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  • Loi sur la biodiversité, les parcs naturels regionaux confortés dans  leurs missions.

    Loi sur la biodiversité, les parcs naturels regionaux confortés dans leurs missions.

    Michaël Weber, Président de la Fédération des Parcs naturels régionaux de France se félicite au nom des 51 Parcs naturels régionaux de l’adoption finale de la loi pour la reconquête de la Biodiversité, de la Nature et des Paysages.

    40 ans après la loi de Protection de la Nature de 1976, le texte porté par Barbara Pompili, la secrétaire d’Etat en charge de la biodiversité, a été adopté ce 20 juillet. Il ouvre une nouvelle page pour la protection de la nature en France et s’inscrit dans une relation renouvelée entre l’Homme et la Nature, thème central du prochain Congrès des Parcs naturels régionaux qui se tiendra en octobre prochain.

    Depuis près de 50 ans, les Parcs démontrent que le respect et l’enrichissement de la biodiversité sont parfaitement compatibles avec le développement économique et social de leurs territoires. La nouvelle Agence Française pour la Biodiversité créée par la loi pourra s’appuyer sur cette irremplaçable expérience.

    Sur les quelques 70 articles de cette loi, cinq concernent directement la politique des Parcs naturels régionaux. Ils portent sur la reconnaissance de leur rôle en matière de coordination des politiques publiques sur leur territoire. Ils confirment les Parcs dans un rôle de partenaire privilégié de l’Etat et des collectivités en matière de biodiversité et de paysage, renforcent les prérogatives des Parcs en matière d’affichage publicitaire mais aussi de préservation et de valorisation des paysages.

    Cette loi porte le classement des Parcs à 15 ans (12 ans actuellement) et apporte des allègements quant à la procédure de création et de renouvellement du classement des Parcs ainsi que sur la possibilité d’adhésion à des communes au cours des 15 ans de classement. Enfin, l’article 28 bis de cette loi reconnaît l’existence et les missions de la Fédération des Parcs naturels régionaux de France et son rôle au niveau national et international.

    C’est une reconnaissance supplémentaire de l’efficacité de la politique et des actions menées au sein de nos Parcs.

    federationPNRLes 51 Parcs naturels régionaux de France représentent plus de 4300 communes,  4 millions d’habitants et 8,7 millions d’hectares, soit 15% du territoire, répartis dans 15 régions. Plus de 2000 agents y travaillent.

    La Fédération est une association loi de 1901 qui regroupe les Parcs naturels régionaux, les régions et de nombreux partenaires nationaux.

    Communiqué de la Fédération des Parcs naturels régionaux, 9 rue Christiani – 75018 Paris – 01 44 90 86 20

  • « Manhattan Marilyn », le thriller du plus new-yorkais des écrivains Ariégeois

    « Manhattan Marilyn », le thriller du plus new-yorkais des écrivains Ariégeois

    Auteur – éditeur ariégeois de coeur, Philippe Laguerre-Ward est né le 13 juillet 1958 à Bordeaux, il débarque en Ariège début août 1958 dans le village familial de Gourbit. Pendant une vingtaine d’années, il effectuera les trajets Bordeaux (où il vit) – Ariège (où il passe toutes les vacances scolaires à chercher le trésor des cathares dans les grottes et les châteaux ariégeois) avant de s’installer définitivement à Pamiers en 1982.

    marilyn2Ecrivain et éditeur par passion, il dévore les livres, il en possède plus de 10 000 et il les a quasiment tous lu. De Oui-Oui au Clan des 7 en passant par le Club des 5, le virus l’a pris dès son plus jeune âge et ne l’a plus lâché. Mais Philippe est fan d’un genre particulier qu’il appelle « les mauvais genres » et qui se situent dans le domaine de l’imaginaire (Science-fiction, fantastique, polar, fantasy ….).

    Il décide d’écrire il y a une trentaine d’années, le jour où, déçu par un roman, il se dit qu’il pourrait faire mieux et se lance dans l’écriture de son premier ouvrage, « Artahe » l’histoire d’un Dieu Ours dans les Pyrénées. Cela lui prendra 10 ans.

