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  • L’écomusée d’Alzen, les traditions pour demain

    L’écomusée d’Alzen, les traditions pour demain

    Niché au coeur du parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises, l’Écomusée d’Alzen vous invite à toucher le passer au travers de sa ferme et ses races préservées, son jardin et ses légumes rares, ses corps de ferme anciens, ses expositions, son restaurant et de ses animations.

    l’histoire commence dans les années 90 avec quatre copains qui se réunissaient tous les dimanches matin pour réfléchir au moyen de faire perdurer les traditions. Grace à des financements européens, dont le programme Leader, et à la persévérance d’André Rouch, maire d’Alzen, et ses trois amis, l’écomusée a pu voir le jour.

    La maison et la ferme d’Albert et Sidonie

    Juste avant de mourir, Albert avait demandé au maire de ne rien toucher dans sa maison. La promesse a été tenue. Rien n’a changé dans l’ancien corps de ferme : la cuisine et la salle du rez-de-chaussée, avec son four à pain, sa cuisinière en fonte et ses vieux journaux, la pendule, les chambres et leur mobilier, la veste et le béret d’Albert sont toujours pendus à la patère. Même l’ancien téléviseur est resté en place, où vous pourrez d’ailleurs visionner un reportage fait sur le village dans les années 70.

    Au travers de la ferme, typiquement Ariégeoise, et ces animaux des Pyrénées, on découvre la préservation des races locales pyrénéennes (vache Casta, brebis castillonnaise, chèvre des Pyrénées, cochon noir gascon) et une pratique respectueuse de l’agriculture biologique. 

    Le Jardin

    Aromatique et potager, c’est un lieu idéal de découverte de la nature : des plantes aromatiques, des arbres et des légumes anciens ou oubliés, des variétés locales qui ont disparu de nos assiettes, le compost et toutes les pratiques du jardinage biologique qui permettent d’abandonner les produits phytosanitaires et surtout d’économiser l’eau.

    L’exposition principale

    On y découvre l’histoire d’Alzen, de l’école, de l’église, des champs et du village, ainsi que celle des nombreux petits villages des Pyrénées, des populations qui vivaient de la terre au travers de leurs outils, leurs objets, leurs vieilles photos de classe et les textes d’archives. 

    La Salle des Jougs

    Elle est installée au coeur d’une ancienne étable du corps de ferme, elle met en scène les objets nécessaires au labourage de la terre et au battage des champs.

    Le restaurant

    Au calme de la terrasse, sous l’ombre d’un arbre, La table paysanne offre une cuisine savoureuse, faite à partir des  productions de la ferme et du jardin, ainsi que d’un approvisionnement local en produits bio et fermiers.

    La boutique

    Pour terminer la visite, l’écomusée  vous propose une sélection de création d’artisans locaux : poteries, céramiques, couteaux, outils, livres, jeux…, et des savoureux produits de la ferme, miels et confitures.

    Une plongée dans la vie d’autrefois, un retour aux traditions, un brin de nostalgie dans la maison d’Albert et Sidonie, c’est tout ce que propose l’écomusée et on ne peut que vous conseiller d’y aller.

     

    Adultes  :  5€
    Enfants (-14 ans)  :  2,50€
    Gratuit jusqu’a 4 ans

    ouverture 
    Juin : Samedi et Dimanche  :  10:30 – 18:00
    Juillet & Aout : Tous les jours  :  10:30 – 18:30
    Septembre à Novembre : Samedi et Dimanche :  10:30 – 18:00

    Vidallac
    09240 Alzen

    Contact:
    Tél: 05 61 02 74 51

    Mail: ecomusee.alzen@gmail.com

     

  • Déchets ménagers, et si on compostait ?

    Déchets ménagers, et si on compostait ?

    Selon l’Ademe, chaque année en France, un habitant produit 354 kg d’ordures ménagères (hors déchets verts) collectées par les collectivités locales. Cependant, si l’on prend en compte les déchets professionnels (BTP, industrie, agriculture, activités de soin), on atteint 13,8 tonnes de déchets produits par an et par habitant. Un chiffre qui donne le vertige !

    Une bonne nouvelle, en Ariège nous sommes meilleurs que la majorité des français, puisque chaque ariégeois produit en moyenne 303 kg d’ordures ménagères résiduelles.

    Plus de 300 kg c’est encore beaucoup et l’on peut faire mieux. En effet, ces 300 kg regorgent encore de matériaux recyclables ou valorisables qui sont voués à l’enfouissement et remplissent trop vite les sites d’enfouissement comme, par exemple, le nouveau vallon de stockage de Berbiac*

    1/3 de la poubelle grise est composée de déchets biodégradables

    C’est le constat fait fin 2013 par une caractérisation de nos poubelles qui a été réalisée afin de mieux connaître son contenu. Restes de préparation des repas et végétaux du jardin, ce sont 100 kg par habitant et par an qui peuvent retourner dans les sols. Tout l’enjeu des années à venir c’est donc de vider les poubelles au profit du recyclage.

    Vider la poubelle grise pour augmenter les quantités recyclées

    60% des ariégeois ayant un jardin compostent leurs déchets de jardin et 29% des foyers déclarent composter leurs déchets de cuisine. Il faut donc s’y mettre.

    Et si on adoptait un poule ?

    Un compositeur plus une poule, c’est la combinaison optimale pour la réduction des déchets. Une poule peut manger jusqu’à 150kg de déchets par an, elles présentent de nombreux avantages, complémentaires aux composteurs « classiques » : elles sont friandes de l’ensemble des restes alimentaires, y compris viandes et poissons, et donne en contrepartie de bons œufs (plus de 150 par an et par poule !). Le bénéfice environnemental en termes de réduction des déchets est évident. C’est pourquoi depuis plusieurs années les collectivités locales chargées de la gestion des déchets ménagers en font la promotion, des villes comme Besançon, Châtillon, Colmar… En effet, Les poules

    En Ariège, c’est le Smectom du Plataurel avec le slogan «Sauvez la planète, faites des omelettes !»  qui a lancé, depuis le 1er juin, une opération de mise à disposition de poules auprès de 50 foyers sur la communauté de communes du Pays d’Olmes.

