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  • Bernard Garcia décoré de la médaille d’or du tourisme par Madame le préfet de l’Ariège

    Bernard Garcia décoré de la médaille d’or du tourisme par Madame le préfet de l’Ariège

    Autour de ses amis et de personnalités liées au monde politique et touristique Bernard Garcia en présence de Madame le préfet de l’Ariège a reçu cette distinction pour les 30 et quelques années de travail dans le développement du tourisme local et national. Bernard Garcia après avoir reçu la décoration et avant d’inviter la centaine de personnes présente à un pot de l’amitié a tenu à donner quelques mots dont nous vous proposons quelques extraits choisis :

    «..Quand on aborde la dernière année des 50..on prend conscience que le temps laisse des marques, parfois difficile à accepter, mais aussi le temps fait du bien aux choses , bref comme on dit dans nos métiers, «  il a quelques heure de vol », je me suis amusé a les estimer…5000 heures de vol , aie ça fait mal.. 

    … je voudrais surtout dire que l’essentiel des actions au bénéfice de l’économie d’un pays c’est celui que j’ai conduit à travers mes entreprises, je pense, que nous devons renouer avec l’esprit bâtisseurs qui a créé cette ville (Mirepoix), ces bâtisseurs qui ont su mettre l’humain au cœur de l’urbain et qui aujourd’hui encore, trouvent un écho à ce que cherche le touriste, une identité, une originalité., qui restent un défi face a l’uniformisation en tout genre de cette société qui se dit moderne…

    Je souhaiterai dire ce message a nos élus et Elite de l’ état

    Les entrepreneurs aujourd’hui souffrent d’un manque de considération réelle, mais celle des mots qui depuis peu deviennent plu complaisant, mais la vraie reconnaissance au quotidien reste d’actualité comme le disait SIR WINSTON CHURCHILL voit en eux ceux qui tirent le char des contraintes en tout genre

    – vous dire que le tourisme est une activité plus complexe que l’accueil, il faut des services et des métiers, des femmes et des hommes professionnels et rappeler que l’attrait d’un territoire ce ne sont pas les outils liés à internet et autres bornes interactives, mais bien ceux liés à un style de rapport humains, parler l’anglais c’est bien mais c’est encore mieux de préserver la singularité d’un territoire avec la «  touche » locale

    – la qualité du tourisme passe par la singularité des infrastructures et non par la standardisation internationale, ou la standardisation tout court, une politique d’accueil, c’est une politique de préservation des sites et de l’originalité des territoires.

    Bref je voulais vous dire que légitimer et distinguer ceux qui contribuent à l’économie et à l’identité d’un territoire c’est contribuer à l’attractivité du pays…»

    Cette médaille d’or du tourisme a été décernée à Bernard Garcia par Mme la ministre Carole DELGA en reconnaissance de son investissement bénévole dans les différentes institutions professionnelles liées au tourisme.

    [info]Petite Biographie de Bernard Garcia
    Depuis 1986 : président-fondateur d’Afat Pyrène Voyage.
    1992 : vice-président de la chambre de commerce de l’Ariège.
    Depuis 1994 : propriétaire de l’Hôtel des Consuls.
    Depuis 2001 : président de l’UMIH 09.
    2007 : administrateur national du SNAV.
    Depuis 2010 : administrateur d’AS voyages.[/info]

  • Face aux Pyrénées, le Domaine de la Pradole

    Face aux Pyrénées, le Domaine de la Pradole

    Depuis 2010, Thierry Sola élève sur ces terres du Pays des Pyrénées Cathares, poulets, agneaux et cochons, en plein air et nourris au bon grain bio. De l’orge, des pois,  des féveroles, du triticale… un savant mélange de céréales pour une alimentation complète, biologique et surtout traçable.

    Agneaux, cochons et poulets sont élevés en plein air. Les cochons disposent de petites cabanes dans les bois, les agneaux paissent dans la prairie.

