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  • Un nouveau Président pour les Francas du Pays de Foix

    Un nouveau Président pour les Francas du Pays de Foix

    L’Assemblée Générale de l’association des Francas du pays de Foix s’est tenue le lundi 20 juin 2016 à la mairie de Foix.

    Parents, élus, partenaires associatifs, bénévoles et salariés ont répondu présents.

    Suite à la présentation et aux votes des différents rapports

    • rapport moral par madame Christine BOURRET, Présidente de l’association
    • rapports financiers 2015 par madame Anne VIVES Directrice Administrative et Financière de l’association, par monsieur Christophe BRECHET expert-comptable et par monsieur Cédric ALBERO Commissaire aux comptes.
    • rapport d’activité par madame BLAZY Pascale Directrice Pédagogique

    la présidente Christine BOURRET a procédé à l’élection de la nouvelle équipe du conseil d’administration. A savoir :

    madame BENNES Claire, madame BOURRET Christine, madame COMBRE RAUSA Sylvie, monsieur DUPLA Jean-Paul, madame HERAUD Sonia, madame LADEVEZE Nathalie, madame MOREIRA BUQUET Sophie, monsieur PATUREAU Eric, madame PASCO Claire, madame PEREZ Magali, monsieur PINTO Joaquim, madame PONT Pascale.

    Les nouveaux membres du bureau élus sont :

    Monsieur Eric PATUREAU Président, madame Christine BOURRET Vice-Présidente, monsieur Joaquim PINTO Trésorier, madame Sonia HERAUD secrétaire, madame Sylvie COMBRE RAUSA secrétaire adjointe.

    On peut retenir de cette Assemblée Générale que l’association des Francas du Pays de Foix est une association d’éducation populaire qui œuvre sur le territoire du Pays de Foix pour le loisir éducatif des enfants. Elle conventionne avec les mairies de Foix et de Montgailhard pour la gestion d’ALAE sur les temps péri scolaires et avec la Communauté de Communes du Pays de Foix pour l’ALSH sur les temps extra scolaires. De plus, elle gère 2 CLAS (contrat local d’accompagnement à la scolarité) sur la ville de Foix dans les quartiers du Courbet et du Capitany.

    Eric Patureau
    Président des Francas du Pays de Foix

  • NomdeMaRégion: et si l’orthographe rentrait en ligne de compte pour le choix ?

    NomdeMaRégion: et si l’orthographe rentrait en ligne de compte pour le choix ?

    Le 24 juin, le nouveau nom de notre grande région sera enfin révélé. Pour le moment, les estimations et contestations vont bon train. En effet, si aujourd’hui « Occitanie » semble en tête, les premières oppositions se font entendre. Une victoire culturelle pour certains, une perte d’identité pour d’autres, c’est un vrai casse-tête qui débute pour les élus régionaux à la recherche d’un nom fédérateur.

    Et si le choix se faisait selon la simplicité d’écriture ?

    C’est la question que s’est posée l’équipe de Cordial, uneTPE toulousaine, experte en correction orthographique avancée, et également concernée par ce choix.

    « Lors de nos votes personnels pour le nouveau nom de région, nous nous sommes aperçus que certaines propositions étaient particulièrement difficiles à orthographier. Nous nous sommes donc penchés sur les difficultés que pourraient rencontrer les habitants ou les touristes en écrivant le nouveau nom. »
    Grâce à l’analyse de plus de vingt ans d’écrits, qui constituent l’Observatoire des écrits Cordial, un classement a pu être établi.

    Si l’on se borne donc au nombre de graphies erronées rencontrées sur chaque nom envisagé, le nouveau nom de région serait « Languedoc » grâce à un sans-faute !

    Sur la deuxième marche du podium arriverait « Occitanie », avec une grande simplicité d’écriture et une seule erreur recensée : le doublement du « n ». Une faute étonnante car seuls 3 mots doublent le « n » dans ce contexte en français (« tyrannie », « ammanie » et « sparmannie »).

