Catégorie : Ariège sorties

  • Bernardo Sandoval aime le Jazz

    Bernardo Sandoval aime le Jazz

    printemps du jazz Ariège Pyrénées

    Assurément un grand monsieur du flamenco qui a su s’inspirer de ses origines pour s’évader et laisser aller son inspiration vers d’autres horizons.

    Bernardo SANDOVAL aime le jazz ! avec Frédérik Lacourt (sax) / Mingo Josserand (piano) / Akim Bourmane (contrebasse) / Christian Tonton Salut (batterie)

     » Lever un coin du voile sur l’univers de Bernardo SANDOVAL, c’est se laisser emporter dans un tourbillon qui brouille toutes les pistes musicales, se laisser griser par un enthousiaste mélange des genres et adopter une famille élargie. De fait Bernardo SANDOVAL n’est jamais seul sur scène: sa guitare y convoque le flamenco, mais invite le cortège du rock, de la bossa, du tango et de la musique classique à lui emboîter le pas. » 

    20€ – 15€ tarif réduit pour les adhérents Art’riège et Estive

    Réservation: 1€
    site jazz à foix (section billetterie)
    ou office du tourisme
  • Carmen, opéra sauvage et sans orchestre

    Carmen, opéra sauvage et sans orchestre

    Carmen, opéra sauvage et sans orchestre Ariège Pyrénées

    « Ils dansent sur une musique qu’ils n’entendent pas. Et pourtant, leur chant signé fait écho à celui de la chanteuse lyrique qui les accompagne.

    Sur scène, six acteurs sourds et une cantatrice interprètent Carmen comme vous ne l’avez jamais entendu : des pas qui claquent, des corps qui parlent dans une danse rebelle et sensuelle, des cris et des silences. Langage musical, langage du corps et langue des signes se mêlent en une œuvre visuelle et rythmique. Les mains, les visages, les regards sont tour à tour soulignés par le silence, le mouvement ou le chant, et notre perception vacille. C’est avec tous ses sens que le spectateur ressent l’intensité de la passion. Une expérience jubilatoire. » C. Carissoni – La vie

    Opéra en langue des signes à partir de 10 ans par la Compagnie Danses des signes (31). D’après l’opéra de Bizet Mise en scène et chorégraphie : Lucie Lataste Comédiens danseurs : Ariane Cousin, Martin Cros, Vivien Fontvieille, Julia Pelhate, Émilie Rigaud et Brigitte Vivet Mezzo soprano : Lise Arbiol

    Samedi 26 avril 2014 à 19h précises à DAUMAZAN – salle des fêtes
    ouverture des portes : 18h00
    10 €, 8 € (réduit), 6 € (abonné Arlésie et Estive)
    16 € (cocktail, vin et café compris). Réservation conseillée avant le mercredi 23 avril.

    05 61 60 48 84 – arlesie@wanadoo.fr – www.arlesie.asso.fr

    www.facebook.com/arlesie

  • YO GEE TI, une rencontre entre orient et occident

    YO GEE TI, une rencontre entre orient et occident

    YO GEE TI, une rencontre entre orient et occident Ariège PyrénéesLa dernière création de Mourad Merzouki réunit danseurs de hip-hop français et interprètes de danse contemporain taïwanais.

    Séduit par l’énergie de ces derniers, le chorégraphe veut découvrir une culture à la foi empreinte de traditions ancestrales et ancrée dans une modernité extrême. Une fois de plus, c’est la rencontre avec l’Autre qui est une profonde source d’inspiration.

    Elle influence non seulement la chorégraphie, mais également les décors, les costumes. Pour Yo Gee Ti, Mourad Merzouki a collaboré avec Johan Ku, célèbre styliste taïwanais à l’origine de la création des costumes. Confectionnés dans de la laine, ils sont une contrainte pour l’interprète, et un défi supplémentaire pour le chorégraphe. Le chorégraphe développe alors une nouvelle gestuelle, entre danse hip-hop et contemporaine, et va chercher le rythme à un autre niveau.