    Pour les poulets, Thierry a mis en place un ingénieux système de cabane et parc mobile qu’il peut balader dans n’importe quelle prairie ainsi que sur les chaumes. Ce qui permet aux poulets de se nourrir en été par exemple des restes de la récolte.

    Toute la préparation des animaux se fait dans une CUMA (coopérative d’utilisation de matériel agricole) à Salles-sur-l’Hers. Salle d’abattage, salle de découpe, séchoir, salle de préparation et transformation, Thierry à trouvé là tout le complément de ce qu’il lui fallait.

    Ainsi l’agneau est découpé et mis en caissette et le porc peut être décliné en produits secs : saucisson, saucisse sèche, coppa, jambon, paté, boudin…

    Vente à la ferme, en épicerie ambulante « Les Fêlés du local » ou encore en association de consommateurs  « Mirepoix’ Chiche » à Mirepoix et « Les Robins des Champs » à Dun, Thierry est un fervent adepte du Circuit court, ses produits rayonnent dans un circuit de 50 km maximum, et il connait bien ses clients.

    « Pour tout ce que j’élève, j’ai presque la tête du consommateur qui me parle » 

    Thierry se rend compte que, de plus en plus, les consommateurs sont prêts à mettre quelques euros de plus par kilo car ils en ont assez de manger ce qui est produit par la grande distribution et préfèrent savoir d’où vient le produit qu’ils ont dans leur assiette et comment il a été produit.

    Si vous voulez rencontrer Thierry Sola, des visites et des achats à la ferme sont possibles, sur rendez-vous.

    À Mirepoix, en direction de Belpech, au hameau des Bessous, prendre à droite en direction de Tende.

    Thierry SOLA
    Tende – 09500 Mirepoix
    Tél : 05 61 67 68 89 – 06 83 78 32 82
    thierry.sola@netcourrier.com

    Retrouvez les autres producteurs du Pays des Pyrénées Cathares sur : www.pyreneescathares-producteurs.fr

    Crédit Photo : Trifine Cuvilier Pays des Pyrénées Cathares

  • Unique en Ariège, l’observatoire de Sabarat

    Unique en Ariège, l’observatoire de Sabarat

    Michèle Jung, présidente de « l’association de l’observatoire astronomique de Sabarat » nous raconte que l’histoire commence avec le Pasteur André Richardot. Ferru d’astronomie et bien connu sur le territoire, le Pasteur obtient d’un propriétaire un morceaux de terrain sur les hauteurs de Sabarat, et d’EDF une subvention conséquente permettant le construction de l’observatoire qui sera inauguré le 13 avril 1991.

    Aujourd’hui, l’Observatoire astronomique de Sabarat est une association loi 1901 composée d’un cinquantaine de membres, tous astronomes amateurs qui font vivre ce lieu unique en Ariège.

    L’observatoire possède une dizaine d’appareils télescopiques, ainsi qu’un télescope Coronado spécialement conçu pour observer le soleil. Mais la perle des télescopes est celui que l’on retrouve dans la coupole. D’un diamètre de 450 mm, cet appareil a été acheté d’occasion et ramené de Suisse en pièces détachées par une équipe de jeunes passionnés de l’association. Ils l’ont ensuite remonté sur place et ont du consolidé le socle de la coupole.

    « C’est un grande chance. Pour ce petit village de 300 habitants, avoir des télescopes et un observatoire sur place, c’est quand même extraordinaire. Tout le monde n’a pas ça. »

    Tout au long de l’année, l’association organise des stages, des soirées d’observations et aussi des rencontres et des ateliers avec les écoles et les centres de loisirs.

    Les soirées publiques ont lieu une fois par mois le samedi en hiver et tous les vendredis en juillet et août. Sans oublier la nuit des étoiles ou encore le jour de la nuit au mois d’octobre.

    Un lieu unique en Ariège, une équipe de passionnés, de quoi se mettre la tête des étoiles !