    Avec une quinzaine de nouvelles, un recueil Noir Duo (Rivière Blanche) et un roman (le chant de Montségur) sur le trésor des cathares écrit en collaboration avec  Sylvie Miller, Philippe Ward est l’un des rares écrivains de l’imaginaire français.

    Aujourd’hui, et sous son vrai nom, Philippe Laguerre nous livre un thriller sur deux grands mythes américains : Manhattan et Marilyn.

    C’est suite à un voyage à New York, dont il tombe fou amoureux, que l’envie le prend d’écrire sur la ville qui ne dort jamais, ou plutôt « la ville qui vit tout le temps » comme il préfère la décrire. Depuis 2010 il y retourne chaque année. En 2011 il tombe sur un livre « Une blonde à New York » avec des photos de Marilyn qu’il trouve superbes. Philippe a trouvé son idée, « Manhattan Marilyn » un thriller qui bouge aussi vite que New York.

    Résumé :

    Ancienne Marine en Irak, Kristin Arroyo découvre dans les affaires de son grand-père décédé – un célèbre portraitiste – des clichés inédits de Marilyn Monroe. Aidée par un photographe, elle décide de monter une exposition. Malheureusement, rien ne se passe comme prévu : une mystérieuse organisation s’en prend à eux. Pourchassée, traquée, la jeune femme va rapidement comprendre que son destin est lié à celui de Marilyn Monroe et s’efforcer de reconstituer les derniers jours de l’égérie hollywoodienne afin de percer le mystère qui entoure sa disparition.

    Manhattan Marilyn
    Philippe Laguerre Paru le 20 mai 2016
    Roman (broché)

  • Charcuterie André Cazaux, tradition et savoir-faire depuis 1969

    Charcuterie André Cazaux, tradition et savoir-faire depuis 1969

    Depuis près de 50 ans, au coeur du Couserans, la Charcuterie André Cazaux élabore des produits charcutiers de Qualité dans le plus pur respect de la tradition du « Terroir ».

    C’est en 1969 qu’André Cazaux et sa femme reprennent un petit magasin rue Villefranche à Saint-Girons. Suivra un deuxième magasin avec un petit laboratoire.

    En 1991 la société a l’opportunité de s’installer dans la zone d’activités de Lorp-Sentaraille où elle installera une unité de fabrication. L’entreprise se développe rapidement et très vite jean-Luc Cazaux rejoint son frère Serge pour renforcer cette réussite professionnelle. En 1995, suite à la disparition brutale de leur père, Jean-Luc et Serge reprennent la direction de l’entreprise pour perpétuer la tradition.

    Aujourd’hui ce sont 32 personnes qui travaillent dans l’entreprise familiale.

    Les porcs lourds proviennent exclusivement du bassin pyrénéen et sont nourris par des aliments à base de céréales. ils sont ensuite découpés et désossés dans les ateliers de Lorp.

    Preuve de qualité,  le Concours Général Agricole, constitué de 3 400 jurés représentant l’ensemble de la filière, a décerné cette année à l’entreprise André Cazaux deux Médailles d’or : la première dans la catégorie Jambon Sec Supérieur, la seconde dans la catégorie Saucisson Sec à l’Ancienne de 250 à 500 g pour son Saucisson Cendré. Avec une première récompense en 2008 avec une médaille d’argent obtenue au Salon International de l’Agriculture pour son Jambon Sec du Couserans, ce sont 14 médailles qui couronnent le travail de la famille Cazaux.

    Mais on ne s’arrêtent pas en si bon chemin. «Le marché français est difficile en ce moment» nous explique Jean-Luc Cazaux, c’est pourquoi l’entreprise c’est associée avec deux entrepreneurs pour attaquer l’export. Une personne à été embauchée et la charcuterie exporte aujourd’hui à Berlin, à Oslo, à Copenhagen et en Belgique.

    Un autre projet cher au coeur de Jean-Luc, c’est l’élevage de porc de plein-air dans le Couserans. Un projet qui devrait bientôt voir le jour puisque un test d’expérimentation est en cours.

