Catégorie : Économie et Entreprises

  • Mazères : Habitat Bohème innove avec une roulotte d’un nouveau genre

    Mazères : Habitat Bohème innove avec une roulotte d’un nouveau genre

    Installés dans la zone industrielle de Mazères depuis 2011, Habitat Bohème construit bon an mal an une quarantaine de roulottes en bois. Cette année, il propose un nouveau modèle à mis chemin entre la caravane et la roulotte  : La Roulovane !

    C’est sa passion pour le travail du bois qui a conduit Frédéric de Broux, le Directeur Fondateur, à créer Habitat Bohème. C’est ensuite son envie de quitter la région parisienne qui le mènera dans le Sud. L’accueil reçu en Ariège l’a incité à s’installer sur la zone d’activité des Pignès à Mazères, avec une vue imprenable sur les Pyrénées. Il emploie aujourd’hui 9 à 15 salariés (selon la saison) qui ont fabriqué, depuis près de 8 ans maintenant plus de 200 roulottes.

    Avec cette nouvelle version, Habitat Bohème s’adresse à une nouvelle clientèle, plus grand public puisque la Roulovane est tractable et aussi légère et maniable qu’une caravane avec le charme des vacances d’antan en plus. Elle s’adresse aussi aux professionnels tels les commerçants ambulants, les artisans, certaines professions libérales ou pourquoi pas pour un espace de télétravail.

    Plusieurs versions sont aujourd’hui proposées : 
    – La « Loisir 4 couchages » entièrement équipée et aménagée par l’équipe d’Habitat Bohème, dotée d’une alcôve, d’un canapé-lits gigognes, de toilettes sèches, d’une cuisinette et d’un coin repas.
    – La version « métiers » disposant d’un hayon latéral bois, à destination des artisans, des commerçants ou professions libérales
    – La version « nue » à aménager soi-même

    Cette nouvelle version est conçue autour d’une ossature en aluminium et en Douglas massif (bois naturellement quasi imputrescible) d’origine France, non traité car la philosophie première d’Habitat Bohème est de fabriquer des roulottes authentiques, alliant charme et haute qualité en utilisant des matériaux issus des productions les plus écologiques possibles.

    « A la différence d’autres fournisseurs d’habitat léger», comme le rappelle Frédéric de Broux, «notre spécialisation est le prolongement de notre volonté de développer le meilleur rapport qualité/prix pour nos produits et services associés en concevant des hébergements de charme pour apporter du plaisir et du bien-être, longtemps ».

    En plus de la Roulovane, Habitat Bohème propose toute une gamme de roulottes bois fixes à installer dans son jardin, dans un camping aussi bien pour des particuliers que des professionnels.

    Plus d’infos et découvrir les modèles sur http://www.habitat-boheme.com

  • Verniolle : Babyconcept révolutionne le biberon avec Bib’n Go !

    Verniolle : Babyconcept révolutionne le biberon avec Bib’n Go !

    Jeudi 15 décembre prochain aura lieu la réunion de lancement de Bib ‘n Go, le biberon élaboré par les parents pour leurs enfants. Un projet d’entreprise incubé depuis quelques mois dans les locaux de la pépinière Cap Delta à Verniolle et qui voit le jour après une aventure originale de son concepteur, Karim Farrudgia.

    Karim est papa de trois enfants (des jumeaux de 15 ans et un petit garçon de 22 mois). Immobilisé suite à une opération, il profite de sa convalescence pour s’occuper de son dernier né.

    Au cours d’un départ en promenade, tandis qu’il porte son sac à langer avec la bouteille d’eau, la boîte de lait, et la cuillère doseuse, il se demande comment améliorer les conditions de préparation du biberon en extérieur.

    Il a alors l’idée de fabriquer un biberon « tout en un », qui contient le lait en poudre et l’eau séparée, dans des conditions de conservation et d’hygiène aux normes, pour pouvoir partir en promenade avec son bébé léger comme l’air mais en toute sécurité !
    Après des mois de recherches, de visites en magasins spécialisés, d’échanges avec les parents ainsi qu’avec des professionnels en puériculture, le projet se concrétise.

    Tout seul, il se lance dans l’étude et la conception de prototypes. Les nombreux échanges avec l’INPI, des associations d’inventeurs, des conseillers en propriété industrielle, lui permettent d’avancer sur le projet.

    Conscient que la puériculture est avant tout une affaire de confiance, cet ancien responsable commercial reconverti dans le secteur aéronautique, décide de présenter ce concept à des mamans et papas afin de recueillir leurs avis.

    L’engouement pour BABYCONCEPT est immédiat. Plus de 500 parents participent aux deux premiers sondages. Karim FARRUDGIA commence alors à promouvoir ce concept collaboratif !