    Pour tout savoir sur l’observatoire : www.observatoire-sabarat.com

  • Les Tables d’interprétation du Pays des Pyrénées Cathares

    Les Tables d’interprétation du Pays des Pyrénées Cathares

    Le projet de tables d’interprétation paysagère du Pays d’art et d’histoire du Pays des Pyrénées Cathares, fait suite à la campagne de panneaux d’interprétation patrimoniale initiée en 2011.

    Installées le long des sentiers de randonnée, dans des points de vue remarquables du Pays des Pyrénées Cathares, elles sont au nombre de 12 et complètent ainsi les 118 panneaux liés à l’histoire déjà existants.

    Comme nous l’explique Catherine Robin, animatrice du patrimoine, le Pays d’art et d’histoire s’est attaché la collaboration de spécialistes comme Alain Mangin du CNRS-Moulis, Isabelle Corbière de Géopyrène, ou encore Fabienne Bernard de l’Association des Naturalistes d’Ariège.

    Montiel Ariège PyrénéesDes journées de terrain ont été organisées avec eux pour déterminer non seulement les sommets visibles mais aussi la géologie, la faune, la flore de proximité. Enrico Cangini, dessinateur à l’association Lartemisia, a accompagné chacune des journées pour traduire par le dessin les différents éléments à mettre en avant.

    A l’issue des journées de terrain, un très important travail d’écriture des textes et de définition des clés de lecture des dessins a été réalisé par le Pays d’art et d’histoire notamment par Emeline Grisoni, mais également de très nombreux re-lecteurs.

    Ca n’a pas toujours été simple parce que c’est à la fois essayer de définir ce que l’on voit mais aussi essayer d’en retracer l’histoire

    Ces tables sont installées dans des emplacements privilégiés offrant une vue imprenable sur des sites du territoire ou caractéristique d’une zone naturelle à mettre en valeur. Ce sont des clés de compréhension de notre environnement quotidien pour tous les publics résidents et visiteurs.

    C’est le cas par exemple à Péreille, où les gorges ont une formation géologique particulière, ainsi qu’à Roumengoux qui se situe sur une crête avec un panorama exceptionnel sur les Pyrénées.

    Georges Sanchez, Maire de Péreille se félicite de l’installation de cette table d’interprétation ainsi que des panneaux historiques, car il permettent d’interpeler le promeneur en lui indiquant qu’il y a là un beau point de vue tout en expliquant la formation du site.

    dun Ariège PyrénéesCes tables permettent d’arrêter le promeneur et de lui faire admirer un paysage que bien souvent il n’a pas l’habitude de voir, un paysage qui est fragile, mystérieux et qu’il faut sauvegarder et protéger.

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    Pour le Maire de Roumengoux, Rolland Sanchez, l’intérêt des ces tables c’est que le promeneur voit d’un seul coup d’oeil l’ensemble des pics des Pyrénées.

    SSL21548 - copieC’est aussi une façon de voyager, comme à chaque fois que l’on lit ou que l’on regarde une carte, ça nous amène  vers des voyages et des déplacements intellectuels. 

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    Elles sont placées sur les communes de Camon, Dun, Lavelanet, Le Peyrat, Leychert, Mirepoix, Montbel, Montségur, Péreille, Roquefixade, Roumengoux.

    Ces tables ont été fabriquées par une entreprise de Haute-Garonne, Empreinte, et suivent une charte graphique créée par l’entreprise Visuel communication de Lavelanet. L’ensemble du projet est aidé par l’Europe via le financement LEADER, le Conseil général, le Conseil régional et l’Etat. Elles sont traduites en occitan, anglais et espagnol

  • Patrick Terris, éleveur à Montbel

    Patrick Terris, éleveur à Montbel

    Eleveur, cuisinier, patissier et même joueur de banjo à ses heures, il ne manque pratiquement rien à l’arc de Patrick.