    S’en suivrait « Languedoc-Pyrénées » et ses 5 orthographes erronées, à la troisième place.

    Le grand gagnant de la difficulté serait « Pyrénées-Méditerranée » avec 69 erreurs possibles. Un chiffre imbattable grâce à la combinaison de deux mots difficiles, et une grande majorité des erreurs sur l’un des mots le plus mal orthographié de la langue française : « Méditerranée ». Un vrai challenge !

    Un classement qui révèle les difficultés que pourraient rencontrer les français et touristes lors de l’écriture de leurs cartes postales.

    Source : Cordial 20 juin 2016

  • Lavelanet, futur territoire à énergie positive et à croissance verte

    Lavelanet, futur territoire à énergie positive et à croissance verte

    Mardi dernier, c’est avec toute son équipe et devant Marie Lajus, préfète de l’Ariège que Marc Sanchez Maire de Lavelanet présentait le projet « Lavelanet TEPCV » où comment transformer une ville en déclin industriel, en territoire à énergie positive et à croissance verte.

    Plus de 500 projets à Territoires à Energies Positives et à Croissance Verte (TEPCV) sont en phase de développement sur la France. La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte qui a été adoptée à l’Assemblé nationale en juillet 2015 propose, pour 2030, la réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre, la production d’énergie renouvelable à hauteur de 32% de la consommation énergétique finale, la diminution de 20% de notre consommation d’énergie ainsi que réduire à 50% la part du nucléaire dans notre production d’électricité totale à l’horizon 2025.

    C’est dans ce cadre que la Mairie de Lavelanet a répondu à l’appel « Territoire d’avenir » en décembre 2014 où elle a été officiellement « Lauréatisée » le 12 mai dernier à Paris. Le maire Marc Sanchez a tenu à présenter en séance publique, devant ses collaborateurs et la préfète, les grandes lignes du projet. A l’occasion, il a présenté une des véhicules électriques qui sera prochainement acquis par la municipalité.

    Pour le court terme, ce projet propose une requalification  énergétique de l’habitat sur Lavelanet, le développement de nouvelles mobilités et la réduction de la place de la voiture dans le coeur de ville, améliorer la performance énergétique de l’espace public, mettre en valeur le patrimoine naturel (végétal ou aquatique) de la ville et enfin assurer une production d’énergies renouvelables.

    «L’essentiel de ce projet est de montrer que la ville de Lavelanet est en marche pour un nouvel avenir et montrer aux habitants et au gens de l’extérieur ce que nous faisons pour la rendre de nouveau attractive…Il y a une vie à Lavelanet et cette ville va devenir de nouveau attractive et nous souhaitons le faire savoir !» scande Marc Sanchez le maire, qui invitait la presse dans les jardins de la Mairie à découvrir le premier véhicule concrétisant ses propos.

    Le projet de Lavelanet va représenter  2 656 750 euros d’investissements et d’études, il s’organise en 9 actions avec un travail dans un premier temps sur la requalification urbaine via un atelier « Lavelanet 2050« , puis la mise en oeuvre d’un Plan local d’Urbanisme, l’achat de véhicules électriques par la Mairie et la pose de bornes de recharges dans la ville (en collaboration avec le SD09 qui en proposera également de son côté dans le prolongement de cette action)

    «C’est une illustration d’une politique locale qui s’incarne dans une ville comme Lavelanet en lien avec une politique nationale» précise Marie Lajus la préfète de l’Ariège invité ce jour là pour valoriser la collaboration entre la collectivité et les services de l’Etat sur ce projet,  «ce projet est lié à d’autres projets et va permettre concrètement d’accroître l’utilisation du véhicule électrique en ville et favoriser les déplacements doux, tout en recréant une attractivité touristique par un centre ville réaménagé et sortir d’une image d’une ville industrielle en déclin»

    Progressivement Lavelanet devrait voir son entrée de ville modifié pour accepter ces liaisons douces et permettre une traversée de la ville de bout en bout depuis la voie verte au Nord jusqu’au berges du Touyre au Sud.

