Catégorie : z-newsletter

  • Perrine Laffont candidate à la primaire…de la coupe du monde

    Perrine Laffont candidate à la primaire…de la coupe du monde

    azinat_132_perrinelafont2

    Cire est de retour après quelques semaines d’absence et il est en forme.

    Comme notre «bosseuse» ariégeoise qui  arrive sur la première épreuve de Coupe du monde «très sereine, calme, confiante, en forme physiquement et psychologiquement

    «Ensemble, plus loin, plus haut» écrit notre dessinateur, cela ressemble à un slogan de campagne électorale sauf que celui là, on le croit.

    Vive Perrine, vive le ski de bosses, vive la coupe du monde et bien sûr vive l’Ariège !!!!

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

     

  • L’histoire du textile en Pays d’Olmes avec Sylvette Saboy

    L’histoire du textile en Pays d’Olmes avec Sylvette Saboy

    Sylvette Saboy nous conte l’histoire du textile, une industrie artisanale qui est née à Lavelanet au moyen âge au bord de la rivière  puisque les machine fonctionnaient grâce à la force hydraulique. 

    C’est à partir de la révolution que l’activité textile s’est ouverte vers l’Aude avec des commanditaires de Carcassonne et des manufactures Royale. 

    c’est l’arrivé d’un audois, Jean Pascal Dumons avec un métier mécanique pour faire la filature qui entrainera petit à petit la disparition de la filature au rouet.

    Dans les années 1880, les métiers en bois qui servaient au tissage se sont transformés en métiers en fonte qui permettaient plus de rendement. A cette époque, de la filature à l’apprêt en passant par le tissage, le territoire est un territoire de laine : De la laine des moutons locaux puis de la laine d’importation. La région devint ainsi une région de cardé.

    Avec la guerre de 1914, le territoire voit arriver des espagnols pour remplacer les hommes partis au front, quelques réfugiés belges arriveront dans les années 20.

    C’est la deuxième guerre mondiale qui va arrêter peu à peu l’activité en raison du manque de matière première. Au sortir de la guerre, le Pays d’Olmes va se développer grâce à «l’effiloché», c’est à dire la récupération de tricots et de chiffons qui permettait de fabriquer une «matière première». C’est dans les années 50 que l’effilochage a relancé l’industrie textile. 

    Jusqu’en 1973, le Pays d’Olmes était le premier centre de cardé de France.

    Le choc pétrolier amène un renchérissement des fibres synthétiques et à partir de là une grosse concurrence. Viendront ensuite les gros industriels dont les entreprises Roudière, Michel Thierry et la petite entreprise familiale la Sotap Carol.

    Avec les années 90 commencera le déclin d’une industrie florissante qui laisse un grand souvenir mais qui malheureusement, au vu du peu d’entreprises qui restent sur la place, risque de faire perdre tout le savoir faire d’un territoire.

  • Interdiction d’écobuage en Ariège du 10 au 18 décembre 2016

    Interdiction d’écobuage en Ariège du 10 au 18 décembre 2016

    Compte tenu de l’augmentation notable du nombre de départs de feux ces derniers jours, dans le département de l’Ariège, et d’un fort déficit de précipitations ces derniers mois, favorisant le développement d’incendies dans les forêts, landes, maquis et garrigues, la préfète de l’Ariège a décidé de prolonger, par arrêté préfectoral signé ce jour, les dates d’interdiction d’écobuage

    L’incinération des végétaux coupés et des végétaux sur pied (écobuage) interdite pour la période du 10 décembre 2016 au 12 décembre 2016 a été prolongée jusqu’au 18 décembre dans le département de l’Ariège.

    Source : Préfecture de l’Ariège

    Mise à jour le 12/12/16

  • Pollution aux particules, l’Ariège n’est pas épargnée

    Pollution aux particules, l’Ariège n’est pas épargnée

    L’Ariège habituellement protégée par les pollutions aux particules fines et même classée parmi les départements ayant l’air le plus pur de France, a été atteinte ce jour par cette pollutions. En cause, l’inversion de température qui empêche un « nettoyage » de l’air ambiant qui reste stocké dans la basses couches de l’atmosphère.

    prevair-france-0812Certes les niveaux sont bien moins élevés qu’en Ile-de-France ou Rhône-Alpes, mais chacun a pu peut-être constater un léger mal de tête, la gorge qui pique ou qui gratte…peut-être autre chose que la vague de rhino-pharyngite qui touche notre département.
     
    L’épisode de pollution aux particules fines d’ampleur nationale commencé la semaine dernière se poursuit, affectant toujours plusieurs régions de France métropole.