    Si on fait un calcul rapide : 300 kg de déchets – 100 kg de restes de préparation des repas et végétaux du jardin – 150 kg de déchets mangés par les poules = 50 kg de d’ordures à recycler.

    Vous savez ce qu’il vous reste à faire.

    *Le lancement de l’exploitation du 2e vallon du site d’enfouissement des déchets de Berbiac dans l’Ariège a eu lieu le 4 janvier 2016. Il prend le relais du premier site d’enfouissement mis en service en 1998. Le nouveau site a été conçu en mode bioréacteur de manière à optimiser la production et le captage de biogaz, valorisé sur site via une unité de cogénération. Le site accueillera les déchets d’environ 127 000 ariégeois de toute la partie est du département.(www.midipyrenees.fr/-Actualite-Berbiac-09)

    Sources : AdemeSmectom du PlautaurelCommunauté de Communes du Pays d’Olmes

     

  • Salon du Livre de Mirepoix, une belle édition ensoleillée

    Salon du Livre de Mirepoix, une belle édition ensoleillée

    Depuis le Salon de 2015, c’est une équipe motivée et enthousiaste qui oeuvre au bon déroulement du Salon de Livre.

    Grace à Jean-Louis Doumerc « logisticien », qui a déployé des trésors d’imagination, c’est plus de soixante-dix auteurs, éditeurs, associations, bouquinistes et artisans du livre qui se sont côtoyés pendant toute la journée du dimanche 3 juillet sous la Halle au rythme du jazz manouche du groupe « voisin et ami » qui a animé la journée.

    Durant des semaines, le comité de lecture avait longuement débattu autour d’une vingtaine d’ouvrages qui lui avaient été proposés par les auteurs et les éditeurs ; neuf d’entre eux ont été lauréats du prix « Joseph-Laurent Olive » et du « Prix Spécial du Jury ».

    Des auteurs éclectiques qui nous transportent depuis la préhistoire jusqu’à nos jours, en passant par tous les siècles riches, lourds d’événements incontournables, mystérieux ou inconnus.

    Les récompenses

    Prix Joseph-Laurent Olive :

    Agnès et Robert Vinas pour «La croisade de 1285 en Roussillon et Catalogne» – TDO éditions – www.tdo-editions.fr/nos-livres

    Louis IX (saint Louis) et Jaume Ier le Conquérant, en signant le traité de Corbeil en 1258, croyaient avoir mis fin à la rivalité des deux maisons de France et d’Aragon dans le midi : la frontière était fixée aux Corbières, chacun renonçant à ses prétentions, Louis IX sur le sud et Jaume sur le nord, et les deux monarques avaient décidé de marier leurs enfants…

    Prix spécial du Jury :

    Claude Aliquot pour «Les Dardanelles 1915, les soldats oubliés» – Edition du Centenaire

    Sandrine Biyi pour «Cathares» – Edition du Halage editionsduhalage.com

    Juillet 1206 en Agenais. Prunelle et Trojan sont les enfants du seigneur de Durefort. Loup, le fils de serfs est leur meilleur ami. Prunelle est attirée par la nouvelle foi et, avec l’aide de Marie, la prieure, elle essaie de maîtriser les transes dangereuses qui l’envahissent parfois. Trojan rêve de devenir troubadour. Meurtri par le mépris de son père, il se réfugie auprès de Loup qui a fait serment de toujours les protéger. Entre la montée de la foi cathare et la colère du prêtre Bérard qu’elle horrifie, l’inquiétude commence à sourdre.

    Philippe Brassart pour «Le voyage chez les yeux pâles» – Edition Michel Lafon www.michel-lafon.fr/

    1827. Six Indiens osages venus de leur Missouri natal débarquent au Havre avec armes, plumes et bagages. Ils veulent voir comment vivent ceux qu’ils nomment les « Yeux-Pâles ». L’accueil est délirant : on s’arrache les « sauvages » – quatre guerriers et deux femmes. Les voilà à Rouen, et à Paris où le roi Charles X les reçoit. Ils sont exhibés dans les théâtres, des artistes font leur portrait, les gazettes ne parlent que d’eux.

    Jean-Philippe Zanco pour «Boué de Lapeyrère (1852-1924) : l’amiralissime gascon» – Editions Gascogne – jeanphizanco.wordpress.com

    Gaston Boué de Lapeyrère entra dans la marine à l’époque où Jules Verne publiait ses premiers Voyages extraordinaires.
    Sorti dernier de sa promotion de l’Ecole navale, sévèrement noté par ses supérieurs comme peu doué pour le métier de marin, il fut trente ans plus tard le plus jeune vice-amiral de sa génération.

    Bernard Mahoux pour «Jeanne la faussaire» – TDO Editions – www.tdo-editions.fr

    Dès son plus jeune âge, Jeanne est l’objet de toutes les convoitises. Fille du comte d’Auvergne et de Boulogne en Mer, mais abandonnée à l’âge de trois ans par sa mère à la cour de son «oncle » Gaston Fébus, le grand prince pyrénéen, son état de riche héritière fera son malheur…

    Brigitte Gaston-Lagorre pour «Ardoise et tableau noir» – Editions Le Pas d’Oiseau – lepasdoiseau.fr/ecole-montagne

    L’implantation de l’École laïque en zone rurale montagnarde ne s’est pas faite sans obstacles. Mais au fond que sait-on aujourd’hui de l’école d’hier, de cette école qu’un regard brouillé de nostalgie a tendance à idéaliser ?