    «Il faut que les projets soient ambitieux et il faut que l’on puisse travailler ensemble entre les collectivités et l’Etat comme par exemple sur le programme AIDER qui a déjà été utilisé ici sur le Pays d’Olmes pour permettre aux projets d’arriver à leur terme» conclue la préfète de l’Ariège…

     

     

  • Premier tour de chauffe pour la Porcina Fuxi mardi dernier dans les ruelles de Foix

    Premier tour de chauffe pour la Porcina Fuxi mardi dernier dans les ruelles de Foix

    La nouvelle corrida fuxéenne qui aura lieu le 1er juillet en soirée est sur les rails, avec comme capitaine Didier Laguerre qui était à la manoeuvre mardi dernier pour un tour de reconnaissance du parcours avec une cinquantaine de coureurs venus de Foix et des environs.

    «Notre idée trouvée lors d’une participation lors d’un 10 kilomètres à Toulouse, est de proposer un parcours ludique en plein coeur du centre historique de Foix» précise Didier Laguerre, ce centre est un peu oublié et les courses en centre villes deviennent à la mode ces temps-ci ; les adeptes du running sont en croissance et les instances courtes ont leurs « aficionados« .

    Originalité de la course ; elle est organisée avec la confrérie de la saucisse de Foix qui a été créée voilà 5 ans. Cette confrérie essaie d’avoir un regard jeune sur un produit à forte notoriété : la saucisse de foie avec pour mission de promouvoir au-delà des frontières du département la saucisse de foie, et de manière plus générale la charcuterie ariégeoise.

    Cette année, la confrérie a rajouté une corde à son arc : l’organisation d’une course pédestre dans les rues de la Vieille Ville. Elle a confié à Didier Laguerre la délicate mission d’en organiser le parcours.

    La « vedette » de cette première édition sera le château Comtal que les coureurs ne quitteront quasiment jamais des yeux. Ils partiront depuis la Place Saint-Volusien, à la découverte du patrimoine fuxéen : ruelles, « passarots », maisons à colombages, ancienne porte du XVIIème siècle…

    Côté purement sportif, l’intérêt ne manquera pas non plus avec un parcours fait de relances, de quelques pièges inhérents à toute épreuve urbaine (escaliers, rues étroites, bornes…) sur un dénivelé de 166 mètres.

    Au total, deux boucles de 4,150 km. Musique, artistes de rues, orchestres…. l’animation ne manquera pas puisque cette Porcina Fuxi coïncide avec Foir’de Rue, la fête des jeunes.

    La Porcina Fuxi, est une course pédestre organisée par la Confrérie de la Saucisse de Foix, 51, Cours Gabriel-Fauré, 09000 Foix.  Le départ sera donné le vendredi 1er juillet 2016 à 20h30 depuis la Halle Saint-Volusien, à Foix. Le parcours : deux boucles de 4,150 km, 8,3 km au total pour 166 mètres de dénivelé positif. 

    Plus d’informations et inscriptions sur le site de la course http://porcinafuxi.fr

  • Pour une restauration collective locale et biologique

    Pour une restauration collective locale et biologique

    Le CIVAM Bio 09 et la Communauté de Communes du Séronais reçoivent Madame la Députée Frédérique Massat

    Dans le cadre de la discussion nationale sur la loi Allain d’ancrage territorial de l’alimentation, le CIVAM Bio 09 a interpellé les élus députés et sénateur du département sur l’importance de conserver l’amendement exigeant 20% de bio en restauration collective dans la loi.

    Madame la Députée Frédérique Massat a répondu à ces sollicitations et sera en visite avec les représentants du CIVAM Bio 09, le 24 juin prochain sur le site exemplaire de restauration collective biologique de la Communauté de Communes du Séronais.

