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  • Franc succès pour la 13ème édition de LUDOVIA

    Franc succès pour la 13ème édition de LUDOVIA

    CIRE a encore participé à LUDOVIA cet été à Ax-les-Thermes, où environs un millier de personnels de l’éducation nationale venus de toute la France et parfois d’ailleurs (Belgique, Pays-Bas, Suisse, Pologne, Canada..), se sont réunis pendant trois jours de travaux. Une grande famille qui adhère à l’utilisation du numérique en classe et qui teste de nouveaux comportements pédagogiques en utilisant des applications ou des matériels numériques.

    La presse et plusieurs sites web ariégeois ont relayé l’information :

    Ariege-Éco.com : Belle édition pour LUDOVIA#13

    La Dépêche du Midi du Midi : Ludovia attire les foules

    La Gazette Ariégeoise : 755 congressistes à Ax les Thermes pour l’université du numérique et de l’éducation de l’Ariège

    CIRE donne une note ésotérique à ce rassemblement qui a lieu chaque année dans ce dessin produit pour l’occasion.

     

  • Déviation de Prat-Bonrepaux : la passerelle piétonne de 34 tonnes est en place

    Déviation de Prat-Bonrepaux : la passerelle piétonne de 34 tonnes est en place

     Jeudi 1er septembre, la déviation de Prat-Bonrepaux a été le cadre d’un chantier spectaculaire : une passerelle a été jetée entre les deux rives de la nouvelle chaussée. Elle permettra bientôt aux piétons de rallier le centre-bourg de Prat depuis le hameau de Bonrepaux, et vice-versa.

    L’ouvrage de 34 tonnes a été fabriqué en Espagne. Il a été importé en trois morceaux, avant d’être assemblé sur site. Le mercredi 31 août, il a rejoint de la déviation où les trois sections ont été boulonnées. Le lendemain, à l’aide d’une grue de 130 tonnes, la pose de la passerelle s’est déroulée dans des conditions climatiques et de sécurité optimales.

    Le coût de la construction de cet ouvrage s’élève à 350.000 €, financé par le Département.

    Le parti-pris architectural a été défini par deux architectes ariégeois, Gérard Marti et Anne Puyol, de Mirepoix. Les études techniques ayant été réalisées par le BET GCIS de Carcassonne. L’entreprise GTM, qui venait de réaliser plusieurs ouvrages en Basse Ariège dans le cadre du chantier MKAD, a transféré ses équipes sur le chantier de Prat pour construire l’ouvrage.

    Ce chantier correspond à l’une des dernières opérations d’importance du projet d’aménagement du contournement. La fin des travaux de la déviation est programmée pour cet automne.

    Crédits Photo © Laurent Crassous

  • Paul Fontvieille : le Carré de l’Ange un rêve de 20 ans !

    Paul Fontvieille : le Carré de l’Ange un rêve de 20 ans !

    Arrivé en Ariège il y a une vingtaine d’année, Paul Fontvieille passe devant les terrasses du Palais des évêques à Saint-Lizier ; le site lui parait magique, idéal pour en faire un site gastronomique qui pourra attirer les amateurs de plats choisis et les touristes en veille de sites et expériences mémorables… Aujourd’hui, il y  propose une cuisine raffinée à base de produits du terroir et des produits de la pêche d’Hendaye à la Méditerranée dans son établissement amiral : Le Carré de l’Ange.

    Une terrasse surplombe le village médiéval de Saint-Lizier et à l’ombre d’arbres centenaires, les convives commencent à se régaler. Paul Fontvieille pratique ici une cuisine originale comme traditionnelle à base de produits du terroir si possible Bio quand il peut les trouver.

    Le Carré de l’Ange est flanqué entre le Mont Vallier et le site du Palais des Evêques à Saint-Lizier : deux sites majeurs et emblématiques du Couserans. D’un rêve de vingt ans, il en a fait un établissement amiral où il peut accueillir couples, familles, évènements dans ses multiples salles intérieures ou en terrasse. Le site du Palais, permet également l’utilisation de salles de réunion ou de salles d’exception pour organiser des évènements professionnels avec une grande table d’Ariège à proximité.