    Patrick DE Meerleer pour «Le nom du père» – Editions Empreinte –empreinteditions.fr/

    Que faire quand on s’appelle Van de Putte et que le passé nous empêche d’avancer ? Pour changer de vie, Willy vole l’identité de Ted, bûcheron dans les Pyrénées. En allant rendre visite à son père, il fait la connaissance de la jeune Ariane. Leurs vies sont bouleversées.

    Association sur les pas d’Adeline Moulis pour «Folklore enfantin de l’Ariège»

    Toutes les coutumes et superstitions autour du bébé, les berceuses et les comptines qui vont l’accompagner tout au long de son enfance sont transmises dans notre belle langue d’oc ardemment défendue par le Félibre natif de la haute vallée de l’Hers.

    Ils n’ont pas eu de prix mais on les aime quand même

    «Les hommes du Vernet» par les éditions du camp du Vernet

    Bruno FREI, de son vrai nom Benedikt FREISTADT, est interné au camp de concentration du Vernet d’Ariège du 12 octobre 1939 au 17 janvier 1941. En 1948 il écrit en allemand : « Die Männer von Vernet ».

    Yves Carchon pour «Le cerbère du Canal» Editions Aloès

    Troisième opus des aventures du taciturne privé Paolo Fragoni, « Le Cerbère du Canal » est un polar finement élaboré qui chasse sur les territoires du fantastique – www.e-litterature.net

     

  • 2016, c’est reparti pour un Tour !

    2016, c’est reparti pour un Tour !

    L’Ariège et le Tour de France c’est une belle et longue histoire d’Amour. Même s’il ne s’y arrête pas il ne peut s’empêcher d’y passer, normal c’est tellement beau !

    En 2007, 2011 et 2015  arrivée au Plateau de Beille, passage en Basse-Ariège et dans le Couserans en 2014, départ de Saint-Girons en 2013, arrivée à Foix en 2012, départ de Pamiers en 2010, départ de Saint-Girons en 2009, départ de Lavelanet en 2008 (on s’en souvient encore)… on ne va pas remonter jusqu’en 1903 ce serait trop long !

    Tour de France 2016

    Du samedi 2 juillet au dimanche 24 juillet 2016, le 103ème Tour de France comprend 21 étapes pour une distance de 3 535 kilomètres et 198 coureurs (22 équipes de 9 coureurs).

    Parti du Mont SaintMichel pour arriver, bien entendu, sur les Champs-Elysées, le Tour visite trois pays limitrophes : l’Espagne, la Principauté d’Andorre et la Suisse.

    En passant à Mirepoix, les coureurs passeront juste devant nos locaux, nous sortirons donc notre caméra pour tenter de capter des images des champions, s’ils ne passent pas trop vite.

    Rendez vous le 12 juillet sur les routes de l’Ariège ! 

    Ne sera pas baroudeur qui veut sur cette étape qui se prête aux coups d’éclat. Seuls les plus déterminés et solides parviendront à saisir leur chance en quittant Andorre pour s’attaquer immédiatement au Port d’Envalira. Et, une fois à Revel, la bosse de six kilomètres qui conduit à la ligne d’arrivée offrira un tremplin aux puncheurs les plus explosifs. Christian Prudhomme

    www.letour.fr/le-tour/2016

    Crédit photo : CD09

     

  • Maison Savignac à Foix, un savoir-faire séculaire

    Maison Savignac à Foix, un savoir-faire séculaire

    Au pied du Château des comtes de Foix, dans la rue des Marchands, la coutellerie Savignac est une enseigne bien connue des ariégeois.

    Si l’enseigne SAVIGNAC existe depuis 1893, son histoire est bien plus ancienne :  On en retrouve la première trace chez la famille Roques dont le père, maitre coutelier né en 1754, avait une coutellerie rue Azema à Foix qu’il transmit à son neveu Grat. Par la suite, son fils Ferdinand Grat (maitre coutelier) repris l’affaire et s’installa à quelques rues de là, dans la rue des marchands au numéro 15. A sa mort, il légua l’établissement à son épouse Jeanne Savignac et c’est ainsi que l’établissement devint la maison SAVIGNAC.

    Et c’est toujours au N° 15 que l’on trouve cette vieille échoppe qui a traversé les ans, voire les siècles.

    Olivier Montariol est la septième génération, il a repris les rennes de l’entreprise en 2007 pour développer la gamme de couteaux. «J’ai fais un choix de changement de vie et j’ai décidé de reprendre l’affaire familialeJ’ai mis un doigt dans l’engrenage de la coutellerie et je m’y suis abandonné, je suis complètement mordu de coutellerie» explique t’il.

    Dans la gamme de couteaux on trouve le Roques, le Grat, le Cathare, mais surtout l’Ariégeois, «fer de lance» de la gamme. Ce couteau est inspiré du capucin traditionnel. Les pointes de corne étant trop courtes pour préparer un manche droit, le capucin Ariégeois se fabriqua courbe du fait de cette contrainte de production. Par la suite, cette contrainte devint la spécifié de la production. Etant fabriqué dans l’atelier de Foix il fut nommé l’Ariégeois.

    Les deux dernières productions de la maison sont le Phasme dont la ligne moderne fait penser aux anciens « coupe-chou » et le montagnol, plus simple, se rapprochant des couteaux de poche originels.

    L’ensemble de la production est fabriquée dans l’atelier de Foix avec deux modes de fabrication : Certaines lames sont fabriquées à Thiers et assemblées à Foix et certaines sont entièrement fabriquée dans l’atelier. C’est là qu’exerce Stéphane Auberthié, artisan coutelier qui à rejoint l’entreprise en mars 2015.