    La loi proposée à l’étude par la députée Brigitte Allain prévoit d’inciter les restaurants collectifs publics (État et collectivités territoriales) à se fournir à hauteur de « 40% en produits durables (locaux, de qualité) », « dont 20% de produits bio» d’ici 2020. Après avoir été adoptée à l’unanimité au Parlement, le Sénat a voté un amendement supprimant le seuil des 20% de bio rétorquant des contraintes techniques et financières non justifiées.

    A l’heure où de plus en plus d’agriculteurs se tournent vers le cahier des charges bio et que les surfaces en bio sont en plein essor (+23% de surfaces nationales en bio entre 2014 et 2015 pour atteindre en Ariège 18% de la surface agricole en bio), il serait dommageable pour notre territoire de supprimer ces 20%. Cette loi peut être un véritable levier pour encourager le monde agricole et les collectivités à construire conjointement un projet alimentaire territorialisé et respectueux de l’environnement, de la biodiversité et de la santé de nos concitoyens.

    Les professionnels de la bio, à travers leur réseau national la FNAB et leurs structures départementales, le CIVAM Bio 09 en Ariège, accompagnent des projets de ce type sur nos territoires depuis plus de 15 ans et bénéficient ainsi de retours d’expériences positifs à budgets et approvisionnements maîtrisés, permettant de prouver la faisabilité de cet objectif de produits bios.

    La démarche « Bien Manger Ensemble en Séronais » est une de ces expériences réussie et pérenne en Ariège.

    En tant que premier territoire ayant initié une restauration biologique locale sur notre département, accompagné par le CIVAM Bio 09 dès le début, la cuisine centrale du Séronais atteint aujourd’hui 44% d’achats en produits bio et 40% de produits locaux (dont plus de la moitié en bio) et fait travailler nombreux producteurs et artisans locaux. Lors de sa visite, Madame la Députée aura l’opportunité de rencontrer les acteurs multiples de ce projet (élus, cuisiniers, gestionnaires, producteurs…).

    Cette rencontre sera aussi l’occasion d’échanger sur les arguments en faveur de la bio en restauration collective, éléments qui nous l’espérons permettront d’appuyer les nouvelles discussions sur la loi Allain prévue prochainement à Paris !

  • Ariège, 1 ourse, 3 oursons et 10 djihadistes ?

    Ariège, 1 ourse, 3 oursons et 10 djihadistes ?

    Le 14 juin 2016, l’Equipe Ours de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage a relevé une série de vidéos automatiques montrant une ourse suitée de trois oursons âgés d’environ 5 mois, Apprend t’on dans l’édition du 17 juin de la DDM.

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    Dans cette même édition, Marie Lajus, préfète de l’Ariège, explique que dans notre département, les forces de l’ordre s’intéressent de près à une dizaine de personnes radicalisées ou qui pourraient basculer.

    Ces personnes bénéficient de 3 trois niveaux de suivi explique t’elle : le suivi sécuritaire, l’accompagnement individuel et la prévention élargie à tout public.

    Pourraient-on faire de même avec nos plantigrades pour épargner nos brebis ?

    www.ladepeche.fr/article/2016/06/17/2367581-ourse-trois-oursons-detectes

    www.ladepeche.fr/article/2016/06/17/2367490-radicalisation-plus-d-une-dizaine-de-personnes-suivies-en-arieg

  • «Mountain Days» aux Monts-d’Olmes, pour une montagne propre

    «Mountain Days» aux Monts-d’Olmes, pour une montagne propre

    Le 8 juin dernier la station des Monts d’Olmes, en collaboration avec le Lycée Professionnel Jacquard de Lavelanet, organisait une « Opération de nettoyage des pistes » dans le cadre des « Mountain Days« .

    Cette initiative de ramassages de déchets en montagne existe depuis 2001 et travaille à la promotion du développement durable sur les différents territoires de montagne en France sous la forme des « Mountain Days » organisés par l’association « Mountain Riders »

    C’est la première année que la station des Monts d’Olmes participe à cet événement.