    Son petit élevage étant juste au niveau de la rentabilité Patrick décide, il y a quelques années, de se diversifier en faisant de la transformation.

    En plus des caissettes de bœuf et de veau qu’il vend en vente direct, Patrick concocte maintenant des cakes aux fruits, des gâteaux au chocolat, de la moutarde artisanale, du pain d’anis, du pain d’épices ou encore du chutney de fruits. qu’il vend sur les marchés, les foires bio et dans quelques coopératives  » Avec plusieurs produits, s’il y a un mauvaise année pour l’un on compense avec un autre. » explique t’il.

    Mais pour Patrick, pas question de développer son élevage. Une quinzaine d’hectares et une dizaine de vaches allaitantes, un petit élevage qui fait son bonheur.

    « Mon idée c’est de prouver que l’on peut vivre sur une petite ferme, je préfère dix petites fermes plutôt qu’une grosse. »

    Au Hameau de Cantarate sur ses terres, tout est bio, et depuis 35 ans il n’a jamais utilisé de produits chimiques.

    « J’adore cet endroit. Ca fait 35 ans que je suis là, et je me régale tous les jours »

    Vous pouvez retrouver Patrick Terris sur les marchés de Lavelanet et Espéraza et sur les foires bio de Brie, Couiza, Lorp Sentaraille et Prades.

    Patrick TERRIS
    Canterate – 09600 Montbel
    Tél : 05 61 68 17 44
    patrick.terris@laposte.net

    Sur rendez-vous

    Retrouvez les autres producteurs du Pays des Pyrénées Cathares sur : www.pyreneescathares-producteurs.fr

    Crédit Photo : Trifine Cuvilier Pays des Pyrénées Cathares

  • De la graine de champions en biathlon : entraînement au sommet à Beille en Ariège-Pyrénées

    De la graine de champions en biathlon : entraînement au sommet à Beille en Ariège-Pyrénées

    En hiver, l’entraînement est intense ; chaque mardi et jeudi après-midi, ces jeunes « désertent » les salles de classe car ils bénéficient d’un emploi du temps adapté à leur section. A ces deux demi-journées, il faut ajouter la séance du mercredi après-midi et les week-ends, où ont lieu le plus souvent les compétitions.

    Un rythme physique et psychologique déjà soutenu pour de jeunes collégiens : un premier défi à remporter.

     

    Un emploi du temps très chargé mais un rythme d’entraînement indispensable pour maintenir un bon niveau aussi bien en ski de fond classique, en skating ou encore en biathlon, car « l’objectif est aussi de les amener pour ceux qui veulent faire du biathlon plus tard, à un niveau leur permettant d’évoluer en compétitions nationales », explique Laure Bosc, triple championne Jeunes de Biathlon et désormais entraîneur Biathlon au niveau national.

    D’ailleurs, les plus grands (4ème et 3ème) reviennent tout juste d’une compétition nationale qui a eu lieu à la Seigne dans le Jura.

    Les compétitions restent une part importante du cursus de formation pour que les jeunes puissent prendre conscience de leur niveau et se confronter à d’autres compétiteurs de leur âge ; un moyen aussi de récompenser leurs efforts quand ils font un podium !

    Mais, comme tient à le souligner Laure, les compétitions se font de plus en plus rares dans les Pyrénées, ce qui les contraint souvent à se déplacer dans les Alpes, voire plus loin et donc cela ajoute de la fatigue supplémentaire dans un agenda déjà très chargé.

    Marier le ski de fond au tir et à la concentration : une initiation dès la classe de 6ème.

     

    Le tir est un élément de motivation qui attire de plus en plus de jeunes, comme le fait remarquer Arnaud Bosc, frère de Laure et également entraîneur pour les jeunes du ski club et de la section ski, « mais il faut être un bon skieur à la base car au niveau des courses, si le niveau en ski ne suit pas, ça ne le fait pas ».