    «Une des clés de la réussite, c’est le produit avant tout, nous explique Jean-Luc, nous sommes dans un terroir de traditions, il faut renter dans cette démarche traditionnelle et ne pas déroger de ça. Amener du goût, rester dans le traditionnel, c’est ça notre innovation.»

  • CMA de l’Ariège, deux journées test réussies pour le futur Fablab

    CMA de l’Ariège, deux journées test réussies pour le futur Fablab

    C’était les 1er et 2 juillet dernier que la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Ariège testait son futur concept de Fablab FLAME ; un « tiers lieu » de partage, de co-working, de fabrication et d’échanges à destination des artisans et entreprises ariégeoises..

    Une première matinée inaugure ces deux journées et permet à la plupart des Fablabs et projets de Fablabs ou tiers lieux ariégeois et limitrophes (le Fablabs de Limoux était présent) de se rencontrer, se présenter et d’envisager un avenir commun. Le maître mot dans ce type de structure est l’échange ou le partage ; autant entamer des discussions sur de futurs échanges ou mutualisation de ressources entre espaces de co-working ou de co-fabrication.

    Au final une bonne dizaine de « Tiers-lieu » à différents état d’avancement étaient présents, de la Lèze aux Pays des Pyrénées Cathares, généralistes ou spécialistes, marchands ou a vocation sociale ; toute une palette de possibles et de volonté pour créer une émulation productive sur le territoire de l’Ariège qui fait dire à Pierre Bouche secrétaire général de la CMA de l’Ariège tout l’espoir et l’ambition de ces journées pour une nouvelle dynamique territoriale et entrepreneuriale.

    Les partenaires et initiateurs de ces journées étaient bien entendu présents : la Chambre des Métiers et de l’Artisanat qui invitait dans ses murs, Ariege Expansion l’agence de développement économique du département et son animatrice Annie Fachetti, spécialiste des nouvelles formes de travail, et du télétravail liées aux nouvelles technologies.

    Jacques Lafargue,  qui représentait le Conseil Départemental et l’Agence de développement économique est resté une bonne partie de la première journée précisant l’intérêt du département pour ces nouvelles initiatives qui permettront de faire aboutir des projets d’entreprises et d’innovation.

    A noter la présence marquée de Continental partenaire de ces journées qui soutien l’initiative sur la région de ce type journées ou lieux liés aux nouvelles formes de fabrication et de travail.

    Après deux journées de démonstration  et d’échange, après avoir accueilli une centaine de porteurs de projets d’artisans, de passionnés ou de curieux, il reste à la Chambre à transformer l’essai et de faire aboutir son projet de Fablab. A ce jour, tous sont ressortis de ces deux journées certains que leur métier et leur façon de travailler allaient être changées dans un proche avenir et qu’il pouvait être parfois urgent de s’intéresser à ces nouvelles technologies et ces nouveaux lieux d’échange.

  • SMDEA : faire des économies pour investir

    SMDEA : faire des économies pour investir

    Le syndicat mixte de l’eau et de l’assainissement (SMDEA) a indiqué, hier soir, lors de son assemblée générale, qu’il allait devoir réaliser des économies, notamment sur ses charges de fonctionnement.

    Mais, pour garder une capacité d’autofinancement satisfaisante, l’organisme va tout de même devoir augmenter ses tarifs.«Faire des économies pour rétablir des marges de manœuvre.» L’expression aura été le maître mot de l’assemblée générale du syndicat mixte de l’eau et de l’assainissement (SMDEA) qui s’est tenue, hier soir, à Mercus-Garrabegt. (Extrait de LDM)Azinat_123_SMDEA(2)

    Avec notre enquête sur les services de l’eau en Ariège lancée il y a une semaine, et l’article publié par la dépêche du Midi (http://www.ladepeche.fr/article/2016/07/08/2381270-smdea-des-economies-pour-continuer-a-investir.html) cela a inspiré CIRE (Alias Eric Patureau) notre illustrateur…

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com

  • L’écomusée d’Alzen, les traditions pour demain

    L’écomusée d’Alzen, les traditions pour demain

    Niché au coeur du parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises, l’Écomusée d’Alzen vous invite à toucher le passer au travers de sa ferme et ses races préservées, son jardin et ses légumes rares, ses corps de ferme anciens, ses expositions, son restaurant et de ses animations.

    l’histoire commence dans les années 90 avec quatre copains qui se réunissaient tous les dimanches matin pour réfléchir au moyen de faire perdurer les traditions. Grace à des financements européens, dont le programme Leader, et à la persévérance d’André Rouch, maire d’Alzen, et ses trois amis, l’écomusée a pu voir le jour.