    «Participer à cette opération est apparu aux élèves, et à tout le monde au lycée, comme quelque chose de naturel.» explique Bruno Pasquet le Proviseur, «Nous formons aux métiers qui existent en station, nos élèves sont les futurs acteurs de la montagne de demain et souhaitent avoir une montagne propre».

    En ce mercredi ensoleillé, c’est donc une quinzaine d’élèves de 3ème et seconde et une dizaine de bénévoles qui se sont déployés sur les pistes de Pradeilles, Baby et Sources. Avec Nathalie Quérol, coordinatrice de l’opération, armés de gants et de sacs poubelles, ils ont ainsi récolté 35 kg de déchets.

    Venu en bénévole, Denis Daudet président de l’association « Monts d’Olmes Passion »* se réjoui de cette opération : «C’est très important, parce que cela marque la volonté des nouveaux gestionnaires, la SAVASEM avec qui nous avons vécu une première saison d’hiver extraordinaire, de développer la saison d’été. Cette nouvelle animation peur faire un lien, dans l’avenir entre les deux saisons.»

    *Monts d’Olmes Passion est une association dédiée à l’animation des Monts d’Olmes (descentes aux flambeaux, vins chauds..). Elle réuni des particuliers (habitants des Monts d’Olmes et vacanciers) ainsi que des structures et des commerçants. 

  • Bestiac, sur les routes en Ariège

    Bestiac, sur les routes en Ariège

    La petite commune de Bestiac se trouve dans massif de Tabe près de Luzenac à 860 mètres d’altitude

    « Vestiac », en 1074, est donné à l’abbaye de Cluny par le comte de Foix, Roger II, elle dépendra ensuite de l’abbaye de Lagrasse dans le département de l’Aude en plein coeur des Corbières.

    C’est en 1272, que l’on retrouve Bestiac dans la délimitation du comté de Foix

    En 1909, l’Annuaire de l’Ariège signale une mine d’or au quartier dit Fount-Fenouse, mais qui n’est pas exploitée…

    En 1793, la commune comptait 107 habitants, en 2013 elle n’en comptait plus que 20.

    Bestiac est sur le chemin de randonnée en basse vallée de Caussou voir sur : www.photosariege.com/search/bestiac/

  • La « démarche Bien Manger Ensemble en Séronais »

    La « démarche Bien Manger Ensemble en Séronais »

    La démarche «bien manger ensemble en Séronais» est née d’une volonté commune des parents d’élèves, élus, cuisiniers, animateurs, enseignants et producteurs de la communauté de communes du séronais de sensibiliser les enfants à une alimentation de qualité et relocalisée.

    Ce projet, qui a vu le jour dans les années 2000 et qui a été accompagné par le CIVAM Bio 09 (association des producteurs bio du département), a permis de développer des approvisionnements bio locaux à la cuisine centrale tout en accompagnant les enfants sur leur consommation via des outils de sensibilisation développés par les équipes pédagogiques.

    Quelques éléments clés :

    •  Cuisine centrale à l’échelle de la Communauté de Communes du Séronais
    •  Préparation des repas pour les enfants des 6 écoles primaires et de la crèche du territoire, les enfants du centre de loisirs en période de vacances scolaires, le portage des repas des personnes âgées du territoire, la crèche de Saint Girons et l’école de St Martin de Caralp
    • 56482 repas dont 23 257 repas bios, dont 42 983 pour les enfants (plus de 300 repas par jours). En plus des 2 repas bios du lundi et mardi, de nombreux produits bios sont servis tous les jours.

    Les résultats en termes de coûts et approvisionnements

    En Séronais, le coût des approvisionnements pour l’année 2015 est de 1,69 € en moyenne sur l’ensemble des repas des enfants de la cantine scolaire. Concernant les repas bios, la moyenne est de 1,77 €/repas. L’évolution entre 2005 et 2015 est de +10 % sur le coût matière global et +3.5% sur le coût matière des repas bios. Ceci montre que des approvisionnements de mieux en mieux maîtrisés permettent de limiter l’impact budgétaire l’opération et même en bio !