    Aujourd’hui, l’entreprise a atteint un niveau d’outillage avec lequel elle est en capacité de fabriquer un couteau de A à Z. «L’idée du développement de l’entreprise, explique Olivier, c’est de se réapproprier au maximum l’ensemble des savoir-faire de la coutellerie existants et de créer de l’emploi.»

    Avec 80 000 Ariégeois vendus et des couteaux expédiés aux Etats-Unis, en Angleterre, en Suède, en Hongrie, au Japon… l’entreprise Savignac a encore de beaux jours devant elle, et on s’en réjouit.

    www.couteau-savignac.com

     

  • Expérimentation de la « Georgette » au collège du Sabarthés

    Expérimentation de la « Georgette » au collège du Sabarthés

    Le Conseil Départemental responsable de la restauration scolaire dans les collèges a engagé une expérimentation originale, sur le thème de la « Georgette », au collège du Sabarthès à Tarascon.

    Couvert original né de l’ingéniosité et de la persévérance d’un entrepreneur ariégeois installé à Saint-Lizier, la « Georgette » a obtenu une médaille d’or pour son design à l’occasion du récent Concours Lépine.

    A la fois fourchette, cuillère et couteau, la « Georgette » présente un potentiel économique et en matière de notoriété que le Conseil Départemental souhaite accompagner en l’expérimentant grandeur nature. Des impacts positifs sont également attendus en matière d’économie d’eau et d’énergie.

    Cette expérimentation à été menée avec les demi-pensionnaires et les personnels de l’établissement du jeudi 9 au mardi 21 juin 2016. Une urne et un questionnaire ont mis à disposition des élèves et des enseignants pour recueillir leurs premières impressions.

    C’est le vendredi 17 juin, date du repas ariégeois mensuel initié par le Département en 2008 dans sa volonté de valoriser les produits locaux et les filières courtes dans l’approvisionnement des restaurants scolaires de l’Ariège, que Jacques Briand inspecteur d’académie, Henri Nayrou Président du Conseil Départemental ainsi que la presse étaient invités à cette expérimentation.

    «Cela nous permet de manifester la qualité des relations entre le Conseil Départemental et l’Education Nationale Explique Monsieur Briand, mais aussi de soutenir tout ce qui concerne l’innovation et tout le travail qui est fait dans le département.»

    Henri Nayrou, quant à lui, a exprimé sa volonté de continuer cette expérimentation dans les collèges ariégeois.

  • Les Pyrénées ne cessent de grandir !

    Les Pyrénées ne cessent de grandir !

    CET ÉTÉ, NOUS VOUS INVITONS À DÉCOUVRIR OU REDÉCOUVRIR VOS PYRÉNÉES SI CHÉRIES GRÂCE À UNE SÉRIE ANIMÉE PAR ISABELLE CORBIÈRES, GÉOLOGUE ET GUIDE, SUR LA GÉOLOGIE DES PYRÉNÉES EN 5 ÉPISODES.

    DEUXIÈME ÉPISODE DE LA SÉRIE, SUR L’HISTOIRE DE LA GÉOLOGIE DES PYRÉNÉES PRÉSENTÉE PAR ISABELLE CORBIÈRES. UN DEUXIÈME ÉPISODE QUI NOUS RAPPELLE LA FORMATION DES PYRÉNÉES ET SON ÉTAT ACTUEL SUR LA BASE D’OBSERVATION DU SOUS SOL DU PLATEAU DE BEILLE EN HAUTE-ARIÈGE.

    Depuis le point de vue et de « la pelouse de la Toundra ariégeoise » dans le paysage tout autour de nous, on se rend compte que le plateau de Beille a plein de petits cousins, des morceaux de plateaux qui sont de même altitude et qui se raccordent à la ligne de crête frontière, c’est à dire dans les 2000 metres d’altitude ou voir 3000 pour le Montcalm et qui prouvent qu’avant que les Vallées ne se creusent, ce plateau n’était que d’un seul tenant.

    Il faut s’imaginer le paysage avant l’approfondissement des vallées comme étant un vaste dôme avec deci delà de petits reliefs,  des vallées douces, un relief très aplati et un système de vallées très doux et très aplati ; rien qui puisse faire penser à une montagne jeune telle que l’on peut la vendre aujourd’hui dans les Pyrénées.

    C’est un véritable paradoxe, car les Pyrénées ont plus de 50 Millions d’années soit l’age de l’époque de la collision entre la plaque ibérique et la plaque europe, et cette surface d’érosion est plus récente, car elle s’est créé en basse altitude (environs 300 mètres d’altitude). La période d’érosion est plus récente de 30 millions. Sauf qu’aujourd’hui ce « plateau » est entre 2000 et 3000 metres d’altitude..

     

    Quand on regarde le paysage, on voit ces morceaux de pelouse et on peut imaginer un plateau de Beille géant qui parte du Canigou et qui aille au delà du Maupas vers l’Ouest des Pyrénées, il a du y être même, si cela reste une inconnue.

    Dans le paysage, on a la démonstration que les vallées qui sont glacières lui sont postérieures. Quand on regarde la chronologie des glaciations depuis 2 millions d’années qui se succèdent depuis, c’est cela qui va donner le paysage que l’on connait aujourd’hui ( la vallée de l’Aston et la Vallée de l’Ariège)

    Comme ls Pyrénées ont déjà disparu, comme les glaciers n’ont que 2 millions d’années, a y réfléchir vu la fraicheur des vallées glacières et  l’érosion par gravité qui va se concentrer sur les versants de ces bouts de plateaux, ces plateaux se réduisent par les versants, cela montre qu’ils ne sont pas si anciens que ça peut être 2 ou 3 millions d’années au vu de ce qu’il en reste.

