariégeoise, son milieu naturel, humain et culturel, à travers la randonnée en montagne.    Pendant cinq ans, au fil des saisons, il exerce deux métiers : accompagnateur en montagne et perchman à la station de Bonascre. « Je vivais en montagne, je vivais la montagne, j’étais le plus heureux des hommes. Mais les fins de mois étaient difficiles ».  C’est alors qu’il accepte une place de chargé de mission montagne au Syndicat Mixte Contrat Station Vallée Haute Ariège (topoguides, schéma de développement de la randonnée, création de refuges gardés, d’accueil de stations…)  Quatre ans plus tard, on lui confie la direction du Syndicat Mixte de Développement des Vallées d’Ax.   En 1998, les élus des vallées d’Ax préparent la mutation du Syndicat Mixte en communauté de communes. Parallèlement, ils créent un office de tourisme territorial. Spécialiste du tourisme de montagne, c’est tout naturellement qu’il devient, directeur de l’office de tourisme de pays de vallées d’Ax.
Pierre Bertrand est né le 17 août 1949 dans les Hautes Pyrénées, à Lourdes.  Dix ans plus tard, il se glisse dans les bagages de ses parents qui avec ses deux frères quittent ses Pyrénées natales pour la Ville Rose. Après des études secondaires chez les jésuites du Caousou, il intègre les Beaux Arts de Toulouse.   Il s’installe comme décorateur-créateur d’architecture intérieure-designer, activité qu’il exercera pendant douze ans.  Ne résistant plus à l’appel des cimes, il s’établit en Ariège. Après cinq ans à Ax les Thermes, il découvre le tourisme comme gérant de crêperie le temps d’une saison d’hiver. Dans la foulée, il crée avec un ami l’Office de la Montagne de la Haute Vallée de l’Ariège qui a pour but de faire découvrir la montagne ariégeoise, son milieu naturel, humain et culturel, à travers la randonnée en montagne.    Pendant cinq ans, au fil des saisons, il exerce deux métiers : accompagnateur en montagne et perchman à la station de Bonascre. « Je vivais en montagne, je vivais la montagne, j’étais le plus heureux des hommes. Mais les fins de mois étaient difficiles ».  C’est alors qu’il accepte une place de chargé de mission montagne au Syndicat Mixte Contrat Station Vallée Haute Ariège (topoguides, schéma de développement de la randonnée, création de refuges gardés, d’accueil de stations…)  Quatre ans plus tard, on lui confie la direction du Syndicat Mixte de Développement des Vallées d’Ax.   En 1998, les élus des vallées d’Ax préparent la mutation du Syndicat Mixte en communauté de communes. Parallèlement, ils créent un office de tourisme territorial. Spécialiste du tourisme de montagne, c’est tout naturellement qu’il devient, directeur de l’office de tourisme de pays de vallées d’Ax.
« L’Ariège, c’est un morceau de Pyrénées. Le morceau le plus discret, le plus secret, le plus vrai. Un morceau, imprégné du caractère de ses hommes depuis l’aube des temps. Un morceau de nature sublime dominé par la beauté de sa montagne. » Pierre Bertrand – Septembre 2009 pour Azinat.com
 On peut naître à Paris et sentir l’Ariège vous couler dans les veines. Olivier de Robert a connu ce déboire de départ, mais a choisi dès qu’il a pu la terre de ses ancêtres, gentilshommes verriers de Gabre, en s’installant dans les montagnes sauratoises. Accompagnateur en montagne, féru d’histoire médiévale, il s’est découvert conteur au hasard de la vie. Depuis il promène sa besace à histoires partout en France et dans le monde francophone. Contes traditionnels, créations, récits historiques : l’homme a de multiples facettes et devient un nom qui… compte sur la scène régionale !