    Le biathlon est en effet l’alliance du ski de fond, plutôt en skating, avec du tir à la carabine ; pour les moins de 14 ans, le tir à plombs est pratiqué : « ils arrivent sur zone ; les carabines sont déjà en place, réglées de manière homogène pour tous les concurrents et la carabine reste sur le tapis ».

    A partir de la catégorie Cadets « U16 » (moins de 16 ans), le jeune porte sa carabine 22lr tout au long de sa course dont la distance oscille entre 4,5 et 6 kms.

    (Re)Démocratiser l’activité ski de fond via le biathlon : une réalité déjà en marche grâce à l’Ecole de Ski Français de Beille.

     

    De la dynamique autour de l’activité ski de fond, il y en a chez ses jeunes du collège comme pour l’équipe d’entraînement qui les suit tout au long de l’année et qui assure, pour certains d’entre eux au sein de l’ESF de l’Espace Nordique de Beille, une initiation à l’activité Biathlon au grand public, comme nous l’explique Philippe, Moniteur ESF à Beille.

    Nous proposons des séances d’initiation au biathlon pour un public non averti qui peut s’essayer à l’activité même avec un petit niveau de ski, sur un mode plutôt ludique.

    Une manière de démocratiser l’activité et la faire reconnaître car, loin des images des Jeux Olympiques et du champion pyrénéen, Martin Fourcade, il faut reconnaître que le biathlon souffre, peut-être, d’une étiquette uniquement « de sport de compétition » alors qu’il peut être pratiqué par tout skieur de fond.

    Un engouement qui commence à prendre, notamment à destination des groupes de type comités d’entreprise qui, « dans le cadre d’une journée multi-activités, viennent à Beille pour s’initier aux disciplines nordiques dont le biathlon fait partie », ajoute Philippe.

    Aujourd’hui, le printemps se profile pour les jeunes de la section ski, la période un peu « relâche », « tout en essayant de conserver une condition physique », précise Laure. Puis l’entraînement reprend en juin sur des skis à roulettes où ils évoluent sur route en montée ou à plat, « car il n’y a pas de freins sur ces skis-là ».

    Après la classe de 3ème, ces onze jeunes pourront poursuivre leur scolarité et aller au bout de leur passion et de leurs espoirs au lycée climatique de Font Romeu tout proche ; en ayant fait quatre année au sein de la section ski du collège d’Ax-les-thermes, ils peuvent déjà prétendre à des bases solides en ski, en tir, bref en biathlon.

     

  • Démonstration du travail en hauteur des élèves du Lycée Jacquard aux Monts d’Olmes

    Démonstration du travail en hauteur des élèves du Lycée Jacquard aux Monts d’Olmes

    Ce partenariat avec la station permet aux étudiants de parfaire leur technique en situation réelle, notamment dans le travail sur corde et le travail en hauteur.

    Téléski de Pradeilles, Pylône 1, mardi soir 20h. Les élèves de la filière Maintenance des Equipements Industriels (MEI), sont sur le pont. Ils vont s’entrainer à la réfection d’un pylône de téléski et ce n’est pas pour leur déplaire.

    « C’est entre la sortie récréative et du travail de présentation et de promotion de l’établissement » se plait à dire le Proviseur du lycée Bruno Pasquet.

    Gérald Sgobbo, Président de la communauté de communes du Pays d’Olmes, se félicite de ce partenariat : « cela nous permet de monopoliser un maximum de jeunes sur le territoire et au niveau des Pyrénées. Nous avons même des jeunes alpins qui viennent se former« 

    Il y a quelques années, c’était la station elle-même qui s’occupait de la formation du personnel en mécanique de téléski. Aujourd’hui, et grâce à ce partenariat, les jeunes arrivent déjà formés avec de bonnes bases explique Alain Barrou le chef d’exploitation de la station.

