soirée reste pas tout seul avec FRIVOLITÉS ET AUTRES COQUINERIES HISTOIRES FRIPONNES ET AMOUREUSES
Maryse et Laura, conteuses pleines de malice, vous offrent des histoires légères, libertines, défiant les interdits, entre rire et initiation…
Quelle audace !
Ruses de femmes, mésaventures d’amants même avertis…
Des paroles subtiles qui en disent plus long qu’il n’y paraît
participation libre et indispensable
Samedi 9 avril 2016 21H30
GRAVITY FREE
Formé en 2012 , GRAVITY FREE est un jeune groupe de rock de la région namuroise. Composé de 5 musiciens venant d’horizons musicaux différents, leurs compostions naviguent dans divers styles tels que le Rock, le Classique, agrémentées quelquefois d’une touche Electro.
Participation libre et indispensable
Dimanche 10 avril 2016
17H le pestacle du dimanche avec L A CON T R E ’ B A N D E Présente CONTRE d’après Lydie Salvayre
Mise en scène Fabienne Augié
Une production de l’Ecole Marcel Philibert
« Je passais dix années dans une étrange république.
Un jour j’ouvris les yeux et je me vis. Mon visage était laid, j’avais le rire faux, l’âme neurasthénique.
Une main m’empoignait la poitrine et la tordait.
Je sus qu’il fallait fuir… »
Ce texte est un appel à vivre. A vivre ses joies, ses amours, ses engagements, ses rages sans compter. Pleinement. A goûter les paysages comme les êtres. Une invitation parfois, une provocation souvent à être.
C’est-à-dire être debout !….
A partir de 14h : visite de la brasserie. Découvrez les malts caramel et chocolat, les mille vertus des houblons, la vie trépidante des levures. Marie vous fait visiter son atelier. Vous pourrez voir, toucher et goûter les malts et houblons qui composent ses bières, et découvrir la magie de ce processus étonnant qui transforme la céréale en bière.
Une visite en langue des signes est prévue à 15h30, avec l’intervention d’une interprète et le soutien de l’association SOURDS09.
A partir de 20h : concerts gratuits dans la brasserie : BELE BELE BAND et KHAM KALO. On pousse les murs, on monte une scène et la sono dans la brasserie, et place à la musique !
Restauration de qualité sur place, et bières bio à la pression toute la journée
Bele Bele Band : qui sont ils? Groupe de musique formé autour d’un balafoniste malien BéléBéléBand emmene des morceaux traditionnels africains vers des univers latino hip-hop etc…….
Plus d’infos sur www.facebook.com/BeleBeleBand09
Kham kalo : qui sont ils ? 5 musiciens d’univers « écliptique » (jazz, swing, chanson, flamenco, balkan music). C’est à Toulouse que ce quintet voit le jour, fruit de rencontres et de coïncidences. Ce riche mélange aux influences variées nous entraine dans un univers sans frontières, de l’Inde à l’Espagne. Kham Kalo nous raconte l’histoire de ses voyages en musique…
Faut Qu’ca Pouce : qui sont ils ? L’enjeu de ce collectif d’artistes Ariégeois est d’organiser et soutenir des manifestations culturelles et de fédérer le milieu artistique local afin de permettre la création et la diffusion de projets novateurs. Leur point de départ est donc la diffusion, le développement et la démocratisation des arts et des cultures alternatives en mêlant spectacles vivants, débats, expositions et arts graphiques lors de nos événements. Plus d’infos sur fautqucapousse.wordpress.com/
La Brasserie Le Grand Bison, qui est elle ?
Née en avril 2014, la brasserie artisanale propose 6 bières bio en bouteilles de 33cl ou 75cl et en fûts (avec prêt d’une tireuse).