On peut naître à Paris et sentir l’Ariège vous couler dans les veines. Olivier de Robert a connu ce déboire de départ, mais a choisi dès qu’il a pu la terre de ses ancêtres, gentilshommes verriers de Gabre, en s’installant dans les montagnes sauratoises. Accompagnateur en montagne, féru d’histoire médiévale, il s’est découvert conteur au hasard de la vie. Depuis il promène sa besace à histoires partout en France et dans le monde francophone. Contes traditionnels, créations, récits historiques : l’homme a de multiples facettes et devient un nom qui… compte sur la scène régionale !
 Didier KUSS  a 45 ans, né le 23 mai 1964 à METZ ( Lorraine ) dans une famille ( papa chef d’entreprise et maman institutrice, retraités tous les deux ) et titulaire d’une Maîtrise de Sciences de Gestion option finances à l’IAE de METZ puis un DEA de Gestion des Systèmes Industriel à l’INPL à Nancy ( 1990 ). Il intègre ensuite SODIE la société de reconversion du Groupe sidérurgique USINOR en commençant avec une mission d’un an dans une lorraine touchée par les fermetures massives d’unités sidérurgiques ( Thionville – Longwy ), quelques temps après, il  prend la direction de Paris, au siège de SODIE à la Défense, de la prospection nationale et internationale ( 1995 – 1998 ) avec pour mission de faire choisir la France à des investissements étranger. Il arrive en Ariège en mai 1998 où il est pendant 2 ans le chef de mission de la convention qui lie le Conseil Général, l’Etat et le groupe Péchiney pour la création d’emplois en Ariège et en charge du développement commercial pour le Sud – Ouest. Et il succède à Michel Delau à la Direction d’Ariège Expansion en juin 2000, poste qu’il assume depuis cette date.
Didier KUSS  a 45 ans, né le 23 mai 1964 à METZ ( Lorraine ) dans une famille ( papa chef d’entreprise et maman institutrice, retraités tous les deux ) et titulaire d’une Maîtrise de Sciences de Gestion option finances à l’IAE de METZ puis un DEA de Gestion des Systèmes Industriel à l’INPL à Nancy ( 1990 ). Il intègre ensuite SODIE la société de reconversion du Groupe sidérurgique USINOR en commençant avec une mission d’un an dans une lorraine touchée par les fermetures massives d’unités sidérurgiques ( Thionville – Longwy ), quelques temps après, il  prend la direction de Paris, au siège de SODIE à la Défense, de la prospection nationale et internationale ( 1995 – 1998 ) avec pour mission de faire choisir la France à des investissements étranger. Il arrive en Ariège en mai 1998 où il est pendant 2 ans le chef de mission de la convention qui lie le Conseil Général, l’Etat et le groupe Péchiney pour la création d’emplois en Ariège et en charge du développement commercial pour le Sud – Ouest. Et il succède à Michel Delau à la Direction d’Ariège Expansion en juin 2000, poste qu’il assume depuis cette date. Claudius de Cap Blanc est né trois ans après la moitié du XXe siècle, l’année même où Staline faisait à l’humanité l’honneur de se retirer de la scène terrestre. Preuve qu’un important tournant s’amorçait dans l’histoire, et qu’une telle année ne pouvait qu’augurer un grand cru.
Claudius de Cap Blanc est né trois ans après la moitié du XXe siècle, l’année même où Staline faisait à l’humanité l’honneur de se retirer de la scène terrestre. Preuve qu’un important tournant s’amorçait dans l’histoire, et qu’une telle année ne pouvait qu’augurer un grand cru. Née à Paris, en 1968, d’origine ariégeoise, plus exactement de la vallée de la Barguillère où elle revient pour s’asseoir sur les bancs de l’école élémentaire de Ganac. La classe unique,le poêle crachouillant, la plume Sergent Major.  Puis collège et lycée à Foix.   Une jeunesse classique des 80 ». Le ski à « Bonascre », les châtaignes, les tustets, « l’Invaders »  le bac révisé « chez Roumieu ». Mais des étés en mer, dans les ports de la Méditérrannée occidentale.  A Toulouse ensuite un BTS commerce international au lycée Ozenne, et une licence d’Histoire au Mirail « parce que rien ne remplace la culture universitaire ».   Et puis la presse, très jeune. Si jeune que pour tous, elle est juste « Cécile ».  La Gazette Ariégeoise, fondée par Pierre Farré en 1944, est rachetée par son père Jean-Félix Dupont, routeur de presse parisien et imprimeur. Ils travaillent côte à côte jusqu’en 1996, date à laquelle elle poursuit seule le développement du titre.