    Il reprend ses études et passe un diplôme universitaire comme chef de projet Web et multiplie les contacts auprès des acteurs institutionnels tels Ariège Expansion, la Chambre de Commerce et d’Industrie, BGE … afin de bénéficier des meilleures solutions d’accompagnement proposées sur le département.

    Jeudi prochain vers 17h30 , il vous attend nombreux pour venir découvrir son biberon innovant : Voir détails des horaires et s’inscrire en ligne

     

  • Les stations de ski ariégeoises attendent la nouvelle saison avec impatience

    Les stations de ski ariégeoises attendent la nouvelle saison avec impatience

    Avec 10 sites de ski et de neige, 170 km de ski de pistes, 180 km de ski de fond et ski de raquettes, 700 enneigeurs et des savoir-faire « des artistes » dameurs qui savent travailler avec des épaisseur de neige très faible, l’Ariège est un territoire de station de ski. Aujourd’hui, alors que les premières neiges montrent leur nez, tout le monde est sur le pont et dans quelques semaines, la saison va pouvoir commencer. 

    Mais l’Ariège ne se contente pas de créer des territoires de glisse dans ses stations, la saison de ski et d’hiver ce sont aussi des activités et une vie autour du manteau neigeux : 15 manifestations sur les stations, qui vont des activités autour du Pere Noel, de la  Saint Valentin, de la Snow Gay ou encore des compétitions.
     
    Les séjours au ski deviennent de plus en plus évolués et variés dans leurs activités : être le plus en adéquation avec les attentes des clients, des séjours de plus en plus décalés (comme à BEILLE avec Angaka), les hébergements qui s’adaptent aujourd’hui aux besoins des clients, font que la qualité de l’offre progresse dans les stations, mais aussi sur l’offre de services autour de la station.  Le bien être est aussi un éléments clé du dispositif ariégeois avec 2 points «Chauds » à Ax-les-Thermes et à Aulus avec le thermalisme et le thermoludique.
     
    Pour faire connaitre les stations, on se bouge !
     Pour le faire savoir, les ariégeois unissent leurs forces et font déjà depuis plusieurs années des opérations au plus près des clients : ARIEGEZ-VOUS début novembre sur Toulouse et Saint-Germain des Neiges à Paris la semaine dernière font découvrir un peu plus les stations des Pyrénées et les stations ariégeoise en particulier. Sur Paris, le Pôle Pyrénéen de cette année,  4ème édition avec un vide l’an dernier à cause des attentats de Paris, était organisé par la Confédération Pyrénéenne avec 4 Chalets et un espace SPA bain nordique et un Sauna. Résultats pour l’Ariège et ses stations : 25 journalistes et 25 Ambassadeurs de l’Ariège reçus sur l’espace pendant les quatre jours de l’opération.
      
    60% des skieurs viennent du bassin toulousain …
     
    Même si la plupart des clients des stations du département viennent du bassin toulousain, l’Ariège commence à vouloir se vendre un peu plus loin et les opérations lointaines avec la confédération, sur l’Espagne et la Grande-Bretagne, sont en cours de développement et porteront peut-être, dans quelques temps, leurs fruits.
     
    Cartographie de nos stations : nouveautés et impact économique
      
    GOULIER : 
    Pas d’innovation particulière pour cette saison, mais 2 animations pour Noël (concours de bonhomme de neige, arrivée du père noël et goûter pour les enfants. Pour la période du Carnaval à peu près le même programme avec une descente aux flambeaux.
    Ouverture prévue le 17 décembre
    Commercialisation : Vente Flash de forfaits saison du 30 Novembre au 2 décembre (venir à la com com.)
    Economie : Emploi : 9 saisonnier puis 13 en saison –  Chiffre d’Affaires moyen : 60 Keuros
     
     
    GUZET : 
    Ouverture prévue le 16 Décembre ou peut être le week-end avant suivant l’enneigement.
    Les nouveautés : le ski ludique avec une Fan Zone avec un Border Cross ; Guzet a une clientèle de moins en moins « technique » comme beaucoup de stations aujourd’hui, mais plus familiale avec un niveau moyenne ski et qui cherchent à se faire plaisir , alors la station s’adapte aussi pour cette nouvelle clientèle.
    Guzet développe également le dispositif de sécurisation de tous les télésièges pour les enfants : 2 télésièges sont équipés (2 places de gauche du siège)
    Guzet développe le système nivolog qui fonctionne sur le site du Freychet et qui donne en direct et en temps réel  hauteur de Neige / Hygrométrie / Température en utilisant à titre expérimental le réseau du toulousain SIGFOX. (http://lab.nivolog.com/map#freychet)
     
    Commercialisation : Guzet lance le forfait  première glisse à 6 euros pour une heure d’accès aux pistes vertes et bien sûr la panoplie des forfaits MyAlti tout au long de la saison à voir sur le nouveau site http://www.altiservice.com/guzet
    Avec la carte accès possible sans faire la queue.
    Economie : CA moyen 1,7 millions 75 salariés dont 63 saisonniers.
     