    Paul Fontvieille oeuvre également en altitude et en hiver à Guzet Neige au Papayo qu’il a repris il y a quelques mois et au restaurant d’altitude le Chalet de Beauregard au pied de la piste Noire du Freychet, pic mythique des skieurs chevronnés.

    Découvrir le Carré de l’Ange : http://www.lecarredelange.com

     

  • Aulus : 5 emplois menacés au petit marché U, la mairie ne lâche rien !

    Aulus : 5 emplois menacés au petit marché U, la mairie ne lâche rien !

    L’affaire dure depuis quelques années sur Aulus, un commerce qui grandit, qui embauche et qui progressivement se retrouve à l’étroit pour pouvoir continuer son activité. Le 16 décembre prochain, « l’épicerie » comme l’appelle les habitants, touristes et voisins a programmé sa fermeture, malgré la pétition signée déjà par plus de 800 personnes. Azinat.com a été contacté par Géraldine qui nous a raconté son histoire…

    Le Petit Marché U d’Aulus est un des rares commerces à rester ouvert toute l’année, Géraldine, la gérante est une « Pyrénéenne » convaincue et déjà tenu des commerces dans d’autres vallées des Pyrénées, elle connait les gens de la montagne et les touristes. Elle a fait son trou depuis 25 ans en Ariège et l’aventure devra peut-être s’arrêter d’ici la fin de l’année. En cause, un manque de surface, une mésentente avec la mairie qui n’appuie pas le développement de son commerce et une situation de blocage dommageable quand on sait combien il est crucial pour une vallée si éloignée comme Aulus de pouvoir conserver un commerce alimentaire pour les résidents, les personnes années qui restent encore à leur domicile

    «Je dirige ce magasin depuis mars 2005», rappelle Géraldine WUNDERLICH, «j’ai trois employés en CDI, et depuis 2014, je demande à ma mairie, de bien vouloir me louer en supplément, le fond arrière de la salle d’exposition attenante, et en surface sous-exploitée.

    La mairie me réponds  » Non, il y a une convention avec le Conseil Général, pour avoir une médiathèque subventionnée, il faut une salle d’expo attenante  »
    J’ai demandé cette convention au Conseil Général, je n’ai pas trouvé cette mention, ni une surface minimum obligatoire .

    «Depuis deux ans, je demande de l’aide, j’appelle au secours, parce que le travail est devenu trop dur physiquement, trop complexe, dans un local qui n’est plus adapté, au nombre de clients croissant, aux exigences de la clientèle, aux normes sanitaires et de sécurité, ni aux contraintes de conditionnement imposées par les fournisseurs.

    Cette année, nous sommes à saturation depuis le mois de mai, mais personne ne veut l’entendre. Et pourtant, nous avons fait de gros travaux d’aménagement et de gestion de l’espace pour optimiser au mieux notre surface.

    « Faites moins de choses, vous aurez plus de place ! »

    Nous avons besoin d’un espace supplémentaire de 20/30m2 pour stocker des palettes, qui ne peuvent rentrer, nulle part dans le magasin, nous avons une seule place pour ça.

    La mairie me répond systématiquement
     » Faites moins de choses, vous aurez besoin de moins de place  »
    Ce n’est pas notre politique, pour dynamiser une région touristique mais aux services restreints. Et je ne fais, dans ce magasin , que ce qui a été prévu sur mon KBIS.
    Entre Juillet et août, nous avons plus de 10 000 clients en caisse.
    Il faut bien assumer !

    Le 2 juin, Metro Toulouse m’a informé de leur décision de nous livrer exclusivement en palettes et non plus en chariots roulants de 0.90 x 0.90 m.

