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  • Il Pergolese – 14 mars Foix

    Il Pergolese – 14 mars Foix

    Il Pergolese Ariège Pyrénées

    Giovanni Battista Pergolesi, né le 4 janvier 1710 dans la région des Marches, est mort tuberculeux vingt-six ans plus tard. Même pas la longévité d’un Mozart. Qui plus est, sa notoriété fut modeste – réduite à six années – et pourtant riche d’une dizaine d’opéras et intermèdes populaires d’inspiration napolitaine. La gloire posthume viendra tout de même assez vite, via ses deux œuvres majeures, le Salve regina et son non moins célèbre Stabat mater. C’est dans cette matière subtile du XVIIIe italien que puisent nos quatre contemporains qui convoquent airs anciens et sons d’aujourd’hui, subtilement mariés par les arrangements, pour en faire la toile d’improvisations inspirées.

    La cohérence prévaut donc dans cette démarche musicale tournée vers la nostalgie, un certain romantisme baudelairien ou celui de Nerval et son « soleil noir de la mélancolie ». On en trouve peu d’équivalents dans l’univers du jazz – peut-être dans certaines ballades ou solos de piano. Ou alors dans le blues des racines. Cependant, Il Pergolese est loin de la rusticité. La voix de Maria Pia De Vito atteint des élévations célestes, renforcée par le violoncelle d’Anja Lechner. Le piano soutient en élévation grave cette structure spirituelle, voire mystique, que ramènent sur terre, dans un peu d’ici-bas, les bruissements subtils de Michele Rabbia. Pour un peu on se croirait dans le raga hindou. En fait, c’est l’universel de la musique qui se recrée à nos oreilles émerveillées.

    Samedi 14 Mars 2015 à 20h45 à Foix à l’Estive

    Renseignements et réservations au 05.61.05.05.55 / accueil@lestive.com /www.lestive.com

    L’album Il Pergolese est paru en novembre 2013 chez ECM.

    Crédit photos : DR

  • Le Printemps des poètes – 13 mars Foix

    Le Printemps des poètes – 13 mars Foix

    Le Printemps des poètes Ariège Pyrénées

    Teresa Colom Pich (langue catalane) : Prix de poésie Martí i Pol en 2000, elle a publié “Com mesos de Juny”,“La temperatura d’uns llavis” , « Elegies del final conegut », On tot es vidre », « la meva mare es preguntava per la mort ». Dernier ouvrage paru : La senyoreta Keaton i altres bèsties (Empúries, 2015)

    Manel Gibert Valles (langue catalane) : enseignant de langue catalane et de littérature, photographe, il a publié : “Pluja” “Quadern d’Arans” suite de tanka et haïku et “Blaus a la deriva ”.

    Vincent Pachès (langue française) : le rapport texte-image est le noyau central de son travail. En parallèle à la Bande dessinée, au roman photo, au roman graphique, il conceptualise le « Récit à dessins » : une écriture accueillante pour l’image. Il multiplie les expériences d’écriture ou d’édition et les collaborations les plus diverses, comme son travail depuis 25 ans avec son complice André François.

    Jeudi 12 mars à 18h Edifici Caubella, Vallnord sector Pal (Andorre)- Entrée libre
    Vendredi 13 mars à 19 h à l’Estive de Foix- Entrée libre

    Renseignements et réservations au 05.61.05.05.55 / accueil@lestive.com /www.lestive.com

    Ce café littéraire est organisé en collaboration avec l’Ambassade de France en Andorre.

  • Boxe Boxe – 10 mars Foix

    Boxe Boxe – 10 mars Foix

    lestive_boxe Ariège Pyrénées

    « … Du ring à la scène, du gong au lever de rideau, de l’arbitre au regard des critiques, les similitudes me paraissent évidentes et nombreuses. La danse tout comme la pratique d’un art martial nécessite labeur, sueur et efforts non comptés. Dans ces deux univers, l’« interprète » se met en jeu, il subit la même mise en abîme, face à son adversaire ou face au regard d’un public. La mise en danger, ce regard de l’autre, le saut dans l’inconnu et finalement la bataille que chacun mène avec soi-même, sont moteurs.
    Se mêlent ainsi l’excitation du « combat » et le trac de l’artiste avant de jouer devant une salle comble. Peur au ventre, peur d’être battu, peur de prendre des coups et formidable sentiment de laisser-aller, de plénitude absolue dans cet instant si magique de la scène, qu’il soit plateau de danse ou ring de boxe. J’ai l’envie aujourd’hui de retrouver ces sensations, ces moments de lâcher prise. De la boxe à la danse, comme une pirouette. » 

