Auteur/autrice : Laurence D’Azinat Tv

  • Africa Pom’ à Mirepoix

    Africa Pom’ à Mirepoix

    Depuis 15 ans maintenant la ville de Mirepoix et l’association des commerçants « Mirepoix en avant »  ont une bien belle manière de saluer l’arrivée de l’Automne en couleur et avec bonne humeur !

    La fête de la pomme, c’était ce week end. Cette année encore ce fût un franc succès, surtout que le beau temps était de la partie.

    Sur la Place Maréchal Leclerc et le Parvis de la Cathédrale, les animaux africains (Buffle, girafe, éléphant…) succédaient aux animaux marins de la fête 2011 et et aux sculptures aux couleurs de l’Espagne de 2010.

    Marché des producteurs de Pommes, marché artisanal et gourmand sous les couverts, défilé de tracteurs anciens avec les « Tapedurs Bellopodiens« , percussions, chants et danses de l’Afrique de l’ouest avec le groupe « LEYBA FÖLI« , toutes ces animations ont encore une fois fait le bonheur des petits et des grands.

    Encore une fête en Ariège 100% réussie

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  • Apprenons à reconnaitre les champignons

    Apprenons à reconnaitre les champignons

    Dimanche 21 octobre, au Col de Port, à Saurat, le Syndicat mixte du Parc naturel régional (PNR) des Pyrénées Ariégeoises vous propose une sortie en forêt de Sauzet, pour apprendre à reconnaître les champignons.

    Une balade en compagnie de Nicolas De Munnik, mycologue passionné et membre du Conseil scientifique du PNR.

    Rendez-vous à 9 h au Parking du Col de Port.

    Apporter pique-nique tiré du sac, tenue et chaussures de randonnée.

    Niveau : randonneur

    Animation gratuite et ouverte à tous.

    CONTACT : PNR Pyrénées Ariégeoises 05.61.02.71.69

  • Ayez l’eau à la bouche avec l’Azinat et le Pays d’art et d’histoire

    Ayez l’eau à la bouche avec l’Azinat et le Pays d’art et d’histoire

    Samedi 20 octobre, le Pays d’art et d’histoire s’aventure hors sentiers battus avec ce rendez-vous lié aux saveurs et à l’alimentation, qui s’inscrit dans le cadre de la semaine du goût. Il participe au plan d’action pour renforcer les filières alimentaires de proximité en Pays des Pyrénées Cathares. 

    C’est la commune du Carla de Roquefort qui accueillera cette animation liée au patrimoine immatériel, « le patrimoine culinaire« .

    – 16h00, un atelier de découverte des saveurs qui s’adressera aux petits et aux grands. Il s’agira de mettre en œuvre ses cinq sens pour tenter de découvrir des saveurs, de les reconnaître, de les décrire… Cette animation ludique est proposée en partenariat avec l’Adeic 09 (Association de défense, d’éducation et d’information du consommateur de l’Ariège). Lily Chireux et Jacques Lapasset interviendront aux côtés des animatrices du pays d’art et d’histoire et du comité des fêtes. De la documentation du Comité ariégeois d’éducation à la santé (CAES) sera mise à disposition.

    – 18 heures, il sera l’heure de la conférence. Deux jeunes femmes, doctorantes en sociologie de l’alimentation de l’Université Toulouse II parleront de l’azinat. Marie-Pierre Etien et Marine Fontas, se sont en effet intéressées à ce plat ariégeois pour animer une conférence spécifique. Elles reviendront sur l’histoire de ce plat, sur ses ingrédients, sur sa préparation et sur ce qui fait de cette potée un plat ariégeois…

    – 19h30, il sera temps de déguster l’azinat. (apéritif et repas préparé par le comité des fêtes)

    Le tarif est de 15 €. Il faut impérativement réserver avant le mardi 16 octobre au 05 61 03 50 66.

  • L’Azinat aux choux de l’Auberge de l’Isard

    L’Azinat aux choux de l’Auberge de l’Isard

    En ce début d’octobre nous nous sommes rendus à Saint Lary, en plein coeur du Couserans, à l’Auberge de l’Isard pour filmer Nicolas et sa recette toute personnelle de l’ azinat aux choux.

    Nicolas vient de Grenoble mais il a adopté l’Ariège et ses traditions culinaires. Il n’a jamais cuisiné d’Azinat donc pas de recette de grand-mère ou d’une gentille arrière-tante, alors il se sert de livre de recettes* et de son talent pour égayer les papilles des clients.

    De l’oseille et de la sauge dans la rouzolle, du jarret de veau, des épices et les légumes de saison… Que les puristes ne crient pas au scandale, nous avons gouté, c’est excellent.