    Pour nous, c’est techniquement impossible, nous avons des livraisons conséquentes, surtout en saison, 10/20 rolls, soit 5/10 palettes à laisser dehors, au chaud ou au froid.

    Du coup, j’ai baissé les bras, sachant que nous ne pourrions jamais travailler dans ces conditions là.

    J’ai envoyé une résiliation de bail, à la mairie, en leur précisant bien que je ne pouvais pas travailler dans ces conditions là, et que je ne pouvais pas changer de fournisseur, ni m’en passer.

    La centrale SUPER U et METRO représentent 50 et 30 % du volume d’approvisionnement, les 20% restant sont des produits locaux et petits producteurs.

    « L’appui des clients nous a redonner la pêche « 

    La mairie m’a renvoyé un courrier prenant acte de ma décision en conseil municipal du 25 juin . Point.
    Dès qu’ils ont connu ma décision, de très nombreux clients m’ont persuadée de continuer et de rester. Leur appui nous a redonné la pêche malgré les difficultés et la fatigue physique importante de l’équipe.
    Je précise que nous sommes ouverts 365 jours /an, matin et soir, et en continu à chaque période de vacances, et même plus, de façon à pallier aux insuffisances de services et de logistique de notre secteur, ou tout est fermé, dès la saison terminée. Hormis, le Tabac, ouvert du mardi au dimanche midi.

    Donc, la population et les touristes se sont mobilisés, et Madame Morère a rédigé une pétition qui compte plus de 500 signatures en deux semaines.

    Nous sommes allés à la réunion publique du 16 juillet ou notre cas a bien sur, été évoqué.

    La mairie a bien confirmé que nous n’aurions jamais d’espace supplémentaire, autre que celui prévu au contrat de 2005, que la mairie avait accepté ma  » démission  » et faisait déjà des démarches pour nous remplacer, que je pouvais éventuellement déposer une candidature et qu’elle choisirait.

     

    Bref, les clients veulent que je reste, avec mon équipe, et moi, je veux rester aussi, si on peut travailler dans des conditions correctes et décentes physiquement.

    La mairie ne veut pas revenir sur sa décision d’entériner ma démission, elle appelle ça du caprice et du chantage.

    Apparemment , je n’ai pas le droit à la faute, ni à l’erreur, ni à un état de faiblesse, en 11 ans de service 7/7 jours.

    La situation est donc bloquée, tout le monde est en colère, de tous les cotés. J’ai demandé, par écrit un rendez-vous, resté sans réponse.

    Je pense qu’avec un peu de bon sens et de réflexion, et surtout un point de vue extérieur, on pourrait faire évoluer la situation, dans l’intérêt de tout le monde.»

    C’est ce que nous pensons aussi Géraldine, en espérant que notre petit article et votre témoignage pourra faire bouger les choses !

    Le site du commerce le petit marché : http://www.le-petit-marche-u-aulus-guzet-neige.com

  • Un bras de mer à Luzenac ?

    Un bras de mer à Luzenac ?

    CET ÉTÉ, NOUS VOUS INVITONS À DÉCOUVRIR OU REDÉCOUVRIR VOS PYRÉNÉES SI CHÉRIES GRÂCE À UNE SÉRIE ANIMÉE PAR ISABELLE CORBIÈRES, GÉOLOGUE ET GUIDE, SUR LA GÉOLOGIE DES PYRÉNÉES EN 5 ÉPISODES.

    TROISIÈME ÉPISODE DE LA SÉRIE, SUR L’HISTOIRE DE LA GÉOLOGIE DES PYRÉNÉES PRÉSENTÉE PAR ISABELLE CORBIÈRES. UN TROISIÈME ÉPISODE QUI NOUS RAPPELLE LA FORMATION DES PYRÉNÉES ET SON ÉTAT ACTUEL SUR LA BASE D’OBSERVATION DU SOUS SOL DU PLATEAU DE BEILLE EN HAUTE-ARIÈGE.