    La maison et la ferme d’Albert et Sidonie

    Juste avant de mourir, Albert avait demandé au maire de ne rien toucher dans sa maison. La promesse a été tenue. Rien n’a changé dans l’ancien corps de ferme : la cuisine et la salle du rez-de-chaussée, avec son four à pain, sa cuisinière en fonte et ses vieux journaux, la pendule, les chambres et leur mobilier, la veste et le béret d’Albert sont toujours pendus à la patère. Même l’ancien téléviseur est resté en place, où vous pourrez d’ailleurs visionner un reportage fait sur le village dans les années 70.

    Au travers de la ferme, typiquement Ariégeoise, et ces animaux des Pyrénées, on découvre la préservation des races locales pyrénéennes (vache Casta, brebis castillonnaise, chèvre des Pyrénées, cochon noir gascon) et une pratique respectueuse de l’agriculture biologique. 

    Le Jardin

    Aromatique et potager, c’est un lieu idéal de découverte de la nature : des plantes aromatiques, des arbres et des légumes anciens ou oubliés, des variétés locales qui ont disparu de nos assiettes, le compost et toutes les pratiques du jardinage biologique qui permettent d’abandonner les produits phytosanitaires et surtout d’économiser l’eau.

    L’exposition principale

    On y découvre l’histoire d’Alzen, de l’école, de l’église, des champs et du village, ainsi que celle des nombreux petits villages des Pyrénées, des populations qui vivaient de la terre au travers de leurs outils, leurs objets, leurs vieilles photos de classe et les textes d’archives. 

    La Salle des Jougs

    Elle est installée au coeur d’une ancienne étable du corps de ferme, elle met en scène les objets nécessaires au labourage de la terre et au battage des champs.

    Le restaurant

    Au calme de la terrasse, sous l’ombre d’un arbre, La table paysanne offre une cuisine savoureuse, faite à partir des  productions de la ferme et du jardin, ainsi que d’un approvisionnement local en produits bio et fermiers.

    La boutique

    Pour terminer la visite, l’écomusée  vous propose une sélection de création d’artisans locaux : poteries, céramiques, couteaux, outils, livres, jeux…, et des savoureux produits de la ferme, miels et confitures.

    Une plongée dans la vie d’autrefois, un retour aux traditions, un brin de nostalgie dans la maison d’Albert et Sidonie, c’est tout ce que propose l’écomusée et on ne peut que vous conseiller d’y aller.

     

    Adultes  :  5€
    Enfants (-14 ans)  :  2,50€
    Gratuit jusqu’a 4 ans

    ouverture 
    Juin : Samedi et Dimanche  :  10:30 – 18:00
    Juillet & Aout : Tous les jours  :  10:30 – 18:30
    Septembre à Novembre : Samedi et Dimanche :  10:30 – 18:00

    Vidallac
    09240 Alzen

    Contact:
    Tél: 05 61 02 74 51

    Mail: ecomusee.alzen@gmail.com

     

  • La nouvelle édition du Petit Futé ARIEGE vient d’arriver avec, pour les 40 ans du Petit Futé, un service inédit : mypetitfute.com !

    La nouvelle édition du Petit Futé ARIEGE vient d’arriver avec, pour les 40 ans du Petit Futé, un service inédit : mypetitfute.com !

    Ici, nature rime avec culture ; authenticité rime avec solidarité , liberté rime avec fraternité, etc. Bienvenue en Ariège : le pays des grottes peintes ou gigantesques ; des châteaux cassés mais riches d’un passé extraordinaire, ; des musées, des montagnes, des rivières, des isards, des moutons, des vaches et des grands chiens blancs (les pâtous de Belle et Sébastien).