    Mourad Merzouki  nous éblouit à nouveau avec une chorégraphie inspirée par cette rencontre avec des danseurs contemporains taïwanais. Yo Gee Ti confirme la liberté et la force d’invention du chorégraphe français. Le hip-hop dépasse ici la simple prouesse technique et se glisse dans la peau de la danse contemporaine. Un spectacle vivant, envoûtant et poétique. Quand le  danseur et chorégraphe contemporain s’est rendu avec sa compagnie Käfig à Taiwan pour la première fois, il a été captivé par l’énergie prodigieuse des danseurs locaux. De ce voyage est né le désir – bientôt concrétisé dans le spectacle Yo Gee Ti – d’explorer cette culture qui, selon lui, transformera et enrichira sa propre pratique de la danse.

    «  Le rapport à l’ « étranger » est nécessairement et intrinsèquement différent – la barrière de la langue nous force à réfléchir autrement, le langage du corps prime alors sur toute autre forme de communication. La pudeur et la réserve que l’on ressent face à cet autre sont finalement transcendées par un langage nouveau fait de la gestuelle de corps façonnés et pétris de cultures qui viennent s’enrichir et s’entremêler.
    Cette barrière de la langue m’amène à changer mon rapport aux danseurs, à la musique, à l’espace. C’est ce bousculement, ce retranchement que je cherche à provoquer en moi et qui anime mon processus de création : je suis curieux de pouvoir trouver le pivot entre ma danse, celle qui me caractérise, et la danse à Taïwan nécessairement différente de la mienne de par les corps, les influences, les formations. »

    S’énonce alors, au fil du ballet superbe des danseurs, une définition radicale et ambitieuse de la danse. Sur scène, les corps se mêlent et s’entremêlent au gré des variations sonores, pour finalement délivrer (conclusion de l’œuvre et de la danse) la suprême possibilité d’une communion des sens entre le passé et le présent, l’Orient et l’Occident – et surtout, danseurs et spectateurs.

    Né à Lyon en 1973, Mourad Merzouki pratique dès l’âge de sept ans les arts martiaux et les arts du cirque. À quinze ans, sa rencontre avec la culture hip-hop l’emmène vers le monde de la danse. Il décide très vite de développer cette gestuelle née dans la rue tout en se confrontant à d’autres langages chorégraphiques.

    Jeudi 17 avril à 20h45 à l’Estive de Foix

    Réservation indispensable à la billetterie de l’Estive 
    05 61 05 05 55 – accueil@lestive.com/www.lestive.com

    Crédit photo : Michel Cavalca

  • Peintures sur façades avec le Pays d’art et d’histoire

    Peintures sur façades avec le Pays d’art et d’histoire

    Peintures sur façades avec le Pays d’art et d’histoire  Ariège Pyrénées

    Elles se trouvent  sur les façades, dans des cours ou côté rue. Elles prennent la forme de frises parfois ou de trompe l’œil. Elles sont à la sortie des pigeonniers ou sur des maisons bourgeoises… Est-ce un décor, un message, une coquetterie ? Levez-les yeux et vous le constaterez, ces peintures sur façades sont partout ! Certes, elles ont une fonction décorative mais ont souvent une symbolique forte…Elles ne sont pas toujours datées.

    Danièle Lisle, plasticienne qui les recense depuis 2005, admet qu’elles appartiennent souvent au XIXe  siècle. Elles sont faites de chaux et de pigments noir, ocre jaune ou rouge.

    Danièle Lisle accompagnera une balade dans les rues du village pour se rendre compte de leur présence. Dans le cadre de la visite, Chloé Préteceille, professionnelle des techniques de la chaux, nous renseignera sur la technique employée. Elle exposera divers éléments liés à la pratique de l’enduit. Evelyne Fleurant, co-auteure de l’ouvrage « Peintures sur façades » avec Danièle Lisle, nous parlera du contexte d’exécution.

    Certaines de ces peintures ont disparu, c’est pourquoi cette balade dans les rues du village de Coutens nous aidera à y prêter plus attention. Départ pour la visite à 15h. A l’issue de la balade, un diaporama commenté par nos trois intervenantes viendra compléter la visite.

    L’après-midi se clôturera par un verre de l’amitié offert par la municipalité.

    Rendez-vous sur la place du village. Le tarif de l’animation est de 2€.