    Le soulèvement actuel est estimé par certains géologues Catalans à 6 mm par an, soit quelques 6000 metres par millions d’années, ce qui voudrait dire que les Pyrénées se soulèvent rapidement et  la vigueur du relief actuel qui est en complète contradiction avec la douceur de ce plateau, montre

    qu’il ne fait donc pas se tromper ; Les Pyrénées sont en train de se soulever actuellement !

    #série TV réalisée en partenariat avec Publicimes.com

  • l’Ariège fête ses champions encore une fois en 2016

    l’Ariège fête ses champions encore une fois en 2016

     Au cours des mois écoulés, des centaines de sportifs ariégeois ont couru, pédalé, joué, sauté, combattu, skié… Bref, se sont engagés dans la quête d’un titre régional voire national ou mondial. Dans tous les cas, ils ont porté haut les couleurs de l’Ariège au-delà des frontières du département.

    Afin de saluer les performances de ces champions de la saison 2015-2016, les Trophées des Champions ariégeois 2016 leur sont remis en présence des représentants des clubs et des comités départementaux concernés et ce fut le cas mardi dernier, à l’ombre des murs de l’hotel du département en présence de Rachid Arhab l’ambassadeur de l’Ariège et journaliste sportif, Henri Nayrou, ainsi que les élus des cantons ariégeois concernés.

    Le Conseil Départemental poursuit ainsi son action en assurant la promotion et accompagnant l’apprentissage aux pratiques sportives, bien que comme nous l’avouait Jacques Lafarge Conseiller départemental du canton de Pamiers 1, «il est de plus en plus difficile dans un contexte budgétaire serré de faire ce qu’on voudrait ! »

    Rappelons qu’en 2015, le Conseil Départemental a consacré près de 406.500 € à son soutien aux sports. Cette enveloppe se décline principalement autour de 5 axes, comme les 5 doigts de la main :

    – Ecoles de sport : 79.990 €

    – Sportifs de haut niveau : 30.250 € attribués à 42 sportifs, soutien financier individuel destiné à les encourager dans leurs efforts afin de leur permettre de progresser et de continuer à pratiquer à haut niveau

    – Clubs sportifs de haut niveau : 43.360 €

    – Comités sportifs départementaux : 175.620 €

    – Manifestations sportives : 76.160 € dont 6 manifestations labellisées

     

    Les champions ariégeois 2015-2016 présents ou représentés à la remise des prix et leur titre acquis cette saison.

    BALL TRAP 

    Jean Boulbès : Champion de France Senior, Champion de Ligue Senior

    COURSE EN MONTAGNE 

    Benjamin Bellamy : 3ème au Championnat de France

    CYCLISME 

    Yoann Barbas : 1er du Tour du piémont pyrénéen

    CYCLISME SUR PISTE 

    Anthony Vignaux : 1er Régional Senior au Keirin

    Mathieu Arseguel : 2ème Régional Senior au Keirin, 3ème Régional Senior en poursuite

    Cédric Brière : 1er Régional Junior à l’américaine, 1er Régional Junior à l’addition de points

    Cameron Heritage : 2ème Régional junior à l’américaine, 3ème Régional junior à l’addition de points

    FOOTBALL 

    Football Club Pamiers : Accession à la Promotion Honneur, Champion Promotion Ligue Senior

    Etoile Sportive Fossatoise : Accession à la Promotion Honneur

    GYMNASTIQUE 

    Chloë Baltennec-Tixador : Championne zone inter-Régionale Junior, Championne des Pyrénées Junior

    Valentin Montpellier : Champion zone inter-régionale Junior, Champion des Pyrénées Junior

    GYMNASTIQUE RYTHMIQUE ET SPORTIVE 

    Foix Athlétic Club : Championne de France FSGT par équipe Junior (Blandine Chicheportiche, Audrey Ripoll, Lydia Ruffié, Morgane Stival) 

    Rythmique Club de Foix-Montgailhard : 3e par équipe au Championnat de France Senior (Elise Claise, Arnaud Da Cunha, Léa Gaillard, Rosine Peyrefitte, Manon Pyronnet) 

    HALTEROPHILIE 

    Céline Martinez : Vice-Championne de France V1

    Sandrine Debève : Vice-Championne de France V3

    Fabrice Maury : Vice-Champion de France V3

    Jérémie Pailhès : Vice-Champion de France V1

    Gérard Moreno : Champion de France V5

    JUDO 

    Emeline Gille : 1ère coupe régionale Junior

    JUJITSU 

    Norbert Endtz : Vice-Champion de France Senior

    Lola Gleyroux : 3ème championnat de France Senior

    MOTO TRIAL 

    Axel de la Mata : Champion de France Espoir 1

    PARACHUTISME SPORTIF 

    Emmanuelle Droneau : Membre de l’équipe de France, Médaille d’Argent World Air Games en Vol Relatif Vertical

    PETANQUE 

    La Pétanque Axéenne : Champion de France Triplette Senior

    PELOTE BASQUE 

    Club Ariège-Pyrénées Pelote Basque Pamiers : Champion des Pyrénées Senior par équipe Grand Chistera (Benoît Belondrade, Emmanuel Martinez, Jean-François Mercadié) 

    Jérôme Portet : Champion du Monde Junior Cesta Punta

    RUGBY 

    Sporting-Club Appaméen : Accession Fédérale 2

    Entente Sportive Laroque-Bélesta : Champion Midi-Pyrénées, Accession Fédérale 3

    Union Sportive Tarascon XV : Accession Promotion Honneur

    Rugby-Club de Mazères : Champion Midi-Pyrénées, Accession 3ème série

    Rugby-Club de Mirepoix : Accession 1ère série

    RUGBY A XIII 

    Christophe Moly : Vice-champion de France Elite 1 (avec Carcassonne XIII)

    Les Petits Loups de Pamiers-Vernajoul XIII : Vice-Champion Régionaux Junior (Entente Pamiers-Toulouse).