     

    Derrière nous (depuis le plateau de Beille) s’offre le massif de Saint Barthélemy qui appartient à la plaque Europe et la plaque sur laquelle nous sommes à Beille est sur la plaque Ibérique. Nous sommes sur une limite de faille. (Faille Nord-Pyrénéenne)

    Quand vous passez à Bestiac ou à Caussou un peu plus loin de l’autre côté de la vallée sur la route des corniches et que vous allez à Lordat, vous passez sur la faille entre la plaque Ibérique et la plaque Europe.

    Le massif de Saint-Barthélémy  est composé de roches anciennes comme le gisement des carrières de talcs de Luzenac ou la Carrière de Trimouns.

    Cet évènement géologique (la faille entre la plaque ibérique et la plaque Europe) est mondialement connu car il s’agit du plus grand gisement de talc exploité au monde : la mine des Talcs de Luzenac

    Comment s’est produit le Talc ? 

    Le gisement de Talc est directement lié à la collision des deux plaques présentes ici où à l’époque il y a avait des eaux profondes et un amincissement de la croute terrestre avec des températures très importantes (plus de 600 degrés) qui a créé un hydrau-thermalisme de très haute températures sur cette faille (la faille Trimouns) et d’autres petites failles .

    La faille à l’époque ressemblait certainement à un bras de mer avec des eaux profondes. (Oui oui il y a eu la mer à Luzenac 🙂

    La faille de Trimouns est une ancienne faille où les eaux ont pu circuler, il y a des Schistes en contact avec des calcaires dolomitiques (qu’on appelle aussi la dolomite).

    Le calcaire dolomitique associé à ses eaux chaudes ont pu permettre la présence de ce Talc qui est du silicate de magnésium , c’est ce contexte très particulier de cette zone de futur collision entre les deux continents.

     

  • Le pré Cathare, un camping au carrefour des 4 M

    Le pré Cathare, un camping au carrefour des 4 M

    Le Pré Cathare prend de l’ampleur chaque année depuis sa reprise en 2013 par la famille Addioui : extensions, bungalow, stratégie de développement axée sur la voie verte avec une association « traverse 119 », le tout en se positionnant au centre des 4M du Pays des Pyrénées Cathares. Petite présentation en vidéo en compagnie d’Hassan qui nous a accueilli chaleureusement.

    Depuis des années, le couple Addioui œuvre sans relâche (d’abord comme gestionnaire, puis comme propriétaire), afin d’hisser le Pré cathare parmi les plus beaux campings d’Ariège. Le Pré cathare est passé de 2 à 6 ha, il offre 150 emplacements, disposés en trois pôles : le tourisme, le résidentiel et le passage. Un permis de construire a été accepté pour agrandir le site et offrir à terme 200 emplacements.

    Le projet est en cours de montage financier. Après le classement trois étoiles tourisme établi en septembre 2012 par Atout France, agence de développement touristique, et qui cours jusqu’en septembre 2017, les propriétaires ont installé 14 nouveaux bungalows « Sun Living » dans leur parc, au sein d’une magnifique parcelle avec aire de jeux pour enfants.

    Des bungalows avec pièce centrale ouverte et donnant sur une terrasse couverte, qui permet une extension du séjour. Durant l’hiver, Hassan Addioui a aménagé une aire pour les campings caristes à proximité des sanitaires, une aire en épi avec 8 emplacements stabilisés.

    En cours d’aménagement une petite retenue d’eau face aux montagnes. « On a dévié l’eau partant au pluvial pour créer ce plan d’eau. Tout autour nous y planterons des arbres », explique Hassan. Juste à côté et face aux Pyrénées, une zone consacrée au camping traditionnel. Cette zone a connu un franc succès encore une fois cet été grâce à ces emplacements ombragés et aux installations : point eau, barbecue, borne électrique…

    Au Pré Cathare, les 70 résidents permanents ont mis en valeur leur pied à terre Ariègeois. Les résidents ont investi leurs parcelles, jardins, haies, décorations extérieures, tout est mis en œuvre afin de faire du Pré Cathare un petit coin de paradis, avec vue sur les montagnes et Montségur.