     
    AX-3-DOMAINES : 
    Ouverture prévue le 3 Décembre. Nouveautés essentielles : le Front de Neige, la piste de luge et le tunnel. Forfait piéton.
    et attente de la déviation d’Ax-les-Thermes. Pour le futur, gros travaux envisagés sur les CAMPELS et remodélisation des services aux pieds de piste.(Salle hoirs sac, accueil, …)
    Economie : 150 salariés, dont 40 permanents  CA moyen : 8 Meuros.
    600 emplois induits dans la vallée.
     
    ASCOU : 
    Ouverture prévue le 10 décembre. Travaux en coulisse : sécurisation au niveau du ruisseau , travail sur les parking et modernisation des canons à neige. Puis passage aux forfaits magnétiques. L’évènement particulier : la journée découverte avec gratuité pour un adulte avec un moniteur et matériel compris. 20 personnes ont essayé l’an dernier cette journée.
    Economie : CA moyen annuel 400/500 keuros, 20 salariés dont 2 permanents.
     
    MONTS d’OLMES :
    Ouverture le 10 Décembre. Renforcement des équipements et notamment  le colmatage des fuites du Lac de Fagebelle, modernisation du réseau de neige de culture. Nouveau système de billetterie pour adhérer à l’offre globale sur les 3 stations gérées par la SAVASEM et améliorer le contrôle sur les pistes. Ouverture d’un chalet-hôtel sur les Monts d’Olmes. (Ex Chalet EDF) Station en reconquête de clientèle locale. 
    Redonnner cette appartenance de la station au territoire.
    Economie : CA moyen annuel : 1 Millions d’euros 30 salariés dont 4 permanents
    Commercialisation : Mise en vente de prix Promo du 10 Novembre jusqu’au 26 Novembre.
      
    BEILLE/CHIOULA
    Ouverture le 3 décembre pour Beille et  le Chioula pour le 17 décembre
    37 salariés dont 8 permanents CA : 916 000 euros au Global (219 emplois induits par l’activité de cette station sur la vallée des Cabannes Tarascon) Projets à venir et activités : Fusion des communautés de communes de la vallée et donc l’avenir risque de faire évoluer le contexte de ces stations. Belle programme à 10 ans : les nouveautés une nouvelle Dameuse pour rendre efficace et économiser du temps et de l’énergie. Un nouveau poste de vente en station, des trais de canon à neige un nouveau musher et toujours les activités Nordiques proposées par Angaka. Animation : le père Noel, le Merens des neige le 21 janvier avec du castillonais aussi avec un échos dans les Alpes. 30 décembre. Course de Biathlon et la Beilloise le 26 mars pour relancer une future course pyrénéenne. Une billetterie communes avec la savasem en 2018.
  • Politizr, startup ariégeoise remporte le Synerthon

    Politizr, startup ariégeoise remporte le Synerthon

    Politizr a remporté a l’unanimité le prix « Innovations organisationnelles pour optimiser les pratiques de transformation interne” au Synerthon qui c’est tenu durant Futurapolis vendredi 4 novembre dernier à Toulouse. 

    En faveur du développement économique, le Synerthon rassemble les grands comptes et ETI pour partager ensemble des problématiques communes et des ressources afin de former des alliances et travailler de concert avec des startup et/ou entreprises innovantes.
     
    Dans ce cadre, Politizr va prochainement travailler au déploiement de sa plateforme de débat au sein des entreprises de l’alliance (Actia, la Caisse d’Épargne, Enedis, Veolia) pour encourager les discussion intra et inter entreprises.
     
    plus d’infos sur synerthon : http://synerthon.com
  • La station des Monts d’Olmes réfléchit à son avenir !

    La station des Monts d’Olmes réfléchit à son avenir !

    Vendredi dernier, invités par Gérald Sgobbo et Fabrice Esquirol de la SAVASEM et l’équipe de la station, une soixantaine de professionnels, techniciens, présidents d’associations liés à la vie de la station des Monts d’Olmes, ont planché sur le plan de développement de la station. Une opération qui fait date dans l’histoire des Monts d’Olmes.

    C’est tous ensemble que les socioprofessionnels et collectivités liés à la vie de la station ont été amenés à partager leur avis et expériences sur quatre points stratégiques qui feront le futur du développement de la station des Monts d’Olmes.

    Réunis dès 9h30 à la chapelle, c’est devant Coralie Déjean, la chargée de mission en charge de l’étude et de la méthodologie qui a présenté le cadre de travail, que les professionnels présents ont apprécié les enjeux de la journée : l’objectif est de les réunir et de créer un cadre qui sera partagé et où chacun pourra se reconnaître et s’impliquer. En effet, l’idée est de créer une cohésion et une adhésion pour le futur plan de développement et non pas l’imaginer seul dans un bureau.