    Aujourd’hui Jeudi 8 décembre, des concentrations en PM10 élevées à très élevées ont affecté l’Ile-de-France, les Hauts-de-France, le Grand-Est, Auvergne-Rhône-Alpes, ainsi que Bourgogne-Franche-Comté et la Normandie. Des dépassements du seuil d’information et recommandation ont été constaté sur ces régions, voire localement aussi des dépassements du seuil d’alerte.

    La situation demeure préoccupante pour les jours à venir avec des niveaux de pollution aux particules fines qui restent soutenus et de nouveaux dépassements du seuil d’information, voire du seuil d’alerte, sur une grande moitié Est du Pays, en particulier l’Ile-de-France, les Hauts-de-France, et Auvergne-Rhône-Alpes.

    Les conditions météorologiques expliquent en grande partie cette évolution, avec des températures basses, une situation anticyclonique stable et des vents faibles sur l’Est du Pays. ecobuage-fourcat-81216Cette situation est propice à l’augmentation des émissions locales induites par le chauffage et limite les processus de dispersion atmosphérique des polluants émis par les sources urbaines (chauffage, trafic routier) et industrielles.
    Anomalie à ajouter sur la partie orientale du département, une épaisse fumée qui a voilé le soleil en milieu d’après-midi : en cause un feu d’écobuage qui a mal été maîtrisé sur le Mont Fourcat

    Source : d’après analyse et prévisions PREV’AIR le 8 décembre 2016

  • Trophées Adour-Garonne, les ariégeois peuvent concourir dès à présent

    Trophées Adour-Garonne, les ariégeois peuvent concourir dès à présent

    L’agence de l’eau Adour-Garonne lance la 7ème édition des Trophées de l’eau. Elle invite tous les habitants du bassin Adour-Garonne à libérer leur imagination sur le thème de « l’aquacitoyenneté ». Les candidats peuvent s’exprimer dans 4 disciplines : bande dessinée, affiche, vidéo ou article. Une bonne partie de l’Ariège peut y participer

    Deux ans après la dernière édition qui a vu concourir plus de 200 participants, les amateurs et professionnels, jeunes et adultes, sont à nouveau sollicités pour promouvoir le respect de l’eau et des milieux aquatiques.
    Organisé à travers tout le bassin Adour-Garonne*, le concours porte sur la création d’une œuvre artistique qui interpelle, transmette un message et mobilise le public autour de la protection de l’eau.

    Martin Malvy, Président du Comité de Bassin Adour-Garonne, se félicite du choix de la thématique du concours : « les Trophées de l’eau Adour-Garonne sont une occasion de mobiliser largement la population pour sensibiliser à l’avenir et à la préservation de la ressource en eau. « Tous aquacitoyens ! » est un appel, un slogan qui pousse à l’action, c’est-à-dire à porter et à relayer la cause de l’eau ».

    Les esprits créatifs ont le choix entre une bande dessinée (maximum 2 planches), une affiche (publicité ou campagne avec visuel et slogan), un vidéo/clip d’une minute ou un article de deux pages (écrit journalistique, reportage, interview, fictif ou réel). Chaque candidat s’inscrit dans la catégorie « amateurs », « professionnels et semi-professionnels » ou « jeunes » (primaire, collège, lycée).

    Les lauréats recevront une récompense de 1200 euros lors de la remise des prix en juin 2017. Pour inciter le jeune public à participer, le second lauréat de cette catégorie sera également gratifié d’une somme de 500 euros. Les œuvres primées seront promues et diffusées à travers différentes communications de l’agence de l’eau Adour-Garonne.

    Les candidats ont jusqu’au 15 mars 2017 pour déposer leur candidature sur le site www.tropheesdeleau2017.fr

    * Pour participer, il suffit de résider dans l’une des communes du bassin Adour-Garonne, notamment en Midi-Pyrénées, Aquitaine, une partie du Limousin et du Poitou-Charentes : renseignements sur les modalités d’inscription sur le site tropheesdeleau2017.fr

  • 1,5 million d’euros de plus pour 24 communes du PNR des Pyrénées Ariégeoises

    1,5 million d’euros de plus pour 24 communes du PNR des Pyrénées Ariégeoises

    Aujourd’hui, en présence de Ségolène Royal ministre de l’environnement, Frédérique Massat député de l’Ariège et Kamel Chibli Conseiller régional d’Occitanie, André Rouch président du PNR des Pyrénées Ariégeoise comme 92 autres porteurs de projet en France, signait une convention de territoires à énergie positive. C’est une aide conséquente supplémentaire de 1,5 million d’euros à destination d’une grande partie du département de l’Ariege qui sera ainsi attribuée. 