    Mourad Merzouki

    Par le Centre Chorégraphique National de Créteil et du Val-de-Marne / Compagnie Käfig

    Mardi 10 Mars 2015 à 20h45 à Foix à l’Estive
    Renseignements et réservations au 05.61.05.05.55 / accueil@lestive.com /www.lestive.com

    [callout]CE SOIR, JE SORS MES PARENTS ! Ateliers boxe et Hip Hop

    Mercredi 11 Mars de 13h30 à 15h30 à l’Estive de Foix
    Au lendemain du spectacle « Boxe, Boxe », de Mourad Merzouki , 2 ateliers se dérouleront en parallèle : un atelier Hip Hop avec un danseur de la compagnie Kafîg et un atelier d’initiation à la boxe savate avec Victoria Rouxel, demi-finaliste au championnat de France Combat et le Boxing Club Savate 09, permettant de croiser ces deux disciplines présente dans le spectacle.

    Places limitées : 20 personnes – à partir de 11 ans
    Inscriptions : Sabine Pons : 05.61.05.05.54 / relations.publiques@lestive.com[/callout]

     Crédit photos : © Michel Cavalca

  • La bobine de Ruhmkorff – 5 mars Foix

    La bobine de Ruhmkorff – 5 mars Foix

    La bobine de Ruhmkorff  Ariège Pyrénées

    Grand manipulateur d’idées, de mots et d’objets détournés ou échappant à leurs lois physiques, auteur de spectacles aux formes philosophico – ludiques, Pierre Meunier, revient avec cette nouvelle création.

    Après « Au milieu du désordre » et « Sexamor » c’est le retour du poète inventeur !

    Il est question d’interroger le sexe et il s’agit surtout cette fois de celui de l’homme, aussi le comédien et l’auteur est seul en scène. Il a choisi de placer son spectacle en référence avec la bobine inventée par l’ingénieur allemand, Henrich Daniel Ruhmkorff (1808-1877), générateur producteur de courant à très haute tension, dont la particularité était de produire des étincelles. Deux résultantes qui accompagnent ainsi symboliquement la sexualité et l’amour.

    Avec une écriture qui n’appartient qu’à lui, Pierre Meunier nous invite à un vagabondage à la fois cru et poétique, drôle et grave, tendre toujours, sur les sentiers de la redécouverte de la splendeur du monde et de l’énigme qui le constitue.

    Cette attirance entre les êtres, avec « Sexamor », Pierre Meunier avait déjà caressé le sujet. Cette fois, il se penche sur l’attraction magnétique, électrique. Le courant passe, ou pas. Les fils à nu font des étincelles. Les pôles semblables se repoussent, les pôles opposés s’attirent, tout le monde a appris ça à l’école. Coups de foudres, décharges, différence de potentiel : c’est prouvé, le vocabulaire scientifique se prête avec volupté aux échanges amoureux. De son laboratoire à Hérisson, de ses essais et échecs de scientifique amoureux des phénomènes universels, il nous rapporte une rêverie à haute voix vertigineuse, et forcément empreinte d’humour.

    Pierre Meunier interroge les matières et les mots, il fait jouer les deux, s’en amuse et nous amuse. Ces sculptures-machines sont comme nous qui cherchons à «nous entremettre en toute tranquillité, (et) assister à tous les actes possibles». Son univers est un lieu “à part”, un chemin de poésie qui nous rappelle à nos amours d’enfant, nos jeux insolents, mais aussi interroge, un peu espiègle, notre corps face à l’autre, notre sexe dans l’autre. Quand on l’a dans la main, qu’est-ce qu’on en fait, on en joue? on le pose? Rien n’est vulgaire, tout est imaginaire et drôle.