    L’appui des professionnels présents, venus de divers horizons : pisteurs, responsables de l’enneigement, commerçants, restaurateur, gestionnaires d’hébergements, propriétaires, club de ski, animateurs, agriculteurs, élus, agents d’entretien, … a permis de travailler sur 4 axes thématiques : conforter le produit ski, diversifier les activités au-delà du ski, renforcer la « commercialité » de la station et enfin, rénover l’image et la qualité de l’accueil.

    La journée s’est terminée par la présentation des pistes retenues par les rapporteurs et animateurs des quatre groupes de travail et l’intervention d’experts comme Bruno Fareniaux, spécialiste du Tourisme et Charles Pujol, commissaire du Massif des Pyrénées.

    Quelques personnalités locales, comme Perrine Laffont ou Henri Nayrou sont venus affirmer leur soutien à la démarche et rappeler à quel point les stations de moyenne montagne en Ariège, comme celle des Monts d’Olmes, étaient nécessaires et importantes pour le développement d’une économie touristique sur le département.

     

     

  • Inauguration de l’Espace Coworking à Cap Delta, pour bien travailler ensemble

    Inauguration de l’Espace Coworking à Cap Delta, pour bien travailler ensemble

    Un nouvel espace de coworking ouvrira ses portes dès lundi 24 octobre à la Pépinière d’entreprise Cap Delta de Verniolle. Cet espace à été inauguré jeudi, en présence de nombreux et peut-être futurs coworkeurs.

    Après le mot de bienvenue par le directeur de l’agence, Didier Kuss, l’inauguration a commencé par une une conférence de Jean-Philippe d’Octus Conseil : «L’impact du numérique dans les organisations du travail», suivie par la présentation d’Annie Fachetti, chargée de communication et responsable du projet Ariège Télétravail au sein d’Ariège Expansion «Pourquoi et Comment coworker à Cap Delta ?».

    Jacques Laffargue, Vice-président d’Ariège Expansion et conseiller départemental du canton de Pamiers, représentant Monsieur Henri Nayrou, a conclu en soulignant l’importance de ces espaces dans un département comme l’Ariège.

    L’idée d’un espace de coworking, c’est de permettre à des travailleurs indépendants (auto-entrepreneurs, solos,…) ou à des salariés d’entreprise, de ne pas rester isolés chez eux et de pouvoir trouver, dans ce «tiers lieu» et à travers un réseau, un espace de socialisation comparable à une entreprise.

    L’agence de développement économique, qui gère déjà depuis plusieurs années 3 télécentres (en 2015 près de 250 journées de télétravail ont été réalisées au sein des 3 télécentres aménagés dans chacune des 3 pépinières d’entreprises Cap Delta à Verniolle, Cap Couserans à Saint-Lizier et Cap Mirabeau à Lavelanet) offre ainsi une solution complémentaire à ces espaces de télétravail.

    Avec les forfaits d’accès à l’espace de coworking et du télécentre, une multitude de services est proposée : services de reprographies, accès aux infrastrutures de l’ensemble des pépinières gérées par Ariège Expansion, accès à tarif préférentiel, aux salles de réunion, etc…

    Le mardi, le coworking c’est gratuit !

    Afin de favoriser l’émergence de cette communauté, Ariège Expansion propose, jusqu’au 20 décembre 2016, des «free days coworking» : Tous les mardis le coworking sera gratuit, une bonne occasion de venir tester, expérimenter et pratiquer le coworking.

    Un espace de coworking est également ouvert sur Lézat-sur-Lèze depuis quelques mois, géré et animé par la Communauté de Communes Arize-Lèze.

    Pour tout renseignement :

    ARIEGE EXPANSION – Parc Technologique Delta Sud – 09340 VERNIOLLE
    05 61 69 00 09
    info@ariege-expansion.com
    http://www.ariege-expansion.com

     

  • Varilhes : Inauguration de l’unité de production de MKAD

    Varilhes : Inauguration de l’unité de production de MKAD

    MECACHROME et AUBERT & DUVAL inauguraient vendredi dernier MKAD, une joint-venture spécialisée dans la finition de pièces en titane de qualité aéronautique. Un nombre important de partenaires et de collectivités ayant participé au projet de création et d’installation étaient présents pour découvrir les premières installations et machines…

    Dans le prolongement de la filière titane actuelle d’AUBERT & DUVAL, MKAD est équipée de moyens d’usinage et de traitement de surface et intègre sur un seul site l’ensemble des opérations de fin de flux jusqu’à la livraison de la pièce finie. « C’est un site unique en Europe et dans le monde » comme se plait à le rappeler son président Jean-Jacques Bouillo.

