Le « grand prix de Bélesta » : c’est terminé !
Belesta était le seul village d’Ariège ayant son nom lié à une compétition hippique de niveau national. La semi-nocturne annuelle hébergeant les grands prix de Toulouse, Auch, Rieumes et Belesta ainsi que 6 autres courses étaitt soumises à paris, télévisées et dotée de plus de 50 000 euros pour des chevaux venus de toute la France avec les meilleurs drivers du grand sud.
Ce Grand Prix de Bélesta aura perduré 14 ans à l’affiche du programme de septembre de l’hippodrome de La Cépière de Toulouse.
Gérard Miguel et Maurice Clarous pionniers de cette initiative :
« le Grand Prix de Belesta » expliquait Gérard Miguel en 2013, « est la résultante de 50 ans d’amitiés construite au Lycée, continuée à travers le rugby, les milieux taurins et autres réseaux toulousains. Quand Maurice Clarous, administrateur à la Cépière m’a proposé de citer une compétition avec le nom de mon village d’Ariège, je n’ai pas hésité. De plus, à l’époque j’étais Président-fondateur de l’association Les Fils de Bélesta.
D’abord c’était un support média majeur, ensuite le prétexte à une soirée fédératrice, enfin un levier pouvant être exploité annuellement.
Je remet un diplôme commémoratif à chaque édition mais surtout j’accueille les Cabos* domiciliés à Toulouse, quelques anciens joueurs de rugby, plusieurs décideurs autour d’une bonne table un espace de retrouvailles conviviales et, pour ceux qui ne connaissent pas les milieux hippiques une soirée découverte passionnante. Plusieurs Cabos nous y rejoignent, certains y ont pris goûts et sont présents régulièrement. Enfin c’est pérenniser le nom de Bélesta à travers non seulement les médias spécialisés mais également sur la presse régionale.
Le « grand prix de Bélesta » était un des rendez-vous incontournable du monde du rugby et taurin, des décideurs toulousains d’origine ariègeoise alliant convivialité, gastronomie et rencontres interprofessionnelles. Il restera comme un évènement important et couru à Toulouse alors que dans l’anonymat en Pays d’Olmes. Une page se tourne…..
Nul n’est prophète en son pays….