    « Ce qui m’intéressait, c’était de creuser les parallèles entre les lois du désir et les lois physiques de l’attraction, de l’induction. Au cours de mes recherches, je suis tombé sur ce bonhomme, Ruhmkorff, qui a inventé une bobine permettant de transformer une énergie de faible intensité en décharge atteignant 60 000 volts. Ça m’a paru lumineux ! J’ai vu là la puissance fulgurante du désir, avec ses décharges électrisantes et la force de  bouleversement libérée lors de la décharge… » Pierre Meunier

    Jeudi 05 mars à 20h45 à l’Estive de Foix

    Renseignements et réservations au 05.61.05.05.55 / accueil@lestive.com /www.lestive.com

    Crédit photos : Jean-Pierre Estournet

  • Un mini-orchestre de Turakie est né…

    Un mini-orchestre de Turakie est né…

    fanfare Ariège Pyrénées

    Les enfants des activités périscolaires de l’Ecole Lucien Goron et des élèves de l’Ecole de musique de Foix ont accueilli et surpris le public du spectacle « Sur les traces du ITFO ».

    C’est avec humour et complicité que l’artiste Michel Laubu a joué au chef d’orchestre débarqué de son pays imaginaire : la Turakie, avec  les musiciens en herbe pour présenter son spectacle qui a eu un grand succès puisque la salle était pratiquement pleine.

    Avec l’Ecole de musique et la Ville de Foix et les Francas du Pays de Foix.

  • D’après une histoire vraie. Danse à l’Estive – 27 fév Foix

    D’après une histoire vraie. Danse à l’Estive – 27 fév Foix

    D’après une histoire vraie. Danse à l'Estive Ariège Pyrénées

    C’est au spectacle d’une ronde soudaine et improvisée par une bande d’hommes à Istanbul que Christian Rizzo a trouvé l’inspiration de sa pièce. Le chorégraphe imagine ici une danse qui prend appui dans des pratiques folkloriques tout en intégrant des notions de transe contemporaine.

    « En 2004, à Istanbul.

    À quelques minutes de la fin d’un spectacle auquel j’assiste, surgit comme de nulle part une bande d’hommes qui exécute une danse folklorique très courte et disparaît aussitôt.

    Une émotion profonde, presque archaïque, m’envahit. Etait-ce leur danse ou le vide laissé par leur disparition qui m’a bouleversé ? Bien que floue, cette sensation est restée depuis ancrée en moi. Le point de départ de ce nouveau projet est la réminiscence ou plutôt la recherche de ce que ce souvenir a déposé en moi.

    Accompagné de huit danseurs et de deux musiciens, je cherche un espace où le mouvement et sa relation à la musique se jouent des catégories « populaires » et « contemporaines ». J’imagine une danse prenant appui sur des souvenirs de pratiques folkloriques qui viendrait frictionner avec mon goût pour la chute et le toucher, permettant à chacun de tenir grâce à la présence de l’autre, à son contact immédiat.

    Comment faire groupe à un moment donné ?

    Être ensemble, pour une forme n’appartenant à aucun territoire ou groupe déterminé, penser une danse collégiale qui creuse le sol en même temps qu’elle cherche l’élévation. » Christian Rizzo

    Sur un plateau épuré, huit danseurs : ils sont jeunes, pieds nus, vêtus de pantalon et couleurs sombres, certains ont les cheveux longs et la barbe fournie.

    Puisant sa force dans les folklores du bassin méditerranéen, la danse se fait rapidement virile, tribale et rituelle à la fois. Les gestes, les mouvements, les rapprochements portent une notion presque guerrière, rythmés en direct par les percussions de deux batteurs en quasi état de transe.

    Entre populaire et contemporain, folk et sacré, cette chorégraphie « prend aux tripes » littéralement.