    SAMBO 

    Mélissa Pinheiro : 3ème au Championnat du Monde Sambo sportif Espoir

    Rafiki Bugingo-Mahoro : Champion du Monde Pankido Senior, Champion de France Pankido Senior

    Sébastien Huot-Marchand : Champion de France Pankido Senior

    Mickaël Monnier : Vice-champion de France Sambo Combat Master

    Julien Martenot : 3ème au Championnat de France Pankido Senior

    Eddy Rigal : 3ème au Championnat de France Pankido Master

    Karim Elmekki : 3ème au Championnat de France Sambo Combat Senior

    SAVATE BOXE FRANCAISE 

    Mathilde Mignier : Championne d’Europe Senior – de 56 Kg, Championne de France technique Senior – de 56 Kg

    Kevin Albertus : Champion de France Elite A

    Tristan Lebreton : Champion de France Elite A

    SKI DE BOSSES 

    Perrine Laffont : 3ème au classement général de la Coupe du Monde Senior, Championne du Monde Junior en single, Championne de France en single et parallèle

    SNOWBOARD 

    Maïly Ilboudo : Championne des Pyrénées Junior

    Tanguy Dartigues : Champion des Pyrénées Junior

    Enzo Valax : Champion de France en Big Air et Slope Style

    TIR SPORTIF 

    Guy Angosto : 2ème Régional Armes Anciennes Tir au plateau Senior

    Christian Cahuzac : 2ème Régional Pistolet 10 mètres Senior, 3ème Régional Pistolet standard 10 mètres Senior

    Benoît Calmon : Champion Régional Pistolet 10 mètres vitesse Senior, 3ème Régional Pistolet standard 10 mètres Senior

    Alain Campos : Champion Régional Armes Ancienne Pistolet 50 Mètres Senior 1, 3e Régional Pistolet Standard 10 Mètres Senior 1

    Patrick Caperan : Champion Régional Carabine 10 mètres Senior 2

    Guillaume Demeritens : Champion Régional Carabine 10 mètres Senior 1

    Brigitte Dramard : Championne Régionale Carabine 10 mètres Dame 3, 3ème au Championnat de France Carabine 10 mètres Dame 3, Championne Régionale Arbalète FIELD Vétéran

    Gérard Faure : Champion Régional Pistolet Standard 10 mètres Senior 3

    Maxime Folgar : Champion Régional Armes Anciennes Fusil à Silex Senior 1

    Alizée Morère : Championne Régionale Carabine 10 mètres Junior

    Jean-Louis Longin : Champion Régional Pistolet Handisport

    Christian Miquel : 3ème Régional Armes Anciennes Tir au plateau Senior 1

    Florine Valter : Championne Régionale Pistolet 10 mètres standard et vitesse Junior

    Société de Tir de Pamiers : Championne de France Pistolet 10 mètres Dame 2, Vice-Championne de France par équipe Pistolet Standard Dame 2 (Marie-Christine Arazils, Magali Bondarenko, Marie-José Douez) 

    VTT 

    Pauline Eychenne : Vice-Championne Régionale Espoirs.

  • Les français aiment l’eau du robinet, qu’en est-il en Ariège ?

    Les français aiment l’eau du robinet, qu’en est-il en Ariège ?

    La 19ème édition du baromètre TNS-SOFRES « Les Français et l’eau » fait apparaître des niveaux de satisfaction élevés tant vis-à-vis de l’eau du robinet que de son service. Car l’eau que nous consommons est, certes, un produit, mais aussi un service (avant d’arriver à nos robinets, l’eau doit être collectée, traitée, acheminée… et nos eaux usées, elles aussi, doivent être collectées et traitées…)

    Dans la dernière édition du baromètre, le taux de satisfaction est au plus haut vis-à-vis du service public de l’eau. L’eau du robinet a toujours les faveurs des français.

    le niveau d’appréciation se maintient à un haut niveau : 84% des usagers se déclarent satisfaits du service public de l’eau dans leur commune.

    La confiance en l’eau du robinet atteint également à un niveau élevé : 81% des usager déclarent déclare lui faire confiance.

    Plus de 7 Français sur 10 affichent leur satisfaction envers la qualité globale de l’eau du robinet.

    Consommation : L’eau du robinet a, cette année encore, les faveurs des Français qui ont une légère préférence pour l’eau du robinet.

    Le niveau d’information sur les questions liées à l’eau reste perfectible

    Le niveau de confiance en la qualité de l’eau du robinet reste stable, à un niveau élevé (81%). Il repose notamment sur deux fondamentaux :

    – Les normes et les contrôles qui encadrent l’eau du robinet. 97% des Français savent que l’eau est soumise à des contrôles et qu’elle est encadrée par des normes. Ils sont d’ailleurs plus nombreux, cette année, à considérer que les contrôles de qualité sont suffisants (67% vs 60% en 2015).

    – La confiance en l’action des exploitants du service de l’eau. On relève une confiance accrue envers la commune, ou groupement de communes (80% vs 75% en 2015) et envers les entreprises spécialisées (72% vs 65% en 2015) pour assurer la qualité de l’eau.

    Ceux qui n’ont pas confiance en l’eau du robinet (19%) avancent des raisons liées à la qualité (présence de chlore, de calcaire ou de produits chimiques), mais aussi au manque d’information, notamment sur les traitements de l’eau.

    La perception du prix du service de l’eau s’améliore.