    C’est une usine moderne, «4.0» avec un pilotage intégré et une chaine de commandes totalement numérisées. Lors de  notre visite nous avons pu observer des opératrices qui pilotaient des machines d’usinage avec une tablette numérique ; pas de poussière, peu de bruit, une impression de neuf et de modernité se dégage de cette nouvelle unité industrielle où l’on développe le recyclage des copeaux de titane : tout semble parfait et fait pour qu’ « une ambiance de sérénité et de bien-être des salariés se ressente » comme le précise Alain Fauré, député de l’Ariège qui a oeuvré, avec d’autres élus et Ariege Expansion au fait que l’établissement s’installe sur Varilhes.

    MKAD un outil de proximité pour AUBERT & DUVAL

    MECACHROME et AUBERT & DUVAL avec MKAD complètent ainsi l’association AUBERT & DUVAL, UKTMP, UKAD et ECOTITANIUM pour constituer une filière pièces matricées titane aéronautique totalement intégrée, de l’extraction jusqu’à la livraison de la pièce finie. Extraction du minerai et élaboration du titane chez UKTMP au Kazakhstan, forgeage chez UKAD, matriçage de la pièce chez AUBERT & DUVAL, finition chez MKAD et recyclage des chutes et copeaux chez ECOTITANIUM : la filière intégrée du titane aéronautique est aujourd’hui une réalité en Europe.

    La création de MKAD permet à MECACHROME et AUBERT & DUVAL, déjà très présents sur le marché de l’usinage des métaux durs, de compléter leur expertise dans ce domaine et de renforcer leur positionnement sur les derniers programmes aéronautiques mondiaux.

    MKAD est, à ce jour, une unité de production de 7000 m2 située à Varilhes, près du site d’AUBERT & DUVAL à Pamiers à proximité de Toulouse. Un second lot de travaux, en cours, portera la surface totale à 9600 m2. Le site  compte 39 salariés à ce jour avec une prévision à 80 à terme.

     

  • En 2017, le Conseil Départemental sera auprès des « Com Com » pour aider au développement économique

    En 2017, le Conseil Départemental sera auprès des « Com Com » pour aider au développement économique

    Mardi dernier, Henri Nayrou, entouré de son « staff » a souhaité clarifier la position du Conseil Départemental en matière de développement économique devant la presse. Son agence « Ariège Expansion » ne pourra plus être financée par le département dès le premier janvier 2017 contraint par la loi « NOTRe » de réforme territoriale. L’idée lui est donc venu de s’associer avec les Communautés de Communes qui gardent la compétence pour rester dans la course pour aider au développement des vallées et territoires ariégeois.

    Le Conseil Départemental s’est réuni à plusieurs reprises avec les communautés de communes pendant l’été pour tenter de définir   le rôle de chacun en matière de développement économique et envisager la reprise des « actifs » et actions engagées jusqu’alors par son agence de développement économique Ariège Expansion après le 1er janvier 2017.

    H.N. : «Si on perd la compétence en matière de développement économique on en garde la responsabilité !»

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    Henri Nayrou

    A ce jour, rien n’est très précis en matière de reprise des « Pépinières d’entreprises » de Lavelanet, Verniolle et Saint-Lizier car un troisième acteur rentre en jeu dans le cadre des changements imposés par la loi NOTRe (loi du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République): le Conseil Régional d’Occitanie.

    Il est question à ce jour d’une reprise de 6 salariés par Madeeli, l’agence régionale de développement économique de l’ancienne région Midi-Pyrénées, et qu’une autre partie de l’équipe d’Ariege Expansion puisse intégrer un nouvel outil qui va être mis en place au début de 2017.

     

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    Pascal Allard

    Une fois les communautés de communes « fusionnées » (elles ne resteront plus que 8 en Ariège début janvier au lieu de 20 aujourd’hui) elles pourront ainsi voter sereinement sur le choix de gouvernance de ce nouvel outil, géré en tandem, par le Conseil Départemental et les Communautés de Communes.

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    Didier Kuss

    Ce qui est certains, c’est que les territoires et entreprises de nos vallées auront toujours besoin de l’aide des collectivités (Mairie et communautés de communes) et que les communautés devront se tourner vers le Conseil Départemental pour les aider à financer des aides et actions à destination de l’économie locale : c’est donc un outil, « symbole » de leur volonté de solidarité territoriale, que le président Henri Nayrou et les présidents des « Com Com » souhaitent créer pour l’Ariège.  Restera à affiner le format juridique, les actions, la gouvernance …mais le détail « de la construction de la salle des machines »  reste à définir.