    [info]Prochaine animation du pays d’art et d’histoire des Pyrénées cathares A Nalzen, samedi 26 avril, 14h. Promenade industrielle : du moulin à la « fée électricité » avec Jean Cantelaube, chercheur CNRS/Framespa.[/info]

  • Cirque  Jongle D’Oc, virtuose et tourbillonnant !

    Cirque Jongle D’Oc, virtuose et tourbillonnant !

    Cirque  Jongle D'Oc, virtuose et tourbillonnant ! Ariège PyrénéesVincent de Lavenère est bien plus qu’un jongleur, c’est un véritable magicien ! Avec lui, la jonglerie n’est pas seulement un art visuel, il devient un art de l’écoute sensible.

    Ses voyages et son travail dans des pays d’Extrême-Orient nourrissent chacun de ses spectacles. Dans une harmonie sonore et visuelle jamais démentie, ce sont les portes de l’imaginaire et du merveilleux que Vincent de Lavenère nous ouvre pour notre plus grand plaisir.

    Dans Jongle d’Oc, l’artiste met un point d’honneur à rappeler ses origines béarnaises en n’hésitant pas à faire usage d’objets bien spécifiques à son pays, comme le chistera avec lequel, au lieu de jouer à la pelote, il va se mettre à jongler. Balles, citole, chants, cloches et grelots nous transportent jusqu’au sommet des montagnes béarnaises, où une halte est faite pour écouter ces montagnes qui chantent. Et brusquement, c’est effectivement le souffle de l’air de ces montagnes qui vient nous envelopper. De la pure magie.

    « Depuis toujours, mon intérêt pour les arts traditionnels occupe une place centrale dans mon travail. Chacun de mes spectacles s’inspire de diverses traditions : qu’elles soient médiévales et baroques, mémoire des jongleurs du Moyen-Âge, source de poésie, qu’elles soient artisanales, burlesques ou mobiles, qu’elles soient rencontre apparemment improbable entre orient et occident à travers des traditions musicales des montagnes du Laos et de nos Pyrénées atlantiques, ou qu’elles fassent écho à mes racines montagnardes,

    porteurs d’histoires et de rêves, développant un subtil imaginaire sonore. La tradition ne se veut pas être seulement source d’inspiration, mais véritable acteur dans la performance, permettant de nourrir, d’enrichir mais également de développer ce langage particulier de « la jonglerie musicale »

    Mon dernier spectacle « Jongle d’oc » fait, cette fois, écho à mon patrimoine culturel originel, le Béarn et l’univers montagnard. Il s’inscrit tout naturellement dans l’évolution de ma réflexion autour de la jonglerie musicale, ayant pour ambition de nous transporter jusque dans l’imaginaire que peuvent susciter les sons mêmes de la jonglerie.

    Depuis peu, la jonglerie s’écrit, mais pour l’écrire, il faut apprendre à l’écouter pour la faire chanter. Mais, qu’est-ce qu’une jonglerie qui s’écoute ? Une musique qui se regarde? Un geste qui s’entend ? Qu’est-ce que l’imaginaire suscité par la musicalité de la jonglerie? »

    Vincent de Lavenère

    Mardi 8 avril à 20h45 au Mas d’Azil – Salle des fêtes
    Jeudi 10 avril à 20h45 à Taurignan-Vieux- Salle communale

    Avec la commune et le Foyer rural du Mas d’Azil, la Fédération départementale des foyers ruraux, le Pays des Portes d’Ariège. Avec la commune de Taurignan Vieux, la communauté de communes du Bas Couserans et le Pays Couserans. Avec le Conseil général de l’Ariège.

    Renseignements et réservations au 05.61.05.05.55 / accueil@lestive.com /www.lestive.com

    Crédit photo : Philippe Cibille

  • Le Pacifisme à l’honneur avec la compagnie Fées et Gestes

    Le Pacifisme à l’honneur avec la compagnie Fées et Gestes

    Le Pacifisme à l'honneur avec la compagnie Fées et Gestes Ariège PyrénéesAlors que commencent à peine les commémorations du Centenaire de la Guerre 14-18, la Compagnie Fées et Gestes a souhaité rendre un vibrant hommage à ceux qui, courageusement à travers leurs écrits, des deux côtés de la frontière, ont essayé d’enrayer la spirale de la haine et de la revanche (quelquefois, au péril de leur vie : Jaurès, Rosa Luxembourg). Ils ont été peu à continuer de croire en la fraternité par delà les nationalistes exacerbés (Stefan Zweig, Romain Rolland, Jean Giono).