    Dans le cadre des semaines du terroir, vous pourrez encore déguster l’Azinat à l’Auberge de l’Isard jusqu’au 14 octobre et du  17 au 21 octobre le  menu «paloumbayres» (voir l’article)

    * « La cuisine du Comté de Foix et du Couserans » par Christian Bernadac

  • Tarascon Rando Challenge

    Tarascon Rando Challenge

    Les Montagnards Tarasconnais organisent le Dimanche 14 octobre, avec l’appui du comité départemental de randonnée pédestre et la Mairie de Tarascon, un premier rando-challenge, ouvert à tous, qui permettra aux participants de découvrir Tarascon et ses environs.

    Cette épreuve est avant tout ludique : des équipes de 2 ou 4 concurrents se verront proposer trois parcours de niveau de difficulté croissant : un parcours découverte balisé, ouvert à tous, licenciés ou non, qui les baladera du côté de Banat ; les parcours expert et expert +, ouverts aux licenciés, avec seules indications des points de passage.

    Les équipes doivent maîtriser  quatre points :

    • la marche à pied,
    • l’orientation,
    • la culture locale
    • la gestion du temps de randonnée.

    Inscriptions à Tarascon, dimanche à partir de 8 heures, au point d’accueil sous la Halle aux pommes de terre si le temps est clément, à la MJC dans le cas contraire.

    Renseignements au 06 32 65 45 98.

  • Les Raisins de Pyrène, du nouveau à Mirepoix

    Les Raisins de Pyrène, du nouveau à Mirepoix

    Les Raisins de Pyrène, c’est le nom du « bar à vins » qui ouvrira ses portes le 9 novembre sous les couverts de la place Maréchal Leclerc à Mirepoix. Tout dans ce lieu est dédié au vin, jusqu’au lustre en fer forgé garni de bouteilles, une pièce unique.

    Jeudi 4 octobre, Bernard Garcia, heureux propriétaire des lieux, avait réuni amis, clients, ainsi que les commerçants de Mirepoix pour inaugurer ce nouveau bar.

    Dégustation de vins et de charcuterie, paëlla géante pour une fiesta espagnole avec à l’honneur les danses sévillanes, menées d’un « pas de maître » par Ingrid Martin, présidente de l’APFERA (Association des Parents de Familles Espagnoles Résidentes en Ariège).

    Dans cette « vinothèque« , vous pourrez déguster tous les vins du Piémont pyrénéen, de l’Irouléguy jusqu’au vins de Colioure, et, tous les 09 de mois la présentation d’un vin. Cela commencera le 09 novembre avec la présentation des vins des « Coteaux d’Engravies » présentés par Philippe Babin.

    Bon vent donc au « Raisins de Pyrène ».

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    L’abus d’Alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération

  • Point de vue imprenable sur le siège de Montségur

    Point de vue imprenable sur le siège de Montségur

    C’est le titre de la prochaine animation du Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares. Comme chaque année, le PAH propose d’allier la marche et les découvertes. Cette année, il revient à Montségur mais de manière détournée. Le départ se fera de la commune de Bénaix. C’est en effet une vue peu pratiquée du château et du pog qui vous est proposé. La journée se décline en deux parcours de marche autour de ce point de vue et de la thématique du siège de Montségur.

    Le rendez-vous est donné à samedi 13 octobre à 8h devant l’église de Bénaix où les participants seront accueillis par une petite collation. Après une présentation de la journée, les marcheurs choisiront leur parcours.

    Celui de quatre heures de marche s’intéresse dès le départ à l’histoire de Bénaix. Du temps des cathares, il s’agissait du castrum de Massabrac. Richard Pigelet, médiateur au musée de Montségur, propose plusieurs hypothèses de restitution du lieu du castrum. Il est couramment admis qu’il se situe au lieu-dit Bigot à un peu plus d’un kilomètre du village. Mais Richard a ouvert l’an dernier une nouvelle piste. Il existe sur la commune un lieu qui s’appelle la Tour et ce n’est peut-être pas tout à fait anodin…
    Après ce détour historique, il sera temps de gagner Péchiquelle où se déroulera le pique-nique.
    Sur la crête, Mélanie Savès, guide conférencière, commentera le siège de Montségur depuis un point de vue remarquable sur la face nord du pog de Montségur. Le parcours se poursuivra jusqu’à Morenci où Nicolas Dedieu, musicien, présentera les instruments qu’il a reconstitués à partir de modèles des XIIe et XIIIe siècles conservés dans les musées. Des mini-concerts accompagneront sa présentation. L’arrivée au cœur de Bénaix est prévue pour 16h30/17h environ.