    Les Territoires à énergie positive sont désormais 422 en France ! Ils représentent plus de 1 500 communes qui bénéficient du soutien financier sans précédent grâce au Fonds de transition énergétique qui mobilise 750 millions d’euros en trois ans.

    • Des milliers de chantiers sont en cours dans toute la France. Ils permettent notamment :
      éviter 730 000 tonnes de CO2 par an,
    • d’alimenter 1,3 million de foyers supplémentaires en énergies renouvelables (800 projets éoliens, 3 500 000 m2 de panneaux photovoltaïque),
    • rénover plus de 700 bâtiments publics et 65 000 logements, déployer plus 5 000 bornes de recharge électrique.

    C’est donc mardi 6 décembre que 93 nouvelles conventions « Territoire à énergie positive pour la croissance verte » ont été signée par la Ministre dont le Parc Naturel régional des Pyrénées Ariégeoises.

     

     

  • Lavelanet se dote d’une Web TV pour renforcer son image de dynamisme

    Lavelanet se dote d’une Web TV pour renforcer son image de dynamisme

    Ce jeudi 1er décembre 2016, la Ville de Lavelanet inaugure officiellement le lancement de la chaîne Lavelanet T’y Vis, une Chaîne TV 100% Lavelanétienne, sur le site de partage de vidéos YouTube…

    Le Service communication de la mairie et l’équipe Woomeet travaillent depuis quelques semaines sur différents films promotionnels pour la ville de Lavelanet en Ariège. Objectif : donner une vision « dynamique » de cette ville en plein changement. À la clé : la mise en place d’une chaîne YouTube pour la ville afin d’animer la communauté des gens de Lavelanet et renforcer image et démocratie participative. Car Lavelanet bouge, se transforme et met en place de grands chantiers au travers des dispositifs : AMI centre-bourg, TEPcv et Contrat de territoire. Un challenge pour les élus et Lavelanétiens, mettre en lumière Lavelanet 2050, une ville au carrefour de sites d’exception.

    On le sait, le concept Web-Tv répond à la formidable demande de contenus vidéo dans tous les secteurs. Une opportunité que les élus Lavelanétiens ne pouvaient ignorer, car il ne s’agit plus aujourd’hui seulement d’informer sur l’action des élus ou les projets de la collectivité, mais bien d’incarner les politiques publiques en déroulant le récit du territoire, en mettant en scène les acteurs sociaux économiques et les citoyens, « car ce sont eux qui font Lavelanet ». Lavelanet TV donne la parole à ceux que l’on n’entend pas et traite de sujets que l’on ne trouve pas ailleurs.

    Le devenir de sa ville et du Pays d’Olmes chevillé au corps, Marc Sanchez s’est adjoint les services de l’équipe WOOMEET spécialisée dans les nouveaux Médias de l’Internet afin de changer une image trop souvent négative et ne prenant pas en compte le ressenti de ses habitants. Pour le 1er édile de Lavelanet, « Lavelanet TV vient compléter l’information diffusée sur nos autres supports de communication traditionnels et redonne ses lettres de noblesse au centre-bourg du Pays d’Olmes. »
    Le concept est simple… Parler de Lavelanet, du Pays d’Olmes, de celles et ceux qui y vivent…

    Vous y découvrirez des personnages attachants, des personnes passionnantes, des interventions insolites, mais aussi des surprises… Allez à la rencontre des résidents, découvrir les savoir-faire, la vie associative culturelle, sportive… Rencontrer les artisans, commerçants, professions libérales… Enfin tout ce qui fait notre patrimoine, la richesse de Lavelanet et du Pays d’Olmes.

    Voir la chaine : www.youtube.com

  • Les Taillous de la Cantine à la saucisse de foie, avec Laétitia Bicheyre

    Les Taillous de la Cantine à la saucisse de foie, avec Laétitia Bicheyre

    Plat typiquement ariégeois, les taillous sont le nom donné aux dés de pommes de terre cuites à l’eau et qui se dégustent en salade accompagnés d’œoeufs sur le plat et de jambon grillé.

    C’est un plat que l’on consomme de préférence de mars à septembre mais il n’est pas rare de le voir dans nos assiettes le reste de l’année. En été on peut y ajouter des tomates lorsqu’elles abondent dans nos jardins ou sur le marché.

    Cuisiner des taillous, c’est simple, facile à réaliser à partir de produits fermiers que vous pourrez trouver sur les marchés ariégeois ou chez un producteur près de chez vous.