Fontilla, une blonde légère et désaltérante, Tribale, cette bière dorée de caractère révèle une amertume douce en fin de bouche
Flambeuse, ambrée toute en rondeurs, aux légères notes de café. CroMignonne, blanche désaltérante, dont les houblons donnent des arômes de pamplemousse, Perce-Neige, ambrée corsée, au gingembre, poivre et coriandre, et la toute dernière, qui fera une sortie remarquée pour le 9 avril Pimprenelle, bière rose (!) à l’hibiscus, coriandre et notes de violette.
La brasserie emploie 3 brasseurs et vend l’essentiel de ses bières sur l’Ariège, l’Aude et la Haute Garonne. Nous travaillons avec les professionnels, mais aussi avec les particuliers qui peuvent venir à la brasserie tous les vendredi de 9 heures à 18 heures.
C’est le printemps, le temps de reprendre le chemin du jardin ! Benoît Sicat, étonnant artiste-jardinier, vous invite à découvrir le sien, Le Jardin du possible !
Ce surprenant spectacle-paysage interactif, a été créé pour la petite enfance, il se prête néanmoins au tout public, voire même aux seuls adultes. Situé entre l’installation interactive et le spectacle de matières et de silences, il s’agit d’un espace d’écoute mutuelle entre adultes et enfants, d’une improvisation en partage.
Chaque visiteur est invité à suivre le jardinier, marcher sur ses images, se déplacer et déplacer les éléments, les étaler ou s’y étaler, bâtir à mains nues, détruire pour une suite, ou simplement toucher pour le plaisir d’une sensation ailleurs interdite.
Le jardin du possible a été créé pour la petite enfance, néanmoins il se prête au tout public, voire même aux seuls adultes. Situé entre l’installation interactive et le spectacle de matières et de silence, il s’agit d’un espace d’écoute mutuelle entre adultes et enfants, d’une improvisation en partage.
Avec Le Jardin du possible de Benoît Sicat, l’appétit sensoriel des tout petits (à partir de 18 mois) et des plus grands sera titillé, étonné, emporté !
le vendredi 8 avril à 9h30, 11h00, 15h30 et 17h00 Tout public et groupes de 18 mois à 3 ans – Durée : 35’ à 45’ Réservations : 05 61 68 20 72 mima@artsdelamarionnette.com
Pour ce premier trimestre 2016, cinq élus ou anciens élus se partagent les six premières places de notre who’s who ariégeois, le classement des 99 personnalités à plus forte notoriété sur le web en Ariège.
Deux fois n’est pas coutume, c’est une femme qui arrive en tête en ce mois d’avril 2016. Frédérique Massat, députée de la 1ère circonscription de l’Ariège et Vice-Présidente de la commission des affaires économiques de l’Assemblée Nationale prend la première place du classement.
On se souvient que la première femme à avoir pris la tête du classement était Annie Fachetti Chargée de communication à Ariège Expansion (l’agence de développement économique du département) en 2010.
Pour la première fois dans le trio de tête, nous trouvons Floriane Caux, photographe. Une femme également (et ça c’est bien). Voilà quelques temps que Floriane « grapille » régulièrement quelques places. Cette fois elle gagne dix places et se retrouve seconde.
Henri Nayrou perd un place mais reste sur le podium. André Trigano perd 3 places et se retrouve quatrième, Jean-Pierre Bel garde sa cinquième place suivi par Augustin Bonrepeaux.
Voilà pour les élus locaux.
On retrouve avec grand plaisir Monsieur Jean Clottes qui remonte de quatre places et se retrouve dans les dix premiers avec Fabien Pelous, Olivier de Robert, et Yoann Huget qui se retouve dixième.
Il faut attendre la dix-septième place et Philippe Lacube, qui gagne quand même 31 places, pour voir un représentant de la gastronomie ariégeoise.
Elus locaux, photographe, historien, écrivain, sportif, restaurateur, voilà un joli panel représentatif de notre département.
On vous donne rendez-vous début juillet pour le classement du deuxième trimestre.