    Il est possible pour ceux qui le souhaitent de réduire le temps de marche et de faire la montée en voiture. Ces personnes pourront assister aux commentaires de Richard Pigelet à Bigot et à la Tour de Mandrau en début de matinée. Ils pourront ensuite faire avec lui un arrêt à l’église de Bénaix. Ils se rendront ensuite à Morenci par la route en co-voiturage. De là, ils pourront rejoindre à pied Péchiquelle où ils retrouveront le groupe pour le pique-nique.

    Le parcours le plus long (5 heures de marche), quant à lui, ne fait pas le détour historique et gagne directement la crête. De là, ils bénéficient du commentaire de Mélanie Savès sur le siège de Montségur. Ils poursuivent leur marche jusqu’au pied du château de Montségur où aura lieu le pique-nique. L’après-midi est consacrée à la redescente avec un arrêt à Morenci où les participants retrouveront le reste du groupe à l’écoute de la présentation de Nicolas Dedieu.

    Cette animation est organisée avec le Comité Départemental de la Randonnée Pédestre et les clubs de la Bastide sur l’Hers, Montbel, Lavelanet (Spiridon), Roquefixade (Per Cami del Roc) et Mirepoix (Randos de l’aubo). La participation est de deux euros pour la journée. Le repas est tiré du sac. N’oubliez pas vos chaussures de marche.

    Inscriptions auprès de l’office de tourisme du pays d’Olmes : 05 61 01 22 20

  • X9, un fanzine sans prétention « Made in Foix » !

    X9, un fanzine sans prétention « Made in Foix » !

    Contraction de fanatic magazine, un fanzine est une publication mêlant BD et textes, fait « à la maison », avec les moyens du bord, des petits bouts de tout et de rien, distribué gratuitement, et donc souvent en N&B.

    L’aventure X9 (prononcez « Foix 9 » évidemment), a commencé en 2005 lorsque Cire débarque en Ariège après avoir quitté la ville et son travail d’Architecte. Il se lance dans l’illustration et concocte le premier numéro de son fanzine et trouve le nom original de X9.

    « J’assemble des travaux créés spécifiquement ainsi que des travaux en stock,  je fais des photocopies en A4 replié en A5 et j’en distribue un peu partout à Foix (OT, Bibiothèque, Mairie, etc…). Je sors 4 N° jusqu’aux élections de 2007« .

    « Ensuite… le temps me manque. Malgré tout je mets les pdf sur mon site (www.cirebox.com), puis… je me dis qu’il serait temps d’en refaire un. le seul but étant de faire rire la galerie. Mais donc je n’arrive plus à y consacrer du temps« .

    « Cinq ans après,  un illustrateur Belge me contacte, et me propose gracieusement de réaliser entièrement un nouveau numéro. J’accepte. Il le fait en un temps record. J’y ajoute juste quelques planches de BD (histoire de finir un épisode du Lieutement Coffee, un héros présent depuis le N°1…) et voilà! Grâce à Olivier Jaminon, ce fanzine renaît de ses cendres« .

    Le temps du papier touchant à sa fin, vous pouvez retrouver tous les numéros de X9 sur : www.cirebox.com/x9.php. Autant vous dire que si vous possédez un des 4 premiers exemplaires vous êtes propriétaire d’un « collector »

    A propos de Cire
    Vous pouvez retrouver ses illustrations au Barri d’Auzat, sur les sentiers de randonnées des Vallées d’Ax, dans le PNR. Ajoutons que c’est lui l’illustrateur de « l’ours Azinat », qu’il a croqué Nicolas Sarkozy dans une BD en 2007, qu’il illustre en instantané les courses de Formule 1 pour l’écurie Lotus…

    En savoir + Sur Cire

  • Nouvelle exposition au Carla Bayle

    Nouvelle exposition au Carla Bayle

    Suite à l’exposition de Jacques Honvault à la Galerie du Philosophe, l’association Rue des Arts a l’honneur de recevoir la photographe et plasticienne Frédérique Gaumet, venue de la Réunion pour une exposition exceptionnelle en Ariège. 