    Forte de cette expérience, la communauté de commune est en train de valider, au travers du LP Jacquard, les Monts d’Olmes comme centre de formation pour artificiers déclencheurs d’avalanches.

    En savoir plus sur la formation MEI ICI

  • Lavelanet : le speed meeting du Club réussi !

    Lavelanet : le speed meeting du Club réussi !

    Jeudi 5 mars à 18h00 ce sont 26 entreprises qui se sont rencontrées à l’initiative du Club d’entreprises du Pays des Pyrénées Cathares pour un premier «speed meeting» ou «speed dating» comme se plait à le décrire Jean-Marc Gomez  de MECAPREC et co-président du Club, qui tente de renaitre de ses cendres après un passage à vide de quelques années.

    Le stress était au maximum pour l’équipe d’Ariege Expansion en charge de l’animation et de la logistique de l’évènement. C’était une première pour tout le monde ; des désistements et des inscriptions de dernières minutes ont modifié quelque peu le « plan de table, mais Sylvie Ducattillon la chargée de mission au commande de la soirée s’en est tirée à merveille, l’essentiel de l’opération et les objectifs ont été atteints «Les gens pourront connaitre les activités de chacun mais aussi connaitre l’histoire, les nombreuses vies des chefs d’entreprises présents, leur parcours et les compétences acquises. Nous espérons bien entendu que de ces rencontres naîtront des partenariats, du travail en commun et ainsi consolider le tissu industriel et économique de notre territoire»

    Une façon nouvelle de faire connaissance et de tisser des liens professionnels

    Chacune des entreprises présentes a pu découvrir, en moins d’une heure et demi, la plupart des métiers et de l’offre des présents ; la soirée et les échanges avaient été minutés et chacun a dû faire l’exercice de se présenter, expliquer son offre et ses activités en moins de 2 minutes, chrono à l’appui !

    La soirée s’est terminée après de longs échanges, pour certains et certaines jusqu’à 21h30 ; preuve que l’exercice était réussi et les objectifs des organisateurs atteints !

     

  • Rencontre avec Perrine Laffont lors d’un retour aux sources aux Monts d’Olmes

    Rencontre avec Perrine Laffont lors d’un retour aux sources aux Monts d’Olmes

    Perrine Laffont est devenue un des espoirs français féminin dans le ski de bosses. Sélectionnée pour Sotchi en 2014, elle navigue aujourd’hui en équipe de France sur toutes les courses de sa discipline partout sur la planète. Nous l’avons rencontrée aux Monts d’Olmes où elle profitait de rares instants avec sa famille et ses copines…

    C’est une histoire familiale qui a fait que Perrine est aujourd’hui sur les planches.  Son père est moniteur de ski ; son frère l’est devenu également et tous deux sont aujourd’hui spécialisés dans le ski de bosses.

    « La famille » gère le Boss Club des Monts d’Olmes, depuis des années, et Perrine n’y a pas échappé : comme une vingtaine d’enfants et de passionnés de son âge, elle a été initiée au ski de bosses.

    Elle est progressivement devenue accro, mordue, puis passionnée de glisse, de free ride et de ski acrobatique.

    Ses copains de virées et de virages, elle les retrouvait tous les week-ends, pendant les vacances scolaires, ou parfois pour certains en compétition,  dans sa station fétiche ou sur les stations françaises comme La Plagne, en catégorie junior…Et puis le niveau et la notoriété a fait que Perrine est montée plus haut, est partie plus loin que tous les autres.

    Aujourd’hui, à de rares occasions, elle se ressource enfin avec « ses potes » qu’elle retrouve pour se rappeler les soirées pyjama, les bons moments qu’ils passaient aux Monts d’Olmes. Pour eux, Perrine n’a pas pris la « grosse tête » elle a gagné en maturité mais est toujours restée leur copine comme avant.