    Laéticia Bicheyre, chef du restaurant «La Cantine» à Foix, nous concocte des Taillous à la saucisse de foie de Foix

    Voir la recette traditionnelle

    La Cantine – 19 Rue des Marchands – 09000 Foix
    05 61 03 65 11
    www.facebook.com/La-Cantine-cuisine-dHier-et-dAujourdhui

     

  • Le SLBB, un club historique à Lavelanet

    Le SLBB, un club historique à Lavelanet

    S’il est un club historique à Lavelanet, c’est bien le Stade Lavelanétien de Basket Ball, le SLBB. André Cassan l’actuel président nous raconte les débuts du club, et les projets. 

    Tout a commencé en 1938 : Les ouvriers, avant de rentrer à L’usine, s’amusaient à lancer des pelotes de tissus dans un cerceau accroché à des poteaux. Un cadre de l’usine qui connaissait le basket, a commencé les initier à la pratique du jeu. C’est ainsi qu’est né, en 1938, le premier terrain de basket de Lavelanet, derrière les usines Dumons ; Un terrain rudimentaire sur de la terre battue avec des poteaux de fortune. 

    C’est en 1942 que le club prend son autonomie et devient le «Stade Lavelanétien de Basket Ball» avec un fait assez insolite dans le département, c’est le seul club qui accueille, à cette époque, une équipe de séniors féminine et des jeunes.

    En 1980, les dirigeants de l’époque, créent une école de basket ouverte à tous les enfants de 5 à 18 ans. Cette école eut immédiatement un gros succès auprès de la jeunesse lavelanétienne avec un nombre important d’équipes créées.

    Il y a deux, Anthony Juan à rejoint le club comme entraîneur en contrat «Emploi Avenir». 

    Fort des 140 licenciés, l’objectif principal du club est avant tout d’accueillir tous les publics, de faire jouer tout le monde et bien sûr un objectif éducatif qui est de transmettre, à travers le sport, des valeurs de citoyenneté, de respect.

    En Juin 2017, le SLBB fêtera ses 75 ans, une grande journée festive est d’ores et déjà prévue. On en reparlera évidemment.

     

     

  • 10 flashs dans les sables mouvants, Chroniques d’Olivier de Robert

    10 flashs dans les sables mouvants, Chroniques d’Olivier de Robert

    Je l’ai fait… Le stage de récupération de points, je l’ai fait ! Un truc à te ramener à l’histoire du curé dans les sables mouvants…

  • Lavelanet-Pays d’Olmes, porte d’entrée des Monts-d’Olmes

    Lavelanet-Pays d’Olmes, porte d’entrée des Monts-d’Olmes

    Monts d’Olmes : la station s’installe durablement à Lavelanet et sur le territoire 

    Comme une « équipe de rugby », SAVA SEM, mairie de Lavelanet et CCPO s’inscrivent dans un partenariat de longue durée avec pour objectif de créer une porte d’entrée en plaine pour la station des Monts d’Olmes. Ce samedi 10 décembre, place aux sensations fortes avec le tremplin des MDO installé en centre-bourg…

    Lavelanet – Pays d’Olmes : porte d’entrée de la station

    Si la station des Monts d’Olmes cherchait « un nouveau souffle », elle l’a trouvé en la personne de Jean-Claude (Joan) Montané directeur. « Surpris par le manque de connaissance sur la station des gens d’ici », le directeur veut élargir le partenariat mis en place avec la commune de Lavelanet, une ville au carrefour des 4 M. Une porte d’entrée, tout comme le Pays d’Olmes vers la station. L’idée étant de fédérer habitants, entreprises, commerçants et artisans autour de « leur station ». Le marché de Noël sera « le coup d’envoi » d’une campagne visant à réinstaller la station en plaine au travers de signalétiques, opérations en direction de la jeunesse, vente de remontées dans les commerces, installation de décorations sur les ronds-points du centre-bourg, etc…  Jean-Claude Montané et Cyril Bardin (directeur marketing communication de la SAVA SEM) l’affirment, «le collectif des élus est vraiment là, ça ressemble à un ouragan ».  