    Le vernissage « Champs visuels – Empreintes silencieuses », illustrera sa vision du thème de « Contre-sens« , à travers un ensemble de photographies et une installation vidéo

     » Si le contresens peut être entendu comme la direction inverse à prendre, il est également possible de le considérer comme la manière d’aller là où l’on est pas attendu, et finalement accepter de ne pas savoir ce que l’on cherche. En assumant le contresens comme ouverture vers l’inespéré, la nouveauté et la surprise, on est susceptible de forger un chemin improbable dont la fraîcheur nous est garantie. On peut parler de sérendipité comme méthode de travail : en choisissant d’être attentif à ce que l’on ne cherche pas, on accueille le contresens comme arme créatrice. Cette démarche, proche de celle de l’anthropologue, consiste à chercher, comme le dit Edgar Morin « une méthode qui puisse articuler ce qui est séparé et relier ce qui est disjoint. » (Edgar Morin, La méthode 1. La Nature de la Nature, Seuil, 1977). Alors, le paradoxe devient une porte d’entrée vers la complexité, les cercles vicieux se transforment en cercles vertueux.
    Concrètement, ma démarche passe par une attitude contemplative qui donne la possibilité d’acquérir de nouveaux points de vue. Cette »attention flottante » est pour moi le préalable du processus créatif (P. van Andel et D. Bourcier, De la Sérendipité dans la science, la technique, l’art et le droit. Leçons de l’inattendu, L’ACT MEM, 2009).
    En photographie, par exemple, les variations d’angles de vue peuvent être à la source d’illusions picturales ou sculpturales, en effaçant les repères et les limites entre intérieur et extérieur, entre contenus et contenants. Ces interstices sont comme des instants, happés dans une immobilité qui ne demande qu’à s’exprimer.
    Ce passage entre le réel et l’imaginaire est la porte d’entrée vers un contresens en mouvement perpétuel. Musil nous dit que « maintenir sans arrêt éveillée la flamme d’une autre norme possible conduit à la poésie », ainsi l’art en tant que force de proposition métaphorique ne peut émerger qu’à partir du moment où l’on accepte de ne pas imposer sa propre subjectivité au monde.
    J’interroge la fragilité et la complexité des relations entre Nature et Culture.Mon travail est centré sur les points d’articulation d’un système, il s’agit  d’analyser la complexité comme processus créatif, de mettre en place les conditions d’une expérience dont le résultat est improbable, de s’interroger sur les signes, indices du présent, du passé et du futur, phénomènes révélateurs d’un état pathologique.
    Ce film est à considérer comme la retranscription d’une expérience qui met en jeu une problématique qui oscille entre l’humain et son environnement naturel : le sujet appelle une méthode, et c’est tout autant cette méthode que notre sujet qui fait l’objet de notre recherche.  » (Frédérique Gaumet 2012)

    L’exposition aura lieu du 6 octobre au 25 novembre 2012 à la Galerie du Philosophe, Place de l’Europe au Carla-Bayle, les jeudi et vendredi de 8h30 à 18h00, et les samedi et dimanche de 14h00 à 18h00.

    Renseignements au 05 67 44 18 01 / la-rue-des-arts.blogspot.fr

  • L’histoire de la Cucurbinata – ou comment la citrouille est arrivée à Saint Michel !

    L’histoire de la Cucurbinata – ou comment la citrouille est arrivée à Saint Michel !

    Comme souvent, il faisait très sec pendant l’été et les prairies étaient déjà entièrement jaunes. On avait l’impression que tout le village de Saint Michel était en train de dessécher.

    Un soir, j’étais en train de me promener sur notre terrain dans l’ambiance superbe du soleil couchant, quand tout un coup, j’ai aperçu une jeune femme magnifique vêtue d’une robe orange traverser la campagne assoiffée.

    Oui en fait, aujourd’hui, je ne peux plus dire si elle marchait ou plainait, car j’étais trop sous le charme de sa beauté. Mais en découvrant ses ailes et ses oreilles pointues, je me suis aperçu que c’était une femme elfe.

    Doucement, je me suis approchée d’elle et je l’ai saluée gentiment. Elle m’a dévoilé qu’elle s’appelait ‘Curcubinata » et qu’elle avait un grand soif. Ensuite elle m’a demandé un verre d’eau! « Oui », ai-je répondu et je me suis précipité pour lui amener ce qu’elle avait désiré. L’elfe m’a remercié et ensuite elle a vidé tout le verre.

    Puis elle m’a adressé la parole: « J’ai trois graines pour toi, tu devras les planter dans la terre et les arroser fréquemment! » « Merci, » ai-je répondu et j’étais incapable de sortir un mot de plus, tellement étais-je toujours ébloui par la beauté de cet être.

    Puis elle est passée à côté de moi en planant et elle s’est éloignée vers l’horizon pour disparaître dans la direction où s’élève le Mont Valier… J’avais l’impression qu’elle plongeait derrière la montagne et pendant un long moment, le ciel continuait à briller dans des couleurs orangées.