    [callout]Entrez dans la danse

    Un atelier danse sera animé par le danseur Massimo Fusco jeudi 26 février, auprès de la classe section danse du Collège Lakanal de Foix. Les élèves participant à l’atelier découvriront en soirée le jour suivant le spectacle « D’après une histoire vraie » chorégraphié par Christian Rizzo.[/callout]

    Vendredi 27 février à 20h45 à l’Estive de Foix
    Renseignements et réservations au 05.61.05.05.55  / accueil@lestive.com /www.lestive.com

    Crédit photos : Marc Domage

  • Mayté Martin Por los muertos del cante – 6 fév Foix

    Mayté Martin Por los muertos del cante – 6 fév Foix

    Mayté Martin Por los muertos del cante Ariège Pyrénées

    Petenera mejicana, milonga, tango, zambra, guajíra marchenera, bulería…, « Por los muertos del cante » est un récital exceptionnel, une œuvre de mémoire, un hommage à l’art du chant, le tribut de Mayte Martín à tout ce qui porte haut l’art du chant et à tous ceux qui l’inspirent comme La Niña de La Puebla, la Niña de Los peines, Enrique Morente, Atahualpa Yupanqui, Manuel Pareja Obregón…
    Le parcours de Mayte Martín est atypique dans le flamenco, en dehors des canons voire des corsets du genre. Ouverte à d’autres expressions, elle a chanté le jazz avec le pianiste Tete Montoliu, excelle dans le boléro et la chanson mexicaine, a collaboré avec les sœurs Labèque, pianistes classiques, autant de nuances qui enrichissent ses capacités vocales et créatrices.

    Elégance, sobriété, profondeur émotionnelle et exigence artistique sont au cœur de son art. Et s’il est difficile de se faire une place au soleil lorsque l’on est ni gitan ni andalou, Mayté Martín a su imposer, par la très grande vigueur de son talent et une opiniâtreté à l’épreuve du feu, sa place unique dans l’art du cante.

    www.mayte-martin.com

    Vendredi 6 Février 2015
    à 20h45 à l’Estive Foix 

     Crédit photo : Isabel Camps

  • Les lessiveuses, musique et opéra – 29 et 30 janv Foix

    Les lessiveuses, musique et opéra – 29 et 30 janv Foix

    Les lessiveuses, musique et opéra  Ariège Pyrénées

    Elles trient, lavent, étendent, repassent, parfument, plient, rangent et quand c’est fini, elles recommencent. Toutes font la lessive pour leur fils en prison depuis des années. Trois femmes, trois mères… En miroir, trois hommes, trois instrumentistes…

    Ce premier opéra de Thierry Machuel a pour point de départ le film de la réalisatrice Yamina Zoutat sur les mères de détenus, ces « lessiveuses » dont la folie maternelle se confronte à l’aliénation de la prison.
    Tout destinait Thierry Machuel, compositeur français – dont “Les Lessiveuses” est le 66e opus -, à rencontrer le travail de la journaliste et documentariste suisse Yamina Zoutat sur les mères de détenus. Il travaille en effet depuis trois ans sur les témoignages de détenus de la centrale de Clairvaux, ayant à cœur d’ancrer son œuvre dans notre temps.

    jeudi 29 et vendredi 30 janvier – 20h45 – L’Estive – Foix

    Crédit photos : Anonyme Compagnie

    www.lestive.com

  • Léo 38,  théâtre et Chansons à Domicile

    Léo 38, théâtre et Chansons à Domicile

     Léo 38,  théâtre et Chansons à Domicile Ariège Pyrénées« C’est un Léo Ferré de chevet que nous propose Monique Brun. Un Léo intime, inattendu, éclairé simplement par une lampe et un lampadaire de salon. Une lumière qui n’a rien à voir avec un projecteur de scène. Et ça tombe bien car nous ne sommes pas dans les codes du récital de chansons.

    Léo 38, c’est une sorte d’entretien joué et chanté, une rencontre autour d’un certain Léo Ferré, juste un rendez-vous pour entendre autrement ce que l’on croyait pourtant savoir de ce « passant considérable ». Car c’est bien cela la quête de Monique Brun : nous dire que Léo Ferré est un poète avant d’être un chanteur de variétés ; saisir l’insaisissable par un mélange de registres : extraits d’interviews, livrets d’opéras, textes critiques, souvenirs.