    La saison dernière, elle a atteint un niveau tel que la fédération l’a choisit du haut de ses 15 ans, pour intégrer l’équipe féminine de l’équipe de France pour les Jeux de Sotchi et pour cette saison qui va s’achever dans quelques semaines, dans les différentes courses du championnat du Monde.

    Depuis le début de l’année scolaire, elle n’a été que quatre semaines en cours ; le reste du temps a été comblé par les déplacements, les entrainements et les courses.

    Dominique, sa mère, a fait face en tant que maman pour se plier aux contraintes « imposées » par la Fédération lorsqu’on est à ce niveau international et ce malgré le jeune âge de Perrine. Elle suit comme elle peut, certains déplacements surtout en début de saison pour voir comment se comporte sa fille « psychologiquement« , si elle est bien dans sa peau, si son niveau de confiance est bon pour progresser et assurer la charge de « championne » qui est la sienne.

    « En tant que maman, on se doit d’être présente auprès de son enfant pour qu’il soit bien équilibré» , c’est d’importance pour l’équilibre du sportif,  à l’adolescence surtout pour Perrine où tout change, la présence des parents est indispensable. Elle a un très bon niveau aujourd’hui, elle assure face au challenge et est bien encadrée par la Fédération, cela rassure tout le monde à la maison !

    La chute ? Oui ça peut arriver mais on maîtrise ce qu’on fait et on est prêt pour ça. Quant on prend des risques, ça fait de l’adrénaline !

    Malgré tout, Perrine est d’une étonnante lucidité et d’une maturité forgée par ses derniers mois de déplacements et circuits internationaux. A tout juste 16 ans, elle évoque les chutes, les entraînements et la séparation d’avec ses parents pour cause de voyages « sportifs » comme un passage obligé.  Oui c’est parfois dur de se retrouver seule loin des siens, mais parcourir le monde apporte des compensations : tous les ados de 16 ans rêvent de parcourir la planète, pour elle c’est devenu une réalité !

    Pour l’avenir Perrine avoue : « je rêve d’une médaille aux jeux, des podiums et surtout toujours autant de plaisir »!

  • Le Chalet de Beauregard, un restaurant d’altitude aux saveurs ariégeoises

    Le Chalet de Beauregard, un restaurant d’altitude aux saveurs ariégeoises

    L’auberge a vu le jour il y a six ans sous l’impulsion de Paul Fontvielle, restaurateur à Saint-Lizier au Carré de l’Ange.

    Bien que très aguerri à la cuisine, Paul Fontvielle a du faire face à certaines contraintes de la restauration d’altitude : ravitaillement compliqué, météo capricieuse qui change du jour au lendemain.

    On a mis plusieurs années à apprivoiser ce travail difficile non pas culinairement, mais techniquement.

    Mais aujourd’hui la formule proposée à été adoptée par la clientèle autant locale que de passage. Azinat, terrine de truite et saumon aux écrevisses, tartiflette ariégeoise, tartare de boeuf, blanquette de veau… L’auberge sert « en haut » les recettes « d’en bas ».

    L’azinat, c’est le produit phare du chalet de Beauregard. Ce plat emblématique de l’Ariège est servi systématiquement depuis 5 ans sur toutes les tables de l’auberge.

    Dès qu’une personne s’asseoit au Chalet de Beauregard, on lui sert une soupière d’azinat !

    Outre une cuisine gastronomique et de qualité, le Chalet de Beauregard, c’est aussi un magnifique décors : une grande salle avec une cheminée, vieux ski, raquettes, ustensiles de cuisine en bois, animaux empaillés, nappe à petits carreaux, vaisselle en faïence, planche de bois et couteaux typiquement pyrénéens ; ici on est vraiment dans les Pyrénées Ariégeoises.

    Pour parfaire le tout, une terrasse plein sud avec un panorama exceptionnel sur les montagnes ariégeoises permet aux skieurs et autres randonneurs, une escale agréable au milieu d’une journée sportive.