    Mais c’est aussi le pays de la saucisse de foie qui peut être de Foix, de l’Azinat ; le pays de l’ours qui fâche, des chasseurs, des râleurs, des amoureux de la nature… L’Ariège, c’est également l’Histoire avec un patrimoine historique exceptionnel qui couvre 14 000 ans d’histoire et un patrimoine naturel sauvage et respecté.  L’Ariège sait également se faire Culture grâce à un tissu associatif extrêmement développé et original tant sur le plan culturel que sur l’amélioration du cadre de vie et qui offre une dynamique culturelle toujours en action, etc.

    A vous qui allez découvrir cette nouvelle édition du Petit Futé Ariège ; à vous, qui allez découvrir pour la première fois les charmes de ce Pais, soyez-certains que vous tomberez sous le charme de ce département et de ses habitants. Très vite, vous vous y sentirez très vite chez vous ! Parole de Futés !

    LA COLLECTION FRANCE DU PETIT FUTE :  afin de vous accompagner dans vos recherches, le Petit Futé vous propose un concept pratique et efficace pour partir à la découverte du département ; un concept en trois grandes parties. DECOUVERTE : les immanquables ; nature ; économie ; histoire ;  patrimoine & traditions ; le département gourmand ; sports &  loisirs et festivals et manifestations. DE LIEUX EN LIEUX :  Terroirs après terroirs, le département se dévoile par ordre alphabétique de ses communes qui se révèlent sous tous leurs aspects (points d’intérêt, hébergement, restauration, loisirs, shopping, etc.). ORGANISER SON SEJOUR :pour tout savoir sur le département : comment s’y rendre, y circuler, les institutions à connaître, le logement, s’informer, etc.

     

    Le Petit Futé ARIEGE 2016 – 2017
    Collection France  – Version numérique offerte – nouvelle édition
    192 pages – Prix public : 9,95 Euros
    Disponible sur http://boutique.petitfute.com/ariege-2016-2017.html
  • Routes : lancement d’une consultation publique sur le projet de plan de prévention du bruit dans l’environnement

    Routes : lancement d’une consultation publique sur le projet de plan de prévention du bruit dans l’environnement

    En application de la directive européenne correspondante, le Département de l’Ariège met en place un Plan de Prévention du Bruit dans l’Environnement (PPBE). Afin d’informer le public sur cette démarche, il organise une consultation destinée à présenter les enjeux et les objectifs de ce plan.

    Le Conseil Départemental a en effet l’obligation réglementaire de produire le PPBE relatif aux routes départementales, sur la base d’une cartographie du bruit produite par les services de l’Etat. Cette cartographie permet notamment d’identifier les zones bruyantes et les bâtiments potentiellement sensibles (les habitations par exemple) qui pourraient être exposés au-delà des valeurs limites fixées par la réglementation. A partir de ces cartes, un projet de plan de prévention a été élaboré sur les sections de routes départementales concernées.

    Le Conseil Départemental organise donc une consultation publique sur ce projet du lundi 1er août au vendredi 30 septembre.

    Le projet est consultable :

    – sur le site internet du Département : http://www.ariege.fr/Mieux-vivre-ici/

    – à la Direction de la Voirie et des Transports (10 rue Rhin et Danube, à Foix)

    – dans les locaux des Districts des Routes départementales à Pamiers, Tarascon, Lavelanet et Saint-Girons (du lundi au vendredi de 9 heures à 11h30 et de 14h00 à 16 heures).

    Le public peut également présenter ses observations sur le projet de PPBE par courriel : dvt.ppbe@ariege.fr, ainsi que sur les registres mis à disposition sur les sites de consultation.

    A l’issue de cette consultation publique, le PPBE sera soumis à l’approbation du Conseil départemental puis publié sur le site internet du Département.

    Communiqué du CD09

  • Déchets ménagers, et si on compostait ?

    Déchets ménagers, et si on compostait ?

    Selon l’Ademe, chaque année en France, un habitant produit 354 kg d’ordures ménagères (hors déchets verts) collectées par les collectivités locales. Cependant, si l’on prend en compte les déchets professionnels (BTP, industrie, agriculture, activités de soin), on atteint 13,8 tonnes de déchets produits par an et par habitant. Un chiffre qui donne le vertige !