[callout]Le Baromètre de notoriété des personnalités qui font l’Ariège est tenu par Azinat.com depuis le 15 septembre 2007, il est remis à jour tous les 3 mois
Classement des 99 personnalités à plus forte notoriété en Ariège. Score avec catégorie et nombre de pages référencées sur Google.fr (méthode : recherche par nom associé au mot ariège *, comme : «Prénom Nom» Ariège ) Premier classement effectué le 15/09/07.(pour obtenir l’historique des classements et le détails sur plus de 99 personnalités suivies du pannel, merci de nous contacter par emailredaction@azinat.com)
Reproduction même partielle, interdite sans accord préalable
Occupé sûrement dès la fin de l’age de Fer, il est certain que Saint Jean de Verges était habité par les Romains. De nombreuses fouilles (années 1853-1855 et reprises en 1963) ont révélé de nombreux objets.
De Llobet dans « Histoire de Foix et de la Haute Ariège » (sous la direction de Cl. Pailhès) écrit P. 33: « Les datations de ces objets tendent à prouver que le site a été fréquenté et habité du premier âge du fer au moins jusqu’à la fin de l’Empire romain, avec peut-être un maximum d’occupation au 1ersiècle av. J.C. »
A cette époque en effet, Saint-Jean de Verges était une sorte d’avant-poste qui séparait les conquérants (les Romains) des indigènes (un peuple appelé les Sociates )
Une bataille, opposant l’armée romaine dirigée par Crassus un lieutenant de César, aux Sociates eut lieu dans le vallon de Saint-Jean de Verges, à l’issue de laquelle, les Romains vainqueurs établirent un camp retranché sur la crête calcaire qui surplombe le village actuel. Ils bénéficiaient là d’une position stratégique remarquable leur permettant de dominer et de surveiller les plaines du nord et du nord- est d’une part et d’autre part la ville principale des Sociates : Foix.
Peut-être a-t-il existé un château dont il ne reste rien de nos jours et dont on ne trouve pas trace dans les documents. Il se serait situé dans le village même, mais il est plus vraisemblable qu’il s’agisse de la tour d’Ope, cette tour gallo-romaine qui aurait été reconstruite au moyen-âge comme l’affirme Adelin Moulis dans son livre : « Vieux sanctuaires ariégeois ».
L’église romane Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-Verges date du XIIème siècle. C’était alors un prieuré de l’abbaye Saint-Volusien de Foix.
Cette église est une des plus belles de l’Ariège,bâtie en grès brunâtre sur l’emplacement d’un ancien édifice wisigothique, lui-même précédé d’une construction romaine.
Son plan comprend une seule nef prolongée par une abside percée de trois fenêtres. Au niveau du choeur un appendice a été rajouté de chaque côté de la nef sur lequel s’ouvre une absidiole.
En ce mercredi de mars 2016, élus, techniciens, membres de la presse locale et quelques anciens salariés de la société Roudière se retrouvaient pour le coup d’envoi de la démolition de la Tour Mirabeau.
« Aujourd’hui, c’est le top départ de la machine à démolir. La concurrence internationale, la mondialisation de l’économie ont balayé en quelques années cette industrie textile si florissante en Pays d’Olmes dans les années 70 ». C’est par ces mots que Henri Nayrou, le président du Conseil Départemental de l’Ariège a mis un point de départ à la « déconstruction » du symbole du textile en Pays d’Olmes qu’était la Tour Mirabeau.
Autour de lui : Gérald Sgobbo président de la communauté de communes du Pays d’Olmes, Marc Sanchez Maire de Lavelanet et Nicole Quillien vice-présidente du Conseil Départemental mais aussi la presse et quelques « anciens du textile ».
Un peu d’histoire
Symbole du rayonnement textile, la Tour Mirabeau fût construite par la société Roudière (fondée en 1947) à la fin des années 60. Elle comprenait 2500 m2 de locaux administratifs, 3 plateaux de 365 m2 dans lesquels s’activaient près de 2000 salariés, soit 20% de la population de Lavelanet.