    Hommage également à ceux qui, après le désastre, ont crié : «  Plus jamais cela !! » et ont témoigné de l’horreur vécue dans les tranchées (Erich Maria Remarque, Henri Barbusse, Blaise Cendrars…). Hommage, enfin à tous ceux qui, quelques soient les époques ont cru au pacifisme et ont vu leurs œuvres censurées ou interdites (Boris Vian, Berthold Brecht).

    Ils seront tous réunis dans cette Lecture Goûtée très émouvante, avec en plus, quelques chansons narquoises de Georges Brassens.

    Dimanche 6 avril 2014 à 16h, au 18  rue du Barry à Tarascon sur Ariège

    PAF : 5 euros – Entrée réservée aux adhérents.
    Adhésion annuelle possible sur place (15 euros) et première lecture offerte ; les suivantes (une par mois) à 5 Euros.
    En raison du succès des « Lectures Goûtées », il est fortement recommandé de réserver sa place au 05 61 64 18 54 ou par courriel à : feesetgestes@yahoo.fr

    Pour plus d’informations concernant ces lectures, vous pouvez consulter le site : www.compagniefeesetgestes.com

     

  • Troisième édition d’ « Urban Cult »

    Troisième édition d’ « Urban Cult »

    Troisième édition d'"Urban Cult" Ariège Pyrénées

    Il donne lieu à des ateliers sur la ville de Pamiers où des intervenants professionnels encadrent des groupes de jeunes afin de les faire évoluer dans leur pratique.

    Pour cette 3ème édition, l’enjeu pour les organisateurs est de confirmer le succès de l’événement. Ils reprennent donc les mêmes ingrédients : Des ateliers divers, une programmation de qualité, et un partenariat en béton pour proposer le meilleur au public.

    L’atelier autour de la création d’un concert sera encadré par les animateurs du service enfance jeunesse et un beatmaker (producteur de bande son pour les MC’s) Spok. Ils auront une semaine pour construire un set de 35 minutes avec les jeunes afin de le présenter en première partie des Phases Cachées.

    La soirée se déroulera le samedi 5 avril à la salle du jeu du mail.

    Les MC’s Du coin : Les jeunes fers de lance de la scène hip hop locale se sont alliés pour vous préparer un succulent mélange de sonorités pour le plaisir de vos oreilles.

    Phases Cachées : C’est parti d’une blague sur un banc en 2006, c’est devenu un des groupes à surveiller de très près en 2013. Cheeko, D’Clik et Volodia, trois voix, trois identités dont les différences forment l’unité.

    Nouvel R : Nouvel R, dont le rap éclectique emprunte autant aux piliers IAM ou La Rumeur qu’au rap sophistiqué de Dizzee Rascal montre sa différence lors de concerts où les cinq MC’s cagoulés se lancent dans des joutes verbales.

    Les inter-plateaux seront assuré par la troupe de danse WBY
    Le tout pour 10€ à plein tarif et 6€ pour les étudiants, moins de 25 ans chômeurs, titulaire de la carte du BIJ sur présentation d’un justificatif !

    Réservation possible auprès du service culturel 05 61 60 93 60

  • « La ville est à peindre » ou quand le Street Art entre dans les musées

    « La ville est à peindre » ou quand le Street Art entre dans les musées

    "La ville est à peindre" ou quand le Street Art entre dans les musées Ariège Pyrénées

                                                                                              © Miss.Tic

    « La ville est à peindre » c’est la prochaine exposition des Milles Tiroirs du 04 au 25 avril  à la salle Espalioux, rue Jules Amouroux, et à la Médiathèque de Pamiers, place Eugène Soula.

    Pour cette exposition, une invitée prestigieuse, Miss.Tic, connue nationalement et internationalement, et dont l’une des dernières commandes a été le design du tramway de Montpellier, après Christian Lacroix, et Christian de Portzampac

    Ces artistes, qui ont pris pour cimaises les murs des villes avaient avant tout quelque chose à dire, quelque chose qui ne pouvait s’exprimer autrement que dans la clandestinité, la transgression, le jeu… S’ils ont osé quitter les musées, les galeries, les centres d’art. C’est parce qu’ils ont voulu mettre l’art dans la rue, et mettre le citoyen en face des interrogations, des rêves qu’ils portaient.