    Une bonne nouvelle, en Ariège nous sommes meilleurs que la majorité des français, puisque chaque ariégeois produit en moyenne 303 kg d’ordures ménagères résiduelles.

    Plus de 300 kg c’est encore beaucoup et l’on peut faire mieux. En effet, ces 300 kg regorgent encore de matériaux recyclables ou valorisables qui sont voués à l’enfouissement et remplissent trop vite les sites d’enfouissement comme, par exemple, le nouveau vallon de stockage de Berbiac*

    1/3 de la poubelle grise est composée de déchets biodégradables

    C’est le constat fait fin 2013 par une caractérisation de nos poubelles qui a été réalisée afin de mieux connaître son contenu. Restes de préparation des repas et végétaux du jardin, ce sont 100 kg par habitant et par an qui peuvent retourner dans les sols. Tout l’enjeu des années à venir c’est donc de vider les poubelles au profit du recyclage.

    Vider la poubelle grise pour augmenter les quantités recyclées

    60% des ariégeois ayant un jardin compostent leurs déchets de jardin et 29% des foyers déclarent composter leurs déchets de cuisine. Il faut donc s’y mettre.

    Et si on adoptait un poule ?

    Un compositeur plus une poule, c’est la combinaison optimale pour la réduction des déchets. Une poule peut manger jusqu’à 150kg de déchets par an, elles présentent de nombreux avantages, complémentaires aux composteurs « classiques » : elles sont friandes de l’ensemble des restes alimentaires, y compris viandes et poissons, et donne en contrepartie de bons œufs (plus de 150 par an et par poule !). Le bénéfice environnemental en termes de réduction des déchets est évident. C’est pourquoi depuis plusieurs années les collectivités locales chargées de la gestion des déchets ménagers en font la promotion, des villes comme Besançon, Châtillon, Colmar… En effet, Les poules

    En Ariège, c’est le Smectom du Plataurel avec le slogan «Sauvez la planète, faites des omelettes !»  qui a lancé, depuis le 1er juin, une opération de mise à disposition de poules auprès de 50 foyers sur la communauté de communes du Pays d’Olmes.

    Si on fait un calcul rapide : 300 kg de déchets – 100 kg de restes de préparation des repas et végétaux du jardin – 150 kg de déchets mangés par les poules = 50 kg de d’ordures à recycler.

    Vous savez ce qu’il vous reste à faire.

    *Le lancement de l’exploitation du 2e vallon du site d’enfouissement des déchets de Berbiac dans l’Ariège a eu lieu le 4 janvier 2016. Il prend le relais du premier site d’enfouissement mis en service en 1998. Le nouveau site a été conçu en mode bioréacteur de manière à optimiser la production et le captage de biogaz, valorisé sur site via une unité de cogénération. Le site accueillera les déchets d’environ 127 000 ariégeois de toute la partie est du département.(www.midipyrenees.fr/-Actualite-Berbiac-09)

    Sources : AdemeSmectom du PlautaurelCommunauté de Communes du Pays d’Olmes

     

  • Salon du Livre de Mirepoix, une belle édition ensoleillée

    Salon du Livre de Mirepoix, une belle édition ensoleillée

    Depuis le Salon de 2015, c’est une équipe motivée et enthousiaste qui oeuvre au bon déroulement du Salon de Livre.

    Grace à Jean-Louis Doumerc « logisticien », qui a déployé des trésors d’imagination, c’est plus de soixante-dix auteurs, éditeurs, associations, bouquinistes et artisans du livre qui se sont côtoyés pendant toute la journée du dimanche 3 juillet sous la Halle au rythme du jazz manouche du groupe « voisin et ami » qui a animé la journée.

    Durant des semaines, le comité de lecture avait longuement débattu autour d’une vingtaine d’ouvrages qui lui avaient été proposés par les auteurs et les éditeurs ; neuf d’entre eux ont été lauréats du prix « Joseph-Laurent Olive » et du « Prix Spécial du Jury ».