    Et bien sûr, chansons. Chansons souvent rares, interprétées dans leurs plus simples appareils, ceux du texte et de la mélodie. Tout cela nous caresse, se glisse en nous, merveilleusement, onctueusement, avec l’évidence et l’intelligence qui laissent juste assez de place à notre ressenti, comme une émotion déplacée venue d’ailleurs…

    Vous entrerez dans l’oeuvre par une petite porte, sans serrure et sans clef, pour suivre les confidences d’une simple vie d’homme, sous le charme d’une voix douce, profonde, féminine, exceptionnelle, celle d’une comédienne qui chante comme on ne chante plus, voix de sourdine, longue, vibrante, claire, authentique, magnifique. » Bruno Ruiz

    Deux dates sont encore disponibles pour recevoir ce spectacle chez vous : le jeudi 12 février et le samedi 14 février à 20h45.

    Contact à l’Estive : Christine Bellouère au 05.61.05.05.58/publics@lestive.com

    http://www.lestive.com

  • L’homme qui plantait des arbres – 22 janv Ganac

    L’homme qui plantait des arbres – 22 janv Ganac

    L’homme qui plantait des arbres Ariège Pyrénées

    Le texte

    En Provence, le narrateur rencontre un berger, Elzéard Bouffier qui, chaque jour, plante des glands. Quelques années après, il revient et découvre une magnifique forêt : des chênes, mais aussi des hêtres et des bouleaux. D’année en année, la forêt s’étend, permettant à toute la région de revivre. L’administration des Eaux et Forêts, avertie, parle de génération spontanée, et le rôle d’Elzéard Bouffier reste secret, un secret que seules quelques personnes, connaissant la valeur du silence, partagent…

    La musique

    « Giono parlant de la nature d’une manière profonde, intégrée, organique, j’ai pensé qu’il fallait inventer, ou plutôt employer un matériau se trouvant très lié à l’histoire racontée, au paysage. Et l’idée est venue d’aller récupérer des pierres, des morceaux de bois, des branchages, des glands de chênes, des matériaux qui font partie du récit… » Georges Bœuf

    jeudi 22 janvier 2015 à 20h45 salle municipale de Ganac

    Crédit photos : Alexandre Chevillard

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  • This is how you will disappear. Théâtre et Danse – 15 janv Foix

    This is how you will disappear. Théâtre et Danse – 15 janv Foix

    This is how you will disappear Ariège Pyrénées

    Artiste aux multiples facettes, à la fois metteur en scène, chorégraphe et plasticienne, Gisèle Vienne compose des univers fantasmatiques régis par l’instabilité des éléments scéniques.

    This is How You Will Disappear plonge le spectateur dans une forêt où la brume vient troubler les consciences et les frontières entre univers mental et monde réel.

    « La collaboration du vidéaste Shiro Takatani, de l’éclairagiste Patrick Riou, de la sculptrice de brouillard, Fujiko Nakaya, nous permet de développer, dans toute sa richesse, la mise en scène de la nature sur un plateau. Nous nous intéressons à la mise en scène du paysage, comme ont pu le faire les peintres romantiques… »

    Jeudi 15 Janvier 2015
    à 20h45 à l’Estive Foix

    Crédit photos : Sébastien Durand

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  • Minh Tran Huy  « Voyageur malgré lui » – 13 janv Foix

    Minh Tran Huy « Voyageur malgré lui » – 13 janv Foix

    Minh Tran Huy  "Voyageur malgré lui"  Ariège Pyrénées

    Un été, au hasard de ses déambulations newyorkaises, Line découvre dans un musée l’existence d’Albert Dadas, premier cas, au XIX° siècle, de « tourisme pathologique ».

    L’histoire de ce fugueur maladif, sans cesse jeté sur les routes par son impérieuse soif d’ailleurs, fait remonter en Line d’autres souvenirs, liés aux « voyageurs malgré eux » de sa propre famille […] surtout, son père. Cet homme bousculé par l’Histoire, cet immigré aux vies multiples qui a longtemps gardé le silence. Grâce à Line, il va enfin partager les secrets de son enfance.

    Les cafés littéraires sont réalisés en partenariat avec la bibliothèque municipale de Foix et la librairie Surre.

    mardi 13 janvier 2015 à 19h00 bar de l’Estive – Foix
    Entrée libre

    www.lestive.com