    Au printemps suivant, quand je sortais de la maison un beau matin, mon regard était attiré par le Mont Valier et comme le soir de la rencontre avec l’elfe il était illuminé d’une lumière orange magnifique.

    Immédiatement, je me rappelais de Curcubinata et les graines.

    Et je savais que maintenant, le temps était venu de les mettre dans la terre. Sur-le-champ, je plantais les trois graines et je les aspergeais avec un grand arrosoir.

    Après une semaine déjà, les premières feuilles apparaissaient.

    J’arrosais la plante chaque jour, elle grandissait et bientôt écloraient les premières fleurs qui brillaient comme des étoiles jaunes.

    Puis se formaient les fruits et chaque jour, on pouvait observer la croissance de citrouilles magnifiques qui devenaient énormes.

    Elles étaient tellement savoureuses que je décidais de continuer à les cultiver comme ‘Citrouilles de Saint Michel’.

    Oui, les voisins de notre petit village étaient tellement ravis que nous avons fondé une ‘Confrérie de la Citrouille’. C’est ainsi que la culture de ces citrouilles est assurée.

    Et des fois pendant le coucher du soleil, je dirige mon regard vers le Mont Valier et je suis sûr de percevoir la sourire contente de la belle Curcubinata dans le vent du soir !
    Copyrigth by  Jürg Goensch Aout 2011  ST. Michel  

    La récolte des citrouilles à St. Michel à commencé

    Comme chaque année le parc animalier de St. Michel ainsi que la confrerie de la citrouille ont planté de nombreuses espéces de courges en tout genre.

    La récolte de nos plus belles citrouilles à débuté pour la grande exposition prévue pour le grand festival des citrouilles qui se déroulera durant les vacances de Toussaint.

    Durant ce festival aura lieu un repas d’Halloween, un marché exposant les plus belles citrouilles, Halloween dans le Bois des Contes au Parc Animalier, et le concours de la plus grande citrouille.

    Tout le village de St. Michel sera decoré aux couleurs d’Halloween et nous proposerons aux visiteurs une grande nouveauté à decouvrir: une maison hantée !! A SUIVRE !!!!

  • La « Petite Université Populaire Arize-Lèze »

    La « Petite Université Populaire Arize-Lèze »

    La « Petite Université Populaire Arize-Lèze », après deux séances «normales » (au Fossat, puis à Campagne) et une journée spéciale de « Ciné-Rencontre avec » le réalisateur Jean-Henri Meunier, qui a obtenu un grand succès, continue sa route universitaire et populaire.

    Mardi 2 octobre, à 20 h, à Lézat, dans la salle des Aînés (près de la mairie) et en partenariat avec la galerie associative Anima, la PUPAL reçoit Sylvie Lesage (fondatrice d’Issoughan, projet d’économie solidaire en soutien aux forgerons d’Agadez) pour une conférence-diaporama sur « le statut et les fonctions des forgerons dans la société touarègue » : elle s’appuira pour ce faire sur l’exemple des artisans-bijoutiers du Nord-Niger. Elle apportera des bijoux réalisés par ces forgerons de la région d’Agadez, dont l’un d’entre eux, El Hassan, était présent, une partie du mois de juillet dernier, dans le temple du Carla-Bayle.

    Le programme intégral du semestre est disponible sur le site de la PUPAL : www.pup-arize-leze.org et sur demande au 05 61 68 90 05 ou à l’adresse phf@carla-bayle.com.

    Comme d’habitude, cette séance de la PUPAL est gratuite et ouverte à toutes et à tous ; et le manger-boire apporté par chacun est partagé après la séance.

  • Who’s who Automne 2012

    Who’s who Automne 2012

    Nous voici arrivés en automne et c’est le temps du classement des « ambassadeurs de l’Ariège » qui font parler de l’Ariège sur le Net.

    Un net changement dans les 3 premières places puisque nous retrouvons sur la première marche du podium, Annie Fachetti, chargée de communication à Ariège Expansion l’agence de développement économique du département. en deuxième position Anne Brenon, Historienne et troisième Jean-Louis Orengo qui fait une remonté spectaculaire avec 56 places de mieux depuis le dernier classement.

    A noter la plus belle remonté de ce classement pour Martine Crespo et ses croustades qui gagne 59 places pour se retrouver en 9ème position.

    Rendez-vous en décembre pour le classement annuel.

    Merci à toutes ces personnalités qui, par leur notoriété sur le web,  font la promotion de l’Ariège.

    Ci-dessous le classement complet.

    Voir l’historique du classement