    Des auteurs éclectiques qui nous transportent depuis la préhistoire jusqu’à nos jours, en passant par tous les siècles riches, lourds d’événements incontournables, mystérieux ou inconnus.

    Les récompenses

    Prix Joseph-Laurent Olive :

    Agnès et Robert Vinas pour «La croisade de 1285 en Roussillon et Catalogne» – TDO éditions – www.tdo-editions.fr/nos-livres

    Louis IX (saint Louis) et Jaume Ier le Conquérant, en signant le traité de Corbeil en 1258, croyaient avoir mis fin à la rivalité des deux maisons de France et d’Aragon dans le midi : la frontière était fixée aux Corbières, chacun renonçant à ses prétentions, Louis IX sur le sud et Jaume sur le nord, et les deux monarques avaient décidé de marier leurs enfants…

    Prix spécial du Jury :

    Claude Aliquot pour «Les Dardanelles 1915, les soldats oubliés» – Edition du Centenaire

    Sandrine Biyi pour «Cathares» – Edition du Halage editionsduhalage.com

    Juillet 1206 en Agenais. Prunelle et Trojan sont les enfants du seigneur de Durefort. Loup, le fils de serfs est leur meilleur ami. Prunelle est attirée par la nouvelle foi et, avec l’aide de Marie, la prieure, elle essaie de maîtriser les transes dangereuses qui l’envahissent parfois. Trojan rêve de devenir troubadour. Meurtri par le mépris de son père, il se réfugie auprès de Loup qui a fait serment de toujours les protéger. Entre la montée de la foi cathare et la colère du prêtre Bérard qu’elle horrifie, l’inquiétude commence à sourdre.

    Philippe Brassart pour «Le voyage chez les yeux pâles» – Edition Michel Lafon www.michel-lafon.fr/

    1827. Six Indiens osages venus de leur Missouri natal débarquent au Havre avec armes, plumes et bagages. Ils veulent voir comment vivent ceux qu’ils nomment les « Yeux-Pâles ». L’accueil est délirant : on s’arrache les « sauvages » – quatre guerriers et deux femmes. Les voilà à Rouen, et à Paris où le roi Charles X les reçoit. Ils sont exhibés dans les théâtres, des artistes font leur portrait, les gazettes ne parlent que d’eux.

    Jean-Philippe Zanco pour «Boué de Lapeyrère (1852-1924) : l’amiralissime gascon» – Editions Gascogne – jeanphizanco.wordpress.com

    Gaston Boué de Lapeyrère entra dans la marine à l’époque où Jules Verne publiait ses premiers Voyages extraordinaires.
    Sorti dernier de sa promotion de l’Ecole navale, sévèrement noté par ses supérieurs comme peu doué pour le métier de marin, il fut trente ans plus tard le plus jeune vice-amiral de sa génération.

    Bernard Mahoux pour «Jeanne la faussaire» – TDO Editions – www.tdo-editions.fr

    Dès son plus jeune âge, Jeanne est l’objet de toutes les convoitises. Fille du comte d’Auvergne et de Boulogne en Mer, mais abandonnée à l’âge de trois ans par sa mère à la cour de son «oncle » Gaston Fébus, le grand prince pyrénéen, son état de riche héritière fera son malheur…

    Brigitte Gaston-Lagorre pour «Ardoise et tableau noir» – Editions Le Pas d’Oiseau – lepasdoiseau.fr/ecole-montagne

    L’implantation de l’École laïque en zone rurale montagnarde ne s’est pas faite sans obstacles. Mais au fond que sait-on aujourd’hui de l’école d’hier, de cette école qu’un regard brouillé de nostalgie a tendance à idéaliser ?

    Patrick DE Meerleer pour «Le nom du père» – Editions Empreinte –empreinteditions.fr/

    Que faire quand on s’appelle Van de Putte et que le passé nous empêche d’avancer ? Pour changer de vie, Willy vole l’identité de Ted, bûcheron dans les Pyrénées. En allant rendre visite à son père, il fait la connaissance de la jeune Ariane. Leurs vies sont bouleversées.