    A l’origine du Street Art, il y a cette volonté de dire quelque chose, de prendre position dans le débat public. Et quel espace le plus emblématique dans la vie de la cité, que ses murs ?

    Pour cette exposition, trois artistes sont invités, Miss.Tic, 100taur alias Nicolas Giraud, Fabien Bedel. Un projet d’avenir (financé par le Conseil Régional) sera réalisé au lycée du Castella, sous la direction de 100taur alias Nicolas Giraud. Une fresque murale sera réalisée par les lycéens encadrés par l’artiste.

    Par ailleurs, un appel à participation a été lancé auprès de grapheurs du département de l’Ariège, afin de proposer une œuvre collective qui sera mise en place dans la salle Espalioux pour toute la durée de l’exposition.

    Miss.Tic

    Miss.Tic a commencé la pratique du graph, principalement au pochoir, dans les années 2000, après une vie d’apprentissage des arts graphiques, une vie de voyage aussi, entre le Paris de la Butte, et la Californie de la contre-culture. Autant dire que son art vient de loin, et que l’on peut se pencher sur son itinéraire compliqué, douloureux, pour en comprendre tous les enjeux.

    100taur alias Nicolas Giraud

    Nicolas Giraud se présente lui-même comme peintre, sculpteur, illustrateur, graveur. Très tôt, il a adopté le pseudonyme de 100taur, en hommage au centaures de la mythologie grecque. Mais c’est plus précisément le centaure Chiron, un précepteur, qui se différenciait des autres par sa sagesse et son pacifisme, dont Nicolas Giraud revendique la filiation.

    Fabien Bedel

    Fabien Bedel n’a jamais peint sur un mur, tout du moins ne le revendique-t-il pas. Son inspiration est néanmoins on peut plus urbaine, et ceux qui ont vu l’un de ses dessins grand format n’ont pas manqué de s’y perdre, tant le foisonnement de détails, tant la profusion des récits croisés conduit le spectateur à s’y immerger.

    Mille Tiroirs  
    Maison des associations, 7 bis rue Saint Vincent
    09100 Pamiers
    Contact: 0640421967 – lesmilletiroirs@orange.fr
    milletiroirs.blogspot.fr

    L’action des Mille Tiroirs est soutenue par la ville de Pamiers, La communauté de Communes du Pays de Pamiers Le Conseil Général de l’Ariège Le Conseil Régional L’Union Européenne Le Fonds Social Européen.

  • Voyage en toponymie

    Voyage en toponymie

    Voyage en toponymie

    C’est en effet à Laroque d’Olmes que Stephane Bourdoncle fait sa nouvelle escale en Pyrénées Cathares après Limbrassac, Moulin-Neuf et le Peyrat.

    La toponymie est la science qui étudie les noms de lieux. Elle se propose de rechercher leur signification, leur étymologie, leur évolution et leur impact sur les sociétés et les territoires.

    Que ce soit pour la consultation d’un cadastre, d’une carte, d’un guide touristique ou plus simplement d’un panneau routier, nous sommes constamment en présence de nombreux noms de lieux dont la signification nous échappe souvent. Stéphane Bourdoncle effectue de longs repérages sur les anciens plans du village, notamment le cadastre dit « napoléonien », pour noter tous les noms qu’il trouve.

    Il se rend ensuite sur le terrain pour essayer de comprendre pourquoi on a attribué tel nom à tel endroit. Les noms reflètent en effet bien souvent la particularité d’un lieu en fonction de l’intérêt que les hommes y trouvent : terrains de pierre, sol humide, champs de telle ou telle personne….

    Un toponyme doit permettre d’identifier correctement un endroit. Il est attribué dans un souci de description du paysage et d’évocation des activités  des habitants des lieux.

    La connaissance des langues régionales, l’occitan pour nous, apparait comme la clé de compréhension des toponymes, car si le français est aujourd’hui la langue officielle, parlée et enseignée dans tout l’hexagone, il n’en reste pas moins que les dialectes locaux ont fortement marqué l’identité des territoires.