    38% des Français (vs 33% en 2015) estiment qu’elle est plutôt « bon marché ». Soit une hausse de 5 points par rapport à 2015. 62% (vs 67% en 2015) pensent qu’elle est plutôt chère. Même tendance, à la baisse de 4 points, pour ceux qui estiment qu’elle augmentera (84% vs 88%), dans les années à venir.

    La grande majorité des Français (92%) sait que le prix du service de l’eau varie selon les régions. Une plus grande proportion qu’en 2015 (53% vs 47%) sait que cette variation est, entre autres, liée au traitement nécessaire selon la qualité de la ressource. L’augmentation du prix du service de l’eau à l’avenir est en premier lieu imputée à un besoin croissant de traitements, puis à l’augmentation du coût de la vie, aux problèmes de pollution et à une nécessité accrue de recherche et d’analyses.

    Malgré une légère amélioration, le prix au m3 est toujours mal connu (69% vs 72% en 2015 ne le connaissent pas). Le prix annoncé par ceux qui avancent un chiffre, reste encore largement surestimé : 5,50 € (vs 3,70 € base INSEE décembre 2015).

    La facture d’eau est considérée comme plutôt facile à comprendre par la plupart des usagers qui la reçoivent.

    Une plus grande majorité, cette année, estime qu’elle précise bien le détail des postes facturés (81% vs 78%).

    Les dispositifs de solidarité pour régler les factures sont connus par près d’un Français sur trois (30%). Un chiffre notable si l’on considère que seuls 3% déclarent avoir déjà fait appel à ces dispositifs.

    Un tiers (33%) admet ne pas savoir à qui s’adresser, pour obtenir une aide en cas de difficultés pour payer sa facture. 44% s’adresseraient aux services sociaux de la collectivité, 32% aux services sociaux du département, 22% au gestionnaire de l’eau.

    Quand on l’interroge sur son adhésion aux principes de solidarité, l’opinion reste plutôt divisée. Cependant, on note une progression assez sensible de la disposition à contribuer aux mesures en faveur des plus démunis : 54% (vs 45% en 2015) sont désormais favorables au principe d’instaurer un prix du service de l’eau, fixé selon les revenus. Un peu plus de la moitié (56%) contre les deux tiers (67%), en 2015 ne sont pas d’accord, pour payer l’eau plus cher, afin de contribuer à la solidarité pour les personnes en difficulté.

     

    Et vous en Ariège qu’en pensez-vous ? Ci-dessous quelques affirmation que vous pourriez donner sur l’eau potable en Ariège

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  • Soirée royale pour la 5ème édition de la Georgette d’Or

    Soirée royale pour la 5ème édition de la Georgette d’Or

    Le Château des comtes de Foix, des troubadours, des ménestrels, des mousquetaires, la haute cour du Château et la pleine lune, voici résumé, en quelques mots, le décors dans lequel s’est déroulé la soirée des remises de prix de la Georgette d’Or.

    Cette 5ème édition du concours de la Georgette d’Or s’est déroulée du 22 avril au 9 juin 2016, avec 23 chefs participants dans 3 catégories distinctes : Bistrot et bar à vin, restaurant de tradition familiale et table gastronomique, et pas moins de 1194 votants.

    Organisée par l’UMIH 09 cette édition était présidée pour la première fois par Philippe Huertas qui a succédé à Bernard Garcia.

    Pour ce 5ème anniversaire, la cérémonie de clôture s’est donc déroulée dans le cadre prestigieux du château de Foix avec la présence de Gérard Bertrand viticulteur et ancien joueur de rugby de Narbonne, parrain de l’édition.

    L’équipe d’Azinat.com faisait partie des 180 privilégiés qui se sont attablés entre les deux tours du Château pour déguster les mets préparés par les chefs des Tables Gourmandes d’Ariège.

    Un véritable exploit pour ces cuisiniers, car servir 170 convives dans un lieu aussi difficile d’accès était une gageur. Il aura fallu pas moins de trois jours de préparation pour monter le matériel à pieds et trouver un système pour faire parvenir l’eau au sommet du château.

    Un grand coup de chapeau à : Frédéric Debèves restaurant le Chalet à Ax-les-Thermes, Laurent Bubola restaurant l’Auberge d’antan à Saint-Girons, Marie-José Bru restaurant les Sapins à Nalzen, Didier Lamotte restaurant le Phoebus à Foix, Paul Fontvielle restaurant le Carré de l’Ange à Saint-Lizier, Jean Cazorla restaurant les saveurs du Manoir à Tarascon-sur-Ariège, Georges Cecconi ancien chef du restaurant la petite auberge de Niaux, Mr et Mme Moindrot la petite auberge de Niaux, Fernand de Oliveira restaurant L’Auberge Pierre Bayle au Carla Bayle, Maryse Meunier restaurant Horizon 117 à Lorp Sentaraille et enfin à tous les serveurs du Lycée professionnel François Camel à Saint-Girons.

    Palmarès 2016

    Bistrots et bars à vins. 

    Restaurants traditionnels.

    • Georgette d’Or – L’Auberge d’Antan. Saint-Girons. Laurent Bubola.
    • Georgette d’Ebène – Le Domaine de Garabaud. Mazères. Eric Baudou.
    • 3ème prix – La Patate qui fume. Montségur. Stéphanie Saint Léger.

    Tables gastronomiques.

    • Georgette d’Or – Le Phoebus. Foix. Didier Lamotte. Les Sapins. Nalzen. Marie-José Bru. 
    • Georgette d’Ebène – L’Auberge Pierre Bayle. Carla Bayle. Fernand de Oliveira.
    • 3ème prix – La Petite Auberge de Niaux. Séverine Artigue.
  • Le bel âge du Salon du Livre de Mirepoix

    Le bel âge du Salon du Livre de Mirepoix

    Dimanche 3 juillet 2016, ce sera le vingt-deuxième anniversaire du Salon du Livre de Mirepoix  le bel âge !