    Outre l’accueil et la convivialité, les touristes ont accès à un parc de vélos (certains résidents laissent d’ailleurs les leurs à disposition), au billard gratuit … Ici tout est mis en place pour que le locataire se sente chez lui, quitte à participer à l’élaboration de fresques dans la salle commune. L’ été dernier et pour occuper les enfants (quand ils n’étaient pas à la piscine ou sur l’aire de jeux), Hassan leur a fait dessiner différentes fresques (comme la tragédie cathare) ou des portraits d’hommes célèbres. Nelson Mandela y côtoie l’abbé Pierre, sur une façade, d’autres jeunes ont dessiné Marc Sanchez.

    Pour Hassan Addioui :  » le camping offre de plus en plus d’atouts. Ce n’est pas un hasard si les nouveaux arrivants choisissent le Pré cathare. Ici, nous sommes au carrefour de nombreuses destinations. » De Toulouse, Bordeaux, Perpignan ou Montpellier les résidents « ont une position stratégique et géographique pour sillonner l’Ariège » souligne Hassan. Pour dynamiser l’économie du Pays d’Olmes, touristes de passage ou résidents permanents sont invités à découvrir restaurants, activités culturelles ou sportives …

    Mais le Pré cathare, c’est aussi sous la houlette d’Hassan Addioui la mise en valeur du patrimoine. Président de l’association traverse 119, l’homme milite pour la Voie verte et invite ses clients à découvrir cette « colonne vertébrale, un lien entre Aude et Ariège ». Par ailleurs, et avec le soutien des services techniques de la mairie de Lavelanet, Hassan a nettoyé le chemin des tisserands cathares (chemin allant de Lavelanet à Montségur) qui jouxte son camping.

    Quand on se promène dans le Pré cathare, une question se pose : camping ou petit village ? Mais au vu de la convivialité, de la bonne humeur régnant en maitre, tous répondent sans hésiter : petit village …

    Source : d’après texte de Nadine Ribas-Douet

  • Margaux refait ses valises direction… La Nouvelle-Zélande

    Margaux refait ses valises direction… La Nouvelle-Zélande

    Maman, je refais mes valises !

    Je me souviens

    Nostalgique ? Oui un peu ! Je reçois des nouvelles quasi quotidiennes des amis canadiens et québécois et ça me permet de garder un pied en Amérique du Nord, mais figurez-vous que ce mois-ci on m’a demandé si je voulais écrire une petite chronique touristique pour l’Horizon Branché, le journal communautaire de Sacré-Coeur au Quebec. « Si je veux ?! » … Oui !!!!! Et avec plaisir, même. Si ça vous tente, le journal est disponible ici : « Embarque dans l’char on criss l’camp à Sacré Coeur »
    Et, plus original, j’ai expérimenté une autre façon de garder un lien avec ce beau pays : en recevant le remboursement des impôts fédéraux et provinciaux. Ravie de cette surprise arrivée dans ma boîte aux lettres française, me voici en route pour ma banque, un chèque de 106$CAN de « Revenu Canada » en poche. J’étais sceptique mais à ma grande surprise, l’employée derrière le guichet m’a lancé un « oui, oui, on peut accepter votre chèque ». Sourire. Et de continuer « on applique des frais. Entre 30 et 40€. Pour la conversion en Euro. Parce que votre chèque est en dollars, … donc…… ». C’est une blague? 106$ , soit environ 70€ et la moitié qui part en frais ? Je l’avoue .. A ce prix là, j’ai quand même regardé le tarif d’un aller/retour express pour Montréal … histoire de déposer mon chèque !
    Ahhhh … Comment oublier le Québec ?

    Je l’ai !