    Stéphane est professeur d’histoire, historien de la langue occitane ce qui lui permet de nous faire découvrir ce qui se cache derrière le nom des lieux. C’est ce qu’il se propose de nous restituer à Laroque d’Olmes.

    Alors venez voyager au travers des mots avec le  Pays d’art et d’histoire et la Commission du Patrimoine de Laroque d’Olmes ce samedi 5 avril à 18h dans la salle d’honneur de la mairie de Laroque d’Olmes.
    Tarif : 2€ 

  • Sexe, amour et aspirine, par la compagnie Victoria Régia

    Sexe, amour et aspirine, par la compagnie Victoria Régia

    Sexe, amour et aspirine, par la compagnie Victoria Régia Ariège PyrénéesQuand une infirmière se retrouve enfermée avec son patient dépressif et amnésique, dans une chambre d’hôpital. A Fontdugouffre, hôpital psychiatrique à la triste réputation, une rencontre inattendue va se produire entre deux personnes que tout oppose.

    Une comédie tendre et loufoque au rythme endiablé et aux rebondissements multiples.

    La troupe

    Victoria Régia a vu le jour en janvier 1994 à Paris. Depuis, son activité principale demeure le théâtre. Son vécu en Ile de France s’est traduit par la création de quatre spectacles, Marivaux, Labiche et des poètes contemporains. Installée depuis janvier 1999 à Toulouse, Victoria Régia concentre ses efforts sur la découverte d’auteurs contemporains vivants, sur le théâtre en milieu rural et le théâtre d’humour.

    Information et réservation : www.theatrales-couserans.fr . Office de tourisme de Saint-Girons : 05.61.96.26.60 Entrées : 12, 7 et 5€

  • Chanson mais pas que… avec Jur

    Chanson mais pas que… avec Jur

    Chanson mais pas que... avec Jur Ariège PyrénéesVibrante comme une polyphonie tellurique, un bouquet de chardons, la voix de Jur, grave et terriblement sexy, est la pièce maîtresse du groupe.

    Les musiciens ne sont pas en reste, la musique enveloppe subtilement la voix créant une alchimie incroyablement envoûtante. Dans ce monde musical se croisent blues, rock, tango, flamenco autour de texte en français, anglais ou catalan avec un mélange de tempo de cabaret et de timbales de cirque.

    On ne ressort pas indemne d’un tel concert, c’est un voyage dans un monde inexploré

    Jur Domingo (chant) – Nicolas Arnould (guitare) – Jean-Baptiste Maillet (batterie) – Julien Vittecoq (piano)

    Samedi 29 mars 2014 à 19h salle des fêtes de Daumazan  ouverture des portes : 18h30

    TARIFS  : 10 €, 8 € (réduit), 6 € (abonné)
    RESTAURATION dès 21h avec les artistes
    16 € (cocktail, vin et café compris). Réservation conseillée avant le mercredi 26 mars.

    Tél : 05 61 60 48 84 – arlesie@wanadoo.fr – www.arlesie.asso.fr

    www.facebook.com/arlesie

  • Quand le Jazz rencontre la Pop à Saverdun

    Quand le Jazz rencontre la Pop à Saverdun

    Quand le Jazz rencontre la Pop Ariège Pyrénéesc’est le concert que propose le Centre culturel de Saverdun, le vendredi 28 mars à 21h.

    De Ray Charles à Michael Jackson en passant par ACDC ou Queen, ce mélange est un superbe voyage musical au détour d’improvisations où le jazz croise la pop .

    « Ce mélange de style nous offre l’opportunité de jouer ce que l’on aime, ce que l’on a écouté plus jeune, ce que l’on écoute aujourd’hui, et cela tout en préservant l’essence même du jazz« 

    Un mélange de styles à découvrir, qu’on aime le jazz le rock ou la pop, tout le monde s’y retrouve pour passer un bon moment musical.

    Pour écouter soundcloud.com/les-katsava

    Centre culturel de Saverdun 21h
    38 rue du lion d’or 09700 Saverdun
    Réservation au 06 81 54 45 97 en prévente 8€  sur place 10€