    Les approvisionnements proviennent à 53.4 % d’acteurs du département (dont 20 % du Séronais), c’est-à-dire directement auprès des agriculteurs ou artisans et petits commerçants locaux. Ces achats locaux s’élèvent à 33 % pour les produits conventionnels et à 50% pour les produits biologiques, l’impact territorial est donc un peu plus important pour les produits bios. Concernant l’appui de l’opération à l’agriculture locale, il est important de noter l’importance de l’agriculture biologique pour le tissu local puisque 35% des approvisionnements biologiques proviennent directement des fermes biologiques d’Ariège (pour les produits conventionnels, seulement 15% proviennent directement des fermes). Au total, ce sont 38 acteurs qui sont impliqués dans l’approvisionnement de la cuisine centrale, dont 32 du département, 19 agriculteurs (ou groupe d’agriculteurs) et 11 artisans, commerçants ou petits transformateurs. Ceci montre que l’opération Bien Manger Ensemble en Séronais a un impact non négligeable sur le dynamisme économique du territoire.

    Côté accompagnement…

    La démarche a été lancée grâce à la mobilisation de tous les acteurs dès le début et animée par le CIVAM Bio 09 afin de faciliter la progression adaptée du projet au fur et à mesure de son avancement.
    Par ailleurs, au côté des enfants, des animateurs professionnels présentent le territoire aux enfants à travers les déjeuners servis sur la pause méridienne. Des animations destinées aux jeunes « découvertes des métiers du territoire» s’invitent directement chez les producteurs locaux tout au long de l’année scolaire sur les temps périscolaires (temps ALAE) ou extra scolaire.

  • Internat du Montcalm, pour une scolarité de plein air !

    Internat du Montcalm, pour une scolarité de plein air !

    C’est déjà le moment de penser à la rentrée prochaine !

    Un internat dans un cadre idyllique, une équipe pédagogique à l’écoute des enfants, des activités périscolaires au top : escalade, randonnée, ski, théâtre, cirque, …

    L’internat du collège du Montcalm, situé au pied des montagnes ariégeoises, au cœur du Parc Naturel des Pyrénées ariégeoises, offre un cadre idéal pour des études sérieuses, dirigé par une équipe des plus compétente, à l’écoute des élèves, de leur bien-être et soucieuse de leur avenir.

    En pleine nature, à 650 m d’altitude, le collège de Vicdessos et l’internat se sont orientés vers un axe sportif, offrant aux élèves la possibilité de pratiquer toutes les activités sportives outdoor.

    Vices champions académiques de Midi-Pyrénées, 1er d’Ariège en athlétisme et en escalade, des sections montagne et équitation, du ski, du canyoning, du théâtre, du cirque en activités périscolaires, … de quoi avoir « un esprit sain dans un corps sain » !!

    Et pour finir, des résultats des internes au brevet des collèges supérieurs à la moyenne nationale !

    Plus d’infos sur scolarite-internat.cc-valleeduvicdessos.fr/linternat…

  • « Les Vierges laïques », un roman où l’Ariège est au centre de l’action

    « Les Vierges laïques », un roman où l’Ariège est au centre de l’action

    Ce roman, écrit après-guerre et enfin publié, est un puissant et émouvant témoignage sur ces « Vierges laïques », qui par les circonstances de leur vie, dans le célibat, se sont données corps et âme à leur vocation, l’enseignement.