L’entreprise Roudière avait été rachetée en 1985 par le groupe Chargeurs. En mai 1990, les employés de l’usine menacés par un plan social, retenaient leur directeur (voir la vidéo en fin d’article). Le groupe Chargeurs avait alors morcelé la société en plusieurs entités : Roudière, TCS et Mirabeau S.A., Avelana et FTL.
Fin des années 90, le Conseil Général rachète le bâtiment. Début 2000 Ariège Expansion, l’agence de développement économique y installe une antenne ainsi qu’une pépinière d’entreprises.
Mars 2016, la pépinière d’entreprises déménage à la Coumes. La Tour Mirabeau est vide, les pelles mécaniques commencent le travail de «déconstruction».
Près de 50 ans d’histoire sont tombés mercredi 30 mars 2016.
Quelques chiffres
Destruction et/ou recyclage de : 196 tonnes de bois, métaux, plastiques, laines minérales ; 32 tonnes de produits contenant de l’amiante (qui seront traités dans des installations spécifiques) ; 3.335 tonnes de déchets inertes pour un montant de 445.634 euros à la charge du Conseil Départemental donc du contribuable.
Un renouveau en Pays d’Olmes ?
«Mais ce Top départ n’est pas une fin en soi, c’est un point de départ et même un point de re-départ» explique Henri Nayrou, puisque en lieu et place devrait se dresser le nouvel hôpital. Pour cela, il y encore 15.000 m2 de friches attenantes en cours d’acquisition par la Mairie et qui devront être démolies par la communauté de communes du Pays d’Olmes. Un projet mené main dans la main avec la CCPO se félicite Marc Sanchez. «Quand on travaille ensemble et que l’on oeuvre à la même destinée du développement d’un territoire, les choses sont possibles» dit il.
« Notre rôle à nous élus, c’est de montrer que l’on sera riche de notre avenir. Ce ne sera pas la même forme de richesse, mais la richesse de notre territoire on ne pourra pas nous l’enlever, elle est ce qu’elle est et la construction de l’hôpital doit être une réalité et sa proximité est capitale». Conclut Gérald Sgobbo.
Des «ex-Roudières» émus
Mais au delà des chiffres et des mots il y a surtout des hommes et des femmes, et ils étaient quelques uns, Rose-Marie, Emilie, Paul, Sébastien, la tête chargée de souvenirs à venir assister à la fin d’années de travail et de luttes sociales.
Rose-Marie se souvient : «Quand j’ai commencé à travailler j’étais au premier étage. Là il y avait le commercial-export et de l’autre coté le commercial-France. Et sur le coté il y avait le bureau de Foropon (le Pdg)»
«En 90, on avait envahi la Tour» se souvient Emilie «c’était le symbole. On était allés dans le bureau du PDG et on avait jeté tous les listings informatiques par la fenêtre… et c’est toujours le symbole cette Tour» «C’est pas que ce soit triste particulièrement, mais c’est la fin de quelque chose … on y a passé des années et des années, on était chez nous»
Même discours pour Paul et Sébastien, beaucoup de souvenirs qui reviennent, un vrai pincement au coeur pour ces anciens salariés.
«On se souvient de tout ce que l’on à passé là dedans, du monde qui y a travaillé. C’est ça qui fait mal au coeur, de le voir désert» Paul Ramirez
Si tous espèrent ce renouveau annoncé par les élus locaux, Sébastien Cruz, ancien secrétaire général de la CGT chez Roudière souligne le fait que la casse aurait dut être assumée par la société Chargeurs.
«Tant mieux s’il y a un projet qui aboutit, mais ça fait mal quand on voit que finalement la casse a été organisée et aujourd’hui on va payer deux fois la casse : J’ai perdu mon emploi et aujourd’hui avec mes impôts on va encore payer au lieu de faire payer Chargeurs» explique t’il.