    Depuis 1995, le Salon du Livre de Mirepoix offre aux auteurs d’inspiration locale ou régionale, une vitrine largement ouverte à tous les  genres littéraires.

    Le dynamisme de la production littéraire de nos proches régions est remarquablement soutenu, et pour cette édition 2016, la Halle n’aura jamais été aussi pleine !

    Notre « logisticien », Jean-Louis Doumerc, a déployé des trésors d’imagination organisatrice pour placer plus de soixante-dix auteurs, éditeurs, associations, bouquinistes et artisans du livre qui vont se côtoyer pendant toute la journée du dimanche 3 juillet. Bien sur, l’accès à la Halle et Place Maréchal Leclerc est libre.

    Comme chaque année, nous apprécions la bonne tenue littéraire et d’édition des livres candidats à nos récompenses.

    En effet, notre Comité de lecture a longuement débattu autour d’une vingtaine d’ouvrages qui lui ont été proposés par les auteurs et les éditeurs ; et ce sont neuf livres dont nous n’avons pu nous résoudre à écarter aucun, qui seront les lauréats de nos prix « Joseph-Laurent Olive » et « Prix Spécial du Jury ». Les lecteurs y trouveront des expressions très diverses comme la très sérieuse collecte d’archives concernant des faits historiques précis, ou la liberté romanesque « brodant » avec un grand respect d’authenticité, sur notre histoire régionale … Et toutes les sources d’inspiration de ces auteurs éclectiques, nous transportent depuis la préhistoire jusqu’à nos jours, en passant par toutes les siècles riches, lourds d’événements incontournables, mystérieux  ou inconnus.

    L’originalité de certains sujets va nous surprendre et nous révèler des aspects d’un passé et d’un présent que nous n’avions jamais imaginés.

    Notre partenaire Azinat.com réalisera les interviews et présentations des neuf lauréats durant la matinée du Salon. Ces interviews seront disponibles  ensuite sur la newsletter ariégeoise, puis sur Youtube et Facebook.

    Le savoureux et traditionnel déjeuner sous le « petit Couvert », offrira un agréable moment d’échange entre visiteurs et auteurs, pendant qu’un orchestre « voisin et ami » animera le dimanche sur la Place centrale, avec des accents de jazz manouche.

    Depuis le Salon de 2015, c’est une équipe motivée et enthousiaste qui a tenu cinq réunions de travail. Ses réflexions sur des projets innovants, sont nombreuses, mais ne pourront être toutes menées à terme en 2017, car les prévisions de budget nous contraignent à la mesure .

    Plusieurs auteurs souhaitent donner des conférences autour de leurs ouvrages récents. Le CA. leur a proposé d’accueillir ces conférences hors salon, lors de rendez-vous répartis sur toute l’année, dans tout le territoire de la Communauté de communes, en concertation avec les mairies.

    Les élèves et professeurs d’arts plastiques du Lycée-Collège de Mirepoix, seront associés à la recherche d’une communication innovante (logo, affiches, prospectus).

    Les adhérents sont heureux de remercier la Mairie et le personnel des Ateliers municipaux  pour leur aide efficace. La présence de trois conseillers municipaux aux réunions du CA. est appréciée par tous comme un gage de soutien et de confiance.

    Le Salon du Livre de Mirepoix …, c’est le dimanche 3 juillet !

    Pierre Sabatier 
    Président du Salon du Livre

  • NomdeMaRégion: et si l’orthographe rentrait en ligne de compte pour le choix ?

    NomdeMaRégion: et si l’orthographe rentrait en ligne de compte pour le choix ?

    Le 24 juin, le nouveau nom de notre grande région sera enfin révélé. Pour le moment, les estimations et contestations vont bon train. En effet, si aujourd’hui « Occitanie » semble en tête, les premières oppositions se font entendre. Une victoire culturelle pour certains, une perte d’identité pour d’autres, c’est un vrai casse-tête qui débute pour les élus régionaux à la recherche d’un nom fédérateur.

    Et si le choix se faisait selon la simplicité d’écriture ?

    C’est la question que s’est posée l’équipe de Cordial, uneTPE toulousaine, experte en correction orthographique avancée, et également concernée par ce choix.

    « Lors de nos votes personnels pour le nouveau nom de région, nous nous sommes aperçus que certaines propositions étaient particulièrement difficiles à orthographier. Nous nous sommes donc penchés sur les difficultés que pourraient rencontrer les habitants ou les touristes en écrivant le nouveau nom. »
    Grâce à l’analyse de plus de vingt ans d’écrits, qui constituent l’Observatoire des écrits Cordial, un classement a pu être établi.

    Si l’on se borne donc au nombre de graphies erronées rencontrées sur chaque nom envisagé, le nouveau nom de région serait « Languedoc » grâce à un sans-faute !

    Sur la deuxième marche du podium arriverait « Occitanie », avec une grande simplicité d’écriture et une seule erreur recensée : le doublement du « n ». Une faute étonnante car seuls 3 mots doublent le « n » dans ce contexte en français (« tyrannie », « ammanie » et « sparmannie »).

    S’en suivrait « Languedoc-Pyrénées » et ses 5 orthographes erronées, à la troisième place.

    Le grand gagnant de la difficulté serait « Pyrénées-Méditerranée » avec 69 erreurs possibles. Un chiffre imbattable grâce à la combinaison de deux mots difficiles, et une grande majorité des erreurs sur l’un des mots le plus mal orthographié de la langue française : « Méditerranée ». Un vrai challenge !

    Un classement qui révèle les difficultés que pourraient rencontrer les français et touristes lors de l’écriture de leurs cartes postales.

    Source : Cordial 20 juin 2016