    Depuis quelques semaines, une dameuse à cabine qui peut transporter jusqu’à 25 personnes, a été mise en place pour les soirées organisées en altitude.

    Alors n’hésitez pas à venir découvrir le Chalet de Beauregard à la station de Guzet dans le Couserans.

    Ouverture : mi-Décembre – mi-Mars (comme la station de ski) et Juillet et Août
    Heures d’ouverture : 10 h – 16 h (+ nocturnes sur réservation)

    Col d’Escots – 09140 Guzet
    05 61 66 75 99

    www.ariege.com/chalet-de-beauregard/

  • Aulus les Bains, une station entre sports et détente

    Aulus les Bains, une station entre sports et détente

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    C’est une terre de nature propice aux loisirs, aux sports et à la remise en forme.

    Randonnées, balades en raquettes, ski de fond, ski alpin, ski de randonnée, parc accrobranches, équitation, sports d’eau vive… et enfin remise en forme et espace détente aux thermes.

    Les Thermes d’Aulus-les-bains proposent des cures thermales, des espaces de bien-être et de l’aquadétente.

    Les cures thermales

    Connues depuis l’antiquité, les eaux thermales d’Aulus ont des propriétés thérapeutiques pour traiter la surcharge pondérale, les affections de l’appareil urinaire, le diabète non insulinodépendant de type II, le cholestérol ou encore l’hypertension artérielle.

    Les cures thermales se font sur la période allant de mi-avril à fin octobre. Les patients bénéficient d’une cure de trois semaines avec deux heures de soins tous les matins, à laquelle s’ajoute une cure de boissons. Bien sûr, il s’agit de consommer de l’eau ! L’établissement possède quatre sources différentes, chacune dédiée à une pathologie particulière : Obésité, diabète, cholestérol, appareil urinaire.

    Espace bien-être et aquadétente

    Soins esthétiques, massages, drainage lymphatique, réflexologie plantaire… mais aussi un espace aqualudique comprenant un bassin a 32°C, un jacuzzi, un hammam et des jets massants est ouvert au public durant toute les périodes de vacances scolaires.

    Un nouvel espace a vu le jour il y a quelques temps, dédié aux « traileurs », de la station de trail voisine (www.stationdetrail.com). Il comporte des appareils de cardio-training ( rameur, vélos, vélos elliptiques). Un programme dédié est en cours, permettant aux traileurs après leur course, de pouvoir faire du cardio-training et également de bénéficier d’un modelage décontractant musculaire.

    Plus d’informations :
    thermes-aulus.fr
    www.aulus-les-bains.com

     

  • Première session hivernale réussie pour « Explos Festival »

    Première session hivernale réussie pour « Explos Festival »

    Succès pour la première hivernale du Festival Explos à Ax-les-Thermes !

    Avec une salle comble avec plus de 300 festivaliers présents, Phil Bence a visiblement réussi son pari : celui de donner une deuxième session au Festival Explos qui depuis, huit éditions, se déroule sur le long week-end de l’ascension.

    L’enjeu : associer les locaux, fondus de ski et de montagne, à la présence des vacanciers qui viennent faire du ski sur la période des congés de février. C’est ainsi que la dynamique de la Winter Session a été lancée avec la participation de la station d’Ax 3 Domaines.

    Comme le précise Sylvie Couderc, la directrice de l’office de tourisme des Vallées d’Ax, « c’est une bonne initiative qui permet à tous de découvrir ce festival de notoriété nationale et de proposer aux skieurs, venus en nombre cette semaine, une animation de qualité« .

    Des images à faire rêver !

    Chacun trouve une raison pour venir se retrouver sur le festival : regarder des images à couper le souffle et se mettre à rêver d’exploits qu’on ne réalisera jamais ; pour d’autres, c’est se retrouver entre « potes » en soirée pour partager leur passion de l’aventure…de la neige et du ski…

    Plus d’infoswww.explos-festival.com