    Marguerite Peyre, née Bétolaud à Paris (1882-1975) fut institutrice et directrice dans plusieurs arrondissements de Paris. Elle a pris sa retraite en 1935 dans l’Ariège avec son mari qui en était originaire. Passionnée de littérature et d’histoire, elle consacra dès lors ses loisirs à la lecture et l’écriture, sans jamais publier de son vivant. « J’ai un plaisir infini à égayer mon présent en évoquant mes souvenirs d’enfance, et à essayer de les raconter », écrivait-elle en 1952.

    affiche viergeslaiquesDans un petit village des Pyrénées ariégeoises, Jeanne-Marie, enfant abandonnée et élevée par des agriculteurs, est repérée par son institutrice qui s’attache à elle et l’incite à suivre la même voie. Jeanne-Marie s’engage à son tour dans la mission des instituteurs des années 1930. Leur objectif : redonner vie aux campagnes qui se dépeuplent en encourageant la jeunesse à rester au pays. Cette situation l’amène à se donner entièrement à son métier d’institutrice. Vivant dans un certain isolement, elle n’aura de cesse de s’interroger, non sans souffrance, sur son origine et la raison de son abandon par ses parents inconnus.

    Jacques Boussuge le petit-fils de l’auteure, a retrouvé ce manuscrit jamais publié et l’a fait lire à la libraire des Beaux Livres d’Ax-les-Thermes, qui l’a orienté vers les éditions «Le Pas d’oiseaux». Ces derniers ont décidé de le publier pour sa qualité littéraire mais aussi pour sa valeur de témoignage sur ce qu’était l’école en Ariège à cette époque.

    Jacques Boussuge, est très impliqué dans la vie culturelle (patrimoine) dans les vallées d’Ax. Il sera sur le stand «Le Pas d’oiseaux» à l’occasion du salon du livre de Mirepoix le dimanche 3 juillet pour présenter ce livre.

    lepasdoiseau.fr/vierges-laiques/

  • Un FabLab éphémère à la Chambre des Métiers les 1er et 2 juillet

    Un FabLab éphémère à la Chambre des Métiers les 1er et 2 juillet

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    C’est le 1er et 2 juillet que nous pourrons découvrir FLAME, la version « Beta » ou éphémère du futur FabLab de la Chambre des métiers de l’Ariège. Bien que le terme commence à ressortir dans la presse et dans le langage « entrepreneurial », revenons sur l’objectif d’un FabLab en même temps que sur les ambitions de la Chambre des Métiers.

    Un FabLab est un lieu ouvert au public, dans lequel il est mis à sa disposition des outils de fabrication numérique. L’objectif est de permettre à n’importe qui de pouvoir tester, fabriquer, développer, prototyper son projet, en lui facilitant l’accès à des moyens techniques et intellectuels par le partage des connaissances.

    Un lieu d’échange et de partage avant tout

    C’est la variété des connaissances et la pluridisciplinarité des individus qui font la force du Fablab, et qui permet de travailler sur tous les aspects de la fabrication d’un produit, d’une solution, d’une idée. L’objectif est de redonner aux individus le pouvoir de produire des objets eux-mêmes et avec les autres.

    Il existe une cinquantaine de structures sur notre territoire national, et de nombreux projets sont à l’étude dont deux en Ariège.

    «Les Fablabs sont d’abord des lieux d’échanges où l’entreprise artisanale pourra trouver des compétences et apporter ses savoir-faire »précise Gérard Roux porteur du projet à la CMA.

    La Chambre souhaite cibler notamment les métiers d’art et de l’agencement car la démarche Fablab partage avec les métiers d’arts le besoin de l’échange, de l’interdisciplinarité et de la créativité. Les métiers d’art apportent à l’artisanat une ouverture vers la culture, l’éducation et le tourisme, ouverture ancrée dans la tradition le respect des matières premières et des savoir-faire.

    Une proximité avec le CFM qui ne peut qu’être propice à l’initiative 

    «La proximité avec le CFM apportera une contribution en savoir-faire et en matériel mais également un dynamisme et une ouverture vers l’avenir des professions.

    Par cet outil et les nouvelles technologies, nous voudrions donner aux jeunes du CFA le goût de concevoir, de mener des projets, de fabriquer des objets . Ainsi nous pensons pouvoir les rendre plus ambitieux dans leur démarche professionnelle et leur donner envie d’être un jour des créateurs.» conclue Gérard Roux qui nous donne rendez-vous les 1er et 2 juillet pour ce test grandeur nature !