Séquestration du directeur de Roudière à Lavelanet. 30 mai 1990. Images d’archive INA
Le metteur en scène Bruno Geslin s’attache toujours avec passion et tendresse à des hommes très singuliers…Ici, il met en scène la vie d’un artiste perdant la vue au fil des jours, le fil des couleurs jusqu’au monde de la cécité
Ce peintre, plasticien, jardinier, metteur en scène, cinéaste, écrivain, scénographe, activiste – assume une position radicale, underground, dans le Londres des années 70, se manifestant notamment par une appréhension radicale et innovante de la question de l’espace, une attirance pour les marges et tout ce qui s’y passe. Il est l’une des figures emblématiques des courants artistiques qui ont modifié notre rapport à l’image.
Dernier livre de l’artiste anglais, « Chroma » est une tentative unique d’autobiographie par la couleur. Il en entreprend l’écriture alors que la maladie attaque directement sa rétine. Petit à petit, il perd la vue périphérique. Les diagnostics sont sans appel, il plonge chaque jour d’avantage dans la cécité. À travers le prisme de la couleur, Jarman se livre une dernière fois à la célébration de la vie. À la limite de la nuit, il convoque les mirages colorés de son existence.
« Le livre est à la fois un traité des couleurs et son journal d’hôpital », raconte le metteur en scène qui fait appel, pour son spectacle, à une comédienne, deux danseurs et deux musiciens. « Ils sont tous traversés par les mots de Jarman. Le spectacle exige d’eux une mise en jeu, entre pudeur et inventivité, pour que ce qui se passe soit donné en partage ».
Cette nouvelle création de Bruno Geslin s’inscrit dans sa recherche d’un théâtre traversé par l’exploration du désir et de la sexualité, de l’acte de création artistique, du corps et de sa représentation ,pour composer un spectacle total, à la fois visuel et sonore, physique et plastique. « Tout cela s’incarne dans l’énergie du mouvement et de la traversée ».
Homme de théâtre, Bruno Geslin aime être sur le fil, frôler l’abîme, interroger le désir.
Fasciné par les figures fortes, incandescentes, vertigineuses, du poète Joë Bousquet à Pierre Molinier, des écrivains J.G. Ballard, Georges Perec à Unika Zürn, du réalisateur Rainer Werner Fassbinder à Derek Jarman, Bruno Geslin donne à voir et à entendre ces personnalités exigeantes que l’on ne peut aborder du bout des doigts.
Entre cinéma et théâtre, il rompt avec les conceptions traditionnelles de la mise en scène. Ses créations s’inspirent de romans, d’enquêtes, d’interviews, de films, menant une réflexion autour des thèmes de l’intimité, de la singularité et de l’identité. Réalisant parallèlement un travail photographique, il n’a de cesse de développer à travers chacun de ses spectacles l’interaction de ces
Mardi 5 avril à 20h45 L’Estive scène nationale de Foix et de l’Ariège accueil@lestive.com – 05.61.05.05.55 – 20 avenue du général de Gaulle 09000 FOIX www.lestive.com
Apparu à la toute fin du 20e siècle, mais héritier de ce l’on appelle la cybernétique, le transhumanisme est un courant de pensée et d’action qui entend travailler scientifiquement et technologiquement à l’assomption d’un homme nouveau, l’homme d’après l’Homme, le cyborg, un homme hyper connecté, sans limite et sans souffrance, délesté du poids de la vie.
Si ce projet n’était qu’une lubie rêvée par quelques excentriques, il ne mériterait sans doute pas que l’on s’y attarde. Mais comme il est, au contraire, un puissant mouvement techno-scientifique, politique et économique — porté par des acteurs très influents — et qu’il est en train de révolutionner nos vies en profondeur, il mérite qu’on le considère avec attention.
C’est donc à la présentation et à l’étude critique de cette philosophie contemporaine qu’Emmanuel Jardin se propose d’œuvrer. Dans un premier temps, il expliquera ce qu’est le transhumanisme et les raisons pour lesquelles il peut être considéré comme une authentique philosophie.