    Association sur les pas d’Adeline Moulis pour «Folklore enfantin de l’Ariège»

    Toutes les coutumes et superstitions autour du bébé, les berceuses et les comptines qui vont l’accompagner tout au long de son enfance sont transmises dans notre belle langue d’oc ardemment défendue par le Félibre natif de la haute vallée de l’Hers.

    Ils n’ont pas eu de prix mais on les aime quand même

    «Les hommes du Vernet» par les éditions du camp du Vernet

    Bruno FREI, de son vrai nom Benedikt FREISTADT, est interné au camp de concentration du Vernet d’Ariège du 12 octobre 1939 au 17 janvier 1941. En 1948 il écrit en allemand : « Die Männer von Vernet ».

    Yves Carchon pour «Le cerbère du Canal» Editions Aloès

    Troisième opus des aventures du taciturne privé Paolo Fragoni, « Le Cerbère du Canal » est un polar finement élaboré qui chasse sur les territoires du fantastique – www.e-litterature.net

     

  • 2016, c’est reparti pour un Tour !

    2016, c’est reparti pour un Tour !

    L’Ariège et le Tour de France c’est une belle et longue histoire d’Amour. Même s’il ne s’y arrête pas il ne peut s’empêcher d’y passer, normal c’est tellement beau !

    En 2007, 2011 et 2015  arrivée au Plateau de Beille, passage en Basse-Ariège et dans le Couserans en 2014, départ de Saint-Girons en 2013, arrivée à Foix en 2012, départ de Pamiers en 2010, départ de Saint-Girons en 2009, départ de Lavelanet en 2008 (on s’en souvient encore)… on ne va pas remonter jusqu’en 1903 ce serait trop long !

    Tour de France 2016

    Du samedi 2 juillet au dimanche 24 juillet 2016, le 103ème Tour de France comprend 21 étapes pour une distance de 3 535 kilomètres et 198 coureurs (22 équipes de 9 coureurs).

    Parti du Mont SaintMichel pour arriver, bien entendu, sur les Champs-Elysées, le Tour visite trois pays limitrophes : l’Espagne, la Principauté d’Andorre et la Suisse.

    En passant à Mirepoix, les coureurs passeront juste devant nos locaux, nous sortirons donc notre caméra pour tenter de capter des images des champions, s’ils ne passent pas trop vite.

    Rendez vous le 12 juillet sur les routes de l’Ariège ! 

    Ne sera pas baroudeur qui veut sur cette étape qui se prête aux coups d’éclat. Seuls les plus déterminés et solides parviendront à saisir leur chance en quittant Andorre pour s’attaquer immédiatement au Port d’Envalira. Et, une fois à Revel, la bosse de six kilomètres qui conduit à la ligne d’arrivée offrira un tremplin aux puncheurs les plus explosifs. Christian Prudhomme

    www.letour.fr/le-tour/2016

    Crédit photo : CD09

     

  • Le concert de Johnny allume le feu à Pamiers.

    Le concert de Johnny allume le feu à Pamiers.

    S’il y une actu qui n’est pas passée inaperçue, c’est bien la polémique autour du concert de Johnny Halliday. avec notre comparse CIRE, nous ne pouvions pas faire autrement que d’en faire le dessin de la semaine.

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    Le concert de Johnny devait allumer le feu, c’est réussi mais pas comme on pensait.

    Ce devait être l’événement de l’année : l’organisation du stade avait été repensée avec au moins 3000 places en gradins, une scène de 900 m2, 10 à 12 000 personnes attendues…. et flop… à peine la moitié des places de vendues. Notre Johnny national ne fait plus recette !

    Et c’est bien triste pour l’association Pamiers Evénement, pour la ville, mais surtout pour les appaméens qui n’avait rien demandé et à qui on vient de « chipper » 150.000 euros.

    C’est pourquoi notre dessinateur nous a concocté ce petit dessin que vous pourrez à loisir, si vous êtes en colère, imprimer et afficher sur vos voitures , vos vitrines, ou pourquoi pas  l’emmener au concert…

    Toute la musique que j’aime, elle vient de là…

    © Cire Illustrateur www.cirebox.com