    C’est une solidarité « départementale » en matière économique qui est voulue par le Conseil Départemental et les EPCI

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    Francis Déjean

    Le sujet et complexe, et la situation est délicate aujourd’hui car de profonds changements dans l’organisation des collectivités est à l’oeuvre depuis plusieurs mois et qu’élus et techniciens tentent de rentrer dans le calendrier de cette loi aujourd’hui en application : fusion des régions, regroupement de communautés de communes, changements de compétences, modifications des périmètres, …beaucoup de choses qui paraissent complexes pour le commun des mortels…

    10 minutes en vidéo pour y voir plus clair !

    Henri Nayrou président du Conseil Départemental, Pascal Allard directeur de cabinet, Francis Déjean DGS et Didier Kuss directeur de l’Agence ont tenté de nous rassurer et surtout de nous expliquer ce qui devrait se passer dans les prochaines semaines. Arguments et explications que vous pourrez découvrir dans le montage vidéo réalisé.

    En attendant, on a apprit que l’Agence ARIEGE EXPANSION sera toujours en fonctionnement une bonne partie de l’année 2017, le temps qu’il faudra pour que les décisions soient effectives et les nouvelles structures en place…

     

  • Politizr start-up ariégeoise, s’expose à la Start’Up Avenue à Toulouse

    Politizr start-up ariégeoise, s’expose à la Start’Up Avenue à Toulouse

    L’édition 2016 de La Mêlée Numérique organisée par l’association régionale des acteurs du numérique a proposé il y a quelques jours un format original au travers de la Start’Up Avenue, installée au coeur de Toulouse sur les Allées Jules Guesde, à proximité du Quai des Savoirs.

    L’occasion pour notre Start’Up ariégeoise « Politizr » de présenter sa plateforme de démocratie citoyenne permettant aux élu(e)s de débattre directement et publiquement sur les sujets proposés par les citoyens et citoyennes. Améliorer la vie locale en développant les débats de proximité dans toute la France, telle est l’ambition de Politizr qui compte, dans sa version en test depuis juin dernier, près de 120 élus, avant le lancement officiel de la plateforme à la fin de l’année.

    Thomas Champion et Lionel Bouzonville ont notamment eu le plaisir de présenter leur projet à Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée et à Bertrand Serp, Vice-Président de Toulouse Métropole en charge du numérique, qui inauguraient ensemble la Mêlée Numérique 2016.

    Politizr a également concouru aux Trophées de l’économie Numérique qui seront remis le 30 septembre prochain aux lauréats, toujours dans le cadre de la Mêlée Numérique. Ils sont soutenus dans leurs démarches par Ariège Expansion, en particulier Annie FACHETTI en charge de la communication mais également administratrice de La Mêlée.

    Enfin, Politizr et Equivote, une autre start’up toulousaine spécialisée dans la Civic Tech, travaillent sur l’organisation d’un évènement le 7 décembre prochain sur Toulouse pour donner la parole à ceux qui cherchent à changer la politique grâce au numérique. »

    Plus d’infos sur www.politizr.com

    Source : Arex 30/09/16

  • Mecaprec, la mécanique de précision en Pays d’Olmes

    Mecaprec, la mécanique de précision en Pays d’Olmes

    Mecaprec à été créée en 1986 par 5 associés tous issus du secteur de la mécanique de précision. Elle est spécialiste de l’usinage de pièces prototypes, d’outillages, de pièces mécaniques en pré-série – petite, moyenne et grande série pour les secteurs de la fonderie, l’aéronautique, l’énergie, l’industrie et les machines outils.

    Originaire du Pays d’Olmes, Jean-Marc Gomez est titulaire d’un bac F1, d’un BTS productique et à fait trois ans d’école d’ingénieur. Il avait envie d’avoir une société à son nom et c’est en juillet 2007 qu’il visite l’entreprise Mecaprec qui était à céder. Il signe la vente en janvier 2008 et commence son activité en juillet 2008.

    «Ce n’est pas parce que c’est le Pays d’Olmes que l’on s’est dit qu’il ne fallait pas venir suite aux problème qu’il y a pu y avoir avec le textile. […]  Nous on fait de la pièce aéronautique, et on s’est dit qu’il y avait quelque chose à faire.» explique Jean-Marc. Et bien lui en pris puisque, de 13 salariés et 780.000 euros de chiffre d’affaires en 2008, Mecaprec compte aujourd’hui 53 personnes pour un CA de 6,3 millions d’euros. Un Pari réussi !

    Mais la réussite c’est aussi grâce à l’équipe en place : «Il y avait des gens dynamiques dans la société, des gens qui avaient envie, notamment Christian Gilles, le chef d’atelier, qui s’est tout de suite investi avec nous et a créé une équipe et une vrai dynamique» continue le gérant.

    Aujourd’hui l’entreprise travaille sur du fraisage numérique et usine l’ensemble des matériaux traditionnels et matériaux durs couramment utilisés par les grands secteurs d’activités industriels. Elle commence également à développer un réseau de sous-traitance.