Dans un second temps, il posera cette question que posait Sartre en son temps à propos de l’existentialisme : le transhumanisme est-il un humanisme ? Ce sera l’occasion d’interroger cette notion d’humanisme, souvent invoquée mais rarement définie, afin de montrer en quoi le transhumanisme en est le rejeton paradoxal.
L’intervenant : Emmanuel Jardin est professeur de philosophie au Lycée du Castella, à Pamiers. Il est déjà intervenu de nombreuses fois à la PUPAL, soit seul, soit dans le cadre de conférences « polyphoniques ».
À l’issue de cette séance, comme chaque fois, nous partagerons ce que chacun(e) aura amené à manger et/ou à boire.
mardi 5 avril, à 20 h, au Centre culturel du Mas d’Azil
Visitez aussi le blog : pupal09.blogspot.fravec tout le programme du premier semestre 2016 de la PUPAL.
« Sodi Braide est (…) prodigieusement doué. Sa sonorité est claire, son jeu à la fois puissant et fluide, il possède de surcroît un sens inné des couleurs et du chant. » M. Heizmann, Arte.tv
« Sodi Braide est un conteur-né qui nous transporte dès les premiers instants (…) et nous tient en haleine, de la première à la dernière note. » J-H Cailleux, La Lettre du Musicien.
Franz SCHUBERT (1797-1828)
Moments musicaux nos. 1-3 D 780
Moderato
Andantino
Allegro Moderato
Impromptus op. 90 D 899
Allegro molto moderato
Allegro
Andante
Allegretto
Entracte…
Maurice OHANA (1913-1992)
Etude pour les Quintes, extrait de 12 Etudes d’interprétation
Claude DEBUSSY (1875-1937)
Préludes livre 1
Des pas sur la neige
Ce qu’à vu le vent d’ouest
Franz SCHUBERT
Transcriptions de Lieder par Franz Liszt :
Der Müller und der Bach (le meunier et le ruisseau- W.Müller)
Erlkönig ( le roi des aulnes– poème de Goethe)
Rappel : comment procéder pour participer au jeu : le premier qui trouve l’endroit exact gagne deux stickers Azinat pour coller en plage arrière de sa voiture (ou un autre cadeau selon la semaine à vérifier sur la page Facebook).
La conjoncture du mois de février 2016 fait état d’une fréquentation stable, malgré l’enneigement irrégulier des stations.
L’activité des stations de ski s’est déroulée sous une météo instable et des niveaux d’enneigement divers, qui expliquent des résultats contrastés.
Cependant, les stations ont constaté un flux de fréquentation plus régulier que les autres années. Ax, Ascou, Beille font mieux que l’an passé. L’impact du nouveau calendrier des congés sera mesuré en fin de saison.
La fréquentation des sites a été dans l’ensemble bien orientée, avec parfois des hausses conséquentes. C’est le cas pour les visites guidées de Saint-Lizier ou la grotte du Mas d’Azil qui affiche 43% de visites en plus par rapport au mois de février 2015.
Une amélioration également pour les passages dans les offices de tourisme de Saint Lizier (+ 52%) et Mirepoix (+ 16%)
[notice]La note de conjoncture mensuelle donne la tendance de l’activité dans le mois écoulé, à partir d’indicateurs et de données provisoires, validées en fin de saison. Elle est élaborée par l’observatoire du tourisme de l’ADT grâce au partenariat avec le réseau des Offices de Tourisme.[/notice]
Observatoire du Tourisme ADT Ariège Pyrénées Maison du Tourisme 2 boulevard du sud bp 30143 09000 Foix
Conférences, projections, expositions et contes…le programme va être riche !
Le samedi 2 avril, Claudine Pailhès, directrice des Archives Départementales, nous fait l’honneur d’ouvrir cette semaine avec une conférence consacrée aux Images de l’ours dans l’imaginaire pyrénéen, qui sera donnée au cinéma juste avant la projection du film La vallée des montreurs d’ours de Francis Fourcou*.