    Une première manifestation ce week-end durant le marché de Noël

    Le centre-bourg de Lavelanet va être le théâtre ce week-end d’une manifestation hors norme. Outre le marché de Noël, entre féeries et savoir-faire locaux, organisé par l’association Lavelanet d’Hier à Aujourd’hui de Franck Farez, la station va installer, samedi 10 décembre un tremplin (25m de long au sol, 11m de haut) et un air bag, devant le Marché couvert. Un objectif pour Jean-Claude Montané: « que les habitants de Lavelanet, du pays d’Olmes se réapproprient leur station ; qu’ils en deviennent les ambassadeurs ». Pour ce faire, SAVA SEM, mairie de Lavelanet et Communauté de communes travaillent main dans la main. « Fervent admirateur de rugby Monsieur le Maire le sait » glisse Jean-Claude Montané, « nous devons pousser dans le même sens ». Il est question ici « d’un enjeu économique important, tant pour la station que pour le pays « ; propos réitérés par Marc Sanchez convaincu : « notre station a un potentiel énorme. Aujourd’hui des professionnels la gèrent et la mettent en valeur ». Pour tous, ce partenariat doit s’inscrire dans la durée. Pour ce faire, les techniciens de la station, dont Nathalie Quérol chargée de communication, mettent en place divers projets : opération « je skie à la maison ». Une offre de forfait saison pour les enfants résidant en Pays d’Olmes et à l’école primaire ou au collège à un prix très attractif. Des rencontres sont organisées avec les établissements scolaires du territoire (Écoles primaires et collèges). Politique tarifaire en baisse pour les écoles du Pays d’Olmes. Partenariat fort avec le lycée Professionnel Jacquard qui forme ses futurs élèves aux métiers de la montagne. Autant d’opérations pour, glisse Jean-Claude Montané, « que les habitants du Pays d’Olmes prennent conscience qu’ils ont un bijou » , et, une conclusion à cette conférence de presse pour le maire de Lavelanet : « on écrit aujourd’hui une nouvelle page pour notre station ».

    Les animations de la station ce samedi 10 décembre : de 15h00 à 20h00 : animation glisse avec un tremplin et un air bag ; de 15h00 à 17h00 : les enfants pourront s’essayer à la descente du tremplin avec des luges en toute sécurité ; de 17h30 à 20h00 : démonstrations de sauts et de figures par les skieurs du Boss Club (club de ski de Perrine Laffont

    Sources : Mairie de Lavelanet

  • Foix, sur les routes en Ariège

    Foix, sur les routes en Ariège

    Carrefour touristique de l’Ariège avec plus de 90 000 visiteurs par an avec son Château classé dans la collection Ariège des Grands Sites Touristiques de Midi-Pyrénées, l’histoire de Foix remonte à plus de quinze mille ans…

    Premiers à apprécier le site, les romains construisent un fort sur le piton rocheux. 

    C’est avec la fondation, en 849, de l’abbaye Saint-Volusien que Foix connait le développement d’une vie urbaine du Xème au XIIème siècle jusqu’à son apogée au XIVème siècle.

    En 1536, commencent les premiers prêches réformés à Foix. En 1579, l’église de Montgauzy est détruite par les réformés. Le même sort est réservé à l’abbaye et à son église en 1581. L’année suivante, Foix est reprise par les catholiques, et en 1589, Henri de Navarre, comte de Foix, devient roi de France sous le nom d’Henri IV.

    Le Château

    Le château, dont les premières bases datent du Xème siècle, est une solide place forte qui résiste aux assauts répétés de Simon IV de Montfort entre 1211 et 1217, lors de la croisade des Albigeois. En 1272, le comte de Foix refuse de reconnaître la souveraineté du roi de France, Philippe le Hardi, qui prend en personne la direction d’une expédition contre la ville, le comte capitule. 

    Gaston Phoebus est le dernier Comte à avoir vécu au château qui, au XVIème siècle perd son caractère militaire. Le château est ensuite transformé en prison jusqu’en 1864.

    Foix doit son prestige à son rôle, toujours conservé  de capitale comtale, cela lui permet d’être choisie comme chef-lieu du nouveau département de l’Ariège en 1790. 

    A voir

    • Le square de l’argot  avec sa fontaine en pierre de taille (grès) du 18éme
    • La Porte de la rue de Rival n°37 qui date de 1617
    • La place Parmentier (19éme) devient le marché aux pommes de terre, une halle est construite en 1851
    • 23 Rue des chapeliers où se trouvait l’Hôtel de Séré-Tréville (de la famille de Tréville, capitaine des mousquetaires du roi, ami de d’Artagnan.)
    • La Rue du Palais de Justice : premier habitat de la ville entre le Xéme et le XIIéme. C’est là que s’élevait St Nazaire, l’église primitive de Foix. En 1933, 3 sarcophages du Haut Moyen Age sont découverts :
    • Rue de l’argot et ses 2 tours médiévales
    • Rue de la préfecture et maison avec des  caryatides
    • La Place de Labistour et la Tour de Labistour dernier vestige de l’enceinte du 12éme ; rasée en 1805, la tour supportait depuis 1425 l’horloge de la ville 
    • La Rue La Faurie : 2 maisons à colombages (n° 36 et 37) ; au n° 23 : couronne comtale sculptée

    Sources :