    Jean-Marc Gomez à choisi le bon créneau, même si plus jeune, se souvient il, les conseillers d’orientation lui disaient de pas aller en mécanique. «c’est un peu les « bourricots » qui allaient en mécanique – plaisante t’il- et c’est dommage parce que c’est un bien beau métier» conclut Jean-Marc.

    65 r Jean Jaurès – 09300 Lavelanet
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  • « Petit Marché » le Maire d’Aulus donne sa réponse à Géraldine

    « Petit Marché » le Maire d’Aulus donne sa réponse à Géraldine

    Dans un article « témoignage » paru sur le site internet d’Azinat.com le 6 septembre 2016 sous le titre « Aulus : cinq emplois menacés au « Petit Marché » U, la Mairie ne lâche rien », la Gérante de ce magasin, Géraldine Wunderlich, accuse la Mairie d’être la responsable de sa fermeture le 15 décembre prochain et de la suppression de 5 emplois.

    Alors que c’est elle qui a décidé de cesser ses activités en pleine préparation des fêtes de Noël et du nouvel an, elle reproche à la Mairie de ne pas avoir attribué de surface supplémentaire à son commerce, et plus précisément la salle d’expositions de la médiathèque voisine.

    Argument mensonger comme on le verra, et décision paradoxale que de fermer un commerce en période de fin d’année et qui, à l’en croire, déborderait d’activités (500 à 600 clients par jour cet été, dit-elle) !

    Rappelons le cadre de ce «  psychodrame » :

    • Un bail commercial: la Commune étant propriétaire des murs du « Petit Marché » et d’une superficie au sol de 350 m2 (170 m2 de magasin et 180 m2 de sous-sol). La locataire, Mme Wunderlich propriétaire du « fonds de commerce » pendant la durée de ce bail, paie un loyer mensuel de 312 € à la commune (inchangé depuis 11 ans) qui participe aux charges et impôts de la copropriété « Résidence de l’Ars », dans laquelle est situé ce commerce.
    • Un bail  qui n’interdit pas de stocker des marchandises ailleurs. La copropriété offre des possibilités de locations ou achats de garages et logements qui permettaient à Mme Wunderlich de ne pas recourir systématiquement à l’assistanat communal.
    • Un commerce de proximité acquis pour résister à la désertification. Aulus-les-Bains comme de nombreuses communes rurales et de fonds de vallées ont acheté des locaux et installé des personnes en recherche d’emploi pour maintenir des commerces à proximité des habitants.
    • Un dispositif de proximité public/privé efficace. Mme Wunderlich en a profité, et par son travail acharné, mais aussi celui d’élus intégralement bénévoles à Aulus depuis 2008, qui ont participé au sauvetage du centre thermal, au doublement du nombre des curistes et de touristes, les revenus de sa Gérante du « Petit Marché » et le service rendu à la population ont pu progresser.

     

    Hors la salle d’expositions de la médiathèque, aucune alternative n’est acceptée par Mme Wunderlich 

    Elle veut qu’on lui attribue, en totalité ou partiellement, cette salle. Un point c’est tout !

    C’est sans doute la raison pour laquelle, contre toute attente, elle a, le 21 mars dernier, refusé l’installation d’une zone de stockage-tampon sécurisée, près de sa réserve. Solution à ses problèmes de livraisons, qui nécessitent d’être mises en attente de rangements, et qui devait être réglée avant l’été 2016.

    Les obligations et choix d’une équipe municipale, Mme Wunderlich n’en a cure, seule sa vision des choses compte. Pourtant il   lui a été expliqué que la salle d’expositions attachée à la médiathèque qu’elle revendique, mise en place par les prédécesseurs de l’équipe municipale actuelle, et le Conseil Général, ne pouvait lui être attribuée, si ce n’est pour la dépanner hors la saison thermale. Pour 2 raisons :

    – Une volonté d’action culturelle en direction des jeunes, notamment les élèves des classes « découvertes » de la ville de Toulouse, et des curistes.

    – Une obligation liée au fait que cet espace est dédié au domaine public communal est « inaliénable » donc non attribuable dans le cadre d’un bail commercial.

     

    Pour tenter d’imposer sa volonté en convaincant l’opinion, avec un son de cloche, que l’intégration de la salle d’expositions dans le bail (qu’elle vient de rompre !) est la seule solution, Géraldine Wunderlich cache des réalités en passant sous silence :

    • Sa résiliation de bail le 4 juin pour le 15 décembre 2016, qui démontre que la commune a été mise devant un fait accompli (voir copie jointe).
    • Sa motivation de résiliation  qui ne met pas en cause la Mairie (et pour cause : voir paragraphe ci-dessous) mais des fournisseurs.
    • Sa mise en échec, inattendue, le 21 mars 2016 de la solution   – initiée et payée par la Mairie en accord avec Géraldine Wunderlich et le Syndic de copropriété – de stockage des livraisons.
    • Sa discrétion sur le débat public du 17 juillet concernant sa décision de fermeture, et sur la rencontre du 17 août à sa demande, avec une délégation de Conseil municipal conduite par Patrick Boyer.
    • Son non dépôt des comptes annuels au greffe du Tribunal de Commerce et à la Mairie, qui entraîne une méconnaissance de la nature des 5 emplois supprimés, de leur masse salariale, de l’état de santé, bonne ou mauvaise, du commerce.