    C’est en 10 jours chrono que j’ai reçu mon visa vacances-travail pour la Nouvelle-Zélande et, dès la minute où je l’ai eu en main… (enfin, en PDF), tout s’est accéléré …  Dans les 30 minutes, je souscrivais mon assurance médicale et,  après moult et moult recherches j’achetais mes billets. Sur American Airlines …  Tout ça pour dire que je suis prête. C’est concret et ça arrive à grands pas !! Je repars ! Enfin … nous (re)partons. Oui, parce que j’ai une surprise : mon grand frère m’accompagne les huit premières semaines de cette nouvelle aventure.
    Départ dans 40 jours. Depuis Toulouse.  Et, histoire de donner le « la », c’est en Megabus que nous rejoindrons Londres. Nous aurons 48 heures pour découvrir le Melting Pot depuis une douillette chambre de Soho avant de rallier le Terminal3 de Heathrow où nous prendrons un un avion pour Los Angeles. Nous séjournerons une vingtaine de jours aux Etats-Unis puis, fin septembre, nous survolerons 10 500 kms au-dessus du Pacifique pour atteindre Auckland, magie des fuseaux horaires oblige, deux jours plus tard, prêts pour affronter un deuxième été en direct de l’hémisphère sud.

    Visa : Check ; Assurance : Check ; Billet d’avion : Check

    Maman ! J’ai refait ma valise …

    Qui l’aurait cru ? Je fête mon huitième mois en France … Rien de tout ça n’été prévu! Revenir, c’était une surprise. Rester plus de 3 mois … c’était de la gourmandise. Mais c’est le temps qu’il m’a fallu pour faire le tour de la question et réaliser que rien de ma vie d’avant ne me manque vraiment … Je me booste pour ne surtout pas y retomber. Alors, c’est vrai, j’ai pris le temps de monter et publier mon livre, de retrouver famille et amis et puis très vite, j’ai entrepris les démarches et mis quelques sous de côté pour une seule raison : repartir … Et grâce à l’aide du  FAJIP et du FDLA, mon budget est désormais complet.
    Je repense aux gens avec lesquels j’ai eu la chance de partager mon expérience, à leurs interrogations. A leurs peurs.
    Aux questions qui reviennent tout le temps :  « Alors, c’était comment le Canada ? »  et « Et, euh, leur accent, tu sais l’faire » …
    et à leurs affirmations : « Quel courage. Moi je ne pourrai pas ! » … et moi j’me dis que c’est quand même dommage de s’interdire d’aller voir ailleurs … Bien oui, il n’y a pas que Max qui a le droit d’être libre !
    Du coup, en attendant de repartir, je rêve en regardant l’épopée de Robyn Davidson et les milliers de kilomètres parcourus à travers l’Australie (Tracks). Je lis l’odyssée de Cheryl Strayed qui s’est aventurée sur le Pacific Crest Trail entre le Mexique et le Canada (Wild). Ces histoires vraies de femmes qui partent seules et qui expérimentent de nouvelles conditions de vie … évidement, ça me touche !

    Le Jour J  arrive à grand pas.

    Ma prochaine newsletter du 20 septembre sera américaine. Je reprendrai ensuite le rythme d’une newsletter par mois, celle d’octobre sera donc envoyée depuis la Nouvelle-Zélande.
    Au plaisir de vous lire, vous savez à quel point le moindre petit mot fait plaisir quand on est loin, loin, loin … d’ici là, portez vous bien !

  • Les Délices de Pascale à Saint-Lizier, un voyage au cœur des saveurs !

    Les Délices de Pascale à Saint-Lizier, un voyage au cœur des saveurs !

    Des confitures, des gelées, des chutneys, des coulis, des produits 100% naturels sans colorants et sans conservateurs, préparés avec 63% de fruits pour restituer le goût originel des fruits frais, c’est ce que propose depuis 2013 « La Maison Jougla », avec ses deux marques de confitures : « Les Délices de Pascale » et « Confitures et Traditions ».