Pour les contes, c’est Olivier de Robert qui animera la journée du mercredi avec deux séances : une réservée au public scolaire en matinée et une autre ouverte à tous à 18h30. Il y aura aussi du jeu, proposé par la ludothèque itinérante ludo.labyrinthe et le CLAS, et deux expositions visibles sur toute la semaine à la médiathèque : L’ours brun dans les Pyrénées conçue par l’association Nature Midi-Pyrénées avec le soutien de l’association Sours et de l’Association des Naturalistes de l’Ariège et de l’Adet-Pays de l’ours, mais aussi, Images d’ours dans la littérature exposition construite sous la direction de l’UMR PACEA de l’Université de Bordeaux avec des documentalistes de la Bibliothèque des Sciences et Techniques de l’Université de Bordeaux.
La clôture de cette semaine d’animations se fera au cinéma avec la projection du documentaire Terre des ours de Guillaume Vincent, projeté pour la première fois en 3D au cinéma de Mirepoix.
[notice]*La vallée des montreurs d’ours Aux alentours de 1880 près de deux cents familles élevaient des ours dans la vallee d’Aulus en Ariege. Ainsi, jusqu’en 1914, plusieurs centaines d’orsalhers (oussailles) partirent vers les Ameriques à la recherche d’ours. A New York, au coeur de Central Park, un rocher témoigne de leur passage. Il s’appelle le Roc d’Erce. Ce film raconte leur épopée.[/notice]
Samedi 2 avril : Les images de l’ours dans l’imaginaire pyrénéen à 14h30
L’homme face à l’ours…cela revêt d’emblée une dimension mythique ! Pour la première conférence de l’année 2016, le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares a choisi de traiter des images de l’ours dans l’imaginaire pyrénéen. L’ours est omniprésent dans le patrimoine ariégeois et dans l’imaginaire pyrénéen. Rendez-vous avec le seigneur des Pyrénées en compagnie de Claudine Pailhès, directrice des Archives Départementales. A 17h, et après une entracte gourmande, le cinéma municipal projettera La vallée des montreurs d’ours de Francis Fourcou.
Organisé par le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares, en partenariat avec la Médiathèque du Pays de Mirepoix et le cinéma. Renseignements : 05 61 05 52 03 RDV : Médiathèque du Pays de Mirepoix Tarif conférence: 3€ Tarif cinéma : tarif en vigueur
Mardi 5 avril : Jeu de l’oie et montreur d’ours
Comment faire découvrir le patrimoine aux enfants en s’amusant ? C’est le défi que relève la ludothèque itinérante ludo.labyrinthe, en partenariat avec le C.L.A.S, à partir d’un jeu de l’oie.
Proposé par la ludothèque itinérante ludo.labyrinthe, en partenariat avec le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares. Inscriptions au 05 61 69 02 80 RDV : Espace d’Initiatives Sociales et Economiques
Mercredi 6 avril : Ours y es-tu ? à 18h30
Rencontre avec Olivier de Robert et vagabondage au pays de l’ours ! Les contes portent témoignage de toutes nos interrogations sur « celui qui marche debout », et qui d’autre qu’Olivier de Robert peut nous transporter aussi loin que va la mémoire des hommes… ?
Organisé par le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares, en partenariat avec la Médiathèque du Pays de Mirepoix. Renseignements : 05 61 05 52 03 RDV : Médiathèque du Pays de Mirepoix Tarif : 3€
Vendredi 8 avril : Clôture à 18h
Projection du documentaire Terre des ours de Guillaume Vincent, pour la première fois en 3D au cinéma de Mirepoix.
Proposé par le cinéma municipal de Mirepoix, en partenariat avec le Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Cathares. RDV : Médiathèque du Pays de Mirepoix Tarif cinéma : tarif en vigueur
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