    En conclusion, l’avenir du « Petit Marché » doit s’organiser de la façon suivante :

    La résiliation de bail a été actée par le conseil municipal le 25 juin 2016 et la Sous-Préfecture le 1er juillet, après un délai de 3 semaines pour une éventuelle rétractation.

    Le 24 septembre le Conseil municipal désignera une commission de candidatures en son sein.

    Début octobre un appel à candidature sera lancé.

    Un bail révisé sera établi courant octobre.

    Un recrutement aura lieu dans la 2ème quinzaine de novembre.

    Si Mme Wunderlich fait acte de candidature la commission de recrutement l’examinera au même titre que les autres.

    L’équipe municipale fera en sorte que la population souffre le moins possible de la situation qui lui est imposée.

     

    Pour le Conseil municipal, le 19/09/2016. Le Maire Michel Veyssière.

  • Gardner Aerospace Belesta, une unité industrielle en devenir ?

    Gardner Aerospace Belesta, une unité industrielle en devenir ?

    C’est vendredi dernier que l’équipe dirigeante de GARDNER AEROSPACE inaugurait la rénovation des locaux de Belesta. L’occasion pour élus et invités de découvrir la philosophie et les savoir-faire de cette unité industrielle qui compte plus de 45 salariés sur le Pays d’Olmes.

    Nick Sanders le pdg de GARDNER AEROSPACE et Christian Périchon pdg de GARDNER AEROSPACE FRANCE avaient invité une cinquantaine de personnalités du monde économique et des élus locaux et territoriaux en présence de Marie Lajus préfète de l’Ariège, à visiter les locaux rénovés de l’entreprise GARDNER BELESTA appartenant au groupe.

    GARDNER AEROSPACE est un groupe anglais (Détenu à 100% par le Fonds d’investissements BETTER CAPITAL depuis 2010) en plein développement qui réalise aujourd’hui un chiffre d’affaires de plus de 175 millions d’euros et réalise depuis quelques années des acquisitions, qui lui permettent aujourd’hui de répondre à la demande de donneurs d’ordre dans l’aéronautique, le transport ferroviaire ou le secteur des pétroles.

    Le Groupe a aujourd’hui une assise internationale (Inde, Pologne, …) avec des usines modernes dotées d’une grande capacité de moyens industriels récents et performants : 30 stations CATIA, 25 machines de contrôle 3D, 270 machines d’usinage, 100 presses et plieuses, des chaines de traitements de surface intégrées, de très nombreuses certifications et homologations qualité…

    Le site de BELESTA fait partie de cette stratégie, et l’entreprise « anciennement » SALVAIRE, rachetée en 2007 par AIRIA puis par le GROUPE GARDNER en 2012 passe sous le pavillon anglais. Il était logique pour les dirigeants de configurer l’unité (entreprise autonome juridiquement et détenue à 100% par GARDNER) et de la mettre au standard des autres établissements du groupe : 2 millions d’euros ont été investit pour cette dernière rénovation en machines et réflexion des locaux (peinture, aménagement, mise aux normes et standards du groupe)

    Quel avenir pour ce site ?

    Cette inauguration a permis aux dirigeants de rappeler leur intérêt pour l’unité de Belesta ; un savoir faire spécifique et difficile à trouver en France. Ainsi, bien que « Belesta » soit éloignée des centres de décisions et de production des donneurs d’ordres, positionnée dans un bassin rural, cela n’affecte pas l’intérêt du groupe qui est compensé par le savoir existant comme se plait à le dire Nick Guttridge le Vice-Président en charge du développement.

    Pourtant, le site de BELESTA n’est positionné que comme un sous-traitant de rang 2 et la plupart de son chiffre d’affaires (60%) est fourni par AUBERT & DUVAL. L’entreprise, comme beaucoup aujourd’hui est à la merci des fluctuations des commandes du secteur aéronautique essentiellement ; ce qui pour simplifier, peut aussi bien aller dans le bon sens avec des recrutements et d’autres investissements si le secteur offre de nouvelles perspectives, mais aussi comme Belesta l’a déjà connu en 2003, une baisse des effectifs pour compenser une baisse de charge.

    Souhaitons donc, que l’embellie du secteur aéronautique continue afin que le pari pris par l’équipe dirigeante de GARDNER AEROSPACE soit gagné.