    C’est à Saint-Lizier dans le Couserans, que Pascale et Bernard Jougla développent une gamme de recettes et de saveurs originales avec seulement des fruits, du sucre, de la pectine et du savoir-faire ».

    Un savoir-faire qui se traduit par deux marques :

    « Les Délices de Pascale » (du prénom de madame Jougla) une marque haut de gamme destinée surtout à l’export ; Etats-Unis, Canada, Ukraine, Bulgarie, Lituanie, Allemagne, Suède, Hongrie, Japon et Chine et en circuits spécialisés ; épiceries fines, hôtellerie-restauration haut de gamme.

    La marque « Confitures et Traditions » est proposée plutôt sur le marché intérieur en grandes et moyennes surfaces, à des prix plus abordables.

    Gourmand de formation

    « Je n’ai pas inventé la confiture« , nous confie Bernard jougla, « je l’ai appris quelque part« . En effet, électrotechnicien à la base, il se définit lui même comme « gourmand de formation« , une bien belle formule.

    Si Bernard et Pascale privilégient les filières courtes, ils misent davantage sur la qualité des produits, c’est pourquoi ils peuvent aller loin chercher « le fruit » qui donnera la meilleure confiture.

    pour preuve de qualité les récompenses et les médailles :

    – Médaille d’or au Concours général Agricole 2013 pour sa gelée de pomme

    – Médaille d’or au salon de l’agriculture 2014 pour sa confiture de fraises.

    – Prix d’ Excellence 2016 pour le Concours des Confitures (décerné au vu des résultats obtenus lors des trois dernières sessions du Concours Général Agricole et récompense l’ ensemble du travail du Maître Confiturier.)

    Plus qu’une récompense, ces médailles sont pour Bernard une façon de se remettre en question. Quoi de mieux donc que d’être jugé par des personnes qui mangent vos produits.

    « Quand on est récompensé par une médaille d’Or, c’est que l’on a fait les bons choix ; les bons choix des fruits, les bon choix des recettes pour le consommateur » explique Bernard

    Avec 55 saveurs différentes, des produits réalisés en fonction des saisons et des expériences créatives, chacun pourra trouver à La Maison Jougla sa confiture de prédilection.

  • Johnny revient à la Une !

    Johnny revient à la Une !

    On pensait la polémique éteinte et voilà que le concert de Johnny Hallyday remet le feu aux poudres !

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    C’est après la Fiesta que la liste d’opposition «Pamiers au cœur» est revenue à la charge sur la venue de Johnny Hallyday au stade Balussou. Dans une lettre ouverte à Hubert Lopez, Michel Teychenné et Bernadette Subra, les deux conseillers municipaux ont interpelé le président de Pamiers Événements sur sa «désinformation volontaire» lors du conseil municipal du 25 mars.

    Qui est ce mystérieux donateur qui serait en fait un prêteur ?

    Qui a payé l’hélicoptère qu’a emprunté Johnny ?

    Combien de billets gratuits ont été distribués et sur quel mode d’attribution ?

    Des questions qui ont obtenues un début de réponse par de personnes proches du dossier. (voir l’article de la DDM)

    Ce qui est sûr, c’est que Johnny à bien mis le feu lors de son concert et que tous les spectateurs sont sortis ravis !

    Il faudra maintenant attendre la commission exceptionnelle des finances, qui se réunira mercredi 27 juillet afin d’éplucher les comptes de Fiesta 2016. D’ici là Michel Teychenné n’a pas fini de faire des cauchemars comme l’a si bien illustré notre ami CIRE.

    Les articles à voir :

    http://www.ladepeche.fr/article/2016

    http://www.ladepeche.fr/article/2016/07/15

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

  • 290.000 € pour moderniser l’équipement informatique des collèges ariégeois

    290.000 € pour moderniser l’équipement informatique des collèges ariégeois

    Réunis en Commission Permanente le lundi 18 juillet, les élus du Conseil Départemental ont attribué une enveloppe de 290.000 € au programme d’équipement en matériels informatiques des treize collèges du département pour cette année 2016.