Née à Paris, en 1968, d’origine ariégeoise, plus exactement de la vallée de la Barguillère où elle revient pour s’asseoir sur les bancs de l’école élémentaire de Ganac. La classe unique,le poêle crachouillant, la plume Sergent Major.  Puis collège et lycée à Foix.   Une jeunesse classique des 80 ». Le ski à « Bonascre », les châtaignes, les tustets, « l’Invaders »  le bac révisé « chez Roumieu ». Mais des étés en mer, dans les ports de la Méditérrannée occidentale.  A Toulouse ensuite un BTS commerce international au lycée Ozenne, et une licence d’Histoire au Mirail « parce que rien ne remplace la culture universitaire ».   Et puis la presse, très jeune. Si jeune que pour tous, elle est juste « Cécile ».  La Gazette Ariégeoise, fondée par Pierre Farré en 1944, est rachetée par son père Jean-Félix Dupont, routeur de presse parisien et imprimeur. Ils travaillent côte à côte jusqu’en 1996, date à laquelle elle poursuit seule le développement du titre. Henri Nayrou est né le 21 novembre 1944 à Suc-et-Sentenac dans la haute vallée de Vicdessos où il a passé les 11 premières années de sa vie. Né montagnard, il est resté montagnard dans l’âme, viscéralement attaché à l’Ariège. Rugbyman par passion, journaliste par vocation, il a voyagé dans le monde entier pour le journal Midi Olympique dont il a été le rédacteur en chef et le directeur jusqu’en 1997. Dès 1983, il a été élu municipal à La Bastide de Sérou ( 1ier adjoint puis maire ) et conseiller général du Séronais jusqu’en 1998 et ensuite du canton de St Girons.
Henri Nayrou est né le 21 novembre 1944 à Suc-et-Sentenac dans la haute vallée de Vicdessos où il a passé les 11 premières années de sa vie. Né montagnard, il est resté montagnard dans l’âme, viscéralement attaché à l’Ariège. Rugbyman par passion, journaliste par vocation, il a voyagé dans le monde entier pour le journal Midi Olympique dont il a été le rédacteur en chef et le directeur jusqu’en 1997. Dès 1983, il a été élu municipal à La Bastide de Sérou ( 1ier adjoint puis maire ) et conseiller général du Séronais jusqu’en 1998 et ensuite du canton de St Girons. Il a un coeur “gros comme ça”, un parlé franc et il s’est investit dans la vie locale dans la commune de Lavelanet depuis une dizaine d’années, notamment en faveur des jeunes. Originaire du Maroc, il l’est aussi de l’Ariège (Pays d’Olmes) et son coeur balance entre les deux rives de la Méditerranée. A 30 ans il entame un deuxième mandat en tant que conseiller municipal aux côtés de Marc Sanchez le nouveau maire qui a succédé à Jean-Pierre Bel Sénateur de l’Ariège auprès de qui Kamel a longuement travaillé. Il envisage un parcours politique au delà du département pour faire “bouger” les choses notamment dans les banlieues.
Il a un coeur “gros comme ça”, un parlé franc et il s’est investit dans la vie locale dans la commune de Lavelanet depuis une dizaine d’années, notamment en faveur des jeunes. Originaire du Maroc, il l’est aussi de l’Ariège (Pays d’Olmes) et son coeur balance entre les deux rives de la Méditerranée. A 30 ans il entame un deuxième mandat en tant que conseiller municipal aux côtés de Marc Sanchez le nouveau maire qui a succédé à Jean-Pierre Bel Sénateur de l’Ariège auprès de qui Kamel a longuement travaillé. Il envisage un parcours politique au delà du département pour faire “bouger” les choses notamment dans les banlieues.