    Cette programmation tient compte des besoins de renouvellement des matériels obsolètes. Elle se fonde également sur une étude détaillée de l’harmonisation des niveaux d’équipement. Enfin, le déploiement de tablettes dans les établissements du Mas d’Azil et de Foix justifie un ajustement des dotations en ordinateurs pour ces deux collèges.

    Cette démarche s’inscrit dans le prolongement du déploiement de l’ENT, achevé en 2010 dans tous les collèges, et le développement des usages devenu le principal objectif désormais.

    Communiqué du CD09

  • Concours départemental des villes et villages fleuris 2016 : les jurés terminent leurs visites

    Concours départemental des villes et villages fleuris 2016 : les jurés terminent leurs visites

    La tournée du jury du Concours départemental des Villes et Villages fleuris 2016 a débuté le 11 juillet et se terminera le mardi 26 juillet en Pays d’Olmes. Ce concours est devenu un rendez-vous incontournable, organisé par le Conseil Départemental de l’Ariège, en partenariat avec l’Agence de développement touristique Ariège-Pyrénées et le Conseil d’architecture d’urbanisme et de l’environnement (CAUE).

    Répartis en trois équipages, composés d’élus, de techniciens et de professionnels, les jurés sillonnent le département depuis deux semaines avec leurs fiches de notations à la main, leurs appareils photos et leur regard d’experts. Les parcs et espaces verts des communes candidates sont ratissés et examinés dans leur moindre détail…

    Originalité des compositions, aménagement des espaces fleuris, actions et entretiens en faveur de l’environnement, participation des élèves et des habitants à l’embellissement de la commune sont autant de points sur lesquels s’attardent les jurés. Quant aux particuliers, répartis en huit catégories, ils sont soumis aux mêmes critères : harmonie du jardin, variété des arbustes et massifs, propreté et entretien des espaces.

    Evidemment, les jurés prennent en compte dans leur notation les conditions climatiques, les dimensions de la commune, sa population et ses spécificités. Et cette année encore, le concours évolue vers la prise en compte plus large d’embellissement que de fleurissement au sens strict.

    Au terme de leur parcours ariégeois, ils se réuniront pour désigner les communes lauréates ainsi que les huit particuliers gagnants, un par catégorie. Les résultats seront dévoilés à l’automne lors d’une cérémonie organisée à l’Hôtel du Département.

    Communiqué du CD09

  • Lordat, sur les routes en Ariège

    Lordat, sur les routes en Ariège

    Les traces écrites sur Lordat sont parmi les plus anciennes qui existent  sur le département.

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    On trouve en 970 un échange entre Roger, comte de Carcassonne et Sanche de biens situés dans le pays toulousain (HGL, V) ; Roger 1er de Carcassonne acquit Saurat contre quelques terres qu’il avait à Lordat

    Inclus dans le nouveau Comté de Foix dès  la mort du comte de Carcassonne En 1034, Bernard, comte de Carcassonne cède à son fils cadet, Roger, qui fut le premier comte de Foix, les châteaux de Foix, de Castelpenent, de Roquemaure et de Lordat qu’il possédait dans la viguerie du Sabartés

    La localité doit une bonne part de sa notoriété aux vestiges de son château, dont la position sur un éperon rocheux offre un large panorama sur le Sabarthès – la vallée de l’Ariège –, et notamment sur la petite ville de Luzenac.

    Sur le site on été découverts des artéfacts celtiques, ainsi que des médailles qui témoignent qu’un castellum était déjà installé sur le piton à l’époque romaine.

    A voir – A faire

    • Église Sainte-Marie
    • Pech de Lordat : Calvaire sur colline au nord du village (légende : emplacement d’un cimetière cathare, cité dans les registres d’Inquisition)
    • Le château de Lordat
    • Pic de Soularac
    • Pic de Saint-Barthélemy

    Sources : wikipédia / histariège